Le 1er NFT Solana (SOL) à 1 million de dollars – Ce gorille décérébré annonce-t-il une nouvelle ère pour les collectibles ?

Solana envahit cryptosphère – Après l’envolée fulgurante du prix de Solana (SOL) ce dernier mois, la blockchain du même nom fait de nouveau parler d’elle avec un nouveau record ! En effet, elle vient de réaliser sa première vente de jeton non fongible (NFT) supérieure à 1 million de dollars.

Une vente de NFT à 7 chiffres

D’après les informations rapportées par The Block le samedi 11 septembre, la société d’investissement et de conseil spécialisée dans les cryptomonnaies, Moonrock Capital, a acheté un NFT baptisé « Degen Ape », produit sur la blockchain Solana. Le fonds d’investissement britannique s’est offert le NFT pour la faramineuse somme de 5 980 SOL, soit un peu plus d’1,1 million de dollars actuellement.

Publication de Moonrock Capital – Source : Twitter

Le Degen Ape (# 7225) acquis représente un singe dégénéré avec une cervelle dans la bouche, une dent en or et une auréole sur la tête. Ce jeton non fongible serait le 13ème singe le plus rare de la collection « Degenerate Ape Academy ». En outre, cette collection de NFT basée sur la blockchain Solana compte 10 000 Degen Apes. Le lancement a eu lieu le 15 août dernier et a connu un franc succès, avec une vente qui s’est déroulée en moins de 8 minutes.

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La conquête de l’écosystème crypto par Solana

Jusqu’alors, la quasi-totalité des NFT était basée et vendue sur la blockchain Ethereum. Toutefois, la flambée de ses frais enregistrés a incité les investisseurs à migrer sur d’autres blockchains, à l’instar de Solana. C’est une aubaine pour Solana qui peut asseoir sa position dans le domaine des NFT. Ainsi, de nombreux projets NFT basés sur cette blockchain ont été lancés : Digital Eyes, Solanart, SolPunks ou encore Aurory.

Selon les données de Solanalysis, les échanges de NFT sur la blockchain Solana auraient généré un montant d’environ 39,5 millions de dollars au cours des 7 derniers jours. Ce montant – qui n’en reste pas moins important – a cependant enregistré une baisse de 23,4 % par rapport à la semaine précédente.

En outre, l’on assiste, ce mois-ci, à une importante chute des ventes de NFT, après avoir atteint un sommet de 193 693 ventes, le 16 août 2021. En effet, au 10 septembre, il n’y a eu que 27 053 ventes enregistrées.

Quantité de ventes de NFT – Source : Nonfungible.com

De la même façon, OpenSea a enregistré une perte de volume d’environ 50 % depuis le 6 septembre. Enfin, la plupart des célèbres collections de jetons non fongibles ont aussi connu une brutale baisse de leurs ventes au cours de la même période. Par exemple, les volumes d’échange de NFT CryptoPunks ont subi une chute de 50 % et ceux distribués par Axie Infinity, de 8 %.

Et si Solana avait raté la fusée des NFT ? En effet, il est légitime de se demander, compte tenu de la baisse de volumes enregistrée dans ce marché, si l’euphorie envers les NFT n’est pas en train de se dissiper… Affaire à suivre !

Il n’a jamais été aussi important et urgent qu’actuellement de mieux découvrir, et de s’exposer raisonnablement à Bitcoin et aux cryptomonnaies ! Pour ce faire, le Journal du Coin vous conseille la plateforme FTX. En allant vous inscrire sur cet exchange crypto de référence, une réduction à vie sur vos frais de trading vous attend grâce au lien affilié du JDC.

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Le géant de l’audit financier EY va s’appuyer sur Polygon pour permettre à ses clients de profiter de l’écosystème Ethereum

La société explique que cette initiative lui permettra de proposer à ses clients des transactions plus rapides et moins coûteuses, tout en profitant de la richesse de l’écosystème Ethereum.

Ernst & Young (EY), société d’audit financier faisant partie du « Big Four », utilisera le protocole de Polygon afin de déployer ses propres solutions blockchain sur Ethereum.

Comme le révèle un communiqué de presse publié lundi, EY adoptera les solutions de « scaling » fournies par Polygon pour lui permettre d’offrir des « frais prédictibles » pour les transactions effectuées par ses entreprises clientes.

EY se réserve également la possibilité d’effectuer certaines transactions directement sur le réseau principal d’Ethereum, révèle l’entreprise.

« L’engagement d’EY envers l’écosystème public d’Ethereum et les standards ouverts ont joué un rôle déterminant dans nos approches partagées, qui évoluent au fil du temps », a déclaré Sandeep Nailwal, cofondateur de Polygon.

La solution de « scaling » de Polygon a été adaptée par EY pour lui permettre de concevoir des blockchains sectorielles privées. Celles-ci pourront tirer profit de nouveaux modèles de vérification des transactions, tout en restant adossées au « mainnet » d’Ethereum.

« En collaborant avec Polygon, les équipes d’EY vont disposer d’un ensemble d’outils puissants pour “scaler” les transactions de ses clients et leur offrir une feuille de route plus rapide pour une intégration vers le “mainnet” public d’Ethereum », s’est félicité Paul Brody, directeur mondial blockchain d’EY.

