Selon une étude, les échanges de NFT ont atteint près de 18 milliards de dollars l’an dernier

Les jetons non fongibles (NFT) ont été l’un des sujets les plus chauds en 2021, et une nouvelle étude du tracker industriel NonFungible.com démontre comment les traders NFT ont tiré profit de cette tendance. Selon les chercheurs de cette étude, le volume d’échange combiné des NFT pour l’année a atteint près de 18 milliards de […]

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Clap de fin pour Bitcoin ? MiCA, l’article de la discorde

Alors que le vote de la loi Mica initialement prévu le 28 février avait été repoussé au grand damn de Christine Lagarde. Il s’avère que la loi traitant de la question de la régulation des blockchains Proof-of-Work va être votée ce lundi par le parlement européen agrémenté d’une surprise dont nous aurions bien pu nous passer…

Un répit, qui fut de courte durée…

En effet, mardi 8 mars, nous vous informions que le cryptominage visant à sécuriser des réseaux tels que Bitcoin et Ethereum avaient été retirés de la version finale de la loi MiCA. Malheureusement, le soulagement n’a été que de courte durée et c’est le député de Paris Pierre Person, qui a tiré la sonnette d’alarme.

Ce dernier a publié un thread Twitter dans lequel il informe ses followers que la mention concernant le bannissement du minage crypto en PoW (Preuve de Travail) a été de nouveau ajoutée à la loi, qui sera votée ce lundi. Une mauvaise nouvelle n’arrivant jamais seule, à cela s’ajoute une régulation dure des NFT et de la DeFi.

Source : Twitter

« (1/9) Le règlement MiCa sera voté lundi prochain. En l’état, il condamne définitivement l’avenir des crypto-actifs en Europe. En interdisant le Bitcoin et l’Ether, en compliquant l’utilisation des NFT et de la DeFi, le Parlement européen hypothèque notre souveraineté monétaire et financière. »

Tweet de Pierre Person

La question écologique est évidemment le prétexte, qui a été avancé pour interdire le Bitcoin et Ethereum, qui tombent chacun sous le coup de la loi de par leur nature (Le proof-of-work). Par conséquent, si de telles mesures venaient à être validées, il ne serait potentiellement plus possible d’acheter et de vendre ces deux cryptomonnaies sur le territoire européen.

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L’Europe prompte à tuer l’innovation sur son continent

Car évidemment, plutôt que de constater qu’une nouvelle technologie émerge et essayer de comprendre quelle pourrait être son application dans le quotidien de ses citoyens, tout en allant au contact des entrepreneurs, qui cherchent un moyen de rendre le cryptominage écologique, plus durable et utile.

Bien que le minage de cryptomonnaies soit très marginal dans l’espace européen. Le vote d’une loi bannissant l’usage d’énergie fossile aurait probablement été pertinent, mais cela semble passer largement au-dessus des législateurs européens.

Nos dirigeants préfèrent ainsi légiférer contre un secteur en expansion. Puis, ils feindront l’étonnement lorsque des géants étrangers seront en situation de quasi-monopole pour enfin geindre sur des plateaux de télévision dans une logorrhée de mots vidés de leur substance, n’ayant plus à la bouche que «souveraineté économique», car l’Europe sera encore aux fraises, comme cela fût le cas pour internet. Surtout, ne changeons rien, continuons comme ça et espérons que nos dirigeants seront plus clairvoyants dans 40 ans, quand ils auront tué toute notion d’innovation sur le continent.

Une Europe qui préfère utiliser les services des autres pays

En ce qui concerne les NFT, le texte prévoit que ceux qui ne seront pas listés sur un exchange, ne seront pas considérés comme des crypto-actifs. Tout le reste sera considéré de la même manière qu’un actif par les autorités de marché. Ce qui sera également le cas pour les protocoles DeFi.

