Comment les mises à jour d’Ethereum pourraient propulser l’ether encore plus haut

comment les mises a jour d ethereum pourraient propulser l ether encore plus haut

L’ether, deuxième plus importante cryptomonnaie au monde, a atteint un niveau record en franchissant les 4 000 dollars en début de semaine et affiche une performance supérieure au bitcoin depuis le début de l’année, avec un bond de plus de 400 %. Selon les analystes, l’intérêt croissant de grands acteurs tels que la Banque européenne d’investissement pour le réseau blockchain Ethereum, sur lequel fonctionne l’ether, a été un catalyseur essentiel.

Les investisseurs ont été attirés par la possibilité de créer sur ce système des contrats financiers décentralisés et d’autres applications telles que les jetons non fongibles, ou NFT. Mais les changements à venir sur Ethereum, qui visent à rendre le réseau plus grand et plus durable, enthousiasment également les investisseurs, car ils pourraient faire grimper le prix de l’ether encore plus haut.

À lire aussi — 3 analystes expliquent pourquoi l’ether va dépasser le bitcoin comme première cryptomonnaie

Insider s’est entretenu avec Ben Edgington, qui travaille sur ces mises à jour pour la société de développement ConsenSys. Il a présenté la feuille de route de ces changements.

La mise à jour ‘London’ va commencer à détruire des pièces d’ether

Après avoir modifié le fonctionnement du paiement des transactions en avril, les développeurs d’Ethereum se préparent à une refonte majeure du système de frais. Les changements sont prévus pour la mi-juillet, selon Ben Edgington. Dans le système actuel, les utilisateurs envoient ce que l’on appelle des frais de gaz aux mineurs en paiement des transactions à vérifier, dans une sorte d’enchère. Les mineurs effectuent des transactions, et créent des cryptomonnaies, en utilisant la puissance de calcul de leur ordinateur pour résoudre des énigmes sur le réseau.

Mais lorsque le réseau est occupé — comme c’est de plus en plus le cas — le système d’enchères oblige les utilisateurs à augmenter les montants et à estimer les frais appropriés, ce qui entraîne de la volatilité et une forte hausse des prix.

Pour remédier à ce problème, les développeurs d’Ethereum ont convenu d’un changement majeur, connu sous le nom de EIP-1559 dans le jargon cryptographique et devant avoir lieu lors d’un événement appelé « London hard fork ».

Dans le cadre du nouveau système, les frais de gaz seront remplacés par des frais de base obligatoires et déterminés automatiquement, qui fluctueront en fonction de la congestion du réseau. Les utilisateurs auront la possibilité de payer des pourboires aux mineurs s’ils ont besoin que les transactions soient effectuées rapidement.

Mais la partie la plus excitante pour de nombreux investisseurs est que le réseau commencera à détruire ou « brûler » une partie des frais de gaz. « Il y aura potentiellement plus d’ether brûlé que généré pour les mineurs », précise Ben Edgington. Il ajoute que cela pourrait faire baisser l’offre d’ether au fil du temps, « ce qui est en fait un atout par rapport à la politique monétaire du bitcoin, qui est fixe » (le nombre de bitcoins en circulation est prédéfini, ndlt).

Un analyste a déclaré plus tôt cette année que la combustion des frais pourrait jeter les bases d’une « croissance explosive » du prix de l’ether.

Ethereum 2.0 vise à accroître la taille et la durabilité du réseau

Les développeurs sont des plus enthousiastes à propos des changements majeurs connus sous le nom d’Ethereum 2.0, qui visent à rendre le réseau plus grand et plus durable. La première étape vers Ethereum 2.0 est ce que les développeurs appellent « The Merge » : un changement complet dans la mécanique sous-jacente du réseau, qui, selon Ben Edgington, devrait être achevé d’ici la fin de 2021 ou au début de 2022.

Actuellement, les ordinateurs s’affrontent pour résoudre des énigmes complexes afin de vérifier le réseau et d’extraire de l’ether dans ce que l’on appelle un système de « preuve de travail ». Ce système sécurise le réseau, car son piratage nécessiterait des quantités énormes et coûteuses de puissance de calcul et d’énergie, mais il est très mauvais pour l’environnement.

Ethereum passera plutôt à un système de « preuve d’enjeu ». Cela signifie que les gens peuvent valider des transactions et miner en fonction du nombre de pièces qu’ils détiennent et qu’ils sont prêts à offrir comme une sorte d’acompte, explique Ben Edgington.

Chaque utilisateur qui souhaite vérifier des transactions — et ainsi obtenir des récompenses — doit mettre en jeu une somme importante, par exemple 32 ethers valant plus de 120 000 dollars. L’idée est que toute personne souhaitant attaquer le réseau devrait gagner suffisamment d’ether pour débourser plus que la valeur collective de tous les « enjeux » pour commencer à modifier la blockchain de manière dommageable.

Selon Ben Edgington, environ 10 milliards de dollars ont déjà été investis dans le réseau de preuve d’enjeu, connu sous le nom de chaîne de balises, que les développeurs ont lancé en décembre.

Les développeurs travaillent d’arrache-pied pour transférer l’ensemble du réseau sur le nouveau système — The Merge — mais cela n’est pas sans risque. Un développeur a décrit le processus comme « le remplacement du moteur d’un avion alors qu’il est encore en vol ». Mais ils ont ajouté : « Le code utilisé aura été vérifié de manière exhaustive, testé en situation de combat, et vérifié à nouveau. »

Le ‘sharding’ vise à étendre le réseau

Pourtant, Ben Edgington souligne que « passer à la preuve d’enjeu n’est pas une solution de scalabilité » (d’extensibilité, ndlt). Pour tenter d’étendre Ethereum afin que davantage d’applications telles que les NFT, ou des contrats de finance décentralisée, puissent être construits dessus, les développeurs vont créer de nouveaux réseaux dans un processus connu sous le nom de sharding.

