Les ventes du smartphone Solana déçoivent, son futur est incertain

Lors d’une récente interview, le fondateur de Solana, Anatoly Yakovenko, a mis en lumière les ventes peu reluisantes de leur smartphone Android Saga. Au moment de son lancement, le Saga se présentait comme un smartphone unique qui promettait une nouvelle expérience Web3 à ses utilisateurs.

Malgré cela, il s’est vendu à seulement 2 500 exemplaires, un chiffre inférieur aux attentes. Néanmoins, Yakovenko a souligné les retours positifs des utilisateurs et la qualité du téléphone, appréciés particulièrement par les fans de Solana.

Les performances décevantes de Saga sur le marché des smartphones



En mai 2023, Solana Labs a sorti le Saga, un smartphone Android conçu pour les amateurs de la sécurité offerte par le Web3. Avec son propre magasin d’applications, le Saga visait à contourner les restrictions de Google et Apple sur les crypto-monnaies. L’idée était de combiner la technologie blockchain avec l’usage quotidien des smartphones pour rendre les applications blockchain plus accessibles.

Malgré son aspect innovant, le smartphone Saga de Solana n’a pas rencontré le succès commercial escompté. D’après Anatoly Yakovenko, seulement 2 500 vendues, un nombre bien en deçà des objectifs fixés par l’entreprise.

Toutefois, les retours positifs sur la qualité du téléphone Saga de Solana montrent qu’il a trouvé son public, bien que restreint, surtout parmi les passionnés de l’écosystème Solana.

Les défis rencontrés par le smartphone



Anatoly Yakovenko a reconnu que la demande pour des appareils mobiles dédiés, comme le Saga, a diminué avec la montée en puissance des applications web progressives (PWA), qui offrent une expérience utilisateur similaire sans nécessiter de matériel spécialisé.

Solana’s Saga phone was a flop

It sold ~2,500 units, and even @aeyakovenko uses it as his “NFT phone.”

Here’s what Solana Labs is thinking about the future of the Solana Saga.

Listen now: https://t.co/T7ZDlPvjbJ pic.twitter.com/NBO4bKldnq

— Laura Shin (@laurashin) December 5, 2023

Selon lui, cette évolution, bien que positive pour les utilisateurs, représente aussi un défi majeur pour les smartphones axés sur la blockchain, car elle réduit potentiellement leur attrait pour un public plus large.

Cependant, face à ces défis et à la baisse des ventes, Yakovenko reste optimiste quant à la capacité de Solana de réajuster son approche par rapport aux appareils mobiles. Il envisage la possibilité de développer des options plus abordables, telles qu’un portefeuille intelligent, pour répondre aux besoins des consommateurs cherchant un appareil secondaire.

Néanmoins, il a également admis qu’il n’y a pas encore de signaux clairs d’une demande généralisée pour de tels produits. L’expérience mitigée de Solana avec le Saga reflète les tentatives précédentes d’autres entreprises, comme HTC et Sirin Labs, qui ont aussi tenté de pénétrer le marché avec des smartphones cryptographiques, mais sans succès significatif en dehors de leurs niches respectives.

L’avenir des smartphones cryptos chez Solana ?



Au cours de l’interview, Yakovenko a révélé que lui aussi n’utilisait pas le téléphone Saga de Solana comme appareil principal, préférant alterner entre celui-ci et son iPhone pour des raisons professionnelles et de sécurité. D’après lui, son smartphone Saga est surtout utilisé comme un “téléphone NFT” qui lui sert principalement à conserver ses NFT de façon sécurisée.

Étant donné qu’elle est désormais confrontée à l’évolution du paysage technologique et à la préférence croissante pour les applications web progressives, il est clair que Solana Labs réévalue l’importance et la viabilité des appareils dédiés.

En envisageant l’avenir de ses offres mobiles, Solana se concentre sur l’alignement des caractéristiques de ses produits avec les exigences et les préférences changeantes du marché, explorant la possibilité de dispositifs plus abordables et ciblés sur des segments de marché spécifiques.

Source : CoinDesk

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Cosmos (ATOM ) : Neutron acquiert 25 % de Confio pour aider au développement de L’écosystème

La communauté de Cosmos est en ébullition depuis la réduction de l’inflation du jeton ATOM. Cette décision a engendré de nombreuses dissensions, qui pourrait mener jusqu’à un fork de la chaîne. Néanmoins, cela n’empêche pas l’écosystème de Cosmos de continuer d’évoluer.

Neutron acquiert 25 % de Confio

Neutron est une des blockchains qui composent l’écosystème de Cosmos. Lancée il y a seulement quelques mois, celle-ci comptabilise déjà près de 40 millions de dollars de TVL et se place à la 7e position des blockchains Cosmos en termes de TVL.

Mardi 5 décembre, les équipes de Confio ont annoncé un partenariat de taille avec le projet Neutron. Ainsi, nous apprenons que Neutron a acquis 25 % de l’entreprise Confio.

Neutron acquiert 25 % de Confio.

Pour rappel, Confio est connue pour le développement de l’environnement de programmation CosmWasm, la machine virtuelle principale de Cosmos

« Pour renforcer la collaboration entre Confio et Neutron, nous avons élaboré une acquisition de 25 % des actions de Confio. Cela enrichit la conversation entre les actionnaires en apportant la perspective d’un utilisateur de CosmWasm et donne à Neutron une voix importante dans la direction de Confio. »

Explique l’annonce de Confio.

