Le NFT fait sauté le marché numérique

D’après William Quigley, cofondateur de stablecoin Tether, l’Ethereum (ETH) est très populaire depuis un certain temps, il est un élément clef du marché des tokens non fongibles, mais le potentiel de croissance n’est pas encore épuisé. En juillet de cette année, les ventes annuelles de NFT ont atteint environ 2,5 milliards de dollars, dont presque […]

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Les divisions idéologiques de la Révolution Bitcoin

Suite à l’événement Surfin’Bitcoin, le journal La Tribune a sorti un article qui dès le chapeau annonce la couleur :

« Convaincus qu’il résistera à toutes les interdictions et qu’il est à l’avant-garde d’un nouvel ordre monétaire mondial, ces “bitcoiners” ont débattu sans contradicteurs ou points de vue divergents sur leur vision du monde décentralisé. »
[Source : latribune.fr]

Vraiment ? Sans contradicteurs ? Je pense surtout que la journaliste n’était pas au même événement que moi ou alors elle n’a rien compris à ce qui se déroulait sous ses yeux. Derrière une unité de façade, des débats profonds et des oppositions irréconciliables agitent les rangs de la Révolution Bitcoin. D’ailleurs, son confrère de Investir de Les Echos a bien su capter ces divisions malgré le verni d’une conférence qui se voulait consensuelle. Je vais donc vous donner ma vision de ces tendances profondes qui façonnent la Révolution en cours.

Ce qui les unit

Bien entendu, je ne suis pas en train de dire qu’il y a une vraie guerre civile entre les Bitcoineurs. En réalité, ils ne sont pas assez nombreux aujourd’hui pour ce genre de luxe. De plus, ils partagent une conviction profonde que le livre blanc de Satoshi Nakamoto est à l’origine d’une Révolution économique et financière profonde, ce qui n’est pas rien.

J’ajoute également que les trois grands courants que je vais décrire à grands traits ne sont pas représentatifs de personnes réelles. Les Bitcoineurs ne sont pas monolithiques et évoluent dans leurs opinions ou objectifs. Un peu comme les Conventionnels de la Révolution française, les lignes de front et les individus évoluent face aux événements intenses provoqués par une révolution sans concession. Il serait vain de mettre les individus dans des cases.

Les cypherpunks

Ils représentent les Bitcoineurs de la première heure. Leur motivation est fondamentalement idéologique et technique. Ils s’intéressent beaucoup aux détails du code et de l’infrastructure des protocoles, ils voient dans cette révolution une occasion d’outiller la population pour lutter pour leur liberté et leur vie privée. Par leurs opinions et leur prisme technique, ils sont, de tous, les moins ouverts aux compromis ce qui agace les autres. Ils n’en restent pas moins, à mon humble avis, les gardiens d’une révolution (sic) dont les origines sont profondément altruistes. Leur principal défaut, c’est paradoxalement leur conservatisme qui ne les rend pas très « fun » pour des gens qui ne défendent pas une idéologie aussi marquée et qui privilégient l’expérimentation à la technique.

Il y a beaucoup de Bitcoin maximalistes dans leurs rangs, mais j’en ai rencontré dans des projets alternatifs. Mais j’ai l’impression qu’avec le temps, ceux qui ont l’âme cypherpunk retournent souvent à Bitcoin. Ils s’amusent des efforts des conciliateurs qu’ils considèrent comme vains et s’excitent contre les spéculateurs qui font vivre des expériences alternatives plus ou moins absurdes de leur point de vue. Ils ont surtout une impression de gâchis d’énergie et d’argent dans des projets qu’ils jugent stupides ou qu’ils considèrent comme des escroqueries.

Les spéculateurs

Ils sont sans doute les plus nombreux. Même s’ils n’ont pas d’idéologie claire, ils ont un but clair : sauter sur toutes les opportunités pour s’enrichir. Ils sont les plus aventuriers et ils défrichent, testent et contrôlent toutes les nouvelles possibilités que la Révolution Bitcoin leur offre : ICO, finance décentralisée, NFT, etc. Ils récoltent la plupart des bénéfices, mais essuient également les plâtres. Ils participent grandement à une forme d’adoption avec les possibilités spéculatives offertes par les protocoles décentralisés, mais ils se désintéressent parfois de la réalité technique et d’usages non spéculatifs comme le payement.

