Memecoin LIBRA en Argentine : retour sur un futur scandale d’État ? Crypto Dossier

Décidément, le week-end aura été agité dans la sphère crypto. Ainsi, vendredi 14 février tard, Javier Milei, l’actuel président argentin a annoncé via X le lancement du jeton LIBRA sur Solana. Sans grande surprise, celui-ci a atteint des sommets à plusieurs milliards de dollars de capitalisation avant de s’effondrer tout aussi vite. Alors que l’opposition politique le poursuit en justice pour manipulation de marchés, de nouveaux éléments montrent un lien entre ce jeton et celui de Melania Trump, lancé la veille de l’investiture de son mari Donald Trump. De son côté, Hayden Davis, le créateur du jeton dévoile les dessous du lancement dans une interview. Explorons les dessous de cette affaire.

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Javier Milei lance le jeton LIBRA

Comme nous venons de l’aborder, vendredi 14 février, le président argentin Javier Milei a annoncé sur le réseau social X le lancement du jeton LIBRA sur Solana.

Celui-ci est alors présenté comme un projet privé destiné à encourager la croissance de l’économie locale. Toutefois, au vu du déroulé des heures et jours qui ont suivi, nous avons de quoi en douter.

Lancé le 14 février à 23h, heure française, le LIBRA atteindra les 4,54 milliards de dollars de marketcap. Et ce, seulement une demi-heure après son lancement. Par la suite, en l’espace d’une heure et demie, le cours va s’effondrer, pour atteindre les 700M$ de marketcap. Il oscille actuellement aux alentours de 400 millions de dollars de marketcap.

Le cours du LIBRA s’effondre aussi vite qu’il est monté – Source : DexScreener.

Sans surprise, les rumeurs de manipulation de marché et d’insider trading ont rapidement émergé.

Le créateur de LIBRA en lien avec le jeton MELANIA

Les événements vont prendre une tout autre tournure ce lundi 17 février suite aux révélations coordonnées de BubbleMaps et CoffeeZilla.

Pour rappel, BubbleMaps propose un outil de visualisation de données on-chain et mène fréquemment des enquêtes on-chain. De son côté, CoffeeZilla est un YouTuber qui met en évidence des escroqueries. Il a notamment mis en évidence celle de Logan Paul via sa collection de NFT CryptoZoo.

Pendant le week-end, l’entreprise avait pointé du doigt les retraits de liquidités opérés par les créateurs du LIBRA. En effet, ils avaient alors retiré pour un montant de 87 millions de dollars. 

Toutefois, les révélations de cette nuit sont d’autant plus graves et impressionnantes.

« Comment $LIBRA a été créé par l’équipe à l’origine de MELANIA et d’autres coins éphémères ?Une nouvelle preuve onchain. »

Ainsi, des similarités dans les modes opératoires avaient été identifiées engendrant de nombreuses rumeurs. Malheureusement, peu de preuves concrètes avaient jusqu’ici pu être fournies.

Les pièces du puzzle s’assemblent

Lors de leur investigation sur le jeton MELANIA, ils avaient identifié l’adresse d’un sniper « P5tb4 ». Celui-ci avait réalisé 2,4 millions de dollars de gains.

Pour rappel, un sniper est un robot qui va acheter une cryptomonnaies le plus vite possible après son lancement. Sniper qui semblerait-il être utilisé par le créateur du jeton MELANIA.

« Cette adresse a envoyé tous les bénéfices à 0xcEA, un portefeuille lié au créateur de MELANIA. Le transfert a été effectué à l’aide du protocole CCTP (Cross-Chain Transfer Protocol) de l’USDC. »

Selon BubbleMaps, plusieurs connexions existent entre ce wallet (0xcEA) et le créateur du jeton MELANIA. Comme le précise le thread, cela veut dire que le créateur du MELANIA ou une personne de son équipe a activement snipé le lancement du jeton.

Les événements deviennent intéressants dans les semaines qui suivent quand l’adresse 0xcEA va financer l’adresse DEfcyK, à savoir le créateur du jeton LIBRA. C’est aussi elle qui a retiré les liquidités en empochant 87 millions de dollars quelques heures après le lancement.

« Pour ne rien arranger, 0xcEA a également piraté $LIBRA et réalisé un profit de 6 millions de dollars, en utilisant plusieurs adresses secondaires financées par le CCTP. Cette situation est similaire à l’affaire MELANIA. »

Un cas loin d’être isolé

En étudiant de près l’adresse 0xcEA, les équipes de BubbleMaps ont découvert que celle-ci était liée à plusieurs autres lancements de jetons tels que TRUST, KACY, VIBES ou encore HOOD.

Sans grande surprise, ces jetons ont connu le même sort, prenant la forme de pump&dump où le cours explose lors du lancement avant de rapidement chuter. Les insiders empochent les bénéfices lors de la hausse et les investisseurs classiques essuient les pertes pendant la chute.

Qui est derrière ces jetons ?

Toutefois, une question reste en suspens : qui est à l’origine de ces jetons ?

Au lendemain du lancement du jeton et de son fiasco, Hayden Davis, le fondateur de Kelsier Ventures a dévoilé dans une vidéo, publiée sur X, être à l’origine du lancement du jeton. 

Addressing Libra: pic.twitter.com/lUlAADWnkq

— Kelsier (@KelsierVentures) February 16, 2025

Dans cette vidéo, il explique également être l’un des conseillers de Javier Milei. Que ce soit concernant le lancement du jeton LIBRA mais également sur des projets plus larges concernant la tokenisation en Argentine.

Tôt ce matin, le YouTuber CoffeeZilla a publié une interview d’un peu plus d’une heure avec Hayden Davis, revenant sur les détails de ce lancement et ce qu’il se serait réellement passé.

Cette interview des plus intéressantes met en lumière plusieurs points majeurs concernant ce lancement et nous allons les explorer un à un.

Le projet initial de Milei avec le LIBRA

D’après l’interview, le projet initial du président argentin Javier Milei était d’utiliser le lancement du memecoin Libra comme un test pour une initiative plus large. En effet, selon les dires de Hayden Davis, Javier Milei est très intéressé par la tokenisation et la transparence offerte par la blockchain. De ce fait, il souhaite que toutes les transactions financières du pays passent par la blockchain.

Bien qu’il en ait fait la promotion, cela ne devait pas être le jeton de Javier Milei. Ainsi, en amont du lancement, plusieurs discussions étaient en cours avec des fondations pour structurer un plan à long terme pour la tokenisation des transactions financières du pays.

Deux employés de Tech Forum Argentina, « Manuel » et « Mauricio » étaient ainsi impliqués dans le lancement. De son côté, Kip Network devait gérer la fondation aux manettes du projet, comme expliqué par Hayden Davis dans l’interview :

« Kip Network allait gérer l’organisation à but non lucratif ou quoi que ce soit qui allait être comme une fondation »

Un lancement qui ne s’est pas passé comme prévu

Toujours selon Hayden Davis, le lancement ne s’est pas passé comme prévu. Ainsi, l’objectif initial était d’accumuler suffisamment de liquidités au lancement pour contrer l’impact des snipers.

En contrôlant les liquidités, Davis pensait être en mesure de contrôler la chute du prix, causée par les ventes massives des snipers. Ainsi, selon lui, des snipers experts ont investi massivement dans le jeton. Bien qu’il ne s’agirait pas d’insiders. Malgré ses tentatives, leurs achats étaient trop massifs pour contrôler la chute.

Par la suite, Javier Milei devait publier une deuxième vidéo sur X pour promouvoir le projet. En parallèle d’autres personnalités influentes (non nommées dans l’interview) devaient également interagir ou promouvoir le LIBRA.