« Cela revient à faire fonctionner 64 blockchains en parallèle avec la chaîne de balises pour augmenter la capacité », explique Ben Edgington.

En termes simples, créer plus de systèmes de blockchain et les lier ensemble en les reliant à la chaîne principale de balises devrait étendre le réseau global et le rendre plus efficace, par opposition au système actuel où tout se fait sur un seul grand réseau.

« Je m’attends à ce que dans l’année qui suivra la livraison de la preuve d’enjeu, nous puissions délivrer la solution de sharding », a déclaré Ben Edgington. « Mais personne n’a fait de plan strict pour ce projet, ni prévu de date limite à ce sujet. C’est prêt quand c’est prêt. »

Version originale : Harry Robertson/Markets Insider

À lire aussi — L’ether franchit les 4 000 $ pour la première fois et pourrait encore énormément progresser

Retrouver l’article original de ici: Lien Source

Les œuvres d’art se monnayent aussi en Bitcoin et Ethereum

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La célèbre maison de vente aux enchères Sotheby’s est en passe d’accepter les paiements en BTC et ETH, et ce après ses débuts dans les NFT. Le marché de l’art est en pleine transformation numérique. Sotheby’s en est une parfaite illustration. En début d’année, la prestigieuse maison de vente aux enchères d’œuvres d’art et objets de collection se lançait dans les NFT. L’art sous forme de tokens numériques n’était cependant qu’une première étape. Sotheby’s ambitionne à présent de révolutionner ses moyens de paiement. Comment ? En permettant des règlements en Bitcoin ou Ethereum. Du BTC et de l’ETH pour une œuvre […]

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Un trésor de 700 000 € sur la DeFi – Il découvre une faille sur des NFT et s’enrichit en une nuit

Un attaquant fier de son forfait – Les hackers ne semblent jamais s’essouffler et s’ingénient à vouloir porter préjudice à l’écosystème DeFi. Cette fois-ci, il n’est pas question de pools vidées grâce à des flashloans, mais d’une attaque visant le projet NFT Meebits. 

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Un hacker un peu trop fier de lui

Larva Labs fait partie de ces organisations pionnières dans l’écosystème NFT. Celle-ci est à l’origine des fameux CryptoPunks qui ont participé à mettre en place l’engouement autour de l’art tokenisé. 

L’entreprise est récemment revenu sur le devant de la scène avec une nouvelle série de personnages NFT : les Meebits

La structure Larva Labs #CryptoPunk vient de lancer le projet #Meebits 😮 20 000 personnages uniques sous forme de #NFT 🤔

La vente initiale a été clôturée en 3h ⏱ Et le marché secondaire sur #Opensea enregistre déjà des prix de l’ordre de 420 ETHhttps://t.co/XelDkFxU8B

— Trading du Coin 🧑‍🌾 (@TradingduCoin) May 5, 2021

Cependant, le samedi 8 mai, un attaquant a découvert une faille dans le processus de génération des Meebits.

Connu sous le pseudonyme @0xNietzsche sur Twitter, l’attaquant s’est très vite vanté de son exploit, annonçant qu’il était en mesure de gagner « 300 000 dollars par heure », lors de l’attaque. Celui-ci a depuis supprimé les tweets en question, expliquant que ces derniers étaient inconvenants.

Definitely sent out some regrettable tweets in the last few hours. After coming down & processing it all they do sound VERY douchey.

— 0xNietzsche (@0xNietzsche) May 8, 2021

Des Meebits très rares générés incessamment

Dans les faits, la faille a permis à l’attaquant de créer le Meebit qu’il désirait, ce qui lui a permis de générer les plus rares, donc naturellement les plus chers. 

L’attaquant avait alors envoyé une transaction pour générer un Meebit et l’avait inversé, si le Meebit ne lui convenait pas. Ainsi, nous pouvons voir toute une série de transactions refusées sur l’adresse du contrat de l’attaquant. 

Pour ce faire, 0xNietzsche s’est basé sur un fichier ZIP inclus dans le contrat des Meebits, révélant l’ID de chaque Meebit. Il lui a donc suffi de créer une liste des ID des Meebits qui l’intéressaient (es plus rares) et de nouveaux Meebits jusqu’à obtenir ceux désirés.

Une fois le Meebit désiré créé, 0xNietzsche l’a mis en vente sur OpenSea avant de le vendre pour la modique somme de 200 ETH, soit 680 000 dollars au cours actuel. 

4/ Then they offer it for sale for 300 Eth on Opensea, dropping to 200 Eth minutes later, pinging @pranksyNFT who then buys it seemingly without knowing it’s from an exploit.

— Sillytuna 💯 (@sillytuna) May 8, 2021

Larva Labs réagit vite, mais un peu tard

Peu de temps après la découverte de cette attaque, les équipes de Larva Labs ont temporairement désactivé la création ainsi que le trading sur le contrat Meebits. 

Un formulaire a également été mis en place pour les derniers participants n’ayant pas pu réclamer les Meebits qui leur étaient dus. En effet, l’ensemble des possesseurs de NFT CryptoPunk ou Glyph était en mesure de générer un Meebits. 

Point surprenant : il semblerait qu’une partie de la communauté prédise que cet évènement entraînera le prix des Meebits à la hausse, car il aurait permis de dynamiser le projet. 

Avec une perte de plus de 284 millions de dollars rien que sur Ethereum, la DeFi semble être une place des plus précaires dans la sphère crypto. Bien que Larva Labs ait réagit plutôt efficacement, les dégâts causés ont été assez importants. Les développements de la finance décentralisée sauront-ils mettre en place des solutions durables contre ces hacks redondants ?

