La Chine s’apprête à lancer sa propre place de marché NFT

La Chine s’apprête à lancer sa première marketplace nationale consacrée aux jetons non fongibles (NFT). Le lancement devrait intervenir le 1er janvier 2023 lors d’un événement physique dans la capitale chinoise. Une nouvelle volte-face du gouvernement chinois vis-à-vis de la blockchain ? Une marketplace nationale chinoise 100% NFT   Cette marketplace sera détenue à 100% par la Chine et elle sera construite à partir de la technologie blockchain nationale dénommée China Cultural Protection Chain. La gestion de la marketplace sera assurée conjointement par plusieurs entreprises chinoises, dont notamment China Daily, Huban Digital, China Technology Exchange ou encore Art Exhibitions China. […]

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La Chine s’apprête à lancer sa place de marché nationale dédiée aux NFT

Dans son élan de transition technologique et de modernisation, la Chine s’apprête à déployer sa propre plateforme dédiée aux tokens non fongibles (NFT). Bien que les cryptomonnaies et le minage de ces dernières demeurent interdits sur le territoire chinois, le gouvernement continue de percevoir un grand intérêt dans l’univers des NFT et du metaverse.

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Des NFT pour mettre en valeur le patrimoine artistique : le pari fou de l’Italie

La dolce vita entre les Italiens et les NFT – Les tokens non fongibles (NFT) sont un des phénomènes les plus marquants de cette année 2022 qui s’achève, malgré une baisse drastique des volumes et des prix. Avec des cas d’usage qui se multiplient et qui dépassent largement les simples collections d’images, le secteur se développe en profondeur. L’Italie est, à elle seule, un condensé des possibilités de cette nouvelle technologie portée par trois domaines distincts : la mode et le prêt-à-porter, les créateurs modernes d’art numérique et les monuments historiques. Andiamo a Roma !

Les créateurs transalpins s’emparent des NFT pour une « Crypto Renaissance »

C’est le grand spécialiste des études de marché basé à Dublin qui le dit : le secteur des NFT en Italie a grossi de 47,6 % cette année. Research and Market dirige des études pour toutes les branches de l’économie et ses équipes viennent de publier un rapport intitulé « Italy NFT Market Intelligence and Future Growth Dynamics Databook ». Dans cette étude approfondie du secteur des NFT chez nos voisins transalpins, on y apprend que les NFT ont généré 671 millions de dollars cette année, et qu’ils pourraient atteindre 3,6 milliards de dollars d’ici 2028.

Et pour comprendre quelles formes a pris cet engouement, intéressons-nous tout d’abord à cette plateforme originale développée pour favoriser la commercialisation d’œuvres d’art numériques nationales et nommée « The Crypto Renaissance ». L’idée était de promouvoir la création locale, et les résultats ont largement dépassé les attentes.

Le clin d’œil à une des périodes les plus prolifiques de l’art italien a permis au projet de se faire connaître et à ses artistes de profiter de la notoriété du pays concernant ce courant artistique majeur. D’ailleurs, les NFT ont également réussi l’exploit de connecter l’art du XXIᵉ siècle et celui des siècles passés. Voici comment !

Les monuments historiques entrent dans le métavers avec Monuverse – Source : Twitter

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Le patrimoine historique valorisé par le Web3 et les NFT

À première vue, il est difficile de lier Web3 et Beaux-Arts. Et pourtant, un projet italien l’a fait : le Monuverse. Vous l’aurez compris. Il s’agit d’un néologisme alliant monuments historiques et métavers. Plus en détail, il s’agit d’un savant mélange de technologie blockchain, d’images 3D et d’art génératif qui permet de transformer des monuments nationaux en œuvres d’art numériques.

Le premier essai a concerné l’Arco della Pace – l’Arc de la Paix – à Milan qui a été tokénisé en 7 777 NFT. Pour les propriétaires, il s’agit de posséder une œuvre d’art numérique originale, mais aussi une partie de ce monument historique, chef-d’œuvre architectural du début du XIXᵉ siècle. Vendre des NFT pour satisfaire la curiosité des collectionneurs et attirer un public plus jeune, tout en récoltant de l’argent pour la préservation du patrimoine national : c’est l’idée lumineuse de ce collectif qui participe à l’adoption générale des NFT dans le pays.

