Des millions de fans de F1 vont découvrir Crypto.com qui s’associe avec Aston Martin

Crypto.com, la plateforme crypto basée à Hong Kong, a signé un accord pluriannuel pour sponsoriser l’équipe de Formule 1 Aston Martin Cognizant, devenant ainsi son partenaire mondial officiel pour « travailler ensemble » sur des produits liés aux cryptos et connectés aux systèmes de paiement et aux jetons non fongibles (NFT).
Aucune des deux entités n’a

Crypto.com (CRO) signe un partenariat avec l’équipe de F1 d’Aston Martin

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La plateforme Crypto.com (CRO) vient de conclure un accord pluriannuel avec l’équipe de F1 d’Aston Martin, qui fait son grand retour avec 60 ans d’absence. Le logo de Crypto.com apparaîtra sur les voitures de F1 d’Aston Martin et les entreprises travailleront à la création de produits en lien avec les tokens non fongibles (NFT).

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Une star du baseball vend pour 1 million $ de NFT en seulement 1 minute !

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C’est l’histoire d’une reconversion plutôt réussie que vit actuellement Micah Johnson l’ancienne star du MLB. Ayant délaissé sa batte de base-ball pour un pinceau, l’homme est devenu un artiste qui commence à se faire un nom sur le marché des NFTs. Sa dernière œuvre baptisée AKU a ainsi rapporté un million de dollars sur le marché NFT Nifty Gateway en seulement une minute de vente.

Une œuvre revendiquant l’émancipation des noirs

AKU ou Dieu de la Lune est une sculpture peinte faite à partir de résine coulée à la main qui représente un jeune enfant noir portant un casque spatial surdimensionné et regardant vers le ciel. M. Johnson déclara que l’inspiration de cette œuvre lui était venue de son neveu qui demandait à sa mère si les noirs pouvaient devenir des astronautes. « Je voulais lui donner la vie, mettre cela en lumière, et laisser les autres enfants ou d’autres personnes, des adultes, qui pouvaient rêver d’avoir un symbole auquel le monde entier pourrait s’identifier », déclara ainsi M. Johnson.

L’œuvre numérique ainsi crée a fait l’objet d’une vente aux enchères qui a débuté le 21 février dernier et qui dura 28 heures. Elle a généré une valeur totale de 2 millions de dollars dont la moitié fut atteinte en seulement une minute. AKU dispose également d’une représentation physique qui a été aussi vendue aux enchères pour un montant de 305 000 dollars. Celle-ci se trouve actuellement immobilisée dans un coffre-fort de la galerie Art Angels de Miami pour une durée de deux ans. Son acquéreur qui conservera un accès exclusif à la sculpture pourra toujours la revendre en transférant son token non-fongible.

Un jeton qui fut aussitôt adopté par la communauté

Fier d’avoir réalisé de tels chiffres en aussi peu de temps M. Johnson s’attend à ce que AKU devienne une source d’inspiration pour plusieurs jeunes à travers le monde. « Rassembler un groupe de personnes aussi diverses. Et les laisser voir ou être inspirés par AKU, on ne sait jamais combien de personnes qui ont collectionné cet AKU, ou vendu cet AKU, ont finalement trouvé le courage d’aller faire quelque chose qu’ils ont pensé à faire, rêvé de faire, et ils vont aller le faire et peut-être simplement changer le monde » a-t-il déclaré.

Le moins qu’on puisse dire c’est que l’œuvre fut rapidement adoptée au sein de la communauté qui ne s’est pas contenté de l’acheter. En effet, les jetons associés à celle-ci avaient généré près de 500 000 dollars d’échanges sur les marchés secondaires dans les 36 heures qui ont suivi la fin de la vente aux enchères. Une autre prouesse qui devrait surement inciter l’ancienne star de baseball à nous livrer d’autres œuvres à l’engagement similaire.

Quelques semaines plus tôt, c’était autour du célèbre crypto-artiste Pak d’émerveiller son public avec une représentation numérique de La Création d’Adam, la célèbre œuvre de Michel Ange. L’artiste devrait d’ailleurs repartir avec 85% des recettes grâce à un concept original qui permettra de différencier l’œuvre numérique de celle se trouvant au Vatican.