Mais Milei, probablement face à des pressions politiques, a retiré son soutien et supprimé sa publication initiale sur X. De ce fait, les autres interactions de personnalités influentes n’ont pas eu lieu.

Milei se retire du projet

En effet, quelques heures après sa publication initiale, Javier Milei a retiré le tweet et fait la déclaration suivante sur X : 

« Il y a quelques heures, j’ai posté un tweet, comme je l’ai fait d’innombrables fois auparavant, pour soutenir une entreprise prétendument privée avec laquelle je n’ai évidemment aucun lien. Je ne connaissais pas les détails du projet et après m’être renseigné, j’ai décidé de ne pas continuer à le diffuser (c’est pourquoi j’ai supprimé le tweet). »

De son côté, Hayden Davis se défend via le communiqué partagé par Kelsier Ventures :

« À ma grande surprise, Milei a ensuite publié une déclaration indiquant que son retrait était dû à une prétendue mauvaise conduite de la part des fondateurs du projet, les qualifiant d’escrocs. Je rejette catégoriquement cette affirmation et tiens à souligner que Julian Peh, fondateur de KIP Network et principal sponsor de Libra Token, est totalement innocent de tout acte répréhensible. Je ne peux que supposer que les associés de Milei ont tenté de rejeter la faute sur Julian afin de se protéger de toute responsabilité. »

Les deux parties se renvoient la balle pour ne pas prendre la responsabilité de ce fiasco. De son côté, le président argentin devrait faire une apparition télévisée dans la journée afin de faire la lumière sur ce fiasco.

Les critiques de rug-pull

Comme nous l’avons abordé précédemment, le créateur du jeton a retiré des liquidités de la pool Meteora, ce qui a été perçu comme un rug-pull.

Hayden Davis explique qu’il a fait cela pour « protéger le prix minimal du jeton » :

« Est-ce que j’échange une partie des liquidités pour protéger le prix minimal en sachant qu’il y a d’autres plans de marketing à venir ou est-ce que je laisse le graphique s’écraser et c’est ce qui se passe à chacun de ces lancements, c’est ce qui se passe quand il y a entre trois et dix sniper experts qui cherchent juste à se débarrasser de toute leur position. »

Selon Davis, le plan initial était de réinjecter la vaste majorité des liquidités après la deuxième vidéo de Milei, afin de créer un « mega Trump launch ». Cependant, ce plan n’a pas pu être mis en œuvre, car le président a retiré son soutien au projet.

KOL et insiders

Évidemment, CoffeZilla l’a également interrogé sur les KOL (Key Opinion Leaders) et autres insiders qui auraient profité du lancement.

Ainsi, plusieurs KOLs et initiés étaient au courant du lancement du LIBRA avant le public. Cela leur donnait un avantage pour acheter tôt ou partager l’information avec d’autres.

Un exemple notable est Dave Portnoy, qui connaissait l’existence de LIBRA environ deux semaines avant son lancement. Il a investi 5 millions de dollars dans le projet. Par la suite, Dave Portnoy a perdu de l’argent sur le jeton, et l’équipe a décidé de le rembourser. Un événement qui a suscité la controverse.

De son côté, Davis explique que ce remboursement était une erreur. Notamment réalisé par l’attente d’un soutien public continu du président Milei et par le souhait de ne pas voir Portnoy perdre d’argent. Il reconnaît que cela a créé l’impression que le système était truqué.

Son implication dans le jeton MELANIA

Enfin, Hayden Davis a confirmé son implication dans le lancement du memecoin MELANIA lancé par l’épouse de Donald Trump. 

Selon Davis, cette implication était motivée par la volonté d’éviter le « sniping » qui avait impacté le lancement du memecoin TRUMP. 

L’objectif était de créer un lancement plus stable et équitable. Davis insiste sur le fait que, contrairement à Libra, l’équipe Melania n’a retiré aucune liquidité et n’a réalisé aucun profit sur ce projet. 

Il souligne que cette décision a été prise dans un souci de transparence et d’intégrité. Cependant, il reconnaît que des adresses liées au projet ont pu être impliquées dans des opérations de vente de jetons Melania, mais sans qu’il y ait eu de retrait de liquidités de la part de l’équipe principale.

Une défense un peu fébrile, on se l’accorde.

Une fois de plus, il s’agit d’une affaire riche en rebondissements qui aura fait couler de l’encre. Reste maintenant à savoir si des autorités vont se saisir de l’affaire et si des poursuites seront engagées à l’encontre de Hayden Davis ou d’autres parties impliquées dans le lancement. Quoi qu’il en soit, prudence est mère de sûreté. Cette interview montre bien que les investisseurs que nous sommes n’ont aucune chance face aux KOLs et autres insiders. Ainsi, les memecoins sont à trader avec une extrême précaution.

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Radix DLT – Présentation partie 2 – Une nouvelle norme pour les développeurs

Radix DLT est une plateforme full stack, une pile technologique complète dédiée à améliorer le Web3 sous tous ses aspects, issue de plusieurs années de recherche et de développement.

Cet article est la suite de la première partie où nous avions récemment posé les principes généraux du protocole et les principaux détails techniques. Il est important d’avoir lu cette première approche au préalable.

Nous allons aujourd’hui aborder la mise en pratique et les outils spécialement conçus pour changer la vie des développeurs. En effet, de nombreux concepts qui sous-tendent le design de Radix s’éloignent radicalement des normes actuelles en la matière. Nous nous baserons sur le livre blanc du projet afin d’exposer cette boite à outils technologique. Pour nous y aider, l’équipe a réalisé de nombreux schémas explicatifs, qui nous permettront de saisir la manière dont le travail de développement sur Radix diffère fondamentalement des plateformes existantes.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Radix.

Un protocole taillé pour la DeFi

Le protocole Radix est développé en open source par la Radix Foundation. Radix possède des propriétés uniques, qui vont au-delà de ses performances techniques et de son accessibilité pour les développeurs et les utilisateurs.

Les fonctionnalités classiques de la DeFi sont préexistantes, éprouvées et maintenues :

Actifs fongibles ou NFT ;

Comptes ;

Représentations de parts d’un fonds ou d’un pool ;

Contrôle multipartite ;

Pools de liquidité ;

Échanges (swaps) ;

Oracles ;

Etc.

Des « briques Lego » pour décentraliser la finance

Derrière cette appellation (on-network DeFi Lego Bricks) se cache des librairies, des frameworks et autres outils pour les développeurs Scrypto sur Radix. Comme pour les suites logicielles classiques, ils permettent aux programmeurs de créer plus rapidement leurs dApps, en réutilisant ce que d’autres ont déjà réalisé. De plus, cette standardisation générale améliore l’interopérabilité entre les applications.

L’avantage du réseau décentralisé est que la collaboration communautaire et la gestion des packages s’effectue directement sur ce dernier. Les blueprints peuvent être utilisés de façon modulaire, adaptés, mis à jour, versionnés et combinés. Il n’y a pas à copier/coller du code au sein d’un projet : il suffit d’utiliser l’environnement partagé du réseau pour utiliser les blueprints déjà déployés et opérationnels.

Ainsi, les développeurs n’ont donc pas à construire leur dApp de A à Z : ils peuvent réutiliser et combiner des blueprints fonctionnels. La philosophie de Radix est ainsi très proche de celle des créateurs d’UNIX dans les années 70. Des programmes simples et efficaces, pouvant être facilement combinés, pour bien fonctionner dans un ensemble plus complexe. En effet, cela maximise l’interopérabilité et la modularité, tout en permettant à chacun de contribuer à son niveau pour l’ensemble de la communauté.