Par conséquent, Neutron rejoint les partenaires proches de Confio, aux côtés d’Osmosis, Terra, Stargaze ou encore Nym pour ne citer qu’eux.

Comme expliqué dans l’annonce, ce partenariat a pour but de créer un effet de réseau. À la fois en termes de connectivités des solutions ainsi qu’au niveau de l’éducation et des outils disponibles.

« Avec Neutron, nous discutons de la feuille de route principale et explorons les offres complémentaires en matière de services et d’outils. »

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CosmWasm : Qu’est-ce que c’est ?

Comme nous venons de l’aborder, CosmWasm est la machine virtuelle par défaut pour les blockchains basées sur Cosmos comme Neutron et Osmosis.

Ainsi, c’est elle qui permet l’exécution des smart contracts sur Cosmos. Celle-ci peut être comparée à l’Ethereum Virtual Machine (EVM), utilisée par Ethereum et d’autres blockchains.

Toutefois, CosmWasm se distingue par sa capacité à faciliter le développement inter-chaînes, un aspect crucial dans l’écosystème fragmenté de Cosmos. 

Par rapport à l’EVM, CosmWasm propose une approche plus souple et modulaire, ce qui facilite l’intégration et la mise à jour des smart contracts sur diverses blockchains. 

Du côté de l’écosystème de Cosmos, d’autres nouvelles ont fait la une ces derniers jours. Ainsi, la blockchain Osmosis, qui héberge le DEX éponyme, pourrait fusionner avec le protocole de lending UX Chain.

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1000 bitcoins enterrés depuis l’ère de Satoshi Nakamoto remontent à la surface

Des bitcoins antiques se réveillent. Après le lancement du réseau blockchain de Bitcoin (BTC) en janvier 2009, son créateur – Satoshi Nakamoto – a continué de s’en occuper jusqu’en avril 2011. Mais depuis mai 2011 et un dernier mail privé adressé à Gavin Andresen (un développeur pionnier du BTC) : nous n’avons plus jamais eu aucune nouvelle de lui. Alors quand des bitcoins datant de cette période se remettent soudainement à bouger, la cryptosphère s’interroge. Dans le cas présent, ce sont 1000 BTC minés en 2010 qui viennent de faire parler d’eux, en sortant d’un coup de leur profonde hibernation.

13 ans de sommeil profond pour ces 1000 BTC datant de 2010

La communauté crypto guettant toujours un hypothétique retour de Satoshi Nakamoto, toutes les transactions de bitcoins remontant à son époque d’activité connue sont évidemment scrutées de près. Et, justement, un total de 1000 BTC antiques viennent tout récemment de reprendre vie ce début décembre 2023.

Ces bitcoins sont issus de récompenses de bloc obtenues, tenez-vous bien, entre août et novembre 2010. La société CryptoQuant, spécialisée dans l’analyse des données on-chain, a repéré ces mouvements ce 4 décembre 2023, soit plus de 13 ans après que ces BTC soient figés dans le temps.

Ces BTC de l’époque de Satoshi Nakamoto sortent d’un long sommeil

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Au commencement par Satoshi Nakamoto, la récompense de bloc était de 50 BTC

Caractéristique de cette époque si proche de Satoshi Nakamoto qu’il pourrait même s’agir potentiellement de lui, les récompenses de bloc pour valider (miner) un ensemble de transactions étaient de 50 BTC tout rond.

En effet, le réseau blockchain n’avait avoir pas encore subi le moindre halving, un processus codé par Satoshi qui survient tous les 210 000 blocs minés (soit environ 4 ans) pour diviser par deux la récompense de bloc.

Ainsi, aujourd’hui en 2023, cette récompense n’est déjà plus que 6,25 BTC, après 3 halvings. Mais, le prochain halving, prévu pour avril 2024, réduira encore cette émission de nouveaux bitcoins à seulement 3,125 BTC par bloc miné.

Un mineur de Bitcoin de la première heure décidé à prendre ses (énormes) bénéfices ?

Selon CryptoQuant et CoinDesk, qui nous rapportent cette histoire, ces 1000 BTC accumulés en 2010 auraient été extraits avec un « coût total estimé à 100 dollars »… Avec un seul bitcoin avoisinant aujourd’hui 44 000 dollars, ce pactole s’est donc transformé en, environ, 44 millions de dollars !

Avec une telle somme dormant depuis plus d’une décennie, on comprend que l’heureux mineur de Bitcoin est fini par avoir envie de vendre, ou au moins de mettre en sécurité, cette gigantesque somme. C’est en tout cas ce que supposent les analystes de CryptoQuant, quant à la récente destination de ce millier de BTC soudain revigorés :

« Nous supposons que ce mineur précoce a vendu les 1 000 bitcoins, en les envoyant dans un service de dépôt ou de vente de gré à gré (OTC). (….) En raison des schémas de transaction de l’adresse de réception, il est en effet possible que ces bitcoins aient été envoyés à un service OTC ou un service de garde. »

CryptoQuant

S’il y a peut-être peu de chance qu’il s’agisse là de Satoshi Nakamoto en personne, ce mineur BTC reste en tout cas clairement un grand pionnier de ce réseau blockchain. Car de nos jours, ce sont des professionnels et des sociétés qui minent les bitcoins, qui deviennent de plus en plus rares et difficiles à obtenir. Sauf cas (très) exceptionnel de très heureux chanceux.