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La chanteuse Grimes a gagné 5,8 M$ en moins de 20 minutes en vendant des œuvres d’art crypto

la chanteuse grimes a gagne 5 8 m en moins de 20 minutes en vendant des oeuvres d art crypto

Grimes a vendu aux enchères une collection d’œuvres d’art crypto pour des millions de dollars. La chanteuse a lancé sa collection numérique, « WarNymph », dimanche, et la vente doit durer 48 heures. Au cours des dernières semaines, les ventes de jetons non fongibles, ou NFT, ont décollé.

Les NFT, qui fonctionnent comme un type unique d’actif numérique ou de jeton, ont dans certains cas été vendus pour des millions de dollars chacun, contribuant à un marché de l’art cryptographique évalué à plus de 100 millions de dollars. Les dix NFT de Grimes lui ont rapporté plus de 5,8 millions de dollars (4,8 millions d’euros) en moins de 20 minutes. La chanteuse avait annoncé la vente aux enchères sur Twitter.

À lire aussi — Pour Elon Musk, il est ‘moins stupide’ d’investir dans le bitcoin que de détenir du cash

Dropping NFTs tomorrow at 2pm EST. enter the void pic.twitter.com/l9fNFUCheX

— ☘︎𝔊𝔯𝔦𝔪𝔢𝔰 (@Grimezsz) February 28, 2021

L’une des pièces, une image qui représente un bébé gardant Mars, a attiré une attention considérable, se négociant à plus de 300 000 dollars (environ 250 000 euros) en moins de 10 minutes. Le NFT « Newborn 2 » a déjà été remis en vente à 2,5 millions de dollars (2,08 millions d’euros).

Les internautes ont émis l’hypothèse que le nourrisson de la collection serait en fait une représentation du bébé d’Elon Musk et Grimes, bien que Grimes ait décrit le bébé dans l’œuvre comme « la déesse de la néogenèse ».

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Grimes vend les œuvres d’art sur la plateforme d’échange de NFT Nifty Gateway. La collection est le fruit d’une collaboration avec le frère de la chanteuse, Mac Boucher, qui a travaillé avec elle sur des projets antérieurs.

Les actifs numériques, un marché de plus en plus lucratif

La collection comprend des images éthérées d’un bébé avec des ailes dans l’espace, et certaines pièces sont présentées sur de nouvelles musique de Grimes. La pièce « Earth » comprend la chanson inédite « Ærythe ». La pièce « Mars » contient « Mars Theme », et « Death of the Old » contient une démo d’ »Anhedonia ».

WarNymph apparaît comme un bébé pour représenter « un état d’infinie enfance où elle se débarrasse de sa vieille peau de corruption », peut-on lire sur le site, ajoutant qu’elle « lutte contre la force destructrice des idées obsolètes et de la pourriture systémique qui menace l’avenir ».

La chanteuse prévoit de reverser une partie des recettes à Carbon 180, une organisation à but non lucratif qui se consacre à la réduction des émissions de carbone. Son petit ami, Elon Musk, dont la société SpaceX prévoit d’envoyer des humains sur Mars, s’est exprimé ouvertement sur la réduction des émissions ; en février, il a révélé les détails d’un concours de capture du carbone de 100 millions de dollars (environ 83 millions d’euros) qu’il a dit vouloir financer.

À lire aussi — Elon Musk offre 100 millions de dollars à celui qui créera la meilleure technologie de capture du carbone

La collection NFT est l’une des nombreuses que Grimes prévoit de vendre. Elle a déclaré qu’elle créait un univers mythique appelé Oth3rkin et que WarNymph évoluerait en tant que partie de celui-ci. Grimes a vendu sa dernière œuvre d’art, « Death of the Old« , pour près de 400 000 dollars (333 000 euros) lundi.

La chanteuse fait partie des nombreux artistes qui profitent des NFT. En février, le dessinateur de BD numérique Chris Torres a vendu un NFT de son « Nyan Cat » pour près de 600 000 dollars (500 000 euros environ).

Les actifs numériques sont devenus un marché de plus en plus lucratif. L’investisseur milliardaire Mark Cuban s’est prononcé en faveur de l’investissement dans les NFT. En février, Lindsay Lohan a vendu un NFT pour 59 000 dollars (49 000 euros).