Le Catalogue des Blueprints

Le modèle de Radix diffère grandement des plateformes de smart-contracts classiques, où les développeurs écrivent leur code, le déploient sur le réseau, et laissent les utilisateurs interagir avec. Le code Scrypto déployé sur Radix devient un blueprint ajouté à un registre appelé Blueprint Catalog.

Tout code déployé sur le réseau est ajouté au catalogue des blueprints.

Pour instancier un composant à partir d’un blueprint disponible dans le catalogue, le développeur appelle une fonction qui active le (ou les) composants et ressources désirés. Il spécifie les paramètres pour personnaliser son instance. Il peut ainsi instancier plusieurs composants à partir d’un unique blueprint.

Spécifier les paramètres désirés est suffisant pour instancier plusieurs composant à partir du même blueprint.

Avec ce nouveau paradigme d’environnement applicatif, les développeurs accèdent de façon rapide, facile et sécurisée aux fonctionnalités déjà créées, testées et éprouvées. Les Blueprints peuvent ainsi être instanciés et personnalisés grâce à une simple transaction. On peut programmer leur instanciation via d’autres Blueprints ou Composants, et construire ainsi les fonctionnalités d’une dApp de façon modulaire. En d’autres termes, c’est comme si sur Ethereum, il suffisait d’appeler une fonction et de spécifier ses paramètres pour créer plusieurs jetons ERC-20 en quelques lignes de codes.

Exemple

Bob souhaite par exemple déployer un protocole de prêt sur Radix. Pour cela, il utilise un AMM à fonction constante afin de réaliser les swaps des actifs pris en charge par sa dApp. Dans son Blueprint Lender, il va alors instancier un blueprint existant correspondant à l’AMM, puis le configurer à sa guise.

Les Blueprints possèdent leur adresse unique, associée à celle de leur créateur. Radix propose un système de versionnage, chaque mise à jour nécessitant révision. Cependant, les différentes versions d’un Blueprint cohabitent de façon immuable sur le réseau. La mise à jour d’un blueprint n’entraîne donc pas automatiquement celle des blueprints ou composants instanciant ce dernier.

Un écosystème de développeurs auto-incitatif

Radix étend le concept d’incitation économique propre aux réseaux blockchains à l’écosystème de ses développeurs.

Les royalties

Le système de Developer Royalties de Radix est particulièrement intéressant et innovant. Il est conçu pour catalyser la croissance de l’écosystème, de la même façon que les récompenses de bloc incitent mineurs et valideurs à participer. Il s’appuie sur le Blueprint Catalog.

Les Developer Royalties sont pour les développeurs l’équivalent économique des récompenses de bloc pour les mineurs/validateurs d’un réseau blockchain.

Le système est simple mais efficace : le développeur d’un blueprint/composant peut définir des royalties pour chaque utilisation de son code au sein d’une transaction. Lors de chaque transaction nécessitant son utilisation, son développeur touche ainsi une petite commission. Les royalties se basent donc sur l’utilité réelle du composant.

Puisque les blueprints et les composants sont présents sur le réseau (il ne s’agit pas de copier/coller du code pour les utiliser), le Radix Engine assure le versement de ces royalties. De plus, ces paiements s’effectuent de manière complètement décentralisée, en fonction de l’utilité du travail apporté par le développeur. Cette propriété exclusive de Radix établit une sorte de place de marché developer-2-developer. Les royalties sont versées de façon automatique, et garanties par le mécanisme de consensus de Radix.

Un système de récompense basé sur l’utilité des contributions

Les Composants sont instanciés via des blueprints originaux. Ainsi, le développeur fixe ses royalties avant de déployer son blueprint dans le Catalogue. Lorsqu’une transaction fait appel à un composant instancié via son blueprint, son créateur perçoit sa royalty

Les royalties sont automatiquement calculées et ajoutées aux frais par le Radix Engine, au moment de la création de la transaction. L’utilisateur verra donc leur montant sur son wallet, en plus des traditionnels frais de transaction. Il incombe à chaque développeur la responsabilité de calculer finement ses royalties, en fonction de l’utilité et de la valeur de son code. Ainsi, certaines méthodes pourront être gratuites, tandis que d’autres seront payantes.

De nouveaux flux de revenus pour les développeurs

Ce modèle incite donc les développeurs à fournir les fonctionnalités les plus utiles et efficaces pour gagner des récompenses. Cela incite également à créer des blueprints standards, largement adoptés, améliorant d’autant plus la modularité générale de la plateforme.

Dans l’exemple de l’utilisation d’un AMM, le créateur du blueprint de base et le développeur de la dApp utilisant un composant instancié via ce blueprint sont tous deux récompensés.

Les royalties peuvent être cumulatives. Par exemple, le créateur d’un blueprint d’oracle percevra des royalties à chaque utilisation, tandis que le développeur d’un composant instancié à partir de cet oracle pourra être aussi récompensé pour son usage spécifique (par exemple s’il fournit des données originales, ou si sa version est adoptée par une dApp).

Ce modèle inédit permet de créer des flux de revenus on-chain pour les développeurs, pouvant inspirer de nouveaux business modèles. Il est possible de modifier le montant des royalties, toutefois, il faudra préalablement accepter l’ensemble des royalties associé à chaque nouvelle version d’un blueprint ou d’un composant pour l’utiliser.

Le guide du développeur

Le guide du développeur est l’interface regroupant les différents blueprints du catalogue que fournit la Fondation Radix. On y trouvera facilement toutes les informations les concernant : frais de transaction, prix des royalties, historique des versions, identifiant et réputation du développeur, usage, etc. De même, ce front-end facile d’accès permettra d’accéder aux données des différents composants instanciés sur le réseau. Cela permettra aux développeurs de découvrir tous les blueprints et les composants pour accélérer leur travail.

La Radix Foundation, résolument axée sur l’open source, compte voir croître un écosystème d’applications DeFi portée par une communauté de développeurs, récompensée à la juste mesure de son travail. La Fondation est là pour épauler cette communauté, en fournissant des blueprints-clés, exempts de royalties. De même, lors des stages initiaux de la croissance du réseau, elle récompensera les opérateurs de nœuds et les développeurs.

Cerberus, le protocole de consensus BFT parallélisé de Radix

À l’instar des plateformes de smart contracts et DLT de dernière génération, Radix présente un très haut débit de transactions. Plus précisément, Radix vise une scalabilité illimitée selon trois axes :

Débit de transactions illimité ;

Utilisation des applications DeFi illimitée ;

Composabilité illimitée entre les applications décentralisées.

Nous avons passé en revue le fonctionnement du Radix Engine, il est maintenant temps de s’intéresser au mécanisme de consensus de Radix : Cerberus.

Composabilité versus scalabilité

L’approche la plue répandue pour améliorer la scalabilité d’un DLT est celle du sharding (la fragmentation du réseau). Il s’agit de paralléliser les opérations à travers différentes parties du réseau (shards), pour augmenter son débit global. Certains réseaux utilisent une architecture en sidechains, articulées autour d’un hub : c’est le cas de Cosmos et de Polkadot. D’autres fragmentent les blocs, afin que différents nœuds traitent ces morceaux indépendamment, comme Near. Avec cette approche, applications et transactions se répartissent au sein de différents shards, pour être traitées en parallèle.

Les différents shards doivent communiquer entre eux. Les limites de ces architectures se posent lorsque les consensus des shards sont différents. Il faut trouver des méthodes de coordination. Dans tous les cas, elles vont affecter le débit du système, d’autant plus si le nombre de shards est fixe, et que les dApps et actifs du réseau global sont assignés à des shards statiques. Cela ralentit l’ensemble, peut provoquer des erreurs et renforce la complexité du code.