Les spéculateurs sont partout où il y a quelque chose de nouveau ou à la mode. Donc rarement sur Bitcoin… bien qu’il y en ait qui cherchent à accumuler des satoshis. Ils s’amusent de voir les cypherpunks louper des opportunités financières et perçoivent l’action des conciliateurs comme une opportunité comme les autres. Ils représentent sans doute l’image d’Épinal du Bitcoineur et dans les faits, ils possèdent une ouverture d’esprit qui leur permet d’explorer tous les recoins du « terrier de lapin ».

Les conciliateurs

Ils ne sont pas très nombreux mais ils pèsent plus que les autres Bitcoineurs ne croient. Il s’agit de ceux qui pensent qu’il est possible d’intégrer Bitcoin aux institutions, économiques, financières et politiques actuelles. Ils sont en contact étroit avec les législateurs, les banques centrales et les grandes entreprises. Certains sont des vendeurs de blockchains, d’autres sont plus honnêtes et cherchent à éduquer les institutions à la Révolution qui risque de les balayer. Ils présentent bien et sont bien intégrés dans les institutions. Pour les nocoiners, ils parlent leur langage et ne ressemblent pas aux anarchistes cypherpunks, ni aux spéculateurs fous.

Les conciliateurs sont une minorité agissante. Ils s’intéressent ou s’impliquent dans les blockchains de banques centrales (CBDC) ou alors ils s’essayent à la quadrature du cercle auprès des sociétés qui nient la Révolution Bitcoin. Mais je ne doute pas de leur sincérité, dans leurs esprits, ils souhaitent faire pénétrer la Révolution par la fenêtre ou par la porte de derrière auprès des grandes institutions. Ils souhaitent cacher les cypherpunks dont l’idéologie effraie leurs interlocuteurs, et ils utilisent les spéculateurs comme arguments dans leurs projets.

Ma vision de tout ça

Si je devais me positionner dans ce panorama, je dirais que je suis arrivé en 2013 comme cypherpunk et que j’ai participé au mouvement de spéculateurs de 2014-2017. J’ai expérimenté sur Nxt et défriché avec plaisir des outils qui se sont démocratisés sur Ethereum. En 2017, mon profil très consensuel et mes activités proches des institutions m’ont fait croire qu’il était possible de « convertir » les institutions. J’ai moi-même fait preuve d’une transparence avec les autorités que peu de Bitcoineurs ne souhaitaient accorder.

Aujourd’hui, déçu par la voie des conciliateurs par des institutions qui m’ont fait la guerre aveuglément, je pense être redevenu proche de la mouvance cypherpunk. Un retour aux origines selon moi. Mais, j’ai compris que les tunnels du terrier du lapin peuvent nous emporter sur toutes sortes de chemin. Les débats entre les trois tendances seront toujours fructueux et passionnés (même si les nocoineurs n’y comprennent encore rien). Je pense que le rôle de chaque groupe participera au succès de la Révolution Bitcoin :

Les cypherpunks forgent l’idéologie qui sous-tendra la technologie de demain,
Les spéculateurs défrichent et essuient les plâtres des cas d’usage de demain,
Les conciliateurs seront les personnes les mieux placées pour préparer la transition entre l’ancien monde et le nouveau.

J’espère que cette petite divagation pseudo sociologique vous a plu. Même si ça n’a pas grand rapport, je vous invite à découvrir ma nouvelle campagne Ulule.

Et comme chaque mercredi, un nouveau cahier est disponible sur printathome.cc. Cette semaine, L’héritage des Sombres 11/19 de Pascal Lovis.

A propos de l’auteur

Administrateur du Cercle du Coin, entrepreneur et éditeur, Lionel Jeannerat a notamment publié Objective Thune, essai satirique de Jacques Favier et Philippe Ratte, illustré par Pamina Calisti (PVH éditions).

Article publié originellement sur le blog « Les divagations de Ludomire« 

Retrouver l’article original de Lionel Jeannerat ici: Lien Source

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Blockchain, le métaverse et l’angle mort du jeu – TechCrunch

Jonathan Stringfield
Donateur

Jonathan Stringfield, PhD, est vice-président et responsable mondial du marketing commercial, de la mesure et des informations chez Activision Blizzard Media and Esports.

La vitesse à laquelle le jeu a proliféré n’a d’égale que le rythme des nouveaux mots à la mode qui inondent l’écosystème. Les spécialistes du marketing et les décideurs, qui souffrent déjà du FOMO à propos des opportunités dans les jeux, se sont accrochés aux tendances à la mode comme les applications de la blockchain dans les jeux et le « métavers » dans le but de devancer la tendance plutôt que de constamment rattraper leur retard.

