La maison de vente aux enchères Christie’s propose des oeuvres d’Andy Warhol en NFT

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La maison de vente aux enchères Christie’s s’est associée à la Fondation Andy Warhol pour vendre sous forme de tokens non fongibles (NFTs) 5 œuvres de l’artiste datant des années 80. Les enchères se dérouleront le 24 mai et l’Ether (ETH) sera accepté comme moyen de paiement.

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Hebdo Crypto #147 – Les actualités cryptomonnaies de la semaine

La semaine du 17/05 en bref – L’actualité concernant Bitcoin et les cryptomonnaies est en ébullition constante. Il peut arriver que des informations capitales se perdent dans le flux informatif quotidien et que vous passiez à côté des points importants.

Ce format est là pour y remédier. Nous revenons sur l’actualité de la semaine passée dans l’Hebdo Crypto afin de vous tenir informés sur la situation actuelle des cryptomonnaies.

L’immanquable du coin

Pour l’immanquable de cette semaine, nous retrouvons Ludovic avec un article revenant sur le Pizza Day, un événement d’envergure pour le réseau Bitcoin qui marque le premier achat d’un bien physique grâce à la monnaie créée par Satoshi Nakamoto.

Pizza Day

Les pizzas les plus cher de l’histoire

Le Bitcoin Pizza Day est le jour de commémoration du premier achat d’une marchandise physique en bitcoins : deux pizzas achetées le 22 mai 2010. Auparavant, le bitcoin n’avait été échangé que contre des monnaies traditionnelles comme le dollar. Il avait donc déjà un prix mais n’avait probablement pas été utilisé pour se procurer autre chose.

L’échange a été effectué entre Laszlo Hanyecz, un développeur américain d’origine hongroise de 28 ans habitant en Floride, et Jeremy Sturdivant, un Californien alors âgé de seulement 18 ans.

Après quelques jours sans réponse, il a réitéré son offre. Le 22 mai, après quelques discussions sur IRC pour régler les détails de la transaction, Jeremy (qui utilisait le pseudonyme jercos) a accepté l’offre de Laszlo et lui a fait livrer 2 pizzas de Papa John’s à son domicile contre 10 000 bitcoins. Ceux-ci représentaient environ 36 € selon le taux d’échange de l’époque.

La démocratisation du BTC comme moyen de paiement

Après cet épisode de la pizza, l’adoption commerciale s’est développée considérablement durant les années qui ont suivi. Des plateformes d’échange plus perfectionnées ont émergé, dont notamment Mt. Gox, ce qui a permis d’avoir une idée plus fiable du prix. Des pionniers comme Marc Karpelès ou Roger Ver ont commencé à accepter le bitcoin en tant que moyen de paiement pour leurs services. Début 2011, Ross Ulbricht a mis au point sa place de marché du dark web Silk Road, qui a connu un succès grandissant lors de ses deux années d’existence.

À partir de 2012, le commerce plus généraliste est rentré dans la danse, notamment par le biais du processeur de paiement BitPay. WordPress, le service d’hébergement de sites web, a commencé à recevoir les paiements en bitcoins le 15 novembre 2012. L’agence de voyage en ligne CheapAir.com a annoncé l’accepter le 22 novembre 2013. Overstock.com, une très grosse plateforme de commerce électronique aux États-Unis, a suivi le 9 janvier 2014.

Et tout ceci sans compter les milliers de commerces physiques indépendants qui acceptaient la cryptomonnaie comme moyen de paiement. En France, cette acceptation était illustrée par le « Bitcoin Boulevard français », situé dans le Passage du Grand Cerf à Paris, où tous les commerçants ou presque acceptaient le bitcoin.

Consulter l’article en intégralité pour en apprendre plus sur l’évolution du BTC en tant que moyen de paiement : Le Bitcoin Pizza Day et l’économie circulaire

L’actualité en bref

▶Goldman Sachs se met à l’heure du Bitcoin. Ainsi, le géant bancaire américain vient de donner le coup d’envoi du trading de Bitcoin et d’autres cryptomonnaies à Wall Street. Une nouvelle équipe spécialement dédiée aux cryptomonnaies est chargée de négocier deux types de produits dérivés liés au BTC.

▶Le géant de l’enchère en ligne, eBay se met aux NFT. Il est désormais possible d’acheter ainsi que de vendre des NFT depuis la plateforme d’enchère phare. Au total, ce sont plus de 200 millions d’utilisateurs qui auront désormais accès à cet écosystème fleurissant.

▶La mise à jour Taproot peine à se démocratiser au sein des mineurs. Ces derniers ont la charge de déployer cette mise à jour en signalant leur soutien via l’ajout d’un bit signal sur chaque des blocs minés. À l’heure actuelle, seul 36% des blocs contiennent ledit bit signal.

▶ Le protocole PancakeBunny victime d’une manipulation d’envergure. Un attaquant a réussi à manipuler différentes pools de liquidité entraînant le cours du jeton dans les abysses avec une chute de 95%.

▶Ethereum aurait pu être mis à genoux depuis 2019. Les développeurs ont révélé qu’un vecteur d’attaque existait depuis 2019 et n’a pu être corrigé qu’avec le hard fork Berlin déployé au mois d’avril. Dans les faits, cette attaque aurait entraîné une paralysie générale du réseau.

▶ Deuxième partie de l’excellente intervention de Jacques Favier dans le podcast Parlons Bitcoin. Dans ce nouvel opus, ce dernier aborde les thématiques de la souveraineté et de la Liberté.

Les 5 métriques de la semaine

6,4 milliards de dollars, c’est la valeur des 410 billions de jetons SHIB brûlés par Vitalik Buterin. Ce dernier les a brûlés suite à la débâcle engendrée par son don de près d’un milliard à Covid-Crypto Relief Fund. Le problème étant que ces jetons lui avaient été envoyés et étaient considérés comme hors de la circulation.

Destruction par Vitalik Buterin des jetons SHIB en sa possession

40 à 53%, c’est la réduction des frais qu’arrive à atteindre le protocole Balancer (BAL) suite au déploiement de sa version 2. Par ailleurs, la mise à jour dévoile l’asset manager, un mécanisme pour optimiser le rendement des actifs déposés dans les pools en les déposant sur d’autres protocoles.

1,7 million de dollars, c’est le montant perçu par Tor Project, la fondation derrière le réseau éponyme lors de la vente aux enchères d’un NFT. Les fonds vont permettre de financer le développement des outils de préservation de la vie privée et de l’anonymat sur internet.

Détails de la vente du NFT à PleasrDAO

30 milliards de dollars, c’est le montant en USDT qui a été émis au total sur la blockchain Tron. Cela fait de Tron la blockchain favorite de l’USDT de Tether, quelques milliards devant Ethereum.

75 000, c’est le nombre d’utilisateurs de la sidechain d’Ethereum, Polygon. Celle-ci a largement profité de la hausse démentielle des frais rencontrée sur Ethereum. En quelques mois, elle a su séduire aussi bien les dapps telles qu’Aave que les utilisateurs.

Le tweet de la semaine

Le tweet de la semaine revient à @Saj_JZ et sa promotion de l’initiative lancée par la fondation Ethereum. Celle-ci va lancer un programme d’apprentissage destiné à former des développeurs pour le protocole Ethereum. L’objectif étant de faciliter l’accès au développement blockchain.

Merci de faire tourner auprès des étudiant.e.s en école d’informatique & autres parcours de vie équivalent.
Ça serait sympa de voir + de FR build le futur d’ethereum & autres protocoles blockchain.
Ça commence ici ⬇@IngenieursECE @ESILVparis@42born2code @EPITA@sophieviger🙌🏼https://t.co/B4YnxrWElq

— Sajida Zouarhi (@Saj_JZ) May 15, 2021

Bonne semaine sur le Journal du Coin ! 🙂

L’attribut alt de cette image est vide, son nom de fichier est CTA-achat-Bitcoin-BTC-trop-tard.png.

