27 millions d’USDT dérobés : un wallet de Binance pourrait être la victime

Perte massive chez Binance ? Binance est la plateforme d’échange de cryptomonnaies numéro un au monde. Cependant, celle-ci ne navigue pas sur un fleuve tranquille. En effet, un des wallets proches de la plateforme aurait été siphonné pendant le weekend.

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27 millions d’USDT envolés

Dimanche 12 novembre, le crypto-enquêteur ZachXBT a tiré la sonnette d’alarme après avoir identifié une transaction suspecte.

ZachXBT alerte du mouvement suspect de 27M$ – Source : X (Twitter).

En effet, 27 millions de dollars en USDT ont été dérobés. Les fonds ont rapidement été convertis en ETH, avant d’être transférés vers plusieurs services (FixedFloat, ChangeNow, etc.) avant d’être envoyés vers Bitcoin via le bridge THORChain.

Jusqu’ici, une attaque somme toute classique, qui cible semble-t-il un particulier. Sauf que la situation pourrait bien être un poil plus compliquée.

Effectivement, ZachXBT a trouvé un lien entre l’adresse de la victime et l’adresse deployer de Binance. Par conséquent, ces 27 millions de dollars pourraient bien être liés à Binance d’une manière ou d’une autre. De plus, le wallet a reçu plusieurs fois des fonds en provenance de Binance, dont 26 millions d’USDT le 5 novembre dernier.

De son côté, Binance n’a pour le moment réalisée aucune annonce. Affaire à suivre donc.

Ainsi, Binance pourrait être l’une des victimes de ce week-end chargé en hacks. Récemment, le géant Poloniex a été la cible d’un hack à 125 millions de dollars.

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Un stablecoin s’effondre : le R de Raft victime d’un hack mortel

Un stablecoin dans la panade. Raft est un protocole de finance décentralisée déployé sur Ethereum et Base. Celui-ci est notamment à l’origine du stablecoin R. Malheureusement, une attaque récente a engendré la perte de millions de dollars en plus de déstabiliser le stablecoin.

Hack de Raft : des millions de $ envolés

Le 10 novembre, les équipes du protocole Raft ont alerté leurs utilisateurs d’une vulnérabilité potentielle en matière de sécurité. Rapidement, les développeurs ont soupçonné le mécanisme de création du stablecoin R comme étant à l’origine de la faille. Suite à quoi, la possibilité de créer des jetons R a été mise en pause.

Les équipes de Raft annoncent l’attaque.

De son côté, le cours du stablecoin R s’est effondré. Le 11 novembre, il est ainsi passé de 1$ à 0.05$, avant de remonter légèrement aux alentours de 0.12$. En effet, les ventes massives réalisées par le hacker ont entraîné une importante chute du cours du stablecoin.

Chute du cours du stablecoin R. Source : Coinmarketcap.

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Un hacker désorganisé

Peu après cette annonce, Igor Iganberdiev de Wintermute a révélé les dessous de l’affaire dans un thread X (Twitter)..

Ainsi, un hacker a été en mesure de créer 6,7 millions de jetons R de nulle part. Pour ce faire, le hacker a créé un smart contract pour émettre 3 000R en échange de la collatéralisation de 2cbETH.

Ensuite, il a utilisé un autre smart contract pour liquider ses propres positions en utilisant plus de 1 000 ETH obtenus via un flash loan.

Toutefois, la grande quantité d’ETH utilisée pour la liquidation a entraîné une inflation de l’indice utilisé pour calculer la quantité de garantie de chaque utilisateur. Cela a conduit à une augmentation soudaine du solde de garantie pour tous les utilisateurs, rendant pratiquement inutilisables les cbETH comme garantie.

Grâce à cette manipulation, la petite position de l’attaquant s’est transformée en 3,9k ETH, qu’il a ensuite utilisée pour émettre d’autres jetons R. Ces tokens ont été vendus, probablement dans le but de dissimuler les fonds volés en utilisant des mixeurs de cryptomonnaies.

L’erreur du hacker

Cependant, c’est là que la situation tourne au ridicule pour le hacker. En effet, au moment de convertir ses jetons R en ETH, le code utilisé pour la conversion a été appelé de la mauvaise manière, entraînant l’envoie des ETH à une adresse nulle au lieu de celle du hacker.

Finalement, l’attaquant a volé un total de 1 577 ETH, a brûlé 1 570 ETH en les envoyant à l’adresse nulle et s’est envoyé les 7 ETH restants. Après les frais, il lui restait 14 ETH. Ainsi, le profit total après frais est de -4 ETH, ce qui signifie que l’attaquant a fini par perdre de l’argent dans ce processus.

Un weekend haut en couleur, car Raft n’a pas été le seul protocole victime d’une attaque. En effet, la plateforme Poloniex aurait, elle aussi, souffert d’un hack de 125 millions de dollars.

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ETF crypto spot : BlackRock pousse la SEC dans les cordes

BlackRock vs SEC. Décidément, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis doit se sentir bien seule à l’heure actuelle. En cause, sa politique répétitive de l’empêchement systématique dès qu’il s’agit du marché des cryptomonnaies. Mais, un problème de taille semble venir perturber ce plan de l’immobilisme forcé mis en place par son patron Gary Gensler. Et, il s’agit dans le cas présent des acteurs de la finance traditionnelle en train d’attendre une approbation pour leur ETF Bitcoin spot. Une liste où figure le géant BlackRock, désormais également inscrit pour un ETF Ethereum au comptant. Et le plus important gestionnaire d’actifs au monde n’est pas d’accord avec sa façon de procéder.

BlackRock remet en question la politique de la SEC

La SEC fait toujours durer le suspens dans le dossier des nombreuses approbations d’ETF Bitcoin spot en attente. Une situation qui commence à agacer dans les rangs des acteurs de la finance traditionnelle, pourtant bien décidés à franchir ce pas. Au point de voir la fondatrice du fonds d’investissement ARK Invest, Cathie Wood, pointer du doigt son patron Gary Gensler comme le seul véritable obstacle à abattre dans cette affaire.

Un agacement qui semble aussi toucher le leader mondial de la gestion d’actifs BlackRock. En particulier depuis que ce géant de la finance a complété son dossier d’inscription avec une demande officielle pour un ETF Ethereum au comptant (spot). Un dossier au cours duquel il ne manque pas de critiquer la politique menée par la Securities and Exchange Commission.

BlackRock réfute la politique menée par la SEC dans le dossier des ETF crypto spot

En effet, BlackRock considère que l’instance de régulation américaine fonde son refus d’approuver les ETF crypto au comptant sur des distinctions réglementaires présentées comme incorrectes. C’est en effet, à la page 17 de ce document de 91 pages que le ton est donné. Car « la SEC a approuvé la négociation de neuf ETF basés sur l’ETH » dans une version futures. Et, cela devrait être suffisant pour permettre à son iShares Ethereum Trust de se voir également validé.