L’attrait est évident, car la relation entre la blockchain, le métaverse et le jeu a du sens. Le jeu a toujours été à l’avant-garde de la propriété numérique (on peut créditer la plate-forme de jeu Steam pour avoir normalisé le concept des jeux, et sans doute d’autres médias tels que les films), et la plupart des visions convenues du métavers reposent sur des environnements virtuels communs dans les jeux avec des systèmes décentralisés. propriété numérique.

Quelle que soit votre opinion sur l’un ou l’autre, je pense qu’ils ont tous les deux un avenir interdépendant dans le jeu. Cependant, le succès ou la pertinence de l’un ou l’autre de ces sujets à la mode dépend d’une étape cruciale qui est ignorée à ce stade.

Commençons par l’exemple de la blockchain et, plus précisément, des NFT. La collecte d’objets de rareté variable et la distribution souvent aléatoire constituent certaines des « boucles » de base dans de nombreux jeux (par exemple, tuer un monstre, obtenir une meilleure arme, tuer un monstre plus dur, obtenir une arme encore meilleure, etc.) tenues/permutation du personnage du jeu) est l’un des paradigmes les plus adoptés des micro-transactions dans les jeux.

La façon dont les NFT sont actuellement discutés en relation avec les jeux risque fort de tomber dans ce piège : tuer la boucle de gameplay de base via une voie rapide financière.

Désormais, les NFT sont positionnés pour s’adapter naturellement à divers objets rares ayant une valeur permanente, traçable et ouverte. Sorties récentes tel que « Loot (pour les aventuriers) » ont introduit une nouvelle approche dans laquelle les NFT sont simplement des descriptions d’équipements inspirés de la fantaisie et proposés d’une manière qui d’autres créateurs peuvent les utiliser comme outils pour construire des mondes autour. Il n’est pas difficile d’imaginer un jeu construit autour d’objets NFT, à la Loot.

Mais cela a déjà été fait avant… en quelque sorte. Les développeurs de jeux avec une « boucle de butin » comme celui décrit ci-dessus ont depuis longtemps un problème avec les « fermiers », qui acquièrent des devises de jeu et des objets à vendre aux joueurs pour de l’argent réel, contre les conditions d’utilisation du jeu. La solution consistait à implémenter des « maisons d’enchères » dans le jeu où les joueurs pouvaient à la place utiliser de l’argent réel pour acheter des articles les uns aux autres.

Malheureusement, cela a eu un effet secondaire indésirable. Comme l’a noté le célèbre psychologue du jeu Jamie Madigan, notre cerveau a évolué pour accorder une attention particulière aux récompenses à la fois inattendues et bénéfiques. Lorsqu’une grande partie de la joie dans certains jeux provient d’une récompense inattendue ou aléatoire, être capable d’acquérir facilement une récompense connue avec de l’argent réel a privé le jeu de ce qui le rendait amusant.

La façon dont les NFT sont actuellement discutés en relation avec les jeux risque fort de tomber dans ce piège : tuer la boucle de gameplay de base via une voie rapide financière. Les exemples les plus extrêmes de ce phénomène commettent le plus grand péché capital dans le jeu – un jeu qui consiste à « payer pour gagner », où un joueur avec une grosse bankroll peut acquérir un avantage matériel dans un jeu compétitif.

Les jeux de blockchain tels que Axie Infini ont rapidement accru l’enthousiasme autour du concept de « jouer pour gagner », où les joueurs peuvent potentiellement gagner de l’argent en vendant des ressources symboliques ou des personnages gagnés dans un environnement de jeu blockchain. Si cela ressemble à un scénario qui peut se rapprocher dangereusement du « payer pour gagner », c’est parce que c’est le cas.

Ce qui est moins clair, c’est si cela compte dans ce contexte. Est-ce que quelqu’un se soucie suffisamment du jeu de base lui-même plutôt que de la valeur marchande potentielle des NFT ou du potentiel de gains en jouant ? Plus fondamentalement, s’il s’agit de revenus réels, s’agit-il vraiment d’un jeu ou simplement d’une micro-économie gamifiée, où « l’agriculture » ​​telle que décrite ci-dessus n’est pas une activité illicite, mais plutôt le mécanisme de base du jeu ?

La culture technologique autour de la blockchain a élevé la résolution de problèmes très difficiles dont très peu de gens se soucient. La solution (comme de nombreux problèmes technologiques) implique une réévaluation à partir d’une approche plus humaniste. Dans le cas du jeu, il y a des problèmes fondamentaux de gameplay et de psychologie du jeu à résoudre avant que ces technologies ne puissent gagner du terrain.