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Coder un contrat intelligent NFT minimaliste dans Solidity On Ethereum: un guide pratique

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@thebojdaLaszlo Fazekas

Développeur indépendant, activiste ENVIENTA, blogueur

NFT est un nouveau / ancien mot à la mode du monde de la blockchain. La norme NFT (EIP-721) a été créé en 2018, mais après CrptoKitties, ce champ était relativement silencieux.

De nos jours, les NFT sont de retour à la mode, et tout le monde veut faire du NFT à partir de tout. Vous pouvez vendre vos arts ou vos tweets, ou tout ce que vous pouvez imaginer sous forme de NFT. Mais quel est ce truc mystique de NFT?

NFT n’est pas un gros problème. Comme ERC20 Les jetons (fongibles), les NFT (jetons non fongibles) sont également de simples «bases de données» sur la blockchain.

Alors qu’un contrat de jeton ERC20 stocke les soldes des adresses Ethereum, le contrat NFT stocke les ID uniques -> les attributions d’adresses Ethereum. Lorsque vous vous créez un NFT, le contrat de jeton attribue l’ID de jeton unique à votre adresse Ethereum.

Techniquement, cet identifiant unique est le NFT lui-même.

Vous pouvez le vendre ou acheter d’autres NFT, ce qui correspond à une réaffectation de l’ID. Les métadonnées peuvent être attribuées à l’ID (par un URI) qui représente la chose derrière le NFT (ex.: Une image, un tweet, etc.). C’est tout. Facile, non? J’ai dit, NFT n’est pas un gros problème …

Bien qu’un NFT ne soit pas une chose compliquée, un contrat NFT peut être assez complexe. Si vous jetez un oeil à Implémentation de 0xcert, vous trouverez une logique de jeton complexe et de nombreuses variables d’état internes.

Le problème de la complexité est le coût de transaction élevé. Dans cet article, je vais montrer comment créer un contrat NFT minimaliste mais entièrement fonctionnel sur la blockchain Ethereum.

Tout d’abord, jetez un œil à certaines des variables d’état de l’implémentation de 0xcert:

mapping (address => uint256[]) internal ownerToIds; 
mapping (uint256 => uint256) internal idToOwnerIndex; 
mapping (uint256 => address) internal idToOwner; 
mapping (address => uint256) private ownerToNFTokenCount;

le

ownerToIds

le mappage contient les identifiants de jeton attribués à l’adresse Ethereum,

idToOwner

est un identifiant de jeton -> mappage d’adresse Ethereum,

idToOwnerIndex

affecte l’ID de jeton à l’index du tableau de jetons du propriétaire, et enfin,

ownerToNFTokenCount

attribue l’adresse Ethereum du propriétaire au nombre de jetons (combien de NFT appartiennent au propriétaire).

Comme vous le voyez, cette structure de données est fortement redondante, car chaque mappage peut être calculé à partir de la première structure ownerToIds.

Tous ces mappages sont stockés sur la blockchain, et tous doivent être gérés dans les méthodes du contrat. Malheureusement, tous sont nécessaires si nous voulons implémenter la norme de jeton ERC-721. Alors, que pouvons-nous faire pour réduire la complexité et le coût transactionnel des appels de méthode?

Si la compatibilité ERC-721 n’est pas nécessaire, nous pouvons faire une astuce simple. Dans ce cas, nous ne pouvons stocker sur la blockchain que les éléments absolument nécessaires.

Tout autre élément peut être stocké dans une base de données externe. Si nous stockons les soldes de jetons, les listes de jetons, etc. dans un stockage externe (non-blockchain), nous n’avons pas besoin des mappages redondants. Le contrat sera plus simple et les transactions seront moins chères. Après la théorie, jetons un œil au code:

Seulement 24 lignes de code. Pas mal. Mais s’agit-il vraiment d’un contrat NFT entièrement fonctionnel? Voyons voir. Il dispose de 2 méthodes: menthe et transfert. La méthode mint crée un nouveau jeton NFT. Il a 2 paramètres

_to

et

_ipfsHash

. Le premier paramètre est l’adresse Ethereum cible qui possédera le jeton nouvellement créé.

Le deuxième paramètre est un hachage unique qui pointe vers les métadonnées sur IPFS. Dans la spécification originale ERC-721, les métadonnées sont pointées par un

tokenURI

. Pourquoi utilisons-nous un hachage IPFS à la place? Il y a plusieurs raisons.

Un hachage IPFS ne fait que 32 octets, donc l’écrire dans la blockchain est moins cher qu’une chaîne URI. La deuxième raison est que IPFS est immuable. Le contenu ne peut pas être modifié, car s’il change, le hachage IPFS changera également. Ainsi, stocker les données sur IPFS et écrire le hachage dans la blockchain revient à écrire les données elles-mêmes dans la blockchain, mais beaucoup moins cher.

le menthe La méthode lit la valeur actuelle de la

tokenCounter

variable pour obtenir un ID de jeton unique. La méthode incrémente cette variable à chaque appel, de sorte que l’ID de jeton sera absolument unique. La méthode stocke l’ID de jeton – Attribution d’adresse Ethereum dans le

idToOwner

mapping, qui est le seul à cartographier ce que nous stockons sur la blockchain. Dans la dernière étape, la méthode émet un événement Mint, qui sera très important plus tard.

le transfert la méthode a deux paramètres

_to

et

_tokenId

. Le premier paramètre est l’adresse cible qui possédera le NFT, et le deuxième paramètre est l’ID du jeton. La première ligne de la méthode vérifie la propriété du jeton à l’aide du

idToOwner

cartographie. Seul le propriétaire du jeton peut appeler la méthode de transfert. Si le jeton appartient à l’appelant, la méthode modifie l’affectation dans le mappage et émet un événement de transfert.

Ces deux méthodes sont suffisantes pour un NFT entièrement fonctionnel. Mais qu’en est-il des soldes, des demandes de propriété, etc.? Voici la base de données externe. Lorsqu’un contrat émet un un événement, il sera stocké sur la blockchain dans les logs.

Ces journaux sont disponibles via le API JSON-RPC directement, ou vous pouvez utiliser l’API JavaScript pour les lire. Ces journaux contiennent l’historique complet des transactions, ils contiennent donc toutes les informations nécessaires. Puisqu’ils sont stockés sur la blockchain, à chaque instant, une base de données peut être construite à partir d’eux qui contient la propriété du jeton, les soldes et toutes les autres données nécessaires.

Pour le montrer, vérifions les méthodes ERC-721 et comment une base de données externe peut fournir les données.

balanceOf

,

ownerOf

– Ceux-ci peuvent être facilement calculés à partir des événements Mint et Transfer

approve

,

setApprovalForAll

,

getApproved

,

isApprovedForAll

– Notre NFT minimaliste ne fournit pas de logique d’approbation, seul le propriétaire peut transférer les jetons. Si nécessaire, cette fonctionnalité peut être implémentée par un deuxième mappage.

safeTransferFrom

,

transferFrom

– La sécurité du transfert peut être vérifiée en externe, et le paramètre n’a pas de sens ici, car nos jetons ne peuvent être transférés que par le propriétaire.

tokenURI

– L’URI du jeton peut être généré à partir de la partie hachage IPFS de l’événement Mint.

totalSupply

,

tokenByIndex

,

tokenOfOwnerByIndex

– Ceux-ci peuvent être calculés facilement à partir des événements Mint et Transfer.

Comme vous pouvez le voir, notre jeton NFT minimaliste peut faire tout ce qu’un jeton ERC-721 peut faire à l’exception de la logique d’approbation, mais il peut être implémenté si nécessaire.