« Étant donné que la Commission a approuvé les ETF qui offrent une exposition aux contrats à terme (futures) sur ETH, dont le prix est lui-même basé sur le marché au comptant sous-jacent de l’ETH, le sponsor estime que la Commission doit également approuver les ETP qui offrent une exposition à l’ETH au comptant. »

BlackRock

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Loi de 1940 ou loi de 1933 ?

Afin d’étayer son propos, BlackRock revient sur la position de la SEC dans le dossier de ces Exchange Traded Products (ETP) à traitement variable. En effet, l’instance de régulation considère leurs versions à terme (futures) comme plus sûre pour les investisseurs. Cela du fait de la loi de 1940 sur les sociétés d’investissement qui encadre leur fonctionnement.

Un cadre qui ne concerne apparemment pas les ETF crypto spot. En effet, ils sont pour leurs parts encadrés par la loi de 1933, jugée moins protectrice. Mais cette distinction est rejetée par BlackRock pour une raison assez évidente. La loi de 1940 n’aurait aucun sens, car elle impose « certaines restrictions aux ETF et aux sponsors d’ETF » mais pas à leurs actifs sous-jacents.

« En particulier, aucune de ces restrictions ne concerne les actifs sous-jacents d’un ETF, qu’il s’agisse de contrats à terme ETH ou d’ETH au comptant, ou des marchés à partir desquels les prix de ces actifs sont dérivés, qu’il s’agisse du marché à terme CME ETH ou des marchés spot ETH. »

BlackRock

En conclusion, BlackRock considère que cette distinction imposée par la SEC n’a aucun sens. De ce fait, son ETF Ethereum spot devrait être enregistré au même titre que ses versions à terme déjà existantes. C’est toutefois oublier un peu vite l’incohérence dans laquelle semble se complaire Gary Gensler dès qu’il est question de cryptomonnaies. Une affaire à suivre…

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La face cachée du minage de bitcoins : Greenpeace monte au front

« Trop, c’est trop ! » Voici le slogan de la Texas Coalition Against Cryptomining (TCAC), une organisation citoyenne en lutte contre l’agrandissement d’un site de minage de bitcoins de la société Riot Platforms. Cela se passe dans la ville de Corsicana, comté de Navarro, dans le centre du Texas, où les opposants au projet ont lancé une série d’actions pour alerter sur les conséquences désastreuses du projet d’élargissement du géant de l’extraction de crypto. Mais le mouvement a subitement pris une ampleur beaucoup plus importante depuis que Greenpeace USA a pris fait et cause pour le TCAC et utilise sa puissance de frappe médiatique pour attaquer Bitcoin. Que reprochent exactement les riverains et les écologistes locaux à leur encombrant voisin mineur ? On vous raconte tout ça.

L’extension du site de Riot Platforms déclenche l’ire de militants écologistes au Texas

Sur le site internet de Riot Platforms, on peut lire que la société veut étendre ses capacités d’extraction sur son site de Corsicana et qu’elle a déjà commencé en bétonnant plus de 2 hectares pour héberger ses machines refroidies par immersion au mois de juillet dernier. Mais les travaux continuent et d’autres bâtiments sont en cours de construction pour porter les nouvelles installations à 1 gigawatt de puissance. La société décrit également comment l’énergie sera connectée au réseau général et comment le projet profitera aux environs avec des emplois et de l’activité autour du site d’extraction.

Le site internet de Riot Platforms vante les mérites du nouveau projet d’extension à Corsicana – Source : riotplatforms.com

Mais inutile de vous dire que les associations de défense de l’environnement et les opposants au projet ne voient pas du tout les choses de la même façon. Pour s’en rendre compte, direction maintenant un autre site internet, celui du TCAC qui propose un onglet spécial baptisé Casser les mythes afin de reprendre et de réfuter point par point les arguments pro-mining développés par Riot. On va rapidement survoler l’ensemble de ces critiques qui s’appuient donc sur « 7 fausses promesses » faites par l’industriel et que voici.

Greenpeace diffuse et partage les images des opposants au projet de Riot Platforms – Source : compte X

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Le minage de bitcoins prive les riverains d’énergie, d’eau, d’argent et fait trop de bruit !

« Le site n’est qu’un data center de plus ». Faux, répondent en chœur les opposants qui ne sont pas d’accord, car un data-center est supposé avoir une réelle utilité collective, contrairement au mining qui consomme de l’énergie pour une toute petite minorité d’habitants qui utiliserait Bitcoin.

« Le projet va créer des centaines d’emplois ». Faux encore. Des documents internes prouveraient que seulement 97 postes seront créés.

« L’entreprise paye des taxes et des impôts locaux qui profitent à toute la communauté ». Là encore, les opposants expliquent qu’avec les avantages fiscaux à l’installation et le statut spécial de l’industrie, Riot ne paye pas tant que ça. Surtout que la société reçoit de l’argent pour débrancher ses installations en cas de surchauffe du système en concertation avec l’ERCOT.

« Les installations ne seront pas bruyantes, car elles seront immergées ». Faux, seulement 40 % des machines le seront et les 60 % restants provoqueront donc des nuisances sonores.

Manifestations d’opposants devant le site à Corsicana au Texas – Source : compte X

Développement économique contre défense de l’environnement : le combat fait rage

« Les installations de minage stabilisent et rendent le réseau plus fort ». Pas du tout ! Pire, durant l’hiver 2021, au moment d’une forte vague de froid, il semblerait que 246 personnes soient mortes de froid à cause d’une panne de réseau dans l’État du Texas. Et pendant ce temps-là, Riot aurait gagné de l’argent en utilisant l’électricité pour produire des bitcoins.

« Les installations ne consommeront pas beaucoup d’eau ». Mensonges disent les riverains ! Riot a est un des plus gros consommateurs du pays alors même que l’eau est rare au Texas.

« Le minage réduira la facture d’électricité de tout le monde ». Dernière promesse non tenue, car les factures ne cessent de monter depuis l’installation de Riot dans le comté.

À travers ce cas précis, on s’aperçoit que l’installation des infrastructures nécessaires à l’extraction de cryptomonnaie n’est pas neutre et qu’elle participe à la fois à l’artificialisation des sols et à l’utilisation de ressources naturelles évidemment limitées. On a beau être convaincu de l’intérêt supérieur de Bitcoin pour la collectivité, les problématiques locales doivent aussi être entendues, considérées et respectées.

