Mois : octobre 2021

Kryptomon, le jeu NFT très attendu et le nouveau projet GameFi le plus populairect qui a attiré plus eunen 100 000 personnes pour s’y intéresser lors de son lancement d’une semaine, s’est associée à DODO pour dévoiler sa campagne KMON-BNB Liquidity Mining. Et cela quelques jours seulement après l’annonce officielle d’un partenariat avec Simplex, le géant du traitement des paiements fiat/crypto.

La communauté Kryptomon peut désormais participer au pool de jalonnement KMON-BNB, facilité par le protocole DeFi et le fournisseur de liquidités en chaîne, DODO, pour gagner de la crypto-monnaie supplémentaire – sous la forme de jetons KMON et DODO.

Le jeu crypto NFT très attendu et le nouveau projet GameFi le plus en vogue, Kryptomon, a annoncé un partenariat avec DODO, le protocole DeFi et on-chain jefournisseur de liquidités pour dévoiler son KMON-BNB Lliquidité Mcampagne de lancement.

À travers la piscine de jalonnement, Kryptomon est maintenant éteintedonner à la communauté la possibilité de faire travailler ses fonds pour elle et de gagner un revenu passif sous la forme de KMON (la monnaie attachée au monde Kryptomon) ainsi que des jetons DODO.

Ce tout nouveau partenariat offre aux détenteurs de jetons KMON une autre opportunité de gagner un revenu supplémentaire Fà partir de leurs jetons : en participant à la loterie pour gagner de précieux NFT sous la forme d’œufs de Kryptomon uniques, ou en rejoignant la nouvelle campagne de pool de liquidités pour profiter d’un énorme APY de 416 % (!) !

La campagne fait partie du programme Booster de DODO.

La participation est facile. La communauté Kryptomon – les joueurs également connus sous le nom de « formateurs » – n’ont qu’à se rendre sur Le site de DODO, connectez leur portefeuille crypto et fournissez des liquidités KMON-BNB en échange de DOFAIRE des jetons LP. Les gens peuvent ensuite miser ces jetons LP et être récompensés par KMON et DODO en retour.

Un maximum de 45 000 $ de DODO et 225 000 jetons KMON en liquidité mles récompenses ining seront disponibles chaque semaine. TLe montant de KMON disponible sera fixe, tandis que le nombre de jetons DODO sera ajusté en fonction du volume hebdomadaire de transactions KMON sur la plateforme DODO. Ce programme durera 4 semaines, avech récompenses payées à chaque bloc (3 secondes) et pas de verrouillage period pour les fonds jalonnés. Les joueurs sont libres de retirer leur liquidité à tout moment.

L’extraction de liquidité est un process où les utilisateurs peuvent gagner un revenu passif en mettant leurs fonds dans un pool de liquidités. Les participants sont récompensés par des jetons cryptographiques supplémentaires ; jeDans ce cas, jetons KMON et DODO !

Les créatures de Kryptomon sont actuellement dans leur egg phase. Au quatrième trimestre 2021, la phase 1 sera lancée, où les œufs écloront et les formateurs rencontreront leurs créatures numériques uniques pour la première fois. La propre monnaie de Kryptomon, le KMON, sera utilisée par les formateurs du monde entier pour élever et entraîner thleurs animaux de compagnie numériques.

Umberto Canessa Cerchi (fondateur et PDG de Kryptomon), a déclaré :

« Notre campagne d’extraction de liquidités KMON-BNB est la dernière d’une série de développements passionnants dans le voyage de Kryptomon ! Nous sommes ravis de nous être associés à DODO dans le cadre de son programme Booster pour offrir à notre communauté (les formateurs AKA) un meilleur retour sur leur crypto-monnaie investie, tout en aidant à soutenir la communauté Kryptomon au sens large.

« Avec le nouveau programme Booster, les entraîneurs ont désormais le choix de miser leur KMON pour gagner des jetons KMON et DODO supplémentaires, ou de miser leur KMON dans une loterie d’œufs spéciale qui donnera à chacun la chance de gagner des œufs Kryptomon, y compris le rare Gen. 0 œuf dont seulement 100 existent dans le monde !

