Spotify teste l’intégration des portefeuilles Web3 !

La plateforme Spotify met un peu plus les pieds dans le web3 avec le lancement d’une collaboration avec plusieurs plateformes. Ce projet pilote qui doit durer plusieurs semaines doit permettre aux utilisateurs des dites plateformes d’accéder à du contenu exclusif de Spotify ! Spotify continue d’explorer les pistes du web3 ! Hier, la plateforme Overlord annonçait via Twitter avoir conclu un partenariat avec Spotify. Par le biais de ce partenariat, la playlist communautaire Overlord est maintenant accessible depuis les portefeuilles web3 des utilisateurs qui détiennent des NFT Creepz sur la plateforme Spotify. Overlord x @Spotify 🎶 We’ve been selected as […]

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NFT : le fondateur de Blur révèle enfin son vrai visage

Le masque tombe pour Blur – Blur est la nouvelle plateforme de vente de NFT dont tout le monde parle depuis quelques mois et qui est venue détrôner OpenSea comme numéro 1 du marché. Alors forcément, sur les réseaux sociaux, on s’est demandé qui était derrière le projet, et les enquêteurs en herbe ont finalement presque réussi à le démasquer. Mais c’est Tieshun Roquerre, alias Pacman, qui aura le dernier mot, et qui lèvera lui-même le voile sur un secret plus vraiment bien gardé. Il est bien le co-fondateur de Blur. Il a 24 ans et il est Américain. Fin du suspens et gros buzz autour de la nouvelle.

Tieshun Roquerre, 24 ans : co-fondateur de la plateforme Blur

Le petit monde des NFT a donc eu sa réponse à propos du fondateur de Blur. Il s’appelle Tieshun Roquerre. Il a 24 ans et il a déjà une vie bien remplie pour son âge. En effet, après avoir travaillé pour le site de commerce en ligne Teespring, il a décidé d’abandonner ses études au lycée pour se lancer dans la vie professionnelle. Le jeune entrepreneur a ensuite co-fondé StrongIntro, en passant par Y Combinator, le spécialiste du financement des start-ups.

Suite à ces expériences, il repasse par la case école et effectue un séjour de deux ans au Massachusetts Institute of Technology (MIT). Il laisse à nouveau tomber pour fonder une entreprise autour de la crypto, nommée Namebase, pour laquelle il lèvera 5 millions de dollars. Tieshun Roquerre finira par revendre sa société à Namecheap après 3 ans de fonctionnement pour construire Blur, la fameuse plateforme de NFT. Voici à quoi il ressemble en vrai, si vous ne l’avez pas encore vu sur les réseaux sociaux.

Tieshun Roquerre révèle son identité malgré lui – Source : Twitter

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Adieu l’anonymat après le succès de sa plateforme de NFT

Il a finalement décidé de révéler son identité après que des fans aient presque découvert la vérité. En effet, certains ont trouvé des liens troublants entre l’ancien fondateur de Namebase et celui de Blur. Même fonds d’investissement et surtout même habitude de liker les messages des uns et des autres. Le premier intéressé a tenu à donner quelques explications sur la situation :

« Pendant que nous construisions Blur, j’ai apprécié l’intimité d’être sous pseudo. Je faisais souvent du doxx lors d’appels privés pour établir la confiance ou si les sensations étaient bonnes. À ce stade, Pacman est synonyme de ma propre identité, et le nom est beaucoup plus facile à prononcer que mon nom réel. Je continuerai à m’appeler Pacman et à utiliser mon VTuber pour les appels. »

Vue la popularité de sa plateforme, il devenait effectivement compliqué de rester anonyme. Il a donc préféré se doxxer. Encore un énième anglicisme auquel il faudra se faire. Cela signifie révéler l’identité de quelqu’un contre son grès, ou la sienne dans l’exemple qui nous concerne aujourd’hui.

Entre le succès de Blur, mais aussi celui du airdrop organisé autour de la plateforme, Tieshun Roquerre devient la nouvelle coqueluche d’internet. Il faut dire qu’autant de réussite à son âge force évidemment le respect. Reste à voir combien de temps Blur restera à la première place dans un écosystème en mutation permanente. Qui aurait dit, en effet, il y a encore quelques semaines, que des NFT feraient leur apparition sur Litecoin ?