Les marques de luxe se lancent dans le metaverse

Et pour terminer ce tour d’horizon italien des usages de NFT, comment ne pas citer les grandes marques de haute couture et de prêt-à-porter du pays qui ont été pionnières du phénomène ? Diesel, Gucci et Dolce & Gabbana ont embrassé le Web3 avec succès. À mi-chemin entre le virtuel et la réalité, ces marques ont su tirer le meilleur parti de la technologie NFT.

Dolce & Gabbana adore le Web3 et le métavers – Source : Twitter

Que ce soit pour habiller vos avatars avec élégance dans le métavers ou donner accès à des évènements privés dans la vie réelle, les NFT permettent aux marques de fédérer leur communauté autour d’objets numériques limités. Entre marketing génial et avancées technologiques, Dolce & Gabbana a ainsi généré 25,6 millions de dollars de revenus grâce à ses NFT, quand Gucci en a gagné 11,5.

On pourrait ajouter pour terminer que plusieurs exchanges, comme Binance, Coinbase ou encore Gemini, ont posé leurs valises cette année en Italie, ce qui montre l’intérêt de l’industrie pour ce pays qui, manifestement, le lui rend bien. Face à cette envolée des revenus liés aux NFT dans le pays, il reste maintenant à savoir comment réagira l’administration fiscale en 2023.

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Le Chiliz (CHZ) dans une spirale baissière, va-t-il s’en sortir ?

Dans cette nouvelle pépite crypto du mercredi, la dernière de cette année 2022, nous allons nous intéresser au CHZ, la cryptomonnaie principale de l’application Socios.com. Dans le contexte actuel, il s’avère complexe pour un altcoin de s’affranchir de toutes ses résistances alors que l’ensemble du marché évolue à la baisse. Pour le CHZ, nombreux étaient les investisseurs qui misaient sur la coupe du monde pour reprise à la hausse de l’actif. Cependant, cet événement international n’a eu aucune influence sur le cours. Ainsi, quelle est la situation de l’actif à l’heure actuelle ? Sans plus attendre, dirigeons-nous sur TradingView pour analyser cette cryptomonnaie.

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CHZ se dirige vers un niveau clé

Cours de CHZ face au dollar à l’échelle hebdomadaire

Tout d’abord, nous pouvons prendre du recul sur l’actif avec l’échelle hebdomadaire qui nous permet de comprendre l’évolution du cours durant l’année 2022. En premier lieu, nous pouvons constater le rejet de CHZ durant plusieurs mois sur une résistance à 0,284 dollar. Ce fut le cas une nouvelle fois à la fin du mois d’octobre avant d’enclencher une nouvelle jambe baissière en perdant un niveau clé à 0,164 dollar et 0,134 dollar.

Désormais, nous pouvons constater la forte tendance baissière avec un actif qui se dirige tout droit vers un support se situant à 0,093/0,097 dollar. Il faudra surveiller la réaction de CHZ sur cette zone puisqu’un rebond de faible amplitude et une cassure à la baisse de cette zone démontrera la force des vendeurs sur les acheteurs. Cela ouvrira les portes à un retour du cours sur des niveaux plus faibles tels que, dans un premier temps, les 0,07 dollar.

Quant à l’espoir d’un retournement de tendance à la hausse, la situation est bien différente puisque l’actif devra s’affranchir de certains niveaux techniques. Pour espérer la mise en place d’une tendance haussière sur le moyen terme, il faudra assister à une reprise des 0,164 dollar qui sont en confluence avec le trio d’EMA. Tant que ces niveaux ne seront pas repris, les probabilités d’un retour de CHZ sur des niveaux plus importants sont relativement faibles.

La réintégration d’un ancien range est en cours ?