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Traduction de l’article de Laszlo Fazekas : Article Original

Normes de jetons non fongibles (NFT): un aperçu

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Les NFT sont à la hausse. Actuellement, les utilisateurs qui s’intéressent aux jetons non fongibles les considèrent principalement comme des jetons cryptographiques contenant de l’art numérique ou des objets de collection cryptographiques. Dans un proche avenir, les NFT changeront la façon dont nous créons, distribuons et consommons du contenu numérique. Les cas d’utilisation de NFT en entreprise incluront plusieurs cas d’utilisation de DRM (Digital Rights Management).

Comprendre les NFT et les normes de jetons qui sous-tendent ce phénomène aidera les utilisateurs à comprendre les nuances de chaque type de NFT et les différents protocoles de blockchain impliqués. Étant donné que l’ERC721 d’Ethereum a été le premier standard NFT disponible, plusieurs applications grand public sont construites dessus. Les utilisateurs et les artistes numériques qui frappent ou créent des NFT via des sites Web tiers ne connaissent parfois pas le standard de jeton exact ou la blockchain qu’ils utilisent pour émettre un nouveau NFT.

Blockchain Ethereum

Le standard de jeton non fongible d’origine était le ERC721 construit sur Ethereum. Ethereum a été le pionnier dans cet espace et reste la plate-forme de blockchain la plus utilisée pour créer et lancer des NFT. Les protocoles de blockchain Flow et Tezos, cependant, rattrapent rapidement leur retard et dépasseront probablement Ethereum dans un proche avenir.

Les transactions sur toutes les plates-formes blockchain ont un coût associé, généralement un montant négligeable. Les transactions sur Ethereum sont traitées en «gaz». Lorsque Ethereum a été créé, le gaz était lié au prix de l’ETH sur le marché libre, les fondateurs ne s’attendaient pas à ce que le prix de l’ETH augmente au point qu’il devienne prohibitif d’effectuer des transactions sur la plate-forme. Au moment d’écrire ces lignes, il en coûte plus de 80 $ pour frapper un NFT en utilisant la norme ERC721 sur Ethereum.

La langue maternelle d’Ethereum est Solidity. Ethereum a également commencé avec le mécanisme de consensus de preuve de travail et prévoit de passer au preuve d’enjeu mécanisme de consensus.

Norme ERC 721

Le standard de jeton le plus couramment utilisé qui a tout déclenché. ERC721 les jetons ne sont pas fongibles; chaque jeton est unique et peut être tarifé indépendamment. C’est pourquoi des actifs numériques uniques tels que la création d’art numérique d’un artiste peuvent être stockés sur un tel jeton. Chaque jeton est unique et ne peut être ni détruit ni dupliqué. Chaque jeton peut être considéré comme un objet de collection en fonction du caractère unique et de la rareté de ses propriétés. Il s’agissait de la première norme de jeton non fongible à être créée.

Normes ERC 998 et ERC 1155

Deux normes de jetons non fongibles notables sur Ethereum qui ne sont pas aussi couramment utilisées que la norme ERC721 sont les ERC998 et le ERC1155 normes.

Les jetons ERC998 sont similaires aux jetons ERC721 en ce qu’ils sont tous les deux non fongibles. Les jetons ERC998 sont également «  composables  », ce qui signifie que les actifs de ce type de jeton peuvent être composés ou organisés en positions complexes et négociés en un seul transfert de propriété.

Un jeton ERC998 peut contenir à la fois des jetons non fongibles uniques (tels que l’ERC721), ainsi que des jetons fongibles uniformes (tels que l’ERC20). Le jeton ERC 998 peut ensuite être valorisé et échangé. Étant donné que le jeton ERC998 peut posséder un ensemble unique d’actifs numériques, il peut être considéré comme un portefeuille d’actifs ou comme une société de portefeuille pour un ensemble diversifié d’actifs.

Les jetons ERC1155 permettent aux utilisateurs d’enregistrer des jetons fongibles (ERC20) et non fongibles (ERC721) en utilisant la même adresse et le même contrat intelligent. Ce standard de jeton a été développé en pensant aux jeux où les jetons fongibles pourraient représenter une monnaie transactionnelle dans un jeu et les éléments non fongibles pourraient représenter des objets de collection dans le jeu et des actifs échangeables dans le jeu.

De nombreuses autres normes de jetons telles que le ERC 1190 qui offrent des NFT flexibles et complexes à créer ont été proposé et attendent d’être approuvés par le comité directeur d’Ethereum.

Blockchain de flux

Pour comprendre Flow, nous devons commencer par Cryptokitties. Cryptokitties est un jeu basé sur NFT qui permet aux utilisateurs d’acheter, de vendre, de collectionner et d’élever des chats numériques. Il a été lancé à l’aide de jetons ERC721. Il est devenu si populaire qu’il a obstrué le réseau de la blockchain Ethereum.

L’équipe derrière le jeu (Dapper Labs) a décidé de résoudre ce problème et dans le processus a créé Flow; une blockchain conçue pour les crypto-collectibles et les jeux. Dapper Labs a également créé Top Shot de la NBA – qui est une plate-forme d’objets de collection numériques basée sur NFT très populaire. Flow utilise le mécanisme de consensus de preuve d’enjeu.

Norme Flow-NFT

Les contrats intelligents sur le réseau Flow sont écrits en Cadence; La langue de Flow. Le flux permet « Contrats intelligents évolutifs« , c’est à dire. des contrats intelligents qui peuvent être déployés dans un «état bêta», puis mis à jour progressivement par les auteurs d’origine jusqu’à ce qu’ils soient satisfaits.

Les utilisateurs seront informés que ce contrat intelligent n’est pas encore finalisé et peuvent choisir d’attendre qu’il soit terminé avant de lui faire confiance. Une fois que les auteurs originaux du contrat intelligent sont satisfaits de leur code, ils peuvent libérer le contrôle de manière irrévocable et il devient immuable à partir de ce moment. Flow a été conçu pour l’échelle.

Blockchain Tezos

Tezos est une blockchain décentralisée qui utilise le mécanisme de consensus de mise à l’épreuve des liquides. Tezos a une crypto-monnaie native appelée Tez. Les créateurs de la plate-forme reconnaissent que les frais de transaction doivent être bas pour une adoption large et une facilité d’utilisation. Tezos a trois normes de jetons primaires dont seule la FA2 n’est pas fongible.

Norme FA2

La norme de jeton FA2, également connue sous le nom de TZIP-12, est une interface de contrat de jeton unifiée qui prend en charge un large éventail de types de jetons tels que les contrats fongibles, non fongibles, non transférables et multi-actifs.

Cela donne aux développeurs une grande flexibilité pour définir et inventer de nouveaux types de jetons qui peuvent prendre en charge des interactions de jetons complexes tout en conservant une API standard pour les applications externes et les portefeuilles. Ces structures de jetons peuvent inclure des NFT et contenir de nombreux éléments de jeu différents avec des fonctionnalités interactives et transmutables.

Conclusion

Bien qu’Ethereum ait été la première plate-forme blockchain avec des capacités NFT, elle n’a pas été spécialement conçue pour les NFT. Des plates-formes comme Flow et Tezos ont été construites avec une première attitude NFT. Il ne fait aucun doute qu’il y aura un plus grand choix de normes NFT dans un proche avenir.

Les NFT alimenteront la prochaine génération de jeux et d’applications multimédias, ils peuvent également trouver une utilité dans les applications d’identité numérique, de soins de santé et d’assurance. Il est important de comprendre les subtilités, les nuances et les structures de frais de transaction de chaque alternative pour déterminer la plate-forme et la norme de jeton à choisir.

Shaan Ray | Suivez l’auteur sur Twitter: Shaan Ray

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Traduction de l’article de Shaan Ray : Article Original

NFT: La Galerie des Offices entre dans la danse


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Après Christie’s et Sotheby, la Galerie des offices a trouvé la solution miracle pour éponger ses lourdes pertes : transformer ses œuvres en NFT.