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Les cartes à collectionner Top Shot NFT de la NBA bientôt régulées aux États-Unis?

Les populaires cartes à collectionner NFT Top Shot de la NBA pourraient être considérées comme des valeurs mobilières et être réglementée aux États-Unis, après qu’un juge a autorisé la poursuite d’un procès contre le créateur de Top Shot….
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Spotify teste l’intégration des NFTs et des portefeuilles Web3

Quelques mois après le début de l’intégration des tokens non fongibles (NFT) sur sa plateforme, Spotify fait un pas de plus dans le Web3. Le géant du streaming musical a annoncé un partenariat avec plusieurs collections de NFTs pour permettre aux détenteurs d’accéder à des playlists spéciales.

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Le Titanic tokénisé sous la forme de NFT : les artefacts de l’épave disponibles sur le marché NFT

Les artefacts physiques récupérés dans l’épave du Titanic seront convertis en NFT et partagés avec le monde entier grâce à un nouveau partenariat tripartite.

Cette collaboration implique la société RMS Titanic (RMST), qui détient les droits de sauvetage exclusifs sur l’épave et le site de l’épave du Titanic, la société Venture Smart Financial Holdings basée à Hong Kong et la société Web3 Artifact Labs….
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Les magasins Solana aux USA baissent le rideau

Un ancrage dans le réel qui fait un flop – Solana Spaces, une initiative lancée l’été dernier avec l’ouverture de véritables magasins aux USA. L’un à New York, l’autre à Miami. Un test grandeur nature pour attirer le grand public dans ce nouveau monde de l’économie virtuelle. Et qui se transforme en échec réel. Tous les détails.

Solana, ses boutiques web0 dépassées par celles du web3

Liquidation totale, fermeture des portes pour les magasins Solana, ouverts quelques mois plus tôt aux US. Ces derniers n’ont pas attiré le public, du moins pas dans les proportions espérées à l’ouverture. Le fondateur de Solana Spaces, Vibhu Norby, souhaitait pourtant au départ rallier ainsi 100 000 nouveaux clients par mois sur la blockchain. Seuls 75 000 ont franchi les portes au cours de ces 7 derniers mois. De fait, fin février, ces Solana Spaces fermeront boutique, selon un dernier communiqué.

Le fondateur de Solana Spaces annonce le fermeture de ses magasins

« Nous prenons la difficile décision de fermer nos boutiques à New York et Miami d’ici la fin février, et de concentrer nos efforts sur nos produits numériques comme DRiP, notre produit NFT gratuit avec plus de 100 000 adhésions. »

Vibhu Norby, fondateur de Solana Spaces

Difficile en effet de conserver une tactique inefficiente quand, à côté de cela, une autre fait un véritable carton. Et c’est le cas des produits issus de la plateforme NFT DRiP de Solana.

« Alors que nos magasins attirent entre 500 et 1000 personnes par semaine, DRiP attire quant à lui la même quantité chaque jour. »

Aperçu du magasin Solana Spaces à New York – Source : Solana Spaces

Malgré le merchandising, les collaborations avec d’autres projets de l’écosystème et les multiples évènements organisés dans le monde réel, la mayonnaise Solana ne prend pas. Contrairement aux initiatives numériques comme DRiP.

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Avec DRiP, les NFT ont encore plus la cote

La plateforme DRiP, place forte des NFT Solana, propose via une simple inscription de récolter toutes sortes de NFT d’artistes. Et ce, sans débourser le moindre SOL, le token de la blockchain. En effet, il suffit de connecter son wallet Phantom et de vérifier son compte Twitter pour recevoir ensuite de manière régulière de multiples airdrops de NFT et autres récompenses.