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NFT : Une nouvelle plateforme de vente aux enchères sur… la blockchain Solana

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Les NFT sont des jetons non fongibles. Il s’agit de tokens qui attestent la propriété d’une œuvre d’art numérique. Le marché des NFT est en pleine explosion. Chaque mois, on voit ainsi passer des œuvres d’art numériques vendues aux enchères à des prix fous ! L’Ethereum pourrait voir débarquer un concurrent de poids sur le secteur des NFT avec la blockchain Solana. Burnt Finance lève avec succès 3 millions de dollars ! En mars 2021, un groupe s’est fait connaître pour avoir brûlé une toile du célèbre artiste Banksy qu’il avait été achetée pour 95 000 dollars. Dans le même temps, ce […]

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Les premières collections d’art crypto d’Afrique inspirent l’optimisme – Quartz Africa

Ventes d’art africain, bien qu’ils soient à la hausse, représentent encore actuellement moins de 1% des 50 milliards de dollars marché de l’art mondial. Et s’il y avait un moyen pour les artistes africains de profiter de leur travail à perpétuité tout en cultivant leur part du gâteau?

C’était l’une des principales motivations du photographe et cinéaste primé basé au Kenya, Rich Allela, à vendre aux enchères l’une des premières collections d’art crypto du continent utilisant des jetons non fongibles (NFT). Son travail est facilité par Picha Images, une société de médias numériques qui a lancé l’un des premiers NFT de crypto-art sur le continent. La vente aux enchères se déroule du 26 avril à la mi-mai et est hébergée sur OpenSea, l’une des plus grandes places de marché numériques NFT au monde.

Le travail d'Allela se concentre sur la culture et le patrimoine africains.

Rich Allela

Le travail d’Allela se concentre sur la culture et le patrimoine africains.

Le travail d’Allela, y compris les images de cette collection, se concentre sur la culture et le patrimoine africains, en particulier sur les cultures menacées de disparaître en raison de la modernisation. Il réécrit le récit africain et n’est pas étranger à l’innovation, avoir incorporé la réalité augmentée lors d’une de ses expositions en 2019 à Nairobi.

NFT donner aux actifs un identifiant numérique unique qui permet de suivre la propriété et les transferts sur une blockchain. Même si l’image numérique connectée à un NFT elle-même peut être facilement copiée, le NFT ne peut pas être dupliqué ou échangé avec un autre. Ces aspects les rendent uniques et traçables créant ainsi la rareté nécessaire pour les rendre attractifs pour les collectionneurs.

Pour les artistes, le principal attrait réside dans l’utilisation de la technologie blockchain qui permet à un réseau d’ordinateurs d’enregistrer et de vérifier de manière indépendante et fiable les transactions. Cela signifie que les artistes peuvent potentiellement être indemnisé chaque fois que leur travail est utilisé ou revendu. (En savoir plus sur le fonctionnement des NFT dans notre guide complet sur le sujet.)

Il y a eu des succès impressionnants dans ce secteur naissant. En février de cette année, le NFT pour un Nyan Cat meme vendu pour plus de 600000 $. Le même mois, le NFT lié au premier tweet du PDG de Twitter, Jack Dorsey, s’est vendu à 2,7 millions de dollars. Les maisons de ventes aux enchères d’art traditionnel exploitent également le marché, dans certains cas vente aux enchères de l’art crypto, et dans d’autres acceptant crypto-monnaie comme paiement pour une œuvre d’art physique. En mars, le NFT d’un jpeg d’un artiste basé en Caroline du Sud connu sous le nom de Beeple a été vendu par la maison de vente aux enchères, Christie’s, pour 69,3 millions de dollars.

Seule une poignée de Africains se sont aventurés sur ce territoire. Eliud Kipchoge, détenteur du record du monde de marathon kenyan, récemment a vendu des NFT pour les moments forts de sa carrière pour 50000 $. En mars de cette année, Jacon Osinachi, un artiste nigérian, vendu pour 75000 $ d’art crypto sur une période de dix jours.

Les artistes africains ont beaucoup à gagner s’ils peuvent exploiter le potentiel de ces plates-formes. Les artistes bénéficieront d’une transparence totale sur les acheteurs secondaires, ainsi que de la possibilité de mettre en place des redevances afin de tirer parti de leur art à perpétuité. Les NFTS «sont l’un des rares moments où l’Afrique en tant que continent commence sur un terrain de jeu presque égal à celui de l’Occident», dit Allela. «Les opportunités sont ouvertes à toute personne disposant d’une bonne connexion Internet et disposée à apprendre.»

En plus des avantages monétaires potentiels, certains espèrent que l’art cryptographique pourrait donner aux artistes plus de liberté créative et d’autonomie sur leur travail. «Depuis longtemps, les artistes africains créent ce qu’ils pensent que le client attend de l’art africain. Ils savent ce qui se vend bien et ils se concentrent sur cela. Cela limite leur liberté de création », déclare Anne Kaluvu, experte en blockchain et chargée de cours à l’Université d’agriculture et de technologie Jomo Kenyatta (JKUAT). Kaluvu, qui est également la fondatrice de Women in Blockchain for Women Inclusion, estime que si l’art est toujours subjectif , le succès de l’art cryptographique – ce qui se vend des dizaines de dollars contre des milliers de dollars – semble être encore plus difficile à prévoir. En tant que tel, cela pourrait permettre aux artistes de se tailler leurs propres marchés de niche.

Les illustrations de Rich Allela et Kureng Dapel représentent des guerriers africains à cheval.

Rich Allela et Kureng Dapel

Allela n’est pas étranger à l’innovation, ayant intégré la réalité augmentée lors de l’une de ses expositions en 2019 à Nairobi.

Dans un éditorial pour Business Daily, Bitange Ndemo, ancien haut fonctionnaire du ministère kényan des technologies de l’information et de la communication, a souligné le potentiel des NFT à ouvrir des opportunités pour des documents historiques et archivés qui pourraient être oubliés depuis longtemps dans les archives et les musées. «Au Kenya, par exemple, des milliers d’images, de films et d’histoires inestimables de légendes du sport qui définissent l’histoire du Kenya sont toujours stockés dans les médias, certains pourrissant», écrit-il. «Pourtant, ils pourraient facilement créer de la richesse pour le pays s’ils étaient numérisés.»

