Frénésie autour des NFTs : les volumes hebdomadaires d’OpenSea dépassent pour la première fois le milliard de dollars

À l’origine de 98% des échanges des NFTs basés sur Ethereum, OpenSea est le leader incontesté du secteur. La plateforme a atteint un record historique à 1,23 milliard de dollars de volumes hebdomadaires en tirant profit de l’engouement suscité par des projets tels que CryptoPunks ou Bored Ape Yacht Club.

Elle a ainsi multiplié par 8 ses volumes entre les mois de juillet et d’août.

Un nouveau record pour OpenSea

La place de marché OpenSea, adossée au réseau Ethereum, est à l’origine d’un volume hebdomadaire record de 1,23 milliard de dollars. Elle enregistre ainsi une hausse de 178% par rapport à la semaine précédente.

Les NFTs (pour « Non-fungible tokens ») sont des jetons basés sur la technologie blockchain qui permettent de prouver la détention d’objets numériques – comme des images ou des vidéos – ou d’actifs physiques. Disponibles depuis plusieurs années, ils ont connu un engouement historique ces dernières semaines.

OpenSea permet notamment d’échanger des images de collection telles que celles proposées par CryptoPunks, Bored Ape Yacht Club ou encore Art Blocks.

En août, la place de marché a jusqu’ici permis d’effectuer plus de 812 000 Ethers d’échanges, soit environ 2,6 milliards de dollars. Elle a ainsi déjà multiplié par 8 ses volumes par rapport à juillet (326 millions de dollars).

Des miettes pour ses concurrents

La deuxième place de marché la plus populaire en août est SuperRare, qui a enregistré 23 millions de dollars d’échanges. Foundation arrive sur la troisième marche du podium, avec des volumes de 14 millions de dollars.

Même si certains projets (comme « NBA Top Shot ») sont adossés à d’autres blockchains, la plupart des NFTs sont hébergés sur Ethereum. Sur ce réseau, OpenSea domine outrageusement le marché : en août, 98,3% des échanges de NFTs basés sur Ethereum ont été effectués sur la plateforme.

La première flambée enregistrée sur OpenSea avait démarré le 30 juillet, lorsque ses volumes journaliers étaient passés de 13,4 millions de dollars à 39,4 millions de dollars le lendemain. Elle avait ainsi atteint un nouveau record historique, comme l’indique le site Dune Analytics.

La place de marché a ensuite battu de nombreux records. Mardi, ses volumes journaliers avaient atteint un nouveau pic à 208 millions de dollars, dépassant le plus haut de la veille de 194 millions de dollars. Elle a enregistré un nouveau record historique ce samedi, avec plus de 235 millions de dollars échangés.

La première hausse constatée fin juillet était liée à l’engouement suscité par les avatars « CryptoPunks ». Le projet, lancé il y a 4 ans, avait vu ses volumes quotidiens passer de 1,8 million de dollars à 41,5 millions de dollars en l’espace d’une semaine. Selon les données d’OpenSea, les ventes de CryptoPunks ont déjà dépassé les 449 000 ETHs (1,44 milliard de dollars), avec des volumes en hausse de près de 800% sur les 7 derniers jours.

+ 380% de volumes quotidiens pour le Bored Ape Yacht Club

D’autres collections proposées sur OpenSea ont également connu un mois d’août exceptionnel.

Aujourd’hui, le Bored Ape Yacht Club – le projet soutenu depuis hier par la star de la NBA Stephen Curry – a établi un nouveau record, avec plus de 55 millions de dollars échangés sur les dernières 24 heures.

La demande pour les « CryptoPunks », premiers du classement des « NFT Collectibles », avait fortement augmenté après l’annonce de Visa. Lundi dernier, le géant du paiement avait révélé avoir dépensé 150 000 dollars pour s’offrir le Punk #7610.

L’entreprise avait expliqué que les NFTs » joueront un rôle important dans l’avenir du commerce de détail et des réseaux sociaux ». Elle avait ajouté qu’elle souhaitait comprendre comment une marque internationale pouvait « en acheter, en stocker et en tirer profit ».

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Les ventes totales d’Ethereum (ETH) NFT CryptoPunks ont dépassé 1 milliard de dollars

Le projet de collection, CryptoPunks, est parvenu à un jalon historique devenant le deuxième projet au monde à atteindre un volume d’échange du milliard de dollars, après le jeu Axie Infinity qui a généré, jusqu’à présent, 1,6 milliard de dollars. Ceci est rapporté par le site decrypt.co. Le fait que la collection CryptoPunks ait dépassé […]

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NBA : Stephen Curry s’est offert un NFT à 180 000 dollars

Ste­phen Cur­ry, le meneur de jeu de l’é­quipe des War­riors de Gol­den State, a récem­ment fait appa­raître l’i­mage d’un NFT sur son pro­fil Twitter.