Cours de CHZ face au dollar à l’échelle journalière

Sur l’échelle journalière, la tendance baissière est également de mise. Depuis la perte de la MA100 ainsi que l’EMA200, l’EMA13 journalière n’a jamais été reprise sur le marché. Tentant de se maintenir au dessus des 0,133 dollar, le cours n’a pas eu beaucoup de répit et a fait face à la pression vendeuse. Désormais, le CHZ a réintégré le range dans lequel il évoluait entre mai et août 2022 avec une borne basse qui est le support identifié à l’échelle hebdomadaire et la borne haute qui est le niveau technique récemment perdu.

Venant de casser à la baisse son point bas en date d’il y a quelques jours, la tendance baissière est toujours d’actualité. L’objectif est, comme évoqué à l’échelle hebdomadaire, de surveiller la puissance du rebond si le cours vient à retrouver sa zone de support. Il est tout à fait possible d’avoir une latéralisation de l’actif durant plusieurs semaines au sein du même range, ce qui traduirait l’incertitude des investisseurs en début d’année 2023.

Tant que l’actif ne sort pas à la hausse de son range et ne récupère pas le trio d’EMA, inutile d’espérer un retour du cours à 0,164 dollar. Ainsi, pour terminer nos propos, faisons un petit tour sur la paire CHZ/BTC pour comprendre le rapport de force et la situation de l’altcoin.

CHZ est en sous-performance face à Bitcoin ?

Cours de CHZ face au dollar à l’échelle journalière

Face au roi des cryptomonnaies, la situation est similaire puisque l’actif est dans une situation de sous performance avec une forte tendance baissière depuis la seconde moitié du mois de novembre. Actuellement, le CHZ est sur une zone pivot qui était anciennement une résistance. Il faut avoir les yeux rivés sur le niveau actuel puisqu’une cassure à la baisse de celui-ci amènera le CHZ a continuer sa sous performance face à Bitcoin.

La situation est complexe puisqu’un actif dans cette situation tend à moins performer lorsque le Bitcoin évolue à la hausse et, lorsqu’il baisse, l’actif a moins de chance de tenir le coup et préserver des supports clés. Ainsi, pour espérer une reprise à la hausse de CHZ face au dollar, un rebond du cours sur le support actuel serait une bonne nouvelle.

Nous voici à la fin de cette analyse de CHZ. Comme vous pouvez le constatez, cette fin d’année 2022 se termine avec une forte tendance baissière sur différentes unités de temps. Pour espérer un retournement à la hausse, beaucoup de chemin reste à parcourir puisque l’actif devra s’affranchir d’un certain nombre de niveaux clés. Face à Bitcoin, la situation est malheureusement la même avec une sous performance du cours depuis plusieurs semaines.

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Réglementation MiCA : la régulation au cœur de 2022

MiCA, je vous déclare régulés pour le meilleur et pour le pire – L’année 2022 aura été celle du passage aux choses sérieuses concernant la régulation des cryptomonnaies. L’Europe s’est penchée très sérieusement sur le sujet, et ce, dès le début d’année avec sa réglementation controversée MiCA, pour Markets in Crypto Assets. Retour sur la bataille réglementaire du secteur crypto.

Les tumultueux débuts de la réglementation MiCA

Une interdiction du minage repoussée de justesse…

Au cours de ce début d’année 2022, le contexte de guerre entre la Russie et l’Ukraine a probablement servi de catalyseur dans les avancées de la régulation crypto. En effet, alors que l’Union européenne cherche à asphyxier la Russie à grand renfort de sanctions économiques, il y a un hic : un trou dans la raquette, comme on dit. Et celui-ci porte le nom de cryptomonnaies. Non régulées et incensurables pour nombre d’entre elles, en particulier Bitcoin, la Russie peut compter sur un allié de taille dans le cadre de ses échanges économiques. Non pas que Bitcoin soit du côté des régimes autoritaires fanatiques de la guerre, mais il est simplement du côté de personne et de tout le monde à la fois.

Il n’empêche que pour Christine Lagarde et la BCE (Banque centrale européenne), il est hors de question que le contrôle de ce secteur leur échappe encore longtemps. L’heure de la régulation a sonné pour le secteur des cryptomonnaies.