Alors que les États-Unis ont récemment signé une loi appelant le pays à adopter ce nouvel écosystème., certains eurodéputés pensent qu’aller contre un mouvement tel que celui qu’est en train de créer la cryptosphère et faire l’inverse de ce que l’une des plus grandes puissances mondiales est en train de faire est «la bonne solution»…

Comme l’a très bien résumé Pierre Person :

« (9/9) Une fois de plus, nous allons à l’encontre de l’Histoire. Encore une fois, on laisse des opportunités aux autres tout en se vantant d’avoir une bonne régulation. Si ce texte est adopté tel quel, nous en paierons le prix en termes de compétitivité et d’intérêt des citoyens européens. »

Cependant, tout n’est pas perdu. Demeure en effet quelques zones de flou sur le texte qui sera présenté aujourd’hui. En effet, nous ne savons pas encore s’il s’agit d’une alternative de l’article 2a, qui a été ajouté ou s’il s’agit bien d’une modification de cette dernier. De nombreux acteurs du secteurs se sont exprimés sur le sujet MiCA, notamment ceux qui sont le plus à même de s’exprimer sur le sujet, ceux qui créent de la valeur : les entrepreneurs. Quoi qu’il en soit, ce lundi s’annonce mouvementé.

Bulletin d’alerte météo. La tempête MiCA est annoncée pour ce lundi et risque de provoquer des remous sur les marchés. Dans ces périodes d’incertitude, il est INDISPENSABLE de faire travailler vos stablecoins en toute sécurité. Gagnez des intérêts avec vos USDC sur Kucoin Lending (lien affilié). 

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Guerre en Ukraine : ce que les dons en bitcoins et crypto ont vraiment permis d’acheter

«La première victime d’une guerre, c’est la vérité»Cette citation de Rudyard Kipling résonne une nouvelle fois dans nos têtes en ces temps de conflit où il est compliqué de rester objectif face aux images venant d’Ukraine. C’est pourquoi nous allons traiter uniquement l’information sur son versant crypto et faire le point sur les dernières déclarations d’Alex Bornyakov. Le vice-ministre ukrainien de la transformation numérique – et de facto porte-parole de tout ce qui touche aux cryptomonnaies – a déclaré avoir reçu près de 100 millions de dollars suite à son appel aux dons lancé le 26 mars dernier. Dans une volonté affichée de transparence, il a tenu à détailler l’ensemble des achats effectués avec cette somme. On vous dit tout.

Une collecte en crypto unique en son genre

Suite au déclenchement des hostilités par l’armée russe le 24 février, le gouvernement ukrainien a lancé un appel aux dons en cryptos. D’abord en bitcoins et en ethereum, les dons se sont accumulés en provenance du monde entier. Le polkadot (DOT), puis le dogecoin (DOGE) se sont ensuite rajoutés, puis même des NFT ont été envoyés. La communauté crypto internationale aura finalement répondu à l’appel puisque ce sont pas moins de 100 millions de dollars qui sont récoltés.

Le vice-ministre a tenu à remercier les donateurs en ces termes :

«Un grand merci à tous ceux qui ont fait un don au Fond Crypto pour l’Ukraine. Chaque casque et gilet achetés via les dons en cryptomonnaie sauve actuellement la vie de soldats ukrainiens.»

La bourse de cryptomonnaie ukrainienne Kuna a également participé à l’opération – dans le cadre d’un partenariat public-privé – en mettant en place les adresses cryptos pour la réception des dons. Enfin, plusieurs ministères et haut dignitaires du pouvoir ont été impliqués pour mener à bien la collecte et l’utilisation des fonds. Mykhailo Fedorov – le ministre de la transformation numérique – a ainsi précisé :

«Certains des fournisseurs militaires ont des comptes en crypto. En fait, certains d’entre eux ont des sociétés et des comptes bancaires dans des juridictions où les cryptos sont autorisés (…) C’est plus facile, plus transparent et plus rapide par rapport à une transaction SWIFT, qui peut prendre plus d’une journée

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La liste du matériel acheté avec les dons a été diffusée par les autorités ukrainiennes

Dans un tweet publié le 11 mars dernier, Alex Bornyakov a partagé avec les internautes la liste du matériel acheté avec les dons venus du monde entier. En voici les détails :

5550 gilets pare-balles et 500 plaques de protections supplémentaires pour ces gilets500 casques de combats3427 kit médicaux410 000 rations alimentaires 60 talkies-walkies3125 équipements de vision nocturne et thermique

Liste du matériel – Source : compte twitter d’Alex Bornyakov

Difficile de commenter cet événement autrement qu’en soulignant la volonté de transparence du gouvernement ukrainien et la générosité des donateurs. Cette opération est une première du genre dans l’histoire récente et elle contribue à placer les cryptos – bien malgré elles – au milieu du jeu diplomatique et politique. Moyen pour les russes d’esquiver les sanctions, outils pour la résistance ukrainienne, le Bitcoin et les cryptos ont été mis à toutes les sauces depuis le début du conflit. Pour le reste, « aussi longtemps que tu vivras et que tu auras un souffle en toi, ne te livre à personne ». J’ai l’impression que les ukrainiens connaissent également Kipling.

