Christie’s vend le Beeple NFT pour la somme record de 69 millions de $

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Une œuvre d’art digitale a été vendue pour un montant record de 69,3 millions de dollars chez Christie’s

Une œuvre d’art digitale a été vendue pour plus de 69 millions de dollars chez Christie’s hier matin. C’est la première fois que la célèbre maison de vente aux enchères britannique a réussi à vendre un art à tokens non fongibles (NFT), et le Beeple NFT est l’art digital le plus cher jamais vendu.

L’œuvre d’art, intitulée ´Everydays : The First 5,000 Days´, est l’œuvre de Beeple, un illustrateur de 41 ans originaire du Wisconsin. Il s’agit d’un collage de 5 000 images réalisées par l’artiste en autant de jours.

Les tokens non fongibles délivrent une ´preuve de propriété´ adossée à la blockchain sur des objets tels que les œuvres d’art, ce qui permet aux artistes de revendiquer la propriété de leurs œuvres numériques et de percevoir une compensation pour celles-ci. Les arts NFT sont de plus en plus populaires dans l’espace de la crypto-monnaie et gagnent lentement l’adoption par le grand public.

La vente à huit chiffres du Beeple NFT est désormais l’actif le plus cher depuis que la technologie blockchain a commencé à accueillir des arts et des médias numériques. Ce dernier développement attirera davantage l’attention sur les NFT, les aidant à gagner une adoption plus générale au cours des prochains mois.

Pablo Rodriguez-Fraile, un collectionneur d’art de Miami, a déclaré à Forbes que la vente du NFT Beeple est un moment extraordinaire. « Je crois que cela sert de validation claire que l’art digital est aussi important que ce que nous connaissons comme l’art traditionnel, avec Beeple son leader et symbole clair », a-t-il ajouté.

En plus d’être le premier art digital à être vendu chez Christie’s, le Beeple NFT est désormais la troisième œuvre d’art la plus chère vendue aux enchères par un artiste vivant. Le Beeple NFT n’est que derrière la peinture de David Hockney vendue pour 90,3 millions de dollars en 2018, et la sculpture en acier inoxydable Rabbit vendue pour 91,1 millions de dollars en 2019.

L’événement d’hier était la première fois que la maison de vente aux enchères séculaire vendait un NFT numérique, et c’était également la première fois que Christie’s acceptait Ethereum comme paiement pour des œuvres d’art. La maison de vente aux enchères a déclaré qu’elle prévoyait d’organiser davantage de ventes d’art digital à l’avenir.

Beeple, dont le vrai nom est Mike Winkelmann, a créé l’œuvre ´Everydays : The First 5,000 Days en mettant en ligne une image chaque jour depuis 2007. L’œuvre vendue hier est une collection de ces images dessinées par le logiciel, dont la plupart sont des réquisitoires insolents contre nos vies modernes et obsédées par la technologie.

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Les NFT, en passe de ravir au Bitcoin le statut de la pire monstruosité écologique supposée ?

Il suffit de relativiser – Bitcoin n’est plus le seul acteur de la cryptosphère à être pointé du doigt par les défenseurs de l’écologie, qui voient des empreintes carbone partout. Le roi des cryptomonnaies se fait, cette fois-ci, tacler par les jetons non fongibles – ces fameux NFT.

Des détracteurs qui sortent leurs dernières cartes

C’est à la fois le nouveau et le vieux cheval de bataille des anti-cryptos : la consommation électrique de Bitcoin, plus précisément ses émissions de CO2.

Nouveau, car l’aspect technologique et économique du roi des cryptos et de moins en moins attaquable face à son succès et sa résilience. Vieux, car l’argument concernant les consommations énergétiques liées au consensus par preuve de travail (PoW) perd du terrain. Autrement dit, les anti-BTC semblent tenter de tirer leurs dernières cartouches.

Si les NFT sont dans le viseur des « zéro carbone », c’est parce qu’ils sont effectivement très gourmands en termes de transactions nécessaires sur le réseau Ethereum (ETH) – qui est pour l’instant toujours en consensus par PoW.

L’exécution des smart contracts les régissant nécessite ainsi une (ou plusieurs) transaction(s) à chaque étape de vie d’un NFT : à la création (minting), lors des mises aux enchères, à la vente et à chaque transfert de propriété.

Les NFT réellement polluants ?

C’estle site Crypto Art qui essaie de calculer quelle est l’empreinte (à ne pas confondre avec l’émission réelle) de CO2 de ces tokens numériques uniques.