Le marché du NFT doit cependant être abordé avec prudence. Les artistes devront non seulement se renseigner sur la technologie de la blockchain et perfectionner leur métier, en développant ainsi leur sens des affaires, mais aussi éviter les principaux écueils, y compris les escrocs. Le succès du jour au lendemain n’est pas assuré. NFT aussi seulement représentent moins de 1% du marché mondial de l’art.

De plus, si des leçons peuvent être tirées de l’expérience sur le continent du cousin le plus connu de l’art crypto, la crypto-monnaie, c’est ceci: la réglementation sur le secteur pourrait être lent à venir, mais peut être potentiellement très restrictif. La fortune favorisera les premiers joueurs.

Alors que l’art cryptographique pourrait être l’aspect le plus récent et le plus excitant de la technologie blockchain, Kaluvu pense que le potentiel réel de cette technologie touche plusieurs problèmes qui affligent le continent, y compris la corruption. Elle dit: «En tant que continent, nous sommes à peine en train de gratter la surface sur ce que la technologie blockchain peut faire pour nous. Imaginez si les gouvernements pouvaient exploiter les avantages de la traçabilité qu’offre la technologie. Cela pourrait accroître la responsabilité dans tous les secteurs. »

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Traduction de l’article de Ciku Kimeria : Article Original

Au milieu de l’engouement pour le NFT, une culture des constructeurs émerge sur la blockchain

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Quand une seule œuvre d’art numérique, qui ne sera jamais accrochée à un mur physique, se vend 69 millions de dollars lors d’une vente aux enchères Christie’s en mars, ou une photo d’une chronique de routine d’un écrivain technique pour le New York Times, qui pourrait être lue en ligne gratuitement, est acheté pour un montant incroyable de 560 000 $, une certaine perspective est désespérément nécessaire.

Ces prix ont été commandés ces dernières semaines dans le cadre d’un engouement actuel plus de jetons non fongibles ou NFT. Les éléments uniquement numériques, existant uniquement sur un vaste réseau d’ordinateurs qui contrôlent la blockchain, existent en fait depuis plusieurs années. Mais lorsque des dizaines de millions de dollars sont soudainement jetés pour quelque chose qui n’existe que dans le cyberespace, il est clair que beaucoup de gens s’intéressent de nouveau à l’évolution du monde des monnaies numériques.

L’un d’eux est Edward Snowden. L’ancien consultant en renseignement de la National Security Agency, qui a acquis une notoriété mondiale lorsqu’il fuite d’informations classifiées de l’organisation secrète en 2013, a récemment organisé une vente aux enchères en ligne pour collecter des fonds pour son organisation à but non lucratif, le Fondation de la liberté de la presse.

Dans le cadre de la vente aux enchères, un NFT vendu pour 5,4 millions de dollars. C’était une image du visage de Snowden composée de pages d’une décision de justice selon laquelle l’ancien consultant de la NSA avait violé la loi américaine.

C’est une belle somme pour un collage numérique. Pourtant, lors d’une apparition pendant les deux jours de Decrypt Sommet éthéré début mai, Snowden a exprimé une perspective plus large sur le monde de la finance décentralisée et des crypto-monnaies.

Sans quelque chose qui s’appelle un contrat intelligent et un logiciel sophistiqué pour l’exécuter sur un contrôle précis, sans permission réseau blockchain, aucun NFT de quelque valeur que ce soit ne serait possible. Ce n’est pas le prix, c’est la plateforme.

«Ce qui m’a vraiment intéressé, c’est la façon dont fonctionnent les contrats intelligents, personne ne pouvait entrer dans le milieu», a déclaré Snowden. «La partie la plus importante de cet espace est qu’il nous permet de retrouver une partie de notre liberté que nous avons perdue au cours des 15 dernières années. La liberté est la liberté de la permission.

DeFi au cœur

Un monde financier sans intermédiaires, c’est ce que Satoshi Nakamoto envisageait lorsqu’il a publié son article fondateur sur une liste de diffusion obscure de cryptographie en 2008 annonçant la formation d’une monnaie numérique, appelée bitcoin, et de la blockchain pour l’exécuter. Nakamoto, dont la véritable identité a encore à être révélé, a appelé à une version peer-to-peer de la monnaie électronique qui pourrait être envoyée sans être touchée par une institution financière.

Il a marqué la naissance de la finance décentralisée ou DeFi. Les institutions financières très fragmentées et réglementées par le gouvernement ne contrôleraient plus la masse monétaire mondiale. La richesse et la valeur seraient stockées numériquement et la blockchain représenterait la seule source de vérité.

Depuis 2008, le prix d’un bitcoin a fluctué follement, allant de 900 $ au début de 2017 et clôturant jusqu’à 58000 $ plus récemment. D’autres monnaies numériques ont été mises en ligne et spéculation effrénée sur les marchés au comptant crypto. Mais tout au long de cette période, il y a également eu la progression continue d’un écosystème de blockchain, un ensemble croissant d’entreprises et de fondations qui ont nourri une plate-forme financière mondiale émergente.

L’aube de l’ordinateur Internet

Dans ce qui peut s’avérer être une étape importante pour l’avenir de cette plateforme émergente, le Projet Dfinity a officiellement lancé son Phase de genèse du mercure le 7 mai avec l’ouverture de son réseau informatique Internet aux développeurs et entrepreneurs. Dfinity repose sur une technologie décentralisée alimentée par des centres de données indépendants où les logiciels s’exécutent n’importe où sur Internet plutôt que sur des serveurs contrôlés par les principaux fournisseurs de cloud.

Dfinity caractérise l’ordinateur Internet comme le troisième innovation majeure dans la blockchain, après la crypto-monnaie en 2008 et la création de Ethereum et les contrats intelligents en 2015, qui alimentent aujourd’hui la finance décentralisée. Cette notion d’ordinateur mondial qui exploite la blockchain pour fournir une capacité transparente et infinie a commencé à attirer les développeurs intéressés par la construction de la plate-forme.