Natural History Museum: LondonNatural History Museum: London

La célèbre Galerie des Offices dans la tourmente

La Galerie des Offices, aussi nommée Galleria degli Uffizi en italien, est un palais florentin renommé dans le monde entier pour déployer sur 12 000 m² la plus belle collection de peintures italiennes et des œuvres de tous les grands maîtres européens. A l’instar de nombreux musées, la galerie d’art n’a pas été épargnée par la pandémie. Elle a subi des pertes économiques conséquentes engendrées par près de huit mois de fermeture avec un passage du nombre de visiteurs annuels de 4,4 millions en 2019 à 1,2 million en 2020.  

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Les NFT, le remède prodigieux pour renflouer les caisses 

Afin de compenser ses pertes de revenus, La Galerie des Offices a décidé de transformer certaines de ses œuvres d’art les plus célèbres sous forme de NFT et de les proposer à la vente. En partenariat avec Cinello, une société italienne qui propose une nouvelle alternative pour l’achat de copies numériques de chefs-d’œuvre en respectant les dimensions originales. Ces œuvres d’arts numérisées, que l’entreprise appelle des DAW (acronyme de Digital Art Work), sont limitées, numérotées, authentifiées par le musée, protégées par des brevets, censées être impossibles à reproduire et accompagnées d’un jeton NFT pour faciliter la vente. 

Une première vente NFT à 140 000 euros

La première œuvre numérisée et vendue fut le tableau Tondo Doni (La Sainte Famille à la tribune) de Michel-Ange conçu en 1505. Le NFT de cette peinture circulaire représentant la sainte famille a été acheté pour 140 000 euros par une Italienne comme cadeau d’anniversaire pour son mari, un éminent collectionneur, selon le journal italien Corriere della Sera.

La galerie des offices et cinelloLa galerie des offices et cinelloLe fondateur et PDG de cinello, Franco Losi (à gauche), et le directeur de La Galerie des Offices, Eike Schmidt (à droite), à côté de la peinture Tondo Doni de Michel-Ange

De nouvelles ventes d’œuvres numérisées en perspective

Le musée a prévu de transformer de nombreuses autres œuvres majeures de sa collection en DAW dans les semaines à venir, comme le Bacchus du Caravage, La Naissance de Vénus de Botticelli, la Vénus d’Urbino du Titien et la Madone del Granduca de Raphaël. Selon Eike Schmidt, le directeur de La Galerie des Offices, dans la Corriere della Sera : « à moyen terme les ventes de NFT seront en mesure de pallier en partie aux besoins financiers du musée. Ce n’est pas un changement de cap en termes de revenus, c’est un revenu supplémentaire. Mais la création d’un tel marché ne se fait pas rapidement. »

Le célèbre économiste Joseph Schumpeter affirmait que « le nouveau ne sort pas de l’ancien, mais apparaît à côté de l’ancien, lui fait concurrence jusqu’à le ruiner ». Les œuvres-d’art numériques seront-elles l’avenir de l’art et des musées ?

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Étudiant passionné par l’entrepreneuriat et fasciné par les technologies derrières les cryptos ! Eh oui, je suis persuadé que les deux sont intimement liés : la blockchain et les NFT sont en train de révolutionner de nombreux secteurs et présentent des opportunités inédites.

DISCLAIMER

Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

Retrouver l’article original de Grégoire Morat ici: Lien Source

« The Amazon Of Information »: Goldman Initiates On Crypto, Sees Ethereum Overtaking Bitcoin

When Goldman officially announced two weeks ago that it was re-launching a previously rumored cryptocurrency trading team on May 6…

crypto desk 0

… some joked that this was the top-tick for the crypto space: after all, the last time Goldman launched a bitcoin trading desk, the sector imploded and just a few months later Goldman killed its expansion plans, sending cryptos tumbling even more, and starting the infamous crypto winter which lasted over two years.

goldman ends crypto trading desk 0

In retrospect, such cynicism wasn’t too far off, because bitcoin did plunge more than 40% since the day Goldman decided to relaunch its trading effort.

GS relaunches bitcoin

However, poor recent price action notwithstanding, we doubt that Goldman would let it go 2 out of 2 on catastrophic crypto crashes as soon as it officially gets involved.

Confirming this is an aggregate report published by Goldman late on Friday which is as close to an initiation by Goldman on the asset class as one can hope (last month Goldman already revealed its favorite « crypto-exposed » stocks), and which includes not only a handful of both « pro » crypto interviews (with Mike Novogratz leading the cheerleaders) as well as « anti » (Nouriel Roubini not surprisingly is the lead hater), but more importantly Goldman reveals its own thoughts on:

  • Bitcoin as a macro assets
  • Crypto as its own asset class
  • What is a digital store of value, and
  • The role of crypto in balanced portfolios

While the full report can be found in the usual place (for pro subscribers)…

Goldman on crypto

… we wanted to highlight the one thing we found notable in the 40 page report, is the bank’s preference for ethereum (an entirely new technological platform) over bitcoin (a store of value and an alternative payment system) which is not really surprising: as Mike Novogratz points out, « the three biggest moves in the crypto ecosystem—payments, DeFi, and NFTs—are mostly being built on Ethereum, so it’s going to get priced like a network. The more people that use it, the more stuff that gets built on it, and the higher the price will ultimately go. » And since for the past five years much of the world has largely associated crypto with bitcoin, it will take some time for conventional wisdom to realize that there is much more to crypto than just bitcoin.

Which incidentally brings up the question, of just what is crypto, and conveniently none other than the head of commodities at Goldman, Jeff Currie, has dedicated an entire section discussing this, which also reveals how Goldman is approaching the various constituents of the crypto space: Currie argues that cryptos are a new class of asset that derive their value from the information being verified and the size and growth of their networks. Here are the details:

The term “cryptocurrencies”—which most people take to mean that crypto assets act as a digital medium of exchange, like fiat currency—is fundamentally misleading when it comes to assessing the value of these assets. Indeed, the blockchain that underlies bitcoin was not designed to replace a fiat currency—it is a trusted peer-to-peer payments network. As a cryptographic algorithm generates the proof that the payment was correctly executed, no third party is needed to verify the transaction. The blockchain and its native coin were therefore designed to replace the banking system and others like insurance that require a trusted intermediary today, not the Dollar. In that sense, the blockchain is differentiated from other “digital” transactional mechanisms such as PayPal, which is dependent upon the banking system to prevent fraud like double-spending.

In order to be trustworthy, the system needed to create an asset that had no liabilities or contingent claims, which can only be a real asset just like a commodity. And to achieve that, blockchain technologies used scarcity in natural resources—oil, gas, coal, uranium and hydro—through ever-increasing computational-power consumption to “mine” a bit version of a natural resource.

From this perspective, the intrinsic value of the network is the trustworthy information that the blockchain produces through its mining process, and the coins native to the network are required to unlock this trusted information, and make it tradeable and fungible. It’s therefore impossible to say that the network has value and a role in society without saying that the coin does too. And the value of the coin is dependent upon the value and growth of the network.

That said, because the network is decentralized and anonymous, legal challenges facing future growth for crypto assets loom large. Coins trying to displace the Dollar run headlong into anti-money laundering laws (AML), as exemplified by the recent ransoms demanded in bitcoin from the Colonial Pipeline operator and the Irish Health service. Regulators can impede the use of crypto assets as a substitute for the Dollar or other currencies simply by making them non-convertible. An asset only has value if it can either be used or sold. And Chinese and Indian authorities have already challenged crypto uses in payments.

As a result, the market share of coins used for other purposes beyond currencies like “smart contracts” and “information tokens” will likely continue to rise. However, even these non-currency uses will need to be recognized by courts of law to be accepted in commercial transactions—a question we leave to the lawyers.