Par exemple, le joli NFT ci-dessous aurait consommé 421 kWh d’électricité depuis sa création, ce qui correspondrait à l’émission de 246 kg de CO2. Cela équivaudrait à 1 mois et demi de consommation électrique moyenne d’un européen.

Supreme x Federal Reserve 02 – Quantitative Easing, source : SuperRare

Par contre, quand on sait que chaque être humain (près de 8 milliards au total) émet pas loin de 1 kg de CO2 chaque jour par sa simple respiration, il faut commencer à relativiser.

Une prise de recul indispensable

Dans la cryptosphère, personne ne prétend que le PoW est le meilleur consensus pour les NFT. En effet, le consensus par preuve d’enjeu (PoS) peut sembler bien mieux adapté, puisque beaucoup moins énergivore. Pour autant, seul le PoW a démontré pour l’heure sa capacité à assurer une véritable résistance à la censure.

Mais le PoS représente bien le consensus du futur Ethereum 2.0, ou encore des solutions dites de seconde couche (2-layer), comme le projet Flow, qui a adopté le PoS, en raison de son orientation vers les NFT : son impact écologique supposé sera donc moindre.

De plus, comme le rappelle très justement un article de l’équipe du site Super Rare, qui héberge le NFT ci-dessus :

« (…) même si tout le monde mettait en pause l’utilisation des applications Ethereum et qu’aucune transaction n’était envoyée pendant une journée entière, les émissions de carbone du réseau resteraient essentiellement les mêmes. »

Eh, oui ! Comme le signale la prestigieuse université de Cambridge (dans sa section « The energy cost per transaction »), le coût énergétique par transaction est une idée trompeuse, montrant une méconnaissance des blockchains en PoW :

« La métrique populaire du ‘coût énergétique par transaction’ est régulièrement mise en avant par les médias (…) bien qu’elle présente de nombreuses failles. Premièrement, le débit des transactions (c’est-à-dire le nombre de transactions que le système peut traiter) est indépendant de la consommation d’électricité du réseau. »

Effectivement, même quand Bitcoin ou Ethereum n’avaient que quelques mineurs – qui consommaient donc beaucoup moins d’électricité -, le même nombre de blocs (avec leur taille maximale de transactions) étaient émis chaque jour.

Le fait de remplir ces blocs de nombreuses transactions peut donc même être vu comme très utile. Plus les blocs sont remplis d’échanges utiles, et moins le gâchis d’énergie est important, ce qui est exactement à l’image du surplus d’électricité gâché d’un barrage hydro-électrique.

Ne pas utiliser les cryptos, c’est ce qui serait réellement anti-écologique dans cette logique. Qu’on veuille ou non, ces réseaux tournent en permanence, donc autant s’en servir ! En fin de compte, parmi les diverses préoccupations écologiques, les NFT devraient être tout en bas de « l’échelle de Greta Thunberg ».

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Le premier NFT d’Ethereum vendu par Christie’s atomise tous les records – Il dépense 69 millions de $ pour un JPEG !

Les NFT cassent la baraque – Le record de vente pour un NFT a une nouvelle fois été battu. C’est l’artiste Beeple qui a, cette fois-ci, vendu l’une de ses œuvres pour 69 millions de dollars, pr l’intermédiaire de la maison Christie’s.

69 millions de dollars : la vente de tous les records

À la fin du mois de février, l’artiste Beeple faisait la Une suite à la vente d’un NFT à l’effigie de Donald Trump, pour la modique somme de 6,6 millions, déjà un record à l’époque.

Fort de cette vente et d’un succès montant, l’artiste a eu le privilège de mettre en vente l’une de ses œuvres auprès d’une des plus grandes maisons de vente aux enchères, veille de plus de 300 ans : Chritie’s.

L’œuvre intitulée « EVERYDAYS: THE FIRST 5000 DAYS » est composée de 5 000 images réalisées quotidiennement depuis 2007.

EVERYDAYS: THE FIRST 5000 DAYS – Source : Christies.

Mise en vente le 25 février dernier, l’enchère a rapidement atteint plusieurs millions de dollars. Par la suite, les choses se sont accéléré à l’approche de la fin de l’enchère, en passant dans l’ultime minute de 20 à 50 millions de dollars, pour finalement voir la vente se conclure pour la somme astronomique de 69 millions de dollars.

Le NFT étant hébergé sur Ethereum, le prix de la vente initial était fixé en ether. Néanmoins, la façon dont l’heureux acheteur anonyme paiera n’est pas tout à fait clair : crypto ou bonne vieille monnaie fiduciaire ?