Qu’est-ce que Kryptomon ?

Kryptomon est un crypto NF très attenduT jeu qui fonctionne sur Binance Smart Chain (BSC). Kryptomon sera une option plus attrayante pour les acteurs traditionnels, contrairement à d’autres plates-formes qui facturent des frais plus élevés pour les transactions. Les membres de la communauté jouent en tant que « formateurs » de leurs propres monstres individuels – Kryptomons – each dont est un actif numérique tout à fait unique connecté à un NFT.

Chacun a un code génétique (génotype) unique mais modifiable qui détermine tous les aspects – physiques et comportementaux – de la créature. En bref, pensez que Pokémon rencontre CryptoKitties et Tamagotchi.

Les jetons KMON peuvent être utilisés par les Dresseurs Kryptomon pour élever leurs créatures, ainsi que pour acheter des objets et des bonus dans le jeu lui-même.

Liens sociaux

Télégramme: https://t.me/kryptomonofficial

Twitter: https://twitter.com/KryptomonTeam
Facebook: https://www.facebook.com/KryptomonTeam

Contact médias

Société: Kryptomon

Nom du contact: Umberto Canessa Cerchi

Adresse: Italie, Rome

E-mail: [email protected]

Site Internet: https://kryptomon.co/

Avis de non-responsabilité : il s’agit d’un article payant et ne doit pas être traité comme une actualité/un conseil.

Nous avons de bonnes et de mauvaises nouvelles. Le New York virtuel que vous attendiez est enfin là, mais il est déjà complet. Au Terre suivante, la réplique basée sur NFT de notre planète, certains des biens immobiliers virtuels les plus chers se trouvaient dans la réplique numérique de New York. Certains New-Yorkais chanceux du métavers possèdent déjà Central Park.

Cela dit, la Terre virtuelle est grande. Avec n’importe quelle région de la Terre ouverte à la vente, il existe une puissante opportunité pour les collectionneurs NFT d’acheter leur propre tranche de la planète virtuelle.

Combien vaut vraiment la terre numérique ?

Chaque métaverse a sa propre économie NFT. Celui de Next Earth a déjà vendu plus de 1,7 million de dollars d’immobilier virtuel. Ce chiffre comprend non seulement Central Park et le bâtiment Metlife, mais aussi des terres virtuelles du monde entier.

La valeur de la terre numérique provient de trois sources : la rareté, l’emplacement et la demande. Plus la terre est rare, plus elle est précieuse. Mais si vous pouvez vous permettre d’acheter la ville virtuelle de New York, alors félicitations ! Vous êtes l’une des personnes les plus riches du monde virtuel.

La rareté est naturellement liée à la localisation. Cela dit, même si vous achetez un terrain virtuel au milieu de nulle part, vous pourrez bientôt créer du land art basé sur des pixels, des ressources, etc., ce qui signifie que n’importe quel terrain peut avoir une utilité et une valeur. .

Mais l’immobilier ne se limite pas à l’emplacement et à la rareté. Cela dépend aussi de combien les gens sont prêts à payer pour cela. Dans le cas de la ville numérique de New York, il s’agit d’une distinction importante à faire. Les gens veulent-ils quelque chose de petit (comme une maison ou un appartement) ou veulent-ils une partie de la ville elle-même (comme Central Park ou Times Square) ? Cela affectera le montant que vous devrez payer pour votre terrain virtuel.

Terre virtuelle au-delà de New York

Même si New York est l’une des parties les plus célèbres de l’univers virtuel, ce n’est pas la seule pièce de immobilier virtuel que les gens achètent.

Il y a d’autres parties de New York, comme les Appalaches et le nord de l’État de New York, ou vous pouvez acheter des morceaux de Paris et de San Francisco. Le métaverse est largement défini par son immobilier numérique basé sur NFT. Comme pour tout marché immobilier, l’emplacement est important. Plongeons dans d’autres endroits.