Les nouveaux projets incluent Origyn, qui propose un système d’authentification numérique pour les produits et articles de luxe sur le marché NFT, et Fleek, un fournisseur de services pour créer des sites Web et des applications sur le Web ouvert.

«Les contrats intelligents sont vraiment une nouvelle forme de logiciel profondément différente avec des avantages absolument immenses», Dominic Williams, a déclaré le fondateur et scientifique en chef de Dfinity lors d’une discussion sur Ethereal. «Que se passerait-il si les contrats intelligents pouvaient évoluer à la vitesse du Web? Ce sera également une étape majeure pour la blockchain. »

Montée en puissance des plateformes de développement

Le lancement de Dfinity et ses premiers projets sur la plateforme mettent en évidence une évolution clé dans le monde naissant de la finance décentralisée. Cela favorise une nouvelle culture des constructeurs.

Une partie de cela a été rendue nécessaire par le besoin d’une infrastructure de base pour prendre en charge le monde en expansion des crypto-monnaies. Cela a conduit à la montée en puissance des principaux échanges cryptographiques tels que Coinbase Inc., lequel fait ses débuts sur le Nasdaq le mois dernier, et Binance, les le plus grand échange de crypto-monnaie dans le monde en termes de volume commercial.

La montée en puissance d’entreprises telles que la plateforme de développement blockchain est peut-être plus intrigante. Alchimie. L’infrastructure cloud de l’entreprise alimente plus de 30 milliards de dollars en transactions par an et facilite la majeure partie du volume NFT aujourd’hui.

«Nous alimentons l’infrastructure derrière de nombreuses entreprises de la blockchain», a déclaré Nikil Viswanathan, directeur général d’Alchemy. «Vous pouvez nous considérer comme la technologie des coulisses qui fait de la cryptographie une réalité.»

Les applications alimentent la croissance

De la même manière que les applications alimentent une grande partie du monde de l’entreprise basé sur le cloud, des applications décentralisées ou dapps alimentez la blockchain et les contrats intelligents. Cependant, des problèmes de faible débit, de vitesse et de compatibilité croisée une croissance entravée est ce domaine particulier.

Near Protocol Inc. offre une plate-forme décentralisée conçue pour éliminer les frictions des dapps en augmentant l’évolutivité et en réduisant les coûts pour les développeurs. En avril, Near Protocol lancé le premier pont interopérable et totalement sans confiance vers Ethereum, une blockchain open-source clé avec une fonctionnalité de contrat intelligent.

«Je veux créer des expériences», co-fondateur de Near Protocol Illia Polosukhin dit au cours d’une session Ethereal. «Nous devons continuer à pousser la technologie, nous devons continuer à pousser les produits et la compréhension des gens de tout cela. Nous n’essayons pas de maximiser la valeur pour les actionnaires, nous essayons de construire cette vision. C’est une mentalité plus open source. »

Si l’histoire est un guide, parier contre une mentalité open-source n’est pas conseillé. L’écosystème open-source a inauguré une nouvelle vague de technologie et un saut profond de valeur pour le domaine, lorsque IBM Corp. a acheté le géant de l’open source Red Hat Inc. pour 34 milliards de dollars en 2018.

Sentant peut-être que la même vague se dirige vers le rivage, il y a déjà des signes que le monde de la finance décentralisée suscite l’intérêt de personnalités de haut niveau au-delà de la communauté traditionnelle du capital-risque.

Alchemy a récemment fermé un tour d’investissement de 80 millions de dollars. Outre les bailleurs de fonds existants tels que le président d’Alphabet Inc., John Hennessy, le co-fondateur de LinkedIn Reid Hoffman et le pionnier du secteur financier Charles Schwab, le Nouvelle liste inclus les propriétaires des Tampa Bay Buccaneers et de Manchester United, l’acteur Jared Leto et le duo DJ / production électronique connu sous le nom de The Chainsmokers.

Des personnes de haut niveau apportent également des parcours de carrière sensiblement différents à leur travail dans l’industrie DeFi. Paul Grewal, directeur juridique de Coinbase, est un ancien juge fédéral. Brian Brooks récemment rejoint Binance pour diriger son opération aux États-Unis, après avoir dirigé le Bureau du contrôleur de la monnaie sous la dernière administration présidentielle.

Au cœur de l’espace financier décentralisé se trouve la fervente conviction que les développeurs et les entreprises construisent quelque chose qui transformera considérablement le monde. Cela ne se produira peut-être pas tout de suite et il y aura des revers, mais les principaux acteurs sont convaincus que cela va se produire.

«Je pense que la finance décentralisée sera nettement plus importante que la finance traditionnelle dans 10 ans», a déclaré Williams de Dfinity. «Nous ne voulons pas que les gens s’appuient sur l’informatique traditionnelle. Nous pensons que les contrats intelligents régneront sur le monde. »

Image: Pixabay Commons

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Traduction de l’article de Mark Albertson : Article Original

Internet Computer (ICP) is now available on Coinbase

Starting today, Coinbase supports Internet Computer (ICP) at Coinbase.com and in the Coinbase Android and iOS apps. Coinbase customers can now buy, sell, convert, send, receive, or store ICP. ICP is available in all Coinbase-supported regions, with the exception of New York State. ICP trading is also supported on Coinbase Pro.

Internet Computer utility tokens (ICP) can be staked in its governance system to earn “voting rewards”, or “converted into cycles” that can be used to power smart contract computation. On the Internet Computer blockchain, “developers can create websites, enterprise IT systems, pan-industry protocols, hyperscale open internet services, DeFi, and NFTs by deploying their code directly on the public Internet”.

Learn more about Internet Computer (ICP) with this research report.