Que Greenpeace profite de l’occasion pour critiquer dans sa globalité l’existence même de Bitcoin, on y était habitué. Mais la colère des écologistes Texans est somme toute assez légitime et leur bras de fer avec une grande multinationale rappelle les combats auxquels nous assistons également dans notre pays autour du développement de nouvelles infrastructures. Le progrès ou la nature ? Un difficile équilibre devra être trouvé.

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Les mineurs de bitcoins à la croisée des chemins : halving, rentabilité et écologie en question

Les mineurs sur une ligne de crête. À quelques mois du prochain halving qui verra les récompenses versées aux mineurs de bitcoins divisées par deux, la question de la rentabilité de cette industrie alimente actuellement bien des discussions. Après une année de disette, les profits sont pourtant de retour pour les leaders du marché, mais l’avenir reste flou dans le contexte économique incertain de cette fin d’année. La valeur de Marathon Digital et de Riot Platforms serait même surévaluée selon certains experts alors que dans le même temps, l’éternel débat autour de la consommation énergétique de Bitcoin continue sur les réseaux sociaux. On fait le point sur une période agitée pour les professionnels de l’extraction de cryptomonnaie.

Les résultats financiers des leaders du marché sont bons, mais leur valorisation est probablement surestimée

D’abord les bonnes nouvelles de l’industrie, avec les résultats du troisième trimestre qui coïncident évidemment avec la remontée du cours de Bitcoin. Marathon Digital Holdings a déclaré un bénéfice net de 64,1 millions de dollars qui contraste fortement avec les 72,5 millions de pertes de la même période l’année dernière. De son côté, Riot Platforms a annoncé un chiffre d’affaires de 51,9 millions de dollars ce trimestre contre 46,3 millions de dollars au Q3 2022. Les deux sociétés ont largement profité de la hausse de Bitcoin, mais une augmentation de leur parc de machine est aussi à l’origine de ce regain de rentabilité.

Cependant, selon Jaran Mellerud, fondateur et analyste de MinerMetrics, ces deux géants du marché seraient actuellement surestimés et le cours de leurs actions en bourse un peu en surchauffe. Cet expert du secteur a développé un indicateur qui mesure le ratio entre la valeur d’une entreprise (sa capitalisation) et son chiffre d’affaires afin d’en tirer un nombre qui oscille entre 0,5 et 8. Plus la valeur est grande et plus la société est surestimée. C’est actuellement le cas de tous les géants du minage de bitcoins.

Lancement d’une nouvelle campagne médiatique contre un site d’extraction appartenant à Riot Platform – Source : compte X Greenpeace USA

De plus, l’imminence du halving commence d’inquiéter certains spécialistes qui se demandent comment les entreprises vont pouvoir palier l’énorme manque à gagner après cet événement. Vont-ils devoir produire deux fois plus pour rattraper la baisse des récompenses ?

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Dans les médias, le mining de bitcoins oscille entre solution environnementale et scandale écologique

Mais laissons là ces considérations économiques pour s’intéresser au discours médiatique autour de Bitcoin et plus particulièrement aux considérations écologiques autour de sa production. Régulièrement brocardée pour sa consommation supposée excessive d’énergie, la crypto reine du marché a pourtant démontré à moultes reprises sa capacité à s’adapter et à valoriser des formes d’énergie perdues ou gaspillées.

Dernièrement, c’est Bitcoin magazine qui décrivait ce projet de minage dans l’Utah basé sur le principe de méthanisation, c’est-à-dire que l’on produit de l’énergie grâce à la dégradation contrôlée et pilotée des déchets alimentaires et à la récupération de ces gaz de décomposition. Avec l’énergie ainsi collectée, on peut aisément miner des bitcoins et ainsi rentabiliser l’unité de production énergétique. C’est Marathon qui est à l’origine de ce partenariat alors que dans le même temps, son principal concurrent, Riot Platforms est lui aux prises avec des militants écologistes autour de son site dans le comté de Navarro au Texas. Accusé d’utiliser l’énergie dont aurait besoin la population locale et de gaspiller les ressources naturelles autour du site, Riot Platform vient d’entamer un bras de fer avec Greenpeace États-Unis qui continue sa croisade anti-Bitcoin.

Deux lieux et deux réalités différentes qui sont finalement assez symptomatiques de la situation ambivalente que traverse actuellement l’économie naissante du mining de bitcoins. L’industrie devra faire face dans les mois qui viennent aux incertitudes économiques, aux aléas climatiques, aux décisions politiques et aux débats éthiques tout en continuant à assurer la rentabilité nécessaire à la poursuite de son activité. Sacré challenge pour ceux qui craignent dorénavant moins les coups de Grisou que les coups de Greenpeace.

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Bull run et halving de Bitcoin : Michael Saylor prédit une « fête » pour BTC

Vous n’êtes pas sans savoir que depuis quelques jours le cours du BTC semble changer de couleur. L’évangéliste de Bitcoin, et non moins célèbre fondateur de MicroStrategy, Michael Saylor, n’a pas caché son enthousiasme face à cette récente dynamique du marché.

Une aubaine pour cet adepte du DCA (Dollar-Cost Averaging) depuis maintenant plus de deux ans, qui est persuadé que le halving de Bitcoin, le mécanisme réduisant de moitié la récompense de minage, va booster la demande de BTC. On fait le point sur la dernière grand-messe de ce magnat de la finance.

Michael Saylor toujours bullish sur BTC

Fois 10 pour BTC d’ici à la fin de l’année 2024. C’est avec cette prédiction que Michael Saylor a attiré l’audience de la Convention australienne sur la cryptographie, un événement crypto qui s’est tenu ce 10 novembre dernier.

Saylor ne s’est pas contenté de lancer des chiffres en l’air lors de cette convention. Il a peint un tableau plus large, une vision à long terme pour le bitcoin sur les 4 à 5 prochaines années. Et autant dire que le PDG de MicroStrategy est toujours aussi bullish pour la reine des cryptomonnaies.

Pour commencer son argumentation, le multimilliardaire a d’abord dressé un état des lieux de ces quatre dernières années. Observant le changement de statut de la précieuse crypto qui est désormais reconnu comme une valeur refuge.

Par ailleurs, Michael Saylor n’oublie pas nos chères petites têtes blondes. Les Millennials, la Génération Z, ces jeunes esprits vifs qui redéfinissent l’avenir financier, pourraient, selon ses mots, voir le Bitcoin comme « un actif incontournable d’ici fin 2024 ». Une perspective qui imagine dès lors de grands changements sociétaux, où le Bitcoin n’est pas seulement une monnaie, mais un symbole de l’évolution des mentalités financières.