La scalabilité des plateformes DLT est donc souvent atteinte au détriment de la composabilité des applications décentralisées. Par composabilité, on entend la capacité des différents dApps et actifs à être interopérables. L’idéal est la composabilité « atomique » : valider ou rejeter des séries de transactions complexes entre différentes dApps en une seule étape. Cet objectif est au cœur du design de Cerberus.

Le consensus « tressé » de Cerberus

En tenant compte des observations ci-dessus, Radix et son système de sharding est conçu selon trois principes : 

Nombre de shards illimité ;

Protocole de consensus dynamique et synchrone entre les shards concernés par une opération atomique ;

Couche applicative adaptée.

Le concept central de Cerberus est nommé le « pré-sharding ». Le registre est initialement fragmenté en un très grand nombre de shards (virtuellement illimité). Ces fragments sont ensuite utilisés pour représenter tout type d’objet. Cerberus peut alors « tresser » un consensus sécurisé pour un nombre arbitraire de shards. On parle de « braided consensus » : nous allons nous contenter dans cet article d’explorer ce concept dans ses grandes lignes. Afin d’avoir plus de détails, il faut se référer au whitepaper dédié : Cerberus – A Parallelized BFT Consensus Protocol for Radix.

Ordonnancement partiel

Les registres distribués reposent sur l’ordonnancement global des transactions : elles sont toutes placées sur la même échelle temporelle. Avec Cerberus, l’ordonnancement ne concerne que la transaction à traiter. Tout d’abord, la couche applicative de Radix spécifie quels shards sont requis pour son exécution.

Sélection des shards concernés par la transaction.

Tressage

Une fois la sélection des shards effectuée, l’algorithme de consensus BFT consiste à exécuter une instance de 3 rondes de consensus pour chaque shard (appelée 3-chain). Toutes ces instances (donc ces shards) sont « tressées » les unes avec les autres, grâce à des mises en gage cryptographiques. Ces commitments sont produits et partagés par les nœuds leaders des shards concernés. On obtient alors un consensus « émergent », qui assure que tous les shards peuvent peuvent s’engager dans la transaction – atomic multi-shard transaction.

La transaction est bien atomique grâce aux mises en gage entre les shards (d’où l’appellation « tressage »).

Consensus dynamique

Le protocole est conçu pour paralléliser ces processus de consensus. Chaque shard a sa propre instance locale. Elles sont exécutées de façon indépendante, comme toute instance multi-shard qui n’est pas reliée temporellement à une autre à l’instant t au moment de l’exécution.

Cerberus est donc un algorithme de consensus conçu pour des réseaux d’applications et de transactions simultanées divers, de très grande taille. La scalabilité est linéraire, car la parallélisation des ensembles de shards est illimitée. De multiples opérations peuvent être effectuées en même temps sans ralentir le reste du système. Si la charge du réseau augmente, il suffit d’augmenter le nombre de nœuds. La section « Labs » du site officiel de Radix comporte un calculateur du débit de transactions en fonction du nombre de nœuds.

La scalabilité linéaire de Radix

La couche applicative de Radix

La parallélisation des tâches grâce à Cerberus confère donc au réseau un débit virtuellement illimité en termes de transferts d’actifs. Pour ce qui est de l’exécution des smart contracts, il faut concevoir une couche applicative adaptée. Cette dernière définit les règles qui régissent les sous-états du registre (substates). De plus, elle doit assurer que chaque transaction définit quels sous-états (et donc les shards concernés) doivent être inclus dans le consensus.

Un substate est donc un enregistrement qui fixe les règles d’une opération précise. Par exemple, lors d’un transfert de jetons entre Alice et Bob, les sous-états définissent :

Les 5 jetons se trouvent sur le compte de Bob ;

Ces 5 jetons ne se trouvent plus sur le compte d’Alice.

Ces deux substates permettent de s’assurer que les jetons ne sont ni perdus, ni créés. Il est donc très important, pour paralléliser les tâches, que la couche applicative donne à Cerberus la liste des shards concernés pour chaque transaction.

C’est grâce au Radix Engine que l’on peut définir les sous-états et leur importance pour une transaction donnée. En effet, les jetons sont traités comme des objets, au niveau de la plateforme. Ce concept de ressources permet de paralléliser les transferts autant que possible : les actifs sont disséminés au sein des sous-états et des shards à la demande. Ce n’est pas possible avec l’EVM, où les jetons sont représentés à travers des smart contracts individuels.

Structure des transactions

Conceptuellement, la façon dont les déplacements d’actifs fonctionnent sur Radix diffère des modèles UTXO classiques, comme Bitcoin ou Cardano.

Une transaction sur le Radix Engine spécifie l’intention de la transaction. Pour comprendre, imaginons le fonctionnement d’un smart contract devant traiter un grand nombre de transactions en même temps. Dans la version naïve, chaque transaction devrait spécifier quels substates/shards sont concernés et identifier les actifs à déplacer. Cela poserait des problèmes en cas d’utilisation massive du réseau :

Le portefeuille de l’utilisateur identifie les jetons à déplacer lors du swap, puis initie la transaction ;

Dans le même temps, un autre utilisateur effectue un swap, mais son portefeuille identifie les mêmes jetons ;

La première transaction devient alors invalide, et échoue.

C’est un problème qui s’est posé lors du lancement du premier DEX sur Cardano. Ces conflits proviennent du modèle de transaction : les UTXO doivent être identifiés préalablement au transfert des fonds.

Avec Radix, les jetons ne sont pas identifiés lors d’une transaction. Il s’agit simplement de communiquer l’intention

« Je souhaite envoyer cette quantité de jetons A sur le DEX (peu importe lesquels), et souhaite recevoir en échange cette quantité de jetons B en retour (peu importe lesquels). »

Les substates spécifiques à la transaction sont donc déterminés par le Radix Engine au moment de son exécution sur le réseau. Il « regarde » quels jetons sont disponibles, et prend la quantité désirée au moment où le réseau opère la transaction. Cela évite ainsi les conflits.

Structure des composants

Les composants de Radix, ainsi que leurs données et ressources, sont assignés à un shard unique, à n’importe quel moment dans le temps. De la sorte, chaque composant peut traiter autant de transactions que nécessaire. Pour chaque composant, le Radix Engine « capture » l’état de ce dernier au sein d’un unique substate. Toute ressource entrant dans le composant est incluse dans ce sous-état. À l’inverse, si une ressource quitte le composant, elle disparaît du substate.

Il en va de même pour les comptes, qui sont aussi des composants. Les applications décentralisées utilisant plusieurs composants font donc usage de plusieurs shards. Par exemple, dans le cas d’un DEX, chaque paire de trading utilisera un shard différent, et les échanges pourront être traités en parallèle.

Le sharding avec le Radix Engine et Cerberus

Nous en revenons à la notion de composabilité, qui ne doit pas être affectée par l’aspect hyperscalable de Radix. Sur Ethereum, les dApps peuvent être composables, mais toutes les transactions et les appels entre smart contracts passent par le même mécanisme de consensus global.

Dans le cas classique, les transactions composées entre de multiples dApps (entourées en gris) restent traitées par l’algorithme de consensus global du réseau.

Les mécanismes de sharding permettent de paralléliser les opérations, à travers un nombre fixé de shards ou de sidechains. Comme nous l’avons vu, bien que cela augmente le débit global, cela limite la composabilité entre les shards/sidechains. Le débit de chaque shard reste également limité.

Avec le sharding classique ou les systèmes de chaînes secondaires, la composabilité entre les dApps est compromise.