Nous pouvons nous tourner vers le métaverse pour un exemple connexe. Même si vous n’êtes pas particulièrement intéressé par le jeu, vous avez presque certainement entendu parler du concept après Mark Zuckerberg a misé sur l’avenir de Facebook. Malgré toute l’excitation, le problème fondamental est qu’il n’existe tout simplement pas, et les analogues les plus proches sont des espaces de jeu numériques massifs (comme Fortnite) ou des bacs à sable (comme Roblox). Pourtant, de nombreuses marques et spécialistes du marketing qui n’ont pas vraiment fait le travail nécessaire pour comprendre le jeu essaient de saisir rapidement une opportunité qui ne se concrétisera probablement pas avant longtemps.

Le jeu peut être considéré comme les roues d’entraînement du métavers – les façons dont nous communiquons, naviguons et pensons aux espaces virtuels sont toutes basées sur des mécanismes et des systèmes fondés sur le jeu. J’irais même jusqu’à prédire que les premiers utilisateurs de tout « métaverse » seront en effet des joueurs qui auront perfectionné ces compétences et se sentiront à l’aise dans les environnements virtuels.

À l’heure actuelle, vous voyez peut-être une tendance : nous sommes beaucoup plus intéressés par les applications « future » ​​du jeu sans avoir une grande perspective sur le « maintenant » du jeu. L’érudition des jeux a proliféré depuis le début des années en raison de la reconnaissance de la façon dont les jeux influençaient la pensée dans des domaines allant de la sociologie à la médecine, et pourtant le monde des affaires n’y a pas prêté beaucoup d’attention jusqu’à récemment.

Le résultat est que les spécialistes du marketing et les décideurs font ce qu’ils font le mieux (chasser la prochaine grande chose) sans l’historique habituel de la raison pour laquelle ladite chose devrait être grande, ou quoi en faire quand ils y arriveront. La croissance du jeu a donné une immense opportunité, mais la sophistication des conversations autour de ces possibilités reste rabougrie, en partie à cause de notre attention mal dirigée.

Il n’y a pas de voie rapide « payer pour gagner » pour sortir de cet angle mort. Nous devons travailler pour gagner.

Traduction de l’article de Ram Iyer : Article Original

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NFT : Un thriller avec Anthony Hopkins à apparaître sur Vuele

Un thriller mettant en vedette Anthony Hopkins sera le premier film de fiction à être distribué à l’aide de tokens non-fongibles (NFT). Ses copies digitales seront mises aux enchères le 24 septembre prochain. Les copies digitales mises aux enchères Le cinéma filmé en 2020 au format virtuel est le premier projet de long-métrage auquel Vuele […]

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Les frais d’Ether sont trop élevés



Investing.com – L’ a augmenté au cours des dernières 24 heures, ce qui donne au prix de l’Ether un gain de 3% à 3 600 $. Cela permet à l’ETH d’échapper à la faiblesse générale qui prévaut parmi les 10 premières cryptomonnaies.

Un politicien américain s’en prend à nouveau au secteur de la cryptographie

La sénatrice américaine Elizabeth Warren est bien connue pour être une adversaire avouée des crypto-monnaies. Malheureusement, l’industrie des crypto-monnaies ne lui rend pas exactement la tâche difficile pour continuer à trouver de nouvelles munitions. Plus récemment, elle a critiqué à juste titre l’augmentation des frais de transaction et les défaillances des bourses en période de forte volatilité des prix.

Selon elle, l’industrie des crypto-monnaies n’a pas réussi à établir des services financiers aux États-Unis. Avec le récent flash crash, les prix du et de l’Ethereum ont tellement chuté que le marché a « perdu 400 milliards de dollars de valeur en un temps très court ». Dans le même temps, les investisseurs particuliers ont été incapables d’accéder à leurs positions, car même les principales bourses comme Coinbase (NASDAQ:) ont connu des problèmes techniques.

Elizabeth Warren a dit :

« Les frais d’échange entre deux crypto-jetons étaient supérieurs à 500 dollars sur le réseau Ethereum. Ces frais imprévisibles peuvent rapidement mettre les investisseurs particuliers dans une situation difficile. »

Indirectement, elle dit qu’Ethereum a échoué, du moins en ce qui concerne la montée en flèche des frais. Reste à savoir si l’ETH 2.0, qui est actuellement en cours de développement, pourra remédier à cette situation.