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Le halving de Bitcoin catalyseur du prochain bull run

Poursuivant sur sa lancée, Michael Saylor, à l’instar de nombreux autres titans de la finance, met en lumière le halving de Bitcoin comme le prochain grand déclencheur du bull run. Pour ceux qui ne sont pas familiers avec le concept, le halving de Bitcoin est un événement programmé qui réduit de moitié les récompenses allouées aux mineurs, et ce, tous les quatre ans environ. C’est un mécanisme qui a déjà prouvé son influence sur la rareté et, par extension, sur la valeur de bitcoin.

Saylor, avec son analyse, soutient que ce halving va inévitablement créer un déséquilibre entre l’offre et la demande : moins de nouveaux BTC seront générés, alors que la demande, elle, continue de grimper. Or, si l’offre diminue tandis que la demande pour acheter du BTC reste constante, voire augmente, la logique de Saylor suggère une hausse du prix du bitcoin. C’est un jeu de rareté que le Bitcoin semble maîtriser à la perfection, et qui, selon Saylor, conduira à un marché en plein essor.

« Ainsi, au lieu d’un milliard de dollars de Bitcoin disponibles pour les mineurs chaque mois, ce sera un demi-milliard. C’est un fait sans précédent que l’on passe d’un équilibre entre l’offre et la demande à environ 15 milliards de dollars de demande et 12 milliards de dollars d’offre. (…) Le prix va s’ajuster à la hausse. »

Source

Les taureaux de Wall Street se précipitent sur le Bitcoin

La prochaine étape ? Une escalade, selon Saylor. Imaginez une arène où les titans de Wall Street se livrent une bataille acharnée, chacun voulant s’assurer une part du gâteau Bitcoin. Saylor parle d’une « concurrence féroce » et d’une « fête » pour le BTC.

La preuve ? La frénésie actuelle autour des ETF Bitcoin au comptant aux USA. Ces services financiers, tant convoités, sont comme un baromètre, révélant l’attrait croissant des institutionnels pour le Bitcoin. Et lorsque l’on murmure simplement l’éventuelle approbation d’un nouvel ETF Bitcoin, le marché semble vibrer par anticipation.

« Vous allez avoir une concurrence féroce et les Wall Streeters tenteront d’obtenir le plus grand nombre de parts d’actifs et vous allez avoir des échanges cryptographiques en concurrence et vous allez avoir d’autres entreprises technologiques qui s’impliqueront. […] Ce sera un chèque. L’autre chèque sera pour les grandes méga banques ou les dépositaires de Bitcoin avec JP Morgan, Morgan Stanley, Goldman Sachs, Bank of America, Deutsche Bank […] »,

Rappelons-nous, dans cette grande messe, que MicroStrategy, la société de Saylor, détient un véritable trésor : pas moins de 158 400 BTC. Le récent sursaut du Bitcoin a souri à la société, renforçant la position de Saylor en tant que visionnaire dans l’univers crypto. Saylor n’est pas un cas isolé dans cette ruée vers l’or numérique. Des figures emblématiques comme Cathie Wood, avec sa fièvre acheteuse, sont aussi sur le front, guettant avec impatience l’approbation tant attendue d’un ETF Bitcoin au comptant pour sa société Ark Invest.

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Crypto-fundraising : trouver les pépites avant l’heure

Que vous soyez intéressé par la finance décentralisée ou par la cryptomonnaie et la blockchain en général, crypto-fundraising.info est à ranger parmi vos favoris pour anticiper les futures tendances et dénicher des projets prometteurs. Le concept du site est simple : lister toutes les levées de fonds de l’écosystème et les classer suivant différents critères. Voyons ici comment utiliser cet outil pour prendre une longueur d’avance sur la masse.

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Temps de lecture estimé : 8 minutes

Les liens contenus dans cet article peuvent être des liens affiliés. Le site est susceptible de percevoir une rémunération lorsqu’une action est effectuée à partir de ces liens. Merci pour votre soutien !

Présentation générale de crypto-fundraising

S’il est difficile de dire quand le site web a été créé, le compte X qui y est rattaché date de janvier 2020. La plateforme semble gagner de l’argent grâce à des encarts publicitaires payants, bien que nous n’en ayons vu aucune s’afficher sur notre navigateur durant la rédaction de cet article.

Avec un peu plus de 13 000 abonnés sur X et 21 000 dans son groupe Telegram, Crypto-fundraising est encore loin de faire partie des sites les plus visités de l’écosystème. Ceci ne lui enlève en rien son utilité.

Le site liste une grande partie des levées de fonds ouvertes aux Ventures Capital (VC), menées par des projets ayant un rapport avec la technologie de la blockchain et des cryptomonnaies.

Venture Capital signifie « capital-risque ». Il s’agit d’un type de financement destiné aux entreprises innovantes et à fort potentiel de croissance, mais qui présentent des risques élevés. En échange de leurs apports, les investisseurs en capital-risque, reçoivent une partie du capital du projet concerné, souvent sous forme de tokens (qu’ils payent généralement beaucoup moins cher que les investisseurs « publics » comme vous et moi).

Crypto-fundraising fournit un panel d’informations savamment choisies et organisées, concernant aussi bien les projets que les investisseurs. Leur étude peut ainsi aider à se faire une opinion sur ces derniers et évaluer leurs chances de réussites. Elle peut aussi permettre de prendre la température du marché et discerner les tendances de fonds et les narratives du moment.

Voyons plus précisément ce que propose le site afin d’illustrer nos propos.

Tour d’horizon de la plateforme

VC deal Flow

La page « VC DEAL FLOW » (1) est identique à la page d’accueil, mais offre en plus la possibilité de trier les levées de fonds présentées à l’aide de filtres (2).

Liste des capitals risques classés par ordre chronologique

En plus du classement chronologique, il est possible d’afficher les projets en fonction :

du type de round : le site recense 10 types de rounds dont nous nous expliquons les différences plus bas.
du montant levé
des catégories auxquelles appartient le projet : Crypto-fundraising à créer plus de 100 catégories en fonction des blockchains, des types de technologies, des objectifs, etc …

 Voici les différents types de rounds des levées de fonds :

Le round de pré-seed ou d’amorçage : c’est la première levée de fonds d’un projet, qui a pour objectif de financer la recherche, le développement et la mise au point du produit ou service. Le montant levé est généralement de l’ordre d’un à 2 millions d’euros.
Le round de seed ou de premier tour de table : il s’agit de la deuxième levée de fonds, qui vise à financer le lancement commercial du produit ou service. Ce dernier est déjà prêt à être testé sur le marché. Le montant levé est généralement plus élevé que pour le pré_seed.
Le round de série A : ce round sert à financer l’accélération de la croissance du projet, tant interne qu’externe. À ce stade, le produit ou service a fait ses preuves sur le marché et génère des revenus.
Le round de série B à E : dans tous ces rounds, le produit est déjà rentable et l’argent levé sert à le développer davantage pour conquérir plus de parts de marché.
Les SAFT (Simple Agreement for Future Tokens) : il s’agit d’un contrat permettant aux investisseurs d’acheter des tokens à un prix réduit avant leur émission sur le marché. Ce type de round est rarement utilisé et demande aux projets d’avoir une vision très claire de leur potentiel.
Les Grants : ce sont des dons. Les projets qui lèvent beaucoup d’argent via ces dons présentent souvent une utilité réelle. Le célèbre site Gitcoin permet aux particuliers de participer à des Grants.
Les rounds « stratégiques » : ce sont des levées de fonds auprès d’investisseurs ayant un intérêt particulier pour le secteur d’activité, le produit ou le marché de l’entreprise qu’ils financent. Les investisseurs sont souvent complémentaires ou clientes du projet financé, et sont assez fréquents dans l’écosystème crypto.