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Cardano (ADA) : Plus de 500 projets en cours de lancement sur le réseau

517, c’est le nombre de projets qui serait en cours de construction sur Cardano. Tim Harrison, directeur d’IOHK, a révélé que la majorité d’entre eux serait affiliée à l’espace NFT. Cardano, de plus en plus attrayant Tim Harrison, le directeur marketing et de la communication de IOHK, a certainement soulevé le capot de Cardano avant […]

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Méta- Hebdo, Chronique du Web 3 : la journée de la femme dans le métavers

Ce que femme veut, le Dieu du métavers le veut ! – Nous voici de nouveau réunis pour un nouvel opus de votre Méta-Hebdo préféré. Cette semaine les femmes étaient à l’honneur dans le métavers. En effet, le 8 mars s’est déroulée la Journée internationale de la femme. Un moyen pour nous de faire le point sur la place de la femme dans le Web 3. Suivons le fil d’Ariane.

En effet, le monde de la blockchain encore jeune ne tient, qu’a un fil. La femme doit être habile pour y faire sa place. Artistes NFT, cadres d’entreprises cryptographiques, les femmes de la crypto ont répondu présentes lors de l’évènement de la semaine dans l’univers virtuel du métavers. Honneur aux dames.

La journée de la femme dans le Web 3 : les croqueuses de NFT

SandBox et World of Women : les reines des sables

Rien de mieux pour The Sandbox que l’occasion de la Journée de la femme pour annoncer son partenariat avec les reines des NFT : World of Women (WoW). Ce créateur de NFT propose exclusivement des NFT artistiques autour de portraits de femmes fortes et puissantes. Le géant du métavers trouve en World of Women un partenaire de charme. A l’occasion de la Journée de la femme 10 000 NFT WoW seront voxélisés par The Sandbox.

L’idylle n’est toutefois pas nouvelle. The Sandbox a déjà fait l’acquisition du NFT WoW le plus cher à 200 ETH : Aurora, la déesse du métavers, personnage clés du scenario qui tisse The Sandbox.

La collaboration ne reste cependant pas ponctuelle puisque nos géants des NFT créent la fondation WoW (WoW Foundation). Sa mission ? Amplifier la représentation féminine dans les espaces NFT et métavers. Pour ce faire, The Sandbox versera une subvention de 25 millions de dollars sur 5 ans. Des expériences interactives seront également mises en place directement dans le bac à sable. Vous pourrez découvrir la galerie de NFT World of Women dans le Wow Museum. Suivre des cours en ligne dans le Web 3 à la WoW University ou encore profiter de mentorat et de financement de projet à la WoW Academy.

Aurora, NFT World of Women acheté 200 ETH. – Source : Twitter

Rarible : une journée en l’honneur de Lirona, artiste NFT

La plateforme NFT Rarible a également fait la promotion de sa collection de NFT Women Rise afin de soutenir les militantes, les artistes et les femmes du Web 3 plus généralement. La plateforme a ainsi exprimé son projet de stimuler la participation des femmes dans le Web 3. Masha Vyazemskaya, responsable communication chez Rarible exprime en effet, que seulement 16 % des créateurs de NFT sont des femmes. Elle développe :

« Encore moins connue est la génération d’artistes féminines qui ont été impliquées dans l’espace NFT depuis les premiers jours jetant les bases de ce qu’est l’industrie aujourd’hui. »

Il était donc important pour Rarible de mettre en avant Lirona pour la Journée de la femme. Première femme artiste NFT sur leur plateforme. Alors sans valeur, sa collection « #boiz » a recueilli plus de 700 000 $ de ventes :

« Ce qui est étonnant c’est que Lirona a commencé sur Rarible au début de l’année 2021 avec ses collections vendues pour 0,1 ETH et maintenant ses NFT se vendent entre 20 et 30 ETH. Cela représente un voyage important pour nous, démontrant comment nous travaillons en étroite collaboration avec les artistes »

Desperate ApeWife #6316 – source Rarible : Lirona

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Dans le Web 3, les femmes leaders aux manettes ?