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Chimpzee : cet altcoin est un must-have à surveiller lors du Bull run de décembre – Voici pourquoi

Le mois de décembre devrait être spectaculaire pour le marché des crypto-monnaies.

L’optimisme croissant des investisseurs est évident et, selon les analystes du secteur, le marché prépare le terrain pour une vague haussière sans précédent.

Dans cet article, nous allons vous présenter une crypto-monnaie qui a tous les ingrédients pour se démarquer du marché lors du prochain rallye haussier.

Pourquoi les investisseurs s’arrachent Chimpzee ?



Chimpzee organise actuellement une prévente de son jeton natif CHMPZ. Avec l’afflux massif d’investisseurs, la prévente est maintenant dans sa phase finale (16e). Elle prendra fin dans quelques jours.

Il existe en effet plusieurs raisons pour lesquelles les investisseurs affluent vers la prévente de CHMPZ. Tout d’abord, on prévoit que le jeton grimpera de 1500 % à 3000 % de son lancement.

Mais pourquoi cela ? Examinons de plus près certaines des raisons qui expliquent la popularité croissante de Chimpzee.

Chimpzee est un mème coin avec une utilisation pertinente

Si vous ne l’avez pas encore deviné, Chimpzee est un mème coin.

Le personnage mi-humain, mi-singe a en effet été conçu pour attirer l’attention de la communauté des mèmes, qui a l’habitude de déclencher certains des plus grands mouvements haussiers de l’histoire.

Plus concrètement, en utilisant l’identité d’un mème coin, Chimpzee s’est mis pour objectif d’attirer l’attention sur sa mission. C’est-à-dire d’apporter plus de vigueur à l’action climatique grâce à la conservation de la faune.

Bien que Chimpzee profite de l’étiquette d’un même coin, elle est fondamentalement un jeton vert. Elle exploite les capacités de Web3 et l’incitation crypto pour présenter un projet environnemental novateur.

Alors que les campagnes de sensibilisation sont un outil clé dans la lutte contre le changement climatique, elles sont insuffisantes en termes d’efficacité. Elles ne parviennent pas à contrer l’ignorance de l’homme face aux menaces certes lointaines mais existantes.

Avec un système de récompenses crypto robuste, Chimpzee comble le fossé. Cet aspect utilitaire de Chimpzee le distingue notamment du marché des mèmes coins. Et surtout, cela renforce les projections de prix à long terme et à court terme de Chimpzee.

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— Official Chimpzee Project (@RealChimpzee) December 7, 2023

L’engagement rapporte des récompenses

L’écosystème Chimpzee récompense les utilisateurs pour leur engagement et leur activité communautaire de diverses manières.

Les récompenses sont versées en jetons $CHMPZ. En tant que jetons crypto, ils peuvent être vendus sur des bourses de crypto-monnaies publiques au prix du marché. En d’autres termes, contrairement aux points de fidélité, ces jetons de récompense peuvent être utilisés en dehors de l’écosystème.

Il existe plusieurs façons pour un utilisateur de s’engager avec Chimpzee et de gagner des récompenses.

La première consiste à faire des achats. La boutique Chimpzee propose des t-shirts branchés, des tasses magnifiquement conçues et d’autres articles de merchandising avec des slogans percutants. Si vous êtes quelqu’un qui aime sensibiliser votre famille, vos amis et vos collègues à l’action climatique, vous pouvez les acheter. Chaque achat sur la plateforme shop-to-earn est accompagné de récompenses que vous pouvez vendre sur des bourses de cryptomonnaies.

La boutique Chimpzee est maintenant accessible. Cependant, la version complète avec des fonctionnalités shop-to-earn sera lancée prochainement.

La plateforme trade-to-earn, en revanche, s’adresse aux traders actifs de NFT. Elle propose un mécanisme de partage des bénéfices dans une démarche inédite. La marketplace Chimpzee NFT est actuellement en cours de développement.

Enfin, la troisième plateforme sera un jeu play-to-earn appelé “The Zero Tolerance Game”. Il met en scène le personnage central mi-humain, mi-singe qui lutte fermement contre la destruction de la faune. En plus de fournir une avenue engageante, la plateforme sensibilise également les jeunes à l’action climatique.

Les passeports Chimpzee NFT confèrent aux détenteurs des avantages attrayants dans l’écosystème et un avantage sur tous les autres.

Tokenomique déflationniste qui soutient l’action des prix

Chimpzee présente une tokenomique déflationniste. Elle est activée par le biais d’un mécanisme de burn de jetons qui a été mis en œuvre dès la phase de prévente.

Par exemple, Chimpzee brûle une partie de son offre de jetons à chaque fois qu’elle atteint une étape de prévente.

Le mécanisme permet notamment au projet de réduire son offre de jetons et de soutenir l’action des prix du $CHMPZ grâce à une rareté contrôlée. Après tout, le prix et l’offre sont corrélés. Le burn de jetons est particulièrement efficace sur le marché des crypto-monnaies, connu pour ses mouvements volatils. De plus, il est crucial pour la durabilité à long terme d’un projet.

Grande crédibilité

Chimpzee a maintenu une forte crédibilité depuis l’annonce de son écosystème de crypto-monnaie verte. Il a collaboré avec plusieurs organisations réputées dédiées à la conservation de l’environnement.

Comme indiqué ci-dessus, le projet a également passé des audits de sécurité. De plus, il a été présenté dans plusieurs médias cryptos de renom pour sa vision novatrice de Web3 ancrée dans la durabilité.