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Détails sur les projets

En cliquant sur le nom d’un projet, vous verrez apparaître un rapide descriptif (1) de ce dernier, ainsi que des liens vers les sites et réseau officiels (2).

Détails sur les levées de fonds réalisées par le projet Pendle

Vous trouverez aussi la liste de tous les rounds ayant eu lieu avec l’investisseur principal. En cliquant sur « Details » (3), vous serez redirigé vers un article expliquant le pourquoi de la chose.

Les investisseurs

Dans l’onglet « Investors » (1), vous trouverez la liste des investisseurs classés par activité, c’est-à-dire par nombre de levées de fonds auxquelles ils ont participé durant une période donnée.

Il est possible d’appliquer ce classement sur différentes échelles de temps (2).

Liste des investisseurs classés par ordre d’importance

En cliquant sur le nom d’un investisseur, vous verrez apparaître la liste de tous les projets pour lesquels il a engagé des fonds. Vous n’aurez cependant pas accès au montant exact de sa propre participation, mais seulement au montant total levé pendant le round.

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Blog

Dans l’onglet « Blog » vous trouverez la liste de toutes les newsletters hebdomadaires publiées par le site.

Liste des newsletters

En effet, chaque semaine, Crypto-fundraising fait un récapitulatif des levées de fonds ayant eu lieu. Elle les classe par type de round (1) et par écosystèmes (2).

Récapitulatifs graphiques de la semaine

Ces rapports courts et biens écrits peuvent vous permettre d’observer en un clin d’œil les tendances d marché. En comparant les différentes semaines, il est facile de voir si l’argent a tendance à couler à flot ou si à l’inverse les vannes sont plutôt fermées. Il est aussi simple d’identifier vers quelques types de projets et écosystèmes les professionnels tournent leur attention.

En descendant plus bas sur votre écran, vous trouverez aussi un rapide descriptif des projets ayant récolté l’argent, ainsi qu’un récapitulatif de tous les investisseurs qui ont participé.

Tout en bas de la page, vous aurez la possibilité de renseigner votre adresse email si vous souhaitez recevoir cette newsletter automatiquement chaque semaine.

Le mot de la fin

Crypto-fundraising est un outil très simple à utiliser, qui permet d’avoir des informations complètes et bien présentées sur les levées de fonds actuelles et passées.

Observer les professionnels peut vous guider pour investir aussi sur certains projets, en achetant leur jeton dès que possible. Vous pouvez aussi déceler les tendances du moment, anticiper les mouvements de liquidités entre écosystèmes au fil de leurs avancées respectives, etc…

Utilisé en complément d’autres outils, le site peut donc être un bon moyen de trouver les futures pépites qui offriront de gros gains à ceux qui se seront positionnés en premier.

Pour étoffer votre attirail d’explorateur du monde des cryptomonnaies et de la finance décentralisée, nous vous invitions à consulter les autres articles de cette série si ce n’est pas déjà fait. Vous y trouverez des présentations sur Nansen, De.fi et ChainlistDefillamaDune, Arkham IntelligenceGlassnodeToken TerminalTradingViewCoinGlassBubblemaps, Coingecko et GeckoTerminalAirdrops.ioLayer3.xyzCoinMarketCap, Staking Rewards ou encore Vestlab.

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L’article Crypto-fundraising : trouver les pépites avant l’heure est apparu en premier sur Journal du Coin.

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Monero – La confidentialité des transactions au centre du code

Monero, qui signifie « monnaie » en Esperanto, est l’une des plus anciennes cryptomonnaies. Pourtant, sa substance reste peu connue du public. Son protocole résout un des plus gros défis auquel les développeurs de cryptomonnaies sont confrontés : réaliser des transactions confidentielles.

Monero s’appuie sur le protocole CryptoNote. Il utilise différents outils afin de garantir un haut niveau de confidentialité des transactions : les signatures de cercle et les adresses furtives.

Créé par un développeur sous pseudonyme, comme Bitcoin, Monero est aujourd’hui développé conjointement par une équipe composée d’experts en cryptographie. Plus de 200 personnes ont collaboré à ce projet.

Les créateurs de Monero souhaitent pallier certaines faiblesses que comportent de nombreuses blockchains ouvertes. Elles ont une fâcheuse tendance à nuire à la vie privée de leurs utilisateurs.

Le problème de la fongibilité

La notion de fongibilité qualifie le caractère interchangeable d’un actif. Dans le cas de la monnaie, cela signifie que toutes les unités de compte doivent être égales. Ainsi, un billet de cent euros vaut toujours la même valeur qu’un autre billet de cent euros ou que deux billets de cinquante.

Sur le réseau Bitcoin, la fongibilité signifie que tous les bitcoins doivent avoir la même valeur indépendamment de leur historique, ou de l’entité qui les possède.

Cette propriété n’est pas garantie dans le cas des cryptomonnaies décentralisées. Sur Bitcoin, la traçabilité des transactions inscrites dans la blockchain pose des problèmes de fongibilité. Certains coins sont jugés « sales », lorsque l’historique des transactions associées comporte des opérations illégales (bitcoins volés, ou ayant servi à acheter des produits illicites). Par exemple, Coinbase refuse automatiquement les coins qui sont passés par certains dark markets, ou ayant servi à jouer en ligne.

Cela pose un gros problème quant au bon fonctionnement du réseau décentralisé, car tous les coins ne sont pas égaux. Certains utilisateurs sont même prêts à payer des frais supplémentaires pour « blanchir » leurs coins en utilisant des services de mixage.

