Au Japon, un élève de huit ans fait des dessins numériques, les convertit en tokens non fongibles (NFT) et vend ses créations en ligne pour un bénéfice relativement important en ETH.
Âgé seulement de huit ans, ce garçon japonais ne dessine plus au crayon sur papier. Il crée des dessins numériques en format NFT et les vend sur la Toile pour Ethereum (ETH), rapporte le site cryptonews.com.
Le garçon, dont le nom n’a pas été dévoilé sur ses réseaux sociaux ou dans une interview avec Business Insider Japan, n’est connu que sous le nom de Zombie Zoo Keeper. Il dirige un empire d’art numérique à forte croissance appelé Zombie Zoo, dont des œuvres individuelles sont vendues sur la plateforme OpenSea à des prix allant jusqu’à 18 ETH.
Le gardien du Zoo dit qu’il le remplit «actuellement» avec environ trois nouveaux dessins par jour. Il augmente ce nombre jusqu’à «entre sept et neuf» œuvres par jour pendant les vacances afin de pouvoir acheter des jouets Pokémon avec l’argent qu’il gagne.
Cependant, ce jeune prodige de l’art crypto ne travaille pas seul. Sa mère, l’artiste Emi Kusano, lui aide à gérer ses réseaux sociaux et s’occupe de la gestion des aspects technologiques et financiers du projet crypto.
Le Zombie Zoo Keeper poursuit sa vie à l’école primaire pendant la journée, mais quand il rentre à la maison, il est temps pour l’art. Comme sa mère l’a expliqué, le garçon utilise «une application gratuite qui permet de créer des œuvres du pixel art sur iPad».
Son ascension fulgurante
Après avoir publié ses premières œuvres pour seulement 0,006 ETH le 25 août, le Zombie Zoo Keeper a connu une «faible réponse» au cours de la première semaine. Sa popularité a commencé à augmenter le 2 septembre. Depuis lors, de nombreux illustrateurs et artistes d’art numérique bien connus, comme Trevor McFedries, ont mis la main sur les œuvres de Zombie Zoo Keeper.
Toutefois, cette histoire à succès a également amené quelques personnages douteux à la table, avec de faux objets de Zombie Zoo qui circulent en ligne.
Cependant, le gardien du Zoo dit qu’il craint davantage que sa nouvelle richesse en cryptomonnaie ne se retourne contre lui:
«J’étais heureux quand j’ai effectué ma première vente, mais je me demandais si ce serait bien si je gagnais trop d’argent. Si j’ai trop d’argent, ma vie va changer.»
Le Zombie Zoo Keeper, qui porte un masque coloré sur les photos pour protéger son anonymat, fait savoir que ses amis d’école se méfient de ses activités crypto. Quand il a dit à un ami qu’il avait vendu un dessin sur Internet, le camarade de classe ne l’a pas cru.
Après cet incident, l’enfant a décidé de garder ses activités secrètes à l’école… pour l’instant. Il a conclu:
«Jusqu’à ce que mes œuvres soient vraiment connues sur Internet, je n’en parlerai plus à mes amis ou à mes professeurs.»
Je suis convaincu que les cryptomonnaies nous ouvrent des perspectives inédites extraordinaires que je ne veux rater sous aucun prétexte ! J’essaie d’enrichir en permanence mes compétences en la matière et de partager avec vous tout ce que j’apprend avec mes followers et mes heures passées à explorer cet univers.
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Retrouver l’article original de Jean-Louis Lefevre ici: Lien Source