L’Ethereum comme moyen de paiement dans 950 cinémas

À l’avenir, l’Ethereum sera également accepté aux guichets de la chaîne de cinémas AMC Entertainment Holdings. C’est du moins ce qu’a annoncé le PDG Adam Aron. D’ici la fin de l’année, il sera déjà possible de payer avec des bitcoins, a-t-il déclaré :

« Les amateurs de crypto-monnaies : Vous savez probablement que @AMCTheatres a annoncé que nous accepterons les bitcoins pour le paiement des billets en ligne d’ici la fin de 2021. Je peux confirmer aujourd’hui que lorsque nous ferons ce changement, nous accepterons également l’Ethereum, le et le . »

AMC est donc une autre grande entreprise qui donne à la communauté crypto la possibilité d’acheter des services et des produits loin des monnaies contrôlées centralement.

À l’avenir, cependant, la compatibilité environnementale est susceptible de jouer un rôle croissant dans les options de paiement avec Bitcoin, Ethereum & Co, comme cela a déjà été démontré.

En mars, Tesla (NASDAQ:) a annoncé que tous les véhicules électriques pourraient également être achetés avec des bitcoins. Cependant, il n’a fallu que deux mois à Elon Musk pour tirer la corde. Car la belle image verte qu’il vend avec ses véhicules a été mise en danger par l’option de paiement en bitcoins. Le BTC est tout simplement trop gourmand en énergie.

Vitalik Buterin est honoré par Time Magazine

L’importance que l’Ethereum a prise ces dernières années est également démontrée par le fait que son fondateur Vitalik Buterin est entré dans le classement des 100 personnes les plus influentes en 2021 établi par Time Magazine.

Il était le cerveau derrière Ether, sans qui nous n’aurions peut-être jamais entendu parler des dApps et des NFTs aujourd’hui. C’est finalement grâce à son exploit que la technologie blockchain est entrée dans toutes nos vies de manière tout à fait inaperçue.

Analyse technique de l’éther

Hier, la clôture quotidienne espérée au-dessus du retracement de 23,6 % du rallye de 1 720 $ à 4 024 $ de 3 480 $ a été réalisée. Cela crée l’opportunité de tester maintenant la marque psychologique de 4.000 dollars et le récent sommet.

Toutefois, en cas de baisse soutenue en dessous de 3 480 dollars, il faut se préparer à un nouveau test du retracement de 38,2 % de 3 143 dollars.

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Sotheby’s acceptera les paiements en Bitcoin et en Ether pour un collier estimé à près de 6 millions de dollars

La mai­son Sothe­by’s va bien­tôt pro­po­ser aux enchères un col­lier en dia­mants façon­né par le célèbre joaillier Har­ry Wins­ton.

L’o­pé­ra­tion aura lieu le 24 sep­tembre pro­chain à Hong Kong. L’a­che­teur aura la pos­si­bi­li­té de payer cet orne­ment en cryp­to­mon­naies, avec du Bit­coin (BTC), de l’Ether (ETH) ou de l’USD Coin (USDC).Son prix est esti­mé entre 36 et 46 mil­lions de dol­lars de Hong Kong (soit entre 4,6 et 5,9 mil­lions de dol­lars amé­ri­cains).

La tran­sac­tion sera réa­li­sée via Coin­base Com­merce, l’ou­til de la pla­te­forme Coin­base per­met­tant aux com­mer­çants d’ac­cep­ter faci­le­ment les paie­ments en actifs numériques.

Ce n’est pas la pre­mière fois que la célèbre mai­son de vente aux enchères se tourne vers les cryp­to­mon­naies. En juillet, un dia­mant de 101,38 carats, bap­ti­sé « The Key 101.38″, avait été ache­té par un riche Hong­kon­gais pour un mon­tant de 12 mil­lions de dol­lars de mon­naies numé­riques.

Sothe­by’s a éga­le­ment récem­ment fait son incur­sion dans l’u­ni­vers des tokens non fon­gibles (NFTs). Il y a quelques jours, elle a per­mis à Yuga Lab de récol­ter 24,39 mil­lions de dol­lars en cédant 101 images de sa col­lec­tion « Bored Apes ».

What an his­to­ric moment for the club : the @Sothebys auc­tion of 101 Bored Apes has clo­sed at over $24m. Congra­tu­la­tions and THANK YOU to the whole ape com­mu­ni­ty. To the buyer, I think we speak for eve­ry­bo­dy when we say : WELCOME TO THE CLUB. ☠️🦍⛵️ pic.twitter.com/NKxHekC0ny

— Bored Ape Yacht Club (@BoredApeYC) Sep­tem­ber 9, 2021

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Solv Protocol, le NFT financier déploie ses ailes et attire les partenariats

La fièvre NFT n’est pas prête à retomber. Au-delà des records d’enchères qui défraient régulièrement la chronique, l’onde de choc pourrait bien encore s’amplifier, catalysée par un secteur nouveau qui tire avantage des qualités techniques uniques du format cryptographique ERC721.