The network creates the value, unlike other commodities

Unlike other commodities, coins derive their entire value from the network. A bitcoin has no value outside of its network as it is native to the Bitcoin blockchain. The value of oil is also largely derived from the transportation network that it fuels, but at least oil can be burned to create heat outside of this network. At the other extreme, gold doesn’t require a network at all.

no currency crypto assets

Derived demand leaves the holder of the commodity exposed to the risk of the network becoming obsolete—a lesson that holders of oil reserves are now learning with decarbonization accelerating the decline of the transportation network, and, in turn damaging oil demand. Likewise, bitcoin owners face accelerated network decay risk from a competing network, backed by a new cryptocurrency.

As the demand for gold is not dependent on a network, it will ultimately outlive oil and bitcoin—gold entropy lies at the unit, not the network, level. Indeed, most stores of value that are used as defensive assets—like gold, diamonds and collectibles—don’t have derived demand and therefore only face unit-level entropy risk. This is what makes them defensive. The world can fall apart around them and they preserve their value. And while they don’t have derived demand, they do have other uses that establish their value, i.e. gold is used for jewelry and as a store of value.

Transactions drive value, creating a risk-on asset

Crypto doesn’t trade like gold and nor should it. Using any standard valuation method, transactions or expected transactions on the network are the key determinant of network value. The more transactions the blockchain can verify, the greater the network value. Transaction volumes and the demand for commodified information are roughly correlated with the business cycle; thus, crypto assets should trade as pro-cyclical risk-on assets as they have for the past decade. Gold and bitcoin are therefore not competing assets as is commonly misunderstood, and can instead co-exist. Because the value of the network and hence the coin is derived from the volume of transactions, hoarding coins as stores of value reduces the coins available for transactions, which reduces the value of the network. Because gold doesn’t have this property, it is the only commodity that institutional investors hold in physical inventory. Nearly all other commodities are held in paper inventory in the form of futures to avoid disrupting the network. This suggests that, like oil, crypto investments will need to be held in the form of futures contracts, not physically, if they are to serve as stores of value.

Crypto assets aren’t digital oil, either, as they are not non-durable consumables and can therefore be used again. This durability makes them a store of value, provided this demand doesn’t disrupt network flows. The crypto assets that have the greatest utility are also likely to be the dominant stores of value—the high utility reduces the carry costs.

payment networks procyclical;

So what is crypto? A powerful networking effect

The network provides crypto an extremely powerful networking externality that no other commodity possesses. The operators—miners, exchanges and developers—are all paid in the native coin, making them fully vested in its success. Similarly, users—merchants, investors and speculators—are also fully vested. This gives bitcoin holders an incentive to accommodate purchases of their own products in bitcoin, which in turn, creates more demand for the coins they already own. Similarly, ether holders have an incentive to build apps and other products on the Ethereum network to increase the value of their coins.

Because the coin holders have a stake in the network, speculation spurs adoption; even during bust periods, coin holders are motivated to work to create the next new boom. After the dot-com bust, the shareholders had no commodity to promote. In crypto assets, even when prices collapse, the coin holders have a commodity to promote. They will always live for another boom, like an oil wildcatter.

It’s all about information

As the value of the coin is dependent on the value of the trustworthy information, blockchain technology has gravitated toward those industries where trust is most essential—finance, law and medicine. For the Bitcoin blockchain, this information is the record of every balance sheet in the network, and the transactions between them—originally the role of banks. In the case of a smart contract—a piece of code that executes according to a pre-set rule—on Ethereum, both the terms of that contract (the code) and the state of the contract (executed or not) are the information validated on the Ethereum blockchain. As a result, the counterparty in the contract cannot claim a transfer of funds without the network forming a consensus that the contract was indeed executed. In our view the most valuable crypto assets will be those that help verify the most critical information in the economy.

Over time, the decentralized nature of the network will diminish concerns about storing personal data on the blockchain. One’s digital profile could contain personal data including asset ownership, medical history and even IP rights. Since this information is immutable—it cannot be changed without consensus—the trusted information can then be tokenized and traded. A blockchain platform like Ethereum could potentially become a large market for vendors of trusted information, like Amazon is for consumer goods today.

Crypto beyond this boom and bust cycle

By many measures—Metcalfe’s Law or Network Value to Transactions (NVT) ratio —crypto assets are in bubble territory. But does the demand for “commodified information” create enough economic value at a low enough cost to be scaled up in the long run? If the legal system accommodates these assets, we believe so. While many overvalued networks exist, a few will likely emerge as long-term winners in the next stage of the digital economy, just as the tech titans of today emerged from the dot-com boom and bust. This transformation is happening now—there are already an estimated 21.2 million owners of cryptocurrencies in the US alone. However, technological, environmental and legal challenges still loom large.

Ethereum 2.0 is expected to ramp up capacity to 3,000 transactions per second (tps), while sharding—which will scale Ethereum 2.0’s Proof of Stake (PoS) system through parallel verification of transactions—has the potential to raise capacity to as much as 100,000 tps. For context, Visa has the capacity to process up to 65,000 tps but typically executes around 2,000 tps. PoS intends to have validators stake the now scarce and valuable coins to incentivize good behavior instead of having miners expend energy to mine new blocks into existence, as under Proof of Work, making crypto assets more ESG friendly. PoS also can significantly boost computational time in terms of transactions per second, which will further incentivize technological adoption. Ironically, this is likely where the value of and demand for bitcoin will come from—being used as the scarce resource to make the PoS system work instead of natural resources.

While overcoming the economic challenges will likely be manageable, the legal challenges are the largest for many crypto assets. And this past week was challenging for crypto assets with confirmation that the 75 bitcoin ransom over the Colonial Pipeline was actually paid. This is a reminder that cryptocurrencies still facilitate criminal activities that have large social costs.

For Ethereum, new companies which aim to disrupt finance, law or medicine by integrating information stored on the platform into their algorithms are likely to run into problems with being legally recognized. If crypto assets are to survive and grow to their fullest potential, they need to define some concept of “sufficiently decentralized” that will satisfy regulators; otherwise, the technologies will soon run out of uses.

In short: bitcoin is good, and « ironically » will be used as the « scarce resource » to make PoS systems work « instead of natural resources », but while bitcoin may end up being a one-trick pony (if quite valuable) it is the new blockchain platforms – like Ethereum – that will serve as the basis for a marketplace of trusted information, as Goldman puts it « like Amazon is for consumer goods today. »

Since this is a Goldman report, it was naturally chock-full of charts and images, and below we reproduce the main ones, first, focusing on bitcoin…

gs bitcoin sizing

…  then ethereum…

ethereum sizing market

… a snapshot of all cryptos…

top tokens

… and recent price performance.

bitcoin historical prices gs

And with that background in place, here is why Goldman believes that « ether has high chance of overtaking bitcoin as the dominant digital store of value. » Here is Goldman explaining what is a digital store of value:

Based on emerging blockchain technology that has the power to disrupt global finance, yet with limited clear use today, bitcoin has been labeled a solution looking for a problem. Many investors now view bitcoin as a digital store of value, comparable to gold, housing, or fine wine. But all true stores of value in history have provided either income or utility, and bitcoin currently provides no income and only very modest utility.

However, unlike bitcoin, several other crypto assets have clear economic rationales behind their creation. Bitcoin’s first-mover advantage is also fragile; crypto remains a nascent field with shifting technology and consumer preferences, and networks that fail to adjust quickly could lose their leadership. We therefore see a high likelihood that bitcoin will eventually lose its crown as the dominant digital store of value to another cryptocurrency with greater practical use and technological agility. Ether looks like the most likely candidate today to overtake bitcoin, but that outcome is far from certain.

What is a store of value?