La confidentialité des transactions

La confidentialité des transactions est donc nécessaire pour assurer la fongibilité d’une monnaie décentralisée. Elle l’est également pour permettre à des entreprises d’utiliser ce nouveau type de monnaie sans divulguer des données sensibles. Certaines entreprises n’ont aucune envie de communiquer le détail de leurs opérations financières à leurs concurrents. De même, le particulier ne ressent pas forcément le besoin de communiquer au monde entier la nature et le montant des achats qu’il effectue.

Les chercheurs du réseau Bitcoin proposent régulièrement de nouvelles solutions. Monero fut créé dès le départ dans le but d’assurer un haut niveau de confidentialité des transactions, via différents procédés. Le succès de cette cryptomonnaie est dû à cette propriété essentielle.

L’objectif de Monero ? Réaliser des transactions confidentielles

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Le protocole CryptoNote

Il s’agit du préalable cryptographique à la genèse de Monero.

CryptoNote est un protocole open-source permettant d’assurer l’anonymat des contreparties et la confidentialité des transactions. Il a servi de base à plusieurs cryptomonnaies. Contrairement au réseau Bitcoin, une blockchain administrée via CryptoNote ne révèle pas l’origine ou la destination des unités de compte.

Anonymat de l’émetteur : il est assuré en utilisant plusieurs clefs publiques pour signer une transaction (signatures de cercle). Les nœuds du réseau peuvent prouver que la transaction a bien été signée par l’émetteur ; mais sans être en mesure d’identifier la clef utilisée.

Anonymat du récepteur : le protocole permet de générer une paire de clefs à usage unique pour chaque transaction (adresses furtives). Il est alors impossible pour une tierce partie de déterminer si certaines transactions sont envoyées au même récepteur.

Protection contre les doubles dépenses : l’ancêtre des signatures de cercle s’appelle les signatures de groupe. Il faut s’appuyer sur une tierce partie pour protéger le système contre les double dépenses. Désormais, chaque adresse furtive laisse une empreinte dans la blockchain. Le protocole rejette alors toute transaction impliquant une adresse furtive qui a déjà été utilisée.

Preuve de travail « égalitaire » : le système souhaite assurer la linéarité entre l’investissement financier et la puissance de hachage correspondante, quel que soit le matériel utilisé pour miner, qu’il s’agisse des GPUs/FPGA/ASICs ou des CPUs.

CryptoNote fut le premier protocole à implémenter les signatures de cercle et les adresses furtives. Plusieurs hard forks de Monero permirent d’implémenter des améliorations, inspirées notamment par le développeur de Bitcoin Core Gregory Maxwell.

Le livre blanc de CryptoNote est disponible sur WebArchive.

Les signatures de cercle (ring signatures)

Il existe plusieurs versions de ce tour de passe-passe cryptographique, mais le but est toujours le même. Il faut cacher la clef publique associée à la clef privée ayant servi à signer une transaction, tout en étant en mesure de prouver que la signature est bien authentique. Dans le cas de Monero, le protocole s’appuie sur les travaux d’Eiichiro Fujisaki et de Koutarou Suzuki. Pour avoir plus de détails sur les transactions confidentielles basées sur les signatures de cercle (Ring CT), lire ce papier de Shen Noether.

Une signature de cercle permet de signer un message au nom d’un ensemble de clefs publiques. Il est alors impossible d’identifier l’auteur de la signature parmi l’ensemble des signataires (il y a équiprobabilité des émetteurs de la transaction parmi les signataires). Les nœuds du réseau peuvent juste s’assurer que la signature est correcte : il faut obligatoirement posséder une clef privée associée à l’une des clefs publiques utilisées pour que la signature soit correcte, mais il est impossible de lier une signature à l’adresse publique de l’émetteur de la transaction.

Chaque émetteur d’un paiement doit obligatoirement prouver qu’il dépense des sorties non dépensées (UTXOs) comme dans le cas de Bitcoin, mais ces UTXOs n’ont pas à être connues pour effectuer la vérification. Dans la pratique, cela signifie que lorsqu’un utilisateur souhaite effectuer une transaction de 50 XMR, il utilisera, par exemple, (22 XMR + 10 XMR + 3.8 XMR + 6.7 XMR + 6.5 XMR) provenant de différentes adresses inconnues.

Les adresses furtives (stealth adresses)

Chaque compte Monero possède :

Une adresse publique ;

Une clef de dépense privée (spend key) : cette clef privée permet d’émettre le paiement,

Une clef d’observation (view key) qui permet de visualiser les transactions entrantes vers le compte. Privée par défaut, elle peut être partagée afin de divulguer le solde d’un compte Monero.

Le système des adresses furtives permet à l’émetteur d’une transaction de créer des adresses à usage unique, aléatoires, pour le compte du récepteur. La clef privée de ces adresses est également liée au compte du récepteur, mais il est impossible d’identifier son adresse publique associée pour une tierce partie sans connaître sa clef d’observation. Par ce procédé cryptographique, seules les contreparties impliquées peuvent avoir connaissance de la transaction.

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Monero dans la pratique

Il est évident que la confidentialité des transactions effectuées sur le réseau Monero n’attire pas que des entités menant des activités légales. Monero est de plus en plus utilisé sur les dark markets. Cependant, un haut niveau de confidentialité offre aussi de nombreux avantages à ceux qui respectent la loi, mais souhaitent protéger des informations sensibles. Par exemple, un commerçant ne souhaite pas forcément divulguer l’identité de ses clients, ou le montant des transactions effectuées.

Le minage de Monero

La preuve de travail utilisée sur Monero reposa longtemps sur l’algorithme CryptoNight. Depuis novembre 2019, il s’agit de RandomX. Il est optimisé pour le minage par CPU et emploie différentes techniques rendant le minage par ASIC (puces spécialisées) moins efficace. L’idée est de garder le minage décentralisé, ainsi que d’avoir une distribution plus égalitaire des récompenses de bloc.

Émission et réception d’une transaction

Plusieurs wallets multi-devises gèrent Monero. Cependant, afin de bénéficier de l’ensemble des fonctionnalités offertes par le protocole, il est nécessaire d’installer le logiciel client complet sur son ordinateur. Les sources sont disponibles ici, et de nombreuses langues sont supportées, dont le français.

Après installation du logiciel client, il faudra télécharger l’intégralité de la blockchain sur son disque dur. Sa taille est d’environ 64 Go. Afin de lancer la synchronisation avec le réseau, il faut lancer l’exécutable “monerod.exe” présent à la racine du dossier. Il est possible de modifier le chemin d’accès à la blockchain, qui se trouve par défaut dans le répertoire C:ProgramDatabitmonerolmdb :

Soit en passant par l’invite de commande :
{cmd.exe, touche Windows + R} et en ajoutant « –data-dir N:nouveauchemind’accès »

Soit en modifiant le champ “Daemon startup flags” (“Options de démarrage” en français) de l’onglet “Settings” (“Réglages”) dans l’interface graphique utilisateur.