Solv protocol fait partie des pionniers qui ont su voir le potentiel des NFT et le transposer dans le secteur de la DeFi. En proposant des outils financiers puissants et novateurs basés sur la technologie inhérente aux token non fongibles, la compagnie semble avoir fait mouche et les partenariats d’envergure s’enchaînent.

Cet article vous est proposé dans le cadre d’une campagne de communication éducative, et soutenue par Solv Finance.

Les « Vouchers », NFT d’un nouveau genre

Les NFT sont passés du stade d’ovni au phénomène le plus commenté dans l’écosystème crypto. De par leur unicité, ils sont devenus un moyen de matérialiser et d’échanger des produits financiers complexes, bien au-delà du simple transfert de valeur que permettent les tokens traditionnels. 

Les Vouchers permettent de créer des NFT contenant des protocoles financiers

Avec les Vouchers, que l’on nomme aussi « Versatiles NFT », Solv Protocol repousse les limites du format. Un token programmable et divisible en plusieurs dérivés non fongibles qui autorise la mise en place de véritables stratégies financières complexes au travers d’un jeton unique. Une solution efficace et disruptive répondant à de nombreuses problématiques récurrentes dans le secteur de la DeFi, telle que la libération des liquidités engagées dans le cadre des financements précoces de type STO.

Illustration d’un succès en construction: Le cas ColdStack

Avec son concept d’agrégation de cloud storage décentralisé, la compagnie Coldstack a su convaincre un grand nombre d’investisseurs dès son lancement. Une application unique qui promet de trouver la meilleure offre parmi tous les protocoles qui proposent ce service d’archivage dématérialisé, à l’instar de Filecoin ou Arweave pour ne citer qu’eux.

Le stockage sur le cloud est un enjeu majeur de l’industrie cryptographique

En utilisant les Vouchers de Solv Protocol dans le cadre de son émission initiale du token natif CLS, Coldstack va pouvoir faire bénéficier à sa communauté de nombreux avantages. Plutôt que de bloquer les 30 millions de dollars obtenus lors de la vente initiale, en attendant que les CLS soient officiellement mis en circulation, la compagnie va permettre de libérer ces liquidités sous forme de vNFT.

Des tokens qui représentent les futurs CLS ainsi que leur valeur « gelée », et donc garantie jusqu’à la date de libération, selon le timing choisi par l’équipe. Des token de type NFT qui sont à ce titre librement échangeables sur les plateformes dédiées, et qui permettent ainsi à la communauté de disposer de ses capitaux sans attendre la fin d’une quelconque période de blocage.

Solv protocol met les NFT au coeur de produits financiers complexes

Taker DAO et ses prêts garantis par NFT, un partenaire naturel

L’emprunt est l’un des piliers du secteur DeFi. Une activité en pleine expansion que la compagnie Taker DAO a décidé d’associer au phénomène NFT, et à tous ses dérivés actuels et futurs. Sur le papier, rien de plus simple : Si vous possédez un NFT, vous pouvez le fournir en guise de garantie pour emprunter de l’argent.

Les investisseurs accomplis que vous êtes auront immédiatement relevé le paradoxe. En effet, comment la valeur purement subjective d’un NFT pourrait-elle garantir un emprunt ? C’est ici que l’aspect DAO (Decentralized Autonomous Organization) délivre toute sa puissance. En effet, c’est la communauté des prêteurs qui va décider de la somme garantie par le NFT. En gros, votre NFT vaut 0 jusqu’à ce qu’un ou plusieurs prêteurs acceptent de vous prêter en échange.

Le partenariat avec Solv vient ajouter un nouveau volet de taille à l’offre de Taker DAO. En ajoutant le vNFT aux garanties possibles, Taker DAO s’ouvre des perspectives de fréquentations qui ne se limitent plus aux seuls emprunteurs/détenteurs de NFT dits «artistiques». 

Taker DAO va ajouter les Vouchers aux NFT qu’ils acceptent en garantie des emprunts

Si vous possédez des Vouchers, vous pourrez vous aussi les utiliser en guise de garantie pour obtenir des emprunts et disposer de fonds sans pour autant vendre vos vNFT. Ainsi, vous disposerez à nouveau des capitaux investis, sans pour autant renoncer à l’implication dans la petite pépite crypto que vous aurez su dénicher. Le beurre et l’argent du beurre.