Grâce à cette vente, Beeple se place désormais dans le top 3 des artistes les plus côtés de leur vivant. Pour rappel, la vente d’art la plus chère au monde concerne une œuvre de Leonard De Vinci, vendu pour 450 millions de dollars.

Blockchain, la suppression des intermédiaires : vraiment ?

Malgré ce record et l’importance qu’il aura dans l’univers des NFT, de nombreux internautes s’interrogent sur le recours à Christie’s. En effet, le propre même de la blockchain et de réduire le nombre d’intermédiaires.

Alors que la vente aurait très bien pu être menée sur une plateforme décentralisée, celle-ci s’est déroulée via la maison d’enchère Christie’s – en d’autres termes, un intermédiaire, et pas des moindres.

De plus, les sommes de plus en plus délirantes qu’atteignent les jetons non fongibles posent bien d’autres questions… pour l’instant simplement discutées.

Évidemment, il est peu probable que l’œuvre ait atteint de tels sommets si elle avait été mis en vente sur une plateforme décentralisée. Quoi qu’il en soit, Beeple voit sa carrière d’artiste propulsée.

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La formule pour trouver les cryptomonnaies qui feront x100 existe-t-elle ? Il pense avoir trouvé le truc

Sortez les pioches et les pelles !La recherche de crypto-pépites est une activité bien compliquée, au vu du nombre impressionnant de projets existant aujourd’hui. Le trader-YouTuber Lark Davis a détaillé sa propre méthode pour essayer de trouver des crypto-filons très juteux.

Comment trouver les cryptos qui peuvent faire un x100 ?

Même si des crypto-actifs stars comme Bitcoin (BTC) ou Ethereum (ETH) sont des valeurs sûres, à la vue de leur capitalisation respective actuelle, il semble très compliqué qu’elles connaissent (à nouveau) un x100 sur leurs cours.

Lark Davis explique, dans une vidéo sur sa chaîne YouTube, le processus qu’il suit pour tenter de trouver la perle rare au milieu de la jungle des cryptomonnaies.

Premier point : le « market cap compte ». Il faut comprendre ici que, plus une crypto est déjà fortement capitalisée, et moins son potentiel de croissance sera important :

« Si l’on veut parler de façon réaliste de potentiels gains multipliés par 100, il faut idéalement rechercher une crypto dont la capitalisation est inférieure à 10 millions de dollars. »

Le trader recommande le site agrégateur de données du marché crypto, CoinGecko, pour repérer ces projets. Le site CoinMarketCap peut également faire l’affaire.

Ventes de tokens, TVL et autres conseils

Ensuite, Lark Davis recommande de s’intéresser aux ventes de tokens de nouveaux projets, que ce soit par le biais d’ICO (initial coin offerings) ou d’IEO (initial exchange offerings), comme le Launchpad de Binance :

« Il y a peut-être déjà eu une douzaine de ventes de tokens jusqu’à présent cette année, qui ont fait près de x100 le premier jour de leur cotation. Ce ne sont pas des performances courantes, mais cela arrive (…) »

Il faut aussi savoir regarder là où le marché n’est pas concentré. Après la finance décentralisée (DeFi) et la nouvelle mode des tokens non fongibles (NFT), vers quoi pourraient se tourner le marché crypto ?

Ou à plus court terme, quels sont les futurs projets – encore méconnus – qui pourraient cartonner dans ces domaines à la mode ?

« Commencez à réfléchir à ce qui va réellement venir ensuite (…) quels autres cas d’utilisation pour les cryptomonnaies ? Qu’en est-il des cas d’utilisation pour les entreprises, comme Unibright (UBT) ? Le marché est-il déjà prêt pour cela ? Qu’en est-il de l’informatique en nuage décentralisée (decentralized cloud), des réseaux de diffusion de contenu ? »

Dernière astuce de la méthode de Lark Davis, pour les projets de DeFi : regarder la valeur totale verrouillée (ou TVL) dans le protocole.