CONGRATULATIONS TO EVERYONE GETTING IN EARLY ON THIS NEW MOVEMENT TO HELP SAVE THE PLANET.

Chimpzee is set to redefine the way people donate to charity through the Chimpzee eco-system as they will benefit and donate to help save the planet at the same time!

Did you…

— Official Chimpzee Project (@RealChimpzee) November 13, 2023

Comment investir dans Chimpzee ?



Vous pouvez acheter des jetons $CHMPZ pour investir dans Chimpzee. Après la prévente, Chimpzee introduira également les passeports NFT très limités.

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— Official Chimpzee Project (@RealChimpzee) December 1, 2023

Chimpzee organise actuellement la dernière étape de sa prévente. Elle est accompagnée de bonus attractifs, d’un accès à des cadeaux et d’un accès prioritaire à l’événement de whitelist NFT. Étant donné que le jeton est prévu pour une forte hausse peu après son inscription initiale sur la bourse crypto P2B, la prévente offre la meilleure opportunité d’investissement.

Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.

Source : Chimpzee

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NBX Berlin : les tendances et projets qui ont marqué l’événement

Cette semaine, Berlin a revêtu son manteau de neige pour accueillir l’événement « NBX Berlin », un rassemblement majeur dans le domaine crypto, Web3, Metaverse et GameFi. Nous avons eu la chance de participer à l’événement et proposons à partir d’aujourd’hui des articles couvrant l’événement dans son ensemble, des panels d’expert aux interviews des créateurs de nouveaux projets passionnants. Mais avant tout, décortiquons chaque thème qui a animé cet événement, promettant une semaine riche en réflexion et en découvertes.

Le Bullrun : Début Concret ou Illusion FOMO ?



La question qui a dominé les discussions à NBX Berlin est sans surprise celle de l’approche du saint Graal pour les investisseurs crypto : le Bullrun. Mais est-ce seulement une illusion ou le début véritable de la course à l’ATH ?

Le « FOMO » en anglais c’est la « Fear of missing out » ou en français, « la peur de manquer ». Cette expression fait fureur dans le monde de la crypto : elle représente la peur de rater une opportunité d’investir dans une crypto-monnaie qui pourrait connaître une forte hausse de prix.

Entre les esprits sceptiques et les confiants, des figures de renom comme Miko Matsumura de gumi Crypto Capital ont partagé leurs visions : au final, ne serait-ce pas simplement la FOMO qui déclenche cette hausse du prix du BTC ? Les opinions divergent, créant un dialogue animé au cœur de l’événement. Pour Miko, la barre des 40.000$ fait (un peu) trop parler d’elle :

« Le BTC à 39.000 $ n’a pas du tout créé cet engouement. Alors qu’en soit, la différence entre un BTC à 39.000$ et à 40.000$ n’a rien d’impressionnant ! Les gens veulent à tout pris un Bullrun, c’est ce que montre cet engouement pour moi. »

D’autres pensent que le bullrun arrive, porter par les approbations d’ETF bitcoin et le halving courant 2024. Suivez nos articles sur cette semaine pour en savoir plus !

Crédit : Romaric Saint-aubert

Mass Adoption : Les Techs Crypto à l’épreuve des Milliards



L’éventualité d’un Bullrun soulève la question cruciale de l’adaptation massive des technologies crypto pour des milliards d’utilisateurs. Éducation et protection sont au cœur des débats, avec des statistiques saisissantes : 20% des utilisateurs crypto perdent leurs clés, tandis que 60% abandonnent la crypto après des pertes sur les DeX. La sécurité et la simplicité deviennent des impératifs pour garantir une adoption à grande échelle.

Mais attention, qui dit bullrun ne dit pas forcément mass adoption : en effet chaque bullrun voit le nombre d’investisseurs augmenter, mais ce n’est pas pour autant que le monde entier va se mettre soudainement à payer en crypto. D’après certains experts comme Matthias Geighs, nous aurons besoin de plus d’un Bullrun pour que ce rêve devienne réalité.

Matthias pose aussi les bonnes questions, la technologie blockchain est-elle vraiment prête a accueillir un milliard d’utilisateurs ? En effet, la technologie blockchain est toujours en évolution, qui offre de nombreuses opportunités certes, mais qui doit encore mûrir pour atteindre son plein potentiel.

GameFi : Quand le Jeu Devient Générateur de Revenus



L’émergence de la GameFi, mettant le pouvoir entre les mains des joueurs à travers la possession virtuelle, a été un point fort. Les discussions ont porté sur la préparation des joueurs au Play2Earn et ses implications pour l’écosystème.

La sensibilisation à la GameFi est cruciale : expliquer le « pourquoi » plutôt que le « comment » dit Yat Siu d’Animoca Brands Limited, qui a partagé des anecdotes sur l’adoption massive du marché asiatique au Play2Earn. En effet le co-fondateur de Animoca Brands en visite en Asie, a déclaré avoir remarqué à quelle point la communauté P2E était importante en Asie.

En effet il raconte que dans cette partie du monde, les joueurs ont compris la valeur du P2E, tandis qu’en Europe et aux états unis par exemple, les joueurs tout comme les développeurs ont « peur des choses nouvelles » ce qui ralentit l’adoption. Il a pris comme exemple le modèle free 2 play qui plait temps de nos jours, alors qu’il y a 30 ans un développeur aurait été moque s’il avait eu une telle idée. Nous consacrerons un dossier entier à la GameFi dans la semaine.