« Nous avons découvert des priorités communes autour des systèmes et réseaux ouverts, et la richesse de l’écosystème d’Ethereum a grandement facilité cette collaboration »

Le MATIC – le token natif de la blockchain Polygon – a connu jusqu’ici une année exceptionnelle. Lors de la rédaction de cet article, son cours était passé de 0.01816 dollar au 1er janvier à 1,25 dollar, soit une multiplication par près de 69 en moins de 10 mois.

Des douleurs de croissance pour Ethereum

Depuis longtemps, le réseau Ethereum est régulièrement victime de congestions importantes, qui font flamber ses frais de transactions à plusieurs dizaines de dollars.

Le protocole codéveloppé par Vitalk Buterin espère pouvoir enfin faire face à la demande – nourrie par l’explosion récente des secteurs de la finance décentralisée (DeFi) et des tokens non fongibles (NFTs) – grâce à sa mise à jour Ethereum 2.0. Son implémentation devrait être achevée dans le courant de l’année prochaine.

En attendant, plusieurs solutions de « deuxième couche » ont émergé autour Ethereum – à l’instar du Lightning Network développé autour de la blockchain du Bitcoin, qui permet d’effectuer des transactions en BTC de manière quasi-gratuite et quasi-instantanée.

On peut par exemple citer Arbitrum, une solution proposant des « optimistic rollups ».

Le protocole a connu ces derniers jours une flambée de sa « Total Value Locked » (la valeur placée par les investisseurs sur le réseau), passée de 35 millions à 1,72 milliard de dollars.

Cet article ne constitue pas une recommandation d’investissement. Nous ne saurons être tenus responsables de toute perte en capital, en lien avec sa lecture.

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Faire de chaque NFT un actif précieux – La formule secrète de la plateforme FTX

Tout le monde cède à la tendance NFTFTX lance sa plateforme NFT et réalise une première vente test à 6 chiffres. Pour tempérer l’enthousiasme de certains « artistes numériques » et distinguer les NFT « sérieux » des autres, l’exchange a mis une place une solution radicale.

Un test à 270 000 dollars réussi pour FTX

FTX lance une place de marché NFT (Non fongible Tokens) permettant à ses clients de minter, d’acheter, et de vendre des NFT négociés en cross-chain sur Ethereum (ETH) et Solana (SOL). Ethereum reste la blockchain de référence pour les jetons non fongibles, mais Solana se présente malgré tout comme une alternative plus rapide et moins coûteuse.

Les dépôts et les retraits sur la plateforme de FTX seront possibles dans les prochaines semaines. Les clients pourront en conséquence y déposer des NFT externes, tels que les oeuvres du Bored Ape Yacht Club et les CryptoPunks.

Pour marquer le lancement de la plateforme, le CEO de FTX, Sam Bankman-Fried a mis en vente son propre NFT, le « Testing Testing 123 #1 », qui est tout simplement le mot « test » transformé en image Word-art basique. Le NFT s’est vendu le 9 septembre 2021 à 270 000 dollars.

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Un plongeon dans les NFT, malgré les risques

Ce plongeon dans le monde des NFTs fait suite aux propos pourtant prudents de Bankman-Fried, dans une interview du 24 août à la CNBC :

« Cela pourrait conduire à une adoption incroyablement rapide et géante. Cela pourrait aussi conduire, franchement, à une sorte de goût amer dans la bouche des gens s’il y a un krach, sans que les gens ne comprennent ce que c’était. »

Pour faire face au nombre important de soumissions de NFT, FTX applique à ces dernières des frais fixes de 500 dollars, un moyen de réduire notamment les spams.

FTX continue de « grossir », occupant de plus en plus d’espace dans la cryptosphère, avec une diversification accrue de ses services. Le lancement de sa plateforme NFT a eu lieu juste quelques jours après que FTX ait annoncé l’acquisition prochaine de LedgerX afin de donner un accès privilégié aux produits dérivés sur Bitcoin (BTC) aux investisseurs américains.

NFT, Finance Décentralisée, crypto-actifs… autant de notions qui font de plus en plus partie du quotidien. Prenez les devants et commencez à accumuler et trader vos premiers bitcoins en vous inscrivant sur la plateforme de référence FTX et bénéficiez d’une réduction à vie sur vos frais de trading (lien affilié).

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NFT Genesis pourrait devenir la prochaine pièce de collection numérique millionnaire

Nous avons parlé des NFT et de la façon dont ils changent la façon dont les personnes et les entreprises interagissent avec la technologie blockchain. Mais il pourrait y avoir une nouvelle pièce de collection qui pourrait valoir plusieurs millions à l’avenir. Nous parlons du NFT Genesis au-dessus du réseau RSK.

Qu’est-ce que la NFT Genesis ?

Le NFT Genesis est le premier NFT à être créé au-dessus d’un Bitcoin sidechain, dans ce cas, RSK. Cette pièce unique a été créée par Watafan, une entreprise qui souhaitait célébrer le 10e anniversaire de la création de Bitcoin.