La légende de la NBA a mis la main sur un NFT « Bored Ape Yacht Club », ache­té pour 55 ETHs, soit envi­ron 180 000 dol­lars. Il devrait ain­si aider à popu­la­ri­ser cette col­lec­tion de « Non-fun­gible tokens » auprès de ses 15,4 mil­lions d’abonnés.

Les Golden State Warriors lancent la collection « Legacy »

Ce n’est pas la pre­mière fois que Ste­phen Cur­ry est impli­qué dans la sphère des NFTs.

En avril, son équipe des Gol­den State War­riors était deve­nue la pre­mière grande équipe spor­tive à pro­po­ser à la vente une col­lec­tion de NFTs, bap­ti­sée « Lega­cy ». Elle se com­pose de repré­sen­ta­tions des bagues rem­por­tées depuis ses débuts.

« Nous voyons les NFTs et la numé­ri­sa­tion de notre acti­vi­té comme étant indis­pen­sables pour sus­ci­ter l’en­ga­ge­ment des sup­por­ters du monde entier », s’é­tait féli­ci­té Bran­don Schnei­der, direc­teur de l’op­ti­mi­sa­tion des reve­nus de l’é­quipe des Warriors.

« En tant qu’en­tre­prise, nous devons constam­ment nous inté­res­ser aux moyens nous per­met­tant d’être créa­tifs et inno­vants, et le lan­ce­ment de cette col­lec­tion spé­ciale de NFTs consti­tue notre der­nière ini­tia­tive en date dans cette sphère ».

« Par ailleurs, il nous semble impor­tant que les reve­nus tirés de cette ini­tia­tive puissent nous per­mettre de sou­te­nir la Fon­da­tion War­riors Com­mu­ni­ty, à une époque déci­sive dans l’am­bi­tion de notre com­mu­nau­té de repen­ser l’é­du­ca­tion en temps de pandémie ».

Sacramento Kings : des tickets NFT

Une autre équipe de NBA s’est inté­res­sée aux inno­va­tions ren­dues pos­sibles par les NFTs.

En juillet, l’é­quipe des Kings de Sacra­men­to a annon­cé qu’elle pré­pa­rait un sys­tème de ticket intel­li­gent s’ap­puyant sur des NFTs, bap­ti­sé « NFT Expe­rience Pass ». Cette édi­tion limi­tée per­met­tra aux spec­ta­teurs de béné­fi­cier de pri­vi­lèges exclu­sifs. Pour par­ve­nir à mettre en place cette opé­ra­tion, les Kings se sont appuyés sur l’ex­pé­rience de LAVA and Flow, l’or­ga­ni­sa­tion blo­ck­chain déjà à l’o­ri­gine de la col­lec­tion de NFTs « NBA Top Shot ».

Quelques jours aupa­ra­vant, les Kings avaient pro­po­sé une col­lec­tion de 85 NFTs en hom­mage à leur arri­vée à Sacra­men­to en 1985.

De son côté, la légende du foot­ball Lio­nel Mes­si a annon­cé le lan­ce­ment de sa propre col­lec­tion de NFTs, bap­ti­sée « Mes­si­verse ».

Si le bas­ket et le foot­ball dominent le sec­teur, d’autres sports sont éga­le­ment concer­nés. C’est le cas de la boxe, avec la vente récente du NFT « Lineal by Tyson Fury » de Mike Tyson pour 987 000 dol­lars.

Réfé­rence : Coin­Gape

Retrouver l’article original de Crypto-France ici: Lien Source

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Hebdo Crypto #160 – Les actualités Bitcoin et cryptomonnaies de la semaine

La semaine du 23/08 en bref – L’actualité concernant Bitcoin et les cryptomonnaies est en ébullition constante. Il peut arriver que des informations capitales se perdent dans le flux informatif quotidien et que vous passiez à côté des points importants.

Ce format est là pour y remédier. Nous revenons sur l’actualité de la semaine passée dans l’Hebdo Crypto afin de vous tenir informés sur la situation actuelle des cryptomonnaies.

L’immanquable du coin

Au cours des années, le réseau Bitcoin a su rallier de nombreuses personnes à sa cause. Si bien, que pour certain, cette révolution monétaire a pris les traits d’une religion. Dans l’immanquable de cette semaine, Ludovic nous amène à travers l’histoire de Bitcoin et son passage au stade de religion pour certain de ses aficionados.

Bitcoin, une religion ?

À première vue, il peut sembler un peu étrange de parler de Bitcoin comme une religion. Bitcoin est un système de monnaie numérique et de ce fait constitue quelque chose d’éminemment matérialiste et scientifique. Il repose sur la technologie développée au XXème siècle comme l’ordinateur personnel, internet et la cryptographie moderne, issue du rationnalisme le plus poussé. Bitcoin a donc les allures d’un système purement matériel qui rendrait un service spécifique comme le font PayPal ou BitTorrent, sans pour autant reposer sur des mécanismes mystiques.