Sauf qu’à trop vouloir se précipiter, les régulateurs peu informés des tenants et aboutissants de l’écosystème peuvent commettre des impairs, voire des absurdités. Un comble pour des personnes chargées de réguler le secteur, certes, mais une triste réalité. À vouloir réguler trop sévèrement, on empêche tout simplement le développement. Ainsi, une tentative d’interdiction pure et simple du minage crypto a été repoussée fin février 2022.

En effet, sous de faux prétextes, un amendement s’était glissé dans le texte de loi. Et il aurait tout bonnement provoqué l’interdiction du Bitcoin et de toute cryptomonnaie basée sur le Proof of Work (PoW). Une aberration qui aurait bridé les startups cherchant à innover en Europe, tuant dans l’œuf toute initiative technologique. Devant le tollé provoqué par un tel amendement, la loi a été heureusement revue.

… Ou pas ? En fait, si. Ouf !

Néanmoins, les intervenants de l’écosystème crypto ne sont pas au bout de leurs surprises. Moins de deux semaines plus tard, mi-mars, l’amendement interdisant le minage refait surface au sein du texte de loi. C’est le député de Paris Pierre Person qui alerte alors l’écosystème. Les intervenants du secteur n’ont d’autre choix que d’attendre le résultat du vote des députés concernant l’adoption ou non de cette loi le 14 mars 2022. Soupire de soulagement, fin de la transpiration. L’écosystème crypto se remet à respirer. L’amendement bannissant de facto Bitcoin et Ethereum, alors encore en Proof of Work (PoW), est rejeté par 32 voix contre 24, soit un delta de 8 petites voix.

Le minage de Bitcoin sauvé de justesse de la réglementation européenne

MiCA : la fin du trilogue sur fond de chute de marché

La réglementation MiCA dans son ensemble, par contre, poursuit son cours. Tout l’enjeu consiste à trouver le bon dosage. Car loin d’être une menace, celle-ci pourrait s’avérer réellement bénéfique pour le secteur en faisant naître un cadre adapté. L’objectif est de rassurer les usagers de la blockchain, tout en permettant aux entreprises du secteur de se développer en toute liberté, sans être bridées… au risque de les voir fuir vers des pays plus ouverts d’esprit. Et pour l’Europe, ce serait la certitude d’une fuite de cerveau. Celle-ci engendrerait une perte de compétitivité dramatique dans un secteur technologique émergeant prometteur.

Établir une réglementation prend du temps. Et MiCA ne sera adopté qu’au terme d’un trilogue faisant intervenir la Commission des Affaires économiques et monétaires du Parlement européen (ECON) ainsi que la Commission européenne et enfin le Conseil de l’Europe. Ce n’est qu’au terme de ces différentes approbations que la loi sera adoptée. Les acteurs de marchés auront alors 18 mois pour se conformer à la version définitive de la réglementation MiCA.

Sur la seconde moitié du mois de juin, le texte est soumis aux négociateurs en vue d’une première validation. Plusieurs points font alors encore débat. L’inclusion ou non dans la loi des NFT (non fungible tokens) en premier lieu. Une régulation plus stricte des stablecoins ensuite, ou encore le statut des fournisseurs de service crypto. Pour pimenter le tout, la catastrophe Terra (LUNA) vient agrémenter les réflexions. Et de fait, renforcer un peu plus la conviction des différents acteurs dans la nécessité d’une régulation forte du secteur. Dans le même temps, Celsius interrompt les retraits de fonds des utilisateurs de sa plateforme, rajoutant de l’huile sur le feu. Elle se déclarera plus tard en faillite.

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MiCA : sur la route de la mise en application

MiCAvatar : la Voie du Vote

Il ne faut pas non plus se voiler la face. La réglementation du secteur crypto est le moyen idéal pour la BCE de préparer le terrain pour son e-euro. Dégager le passage pour l’arrivée prochaine de sa monnaie numérique de banque centrale (MNBC).

Le 5 octobre 2022, un document officiel nous apprend que le Conseil de l’Union européenne a validé le texte de la loi MiCA. Les deux prochaines et dernières étapes législatives de l’adoption de cette loi seront le vote de celle-ci par l’ECON. Puis, finalement, par le Parlement européen en séance plénière. Le 10 octobre, c’est chose faite pour l’ECON. Le comité valide, non seulement, le texte de la loi MiCA, mais aussi celui de TFR, la réglementation sur les transferts de fonds. C’est d’ailleurs à 28 contre 1 que les membres de la Commission ont adopté cette réglementation très stricte envers le secteur crypto.