Metaverse : Révolution ou Hype Temporaire ?



Les panels ont plongé dans l’état actuel du Metaverse, entre les pertes importantes de l’entreprise Meta, leader contesté du secteur, et la création continue de startups innovante. Qu’apporte réellement le Metaverse, et même, existe-t-il vraiment ?

Les discussions ont abordé la création d’avatars et des cas d’utilisation concrets, préfigurant un dossier approfondi à venir. Notre dossier spécial sur le Metaverse est prévu pour vendredi matin, promettant une exploration approfondie de ce sujet intrigant.

Les Tendances Crypto pour 2024 : Perspectives et Prédictions



Avec l’éventualité d’un Bullrun imminent, la vision d’une adoption massive de la technologie blockchain par d’autres secteurs devient une réalité anticipée. Au-delà des cryptos et de leur côté spéculatif, la technologie blockchain est une révolution par sa simplicité et son efficacité.

Des interviews exclusives d’experts ont offert des perspectives uniques, chacun partageant son point de vue éclairé sur les tendances à venir : fini l’ère des NFT inutiles, place à la tokenisation massive et aux propriétés phygitale. La blockchain en technologie pionnière et enfin bullrun ou pas bullrun ? Telle est la question.

Naviguer dans l’Espace Crypto avec l’Arrivée de MiCa



Avec l’approche de MiCa et l’introduction imminente d’une réglementation complète sur les crypto-actifs en 2024, l’UE s’apprête à marquer l’histoire.

La réglementation MiCA couvre les crypto-actifs qui ne sont pas actuellement réglementés par la législation existante sur les services financiers, tels que les jetons de paiement, les jetons d’investissement et les jetons de monnaie électronique.

Comment naviguer dans cet espace de régulation ?  Des réponses détaillées à cette question cruciale seront explorées dans nos prochains articles.

Nouveaux Projets



Les événements cryptos comme NBX sont un peu une foire au projet innovant. Au milieu des stands de géants comme KuCoin et Kanga, des petits nouveaux essayent de se faire une place au milieu des grands. Bien sûr nous en avons fait le tour et, comme toujours, nos entretiens avec des experts et des créateurs ont été des moments forts de l’événement.

Du scan d’être humain a des plateformes qui récompensent grassement ces utilisateurs, en passant par des films interactifs en POV… le monde du web 3.0 est en ébullition ! Restez à l’affut pour des articles détaillés tout au long de la semaine, révélant en profondeur les idées partagées à NBX Berlin !

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LUNA, UST et MIR dans le viseur de la SEC ? Terraform Labs veut éviter un procès

Titres financiers, ou pas ? La Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis souhaite voir des titres financiers dans (presque) toutes les cryptomonnaies. La raison est simple. Ce genre de produits financiers entre dans le cadre de sa juridiction réglementaire. Et autant dire que peu de projets crypto ont fait les démarches nécessaires pour s’enregistrer en tant que tel. D’autant plus si l’on considère que le cadre légal actuel ne permet pas de les intégrer de façon évidente. Un flou à l’origine d’une procédure en cours pour Terraform Labs, au sujet des cryptomonnaies UST, LUNA, wLUNA et MIR.

TerraForm Labs réclame des comptes à la SEC

L’affaire Terra est encore loin d’être close. Avec d’un côté son emblématique cofondateur, Do Kwon, en train de lutter contre une possible extradition vers les États-Unis. Cela depuis le Monténégro où il s’est réfugié après plusieurs mois d’une traque internationale. Et de toute évidence, il préférerait clairement se voir livré à la justice de la Corée du Sud.

Do Kwon est toujours réfugié au Monténégro, dans l’attente de son extradition

Dans le même temps, la structure Terraform Labs s’empêtre dans une procédure imposée par la SEC. Cela au sujet de la qualification réglementaire de ses cryptomonnaies natives comme le fameux stablecoin UST à l’origine du cataclysme Terra. Mais il est également question de LUNA, wLUNA et MIR.

En cause, le moyen choisi pour déterminer le statut de ces différentes cryptomonnaies. Et visiblement, la structure Terraform Labs souhaite jouer la carte du jury populaire. C’est en tout cas ce qu’elle explique dans une lettre adressée en début de semaine à l’instance de régulation. Le but : décider « si la SEC a ou non rempli sa charge de prouver » que les jetons impliqués dans cette procédure sont des titres financiers.

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Échapper à un procès

Dans les faits, Terraform Labs tente d’échapper au procès. De ce fait, une demande de jugement sommaire a été déposée fin octobre auprès du juge Jed Rakoff, en charge de ce dossier. Et si toutefois cette procédure n’est pas acceptée, Terraform Labs demande alors de soumettre l’affaire à un jury.

« Après une période de deux années d’enquête, dont l’achèvement a abouti à l’enregistrement de plus de 20 dépositions et à l’échange de plus de deux millions de pages de documents et de données, la SEC n’est visiblement pas plus près de prouver que les accusés ont fait quoi que ce soit de mauvais. (…) Les lacunes du dossier de la SEC se sont aggravées, car il est désormais évident qu’il n’existe aucune preuve admissible pour étayer bon nombre de ses affirmations. »

Terraform Labs

Une exigence rejetée en bloc par la SEC. En effet, l’instance de régulation a répondu dans une lettre que ce n’est pas à un jury de déterminer si quelque chose est un contrat d’investissement ou non. Mais peut-être qu’un regard extérieur serait une bonne chose, histoire de faire le travail sans cesse reporté par Gary Gensler : éclaircir cette question en toute indépendance et une bonne fois pour toutes.