A store of value is anything that preserves its value over time. While financial stores of value like equities and bonds hold their value because they produce a given cash flow, yield is not a prerequisite for value. Art, wine, gold, and non-yielding currencies are widely used as stores of value too. Yet all of these non-yielding assets have a clear material use besides being stores of value. This usefulness generates a “convenience yield”—the incentive for people to own them—that reflects both the utility a consumer derives from using these assets and the relative scarcity of that utility—a fact captured by Adam Smith’s famous Diamond-Water paradox.

We place assets on a continuum across time by their store of value properties. We identify stores of future value, like financial assets that offer the owner the right to future yields or the promise of growing value over time, stores of present value, like consumable commodities such as oil and grains for which the utility of driving and eating today imparts a convenience yield, and stores of past value, like gold, art or even housing in which the assets store value generated in the past because of their duration.

Value always stems from use

The key to stores of past value like gold and houses is that someone demanded these assets in the past and placed value in them by exchanging something of value, usually currency, for them. Indeed, all important non-yielding stores of value developed real uses before becoming investment assets. For instance, gold was first used as jewelry to signal permanence, commitment or immortality. The economic problem was a need to signal permanence, and gold’s durable and inert elemental properties solved that problem. Given the state of technology at the time, gold was the only solution for this problem, which explains why so many societies adopted it for this use.

econ value goldman

And when societies began to conquer each other and needed a means to standardize international trade, gold was the natural choice to solve this economic problem as most societies already owned gold and it was divisible. Real use is important for stores of value because consumption demand tends to be price-sensitive and therefore provides some offset to fluctuations in investment demand, tempering price volatility. For example, jewelry demand is the swing factor in the gold market, falling when investment demand for gold pushes prices higher, and vice versa.

Ether beats bitcoin as a store of value

Given the importance of real uses in determining store of value, ether has high chance of overtaking bitcoin as the dominant digital store of value. The Ethereum ecosystem supports smart contracts and provides developers a way to create new applications on its platform. Most decentralized finance (DeFi) applications are being built on the Ethereum network, and most non-fungible tokens (NFTs) issued today are purchased using ether. The greater number of transactions in ether versus bitcoin reflects this dominance. As cryptocurrency use in DeFi and NFTs becomes more widespread, ether will build its own first-mover advantage in applied crypto technology.

Ethereum can also be used to store almost any information securely and privately on a decentralized ledger. And this information can be tokenized and traded. This means that the Ethereum platform has the potential to become a large market for trusted information. We are seeing glimpses of that today with the sale of digital art and collectibles online through the use of NFTs. But this is a tiny peek at its actual practical uses. For example, individuals can store and sell their medical data through Ethereum to pharma research companies. A digital profile on Ethereum could contain personal data including asset ownership, medical history and even IP rights. Ethereum also has the benefit of running on a decentralized global server base rather than a centralized one like Amazon or Microsoft, possibly providing a solution to concerns about sharing personal data.

real demand for gold price stabilizer

A major argument in favor of bitcoin as a store of value is its limited supply. But demand, not scarcity, drives the success of stores of value. No other store of value has a fixed supply. Gold supply has grown nearly ~2% pa for centuries, and it has remained an accepted store of value. Plenty of scarce elements like osmium are not stores of value. In fact, a fixed and limited supply risks driving up price volatility by incentivizing hoarding and forcing new buyers to outbid existing holders, potentially creating financial bubbles. More important than having a limited supply to preserve value is having a low risk of dramatic and unpredictable increases in new supply. And ether, for which the total supply is not capped, but annual supply growth is, meets this criterion.

Fast-moving technologies break first-mover advantage

The most common argument in favor of bitcoin maintaining its dominance over other cryptocurrencies is its first-mover advantage and large user base. But history has shown that in an industry with fast-changing technology and growing demand, a first-mover advantage is difficult to maintain. If an incumbent fails to adjust to shifting consumer preferences or competitors’ technological advances, they may lose their dominant position. Think of Myspace and Facebook, Netscape and Internet Explorer or Yahoo and Google.

For crypto networks themselves, active user numbers have been very volatile. During 2017/18, Ethereum was able to gain an active user base that was 80% the size of Bitcoin’s within one year. Ethereum’s governance structure, with a central developer team driving new proposals, may be best suited for today’s dynamic environment in which crypto technology is changing rapidly and systems that fail to upgrade quickly can become obsolete.

Indeed, Ethereum is undergoing much more rapid upgrades to its protocol than Bitcoin. Namely, Ethereum is currently transitioning from a Proof of Work (PoW) to a Proof of Stake (PoS) verification method. Proof of Stake has the advantage of dramatically increasing the energy efficiency of the system as it rewards miners based on the amount of ether holdings they choose to stake rather than their processing capacity, which will end the electricity-burning race for miner rewards. Bitcoin’s energy consumption is already the size of the Netherlands and could double if bitcoin prices rise to $100,000. This makes bitcoin investment challenging from an ESG perspective.

user base

While PoS protocols raise security concerns due to the need for trusted supervisors in the verification process, Bitcoin is also not 100% secure. Four large Chinese mining pools control almost 60% of bitcoin supply and could in theory collude to verify a fake transaction. Ethereum too faces many risks and its ascendance to dominance is by no means guaranteed. For instance, if the Ethereum 2.0 upgrade is delayed, developers may choose to move to competing platforms. Equally, Bitcoin’s usability can potentially be improved with the introduction of the Lightning Network, a change of protocol to support smart contracts and a shift to PoS. All cryptocurrencies remain in early days with fast-changing technology and volatile user bases.

High vol is here to stay until real use drives value

The key difference between the current rally in crypto and the crypto bull market of 2017/18 is the presence of institutional investors—a sign that financial markets are starting to embrace crypto assets. But bitcoin’s volatility has remained persistently high, with prices falling 30% in one day in just this past week. Such volatility is unlikely to abate until bitcoin has an underlying real, economic use independent of price to smooth out periods of selling pressure. Indeed, more recently, institutional participation has slowed as reflected in lower inflows into crypto ETFs, while the outperformance of altcoins indicate that retail activity has once again taken center stage.

This shift from institutional adoption to increasing retail speculation is creating a market that is increasingly comparable to that of 2017/18, increasing the risk of a material correction. Only real demand that solves an economic problem will end this volatility and usher in a new mature era for crypto—one based upon economics rather than upon speculation.

Goldman’s conclusion: ethereum is the platform that solves economic problems here and now, while bitcoin is « a solution looking for a problem. » It’s also why two weeks ago, JPMorgan also laid out a bullish case for eth even as it has continued to slam bitcoin. As a reminder, JPMorgan’s quant Nick Panigirtzoglou laid out six reasons why ethereum is set to continue its ascent even if there is a crackdown on bitcoin by either China or the US:

  1. The European Investment Bank (EIB) used the ethereum blockchain to issue €100mn in two-year zero-coupon digital notes last week, its first ever digital bond. The transaction involved a series of bond tokens on the ethereum blockchain, where investors purchase and pay for the security tokens using traditional fiat. The EIB digital bond is surely very significant as it represents the endorsement of the ethereum blockchain by a major official institution.
  2. The first ethereum ETF (ETHH) was launched on April 20th by Purpose Investments in Canada and three more ethereum ETFs launches followed during the same month.
  3. The structural decline in ethereum supply from the pending introduction of protocol EIP1559 in the summer. EIP 1559‘s objective is to make transaction fees on the ethereum blockchain more predictable by introducing an automatically calculated base fee for all transactions depending on network activity. Once paid with ethereum, this fee would be immediately burned, implying reduced supply of ethereum in the future. Ethereum’s theoretically unlimited supply had been a concern in the past, with ethereum in circulation rising by 5% per year over the past three years. Via burning ethereum through base fees, EIP1559 could potentially reduce the annual change of ethereum in circulation to 1-2% per year.
  4. The greater focus by investors on ESG has shifted attention away from the energy intensive bitcoin blockchain to the ethereum blockchain, which in anticipation of Ethereum 2.0 is expected to become a lot more energy efficient by the end of 2022. Ethereum 2.0 involves a shift from an energy intensive Proof-of-Work validation mechanism to a much less intensive Proof-of-Stake validation mechanism. As a result, less computational power and energy consumption would be needed to maintain the ethereum network.
  5. The sharp growth of NFTs and stablecoins in recent months are increasing the usage of the ethereum which is already dominating the DeFi ecosystem.
  6. The rise in bond yields and the eventual normalization of monetary policy is putting downward pressure on bitcoin as a form of digital gold, the same way higher real yields have been putting downward pressure on traditional gold. With ethereum deriving its value from its applications, ranging from DeFi to gaming to NFTs and stablecoins, it appears less susceptible than bitcoin to higher real yields.