« CoinGecko vous donnera la TVL en temps réel des protocoles DeFi. Par exemple, nous pouvons voir que la proportion entre la capitalisation et la TVL d’Aave (AAVE) est à 0,97 en ce moment, ce qui signifie que la valeur totale verrouillée est proche de la parité avec la capitalisation de cette crypto. Mais nous avons aussi d’autres projets, comme Badger DAO (BADGER) qui a un score TVL beaucoup beaucoup plus bas (de 0,28), ce qui signifie qu’il y a beaucoup plus d’actifs verrouillés dans la plateforme que sa capitalisation ne le reflète, ce qui signifie que ce protocole est susceptible d’être sous-évalué. »

Lark Davis donne encore un dernier conseil plein de bon sens à la fin de sa vidéo. Il est important que vous fassiez toujours vos propres recherches sur un projet. De même, il faut réaliser que plus vous allez dans des projets peu capitalisés, plus le pari sera risqué.

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Taco Bell surfe sur la vague NFT

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Les NFTs, il y en a pour tous les goûts. Taco Bell lance les siens, une autre manière de satisfaire le palais de ses clients. La pâte est-elle trop épaisse ? La garniture est-elle suffisamment équilibrée ? Votre media préféré se transforme le temps d’un article en critique culinaire NFT.

Des recettes de tacos NFT

La chaîne de restauration rapide Taco Bell vient de vendre son premier lot de collectibles numériques sur le thème des tacos, sur Rarible.

Le 8 mars 2021, Taco Bell émet un tweet avec une sauce originale, lors du lancement des NFT qui se sont d’ailleurs vendus rapidement : “Nos tacos mous aux pommes de terre épicées peuvent désormais vivre dans vos cœurs, vos estomacs et vos portefeuilles numériques”

Taco Bell a créé 5 NFT différents, vendus par lot de 5. Les collectibles ont été mis en vente pour 0,001 Ether (ETH), un prix relativement bas pour des NFTs.

L’entreprise encaissera 0,01 % des ventes, la quasi intégralité des recettes est reversée à la Fondation Taco Bell, dont l’objectif est d’aider les jeunes dans leur carrière.

Les tacos NFT ont été baptisés Ever-Crunching Tacos, Gimme That, Tato Dimensions, Transformative Taco, et Swivel, Taco.

Certains sont des images, d’autres des GIF ou de courts clips vidéo.

Sur la route des tacos NFT : séduire les propriétaires

Les seuls tacos NFT disponibles à la vente sont les Swivel, Taco, qui appartiennent tous à une seule personne. Une personne a proposé 0,15 wETH.

Les autres ne sont pas à vendre, mais les cryptophiles peuvent toujours faire une offre que le propriétaire pourrait accepter.

L’offre la plus élevée pour l’un des Tato Dimensions est de 0,4 wETH. Le propriétaire pourrait cependant refuser toute idée de vendre ses NFTs.

Le NBA Top Shot a enregistré un volume d’échange atteignant 32 millions de dollars en une journée en février 2021. Bratz, Doctor Who et les Lapins Crétins ont également plongé les NFTs, tout comme Kings of Leon et Grimes. Selon une étude récente, le marché des NFTs valait environ 250 millions de dollars en 2020. Il devrait connaître un essor important en 2021 et ce, malgré les problèmes de scalabilité d’Ethereum pénalisant la plupart des projets DeFi et NFT. Ces derniers semblent être en train de devenir un passage obligé pour les marques voulant séduire les cryptophiles. Les collectibles de Tacos Bell n’augmentent pas le goût de ses plats, mais offrent une expérience gustative virtuelle originale.

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Beeple NFT se vend 70 millions de dollars – Trustnodes

Un NFT de l’artiste numérique Beeple qui contient «une image tous les jours pendant 5 000 jours consécutifs», a vendu pour un incroyable 69 346 250 $.

Cela en fait le NFT le plus cher et peut-être l’œuvre d’art la plus chère jamais vendue.

«En mai 2007, l’artiste numérique connu sous le nom de Beeple a entrepris de créer et de publier chaque jour une nouvelle œuvre d’art en ligne.

Il n’a pas manqué un jour depuis, créant une nouvelle image numérique chaque jour pendant 5000 jours consécutifs.

Individuellement connu sous le nom de TOUS LES JOURS, collectivement, les pièces forment le noyau de TOUS LES JOURS: LES 5000 PREMIERS JOURS, l’un des corpus d’œuvres les plus uniques à émerger dans l’histoire de l’art numérique », disent-ils.

Beeple, qui donne vie à MarsBeeple, qui donne vie à Mars

Le NFT (photo, image en vedette) contient toutes ces œuvres d’art quotidiennes dans une seule toile numérique avec on ne sait pas actuellement qui était l’acheteur.

Le prix énorme pour ce que certains disent n’est même pas «  réel  » peut étonner le monde de l’art qui trouve à la fois des défis et des opportunités dans cette nouvelle invention de la propriété symbolique de l’art numérique.