Mais Bitcoin représente bien plus que ça. Le mot Bitcoin se rapporte à de nombreux aspects de la cryptomonnaie : le concept défini dans le livre blanc, l’implémentation protocolaire principale de ce concept, son logiciel (aujourd’hui appelé Bitcoin Core), sa chaîne, son unité numérique, son réseau et enfin sa communauté. Cette communauté doit nécessairement se fédérer autour de quelque chose : en effet, il faut avoir un bitcoin qui soit commun à tous les membres de ce groupe.

Contrairement à ce qui est parfois affirmé, le bitcoin constitue une monnaie fiduciaire, dont la valeur est basée sur la confiance (fiducia) plutôt que sur des propriétés intrinsèques. En tant que tel, il repose sur l’acte de foi de ses utilisateurs qui lui apportent de l’utilité dans le commerce.

Il ne s’agit pas d’une confiance en un tiers, comme c’est le cas des monnaies étatiques comme l’euro ou le dollar, mais d’une foi dans le bon fonctionnement du système, tant du point de vue technique qu’économique. Ainsi, les utilisateurs de Bitcoin ont foi non seulement dans les éléments mathématiques qui le soutiennent (algorithme de signature, fonctions de hachage), mais surtout dans les incitations économiques qui le maintiennent et qui font qu’il continuera à exister des mineurs honnêtes pour miner les transactions et des commerçants honnêtes pour les accepter.

Cette nécessité d’avoir foi dans le système interroge sur l’aspect religieux de Bitcoin, que beaucoup revendiquent comme réel. Mais avant de pouvoir dire quoi que soit à ce sujet, il faut nous demander ce qu’est précisément une religion.

Consultez l’article dans son intégralité pour plus de détails : Bitcoin, quand la révolution de la monnaie vire à la religion

L’actualité en bref

Face à l’essor de sa blockchain, Polygon envisage de créer un DAO pour assurer sa gouvernance. Celui-ci pourrait être composé de commités représentatifs composés de protocoles éminents, élues par les détenteurs du jeton MATIC.

La plateforme SuperRare décentralise sa gouvernance avec la création du jeton RARE. 15% de l’offre totale, soit 150 millions de jetons RARE ont été distribués gratuitement aux utilisateurs de la plateforme. La réclamation de ces jetons peut se faire dans les 90 jours qui ont suivi l’annonce.

Après les États-Unis, PayPal ouvre son service d’achat de cryptomonnaies en Angleterre. Ainsi, depuis le début de la semaine, les utilisateurs anglais du service peuvent aussi bien acheter que revendre des cryptomonnaies. Une première en Europe, qui pourrait présager l’ajout d’autres pays dans les mois à venir.

L’attaquant de PolyNetwork a finalement restitué l’accès aux fonds à l’équipe de développement. Celle-ci va désormais s’atteler à rembourser l’ensemble des utilisateurs lésés. Une histoire qui fini bien pour ce qui aurait pu être le plus gros hack DeFi à ce jour.

Ça y est, le Salvador a annoncé la date du 7 septembre pour la sortie du portefeuille Bitcoin officiel : Chivo. Pour inciter la population à l’utiliser, chaque citoyen pourra obtenir 30 $ en BTC en téléchargeant le portefeuille.

Alors que le Bitcoin a franchi une nouvelle fois la barre des 50 000$, le Trading du Coin nous éclaire sur les stratégies à mettre en place.

Les 5 métriques de la semaine

165 000$, c’est le montant déboursé par le géant du paiement Visa, pour s’offrir un NFT CryptoPunk. Ainsi, l’entreprise détient désormais le CryptoPunk #7610, celle-ci en a également profité pour publier un whitepaper sur les NFT afin d’expliquer l’opportunité qu’ils représentent.

Un demi milliard de dollars, c’est le montant que Coinbase va réinvestir dans des cryptomonnaies. Ainsi, l’entreprise souhaite renforcer certaines positions ainsi que diversifier ses investissements en cryptomonnaies. Ces fonds seront ajoutés à la trésorerie de l’entreprise.

25 millions de dollars, c’est le montant que Flipside Crypto souhaitait obtenir de la part de la trésorerie d’Uniswap afin de financer l’adoption du protocole. Cependant, de nombreux internautes ont mis en évidence le manque de légitimité de la part d’une entreprise privée, entrainant l’annulation de la proposition.

210 millions de dollars, c’est le montant qui vient d’être levé par l’entreprise Blockstream, spécialisée dans le développement d’applications et d’outils relatifs à Bitcoin. Ce nouveau financement amène la valorisation totale de l’entreprise à 3,2 milliards de dollars.

1,5 million de dollars, c’est le montant qui a récemment été donné à la Fondation Ethereum par divers protocoles. Ainsi, Kraken, Compound, Uniswap, Lido, Synthetix et The Graph ont tous donné 250 000 $ pour financer le développement d’Ethereum 2.0.

Le tweet de la semaine

Le tweet de la semaine revient à @trent_vanepps qui fête les 100 000 ETH détruits sur Ethereum depuis le déploiement de l’EIP 1559.