Les initiatives autour de la Journée de la femme sont donc nombreuses cette semaine. Elles tissent les liens d’une communauté solidaire qui souhaite se faire entendre, consciente du problème. Certains géants de la crypto, travaillent dans ce sens.

Unstoppable Women : l’étoile des géants du Web

C’est le cas d’Unstoppable Domains, fournisseur de nom de domaine Blockchain. A l’initiative d’une discussion Twitter ouverte à tous le jour de la Journée de la femme afin de traiter de son influence dans le Web 3, la démarche d’Unstoppable Domain s’inscrit dans une dynamique durable et ses initiatives sont nombreuses.

C’est donc dans le cadre d’un effort manifeste pour soutenir la place de la femme dans le Web 3 qu’ Unstoppable Domain lève 10 millions de dollars (en nom de domaine Web 3). C’est la naissance d’ «Unstoppable Women of Web 3» campagne à but non lucratif qui doit lutter et favoriser l’émergence d’une influence féminine dans le Web 3.

Ainsi plus de 60 géants du Web 2 et du Web 3 s’associent à la cause de Sandy Carter, vice-présidente senior de Unstoppable Domains et à l’initiative de l’association « Women in Web3 « . On retrouve donc des géants tels que Google Cloud, Decentraland, Blockfi, Ripple, The Sandbox ou encore Binance US. D’après un communiqué de Unstoppable Domains, l’association à comme objectif de :

« (…) présenter des travaux créés par des groupes historiquement marginalisés dans au moins la moitié de tous les supports d’éducation Web3 (…) »

Les partenaires d’ Unstoppable Women of Web 3

La nécessité d’une éducation à la cryptographie et à la blockchain

La représentation des femmes dans l’univers du Web 3, malgré le nombre de partenaires réunis derrière cette association, est tout de même encore peu représentative de la présence féminine dans le Web 3. Sandy Carter développe :

« Lorsque je suis passée aux domaines du Web, j’ai été déçue par le Web 2 et par son manque de diversité. Souvent 20 % des salles de réunions étaient composées de femmes. Il a également été montré que 5 % des entrepreneurs web sont des femmes»

Cette pauvreté de la participation féminine dans le paysage Web 2 et Web 3 est également déplorée par WoW qui déclare sur CoinTelegraph :

« Notre mission est de mettre en lumières les créateurs féminins, mal desservis, faisant du métavers non seulement un paysage conçu par l’homme, mais plutôt un paysage enrichi avec autant de diversité de pensées que possibles. »

World of Women confirme donc ainsi 4 piliers principaux à suivre pour sa fondation et pour le développement d’une parole féminine et inclusive dans le Web 3 :

dynamiser l’écosystème en soutenant les artistes et en finançant des projets éduquer le nouveau public donner plus de visibilité aux causes pour les femmesredonner des bénéfices à des associations caritatives

Dans ce sens il s’agira pour WoW de soutenir également la création artistiques féminine dans le Web 3 par le mentorat, soulignant l’importance de l’éducation au Web 3

Sandy Carter : fondatrice de Unstoppable Women of Web 3

La place de la femme dans le Web 3 : miroir d’une problématique sociale ?

L’importance de l’adoption de masse pour le Web 3

Si on décide de stimuler la participation des femmes dans le Web 3 il est surement important d’en élargir l’angle. Il faut garder en tête que la blockchain n’en n’est qu’a ses débuts. Dans cette logique, il est alors possible que la participation féminine dans le Web 3 connaisse une forte croissance. Toutefois tous les secteurs dominants importants n’ont pas encore mis un pied dans le métavers.

Prenons le secteur de la mode. Encore timide, il a pourtant de quoi nous faire oublier nos quenouilles et nos rouets d’antan ! L’expérience virtuelle a en effet débuté au début de ce mois de mars en France lors de la Paris Fashion Week. Les élèves de L’institut Français de la Mode (IMF) aidés par la société Stage 11 ont élaboré la conception d’une chaussure et d’un sac à main numérique pour le métavers.

Cette initiative n’est que le début d’un secteur qui en s’emparant du métavers risque d’apporter de nouvelle figures féminines. Decentraland organisera en effet, fin mars la Fashion Week du futur. Elle sera donnée un jour plus tôt que celle qui se déroulera dans le monde réel à New York, soit le 23 mars.

À la clé une expérience immersive proposée avec Paco Rabanne et la Fondation Vasarely, qui représente les œuvres de l’artiste Victor Vasarely. Cet évènement méta-mode est le symbole d’un secteur qui n’a pas encore fini de conquérir le Web 3. Il promet l’arrivée d’un public plus large et plus diversifié.