Virtual Washington est une zone qui s’étend du Washington Mall au Capitole des États-Unis en passant par la Maison Blanche. C’est une vaste étendue d’immobilier virtuel, avec ses propres monuments et architectures distincts. Et les gens paient beaucoup d’argent pour cela, car les NFT sous-jacents représentent l’architecture la plus emblématique de Washington DC.

Virtual Paris est attrayant pour les visiteurs numériques en raison de ses monuments célèbres, comme la Tour Eiffel ou Notre-Dame. Les NFT de ces bâtiments virtuels pourraient un jour être revendus à des prix exorbitants. Dans la même veine, il y a aussi de beaux châteaux qui sont achetés – vraisemblablement par un collectionneur de NFT qui veut une tranche d’histoire dans ce monde numérique.

Pendant ce temps, le célèbre Arc de Triomphe à Paris a été initialement acheté pour 100 $, puis revendu sur la place de marché NFT pour un montant incroyable de 3 400 $ – le jour du lancement de la place de marché !

Pays les plus chers

Ce ne sont que quelques exemples; chaque région géographique a son propre marché immobilier virtuel où vous pouvez acheter des terrains avec TVN attaché à eux. Certaines des terres virtuelles les plus précieuses de Next Earth se trouvent à la Cité du Vatican, à Monaco et à Macao.

Le Vatican est acheté par des collectionneurs de métaverses pour sa beauté et sa rareté, y compris des pièces majeures de l’immobilier du Vatican telles que la place Saint-Pierre et le palais apostolique. Ces zones sont celles où se trouvent les monuments catholiques les plus célèbres, notamment la basilique Saint-Pierre et la chapelle Sixtine. Les gens paient grassement pour des vues virtuelles de ce lieu historique. Au moment de la rédaction, les carreaux de la Cité du Vatican se vendent à plus de 42 BUSD pièce, ce qui représente une croissance de 42 000% !

Quand on pense au luxe, on pense probablement à Monaco. Des vues sur l’océan aux yachts qui naviguent autour, cette petite cité-État a très bien réussi à se vendre comme un endroit où les ultra-riches peuvent aller vivre leurs rêves. Les prix de l’immobilier pour ces lieux virtuels sont élevés parce qu’ils sont si rares – Monaco n’est que si grand.

Macao est une autre métropole qui possède son propre marché immobilier numérique, qui s’étend des casinos au front de mer en passant par le centre historique de Macao et au-delà. En fin de compte, Next Earth présente de nombreuses opportunités pour les passionnés de cryptographie d’investir dans une variété d’environnements que vous ne pouvez pas facilement visiter (et encore moins posséder) dans le monde physique.

Photo by Brandon Jacoby on Unsplash

La « Total Value Locked » (la valeur placée par les investisseurs) dans des protocoles de finance décentralisée (DeFi) a bondi de 936% au cours des 12 derniers mois.

Une nouvelle étude menée par la plateforme d’analyse DappRadar a récemment mis en évidence l’ampleur de la croissance des marchés de la finance décentralisée et des tokens non fongibles (NFTs) cette année.

NFTs : 99,7% des transactions en ETH ou en WETH

L’étude de DappRadar s’est également intéressée au secteur des NFTs. Celui-ci a enregistré des records en août, avec l’équivalent de 5,2 milliards de dollars échangés. Ethereum est le leader incontesté de l’écosystème, captant 90% de ces transactions.

OpenSea est la place de marché la plus populaire pour les NFTs. 99,7% des échanges y sont effectués à travers les tokens ETH et WETH – même s’il est possible d’utiliser d’autres actifs comme l’USDC, le DAI ou le MATIC.

DappRadar estime que la croissance du secteur des NFTs a été organique, et n’a pas ponctionné des liquidités importantes depuis les protocoles de DeFi :

« Il semblerait que la valeur investie dans la DeFi ait augmenté de manière constante, alors que les NFTs sont parvenus à enregistrer des volumes importants en août ».