100,000 ETH burnt under EIP-1559!

Source: https://t.co/hPa0kheOTo cc. @yulesa pic.twitter.com/PMslzwNwV3

— trent.eth (@trent_vanepps) August 26, 2021

Bonne semaine sur le Journal du Coin !

Le Journal du Coin est fier de pouvoir vous conter les petites et grandes histoires de Bitcoin et des cryptomonnaies. Pour soutenir le journal dans ce type d’initiative et garantir son indépendance, n’hésitez pas à passer par les liens affiliés du média, que vous souhaitiez profiter de 300 euros offerts en cryptomonnaies par une plateforme ultra-robuste, voire, pourquoi pas, les miner vous-mêmes !

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Pourquoi les NFT vont si bien avec le marché du vin ?

Pourquoi les caractéristiques des NFT s’assortissent-elles si bien à celles du marché du vin ? Il serait tellement réducteur de penser que les bouleversements engendrés par les NFT ne concernent que l’art. Effectivement, les NFT représentent des opportunités folles pour de très nombreux secteurs, comme les jeux vidéo (tel Illuvium, le successeur de Pokémon avec […]

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NBA : Stephen Curry s’est offert un NFT à 180 000 dollars

Stephen Curry, le meneur de jeu de l’équipe des Warriors de Golden State, a récemment fait apparaître l’image d’un NFT sur son profil Twitter.

La légende de la NBA a mis la main sur un NFT « Bored Ape Yacht Club », acheté pour 55 ETHs, soit environ 180 000 dollars. Il devrait ainsi aider à populariser cette collection de « Non-fungible tokens » auprès de ses 15,4 millions d’abonnés.

Les Golden State Warriors lancent la collection « Legacy »

Ce n’est pas la première fois que Stephen Curry est impliqué dans la sphère des NFTs.

En avril, son équipe des Golden State Warriors était devenue la première grande équipe sportive à proposer à la vente une collection de NFTs, baptisée « Legacy ». Elle se compose de représentations des bagues remportées depuis ses débuts.

« Nous voyons les NFTs et la numérisation de notre activité comme étant indispensables pour susciter l’engagement des supporters du monde entier », s’était félicité Brandon Schneider, directeur de l’optimisation des revenus de l’équipe des Warriors.

« En tant qu’entreprise, nous devons constamment nous intéresser aux moyens nous permettant d’être créatifs et innovants, et le lancement de cette collection spéciale de NFTs constitue notre dernière initiative en date dans cette sphère ».

« Par ailleurs, il nous semble important que les revenus tirés de cette initiative puissent nous permettre de soutenir la Fondation Warriors Community, à une époque décisive dans l’ambition de notre communauté de repenser l’éducation en temps de pandémie ».

Sacramento Kings : des tickets NFT

Une autre équipe de NBA s’est intéressée aux innovations rendues possibles par les NFTs.

En juillet, l’équipe des Kings de Sacramento a annoncé qu’elle préparait un système de ticket intelligent s’appuyant sur des NFTs, baptisé « NFT Experience Pass ». Cette édition limitée permettra aux spectateurs de bénéficier de privilèges exclusifs. Pour parvenir à mettre en place cette opération, les Kings se sont appuyés sur l’expérience de LAVA and Flow, l’organisation blockchain déjà à l’origine de la collection de NFTs « NBA Top Shot ».

Quelques jours auparavant, les Kings avaient proposé une collection de 85 NFTs en hommage à leur arrivée à Sacramento en 1985.

De son côté, la légende du football Lionel Messi a annoncé le lancement de sa propre collection de NFTs, baptisée « Messiverse ».

Si le basket et le football dominent le secteur, d’autres sports sont également concernés. C’est le cas de la boxe, avec la vente récente du NFT « Lineal by Tyson Fury » de Mike Tyson pour 987 000 dollars.

Référence : CoinGape

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DeFi Project Spotlight: Raydium, Solana’s Top Automated Market Maker

Key Takeaways

Raydium is the biggest decentralized exchange on Solana. It aggregates liquidity from its own liquidity pools and Serum’s orderbook.
Raydium is also the biggest market maker on Serum and one of few DeFi exchanges with a built-in limit orders option.
In order to help grow the Solana ecosystem, Raydium built AcceleRaytor, a launchpad for new projects on Solana.

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Raydium is a decentralized exchange on Solana that functions unlike any other exchange. It uses liquidity pools but also acts as the biggest market maker on Solana’s order book-based exchange, Serum.

Raydium Explained

Raydium Protocol is Solana’s top automated market maker.

However, it works differently from other decentralized exchanges in that it acts as a market maker for Serum.

To understand why Raydium functions the way it does, it’s worth considering the project’s team. The group had worked together for several years before launching the decentralized exchange in early 2021. The team worked together in a quant trading algorithmic market-making firm on some of the top crypto exchanges.