Tweet de Decentraland annonçant le lancement de Fashion week dans le métavers. – Source : Twitter.

Et si le metavers n’était que le reflet virtuel de nos problématiques sociales réelles ?

On entrevoit alors les limites d’une question telle que nous nous la posons. En effet, il est certain que les femmes ne sont pas assez représentées dans le Web 3. Toutefois cela ne justifie pas pour autant qu’elles n’aient pas de place.

Il faut probablement relativiser et surtout voir tout le potentiel de développement possible. Tomber dans les travers d’une communauté inclusive dans l’espace ouvert du métavers ne parait pas non plus être le fil idéal pour tisser un réseau et une communauté blockchain.

L’importance de l’éducation n’est pas soulignée seulement dans la lutte des genres. Elle est une problématique plus centrale pour le développement de l’univers cryptographique et du Web 3 dans son ensemble. Le Web 3 semble alors parfois, au fil de son développement, emporter dans son espace des problématiques sociales propres à notre société.

Quand le Web 3 s’empare de notre société

Ces problématiques sociales nous ne les trouvons pas uniquement dans ce transfert des inégalités homme femme. Un autre exemple flagrant est le rôle central des NFT et des cryptomonnaies dans le conflit Russo-Ukrainien. L’association d’artistes Time Pieces par exemple, propose une collection de NFT dont les ventes seront reversées à l’aide humanitaire pour l’Ukraine.

Dans ce sens, on retient encore une fois la démarche d’Olive Allen. Cette artiste NFT engagée contre la Russie a déclaré lors d’un entretien avec le Coin Telegraph :

« Malheureusement les femmes ont toujours été exclues de l’histoire des grands domaines telles que la technologie ou les arts. »

Dans la même mouvance on pensera également au groupe de Rock Pussy Riot, un groupe russe féministe et engagé, et à leur DAO, organisation décentralisée. La finance décentralisée est alors pour ces femmes un moyen de contourner les intermédiaires parfois synonymes de censure.

Le groupe de rock Pussy Riot.

Au bout du fil, nous comprenons que la méta-place de la femme est encore petite et timide. Mais le développement du métavers et l’arrivée des secteurs dominants à venir attireront plus de diversité.

Toutefois cette problématique reste représentative d’un problème, fil conducteur pour le secteur cryptographique : celui de l‘éducation et de l’accessibilité de la blockchain au plus grand nombre. Il reste également certains que, sorties de ses codes et de ses robots, le monde du Web 3 continuera de traiter d’autres problématiques inhérentes à notre société de par l’échange direct, sans intermédiaire que permet la technologie de la blockchain et la finance décentralisée.

Ne coupez pas le fil, nous nous retrouvons la semaine prochaine pour un nouvel opus de votre Méta-Hébdo.

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The Sandbox (SAND), un metaverse de type Play to Earn où tout est tokénisé

The Sandbox est un metaverse communautaire où les joueurs peuvent concevoir, partager et vivre des expériences virtuelles. Basé sur la blockchain Ethereum, le monde virtuel de The Sandbox tente de changer la dynamique du marché des jeux vidéo avec le principe du « Play-to-Earn » et des tokens non fongibles (NFTs). Partons à la découverte de ce metaverse et de ses différents tokens, notamment le SAND.

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La vente de NFT : Yuga Labs annonce l’impensable pour ses clients

Yuga Labs, le créateur de Bored Ape Yacht Club (BAYC) et Mutant Ape Yacht Club (MAYC), a acquis les collections de jetons non fongibles (NFT) CryptoPunks et Meebits. . Il a annoncé qu’il prévoit d’apporter une utilité supplémentaire à ces deux collections. Apporter une utilité supplémentaire Yuga Labs accordera des droits commerciaux aux personnes qui […]

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NFT : Le créateur du BAYC devient propriétaire de CryptoPunks et Meebits

Yuga Labs, l’entreprise derrière le Bored Ape Yacht Club, vient de faire l’acquisition deux perles rares du NFT : Meebits et CryptoPunks. CryptoPunks, nous le savons tous, est une ancienne marque de tokens non fongibles. Alors que Meebits se présente comme une nouvelle collection de NFT, vu sa naissance en mai 2021. CryptoPunks et Meebits changent […]

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