La création d’un nouveau portefeuille est tout à fait classique. La graine (phrase mnémonique, seed) peut comporter jusqu’à 25 mots.

La réception d’un paiement (via une adresse publique) est également triviale : son format est “humain-compatible” et le QR code associé s’affiche en grand format.

L’émission d’une transaction, en revanche, doit être configurée en fonction du niveau de confidentialité souhaité, c’est-à-dire qu’il est possible d’augmenter la taille du cercle de signataires à sa guise. Bien évidemment, cela augmente les frais.

Je suis un citoyen honnête. Pourquoi aurais-je besoin de transactions anonymes ?

La confidentialité des transactions est indispensable à cause de l’asymétrie de l’information. Elle se produit lorsque certains participants à un échange disposent d’informations pertinentes que d’autres n’ont pas :

Certaines entités accaparent une quantité très largement supérieure d’informations aux dépens des autres, notamment les données financières des simples citoyens.

Les marchés ne seront jamais libres si les conditions de concurrence pure et parfaite ne seront jamais remplies.

Les corporations ont un énorme avantage face au consommateur lambda. En effet, elles possèdent beaucoup plus d’informations que lui. Cela l’empêche de faire ses choix en connaissance de cause ou de proposer un business compétitif. La divulgation des données financières des consommateurs accroît grandement ces inégalités.

Les entreprises peuvent utiliser les données financières de leurs utilisateurs afin de manipuler les marchés. Elle peuvent aussi vendre ces données à des tierces parties ou se les faire subtiliser.

Les entreprises ayant accès au Big Data peuvent influencer les consommateurs ou ajuster leurs tarifs à leur guise.

Au-delà de la simple perte ou vol de données, cela peut créer des problèmes de sécurité physique. C’est le cas dans le contexte des objets connectés (exemple : voitures autonomes).

L’histoire est remplie d’exemples montrant que les gouvernements ont une fâcheuse tendance à utiliser les données financières de leurs citoyens pour justifier, à discrétion, des restrictions de libertés individuelles élémentaires.

Monero n’est pas une solution parfaite, et certains lui préfèreront les cryptomonnaies basées sur les preuves à divulgation nulle de connaissance. Cependant, Monero peut compter sur une équipe de développement solide et une base d’utilisateurs étendue.

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Les différentes approches de L2 sur Ethereum d’après Vitalik Buterin

Il y a plus d’un an, en parallèle des déploiements successifs de The Merge et du hard fork Shanghai, Ethereum a fait le choix de confier la problématique de scalabilité aux solutions de seconde couche. Ainsi, ce changement de paradigme tend à déporter l’activité réelle sur des layers 2 et à utiliser Ethereum comme une couche de règlement (settlement) et de disponibilité des données.

Layer 2 (L2) : le nerf de la guerre sur Ethereum

Depuis le début d’année, ces solutions ont le vent en poupe. Ainsi, tour à tour Optimism, Arbitrum ou encore Base ont été au cœur de l’attention. Si bien, qu’en l’espace d’un an, la TVL des layers 2 d’Ethereum est passée de 5 à 12 milliards de dollars.

Évolution de la TVL des L2 sur Ethereum – Source: L2Beat.

Cependant, toutes ces solutions n’adoptent pas la même approche. En effet, il existe une variété d’architectures différentes pour les L2, chacune adaptant le compromis entre sécurité, scalabilité et coût à sa manière.

De plus, toutes les applications hébergées sur ces couches 2 n’ont pas les mêmes besoins en ce qui concerne le trilemme précédemment évoqué. Par exemple, une application de finance décentralisée accordera une importance particulière à la sécurité, même si cela se fait au détriment de la scalabilité et du coût. En revanche, une application de réseau social mettra davantage l’accent sur la scalabilité et le coût pour ses utilisateurs.

Autant de spécificités que Vitalik Buterin a récemment abordées et analysées dans un article publié sur son blog personnel.

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Sécurité vs scalabilité

Dans un premier temps, Vitalik Buterin explore la relation entre la sécurité et la scalabilité pour définir une couche 2. Il pose la question :

« Si vous disposez d’un actif émis sur L1, puis déposé sur L2, et transféré à vous, quel niveau de garantie avez-vous que vous serez en mesure de ramener l’actif sur L1 ? »

Vitalik Buterin

En d’autres termes, la sécurité de votre actif lors de son passage de la couche 1 à la couche 2, et à vous, dépend entièrement du type de seconde couche utilisée. Examinons les différentes solutions, à savoir les rollups, les validiums et les L2 “déconnectées” d’Ethereum.

Avant toute chose, explicitons les différences entre ces concepts :

Un rollup exécute des transactions et stocke les données de transaction sur la chaîne principale, garantissant une forte sécurité ; 

un validium exécute également des transactions de manière vérifiable, mais externalise le stockage des données, réduisant les coûts, mais aussi la sécurité ; 

un L2 déconnecté fonctionne indépendamment de la chaîne principale, offrant une scalabilité maximale, mais avec la sécurité la plus faible, dépendant de ses propres mécanismes de consensus.

Les différentes garanties

Si c’est un rollup, la garantie est forte : vous aurez toujours la possibilité de récupérer votre actif sur la couche 1 grâce aux preuves de fraude ou aux ZK-SNARKs qui valident les transactions et stockent les données sur L1. 

Pour un validium, cette garantie peut être réduite, car elle dépend de la fiabilité du stockage des données et des mécanismes de consensus spécifiques à ces systèmes.

Enfin, les systèmes déconnectés quant à eux nécessitent de faire confiance à un petit groupe de personnes pour ne pas dérober les fonds ou perdre les clés. En effet, ces solutions nécessitent des ponts qui sont la plupart du temps opérés de manière centralisée.

System typeTechnology propertiesSecurity guaranteesCostsRollupComputation proven via fraud proofs or ZK-SNARKs, data stored on L1You can always bring the asset back to L1L1 data availability + SNARK-proving or redundant execution to catch errorsValidiumComputation proven via ZK-SNARKs (can’t use fraud proofs), data stored on a server or other separate systemData availability failure can cause assets to be lost, but not stolenSNARK-provingDisconnectedA separate chain (or server)Trust one or a small group of people not to steal your funds or lose the keysVery cheapTable des différents types de L2 avec leurs propriétés respectives.

Malheureusement, il semblerait que la sécurité soit fonction inverse de la scalabilité dans le cas des L2. En effet, plus le niveau de garantie est élevé, moins le système est scalable dans le contexte des solutions de Layer 2.