Raydium’s story has parallels with the story of Sam Bankman-Fried, the billionaire founder of the FTX exchange and Alameda Research and a big supporter of the Solana ecosystem. Both Bankman-Fried and the Raydium team were traders, which shines through in the exchanges they build. Alpha Ray, the founder of Raydium, affirms that Bankman-Fried has been a big help to Raydium. They explain:

“Sam is a big investor in both Solana and Serum, and to make these work he needs a thriving ecosystem on Solana so he’s very helpful. He devotes a lot of his time, and FTX’s resources to help the ecosystem.”

One of the main advantages to centralized exchanges compared to their decentralized counterparts is the ability to create limit orders (although limit orders have been made possible on Uniswap V3 by following a certain technique). Orders need an order book rather than a liquidity pool. Traders prefer to specify the price at which they’d like to trade their assets, which isn’t possible with liquidity pools.

Raydium’s exchange was built on the philosophy of allowing the best of both worlds. When a user enters a trade, it will either be made using Raydium’s own liquidity pools or routed to the decentralized order book Serum depending on where the best price can be found. Alpha Ray explains:

“Serum has an order book system, and Raydium has its own liquidity pools. When users make transactions on our platform, the protocol aggregates liquidity from these two sources, a bit like 1inch on Ethereum.”

Raydium is the biggest market maker on Serum, routing trades from their own users 24/7, making them one of the only DeFi exchanges to have a built-in option for limit orders. The team also has a close relationship with Serum, which means it can quickly troubleshoot any issues that arise.

Raydium is the only DEX that lets users choose between swapping and trading. (Source: Raydium

Another Raydium team member going by the name Gamma Ray says that Raydium and Serum share their liquidity, which makes the Solana ecosystem more efficient. They explain:

“In DeFi, liquidity is often sioled between different platforms like Sushiswap and Uniswap, which is pretty inefficient. Raydium and Serum seek to share their liquidity with the entire ecosystem. It’s about growing the overall pie for the Solana ecosystem.”

Building on Solana

Solana-based projects like Raydium take advantage of the low cost of using the network. The experience of trading on order books is very different from using liquidity pools. Traders will often enter a limit order, cancel it, modify a few parameters, and reenter. In a decentralized environment, all of these actions are interactions with the blockchain that command a fee.

Solana benefits from low fees—each transaction on Serum costs less than one cent. Similar transactions could set users back $50 a time on Ethereum mainnet. Serum is currently not available on Ethereum, but the emergence of Layer 2 solutions like Arbitrum and Optimism could change that.

Solana’s cheap fees were a key factor behind Raydium’s decision to build on the network. While many DeFi projects started flocking to Ethereum in the summer of 2020, the need for extremely low gas fees forced Raydium to look for alternatives. Solana’s technical prowess managed to convince the team. Speaking of the decision to build on Solana, Alpha Ray says:

“We needed a blockchain with high transaction throughput, high speed, and low fees. When we started building on Solana there wasn’t much there. We were scared that if Solana wasn’t able to build up, it wouldn’t matter how good our platform was. Now, we’re obviously very happy to have taken that risk.”

Now, one of Raydium’s key goals is to grow the Solana ecosystem by attracting more projects, talent, and users. For that, the team created AcceleRaytor, a launchpad for new projects that facilitates community investment into new Solana projects.

Raydium’s AcceleRaytor (Source: Raydium

Many projects on AcceleRaytor are very popular. Most of them had oversubscribed launches, which resulted in random draws between all interested investors to decide who would receive a token allocation. Alpha Ray notes that Raydium identified the need to attract top-quality projects early on. He says:

“For Raydium to be big, we need a lot of tokens to exchange. We need active trading on many solid projects and a thriving ecosystem so that people will move their DeFi business to Solana. We tried to identify what we needed when we launched and give that to these projects. A solid marketing push, sufficient funding, a liquid trading market, and finally a fusion pool that distributes rewards to early investors.”

Raydium meticulously studies any project that goes through AcceleRaytor to introduce strong projects to investors and build a solid relationship built on trust.

NFTs are another big area that Raydium is monitoring, although plans for an NFT marketplace are not a priority. Improving the current product offering is currently Raydium’s main goal. Alpha Ray explains:

“NFTs are huge right now, and they bring a lot of people to Solana as well. This forces users to leave centralized exchanges, and at that point, they try Raydium. NFTs are key to bringing new users to DeFi, and Solana’s lower fees could bring even more people.”

The Risks for Raydium

While Raydium has a promising future, there are some potential risks. The team has identified three key areas that could negatively impact the project: security risks, competition, and dependency on Solana’s ecosystem growth. 

In terms of security, the team admits that there’s a possibility that someone could exploit an unforeseen vulnerability in their smart contracts, which is why protocol security is a top priority. Alpha Ray explains: 

“Hacks and smart contract exploits in DeFi are happening every day now. It’s just the nature of the industry—something we must come to terms with. When you’ve got open source code custodying millions, there’ll always be someone trying to break it. Every time there’s a novel smart contract exploit in DeFi, we’re going back and reviewing our code to check whether we’re vulnerable to the same attack vector.” 