Version originale : Grace Kay/Insider

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Retrouver l’article original de ici: Lien Source

Paré au décollage – Cardano déploie le hard fork Mary et s’apprête à devenir une blockchain multi-actif

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Un concurrence sérieuse à Ethereum ? – Cela fait maintenant plusieurs mois que les aficionados de Cardano attendent ce moment, et il est enfin arrivé. Le hard fork Mary, qui introduit la possibilité de créer des jetons sur cette blockhain, a été déployé.

Cardano, un ETH-Killer ?

Lancé en 2018, Cardano est une blockchain concurrente à Ethereum. En effet, celle-ci ambitionne de créer un écosystème de smart contract similaire à Ethereum.

Il aura fallu attendre juillet 2020 pour voir le proof of Stake déployé sur Cardano via le hard fork Shelley. Sur ce point, Cardano a une longueur d’avance sur Ethereum. Cependant, certains éléments clés, tels que le multi-actif ou les smart contracts, manquaient toujours à l’appel.

Avec le déploiement du hard fork Mary le 1er mars, Cardano réduit l’écart en introduisant le multi-actif sur la blockchain.

1er mars 2021 : « une date historique »

« Historique », c’est le qualificatif utilisé par Charles Hoskinson, fondateur de Cardano, pour décrire le hard fork Mary. C’est effectivement le 1er mars que le hard fork sera présent sur le mainnet.

Après plusieurs mois de tests, celui-ci va permettre de créer d’autres jetons que l’ADA – jeton natif de la blockchain – sur Cardano. Pour faire simple, les utilisateurs pourront créer des jetons sur Cardano, de la même manière qu’il est possible de créer des ERC-20 sur Ethereum.

Contrairement à Ethereum, ces jetons ne nécessitent pas de smart contract pour être émis. Autre différence : les transactions entre jetons natifs à Cardano ne requièrent que peu de frais.

« Comme les tokens natifs ne nécessitent pas de smart contract pour transférer leur valeur, les utilisateurs pourront envoyer, recevoir et émettre leurs tokens, sans payer les frais de transaction requis pour un smart contract ou ajouter une logique de traitement des événements pour suivre les transactions. »

Déclaration de Tim Harrison, fondateur de Cardano

Grâce à cette mise à jour, Cardano pourrait voir fleurir les projets DeFi ou de NFT sur sa blockchain, au détriment d’autres blockchains à smart contracts.

Bien qu’il y ait un engouement fort autour de Cardano, il faudra désormais convaincre les développeurs de migrer vers lui. En l’état, rien ne garantit qu’ils passeront le pas, alors même que les smart contracts, permettant de développer des applications décentralisées comparables à la DeFi ou de la Binance Smart Chain, ne sont pas encore implémentés.

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Blockchain: comment les NFT deviennent-ils les objets de collection du futur?

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Ils sont des dizaines de milliers à se ruer sur la plateforme Top Shot, pour acheter en ligne des séquences vidéos de matches de basket, symbole du succès fulgurant des objets virtuels « NFT » auprès des collectionneurs, des fans de sport aux amateurs d’art. Pour le commun des mortels, c’est un clip d’une dizaine de secondes, qui montre une action spectaculaire de LeBron James, star de la ligue nord-américaine de basket NBA. Mais sur Top Shot, c’est un objet de collection, vendu lundi 208 000 dollars.

Cette séquence vidéo est un « NFT », un « non-fungible token », ou jeton non fongible: un objet virtuel à l’identité, l’authenticité et la traçabilité en théorie incontestables et inviolables, grâce à la technologie dite de la « blockchain », utilisée pour les cryptomonnaies telles le bitcoin, en plein essor. Lancée début octobre par la société Dapper Labs, en partenariat avec la NBA, Top Shot permet d’acheter et de vendre ces extraits vidéos, appelés « moments », à des prix variables selon leur rareté. Dapper Labs conçoit puis vend ces clips, dans des quantités variables allant d’un seul exemplaire à des centaines de « moments » identiques. Une fois sur la plateforme, ils peuvent changer de main, d’un collectionneur à l’autre, à l’infini.