One of the most common requests we hear from customers is to be able to buy and sell more cryptocurrencies on Coinbase. We announced a process for listing assets, designed in part to accelerate the addition of more cryptocurrencies. We are also investing in new tools to help people understand and explore cryptocurrencies. We launched informational asset pages (see ICP ), as well as a new section of the Coinbase website to answer common questions about crypto.

Customers can sign up for a Coinbase account here to buy, sell, convert, send, receive, or store ICP today.

Please note: Coinbase Ventures may be an investor in the crypto projects mentioned here, and additionally, Coinbase may hold such tokens on its balance sheet for operational purposes. A list of Coinbase Ventures investments is available at https://ventures.coinbase.com/. Coinbase intends to maintain its investment in these entities for the foreseeable future and maintains internal policies that address the timing of permissible disposition of any related digital assets, if applicable. All assets, regardless of whether Coinbase Ventures holds an investor or Coinbase holds for operational purposes, are subject to the same strict review guidelines and review process.

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Crypto is a new type of asset. Besides potential day to day or hour to hour volatility, each crypto asset has unique features. Make sure you research and understand individual assets before you transact.

All images provided herein are by Coinbase.


Internet Computer (ICP) is now available on Coinbase was originally published in The Coinbase Blog on Medium, where people are continuing the conversation by highlighting and responding to this story.

Une Double IDO pour Polkally le 19 Mai Prochain

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C’est une nouvelle qui fait parler d’elle dans l’écosystème cryptographique. Le projet français et porteur Polkally lance dans la semaine prochaine son Offre de Dex Initiale (IDO) à la fois sur Poolz et Zeroswap. En effet, suite au franc succès d’une première levée de fonds, la plateforme d’enchères de NFT du réseau Polkadot organise maintenant une vente publique – prévue pour très bientôt, le 19 mai. Zoom sur Polkally pour mieux comprendre pourquoi le projet fait autant d’écho dans l’univers de la DeFi. C’est quoi Polkally ? Alors que les jetons non fongibles (NFT) gagnent de plus en plus en […]

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DeFi on Alternative Blockchains Differs Radically from Ethereum

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@ks.shilovKirill

Blockchain enthusiast developer and writer. My telegram: ksshilov

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Decentralized finance, or DeFi, is one of the most transparent forms of modern finance with immediate oversight of the total value locked. Whether collateralized lending or automated trading pairs, the number of assets in each DeFi protocol can be traced, verified, and evaluated for trends. 

The total value locked in Ethereum-derived DeFi protocols is now close to $60B, with up to 90% of DeFi still hinging on the Ethereum network, according to estimations of the largest projects and the value locked within them. 

DeFi projects have a total market cap of $125B. Of those projects, the most popular ones such as Uniswap, Maker, Wrapped Bitcoin, Aave, and Compound still lock in a significant portion of collaterals. But among the top 10 projects, there are alternative networks already taking a significant chunk out of the DeFi market. 

Pancake Swap is quickly gaining new token pairs and has become one of the fastest-growing projects on the Binance Smart Chain. Recently, price appreciation led the CAKE token to line up among the top 5 DeFi projects by market capitalization.

But Binance Smart Chain is not the only alternative to Ethereum that has appeared in the past few months. Newer chains like Terra (LUNA) and THORChain (RUNE), and Solana (SOL) are starting with the idea of a whole new ecosystem for staking and decentralized finance. These blockchains still have to gain new users, and so far the bulk of users are counted toward Ethereum-based protocols, but lucrative incentives are quickly raising the number of new wallets for alternative DeFi networks. 

Will Alternative Blockchains Remain Relevant? 

User analysis shows Ethereum-based DeFi is still not at its peak, as protocols keep adding new traders or lenders every day. But with time, the pace of expansion may stall. DeFi is still highly dynamic, with new protocols constantly adding both new users and new features. 

Even without Binance Smart Chain and other new networks, older crypto projects are trying to gain market share from Ethereum. Projects like IOST, NEM, EOS, and TRON have offered various DeFi elements, but for now they remain less popular in terms of launching top decentralized exchanges or distributed apps.

The newly launched networks, especially created with DeFi in mind, will have to prove their relevance and longevity. One of the challenges they face is the ETH 2.0 network, which will add faster transactions and lower gas fees for trading. 

Currently, automated swaps are not cheap on Ethereum and it may discourage some users from DeFi trading. High gas fees on the Ethereum blockchain also triggered the trend of Binance Smart Chain tokens and pairs, seeking the same high turnover with lower fees.

But there is another fundamental difference in terms of project success. ETH and BTC have been used as collateral for multiple DeFi projects. These large-cap coins have a vast network of exchanges, and their liquidity extends to the mainstream financial sector, with new fiat inflows from corporations and retail buyers. 

New crypto projects, however, are just beginning to build up their value and their liquidity. The native tokens used as collateral are still in the price discovery stage, and the communities supporting the coins are fairly niche. 

There are multiple examples of new projects fueling social media hype, only to lose most of their liquidity within hours in events known as “rug pulls”. With the growth of the alternative ecosystem, however, these events become rarer. New token-based DeFi pairs are creating mechanisms to lock in liquidity and prevent rug pulls. 

I’ve asked some project leaders about their views of the DeFi world, and here’s what they had to say:

Matthew Niemerg, Ph.D. – President of the Aleph Zero Foundation and CEO of Cardinal Cryptography

“DeFi is for those without lots of capital to deploy is expensive on Ethereum. Alternative platforms, like Binance Smart Chain, Solana, Cosmos, Polkadot, etc., offer a more cost-efficient option.

Part of the DeFi story is retaining control over your assets—which includes deciding if you want to move assets on Ethereum to more capital-efficient platforms.

We will see competition and liquidity move from chain to chain as bridges are built, but user acquisition will be aimed at those seeking safer, more secure, lower-yield projects.

These other platforms have native coins that are walled off from most DeFi products. I predict we will start seeing protocols design their codebase and product with the multichain world that is coming in mind.”