La combinaison du Radix Engine et de Cerberus permet de s’affranchir de ce compromis :

Transactions (« déplacement » des ressources) effectuées en parallèle sans goulot d’étranglement ;

Exécution des composants simultanée et sans conflits ;

Parallélisation des opérations des dApps, grâce aux multiples composants logiquement indépendants, qui augmente encore le débit ;

Sélection des ressources et composants nécessaires pour chaque transaction, qui maximise l’efficacité de la parallélisation.

La composabilité est assurée par Cerberus, qui exécute les transactions atomiques entre les shards. La scalabilité de Radix est ainsi virtuellement illimitée sans compromettre la composabilité atomique grâce au système de transactions cross-shards.

Radix : scalabilité et composabilité.

Le design unique de Radix a pour but de créer une plateforme DeFi réellement adaptée à une adoption de masse et à la finance globalisée !

La feuille de route de Radix vers l’hyperscalabilité

Nous avons passé en revue la technologie de Radix de façon théorique. En pratique, le projet est toujours en développement. La feuille de route de Radix vise à atteindre l’objectif d’hyperscalabilité – la capacité du réseau à accueillir des milliards d’utilisateurs – vers 2027.

Elle comporte 3 étapes :

Cassandra (2025). Il s’agit de la plateforme de test du Radix Engine.

Radix Engine (2025). Déjà implémenté lors de l’étape Babylon, il sera testé par la communauté après implémentation de la mise à jour du système de sharding, puis audité.

Xian : il s’agit de l’étape finale, la mise en production. La version alpha est prévue pour début 2027, et son lancement vers la mi-année. Xian sera implémenté en Rust en 2026, et intégrera toutes les fonctionnalités de la plateforme.

Ressources et références

En tant que développeur, Radix est bien sûr une opportunité à ne manquer si vous souhaitez travailler dans l’industrie Web3. Le système unique des royalties est particulièrement incitatif si vous souhaitez contribuer. Le Developer Hub vous permettra de vous familiariser avec Scrypto. Radix propose également un programme (incluant des récompenses) pour bâtir sa communauté, et l’accès à de futurs événements. Quant aux offres d’emploi, elles sont disponibles ici.

Si l’ambitieux Radix vous intéresse, vous trouverez ci-dessous toutes les liens et ressources nécessaires pour rejoindre sa communauté, et approfondir votre compréhension du projet. Le jeton natif de Radix, le XRD, est disponible sur de nombreuses plateformes, et directement achetable sur le site officiel via Alchemy Pay. L’équipe communique très régulièrement sur les réseaux sociaux et sur son blog.

Afin de tester la plateforme, l’utilisation du Radix Wallet, clair et intuitif, est une première étape. Un système ludique de quêtes vous permettra d’obtenir vos premiers jetons XRD.

Réseaux sociaux

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Ressources

Peer review de Cerberus et analyse mathématique formelle

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DeFi Whitepaper

Cerberus Whitepaper

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Quand le street art arrive on-chain : Space Invader et Collaterize tokenisent une œuvre d’art

Collaterize est une blockchain spécialisée dans la tokenisation des actifs du monde réel (RWA). En novembre dernier, elle a ouvert les portes de son premier testnet public marquant une étape majeure dans son développement. Aujourd’hui, le projet annonce un partenariat innovant avec l’artiste Space Invader, connu pour son street art. Cette première collaboration vient donc de débuter directement sur l’application Collaterize.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Collaterize.

Collaterize et Space Invader annoncent aujourd’hui une collection de NFT

Samedi 15 février, les équipes de la plateforme RWA ont annoncé un partenariat avec l’artiste Space Invader. Vous avez probablement vu l’une de ses mosaïques iconiques en France, que ce soit à Paris, Nantes, Toulouse ou encore Lyon.

Une œuvre d’Invader à Paris.

Une démarche artistique entamée en 2010, lorsque Invader s’est inspiré de l’esthétique architecturale de Rome pour son œuvre « Mosaico & Muratura ». De ces productions urbaines sauvage distribuées au détour des rues, une série de sérigraphies voit le jour. 30 exemplaires disponibles, édités, signés et numérotés par l’artiste.

Aujourd’hui, Collaterize tokenise et met en vente l’une de ces sérigraphies. Ainsi, le projet a fractionné cette œuvre en 1 000 jetons uniques.

La vente de la sérigraphie « Mosaico & Muratura » de Invader vient d’ête annoncée sur X.

Une opération qui s’inscrit dans la volonté de Collaterize : 

« Transformer des actifs historiquement illiquides en jetons numériques négociables, en les rendant accessibles, liquides et programmables. »

Ainsi, vous avez vous aussi la possibilité d’acquérir une fraction d’œuvre d’art, pour un prix d’appel qui débute à 10,50$.

Vous l’aurez compris, l’objectif de la démarche est de réunir et faire grandir une communauté Collaterize passionnée d’art qui pourra enfin réaliser son rêve de collectionner sous la forme de jetons échangeables et surtout abordables.

La vente se déroule sur la plateforme de Collaterize, accessible via l’application mobile disponible sur iOS et téléchargeable sur l’App Store. La version Android quant à elle sera disponible très bientôt.

Ainsi, dès aujourd’hui, vous pouvez acquérir un bout de l’histoire du street art, on-chain grâce à la tokenisation de Collaterize.

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Crypto Daybook Americas: Roses Are Red, Violets Are Blue, Inflation Is Hot, but Bitcoin Shines Through

By James Van Straten (All times ET unless indicated otherwise)

Bitcoin (BTC) continues to climb the wall of worry, pushing above $97,000 despite hotter-than-expected U.S. consumer and producer price inflation reports in the past couple of days. That’s a surprise. With prices rising and the likelihood of a Fed rate cut receding, you’d expect risky investments like cryptocurrencies to pause, at the very least.

The buoyant behavior is possibly underpinned by signs that inflation is still seen as easing in coming months.

« Bitcoin could likely get some relief in the short-term judging by the high-frequency U.S. inflation indicator by truflation which suggests a significant decline in headline inflation over the coming months, » said Andre Dragosch, the head of European research at Bitwise. The Truflation U.S. Inflation Index currently shows 2.06%, indicating a potential decline.

Dragosch also noted the Federal Reserve’s cautious stance, suggesting the central bank is very aware of what happened in the 1970s, when three waves of inflation hit peaks of 6.2%, 12% and 15%.

« The Fed is afraid of the 1970s inflation scenario, which is why it rather takes a more cautious approach at the moment and is afraid of cutting rates too aggressively, » he said.

All that means the bitcoin bull market is far from over if historical trends hold out. Take a look at the 200-week moving average (a period of almost four years!). That’s currently around $44,200, below the previous market peak of $69,000 from November 2021. In the past, the average has risen toward the prior record, a move that implies further price growth is on the cards.

Also consider that short-term holders have accumulated 1.5 million bitcoin since September, showing continued demand from investors who tend to keep their BTC for less than 155 days.

On the public company front, Coinbase followed Robinhood with strong earnings and Gamestop is pondering a bitcoin investment, another potential catalyst for the market. Stay Alert!

What to Watch

Crypto:

Feb. 14: Dynamic TAO (DTAO) network upgrade goes live on the Bittensor (TAO) mainnet.

Feb. 14, 2:30 a.m.: Qtum (QTUM) hard fork network upgrade.

Feb. 18, 10:00 a.m.: FTX Digital Markets, the Bahamas-based subsidiary of FTX, starts reimbursing creditors.

Feb. 21: TON (The Open Network) becomes the exclusive blockchain infrastructure for messaging platform Telegram’s Mini App ecosystem.

Feb. 24: Ethereum developers start testing the code for the Pectra network upgrade on the Holesky testnet.

Macro

Feb. 14, 8:30 a.m.: The U.S. Census Bureau releases January’s Retail Sales data.