La décision dépend donc du juge en charge de cette affaire. Cela afin de déterminer si la structure Terraform Labs devra faire face à un véritable procès. Et, autant dire que le dernier épisode de cette affaire, largement parasité par l’affaire Ripple (XRP), ne permet pas de fonder de véritables espoirs dans le domaine. Une affaire à suivre…

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Le cofondateur de l’exchange crypto Bitzlato plaide coupable de fraude à 700 millions de dollars

Anatoly Legkodymov, le cofondateur de la plateforme d’échange de cryptomonnaies Bitzlato, a plaidé coupable de fraude devant un tribunal de Brooklyn. Il était accusé d’avoir blanchi, via Bitzlato, un montant total de 700 millions de dollars.

700 millions de dollars blanchis via Bitzlato


Anatoly Legkodymov, cofondateur de l’exchange de cryptomonnaies Bitzlato, a plaidé coupable de fraude et blanchiment d’argent devant un tribunal de newyorkais. C’est ce que révèle un document rendu public par le bureau du procureur des Etats-Unis pour le district Est de New York. Il risque jusqu’à cinq ans d’emprisonnement.  L’aveu de Legkodymov, prononcé devant le juge Eric Vitaliano à Brooklyn, concerne spécifiquement l’exploitation d’une entreprise de transfert d’argent impliquée dans le transport et la transmission de fonds illicites.

Lors de son audience, Legkodymov a révélé qu’il était conscient que Bitzlato était utilisée par certains clients pour le transfert de cryptomonnaies issues d’activités illicites. Cela comprenait notamment les fonds provenant de rançongiciels associés au marché Hydra, une plateforme en ligne notoire pour la vente de drogues, le vol d’informations financières et les services de blanchiment d’argent. La plateforme Hydra a été fermé lors d’une action conjointe des forces de l’ordre américaines et allemandes en avril 2022.

La reconnaissance de culpabilité par Legkodymov a des implications significatives, non seulement pour lui mais aussi pour l’industrie des cryptomonnaies en général. Depuis son arrestation à Miami en janvier, il est détenu au Centre de détention métropolitain de Brooklyn. Âgé de 41 ans, il risque jusqu’à cinq ans de prison, bien que la date de sa condamnation n’ait pas encore été fixée.

Répercussions judiciaires et implications globales



Cet événement s’inscrit dans une série d’actions répressives des autorités américaines contre la fraude et le financement illicite dans le secteur des cryptomonnaies. D’autres figures notables du secteur, telles que Sam Bankman-Fried de FTX et Changpeng Zhao de Binance, ont également été récemment confrontées à des accusations similaires.

L’affaire Legkodymov a également attiré l’attention au niveau international. L’ambassade de Russie à Washington a demandé sa libération après la visite de l’ambassadeur Anatoly Antonov en prison. Cette demande survient dans un contexte de tensions diplomatiques, marqué par le refus russe d’autoriser une visite américaine au journaliste du Wall Street Journal, Evan Gershkovich. Ce dernier est emprisonné par la Russie depuis le mois de mars dernier.

En somme, l’affaire vient une fois encore poser la question de la régulation des exchanges et de la coopération internationale en matière de lutte contre la criminalité financière. Alors que le site web de Bitzlato a été saisi par les autorités françaises, le message est clair. Les bourses de cryptomonnaies opérant en marge de la légalité ne sont pas à l’abri.

Sources: Reuters ; Bureau du procureur des Etats-Unis

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Censure sur Bitcoin : la politique de cette pool de minage questionne

Depuis le début de l’année, le réseau Bitcoin est témoin d’un regain d’intérêt. Celui-ci a principalement été mené par l’essor des Ordinals et autres BRC-20. Cependant, cette pratique ne fait pas l’unanimité et certains membres de la communauté tentent de renverser les Ordinals.

Les accusations de non-conformité : une tromperie ?

Luke Dashjr est un développeur de Bitcoin de la première heure. Celui-ci s’est impliqué dès 2011 dans le développement du client Bitcoin Core. Il a par la suite migré vers Bitcoin Knots, un client minoritaire. En parallèle, celui-ci est également à la tête d’Ocean Mining, la 20ᵉ plus importante pool de minage de BTC.

Dans un récent thread publié sur X (Twitter) par Samourai Wallet, nous apprenons que Luke Dashjr, a affirmé que les transactions Whirlpool sont « buggées ». Ainsi, il a déclaré que Whirlpool crée des transactions non standard en raison d’une présence de 46 bytes OP_RETURN dans les transactions Whirlpool.

De son côté, Samourai Wallet réfute cette affirmation, la qualifiant de mensongère. Selon eux, la limite OP_RETURN a été fixée à 80 bytes depuis la version 0.12 de Bitcoin Core.

Pour rappel, Whirlpool est une solution de confidentialité sur Bitcoin qui utilise Coinjoin pour mixer les fonds des participants.

Comme nous l’avons abordé précédemment, Luke Dashjr dirige une version modifiée de Core appelée Knots.

Dans cette version, il a défini la limite OP_RETURN à 42 bytes. Bien qu’il soit en droit de le faire, Samourai Wallet estime qu’il est totalement erroné et mensonger de prétendre que les transactions Whirlpool sont non standard parce qu’elles ne se conforment pas aux valeurs de sa version modifiée. Effectivement, Bitcoin Core, le client majoritaire dispose d’une limite de 80 bytes sur OP_RETURN.