Chris Wang – CEO and Co-Founder of ThunderCore – A leading public blockchain with its own native currency

ThunderCore is very different from Ethereum. The current Ethereum blockchain still uses the Proof of Work (PoW) consensus mechanism while ThunderCore’s Proof of Stake (POS) has been live for more than two years! Since it is ThunderCore’s mission to bring blockchain to the masses, we provide a one-of-a-kind blockchain, which not only provides lower gas fees than Ethereum but also better throughput and performance that supports 4,000+ TPS. We know that Ethereum is gradually shifting towards PoS, but there’s still work to be done. On the contrary, ThunderCore’s PoS consensus has been running and battle-tested for well over two years now so we are very confident that we have an edge. With the development of blockchain technology, PoS becomes more popular to address energy consumption issues and scalability issues. In addition, PoS blockchains allow token holders to stake their tokens so that they can run validators and earn staking rewards in return.

What’s great is that ThunderCore is EVM compatible, meaning that developers can move their dApps from Ethereum onto ThunderCore with ease. Even though Ethereum has market dominance now, we believe that by allowing developers and users to shift onto ThunderCore so they can enjoy low gas fees and little to no network congestion is something they can’t ignore.

On top of that, ThunderCore also has cross-chain services with Binance Smart Chain (BSC) through ThunderCore Bridge, making ThunderCore interoperable between two of the most prominent chains within the industry. This means your assets on BSC and Ethereum can be bridged onto ThunderCore and swapped with other assets through our DEX TTSwap without being victimized by high gas fees. This is just one example; the possibilities are endless. Recently, BSC has gained a lot of traction and as a result, BNB’s price hit a new all-time high. This means BSC will gradually be more expensive and congested, therefore, highlighting ThunderCore’s low gas fees and fast confirmation times once again!”

Maximilian Rang – Head of Token Strategy at  Threefold – The world’s largest peer-to-peer Internet, formed by people who want to make a difference, by people who care, by people just like you.

“There’s a huge and under-discussed issue with DeFi – an elephant in the room, if you will. While the core functionalities for DeFi reside on blockchains, what about the front end, websites, apps, and databases? Deploying these more centralized parts on ThreeFold capacity would make any DeFi project not only more resilient but also immune to censorship from cloud providers, like in the case of Parler.

Considering that a large percentage (70% [https://decrypt.co/44321/70-of-ethereum-nodes-are-hosted-on-centralized-services]) of Ethereum nodes – and blockchain nodes in general – are running on top of centralized cloud services, the current risks of DeFi seem to be overlooked. While the whole DeFi ecosystem is taking off in parabolic growth, the demand for proper security and reliability of the infrastructure increases. 

The ThreeFold Grid provides decentralized internet capacity with Blockchain-like reliability and security. Data is spread across many storage locations and secured by efficient algorithms. Through ThreeFolds “Smart Contract for IT”, all workloads running and all data stored on the grid are monitored and secured by a blockchain.

The ThreeFold Token (TFT) is the currency of the peer-to-peer Internet, used to reserve storage and compute capacity on the ThreeFold Grid. Existing partner communities of ThreeFold like CasperLabs, DigiByte, Polygon, and Presearch can already run their nodes on the ThreeFold Grid, with many more partners and applications to come this year.”

Alternative blockchains, however, are one of the answers to the uncertain future of Ethereum’s network. For one, this blockchain still relies on miners who have an effect on overall market prices. Projects like Maker and Compound allow miners to deposit their block rewards and receive passive income instead of selling during a bull market. 

It is also possible that some form of mining and gas fees will always remain on the Ethereum network, thus making DeFi usage more expensive. Making a complete hard fork, where miners refuse to accept the new network rules, would wreak havoc on the entire DeFi space, potentially breaking down the value locked due to loss of trust. 

Additionally, there is the question of the total cap of the ETH supply. Despite a lower block reward, there is still no end to the creation of new ETH tokens. Alternative blockchains, on the other hand, have a more detailed roadmap about the planned scarcity of their native assets.

Some projects have looked ahead into the future. Binance Smart Chain, for instance, is created with the potential to communicate with the Ethereum Virtual Machine. Binance Bridge is the tool to perform cross-chain operations, communicating with multiple smart contracts. This technology may be one of the ramps to move DeFi value from Ethereum and into alternative blockchains. Even with ETH 2.0, the cross-chain capability will be key to establishing new DeFi platforms and attract more liquidity and quality projects.

As the DeFi ecosystem grows, it is possible more projects will offer some forms of cross-compatible moves. Currently, it is possible to wrap BTC or ETH on multiple platforms, and this is perhaps one tool for liquidity and compatibility. The appeal of DeFi remains in the possibility to gain passive income instead of selling the coins outright. 

Who Chooses Alternatives to Build DeFi?

The popularity of DeFi has led to the creation of platforms that are built from scratch to solve some of the most pressing issues in decentralized lending, trading, and other financial operations. The central platform quickly gathers its own flock of token issuers. 

Even relatively new blockchains, like Solana (SOL), already host 126 various decentralized projects. Despite criticism that some new networks are just “ghost chains,” the new batch of projects is quick to host new startups. 

Here is the opinion of one service company owner:

Anton Dziatkovskii, Co-Founder of Platinum – A  dApp and crosschain solution developer for Polkadot, Kusama, Ethereum, etc.

“It’s hard for a single project to overturn the whole market and remove Ethereum’s dominance. But we, as a crypto sphere, are slowly moving to a gradual distribution of funds across multiple networks. Binance Smart Chain is eating into Ethereum’s market share. In Q1 2021 alone, the TVL in BSC has grown by more than 100% month-to-month and the number of unique active wallets has sky-rocketed. Then there’s the example of Aavegotchi, which launched on Polygon and sold out of all its NFTs in under one minute.