DRiP, une plateforme NFT qui attire les collectionneurs en masse sur la blockchain Solana

« Nous continuerons de supporter toutes les initiatives IRL (in real life) partout dans le monde, en rendant open source le logiciel utilisé pour les Spaces ainsi que la marque, et nous espérons que d’autres prendront la suite après nous. »

Une ultime semaine d’activité, donc pour ces magasins qui vont peut-être faire quelques derniers heureux. Vibhu Norby a en effet, spécifiquement demandé à ses équipes d’être très généreux avec les clients en termes de merchandising. L’exemple de Solana Space montre bien qu’il y a encore un long chemin avant que cette technologie s’implante de manière globale dans notre société. Ces mots blockchain et crypto restent encore très obscurs pour nombre d’individus.

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Tamadoge lance son 3ème jeu « To The Moon »

Après le succès fulgurant de ses 2 premiers jeux d’arcade, Tamadoge publie un 3ème opus intitulé To The Moon. Tamadoge To The Moon To The Moon propose aux joueurs un nouveau gameplay. Ici, il ne s’agira non pas d’aller à l’horizontale, mais bien à la verticale, jusqu’à atteindre la Lune. Le jeu possède, au même titre que ses 2 prédécesseurs, son propre leaderboard en play to earn. Dans To The Moon, le NFT Tamadoge des joueurs rebondit sur un pogostick afin d’aller le plus haut possible. Les joueurs peuvent tenter d’atteindre le sommet du leaderboard en évitant les obstacles, comme […]

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Un procès contre les créateurs des NBA Top Shots ?

Dans une nouvelle illustration de l’offensive de l’État américain contre l’industrie des cryptomonnaies, un juge fédéral a confirmé mercredi que les NFT NBA Top Shot de Dapper Labs pourraient être des valeurs mobilières. Le juge Victor Marrero a en effet rejeté une demande de Dapper Labs et de son PDG Roham Gharegozlou qui requérait l’annulation d’un procès accusant la société de vendre des titres non enregistrés sous la forme de ses “Moments”, des NFT pour les fans de basketball. Le juge n’exclut pas que les NFT NBA Top Shots soient des valeurs mobilières Rappelons que l’avocat de Dappers avait argué […]

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NFT : les jetons non fongibles entrent au Sénat français

La France va-t-elle combler son retard ? – La France qui deviendrait une « crypto-nation » n’est encore qu’à l’étape de projet, d’ébauche. Bien que des fleurons de l’industrie comme Ledger soient français, le paysage cryptographique tricolore reste encore pauvre. Tous les services et les choix permis par ces nouveaux protocoles reposent sur une rupture technologique et de fait, le régulateur doit s’adapter. Il doit encadrer ce nouveau marché encore peu connu, sans pour autant en condamner les débouchés en termes d’économie et d’emploi. Les NFT, classe d’actifs numériques à part entière, font aussi l’objet de l’attention parlementaire.

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Le Sénat cherche encore sa roadmap législative

Les NFT représentent l’un des cas « pas évident » à trancher lorsqu’il s’agit de les définir en tant qu’actifs (principalement en fonction de son utilité) numériques. Ces jetons non fongibles, le plus souvent à vocation artistique, peuvent entraîner un casse-tête pour les régulateurs. Pour l’instant, ces derniers sont logés à la même enseigne que les autres actifs cryptos, à savoir que la flat tax s’applique dès qu’il y a une transaction crypto vers fiat.

Un passage de la loi que le député Pierre Person souhaitait faire évoluer grâce à un amendement apporté dans la loi de finances 2022. Très actif sur les sujets cryptos, Pierre Person voulait définir un cadre taillé sur mesure et taxant les NFT pour ce qu’ils représentent concrètement : une œuvre d’art, un certificat de propriété sur un bien physique ou numérique, un titre de créances, etc.

Le compte twitter @cryptoavocat est spécialisé dans les questions légales concernant les cryptomonnaies.

Cet amendement est finalement passé à l’as, mais semble de nouveau revenir sur le devant de la scène. Cette fois il est porté par la Sénatrice Colette Mélot (Les Indépendants). L’idée est là encore de définir une fiscalité spécifique aux NFT. Cela pourrait donc modifier l’imposition de ceux-ci, alors qu’elle ne se déclenchait qu’après un échange NFT vers fiat, comme pour tous les autres crypto-actifs.

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