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Ocean Mining censure des transactions Bitcoin

Dans la suite du thread, Samourai Wallet nous apprend qu’Ocean Mining va encore plus loin. En effet, la pool a mis en place une politique de censure des transactions Whirlpool coinjoin et des transactions de notification BIP47 à partir du 6 décembre 2023.

Cette décision a été prise par les opérateurs de Ocean Mining, Jack Dorsey (le créateur de Twitter) et Luke Dashjr. Cette décision a été qualifiée comme surpassant toute action hostile précédente.

Face à cette situation, Samourai Wallet appelle les mineurs qui dirigent leur puissance de hachage vers Ocean Mining à reconsidérer leur position et à diriger leur puissance de hachage vers une autre pool. Ils estiment qu’il est important que le marché envoie un signal clair à la pool qu’il n’est pas d’accord avec leur politique de censure des transactions améliorant la confidentialité.

La dernière version de Bitcoin Knots apporte d’autres évolutions controversées. En effet, celle-ci n’accepte plus les transactions qui visent à écrire sur un Satoshi, comme le font les Ordinals. Une tentative pour tuer les Ordinals sur Bitcoin, jugé comme du spam par Luke Dashjr.

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PyratzLabs et la Blockchain Business School réinventent la formation Web3

Vous souhaitez embrasser une carrière dans le Web3 ? Découvrez l’offre de formation unique et innovante de la Blockchain Business School. L’école blockchain bouscule les codes de l’apprentissage. Elle propose à ses étudiants une expérience hybride mise en œuvre de concert avec l’incubateur PyratzLabs. La filiation des deux entités permet une immersion dans l’univers Web3 au sein des startups à la pointe du secteur.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec la Blockchain Business School.

Quand la formation rencontre l’innovation

L’intelligence artificielle et la blockchain viennent bousculer et stimuler le secteur technologique. Le besoin en formations de qualité pour éduquer les talents de demain a donc logiquement explosé. En effet, une éducation spécifique est cruciale pour favoriser l’émergence de produits innovants.

La Blockchain Business School propose justement un large choix de cursus d’excellence. Ils couvrent des domaines aussi variés que les tokens non fongibles (NFT), le développement blockchain, l’IA ou encore la finance décentralisée (DeFi). Une manière de redéfinir l’apprentissage des futurs professionnels du Web3.

Cependant, la Blockchain Business School va bien au-delà des missions habituelles d’un simple centre de formation. Elle établit un ancrage puissant dans l’écosystème de par son lien avec PyratzLabs, incubateur de start-ups Web3 leader en Europe, qui a d’ores et déjà incubé 30 projets et levé plus de 40 millions d’euros en 2022. En effet, les deux entités furent co-fondées par Bilal El Alamy, aujourd’hui président de la BBS. 

Les deux fondateurs veulent propulser la formation blockchain dispensée à la blockchain business school vers le web3

Une approche pédagogique pratique et concrète

De la symbiose entre les deux partenaires naît un environnement alliant innovation et éducation propice aux apprenants qui attendent une approche efficace de la formation. En effet, cette proximité permet une immersion dans les startups incubées chez PyratzLabs. Elle offre donc la possibilité de mettre en application les acquis théoriques.   

À la BBS, la formation est orientée vers la pratique. Ceci grâce à des ressources technologiques d’avant-garde et à une équipe pédagogique riche et dense (plus d’une centaine de professionnels !). La participation à des projets concrets permet aux étudiants d’appréhender les enjeux réels du secteur blockchain. Ce sont autant de défis qui prennent corps au contact des startups de PyratzLabs. Ainsi l’acquisition de savoirs faire est favorisée, tout en élargissant le réseau professionnel des apprenants.  

La Blockchain Business School fait rayonner le Web3 à l’international

Cette structure et ce dynamisme propulsent la Blockchain Business School au premier plan de la formation Web3, bien au-delà de la France. Ainsi, déjà forte de l’alliance avec PyratzLabs, la BBS a reçu le soutien du Collège de Paris pour étendre ses formations à plus de 42 pays. Le Collège de Paris est une communauté d’établissements d’enseignement supérieur et d’organismes de formation professionnelle. Fondé en 2011, il rend l’excellence accessible à tous grâce à son réseau d’écoles.

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Ce partenariat permet à la BBS de proposer ses formations à travers le monde. Il s’agit d’un format “à distance” qui s’affranchit des frontières et des kilomètres. La plupart des programmes sont d’ailleurs en cours de traduction pour une disponibilité effective à l’international au début de 2024.

Pyratzlabs est l’un des principaux incubateurs européens

Une présence sur la scène internationale incarnée par Bilal El Alamy. En effet, à l’occasion de “l’European Blockchain Convention“, le fondateur de PyratzLabs a participé à l’évaluation de startups spécialisées dans le secteur Web3 en tant que juré. Certaines de ces jeunes pousses, telles que Defit et Billy, étaient d’ailleurs issues de son propre incubateur.

Une formation sur mesure pour les entrepreneurs

Vous l’avez compris, le lien étroit entre l’école et les startups de l’incubateur forme un terreau fertile pour les projets novateurs des étudiants. Certains, à l’image de l’agence marketing Web3 Wuildo, ont pu concrétiser leur idée grâce à cette synergie singulière. Au point de départ du projet, on retrouve la formation « The Original », dispensée par la Blockchain Business School. 