Un marché à 1,8 milliard de dollars

Après des débuts en douceur, Top Shot a explosé depuis janvier, au point de générer plus de 200 millions de dollars de transactions depuis début 2021, a indiqué une porte-parole de Dapper Labs. Top Shot se rapprochait mercredi de la barre des 100 000 acheteurs, a-t-elle précisé. Le site de valorisation Momentranks estime le marché actuel à 1,8 milliard de dollars. Paradoxe, la plupart de ces extraits vidéo sont visibles gratuitement ailleurs sur internet, principalement sur YouTube. « Je comprends tout à fait la réaction initiale, qui est de dire ‘Je ne saisis pas’ ou ‘Ça a l’air débile’ », a écrit Jonathan Bales, qui a dépensé 35 000 dollars pour un « moment » et écrit une tribune de référence sur son blog Lucky Maverick.

« Mais il y a toute une génération de gens jeunes et intelligents qui ont grandi d’une façon totalement différente de vous et moi », ajoute-t-il. « Donc que nous comprenions ou non l’avenir est sans conséquence sur ce qu’il sera. » « J’ai ouvert un compte, et d’un seul coup, j’ai eu un déclic », se souvient Steve Poland, créateur du site Mighty Minted. « C’est ça, l’avenir. Ça va être ça, les objets de collection du futur. » Les amateurs voient dans les « NFT » une alternative à un marché de collection souvent non régulé et opaque, qu’il s’agisse de cartes de baseball ou de tableaux de maîtres. « La technologie est supérieure à celle du monde physique », avance Steve Poland. « Il y a de faux Picasso, de faux Van Gogh. Mais nous avons la confirmation que ceci est authentique. »

De violentes fluctuations comme pour les cryptomonnaies?

Jeudi, Christie’s a été la première grande maison d’enchères à mettre en vente une oeuvre « NFT », « The First 5 000 Days » de l’artiste numérique américain Beeple. C’est « un tournant pour l’avenir des nouveaux médias et même pour la façon de collectionner toute entière », a estimé Noah Davis, expert chez Christie’s, dans un communiqué. Quelques heures seulement après le début de la vente, à un prix d’ouverture de 100 dollars, l’oeuvre atteignait déjà 2,4 millions de dollars. La vente doit durer jusqu’au 11 mars. Noah Davis compare l’émergence de cette forme de collection à celle du street art, passé d’une pratique illégale et déconsidérée à un courant majeur de l’art contemporain en quelques décennies. L’art basé sur le « NFT » est, selon lui, « en passe de devenir la prochaine force perturbatrice du marché de l’art ».

Au-delà du marché de l’art, Steve Poland voit tous les grands sports se lancer. Jeudi, la plateforme française Sorare, consacrée au football, a annoncé avoir levé 50 millions de dollars auprès d’investisseurs. Acteur historique des cartes de collection, Panini a lui aussi créé un site qui fonctionne avec la blockchain. De manière générale, Steve Poland voit ce nouveau marché profiter d’abord aux marques fortes, comme la NBA, déjà bien connues du grand public et susceptibles d’inspirer confiance dans un univers complètement nouveau. Quant aux prix, faut-il craindre de violentes fluctuations, comme pour les cryptomonnaies? « Certains prix sont un peu fous » et « il y aura une correction à un moment donné », prévoit Steve Poland. « Mais pour moi, dans dix ans, les prix actuels sur Top Shot auront l’air bon marché. »

What are NFTs? | Boing Boing

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Sean Bonner wrote a good introductory piece to NFTs (non-fungible tokens), which can be used to sell and trade digital works of art. Sean (who is selling NFTs of his cool glitched photography) got me interested in making some NFTs of my own, which I’m calling ottomatika. I just released 10 of them at 0.02 ETH each.

From Sean’s piece:

An artist can « tokenize » a piece of work and then sell it, and the buyer can prove that what they just bought is the original thing sold by the artist. And because the blockchain is public, every time that artwork changes hands it’s recorded in a public ledger and at any point someone can verify the piece is legitimate and trace the chain of custody all the way back to the artist who originally released it. (Or the impersonator, as the case may be) Like an old library check out card, the blockchain records who owned it for how long, and if it was given to them or if they bought it, and if they did how much they paid. Which is a fascinating way to track value fluctuation (hopefully appreciation) over time.