On peut sans doute s’attendre à une poursuite de la croissance de la DeFi au cours des prochaines semaines. Le secteur pourrait profiter de l’arrivée constante de nouveaux protocoles, mais aussi de l’appétence croissante des traders chinois, qui n’ont plus la possibilité d’effectuer des échanges de tokens sur des plateformes centralisées.

Visa sou­haite créer un réseau de paie­ment « de seconde couche » qui per­met­tra d’é­chan­ger des sta­ble­coins et des mon­naies numé­riques de banques cen­trales. Si le pro­jet n’en est qu’à ses pré­mices, des pre­miers tests ont été réa­li­sés sur la blo­ck­chain Ethereum.

Un canal de paiement universel

Le géant des cartes de cré­dit Visa s’est déjà tour­né vers la cryp­to-sphère depuis deux ans, nouant des rela­tions avec plus de 50 cryp­to-socié­tés, et allant même jus­qu’à s’of­frir un NFT « Cyber­Punk » en août der­nier.

L’en­tre­prise compte désor­mais aller plus loin, annon­çant ce jeu­di qu’elle sou­haite déve­lop­per un « canal de paie­ment uni­ver­sel » pour per­mettre d’ef­fec­tuer des tran­sac­tions entre plu­sieurs sta­ble­coins et des mon­naies numé­riques de banques cen­trales.

L’i­dée consiste à créer un équi­valent, en mon­naie numé­rique, de l’ex­pé­rience actuelle des paie­ments inter­na­tio­naux – qui per­met d’a­che­ter un bien ou un ser­vice dans un pays étran­ger avec une carte de débit ou de crédit.

Les réseaux qui sont aujourd’­hui gérés par les banques et les émet­teurs de cartes de cré­dit s’ap­puient sur des mon­naies natio­nales. En lan­çant son canal de paie­ment « uni­ver­sel », Visa sou­hai­ter répli­quer ce sys­tème en tirant pro­fit de la tech­no­lo­gie blo­ck­chain. L’en­tre­prise est convain­cue de la démo­cra­ti­sa­tion, à terme, des sta­ble­coins comme l’USDC, mais aus­si de l’é­mer­gence de mon­naies numé­riques de banques cen­trales – comme celle que pré­pare actuel­le­ment la Chine.

Pour cela, Visa pour­rait s’ap­puyer sur Ethe­reum – alors qu’elle a déjà déployé un pre­mier « smart contract » de paie­ment sur le « test­net » de sa blo­ck­chain, ados­sé à l’E­ther à l’USDC.

Une solution « de seconde couche » mêlant réseau traditionnel et blockchain

Dans un entre­tien accor­dé au site Decrypt, Cathe­rine Gu, direc­trice pro­duit de Visa pour les mon­naies numé­riques de banques cen­trales, a don­né plus d’in­for­ma­tions sur la concep­tion de ce nou­veau canal de paiement.

La diri­geante a expli­qué que l’i­ni­tia­tive de Visa était assez simi­laire aux solu­tions « de seconde couche » actuel­le­ment déve­lop­pées sur les réseaux Bit­coin et Ethe­reum. Ces pro­jets traitent les tran­sac­tions sur une couche sépa­rée de la blo­ck­chain, avant d’u­ti­li­ser celle-ci pour les fina­li­ser. Cette méthode per­met aux uti­li­sa­teurs de tirer pro­fit du meilleur de deux mondes : les vitesses de tran­sac­tion d’un réseau tra­di­tion­nel et les enre­gis­tre­ments immuables et invio­lables offerts par la tech­no­lo­gie blockchain.

Cathe­rine Gu a expli­qué que, contrai­re­ment aux solu­tions de seconde couche comme le Light­ning Net­work qui cherchent à aider le Bit­coin à « sca­ler », le canal de paie­ment uni­ver­sel de Visa se foca­lise sur la faci­li­ta­tion des échanges entre dif­fé­rentes mon­naies. Pour cela, elle compte s’ap­puyer sur un type de « smart contract » bap­ti­sé « hashed time­lock contract ». Déjà lar­ge­ment uti­li­sé dans la cryp­to-sphère, il per­met notam­ment de s’as­su­rer que chaque par­tie res­pecte bien les termes fixés à l’a­vance dans le contrat.