The team isn’t particularly worried about competition. They say it’s “part of the game,” and when you’re the top project in your niche, there’s always someone gunning to take your spot. There’s plenty of room to grow the pie for everyone on Solana, so that’s what the team is focused on. The team says its product line is similar to Sushi, but its approach to growth is closer to Uniswap. In other words, it’s hoping to onboard as many users to the Solana ecosystem as possible without worrying too much about competition.

The only remaining worry is whether Solana succeeds in growing into a thriving, self-sustaining ecosystem, similar to Ethereum today. Every project building on newer or “alternative” smart contract blockchains faces this dilemma, especially when the Layer 1 protocol isn’t compatible with the Ethereum Virtual Machine (Solana was not EVM-compatible when Raydium started building on it, though solutions are emerging). Alpha Ray reveals that the team spent a long time considering which Layer 1 protocol to build on. He says: 

“Our biggest worry at the beginning was whether we made the right choice to build on Solana. It was undoubtedly the superior protocol from a technical perspective, but in terms of the ecosystem, there was nothing much on it besides Serum. It was a hard and risky decision to make, but we made it and it now looks like it ended up in our favor.”

The success of Layer 1 protocols is heavily dependent on both network and Lindy effects, meaning the bigger they grow and the longer they survive, the higher the chance that they’ll thrive. While Solana’s success is not guaranteed, the recent ecosystem growth bodes well for Raydium’s future.

The Future for Raydium

Forthcoming plans on Raydium’s roadmap include plans for stableswap pools, which should be out by the end of August. The pools are optimized for minimal slippage, high capital efficiency, and low fees on swaps between tokens with strong price correlations, including stablecoins like USDC-USDT or different synthetics representing the same underlying asset like renBTC-wBTC. 

Given that Solana offers low transaction fees, Raydium’s stableswap pools will primarily benefit users in terms of reduced price slippage for large trades using stablecoins or synthetics. The goal is to make Raydium the exchange of choice for small and big traders alike.

After that, Raydium wants to launch its advanced order routing protocol and integrate Wormhole. The order routing protocol will allow users to seamlessly swap between all assets on Solana, regardless of the available pools. For example, if a user wants to trade USDT for FTT but can’t find a pair, Raydium will find the best route between different pools to facilitate the trade at the best price for the swap.

Wormhole, meanwhile, is a decentralized bridge allowing users to port their assets between Solana and Ethereum. For example, it will let users transfer Ethereum-native Uniswap tokens to Solana to benefit from the protocol’s low cost and superior performance. Wormhole will enhance Solana’s interoperability with other blockchains and thus boost the organic growth of its ecosystem.

Raydium also has plans for governance. The team promised to decentralize and roll out governance within six months, but that has proven to be a problem so far. Alpha Ray elaborates: 

“Governance has been on our mind, and it’s very important to us, but the issue is Solana currently lacks the proper infrastructure. For example, there’s no gasless DAO voting tool like Snapshot, which is critical for governance. We want to help if anyone wants to build it, but if no one steps up, we’ll have to build it ourselves.”

Raydium is an ambitious project, central to the development of the Solana ecosystem. To date, Solana has few projects that could be classified as “blue chips” that have been central to the ecosystem’s growth. From a technical point of view, Raydium’s hybrid model of trading between order books and liquidity pools is already worthy of attention.

The real kicker lies in its AcceleRaytor feature and in the protocol’s holistic approach to helping projects grow on Solana. Raising money is rarely the biggest challenge for crypto projects—gathering early users is much harder. Raydium’s help in shining the spotlight on worthy projects is one of its most positive contributions to Solana’s DeFi space, and it could help it flourish over the coming years. 

This news was brought to you by ANKR, our preferred DeFi Partner.

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Traduction de l’article de Nathan van der Heyden : Article Original

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À 12 ans, il crée une collection de NFT et gagne 290 000 £

À Londres, un garçon de 12 ans gagne environ 290 000 £ pendant les vacances scolaires grâce à une série d’œuvres d’art pixelisées nommées Weird Wales.

Du codage chaque jour pendant 20 minutes

Benyamin Ahmed, un jeune britannique de 12 ans est un passionné de l’univers des cryptomonnaies. Sa passion le pousse à créer sa propre collection d’objets NFT qu’il décide de vendre. Il n’a cependant pas révélé directement son projet à ses proches ni même à ses camarades de classe. Pourtant, dans des vidéos réalisées sur sa chaîne YouTube, il partage son hobby avec ses abonnés, tout en parlant de sa passion pour la natation, le badminton et le taekwondo.

Avec la vente de sa collection de NFT, le jeune Benyamin gagne environ 290 000 £. « Mon conseil aux autres enfants qui veulent peut-être se lancer dans ce domaine est de ne pas se forcer à faire du codage, peut-être parce qu’ils subissent la pression de leurs pairs. Tout comme si vous aimez cuisiner, faites de la cuisine, si vous aimez danser, faites de la danse, faites-le au mieux de vos capacités » a-t-il déclaré.