Cette tokenisation fournit une preuve d’originalité, donc potentiellement dans le processus de création d’un marché pour l’espace d’art numérique qui semble maintenant si chaud.

Traduction de l’article de Trustnodes : Article Original

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Record du monde: ce jeton non fongible (NFT) se vend 60 millions de dollars chez Christie’s

A fragment of “EVERYDAYS: THE FIRST 5000 DAYS” by Beeple. Un jeton non fongible (NFT), une œuvre d’art qui se crée depuis treize ans, vient d’être vendu pour la somme astronomique de 69,35 millions de dollars par la célèbre maison de vente aux enchères britannique Christie’s.
Il s’agit du NFT le plus cher jamais vendu, ce qui place son auteur parmi les

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Une oeuvre d’art crypto vendue 69,3 millions de dollars aux enchères, un record

une oeuvre d art crypto vendue 69 3 millions de dollars aux encheres un record

Un coup de marteau en forme de coup de tonnerre. Une oeuvre entièrement numérique de l’artiste américain Beeple a été vendue jeudi 69,3 millions de dollars (57 millions d’euros environ) par la maison d’enchères Christie’s, un record qui témoigne de la révolution en cours sur ce marché longtemps confidentiel. « Everydays: the First 5.000 Days », assemblage de dessins et animations réalisés quotidiennement durant 5.000 jours d’affilée, situe Mike Winkelmann, véritable nom de Beeple, parmi les trois artistes les plus chers du monde de leur vivant, tous supports confondus.

Agé de 39 ans, Mike Winkelmann était connu pour ses projets numériques et collaborations mais il n’avait encore jamais vendu d’oeuvre à son nom avant fin octobre. La vente de jeudi illustre la montée en puissance d’une nouvelle technologie d’authentification, utilisant la « blockchain » utilisée pour les cryptomonnaies, présentée comme un remède miracle aux copies, un des freins au développement de l’art numérique.

Elle permet de commercialiser des oeuvres, et à peu près tout ce qui est imaginable sur internet, des albums musicaux aux tweets de personnalités, sous la forme de « non-fungible token », « NFT », ou jeton non fongible. Cette appellation obscure, née en 2017, recouvre tout objet virtuel à l’identité, l’authenticité et la traçabilité en théorie incontestable et inviolable.

À lire aussi — Comment les oeuvres crypto pourraient bouleverser le marché de l’art traditionnel

Les records de ventes se succèdent

Depuis environ six mois que le « NFT » est entré dans le vocabulaire d’un cercle plus large d’internautes, les records se succèdent à un rythme échevelé et ils sont de plus en plus nombreux, artistes, entrepreneurs, collectionneurs, à vouloir en être.

Fin février, une autre oeuvre de Beeple, « Crossroads », s’était déjà revendue 6,6 millions de dollars (5,5 millions d’euros) — dont l’artiste a touché 10% — sur la plateforme Nifty Gateway, spécialisée dans les oeuvres virtuelles. Et une animation qu’il avait lui-même vendue fin octobre, pour un dollar symbolique, a récemment été acquise pour 150.000 dollars (125 000 euros environ).

Toujours à l’affût de nouvelles technologies, la ligue professionnelle nord-américaine de basket NBA a elle aussi lancé sa plateforme « NFT », Top Shot, qui commercialise des extraits vidéos de quelques secondes d’actions de jeu. En février, un clip d’un envol de la star des Los Angeles Lakers LeBron James s’est vendu 208.000 dollars (173 000 euros environ), record pour un « moment », le nom de ces extraits.

À lire aussi — La chanteuse Grimes a gagné 5,8 M$ en moins de 20 minutes en vendant des œuvres d’art crypto

Retrouver l’article original de ici: Lien Source

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Cardstack introduit un réseau de paiement crypté et de récompense pour les créateurs »CryptoNinjas

Cardstack, un SaaS open source pour le web 3.0, a annoncé aujourd’hui l’introduction d’une sidechain pour les transactions pour le lancement du réseau Card Pay. Avec Card Pay, les créateurs peuvent vendre leurs produits et services directement aux clients.

Les clients peuvent payer les produits et services dont ils ont besoin avec des cartes prépayées, libellées dans une devise qu’ils comprennent. Les fournisseurs peuvent émettre et vendre ces cartes prépayées aux clients, en fournissant des rampes faciles à utiliser; et tous ceux qui participent peuvent gagner des récompenses.