Our recommendation is to focus on the technology and unique features that a project can offer and users will come over to Ethereum, BSC, Polygon, HECO, or any other blockchain. If you browse through the top 10 projects on Q DeFi Rating, you’ll see that three of them operate only on BSC and two of them are multi-chain. Find the pain points of crypto users and solve them; it could be high gas fees, lack of interoperability, scalability, high risks of impermanent loss, etc.

In this paradigm, the service provider and the blockchain development company’s advice is to concentrate on solving the user’s problems rather than hype up new tech implementations.” 

The growing adoption of alternative DeFi blockchains has also led the Launchzone project to aggregate access to Binance Smart Chain with a dedicated liquidity pool, as well as governance and project curation. Launchzone even performs its own curated token offers, or IDOs, offering either a centralized exchange approach or the creation of a liquidity pool.

The Ethereum network currently has access to 391,865 token contracts, still far ahead of the tokens using alternative blockchains. However, some of these tokens are older and not active, as there are only a few thousand usable ERC-20 assets. The growth of active addresses on newer blockchains suggests the possibility for users to shift to new networks while using the basic liquidity pool approach of DeFi to raise and lock value. 

Alternative Blockchains Attract Builders

The attractiveness of Binance Smart Chain is already reshaping the balances of DeFi and pulling projects not only from Ethereum, but from its older competitors. Effect Network chose to relocate its project to BSC from EOS, citing problems with its legacy platform and choosing a DeFi-tailored blockchain.

Other projects, which initially started on the Ethereum blockchain, are pivoting to make use of the legacy chain’s power as well as the new opportunities of alternative blockchains. TosDis, a startup offering DeFi as a service, is also building a bridge between Ethereum and BSC.

The strongest attraction of alternative blockchains is that projects are quickly riding on the social media meme trends, and are able to draw in traders and liquidity with great speed. Recently, the SAFEMOON token, launched on BSC, set out to reach peak prices. The token, although turbulent, managed to attract the attention of Twitter and added to the enthusiasm for new BSC tokens. 

Jordan Beauchamp Chief Technology Officer at CENNZnet.

 At CENNZnet we see things from the point of view of DApp devs. Ethereum has been revolutionary by allowing DApps to tap into the blockchain using smart contracts, but now the stage is set for more interesting interplays at a protocol level. 

CENNZnet, built on substrate, provides devs with a set of protocol-level runtime modules which provide the key functions for any DApp (identity attestation, currency (generic assets), and NFTs). By taking these functionalities to a protocol level devs can make more interesting interactions and have higher privileges than simply smart contracts. For example, our recent exchange module CENNZX is part of the CENNZnet protocol, while uniswap is a 2nd class citizen on Ethereum. 

Carl Ulvinen – Vice President, Project Hydro.

“The main differences we have been experiencing so far is that of throughput and lower fees, which has made for a much smoother user experience overall.

While Ethereum enjoys the privilege of being fully decentralized, there has been a lot of friction arising from having multiple swaps/dexes/dApps running on top of its network.

To alleviate these issues within our project we came to the conclusion that deploying our protocols on multiple blockchains would give our users the choice of leveraging different chains for different purposes.The future of DeFi, we believe, is about connecting chains so that they may interact with each other seamlessly to create the freedom of choice for the user.”

Another success story is that of Terra (LUNA), which runs both its own separate blockchain and a bridge to Ethereum and BSC. The Terra protocol, with its own LUNA staking, also gives access to liquidity on the two other blockchains with access to some of the largest exchanges, like Uniswap and SushiSwap.

THORChain (RUNE) wants to expand on cross-chain capabilities and move beyond the wrapped asset technology. RUNE will run on a proprietary blockchain which bridges the biggest DeFi ecosystems, similar to Terra. The recently launched blockchain also built a significant social media presence, adding to the interest in decentralized trading.

Solana (SOL) is also finding its array of projects, while helping older ICO token KIK join the DeFi world. SOL also gained visibility as a top-15 digital asset by market capitalization, showing that new platform coins could have rapid success with the current DeFi climate. 

It’s important to realize that alternative blockchains are not directly threatening Ethereum; they are instead choosing to bridge the network as in the case of the recently popular Avalanche blockchain. Despite setbacks, DeFi seems to be learning from its mistakes in preventing smart contract flaws and rug pulls, and it is improving both the underlying technology and the tokenomics for a thriving crypto financial system. Adding new tokens to the liquidity pools also means less reliance on the price of ETH and more stability during market corrections.

Tom Tirman, CEO & Co-Founder, PARSIQ – a blockchain-based data-analytics platform, pioneering the concept of Blockchain-as-a-Service (BaaS) in both the DeFi and mainstream application space

Whilst Ethereum has established itself as the launchpad for new projects relying on decentralized applications (dApps), the increasing cost of development and app usage has prompted development teams to start exploring other dApp-compatible platforms.

PARSIQ is no different on this front. Originally launched on Ethereum, it has explored and implementing a number of integrations in recent months, including making several of its workflow applications compatible with Binance Smart Chain (BSC) and Solana. The justification behind those decisions was two-fold: reducing cost (development and usage) and increasing access for newly established communities building on Ethereum alternatives.

Indeed, PARSIQ’s latest major development saw the launch of IQ Protocol, a pioneering new platform with a subscription-based model for token utility at its core. The launch was PARSIQ’s first fully-fledged attempt to enter the decentralized finance (DeFi) space. With the DeFi space being notoriously transaction-heavy, the integrations with BSC, which was 49 times cheaper for dApp transactions in 2020, and Solana, which boasts a $0.00001 transaction fee, reduce costs significantly at a time when Ethereum is seeing record-high transaction fees.

Moreover, both the BSC and Solana communities have a plethora of development teams operating DeFi-focussed projects in these ecosystems. Therefore, the integrations also serve as a method for expanding IQ Protocol’s reach to potential users as well as other developers and projects PARSIQ might collaborate with in the future.

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Traduction de l’article de Kirill : Article Original