Mais comment Benyamin est-il devenu un mordu de l’univers des cryptomonnaies ? Il a expliqué qu’à l’âge de 5 ans, son père – un développeur de logiciels qui travaille dans la finance traditionnelle – l’a encouragé à se lancer dans le codage. Il en est de même de son frère de 6 ans. Ensemble, les enfants bénéficient de conseils d’experts en technologie qui les orientent et les guident.

« C’était un peu un exercice amusant, mais j’ai très vite compris qu’ils étaient très réceptifs et qu’ils étaient très bons, a déclaré Imran. Alors nous avons commencé à devenir un peu plus sérieux et maintenant c’est tous les jours. Mais […] vous ne pouvez pas dire ‘’je vais apprendre le codage en trois mois’’ ».

Les deux enfants faisaient du codage chaque jour pendant au moins 20 minutes, y compris les jours de vacances.

À la une et à la deux !

Weird Whales constitue la deuxième collection d’art numérique de Benyamin. Il avait déjà élaboré une première collection inspirée de Minecraft, mais elle a été moins bien vendue.

Pour sa deuxième collection, le garçon de 12 ans s’est inspiré d’une image mème de baleine pixelisée bien connue et d’un style d’art numérique populaire. Toutefois, il y a ajouté son propre programme afin de créer un ensemble de 3 350 baleines de type émoji.

À 12 ans, Benyamin Ahmed, le fils d’un développeur de logiciels crée sa deuxième collection de NFT inspirée des baleines. Il en fait une bonne vente et génère d’importants revenus allant jusqu’à 290 000 £.

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DISCLAIMER

Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

Retrouver l’article original de Luc Jose Adjinacou ici: Lien Source

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L’émission d’Ethereum tombe en dessous de celle de Bitcoin pour la première fois

Ethereum est en rassemblement depuis la semaine dernière, passant d’un creux de deux mois à 1 700 $ à son niveau actuel à 3 223 $. Plusieurs facteurs ont poussé le marché de la cryptographie dans un nouveau rallye, mais la plupart semblent graviter autour de l’ETH et de son écosystème.

ETH se déplace latéralement dans le week-end sur le graphique de 24 heures. La source: Vue de négociation ETHUSD

Après la mise en œuvre de EIP-1559, le token natif d’Ethereum est devenu un actif déflationniste en raison du changement de son mécanisme de frais. Pour valider les transactions sur le réseau, une partie de l’ETH est « brûlée », c’est-à-dire envoyée à une adresse à laquelle personne ne peut accéder.

En conséquence, l’ETH a gagné du terrain en tant qu’actif de réserve de valeur, pour certains experts, encore plus efficace que Bitcoin. Le chercheur Lucas Outumuro a enregistré une baisse de l’émission quotidienne d’ETH, inférieure à celle de Bitcoin pour la première fois depuis sa création.

Comme le montre le graphique ci-dessous, l’inflation nette ETH s’élève à 3574 ETH (1,11% annualisé) et l’inflation nette BTC s’élève à 900 BTC (1,75 % annualisé), a affirmé Outumuro.

Source : IntoTheBlock

La baisse des émissions quotidiennes d’ETH est attribuée à l’augmentation de l’activité en chaîne. La recherche a permis de retracer cela jusqu’à l’augmentation de l’activité liée aux jetons non fongibles (NFT).

D’ici 2021, les NFT sont devenus une nouvelle manie dans l’industrie de la cryptographie avec un niveau d’adoption apparemment élevé de la part du grand public.

Il y a quelques jours, le géant des paiements VISA a annoncé un achat NFT de la collection populaire CryptoPunks. Dans le même temps, EtherRocks et Les jeux NFT contribuent à l’essor de l’activité dans ce secteur. En conséquence, Outumuro a déclaré :

(…) L’activité NFT a considérablement augmenté les frais d’Ethereum et la quantité d’ETH brûlée avec eux. Cela a conduit à plusieurs heures au cours desquelles plus d’ETH a été brûlé qu’il n’en a été émis, ce qui le rend effectivement déflationniste pendant de brèves périodes de temps.

Ethereum, du pétrole numérique à « l’argent ultra-sonique »

Ethereum a développé une multitude de cas d’utilisation dans différents secteurs, NFT, DeFi, jeux basés sur la blockchain, etc. De plus, son caractère déflationniste récemment acquis pourrait l’amener à « développer une prime monétaire comme le BTC », a affirmé la recherche.

En tant que nouveauBTC signalé, Ethereum a dépassé Bitcoin dans d’autres mesures, y compris le règlement de la valeur quotidienne. L’ancien réseau a réglé jusqu’à 24 milliards de dollars par jour, contre 8,5 milliards de dollars pour Bitcoin.