Retail Sales MoM Est. -0.1% vs. Prev. 0.4%

Retail Sales YoY Prev. 3.9%

Feb. 18, 10:20 a.m.: San Francisco Fed President and CEO Mary C. Daly delivers a speech at the Conference for Community Bankers in Phoenix. Livestream link.

Feb. 19, 2:00 p.m.: The Fed releases minutes of the Jan. 28-29 FOMC Meeting.

Earnings

Feb. 18: CoinShares International (CS), pre-market

Feb. 18: Semler Scientific (SMLR), post-market

Feb. 20: Block (XYZ), post-market, $0.88

Feb. 26: MARA Holdings (MARA), $-0.13

Token Events

Governance votes and calls

Aave DAO is discussing using GHO as a gas token across various networks. The framework proposes using the canonical network bridge to mint GHO directly as a gas token.

Umma DAO is voting on reducing UMA token emissions to optimize its economics. The proposal is to reduce emissions by 14% and assess the impact of the move.

Aavegotchi DAO is discussing migrating the protocol to Base over a need to join a chain with “strong ecosystem support.”

Arbitrum DAO is discussing upgrading to ArbOS 40 “Callisto,” which includes support for Ethereum’s upcoming Pectra upgrade.

Unlocks

Feb. 14: Starknet (STRK) to unlock 2.48% of circulating supply worth $15.19 million.

Feb. 15: Sei (SEI) to unlock 1.25% of circulating supply worth $13.46 million.

Feb. 16: Arbitrum (ARB) to unlock 2.13% of circulating supply worth $46.2 million.

Feb. 16: Avalanche (AVAX) to unlock 0.4% of circulating supply worth $43.55 million.

Feb. 21: Fast Token (FTN) to unlock 4.66% of circulating supply worth $78.8 million.

Feb. 28: Optimism (OP) to unlock 2.32% of circulating supply worth $36.67 million.

Token Launches

Feb. 14: Pudgy Penguins (PENGU) to be listed on Coinbase, according to a post shared by the Pudgy Penguins account.

Conferences:

CoinDesk’s Consensus to take place in Hong Kong on Feb. 18-20 and in Toronto on May 14-16. Use code DAYBOOK and save 15% on passes.

Day 2 of 2: The 4th Edition of NFT Paris.

Feb. 18-20: Consensus Hong Kong

Feb. 19: Sui Connect: Hong Kong

Feb. 23 to March 2: ETHDenver 2025 (Denver, Colorado)

Feb. 24: RWA London Summit 2025

Feb. 25: HederaCon 2025 (Denver)

Token Talk

By Francisco Rodrigues

Binance founder and former CEO Changpeng Zhao’s dog has been the talk of the town. After revealing he had the pet and being bombarded with requests for information, he eventually gave in, knowing memecoins would be launched.

Zhao shared a picture of himself with the Belgian malinois named Broccoli in a lengthy post that inspired a slew memecoins. These tokens, trading under the ticker BROCCOLI, debuted both BNB Chain and Solana.

Some saw significant price rises right after their introduction to reach billion dollar-plus market caps as traders rushed in. As the hype faded, so did the prices. Fortunes were made and sold over Broccoli.

One trader, for example, spent less than $1,000 to create a token inspired by the dog and started selling the tokens just two minutes later. The trader managed to make $6.5 million on the launch, as CoinDesk’s Danny Nelson reported.

The volatility affected the price of BNB itself, which is now 6.6% lower in the last 24 hours while bitcoin and ether are both up slightly. PancakeSwap’s CAKE token, which was up more than 70% on the week, is down 18%in the same period.

Elsewhere, the Trump-backed DeFi protocol WLFI has kept accumulating tokens, purchasing around $5 million worth of wrapped bitcoin (WBTC) and $1.4 million of Movement (MOVE).

Derivatives Positioning

XRP’s perpetual funding rates remain slightly negative, indicating a bias for shorts despite a 10% price surge. Should prices continue to rise, these shorts may throw in the towel, squaring off their bets and adding to an upward move in prices.

LTC, XLM and DOGE have seen net buying pressure in perpetual futures, according to the open interest-adjusted cumulative volume delta tracked by Velo Data.

BTC CME futures basis remains below ETH basis.

Block flows on Deribit featured outright longs in out-of-the-money calls and a bull call spread. In ETH, a call option at the $3,300 strike was filed in the March expiry, according to Amberdata.

Market Movements:

BTC is up 0.57% from 4 p.m. ET Thursday to $97,093.36 (24hrs: +0.96%)

ETH is up 1.39% at $2706.09 (24hrs: +1.13%)

CoinDesk 20 is up 3.70% to 3,324.03 (24hrs: +3.85%)

Ether CESR Composite Staking Rate is up 1 bps to 3.06%

BTC funding rate is at 0.0035% (3.8632% annualized) on Binance

DXY is down 0.32% at 106.97

Gold is up 1.17% at $2,960/oz

Silver is up 4.32% to $34.06/oz

Nikkei 225 closed -0.79% at 39,149.43

Hang Seng closed +3.69% at 22,620.33

FTSE is down 0.26% at 8,741.88

Euro Stoxx 50 is unchanged at 5,501.78

DJIA closed Thursday +0.77% at 44,711.43

S&P 500 closed +1.04% at 6,115.07

Nasdaq closed +1.5% at 19,945.64

S&P/TSX Composite Index closed +0.53% at 25,698.5

S&P 40 Latin America closed +0.69% at 2,438.53

U.S. 10-year Treasury rate was down 7 bps at 4.53%

E-mini S&P 500 futures are down 0.1% to 6,129.25

E-mini Nasdaq-100 futures are unchanged at 22,107

E-mini Dow Jones Industrial Average Index futures are down to 44,686

Bitcoin Stats:

BTC Dominance: 60.58 (-0.63%)

Ethereum to bitcoin ratio: 0.02783 (0.47%)

Hashrate (seven-day moving average): 818 EH/s

Hashprice (spot): $54.1

Total Fees: 5.67 BTC / $546,770

CME Futures Open Interest: 167,750

BTC priced in gold: 33.0 oz

BTC vs gold market cap: 9.37%

Technical Analysis

XRP has bounced off the Ichimoku cloud support, keeping the broader bullish outlook intact.

Prices seem to be headed toward the descending trendline resistance, which, if topped, will likely yield a move to record highs.

A potential move below the cloud would signal a bearish trend change.

Crypto Equities

MicroStrategy (MSTR): closed on Thursday at $324.92 (-0.58%), up 0.6% at $327.03 in pre-market.

Coinbase Global (COIN): closed at $298.11 (8.44%), down 1% at $295.12.

Galaxy Digital Holdings (GLXY): closed at C$28.37 (+5.58%)

MARA Holdings (MARA): closed at $16.91 (+4.13%), up 0.65% at $17.02

Riot Platforms (RIOT): closed at $12.23 (+9.59%), up 0.1% at $12.24.

Core Scientific (CORZ): closed at $12.54 (+3.72%), down 0.32% at $12.50.

CleanSpark (CLSK): closed at $10.67 (+1.43%), up 0.66% at $10.74.

CoinShares Valkyrie Bitcoin Miners ETF (WGMI): closed at $23.28 (+2.42%), down 1.12% at $23.02.

Semler Scientific (SMLR): closed at $49.45 (+3.69%), up 1.86% at $50.37.

Exodus Movement (EXOD): closed at $50.00 (+2.35%), down 3.34% at $48.33.

ETF Flows

Spot BTC ETFs:

Daily net flow: -$156.8 million

Cumulative net flows: $40.05 billion

Total BTC holdings ~ 1.171 million.