In short, while one doesn’t have to agree with Goldman or JPMorgan, these represent the institutional take. In other words, bitcoin and ethereum can co-exist and ostensibly become even more popular and eventually hit new all time highs (as a reminder FundStrat sees bitcoin hitting $100,000 and Ethereum rising to $10,500), but if the hammer hits and central banks in collaboration with local regulators decide to crackdown on crypto, what they will in fact be eliminating is the tax-evasion/money-laundering threat that bitcoin represents, while ethereum – and its various de-fi spinoffs – is left untouched. While that might mean ethereum has to find use within the demand confines of the so-called « establishment », we doubt those who are long it will complain if Goldman is proven right and it becomes the « Amazon of trusted information », one token trading at $20,000 or much more.

Traduction de l’article de Tyler Durden : Article Original

NFT: La Galerie des Offices entre dans la danse

Natural History Museum: London

Après Christie’s et Sotheby, la Galerie des offices a trouvé la solution miracle pour éponger ses lourdes pertes : transformer ses œuvres en NFT. La célèbre Galerie des Offices dans la tourmente La Galerie des Offices, aussi nommée Galleria degli Uffizi en italien, est un palais florentin renommé dans le monde entier pour déployer sur […]

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Digital Finance Group rejoint l’aventure Ternoa


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Franchir le temps, mais également l’espace ! Ternoa (CAPS) ajoute le Digital Finance Group (DFG) dans son portefeuille de partenaires. Le projet continue d’avancer dans son projet d’expansion internationale.


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Une capsule pour faire décoller Ternoa

La société d’investissements Digital Finance Group soutient le projet Ternoa de la société française Capsule Corp. Ternoa avait annoncé une IDO prévue pour fin mai 2021, sur Maker DAO et Ignition.

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L’influence de DFG dans l’écosystème crypto et son réseau relationnel sont un levier de développement à l’international de Ternoa.

La blockchain Ternoa basée sur les NFTs permet de créer des capsules temporelles via un smartphone, et d’y ajouter des données comme des photos, des vidéos, ou des messages.

Les capsules destinées aux générations futures, désignées par leur créateur, sont chiffrées et stockées de manière décentralisée sur la blockchain.

Ternoa avait noué un partenariat avec Master Ventures et GD10 Ventures. Son développement progressif accroît la visibilité du projet, mais est également positif pour la valeur de son token CAPS.

Un porte-parole du DFG a indiqué qu’ “à la DFG, nous sommes convaincus que les NFT seront l’un des principaux moteurs de l’ensemble de l’espace des actifs numériques“.

Un flair aiguisé pour DFG

Le DFG a été créé en 2015. La société gère aujourd’hui plus d’un milliard de dollars d’actifs. Elle avait su détecter très tôt le potentiel des projets tels que LedgerX, Brave, et Circle.

Ces derniers font partie des principaux contributeurs à la création de l’USD Coin (USDC). Ils sont également membres du groupe restreint dirigeant les investissements dans l’écosystème Polkadot (DOT).

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Ils ont lancé le Matrix Exchange soutenu par l’autorité de régulation des services financiers (FSRA) du marché international d’Abu Dhabi (ADGM).

L’équipe du DFG comprend des experts du secteur crypto tels que James Wo, Terry Culver, et Joanna Liang. Ternoa profitera de leur expertise.

Le DFG compte des dizaines d’employés dans le monde entier, avec une équipe de chercheurs qualifiés identifiant les tendances dans la cryptosphère.

De l’ombre à la lumière : Ternoa s’appuie sur ses partenaires pour créer un écosystème au service de la réalisation de ses ambitions. DFG continue quant à lui d’investir dans des projets innovants qui pourraient tout simplement devenir de grands noms de la cryptosphère. En accordant à Ternoa sa confiance, le projet améliore son image de marque, en vue notamment de son IDO. Ternoa offre une mémoire décentralisée au monde. Le monde pourrait bientôt se souvenir de l’histoire d’une jeune pousse française, qui est devenue un géant.

Plus d’actions


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La mode c’est bien, mais la blockchain c’est l’avenir, on est d’accord non ?! C’est une super opportunité et un secteur en pleine évolution ! Au quotidien, mon travail c’est d’essayer de vulgariser au mieux les cryptos/blockchain qui paraissent pour beaucoup trop techniques.

DISCLAIMER

Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

Retrouver l’article original de Zoé De La Roche ici: Lien Source

Apollo Space Token lance NFT Like Star Naming Registry sur BSC

Auteur

Dernière mise à jour le 21 mai 2021 à 12:01

Jeton spatial Apollo

La manie de la NFT cette saison haussière ne se limite pas aux passionnés de cryptographie et a pris de l’ampleur avec des athlètes de haut niveau et des artistes célèbres qui vendent aux enchères leurs objets d’art et souvenirs rares à l’aide de la blockchain. Les NFT sont devenus la plus grande réussite à émerger de l’espace cryptographique cette saison haussière et Jeton spatial Apollo (AST) apporte une itération unique de la même chose sous la forme d’un registre de dénomination d’étoiles décentralisé. Le projet de cryptographie émergent vise à revitaliser l’industrie du registre d’étoiles avec GenZ.

Le projet AST promet d’offrir un service intergalactique aux personnes fascinées par l’espace, les systèmes solaires et les étoiles. Le projet a été officiellement lancé il y a quelques semaines à peine et a attiré l’attention de nombreuses célébrités avec sa capitalisation boursière atteignant 1,5 million de dollars dans la semaine suivant son lancement.

Qu’est-ce que le projet Apollo Space Token?

Alors que la plausibilité de la vie humaine en dehors de la Terre semble de plus en plus possible grâce à des entreprises comme SpaceX fondée par Elon Musk, AST promet de graver le nom des personnes intéressées sur l’une des millions d’étoiles de notre galaxie. Alors que SpaceX se concentrerait sur le tourisme spatial et emmènerait quelques-uns sur Mars, AST offre la possibilité d’être parmi les stars aujourd’hui avec votre nom sécurisé sur un registre décentralisé.

Les développeurs d’AST offrent à leurs utilisateurs la première occasion d’écrire leurs noms dans les étoiles. Apollo Space Token est le dernier jeton lancé sur la chaîne intelligente Binance et contrairement à de nombreux projets de cryptographie, les trois développeurs d’AST ont révélé leur identité et semblent avoir de multiples connexions avec les athlètes professionnels actuels grâce à leurs années d’expérience dans diverses arènes sportives de leur communauté. .

Les développeurs d’Apollo Space Token ont profité de cette opportunité pour devenir le premier registre de dénomination d’étoiles de la chaîne intelligente Binance, Apollo Space Token est en train de développer un registre de dénomination d’étoiles décentralisé qui permettra à ses utilisateurs d’acheter et de transférer la propriété de tout des étoiles nommées dans leur registre. Cette qualité unique, qui n’a jamais été vue auparavant dans d’autres registres, donne à chaque étoile une valeur sous-jacente. Chacune des étoiles nommées dans leur registre augmentera en valeur à mesure que la demande augmentera, similaire à celle d’un jeton non fongible ou NFT; un autre secteur émergent qui permet aux utilisateurs d’acheter, de vendre et d’échanger des actifs numériques authentifiés.