Ce changement et cette augmentation d’activité se sont produits malgré les frais de transaction élevés d’Ethereum, 10 fois plus élevés que la crypto-monnaie numéro un par capitalisation boursière. Outumuro a ajouté :

GRAPHIQUE C’est également le cas pour le nombre de transactions dans chaque blockchain, l’ETH étant valorisé au plus près de son activité de transaction. 5x le nombre de transactions quotidiennes, mais toujours à la traîne en termes de valorisation.

Source : IntoTheBlock

Des données supplémentaires suggèrent également que l’ETH est plus adopté avec plus de 20 millions d’adresses le détenant. La recherche a mis en évidence que ces adresses pourraient appartenir à un nombre indéterminé d’utilisateurs, mais peuvent être utilisées comme « proxy pour observer la croissance d’une communauté de crypto-actifs.

Source : IntoTheBlock

Les facteurs susmentionnés renforcent les fondamentaux d’Ethereum et modifient progressivement la façon dont les investisseurs évaluent l’actif sous-jacent, l’ETH.

Dans les mois à venir, alors que le réseau passera à l’ETH 2.0, davantage de facteurs contribueront à la thèse selon laquelle l’ETH est devenu la réserve de valeur ultime. Outumuro a dit :

Alors que les NFT et d’autres applications continuent de croître sur Ethereum, cela crée une pression déflationniste et renforce la prime monétaire d’Ether. En fin de compte, cela aligne les utilisateurs et les détenteurs sur le fait que $ETH devient la réserve de valeur de l’Internet décentralisé.

Traduction de l’article de Reynaldo Marquez : Article Original

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African Project AFEN to Launch an NFT Marketplace and Present African Culture Digitally » NullTX

The crypto industry is establishing itself more and more in Africa. From Jack Dorsey’s interest way before the COVID-19 pandemic had even started, to surging Bitcoin use across the continent, and even Akon’s crypto cities, Africa is getting more open to the idea of crypto, and the outside world is seeing the massive potential of this almost completely untapped market.

The biggest move that will involve the crypto sector in Africa right now, however, is the launch of AFEN NFT marketplace, which took place on August 20th. The launch is one of the biggest crypto events on the continent, and it will have a massive impact on how the world will perceive African culture, as it will allow artists from all across the continent to tokenize and present their art in the form of digital collections.

Congratulations to @afenblockchain , The NBBF, and the @NigeriaBasket basketball team. 🔥

You can support the team through basketball NFTs on AFEN NFT marketplace
From 20th, August 2021. pic.twitter.com/KGhN399aW5

— #NBBF (@nbbfonline) August 3, 2021

 

This is only a start, however, as the marketplace aims to eventually include digital collectibles from all over the world. To start things off, however, it will first launch an initiative known as AFROXNFT.

What is AFROXNFT?

AFROXNFT is an upcoming NFT initiative on AFEN NFT marketplace, and an icebreaker for any African creators interested in collaborating with AFEN to launch NFT collections. It will be available on AFEN NFT marketplace starting on August 27th, only one week after the marketplace’s own launch.

It will represent the core of African existence and it will allow collectors and art admirers to experience Africa like never before, through a mixture of culture and futurism. The collection is represented by 3 afro beings — a man, a woman, and a child — alongside a mythical creature known as a masquerade. In African culture, each masquerade represents something of great importance, be that an age grade, an era, visitation of spirits, or disguises.

So, even the name AFROXNFT will have a symbolic meaning, with AFRO representing Africa, X representing the masquerade, and NFT in the end. As such, AFRO X represents a confluence of modern, mystic, and ancient, all illustrated together by African 3D digital artist, Jesse Tomi, and put together in collaboration with AFEN blockchain group, historians, and art curators.

The collection will feature a total of 1,000 AFROXNFTs, which will be minted in the first phase. Their floor price will be 1 BNB per piece, and all will be available on the AFEN NFT marketplace. Furthermore, the project has revealed that 100 different masquerades will be minted, representing disguises in animal, human, composite, and cultural hero forms. With a ration of 1:10, they will be extremely rare and valuable to collectors.

It is also known that the forms will bear ancient African names, which will be used for identifying them and summoning, depending on psychological and spiritual attachment that the NFTs will be granted by the owners.

AFEN NFT Marketplace to Airdrop $AFEN

After the initial release of AFROXNFT, the project will also see a monthly airdrop of AFEN, where the project’s native coin will be granted to randomly selected AFROXNFTs. In other words, lucky owners of the collectibles will also be granted AFEN tokens.

This method of distributing coins was modeled after ancient African folktale, where lots are cast to decide amongst a chosen few who were favored by the gods.

While this first initiative is extremely interesting, it is only the first of many similar NFTs that are expected to emerge from all corners of Africa, and later, the entire world. AFEN is already securing its position through strategic partnerships with African museums, and it is also the first NFT project in Africa to receive government backing. Its token, AFEN, is available for purchase on Bitmart, Pancakeswap, and Julswap.

Traduction de l’article de georginabdesign : Article Original

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