Spot ETH ETFs

Daily net flow: $12.8 million

Cumulative net flows: $3.14 billion

Total ETH holdings ~ 3.777 million.

Source: Farside Investors

Overnight Flows

Chart of the Day

The chart shows yields on the U.S. 10-year and two-year Treasury notes.

The 10-year yield has declined by 27 basis points in four weeks while the two-year yield has dropped 10 basis points.

The so-called bull flattening of the Treasury yield curve is a positive sign for risk assets, per some observers.

While You Were Sleeping

Bitcoin Bull Market Is Far From Over, Suggests Historical BTC Trend Tied to 200-Week Average (CoinDesk): Historical trends suggest the bitcoin price has room to grow despite renewed U.S. inflation pressures. While the long-term average remains below previous highs, investor bets signal optimism for further gains.

China’s Gaorong Ventures Invests $30 Million in Crypto Unicorn (Bloomberg): HashKey Group, the operator of one of Hong Kong’s regulated crypto exchanges, received $30 million from a Chinese venture capital firm at a reported post-money valuation of nearly $1.5 billion.

Japanese Energy Firm Remixpoint Boosts Crypto Holdings More Than 8,000% in 9 Months (CoinDesk): Remixpoint (3825) disclosed it had accumulated over 125 BTC for its treasury and spent over 9 billion yen ($59 million) on crypto.

Vance Wields Threat of Sanctions, Military Action to Push Putin Into Ukraine Deal (The Wall Street Journal): U.S. Vice President Vance warned that military power could be used if Russia refuses to agree to a peace deal that guarantees Ukraine’s independence from Moscow.

India, US Agree to Resolve Trade and Tariff Rows After Trump-Modi Talks (Reuters): India promised to increase its oil, gas and military-equipment purchases from the U.S. as it prepares for trade talks that could ease tariff tensions.

Taiwan Pledges to Boost US Investment After Donald Trump’s Tariff Threat (Financial Times): Taiwan’s President Lai Ching-te outlined measures to address the U.S. trade imbalance and pledged to ensure Taiwan remains indispensable in the global semiconductor supply chain.

In the Ether

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Bitcoin : GameStop serait prêt à investir dans le BTC selon des sources concordantes

Rétrospectivement, c’était inévitable. La société GameStop, connue pour ses magasins de jeux vidéo et son rôle dans le phénomène des actions « meme », envisagerait d’investir dans Bitcoin et d’autres cryptomonnaies. Citant trois sources anonymes proches du dossier, c’est CNBC qui a rapporté la nouvelle ces dernières heures et cette annonce a déjà fait grimper l’action de GameStop de 11,3 % dans les échanges après la clôture des marchés.

Les points clés de cet article :GameStop envisagerait d’investir dans Bitcoin, faisant grimper son action de 11,3 % après cette annonce choc.
La société dispose de 4,6 milliards de dollars en liquidités, ce qui lui permettrait d’effectuer un investissement significatif dans le domaine des cryptomonnaies.
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De WallStreetBets à Bitcoin, GameStop fait parler de lui

GameStop n’est pas étrangère au monde de la crypto. En 2021, l’entreprise est tout d’abord devenue un symbole de la rébellion des petits investisseurs contre les fonds spéculatifs de Wall Street, orchestrée sur le forum Reddit WallStreetBets. Cette saga a propulsé GameStop sous les projecteurs et a transformé son action en un véritable « memestock », soutenu par une communauté en ligne fervente.

Depuis, GameStop a continué de flirter avec les nouvelles technologies. En 2022, la société a lancé sa propre place de marché NFT sur Ethereum, marquant ainsi son entrée officielle dans l’univers de la blockchain.

Il y a quelques jours, le PDG de GameStop, Ryan Cohen, a publié une photo de lui aux côtés de Michael Saylor, fondateur et président exécutif de Strategy (anciennement MicroStrategy). Cette rencontre n’est pas passée inaperçue, car M. Saylor est bien connu pour avoir transformé Strategy en un géant du Bitcoin, avec presque 500 000 BTC détenus par l’entreprise.

Les PDG de Strategy et de GameStop posent ensemble pour la postérité ! – Source : Compte X

Une rencontre entre les deux PDG qui en dit long…

C’est pourquoi cette publication a immédiatement suscité des spéculations sur une éventuelle stratégie Bitcoin pour GameStop. Et il semble qu’elles étaient fondées !

Selon les dernières données financières, l’entreprise dispose de 4,6 milliards de dollars en liquidités à la fin du troisième trimestre de 2024. Avec des passifs totaux de moins de 1,5 milliard de dollars, GameStop a clairement les moyens de faire un investissement significatif dans Bitcoin ou d’autres cryptomonnaies.

Cette nouvelle survient alors que le prix du BTC se maintient autour de 96 700 dollars, après avoir atteint des sommets historiques plus tôt cette année. Un investissement de la société de jeux vidéo dans Bitcoin pourrait non seulement renforcer la position financière de l’entreprise, mais aussi consolider son image de pionnier numérique auprès de sa base d’investisseurs.

Si GameStop décidait effectivement d’investir dans Bitcoin, l’entreprise rejoindrait les rangs de sociétés comme Strategy et Tesla, qui ont déjà intégré la cryptomonnaie dans leur stratégie financière. Pour les investisseurs, cela pourrait représenter une nouvelle opportunité de capitaliser sur la popularité croissante de Bitcoin, tout en misant sur un acteur emblématique de la révolution numérique.

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OpenSea officialise son airdrop de tokens SEA et ouvre la bêta de sa V2

Cela fait plusieurs années qu’OpenSea, jadis grande leader du secteur des NFT, planchait sur une nouvelle version de sa plateforme. Aujourd’hui, OpenSea met fin à cette attente en dévoilant « OS2 » ainsi que le SEA, son futur token. Et ce dernier sera distribué sous forme d’airdrop reposant sur un système d’XP.

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Crypto for Advisors: It’s Tax Time

In today’s issue, we get ready for tax time as Anthony Tuths from KPMG provides an overview of crypto tax preparation and the rules to follow.

Then, Layne Nadeau from NVAL answers questions about taxes and NFTs in Ask and Expert.

Sarah Morton

Tax time – What You Need To Know About Crypto Taxes

The 2024 tax year has come to a close, and tax filing season is now upon us. If you’ve been trading crypto, there are some things you need to consider. The first is, be sure not to waste time. While a large U.S. centralized exchange may provide you with an IRS Form 1099, other exchanges likely will not, so you will need time to organize your own tax records. Moreover, even if the exchange provides you with a 1099, it likely will not have cost basis information. And most non-U.S. exchanges and DeFi protocols will not provide you with tax information.

In order to compute accurate gains and losses, you will need to have accurate trading records for each trade, including the cost basis of any tokens sold. You’ll likely need to pull this information from the exchange if you failed to keep contemporaneous records while trading in 2024. Also note that going forward, for trading in 2025 and beyond, you are required to use “tax lot relief” methods — i.e., select which portion of fungible tokens were sold and their related tax basis, even if using first-in-first-out (FIFO) methodology, on a wallet-by-wallet basis. For example, if you sold from wallet number 4, you can’t identify a token from wallet number 7 as the token sold; you can only identify a tax lot from wallet number 4. As a result, you may want to consider consolidating wallets. Also, per IRS Rule 2024-28, tax lot allocations were to be made before your first trade in 2025.

Aside from good record keeping and tax basis tracking, all forms of income and expenditures in crypto should be considered. For example, did you receive an airdrop of a token that had value at the time of the drop? Remember that ordinary income is equal to the fair market value of the token as of the time you had the power to sell it, whether you did so or not (see IRS Rule 2019-24). That income inclusion amount then becomes your tax basis, and a future disposition will result in a capital gain or loss based on that tax basis.