Pour mener à bien son plan, Visa devra par­ve­nir à per­sua­der les entre­prises et les gou­ver­ne­ments de consa­crer des fonds pour déve­lop­per des por­te­feuilles numé­riques com­pa­tibles avec son canal de paie­ment universel.

Le géant du paie­ment a tou­te­fois pré­ci­sé que ce der­nier, qui a été éla­bo­ré dans un labo­ra­toire de recherche uni­ver­si­taire de la Sili­con Val­ley, n’en est encore qu’à ses pré­mices :

« Tout en pour­sui­vant notre recherche, nous nous effor­ce­rons de tra­duire nos idées en lignes de code », a expli­qué Mme Gu dans un article pré­sen­tant le projet.

Que feront les gouvernements ?

L’an­nonce de Visa inter­vient alors que les sta­ble­coins et les mon­naies numé­riques de banques cen­trales font l’ob­jet d’une atten­tion crois­sante de la part des régu­la­teurs du monde entier. Aux États-Unis, le gou­ver­ne­ment et la Réserve Fédé­rale devraient publier dans les pro­chains mois des rap­ports por­tant sur le rôle des sta­ble­coins dans l’économie.

Si l’on peut pen­ser que de nom­breux gou­ver­ne­ments fini­ront par se tour­ner vers cer­taines formes de mon­naies numé­riques, il est tou­jours dif­fi­cile de savoir s’ils déci­de­ront d’in­té­grer des sta­ble­coins conçus par des entre­prises pri­vées – comme l’USDC ou le Tether – ou s’ils sui­vront les pas de la Chine et n’au­to­ri­se­ront que des mon­naies numé­riques d’État.

L’in­fluence crois­sante de ces actifs sou­lève éga­le­ment la ques­tion de l’in­té­gra­tion de mon­naies décen­tra­li­sées comme le Bit­coin dans les cal­culs poli­tiques des gouvernements.

« Cela ressemble à une adoption institutionnelle »

Même si rien ne per­met, pour l’ins­tant, de s’as­su­rer que ce canal de paie­ment de paie­ment sera ados­sé à Ethe­reum, cette annonce de Visa a sus­ci­té l’en­thou­siasme de Crypto-Twitter :

First Visa buys an NFT

Then they start buil­ding on $Eth

Sounds like ins­ti­tu­tio­nal adoption

Slow­ly, then all at once pic.twitter.com/o738W1Xt8r

— Pen­to­shi Won’t Dm You. hates Dm’s. DM’s are scams (@Pentosh1) Sep­tem­ber 30, 2021

« Visa com­mence par ache­ter un NFT.

Puis ils com­mencent à déve­lop­per sur Ethereum.

Cela res­semble à de l’a­dop­tion institutionnelle.

Dou­ce­ment, puis tous en même temps ».

This week in #ethe­reum land :
– Visa is tes­ting pay­ment pro­to­col on ETH
– Tik Tok launches NFTs on ETH
– Societe Gene­ral plan­ning to bring bonds to Maker DAO
– Twit­ter laun­ching NFT verification

And some people are bea­rish on ETH, lol

— Lark Davis (@TheCryptoLark) Octo­ber 1, 2021

« Cette semaine dans le monde d’Ethereum :
– Visa teste un pro­to­cole de paie­ment sur Ethereum
– Tik­Tok lance des NFTs sur Ethe­reum [plus d’in­for­ma­tions]
– La Socié­té Géné­rale sou­haite ame­ner des obli­ga­tions sur Maker DAO
– Twit­ter lance la véri­fi­ca­tion de NFTs [plus d’in­for­ma­tions]

Et cer­tains sont bais­siers sur l’E­ther, lol »