Ainsi, les rollups, qui offrent une forte garantie de retrait des actifs vers L1, requièrent que toutes les données de transaction soient stockées sur L1, ce qui les rend moins scalables en raison de la limitation de l’espace de données sur L1. 

En revanche, les validiums et les systèmes déconnectés, qui stockent les données en dehors de L1, peuvent traiter plus de transactions à moindre coût, mais au prix d’une garantie moindre lorsqu’il s’agit de récupérer les actifs sur L1.

Les options de sécurité intermédiaires

Toutefois, comme le précise Vitalik Buterin, il s’agit là d’une simplification de l’état réel du monde des rollups. En effet, il existe une multitude de solutions intermédiaires ou hybrides, dont : 

Les Volitions, un hybride entre rollup et validium, qui permettent aux utilisateurs de choisir où les données de transaction sont stockées (on-chain ou off-chain) ;

Les systèmes avec pré-confirmations, qui permettent les retraits rapides avant la finalisation complète, idéale dans le cas des rollups Optimistic.

À noter qu’à l’avenir, le coût de publication des données sur Ethereum devrait drastiquement diminuer. Dans un premier temps via le déploiement de proto-danksharding lors du hard fork Cancun-Deneb, qui devrait amener à ~32 kB/sec de données disponibles sur la chaîne. Puis dans un second temps avec le déploiement de full-danksharding, pour atteindre finalement une disponibilité de données d’environ 1,3 Mo/sec.

Cela permettra notamment une nette amélioration des performances des rollups, qui utilisent Ethereum comme couche d’accessibilité des données.

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Intégration avec Ethereum : la synchronisation essentielle

La cohésion entre Ethereum et les couches secondaires est centrale à la sécurité des L2. Ainsi, ces dernières doivent lire avec précision la blockchain Ethereum, et ce, à tout moment.

C’est particulièrement vrai dans le cas où Ethereum viendrait à revert, à savoir revenir en arrière. Vitalik Buterin expose cette situation dans un exemple. Imaginons que la blockchain Ethereum “se retourne”. Si la L2 n’est pas en mesure de gérer cette situation, celle-ci ne sera pas au fait des modifications d’état on-chain. Par conséquent, il pourrait être possible d’imprimer de l’argent sur le L2 en profitant de cette faille.

Exemple d’un revert d’Ethereum

C’est pour cela que Vitalik Buterin souligne l’importance pour les systèmes de Layer 2 de pouvoir lire la blockchain Ethereum de manière fiable et de revenir en arrière si nécessaire. Il met en avant deux solutions principales :

Les chaînes de Layer 2 ne lisent que les blocs d’Ethereum qui ont été finalisés, évitant ainsi le besoin de revenir en arrière.

Les chaînes de Layer 2 peuvent revenir en arrière si Ethereum revert, ce qui maintient la fonctionnalité, mais est plus complexe à implémenter.

Il s’agit là d’une nouvelle distinction dans le fonctionnement des solutions de seconde couche. Ainsi, chacune de ces solutions est viable, leur implémentation dépendra des besoins de la layer 2.

Conclusion

Les liens avec Ethereum sont essentiels pour les couches secondaires. Vitalik Buterin identifie deux composantes majeures. 

D’un côté, nous avons la sécurité des retraits vers Ethereum : est-ce fiable et tout le monde bénéficie-t-il de cette fiabilité ? De l’autre, la capacité de lire la blockchain d’Ethereum : est-ce rapide et comment réagir face à des événements exceptionnels comme des attaques ou des retours en arrière de la blockchain ?

Les réponses varient selon les applications, certaines nécessitant une connexion étroite et sécurisée, d’autres pouvant se permettre plus de flexibilité.

Alors que les layers 2 sont au cœur de l’attention, les layers 3 commencent à pointer le bout de leur nez. Par exemple, Arbitrum a récemment déployé Orbit, son programme dédié à la création de L3 au-dessus d’Arbitrum.

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Hebdo Crypto #265 – Les actualités Bitcoin et cryptomonnaies de la semaine

La semaine du 06/11 en bref. L’actualité concernant Bitcoin et les cryptomonnaies est en ébullition constante. Il peut arriver que des informations capitales se perdent dans le flux informatif quotidien et que vous passiez à côté des points importants. Ce format est là pour y remédier. Nous revenons sur les actualités de la semaine passée dans lHebdo Crypto afin de vous tenir informés sur la situation actuelle des cryptomonnaies.

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L’actualité crypto en bref

Aave corrige une faille critique à temps. Le protocole de DeFi a été alerté d’une faille critique via son programme de bug bounty. Heureusement, les développeurs ont pu prendre les mesures nécessaires avant que celle-ci ne soit exploitée.

Kraken envisage de lancer son propre layer 2 sur Ethereum. Ainsi, quelques mois après son concurrent Coinbase, Kraken serait en discussion avec plusieurs équipes de développeurs.

Binance a listé les Ordinals de Bitcoin. Cela a entrainé une importante hausse du cours de plusieurs jetons BRC-20.

La soirée Yuga Labs vire au désastre. Les détenteurs de NFT Bored Ape Yacht Club se sont retrouvés à l’occasion du ApeFest. Cependant, après la soirée, de nombreux participants ont souffert de lésions oculaires.

Après Bitcoin, BlackRock travail sur un ETF Spot Ethereum. Ainsi, la rumeur lancée en début de semaine est validée, ce qui n’a pas manqué de faire monter le cours de l’ETH.

MultiversX au cœur d’une affaire de manipulation de marché. Ainsi, la récente hausse pourrait avoir été orchestrée en Corée du Sud.

L’USDT est le premier stablecoin de l’écosystème crypto en termes de capitalisation. Retour sur l’histoire de cette crypto aux risques systémiques.

Les 5 métriques de la semaine

588 000$, il s’agit du montant dérobé par un hacker via une fausse application Ledger Live. Ainsi, le hacker a publié son application vérolée sur le Microsoft Store, attirant de nombreuses victimes à lui.

100 millions, c’est le nombre de jetons ARB que la DAO d’Arbitrum souhaite allouer à un programme de staking. Celui-ci viendrait récompenser les utilisateurs qui bloquent leurs jetons ARB.

450 000$, il s’agit du montant qui a été dérobé sur le portefeuille communautaire de Monero. En pratique, ce portefeuille contenait les fonds destinés au Community Crowdfunding System, qui vise à financer les initiatives communautaires.

2024, il s’agit de l‘année au cours de laquelle Circle envisage son entrée en bourse. Pour rappel, Circle est l’entreprise à l’origine du stablecoin USDC.

37 800$, il s’agit du prix atteint par le BTC cette semaine. L’actif roi des cryptomonnaies a ainsi enregistré une hausse de 7 % sur la semaine.

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