MiCA avance inexorablement vers sa mise en application

La réglementation : une histoire de dosage

La problématique très concrète de ces réglementations anti-blanchiment, c’est leur lourdeur administrative. En tout cas, pour une industrie émergente dont les acteurs sont pour la plupart des startups disposant de peu de moyens. Ainsi, assumer la lourde charge de contrôle imposée par les réglementations MiCA et TFR leur sera tout simplement impossible, faute de moyens. Nous pouvons d’ores et déjà anticiper le résultat. La disparition pure et simple de tous ces petits acteurs pourtant innovants. Du moins, en Europe. La conséquence se traduira en une perte de compétitivité pour l’Europe, en empêchant l’émergence des géants de demain dans le secteur crypto.

Cette réglementation apporte aussi malgré tout son lot de bonnes idées dans le cadre de la protection des consommateurs. Typiquement, il devrait être interdit pour tout influenceur, après application de la loi, de promouvoir un projet crypto donné sans préciser s’il est impliqué dans celui-ci et y possède des intérêts. De fait, le lecteur sera informé du biais possible existant dans les communications de son influenceur préféré sur tel ou tel sujet. Cela pourrait éviter en particulier les manipulations de marché.

Il y a donc du bon comme du mauvais dans la réglementation. Il est primordial de faire comprendre aux régulateurs l’intérêt de laisser se développer un tel secteur pour les perspectives d’avenir économique de l’Europe.

MICA : un décalage administratif pour 2023

En novembre 2022, nous apprenons le report de la présentation du texte de loi devant le Parlement européen pour une raison pour le moins inattendue. La traduction en 24 langues de l’ensemble des 380 pages du texte prend plus de temps que prévu. En effet, la transcription des termes techniques n’est pas chose aisée. Or, il s’agit d’un impératif avant le vote. De fait, celui-ci est reporté à février 2023. Par ricochet, c’est également le texte de loi sur TFR qui devra, lui aussi, attendre son tour.

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MiCA : vers un renforcement de la réglementation ?

Le cataclysme FTX : l’épine dans le pied de la crypto

À la mi-novembre, c’est un autre désastre qui fait se resserrer l’étau réglementaire, à savoir la faillite de la plateforme FTX. Il s’agissait alors du deuxième exchange crypto en termes de capitaux déposés dessus. Une catastrophe que la régulation n’aurait pourtant probablement pas permis d’éviter. Tout d’abord, parce que FTX était une plateforme située aux Bahamas que la réglementation européenne aurait été bien incapable d’atteindre. Par ailleurs, cette affaire concerne plutôt des fautes graves de gestion associées à de la fraude. Des méfaits commis par un acteur bien précis du secteur, en l’occurrence Sam Bankman-Fried. La faute ne repose donc pas sur la technologie crypto elle-même que l’Europe cherche à réguler.

Cela n’a pas empêché fin novembre Christine Lagarde de sauter sur l’occasion pour demander dès à présent un MiCA II, alors que la première réglementation n’est même pas encore validée.

Christine Lagarde lutte de toutes ses forces pour interdire la crypto et préserver sa propre idéologie

L’aveuglement des députés européens

Par ailleurs, le secteur crypto subit depuis l’incident FTX un véritable acharnement de la part des députés. Ces derniers proposent des amendements de plus en plus meurtriers à l’égard de la croissance du secteur. En effet, l’un d’entre eux devrait rendre obligatoire l’agrément de l’Autorité des Marchés Financiers (AMF) pour les Prestataires de Services sur Actifs Numériques (PSAN). Sans celui-ci, ces entreprises seraient dans l’interdiction d’exercer leurs activités en Europe à partir d’octobre 2023.