Elle est née du constat que les écueils rencontrés par les startups étaient principalement dus à un manque de communication et de compréhension entre les équipes produit et les équipes techniques. Afin de répondre à cette problématique, la formation « The Original » se développe sur deux axes prenant corps dans deux modules.

D’un côté, «Tech Lead Blockchain», de l’autre « Product Manager ». Les apprenants peuvent accéder à ces programmes après avoir acquis de solides bases de connaissances essentielles sur l’écosystème Web3 lors d’un tronc commun apportant des réponses aux écueils constatés sur le terrain.

Cela permet aux différents profils de découvrir les domaines de compétence qu’ils connaissent moins et ainsi de recréer du lien et une synergie entre les équipes. À l’issue du programme, les apprenants peuvent incorporer le Web3 dans leur vie professionnelle, au sein de leur entreprise ou lancer un projet entrepreneurial. 

Vous l’avez compris, suivre une formation à la BBS c’est s’engager dans une aventure hybride navigant entre acquis théoriques et explorations pratiques. L’intrication des entités éducatives et entrepreneuriales agit comme révélateur d’idées business que les étudiants pourront développer au sein de l’incubateur PyratzLabs. Si ce tour d’horizon vous a convaincu de franchir le pas et de tenter l’aventure d’une formation d’excellence dans le domaine de la blockchain et du Web3, ne tardez pas à prendre rendez-vous avec un membre de l’équipe pédagogique. Vous obtiendrez de nombreux renseignements qui vous permettront d’affiner votre projet professionnel et de prendre connaissance des différentes modalités de financement. Pourquoi attendre ?

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Le PDG de JP Morgan veut « fermer » le Bitcoin et les cryptomonnaies

Sans commentaire. Déjà hier, il était question du retour en force des haters de la crypto comme signal encouragent pour un nouveau départ en marché haussier. Et comme pour confirmer cette tendance, le PDG de JP Morgan en personne vient de réactiver violemment cet indicateur. Un homme connu pour ses positions assez tranchées sur le sujet, alors même que sa banque tente de s’imposer comme un nouvel acteur de cette économie numérique. Et comme la mauvaise foi ne s’encombre pas d’essayer de comprendre, il annonce son souhait de « fermer » le secteur des cryptomonnaies. Bien sûr…

Cachez cette cryptomonnaie que je ne saurais voir

Comment est-il encore possible de sortir des affirmations pareilles en 2023 ? En particulier de la part du patron du groupe JP Morgan, en tête des expérimentations crypto à vocations bancaires avec, par exemple, le lancement de son stablecoin natif JPM Coin effectué depuis 2019.

En effet, Jamie Dimon s’est une nouvelle fois illustré dans le domaine. Cela lors d’une rencontre avec le comité sénatorial américain des banques, du logement et des affaires urbaines qui a visiblement mal tourné. Et, c’est suite à une question de la sénatrice Elizabeth Warren qu’il s’est emporté sur le sujet. Le contexte : son opinion sur la capacité des cryptomonnaies à attirer les mauvais acteurs.

Jamie Dimon, éternel ennemi des cryptomonnaies

« J’ai toujours été profondément opposé aux cryptomonnaies, au Bitcoin, etc. (…) Les seuls véritables cas d’utilisation sont ceux des criminels, des trafiquants de drogue, du blanchiment d’argent et de l’évasion fiscale. (…) Si j’étais le gouvernement, je fermerais tout ça. »

Jamie Dimon

Il y a plein de choses qu’il faudrait fermer, ou en tout cas réfléchir avant d’ouvrir. Et ce ne sera certainement pas le secteur des cryptomonnaies, basé sur un principe de décentralisation qui lui offre une existence propre hors de ce genre de considérations d’un autre temps.

D’autant plus que son utilisation pour des activités criminelles est régulièrement démontrée comme anecdotique – ou en tout cas largement exagérée – par les rapports successifs de Chainalysis. Mais visiblement, peu importe…

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JP Morgan devrait s’occuper de ses casseroles

Une affirmation d’autant plus exaspérante que la banque JP Morgan est très (très) loin d’être irréprochable dans le domaine. En effet, les commentaires sur le réseau X n’ont pas manqué de souligner son implication dans de nombreux dossiers de fraudes avérées.

Un palmarès où elle figurerait d’ailleurs en seconde position, avec 39,3 milliards de dollars d’amendes payés depuis l’an 2000, pour 272 violations confirmées. Dont 38 milliards de dollars ont été réglés sous la direction de Jamie Dimon, en poste depuis 2005

« Tu parles d’un putain d’hypocrite ! Qui est le criminel Jamie Dimon ? Permettez-moi de vous poser une question : au cours des 5 dernières années, lorsque JP Morgan a été condamné à une AMENDE de plus de TRENTE-CINQ MILLIARDS DE DOLLARS (35 000 000 000 $) pour activités illicites et frauduleuses, l’un de vos employés a-t-il utilisé du Bitcoin ou des cryptomonnaies ? »

John E Deaton

À quoi peut bien jouer Jamie Dimon ? Car sa banque tente actuellement de se faire une place dans un écosystème crypto réputé hostile au système bancaire. Comme par exemple avec l’émergence du principe de tokenisation, en train de bouleverser son secteur. Il faudrait peut-être lui appliquer le même régime qu’à Changpeng Zhao (CZ), version finance traditionnelle…

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