I think this is one of the biggest and most important details – whoever originally creates the NFT is hard coded into the ledger and can specify a royalty that they should receive anytime the work is sold in the future. Traditionally secondary market sales happen like this: Andy makes a painting and asks Larry to sell it for him. Larry has a gallery and sells Andy’s painting to Kirk. Andy typically gets 50% of that sale. So if Kirk bought it for $1000, Andy just made $500. Larry did too, but that’s a different story. Anyway, say 10 years later Andy has become a much more popular artist and Kirk decides to sell that painting and asks Christie to sell it for him, Christie will take a 20% fee for doing that and 80% will go to Kirk. Andy gets nothing. So if Christie sells that painting for $1M, Kirk makes $799,500, Christie makes $200,000, but Andy gets nothing. He’s still only got that original $500 from Larry. However if that painting was an NFT, and Andy is the one who made it Andy could specify that anytime that work is ever sold in the future, he gets a % of that sale.

Grimes sold $6 million worth of digital art as NFTs

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Photo credit should read ROBYN BECK/AFP via Getty Images

Grimes is the latest artist to get in on the NFT gold rush, selling around $6 million worth of digital artworks after putting them up for auction yesterday.

A series of 10 pieces — some one of a kind, others with thousands of copies — went up for sale on Nifty Gateway on February 28th. The highest-selling piece was a one-of-a-kind video called “Death of the Old” that involves flying cherubs, a cross, a sword, and glowing light that’s set to an original song by Grimes. The winning bidder took it for nearly $389,000.

The bulk of the sales came from two pieces with thousands of copies available that sold for $7,500 each. The works, titled “Earth” and “Mars,” are both short videos featuring their titular planet with a giant cherub over it holding a weapon, also set to original music. Nearly 700 copies were sold for a total of $5.18 million before sales closed.

If you’re totally perplexed as to what’s happening here, welcome to the party. After slowly growing in popularity over the past several months, NFTs exploded over the past week or so as the hot new tech thing. The tech — which stands for “non-fungible token” — allows buyers to purchase ownership of a digital good, usually an image, animation, or video, in the form of a unique digital token living on a blockchain.

NFTs allow buyers to support artists, but it also gives buyers a couple things in return. Buyers may not get to hang these digital pieces on their wall, but they might get bragging rights for purchasing a famous work like Nyan Cat or something from a popular artist like Grimes. NFTs are also a speculative asset, and many marketplaces have popped up that offer the ability to resell them — theoretically for a lot more, so long as the hype around NFTs continues.

Grimes isn’t the only artist to have made out big on NFTs already. The digital artist Beeple sold $3.5 million worth of art through Nifty Gateway last year. The artist behind Nyan Cat made around $600,000. And the electronic musician 3LAU reportedly made more than $11 million from album sales and digital goods just this weekend.

Nifty Gateway said that an undisclosed percentage of Grimes’ sales would go to Carbon180, a nonprofit focused on removing carbon from the atmosphere. The donations may be meant to address one of the major problems that NFTs share with other blockchain technologies — they’re hugely inefficient in their electricity use.

Each of the works is part of Grimes’ “WarNymph” collection, made in collaboration with her brother Mac Boucher. Grimes debuted War Nymph in 2019 and initially used the “digital persona” slash “alternative psyche” to promote her album Miss Anthropocene. War Nymph’s appearance has changed over time, morphing into the vaguely demonic winged baby seen in these NFTs last January, shortly before she confirmed her pregnancy.

Correction March 1st, 11:15PM ET: Yesterday was February 28th, not November 28th, as this article very clearly misstated.

Blockchain: comment les NFT deviennent-ils les objets de collection du futur?

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Ils sont des dizaines de milliers à se ruer sur la plateforme Top Shot, pour acheter en ligne des séquences vidéos de matches de basket, symbole du succès fulgurant des objets virtuels « NFT » auprès des collectionneurs, des fans de sport aux amateurs d’art. Pour le commun des mortels, c’est un clip d’une dizaine de secondes, qui montre une action spectaculaire de LeBron James, star de la ligue nord-américaine de basket NBA. Mais sur Top Shot, c’est un objet de collection, vendu lundi 208 000 dollars.