Il est toujours surprenant de voir le dynamisme et l’étendue des possibilités qu’offrent les cryptos et plus précisément les NFT. Avatar artistique parfois douteux, le format non-fongible ERC-721 n’est pas resté longtemps l’apanage exclusif de quelques opportunistes. 

Avec les Vouchers, Solv Protocol a su réunir le meilleur des deux mondes, l’unicité et la flexibilité au service de la DeFi. Une optimisation sous forme de libération des potentiels qui commence naturellement à attirer l’attention des plus gros acteurs du secteurs, et les premiers partenariats d’envergure.

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Immutable lève 60 millions de dollars pour sa plateforme de jeux NFTs sur Ethereum

La startup Immutable vient de clôturer une levée de fonds de série B à hauteur de 60 millions de dollars. Avec ce financement, l’entreprise souhaite accélérer la croissance de sa plateforme de tokens non fongibles (NFTs) continuer d’optimiser son protocole de seconde couche Immutable X, dédié à réduire les frais de gas sur Ethereum.

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Ethereum (ETH) : 1 milliard de dollars brûlés après la mise à jour London

Le montant d’Ethereum brûlé après la mise à jour London de début août vient d’atteindre la barre du milliard de dollars.

Le chiffre marquant a été observé par le fondateur d’EthHub et de Daily Gwei, Anthony Sassano, qui a tweeté le 16 septembre que le montant d’Ethereum brûlé avait dépassé les 300 000.

Au moment de publication, Ultrasons.money qui garde une trace du processus de brûlage signalait une disparition complète de 302 295 Ethereum, ce qui équivaut à un peu plus d’un milliard de dollars aux prix actuels.

Le processus de coin burn a commencé le 5 août lorsque la mise à jour d’Ethereum London a été déployée ainsi que le très attendu EIP-1559. La mise à jour a modifié le mécanisme des frais de transaction pour supprimer les enchères et rendre les calculs de gaz plus prévisibles tout en brûlant une partie des frais de réseau.

Ethereum est déflationniste?

Le taux de coin burn actuel est d’environ 5 Ethereum par minute, ce qui équivaut à 7 200 Ethereum par jour ou 2,6 millions par an. Cela représenterait un total théorique de plus de 9 milliards de dollars par an aux prix actuels des actifs.

Ethereum est actuellement soumis à une forte charge, ces chiffres sont donc élevés et les prix ne sont pas statiques, ce qui s’ajoute aux variables. Le tracker dispose également d’un simulateur de croissance de l’offre qui suggère que le taux d’inflation actuel est de 2,3% par an puisque 5,4 millions d’Ethereum sont minés chaque année.

Une fois que «la fusion » aura eu lieu, l’émission devrait être déflationniste, car plus d’Ethereum est brûlé que produit. La simulation met actuellement le chiffre à -1,9%.

La fusion est le moment où la chaîne ETH 1.0 fusionne ou “s’arrimera” à la ETH 2.0 Beacon Chain marquant la fin de la preuve de travail (POW) et une transition vers la preuve de participation (POS).

Le plus gros consommateur de gaz pour le moment est la plateforme NFT OpenSea qui a généré environ 850 Ethereum, soit près de 3 millions de dollars, de frais au cours des dernières 24 heures.

Les frais de transaction moyens sont actuellement d’environ 23 dollars avec des opérations de « Smart Contract » plus complexes ou des échanges de tokens coûtant jusqu’à 55 dollars, selon Etherscan.

Mise à jour du prix Ethereum

L’actif lui-même a gagné 7% au cours des dernières 24 heures et selon CoinGecko se négocie à 3 636 dollars au moment de la rédaction.

Il vient d’atteindre son prix le plus élevé depuis la chute du marché du 7 septembre et n’a cessé de progresser au cours des trois derniers jours. Ethereum doit franchir la résistance à 3 900 dollars pour réaliser des gains plus importants. Il devrait trouver un support à 3 200 dollars à la baisse.

Plus d’actions

Je suis sûr que la blockchain et les cryptomonnaies représentent le futur, et je veux faire passer cette idée à tout le monde car plus il y aura de monde à croire aux cryptomonnaies, plus vite le futur arrivera.

DISCLAIMER

Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

Retrouver l’article original de Thomas Poirier ici: Lien Source

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Hausse d’Hedera Hashgraph : le HBAR flambe de près de 75% en une semaine suite à plusieurs annonces

De nou­veaux par­te­na­riats, la prise en charge des tokens non fon­gibles (NFTs) et l’en­thou­siasme des mar­chés font sans doute par­tie des fac­teurs qui ont per­mis au HBAR de s’ap­pré­cier de 73% en l’es­pace d’une semaine.