Or, ce fameux agrément est à l’heure actuelle impossible à obtenir pour les entreprises du secteur. En effet, même le géant Binance, enregistré PSAN auprès de l’AMF, n’est pas encore parvenu à obtenir l’agrément. La raison ? Ces acteurs sont typiquement dans l’impossibilité de souscrire une assurance dans le cadre de leur activité. Pourquoi ? Simplement parce qu’ils exercent le domaine crypto. Toutefois, disposer d’une assurance est nécessaire pour prétendre à l’agrément. C’est donc le serpent qui se mord la queue et de la pure mauvaise foi de la part des députés qui semblent pour certains n’avoir qu’un seul but. Détruire ce secteur émergent qui menace le pouvoir monétaire des financiers européens.

La crypto : l’Europe doit s’en faire une alliée et non la menacer

Sauf que partout ailleurs dans le monde, cette technologie progresse et évolue, surveillée par des instances moins obtuses. L’Europe n’empêchera pas le développement de la technologie blockchain et des cryptomonnaies dans leur ensemble. Le seul risque qu’elle prend à travers ces réglementations abusives, c’est d’engranger un retard technologique considérable sur ses voisins. À l’image de l’échec d’Internet en son temps, l’Europe ne semble pas apprendre de ses erreurs passées.

Même si cette première règlementation MiCA ne devrait rentrer en application que début 2024 au plus tôt, cela présage de nombreuses difficultés de conformité pour les petits acteurs du secteur, en plus de créer une hyper-surveillance des transactions blockchains… avec la nécessité de dument s’enregistrer auprès des instances européennes, comme l’Autorité européenne des marchés financiers (ESMA).

Europe contre crypto : une bataille médiatique

En attendant, au plus profond de ce bear market, Bitcoin vient de mourir une nouvelle fois. Enfin, selon les dires de la BCE qui, il faut l’avouer, accorde bien de l’importance à une « pseudo » monnaie qu’elle juge soi-disant inutile. À grand renfort de clichés plus absurdes les uns que les autres, il s’agit d’un combat idéologique d’un monopole financier qui lutte pour ne pas perdre son contrôle sur la monnaie. Et il sera bien difficile de lui faire entendre raison, même avec la meilleure volonté du monde et des arguments en béton.

Seule une adoption massive pourra probablement faire pencher la balance. Mais celle-ci est très surement conditionnée par une régulation juste qui permette effectivement aux entreprises du secteur de se développer. D’où les enjeux cruciaux derrière l’adoption de la réglementation MiCA qui verra sans aucun doute le jour ces toutes prochaines années.

C’est une lutte sans merci entre d’un côté les instances européennes, telles que la BCE, qui veulent à tout prix bannir Bitcoin pour laisser le champ libre à un challenger entièrement sous leur contrôle : l’e-euro. Et de l’autre, la communauté crypto qui cherche par-dessus tout à développer cette technologie prometteuse. Bitcoin a échappé une première fois au ban par l’Europe au cours de ce début d’année. Espérons qu’il parvienne à l’avenir à éviter les futures attaques et puisse démontrer au plus grand nombre la force de sa proposition de valeur.

En attendant la réglementation, ne faites pas l’économie de la prudence ! Ainsi, pour conserver vos avoirs cryptographiques à l’abri, la meilleure solution est encore un wallet hardware personnel. Chez Ledger, il y en a pour tous les profils et toutes les cryptos. N’attendez pas pour mettre vos capitaux en sécurité (lien commercial) !

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Presale : Dolz.io brave le bear market et lève des fonds pour son metaverse pour adultes

Faites l’amour, pas la guerre – Et, oui, cette maxime est également valable dans le cyberespace. C’est avec cet objectif en tête que l’un des leaders de l’industrie du divertissement pour adultes, la société Totem Media, se lance dans l’aventure Web3 avec des projets et des propositions concrètes. Vous prendrez bien un peu de rose dans votre bear-market ?

Cet article promotionnel vous est proposé en collaboration avec Totem Media.

Une industrie en croissance constante

Il ne surprendra personne de lire que l’industrie du divertissement, notamment pour adultes, est en pleine expansion. Le chiffre d’affaires du secteur dépasse les 15 milliards de dollars. Et cette croissance rapide nécessite, pour durer, de trouver des pistes d’innovations et d’améliorations qui bénéficient aux clients et collectionneurs de contenu.