Cette séquence vidéo est un « NFT », un « non-fungible token », ou jeton non fongible: un objet virtuel à l’identité, l’authenticité et la traçabilité en théorie incontestables et inviolables, grâce à la technologie dite de la « blockchain », utilisée pour les cryptomonnaies telles le bitcoin, en plein essor. Lancée début octobre par la société Dapper Labs, en partenariat avec la NBA, Top Shot permet d’acheter et de vendre ces extraits vidéos, appelés « moments », à des prix variables selon leur rareté. Dapper Labs conçoit puis vend ces clips, dans des quantités variables allant d’un seul exemplaire à des centaines de « moments » identiques. Une fois sur la plateforme, ils peuvent changer de main, d’un collectionneur à l’autre, à l’infini.

Un marché à 1,8 milliard de dollars

Après des débuts en douceur, Top Shot a explosé depuis janvier, au point de générer plus de 200 millions de dollars de transactions depuis début 2021, a indiqué une porte-parole de Dapper Labs. Top Shot se rapprochait mercredi de la barre des 100 000 acheteurs, a-t-elle précisé. Le site de valorisation Momentranks estime le marché actuel à 1,8 milliard de dollars. Paradoxe, la plupart de ces extraits vidéo sont visibles gratuitement ailleurs sur internet, principalement sur YouTube. « Je comprends tout à fait la réaction initiale, qui est de dire ‘Je ne saisis pas’ ou ‘Ça a l’air débile’ », a écrit Jonathan Bales, qui a dépensé 35 000 dollars pour un « moment » et écrit une tribune de référence sur son blog Lucky Maverick.

« Mais il y a toute une génération de gens jeunes et intelligents qui ont grandi d’une façon totalement différente de vous et moi », ajoute-t-il. « Donc que nous comprenions ou non l’avenir est sans conséquence sur ce qu’il sera. » « J’ai ouvert un compte, et d’un seul coup, j’ai eu un déclic », se souvient Steve Poland, créateur du site Mighty Minted. « C’est ça, l’avenir. Ça va être ça, les objets de collection du futur. » Les amateurs voient dans les « NFT » une alternative à un marché de collection souvent non régulé et opaque, qu’il s’agisse de cartes de baseball ou de tableaux de maîtres. « La technologie est supérieure à celle du monde physique », avance Steve Poland. « Il y a de faux Picasso, de faux Van Gogh. Mais nous avons la confirmation que ceci est authentique. »

De violentes fluctuations comme pour les cryptomonnaies?

Jeudi, Christie’s a été la première grande maison d’enchères à mettre en vente une oeuvre « NFT », « The First 5 000 Days » de l’artiste numérique américain Beeple. C’est « un tournant pour l’avenir des nouveaux médias et même pour la façon de collectionner toute entière », a estimé Noah Davis, expert chez Christie’s, dans un communiqué. Quelques heures seulement après le début de la vente, à un prix d’ouverture de 100 dollars, l’oeuvre atteignait déjà 2,4 millions de dollars. La vente doit durer jusqu’au 11 mars. Noah Davis compare l’émergence de cette forme de collection à celle du street art, passé d’une pratique illégale et déconsidérée à un courant majeur de l’art contemporain en quelques décennies. L’art basé sur le « NFT » est, selon lui, « en passe de devenir la prochaine force perturbatrice du marché de l’art ».

Au-delà du marché de l’art, Steve Poland voit tous les grands sports se lancer. Jeudi, la plateforme française Sorare, consacrée au football, a annoncé avoir levé 50 millions de dollars auprès d’investisseurs. Acteur historique des cartes de collection, Panini a lui aussi créé un site qui fonctionne avec la blockchain. De manière générale, Steve Poland voit ce nouveau marché profiter d’abord aux marques fortes, comme la NBA, déjà bien connues du grand public et susceptibles d’inspirer confiance dans un univers complètement nouveau. Quant aux prix, faut-il craindre de violentes fluctuations, comme pour les cryptomonnaies? « Certains prix sont un peu fous » et « il y aura une correction à un moment donné », prévoit Steve Poland. « Mais pour moi, dans dix ans, les prix actuels sur Top Shot auront l’air bon marché. »

Mary, la mise à jour de Cardano (ADA), arrive

Le fondateur de Cardano Charles Hoskinson. Mary, la mise à jour de Cardano (ADA) arrive, apportant au réseau des jetons natifs, de type finance décentralisée (DeFi) ainsi que des jetons non fongibles (NFT). Nous vous avons récemment présenté ce projet ici.
« Mary » est presque arrivée, tout comme les actifs natifs selon le tweet du 1er mars de la