«Card Pay garantit que les frais ne coûtent qu’une fraction d’un centime. Pendant ce temps, nous combinons des crypto-monnaies, des pièces stables et d’autres types d’instruments DeFi innovants, adossés à des contrats intelligents, avec une interface utilisateur conviviale. Ainsi, nous donnons aux utilisateurs sans expérience cryptographique la possibilité d’effectuer des paiements quotidiens pratiques de manière décentralisée, en participant au commerce décentralisé tout en bénéficiant d’une expérience utilisateur amusante, fluide et cohérente. « 
– L’équipe Cardstack

Qu’est-ce que Card Pay?

Card Pay est un réseau de paiement et de récompense:

  • Il est basé sur la technologie des couches 1 et 2.
  • La crypto-monnaie, les pièces stables et d’autres types d’instruments DeFi adossés à des contrats intelligents sont utilisés pour effectuer des paiements pratiques au quotidien.
  • Le système prend en charge le commerce décentralisé.

«Avec l’arrivée de la technologie de couche 2, il nous est désormais possible de dire: si un paiement ne coûte qu’une fraction d’un centime, nous pouvons peut-être commencer à utiliser la crypto-monnaie et les pièces stables et d’autres types de contrats intelligents innovants. Les instruments DeFi pour aller de l’avant et effectuer des paiements quotidiens pratiques impliquant des choses qui ressemblent à du commerce électronique ou à un commerce décentralisé. »
– Chris Tse, fondateur de Cardstack

Card Pay est conçu pour le marché des créateurs:

  • Les créateurs peuvent être des développeurs et des concepteurs qui créent de nouveaux types de cartes (mini-applications) qui remplacent les applications SaaS de la Silicon Valley.
  • Les créateurs peuvent également être des personnes ordinaires qui créent des médias, proposent des biens ou des services et créent des adhésions ou des communautés.

Card Pay se compose d’une application Web et d’une application mobile:

  • Les fournisseurs peuvent déposer des fonds dans le pool de réserve du protocole CARD et émettre des cartes prépayées dans l’application Web.
  • Les commerçants peuvent gérer leurs boutiques en ligne avec l’application Web.
  • Les clients peuvent effectuer des paiements avec l’application mobile.
  • Ils dépensent de l’argent via des cartes prépayées, qu’ils peuvent recharger à tout moment.
  • Les transactions des clients dans le réseau Card Pay mènent à des récompenses.

Comment fonctionne l’écosystème?

L’écosystème de Cardstack est un cycle vertueux:

  • Les développeurs créent des outils logiciels.
  • Les clients utilisent ces outils pour créer de nouveaux contenus et données.
  • Ils lancent leur contenu et leurs données dans des espaces et des flux de travail partagés.
  • Ensuite, les utilisateurs effectuent des transactions entre eux, dépensant de l’argent pour payer les fournisseurs et les prestataires de services.
  • Les revenus qui en résultent nous permettent de récompenser les développeurs, les concepteurs et les autres créateurs pour leurs contributions.
  • À leur tour, ils créent plus d’outils, qui mènent à de nouveaux contenus et expériences, basés sur une bibliothèque open source partagée.

Comment fonctionne Card Pay?

Les transactions génèrent des récompenses:

  • Les clients dépensent de l’argent via des cartes prépayées.
  • Leurs transactions dans le réseau Card Pay mènent à des récompenses.
  • Les récompenses peuvent être monétaires (p. Ex. Jetons de récompense) ou non monétaires (p. Ex. Points, bons).
  • Les récompenses non monétaires sont des NFT.
  • Les points de récompense mènent à un statut, similaire à un statut de miles aériens, qui peut apporter des récompenses supplémentaires.
  • Un ensemble d’analyses exploite l’historique en chaîne pour suivre les programmes de récompense actifs.
  • Le protocole CARD et Tally permettent le cycle des dépenses, des gains, des offres et des échanges entre les clients et les commerçants.
  • Les clients peuvent utiliser leurs points de récompense ou leurs bons d’achat comme moyens de paiement supplémentaires.

Traduction de l’article de CryptoNinjas.net : Article Original

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69,3 millions de dollars, c’est le prix du NFT le plus cher du monde

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C’est historique pour le monde de l’art, le record du token non fongible (NFT) le plus cher au monde vient une nouvelle fois de tomber. Organisée par la maison Christie’s, la vente aux enchères d’une œuvre numérique de l’artiste Beeple s’est clôturée à 69,3 millions de dollars.

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