Also, did you earn crypto for services you provided as an employee or independent contractor? In that case, you had reportable income equal to the fair market value of the crypto received. That income is also subject to wage withholding or self-employment tax.

Heading into the final months of 2024, you may have sold some of your digital assets trading at a loss (i.e., loss harvesting). If so, those losses can be used to offset your taxable gains and reduce your tax liability. This is true even if you bought the same tokens back shortly after selling them since there is currently no wash sale rule for buying and selling crypto. Remember this during 2025 to reduce your future taxes.

Even after loss harvesting, did you still end up with taxable gains for 2024? You may still be able to contribute to your IRA if you haven’t done so already in order to create a deduction for 2024. In most cases, you have until April 15th to do this. And while you can’t contribute crypto to an IRA, if you have a self-directed IRA, you can contribute fiat to it and then use those funds to purchase crypto.

Lastly, did you buy a bitcoin or ether ETF? Note that even if you didn’t sell the ETF in 2024, you may still have tax liability. This is because the ETFs are structured as grantor trusts, and they sell small amounts of crypto each month to fund the management fees. Each ETP publishes a tax report for the year and posts it on its website. This report tells you how to calculate your gains/losses for the year as a trust unitholder. These tax gains and losses are currently reportable by you.

Good luck tax filing!!

Anthony Tuths, digital asset practice leader tax principle alternative investments, KPMG LLP

Ask an Expert

Q: How are non–fungible tokens (NFTs) treated for tax purposes?

A: In many jurisdictions, NFTs are considered digital assets and are subject to the same tax rules as cryptocurrencies. Some jurisdictions look past this simplification at the underlying assets associated with the NFT and apply the appropriate tax treatment for those assets (e.g. Money Market Funds, Art & Collectibles, Private Debt, etc.). Consulting a tax accounting professional is recommended.

Q: Can “Floor Price” be used to calculate the value of non-fungible assets for tax purposes?

A: No, a floor price is not accepted by formal accounting or tax standards. A service is required that uses accepted accounting methods, such as market comparisons, to calculate an acceptable fair market value. Accounting providers that specialize in digital assets will have these service providers in their partner network.

Q: Can a tax loss be realized for NFTs that have lost their value/market?

A: Yes, if selling the token is no longer an option there are services (e.g. UnsellableNFTs.com) that will “purchase” illiquid NFTs (for a nominal fee), allowing the capital loss to be booked.

Due to the lack of guidance from most tax authorities on this topic, a potentially safer alternative is to send your NFT to a burn wallet like the standard ETH burn address.

Layne Nadeau, CEO, NVAL

Keep Reading

U.S. Federal Reserve Chairman Jerome Powell committed during a Senate hearing to address the so-called « debanking » of legal business sectors, including digital assets.

As of Feb, 7, 22 U.S. states are already investing in or have bills or serious proposals around utilizing crypto as a strategic reserve.

Hong Kong is allowing bitcoin and ether holdings to be used for proof of assets for visa applications.

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Crypto : C’est officiel, OpenSea annonce le airdrop de son token SEA

NFT forever ! La nouvelle vient de tomber et elle fait déjà grand bruit dans la cryptosphère : OpenSea, la plateforme emblématique dédiée aux NFT, a annoncé le lancement imminent de son propre token, le SEA. Ce jeton vise à récompenser les utilisateurs actifs, fidèles et historiques d’OpenSea et de son protocole Seaport. Une nouvelle qui ravira sans doute les amateurs de NFT et les habitués de la plateforme.

Les points clés de cet article :OpenSea a annoncé le lancement de son propre token, le SEA, pour récompenser ses utilisateurs actifs et fidèles, sans nécessiter de vérification KYC.
La plateforme a également dévoilé OS2, une version améliorée qui intègre le trading de tokens et vise à renforcer l’engagement communautaire dans un marché NFT de plus en plus compétitif.
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Un airdrop qui va ravir les fans de NFT !

Contrairement aux rumeurs qui circulaient, OpenSea a confirmé que les utilisateurs n’auront pas besoin de passer par une vérification KYC (Know Your Customer) pour participer à cet airdrop. De plus, les utilisateurs américains seront également éligibles, une bonne nouvelle pour une communauté souvent mise de côté lors de ce type d’opérations en raison des régulations strictes aux États-Unis.

Selon James Hu, directeur général de la Fondation OpenSea, le token SEA marquera « une étape majeure dans l’autonomisation de notre communauté et le développement de l’écosystème OpenSea ». L’objectif est clair : encourager un engagement communautaire plus fort et soutenir la prochaine phase de croissance de l’écosystème NFT.

En parallèle de l’annonce du token SEA, OpenSea a aussi dévoilé OS2, une version revitalisée de sa plateforme. Cette mise à jour inclut le support du trading de tokens aux côtés des NFT, un système de récompenses XP, une expérience utilisateur améliorée, et bien sûr, l’intégration du token SEA.

La nouvelle de l’airdrop circule déjà sur les réseaux sociaux – Source : Compte X

OS2 : la nouvelle version d’OpenSea est une réponse à la concurrence

« Nous avons vraiment pris du recul avec cette refonte et nous nous sommes dit que nous voulions construire à long terme pour notre communauté et que nous voulions être beaucoup plus crypto-natifs », a déclaré Devin Finzer, co-fondateur et PDG d’OpenSea. Cette nouvelle version marque une transition vers une plateforme plus orientée Web3, capable de répondre aux besoins variés des traders de NFT et de cryptomonnaies.

OpenSea, autrefois leader incontesté du marché des NFT, a vu sa part de marché diminuer face à des concurrents comme Blur et Magic Eden. Avec seulement 30% de parts de marché sur Ethereum, contre 62% pour Blur selon Tiexo, la plateforme se devait de réagir pour rester dans la course.

Le lancement du token SEA et la mise à jour OS2 sont donc des réponses stratégiques pour attirer de nouveaux utilisateurs tout en fidélisant les anciens. En offrant des récompenses sous forme de tokens, OpenSea espère stimuler l’activité sur sa plateforme et regagner du terrain face à ses rivaux.

En misant sur l’engagement communautaire et en simplifiant l’expérience utilisateur, la plateforme espère séduire à nouveau les traders de NFT et de cryptomonnaies. Reste à voir si ces initiatives lui permettront de reprendre sa place de leader sur un marché de plus en plus compétitif.

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OpenSea Confirms Upcoming Token Airdrop, Expands to Crypto Trading

Popular non-fungible token (NFT) marketplace OpenSea said Thursday that it is expanding its platform to crypto trading and confirmed it is planning to distribute SEA tokens to users.

The trading platform called OS2 has launched today, and aggregates marketplaces, allows cross-chain purchasing and offers lower fees in the beginning, according to the protocol’s press release.

« This represents an expansion of OpenSea from an NFT marketplace to a much broader platform for trading all types of digital assets, » said Devin Finzer, Co-founder and CEO of OpenSea. « We think tokens and NFTs belong together in a single, powerful, delightful experience. »

OpenSea Foundation, the Cayman Islands-based development organization behind the protocol, will also distribute SEA tokens offering utility on the OS2 platform.

While details and date of the airdrop remain undisclosed, OpenSea has confirmed that SEA will recognize both active users and those who have been part of the platform since its early days. US users will be included in the airdrop.

OpenSea has said that SEA’s utility will be focused on long-term engagement rather than short-term speculation.

The platform’s monthly trading volume is down significantly from a $5 billion peak in early 2021, having facilitated trading of $190 million worth of NFTs last month. The platform’s annualized revenue stands at $33 million, according to Dune Analytics data.

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