Star Registry Data Base (SRDB1) sera la première itération de la base de données AST pour le cosmos. Cette base de données blockchain sera créée et maintenue par la fondation AST. La fondation AST sera uniquement soutenue et gérée par les titulaires d’AST. Des protocoles de gouvernance seront introduits peu de temps après la création de SRDB. La base de données contiendra des informations sur le vaste cosmos et la dénomination des droits des étoiles / planètes / galaxies qui seront vendues par la fondation AST.

Apollo Space Token a continuellement franchi des étapes importantes dans le développement de son DApp ou de son application décentralisée et continue de captiver un public plus large au fil des jours. Vous pouvez en savoir plus sur ce projet basé sur la cryptographie et rester à jour en visitant leur site Web à l’adresse Apollospacetoken.com

Comment tirer le meilleur parti de l’écosystème AST?

Le projet AST peut sembler une idée unique en soi, cependant, l’écosystème a beaucoup plus d’offres qu’un registre de dénomination d’étoiles décentralisé car son jeton natif AST peut être utilisé pour gagner un revenu passif avec le système de gravure de jetons qui augmente le potentiel du jeton natif pour augmenter le prix.

Brûler des jetons est le meilleur moyen d’augmenter le prix plancher d’un jeton, car les brûlures sont une bonne chose, mais l’offre et le taux de combustion doivent avoir un sens. L’écosystème AST offre un taux de combustion de 2% pour chaque transaction et un plafond d’offre fixe de seulement 13 milliards, ainsi un changement de prix significatif se produira quotidiennement pour AST. Comprenons-le via un exemple, l’offre actuelle d’AST est de 13 milliards avec un

Taux de combustion de 2% où la valeur initiale de 1 BNB = 13 000 000 AST. si nous considérons que le volume quotidien potentiel est de 1 000 BNB, la consommation quotidienne potentielle serait d’environ 20 BNB ou 26 000 000 AST. Cela équivaut à une brûlure de plus de 100 millions d’AST tous les 4 jours

Cela ne prend pas en compte les changements de prix, les changements dans le nombre de transactions ou une réduction globale des jetons. Le nombre d’AST brûlés peut être lent, mais le pourcentage ne changera jamais. AST deviendra plus rare à chaque transaction et finalement plus précieux. Le taux de combustion AST agirait comme le carburant de la fusée pour le prix symbolique.

Les jetons ne sont pas seulement brûlés à chaque transaction, ils sont rendus à la communauté! En conservant AST, les utilisateurs recevront des jetons en retour. Cette fonction de jalonnement automatique permet aux utilisateurs de gagner un revenu sous la forme de Jetons AST juste en faisant partie du Moonmen Gang (détenteurs d’AST). Les développeurs du projet visent à étendre le système de registre avec une communauté grandissante et à ajouter des fonctionnalités telles que les droits de nommage des planètes et même des galaxies. Le projet vise à amener les NFT à un tout autre niveau.

Pour en savoir plus sur Apollo Space Token, visitez:

Remarquer: Les informations contenues dans cet article et les liens fournis sont à titre informatif uniquement et ne doivent constituer aucun conseil financier ou d’investissement. Nous vous conseillons de faire vos propres recherches ou de consulter un professionnel avant de prendre des décisions financières. Veuillez reconnaître que nous ne sommes pas responsables des pertes causées par les informations présentes sur ce site Web.

Traduction de l’article de Denisa S. : Article Original

FTX et BitMEX s’engagent à devenir neutre en carbone

Points clés à retenir

  • FTX a annoncé son intention de devenir neutre en carbone hier soir, en commençant par un don de 1 million de dollars aux organisations de compensation de carbone.
  • BitMEX a pris un engagement similaire pour compenser ses émissions quelques heures après que FTX ait publié la mise à jour.
  • L’espace cryptographique a de nouveau fait l’objet d’un examen minutieux par les écologistes concernés cette semaine après qu’Elon Musk a annoncé que Tesla arrêterait les paiements Bitcoin en raison de l’impact environnemental de l’actif.

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FTX et BitMEX deviennent neutres en carbone. Les bourses se sont engagées à verser des frais pour compenser les émissions.

Les échanges s’engagent à devenir neutre en carbone

FTX et BitMEX se sont engagés à devenir neutres en carbone.

FTX a publié une note confirmant son intention de compenser ses émissions tard dans la nuit. L’échange, géré par l’éminent négociant en crypto Sam Bankman-Fried, a déclaré qu’il commencerait par faire un don d’un million de dollars pour compenser les ressources de la blockchain qu’il utilise. « Ensemble, nous pouvons rendre le monde meilleur, et cela ne signifie pas que nous devons renoncer à ce en quoi nous croyons », a tweeté Bankman-Fried.

Ensemble, nous pouvons rendre le monde meilleur, et cela ne signifie pas que nous devons renoncer à ce en quoi nous croyons.

FTX devient neutre en carbone, faisant un don de 1 million de dollars pour compenser les ressources de la blockchain qu’il utilise.

Pour que nous puissions rendre le monde plus vert. Et afin que nous puissions continuer à faire avancer la crypto. https://t.co/Uqz8DqUNGJ

– SBF (@SBF_Alameda) 20 mai 2021

BitMEX a suivi l’exemple de FTX quelques heures après la mise à jour, en écrivant un article de blog notant qu’il y avait eu «un examen approfondi des crypto-monnaies et de la consommation d’énergie récemment – avec des points de vue extrêmement divergents et l’exactitude des informations».

La bourse a confirmé qu’elle prendrait plusieurs mesures pour atteindre la neutralité carbone, en commençant par payer des frais pour compenser les émissions causées par les retraits. La société a promis de faire un don de 0,0026 USD pour chaque dollar de frais de blockchain qu’un client paie pour retirer ses fonds, sur la base des calculs de Bankman-Fried publiés sur Twitter. Selon le billet de blog, il recherche également des organisations avec lesquelles s’associer.

Le message a conclu en encourageant d’autres sociétés de cryptographie à s’engager sur le même engagement, ajoutant:

«La compensation carbone n’est pas la seule réponse aux préoccupations liées à l’empreinte environnementale de la cryptographie, mais c’est certainement un bon début. Nous pensons que la cryptographie est une énorme force pour le bien dans le monde, mais l’industrie doit se rassembler et relever des défis qui risquent de détourner nos intentions positives.

L’impact environnemental de Crypto a été un sujet particulièrement brûlant la semaine dernière après Elon Musk annoncé que Tesla arrêterait les paiements Bitcoin. Musk a ensuite critiqué l’impact de l’extraction de l’actif, entraînant la chute libre du marché. Les fans de la monnaie ont répondu en soulignant que 75% de l’exploitation minière de Bitcoin provient de sources renouvelables, bien que cela n’ait pas encore suffi à changer le récit global.

Pendant ce temps, Ethereum publié un article de blog affirmant que le passage à la preuve d’enjeu réduirait les émissions de 99,95%. La deuxième blockchain utilise actuellement un algorithme de consensus de preuve de travail à forte consommation d’énergie, similaire à celui utilisé par Bitcoin. Diverses autres chaînes de crypto-monnaie comme Fantom et Polygon utilisent déjà la preuve d’enjeu. Si les préoccupations environnementales liées à la preuve de travail s’intensifient, les réseaux de preuve d’enjeu pourraient commencer à prendre davantage de place à l’avenir.

Divulgation: Au moment de la rédaction de cet article, l’auteur de cette fonctionnalité possédait ETH, ETH2X-FLI, MATIC et plusieurs autres crypto-monnaies.

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Traduction de l’article de Chris Williams : Article Original