Hede­ra Hash­graph est un réseau public qui s’ap­puie sur une tech­no­lo­gie de registre dis­tri­bué – bap­ti­sée « Hash­graph » – des­ti­née à offrir des tran­sac­tions rapides et à faibles coûts.

Lors de la rédac­tion de cet article, le HBAR – l’ac­tif natif du réseau – s’é­chan­geait à 0,5629 dol­lar. Alors que son cours ne s’é­le­vait qu’à 0,3255 dol­lar il y a 7 jours, le token avait enre­gis­tré une hausse de 73% en l’es­pace d’une semaine :

De nombreux partenariats… et 5 milliards de dollars de HBAR

Tout pro­to­cole blo­ck­chain sou­cieux de s’im­po­ser se doit de pro­mou­voir l’u­sage de sa tech­no­lo­gie. C’est ce qu’a com­pris Hede­ra, qui a récem­ment noué plu­sieurs par­te­na­riats – des par­te­na­riats qui devraient lui per­mettre de favo­ri­ser l’u­sage de son réseau.

Elle s’est ain­si asso­ciée avec une grande uni­ver­si­té bri­tan­nique, la Lon­don School of Eco­no­mics, mais aus­si avec l’Ins­ti­tut indien de tech­no­lo­gie de Madras :

@iitmadras joins Hede­ra Gover­ning Coun­cil to advance the Ins­ti­tu­te’s research & deve­lop­ment in new #blo­ck­chain and Dis­tri­bu­ted Led­ger Tech­no­lo­gies (#DLTs). Hede­ra Hash­graph is the most used, sus­tai­nable, enter­prise-grade public net­work for the decen­tra­li­sed eco­no­my. @hedera pic.twitter.com/ROLWt9som2

IIT Madras (@iitmadras) Sep­tem­ber 14, 2021

L’en­ti­té a éga­le­ment ins­tau­ré une col­la­bo­ra­tion avec Fobi, Dropp et File­coin. Elle a lan­cé avec ce der­nier un fonds de 200 000 dol­lars des­ti­né à faire pro­gres­ser l’in­té­ro­pé­ra­bi­li­té au sein du Web 3.0.

Mais ce n’est pas tout. Ce jeu­di après-midi, le réseau vient de révé­ler qu’il pré­voyait d’al­louer 5 mil­liards de dol­lars (sous la forme de 10,7 mil­liards de HBARs­soit envi­ron 20% de l’offre totale de tokens) pour « favo­ri­ser le déve­lop­pe­ment de l’é­co­sys­tème Hede­ra » :

The Hede­ra Gover­ning Coun­cil has announ­ced the appro­val of a plan to allo­cate 10.7 bil­lion $hbars (approxi­ma­te­ly 20% of total sup­ply), cur­rent­ly worth US $5 bil­lion as of Sep­tem­ber 16th, 2021, towards the deve­lop­ment of the Hede­ra eco­sys­tem : https://t.co/xS3wG4aYrw

— Hede­ra Hash­graph (@hedera) Sep­tem­ber 16, 2021

Les NFTs arrivent sur le réseau Hedera

Deuxième source de satis­fac­tion des mar­chés : l’ar­ri­vée de fonc­tion­na­li­tés de créa­tion de NFTs sur le réseau Hede­ra.

The latest release of Hede­ra Ser­vice Code v0.17.4 on main­net includes updates to the Hede­ra Token Service :
🖼 NFTs
🪙 Cus­tom Fees (inclu­ding NFT royalties)
🔧 Meta­da­ta stan­dards for tokens

Release notes : https://t.co/UzUbXtwCcxhttps://t.co/9nDv5a6c7v

— Hede­ra Hash­graph (@hedera) Sep­tem­ber 2, 2021

Le sec­teur des NFTs a connu une crois­sance excep­tion­nelle au cours des der­nières semaines – même si l’en­goue­ment s’est cal­mé depuis plu­sieurs jours.

Tou­te­fois, comme le décla­rait récem­ment le « Head of Cryp­to » de Visa – qui a débour­sé 165 000 dol­lars pour s’of­frir un « Cryp­to Punk » – il s’a­git sans doute d’un mar­ché d’a­ve­nir, qui devrait conti­nuer à croître au cours des pro­chaines années.

Réfé­rence : Coin­Te­le­graph

Cet article ne consti­tue pas une recom­man­da­tion d’investissement. Nous ne sau­rons être tenus res­pon­sables de toute perte en capi­tal, en lien avec sa lecture.

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