C’est donc avec un certain naturel que cette même industrie trouve à s’intéresser au Web3. L’objectif de DOLZ.io consiste à fédérer la communauté des utilisateurs des produits et applications Totem Media via la création d’un véritable écosystème couplant une monnaie numérique, le jeton $DOLZ, avec des plateformes et projets NFT.

DOLZ – Un projet pour unir plusieurs univers

A ce stade, vous vous interrogez sans doute doute encore sur l’articulation que prendra le projet.

Premièrement, DOLZ.io constituera une marketplace permettant aux utilisateurs de l’application iStripper (jeu de strip-tease dans lequel il est possible de collectionner les vidéos de shows de danse) d’échanger leurs cartes à collectionner. Ainsi, l’achat d’un NFT vous donnera accès à la vidéo associée et vous pourrez l’échanger avec d’autres utilisateurs si vous vous réveillez un matin en quête de nouveautés.

Vous connaissiez Sorare ? iStripper fonctionne sur le même principe. Les cartes à collectionner sont simplement de nature… différente.

DOLZ se base ici sur des faits : cette marketplace était demandée depuis longtemps par leurs utilisateurs et, quoi de mieux pour leur répondre que la création d’un jeu de cartes à collectionner via des NFT ?

Deuxièmement, les utilisateurs de DOLZ pourront également collectionner et jouer avec des objets destinés au jeu VRParadise, déjà disponible sur Steam depuis 2018 et qui affiche la bagatelle de 100 000 joueurs ainsi que des avis très positifs :

Contrairement à de nombreux projets qui cherchent à surfer sur la vague du Web3/NFT et qui peinent à se baser sur des éléments tangibles, les équipes de Totem Media ont déjà développés des produits fonctionnels et qui sont utilisés par des centaines de milliers de personnes.

Le jeton $DOLZ sera donc au coeur de l’écosystème que souhaite construire Totem-Media. Il servira pour tous les achats et échanges de NFT mais il donnera également à ses détenteurs un droit de vote. La communauté sera ainsi amenée à s’exprimer sur les prochaines améliorations qui seront apportées à leurs applications favorites.

Participez à la presale et gagnez des NFT exclusifs

La presale du jeton $DOLZ est toujours en cours et se terminera le 4 Janvier. S’ensuivra un listing du token sur les plateformes Uniswap et Quickswap.
Chacun des investisseurs qui auront participés à la phase 2 (la première ayant été couronnée de succès) de la presale obtiendront automatiquement un NFT pour iStripper et un autre pour VRParadise.

>> Participez à la levée de fonds de Dolz.io et testez le futur du metaverse pour adultes <<

Pour rappel quant aux conditions de cette presale, évidemment réservée au public majeur :
– les jetons sont mis en vente pour cette deuxième phase au prix de 0,012$/DOLZ
– le montant d’investissement minimum est de 100$

A l’heure où nous écrivons ces lignes, ce sont plus de 771 000$ qui ont été récoltés dans le cadre de ce lancement.

Le metavers, c’est aussi pour les adultes

Une fois vos tokens DOLZ en poche, vous pourrez profiter de la plateforme DOLZ.io pour débuter votre aventure dans le metavers en :

Collectionnant des cartes, plus ou moins rares ; Débloquant des shows privés ;Acheter et gérer votre clubs (on vous voit les joueurs de Yakuza) ; Personnaliser vos personnages

Totem Media annonce également la mise en place d’un système de Play2Earn et de Watch2Earn qui, vous en conviendrez, sont deux innovations qui se trouvent être particulièrement adaptées au milieu du divertissement.

Si vous souhaitez suivre l’avancée du projet et les annonces faites par l’équipe, vous retrouverez l’ensemble de leurs contacts via leur page linktree.

Un musée virtuel, des cartes à collectionner, des NFT avec niveaux de rareté, une proposition concrète de jeu VR : que l’on soit amateur ou simplement curieux, force est de constater le sérieux de la proposition faite par Totem Media avec DOLZ.io : et si vous aidiez le projet à poursuivre sur cette lancée, et pourquoi pas à se frayer une place de choix au sein du Web3 ?

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