« Weird Whales » : cet adolescent de 12 ans parvient à récolter 350 000 dollars d’Ethers grâce à son projet de NFTs

Le sec­teur des « non-fun­gible tokens » (NFTs) a enre­gis­tré des records ces der­nières semaines, per­met­tant à des pas­sion­nés de gagner plu­sieurs cen­taines de mil­liers de dol­lars grâce à leurs collections.

Par­mi eux, se trouve le jeune lon­do­nien Benya­min Ahmed, qui a lan­cé récem­ment un pro­jet bap­ti­sé « Weird Whales ». Ce féru d’in­for­ma­tique est déjà par­ve­nu à récol­ter l’é­qui­valent de 350 000 dol­lars d’Ethers.

Benyamin Ahmed s’attend à générer 400 000 dollars grâce à sa collection de NFT « Weird Whales »

Il y a quelques jours, le média amé­ri­cain CNBC a inter­viewé ce jeune gar­çon de 12 ans, qui est par­ve­nu à récol­ter 250 000 dol­lars grâce au lan­ce­ment d’un pro­jet de NFT, « Weird Whales » (« baleines étranges »).

Benya­min Ahmed, qui a com­men­cé à coder dès l’âge de 5 ans, a éga­le­ment pu mettre la main sur 30 Ethers (95 000 dol­lars) de rede­vances : il per­çoit 2,5% de com­mis­sions sur chaque vente de « whale » réa­li­sée sur le mar­ché secondaire.

Il s’a­git déjà de la deuxième aven­ture entre­pre­neu­riale de l’a­do­les­cent dans le monde des NFTs : il avait aupa­ra­vant lan­cé une autre col­lec­tion, appe­lée « Mine­craft Yee Haa ». Elle est for­mée de per­son­nages dont le desi­gn est ins­pi­ré du célèbre jeu vidéo.

Benya­min, dont le père est déve­lop­peur web, a appris très tôt à pro­gram­mer en HTML et en CSS, puis en Javascript.

« J’ai enten­du par­ler des NFTs cette année », explique ce pas­sion­né d’in­for­ma­tique. « J’ai été fas­ci­né par les NFTs car il est extrê­me­ment simple de trans­fé­rer la pro­prié­té de ces actifs sur la blockchain ».

Weird Whales – qui se com­pose de 3 350 images de baleines pixe­li­sées – est simi­laire à d’autres col­lec­tions de NFTs tels que les Cryp­to­Punks ou le Bored Ape Yacht Club.

Ces pro­jets ont récem­ment défrayé la chro­nique en bat­tant de nom­breux records. Lors de la rédac­tion de cet article, les 10 der­nières ventes de « Punks » effec­tuées sur la pla­te­forme Open­Sea avaient toutes été conclues à un prix supé­rieur à 130 ETH (413 000 dol­lars).

Seulement 300 dollars de capital de départ

Benya­min a expli­qué à CNBC qu’il n’a­vait pas besoin de compte ban­caire pour conser­ver sa petite for­tune, et qu’il pou­vait se conten­ter d’un simple wal­let de cryptomonnaies.

« Je pré­vois de conser­ver tous mes Ethers et de ne pas les conver­tir en mon­naie fidu­ciaire », a‑t-il confié. « C’est la preuve que peut-être, à l’a­ve­nir, per­sonne n’au­ra besoin d’un compte ban­caire, et qu’il suf­fi­ra de dis­po­ser d’une adresse Ethe­reum et d’un wallet ».

Il a tou­te­fois pré­ci­sé qu’il devra ouvrir un compte afin de décla­rer ses gains.

Plus jeune, l’a­do­les­cent avait pas­sé de nom­breuses heures à « craf­ter » sur Mine­craft – un pro­ces­sus qui per­met de créer des objets à par­tir d’autres élé­ments. C’est l’une des rai­sons qui l’ont pous­sé à s’in­té­res­ser aux NFT.

Le jeune entre­pre­neur a par ailleurs bien com­pris l’im­por­tance de la culture du « meme » dans la cryp­to-sphère – une culture qui a per­mis à cer­tains pro­jets comme le Doge­coin d’at­teindre plu­sieurs mil­liards de dol­lars de valorisation.

« Je pense que les “memes” ont une valeur consi­dé­rable dans cet éco­sys­tème. De nom­breux pro­jets sont, au moins en par­tie, liés à ce phénomène ».

Pour le moment, Benya­min est par­ve­nu à obte­nir envi­ron 350 000 dol­lars d’E­thers, et s’at­tend à ce que son pro­jet lui rap­porte encore 50 000 dol­lars sup­plé­men­taires. Il a confié n’a­voir inves­ti que 300 dol­lars en frais Ethe­reum pour le lancer.

Réfé­rence : News.Bitcoin.com

Retrouver l’article original de Crypto-France ici: Lien Source

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