C’est pourquoi, le 3 janvier 2019, 10 ans après le lancement officiel de Bitcoin, ils ont sorti le premier NFT en plus de RSK. Avec cette étape importante, Watafan a créé une nouvelle pièce de collection connue pour être la première NFT à être publiée en plus de Bitcoin.

Il y a eu 21 exemplaires qui ont été émis et tous incluent une image commémorative. Ces images ont été créées par Joseph Díaz, un artiste reconnu qui a plus de 15 ans d’expérience dans certaines des plus grandes entreprises au monde, notamment Disney, Netflix, HBO et bien d’autres.

Le NFT Genesis a été conçu avec des couleurs uniques et affiche un Satoshi Nakamoto rayonnant ressemblant à un super-héros. L’objectif était de célébrer le 10e anniversaire de la plus grande crypto-monnaie au monde.

L’implication de RSK

RSK a joué un rôle très important pour rendre cela possible. RSK a été créé comme la plate-forme de contrats intelligents la plus sécurisée au monde car elle utilise un « pigment bidirectionnel » dans lequel les mineurs de Bitcoin protègent non seulement le réseau Bitcoin, mais également la blockchain RSK, qui fonctionne comme une chaîne latérale de Bitcoin.

Cela a permis de publier des solutions et des projets uniques en plus de RSK en tirant parti des aspects de sécurité du réseau Bitcoin. De plus, grâce à sa compatibilité avec Ethereum (ETH), il est possible pour les entreprises, les projets et les développeurs de déployer des contrats intelligents sur RSK sans avoir à apprendre un nouveau langage de programmation.

Grâce à l’élargissement de la jetons non fongibles l’industrie, RSK est devenu un réseau choisi pour publier des NFT sur Bitcoin. C’est pourquoi Watafan a décidé de créer le premier NFT sur une sidechain Bitcoin en utilisant RSK. De plus, il existe des solutions uniques qui vont changer la façon dont les détenteurs de NFT interagissent les uns avec les autres.

La NFT Genesis pourrait-elle devenir la prochaine pièce de collection millionnaire ?

Nous avons vu comment les NFT se sont développés ces dernières années et comment ils ont attiré l’attention des investisseurs du monde entier. Tweets, pingouins, punks et bien d’autres NFT ont été vendus à des prix très élevés.

Maintenant, la question est de savoir si le NFT Genesis pourrait atteindre une valorisation élevée à l’avenir. La NFT Genesis n’a jamais été mise en vente. Qu’est-ce que ça veut dire? Cela signifie qu’il reste immaculé et en la possession du propriétaire qui l’a créé.

Traduction de l’article de Jonathan Gibson : Article Original

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Elon Musk publie une photo de son chien « Floki » – le cours du Floki Inu double en quelques minutes

Le prix du Flo­ki Inu, une copie du Doge­coin, s’est rapi­de­ment appré­cié de plus de 100% après la publi­ca­tion par Elon Musk d’une pho­to de son chien « Flo­ki » sur Twitter.

Le cours du Floki Inu multiplié par 2 après un tweet de Musk

Flo­ki has arri­ved pic.twitter.com/2MiUKb91FT

— Elon Musk (@elonmusk) Sep­tem­ber 12, 2021

Suite à la publi­ca­tion de ce tweet, le Flo­ki Inu avait lit­té­ra­le­ment flam­bé :

Avec plus de 29 mil­lions de dol­lars de volumes d’é­change sur les der­nières 24 heures, le FLOKI reven­di­quait une « Mar­ket Cap » de 346 mil­lions de dol­lars.

Contrai­re­ment au Doge­coin, le Flo­ki – qui est ados­sé à la Binance Smart Chain – est une cryp­to­mon­naie défla­tion­niste. Elle récom­pense les uti­li­sa­teurs qui conservent leurs tokens grâce à un méca­nisme « d’auto-farming » :

Le « meme coin » s’é­change prin­ci­pa­le­ment sur Unis­wap et Pan­ca­ke­wap, qui repré­sentent plus de 95% des volumes de transactions.

Cette cryp­to­mon­naie avait été lan­cée sur les mar­chés en juillet der­nier, quelques semaines après un autre tweet d’E­lon Musk, dans lequel il annon­çait qu’il comp­tait deve­nir le pro­prié­taire d’un Shi­ba Inu qu’il bap­ti­se­rait « Flo­ki » :

My Shi­ba Inu will be named Floki

— Elon Musk (@elonmusk) June 25, 2021

Dogecoin : x 150 en 5 mois

Avant cela, Elon Musk avait publié une flo­pée de tweets qui avaient sus­ci­té la hausse du Doge­coin. Le cours du DOGE a ain­si été mul­ti­plié par plus de 150 entre le 1er jan­vier et le 8 mai, date d’un record his­to­rique à 0,7376 dol­lar.

Le célèbre entre­pre­neur fait d’ailleurs désor­mais par­tie du conseil consul­ta­tif de la Fon­da­tion Doge­coin, dans lequel il est repré­sen­té par Jared Birchall :

Le « meme » Doge, qui avait ins­pi­ré cette cryp­to­mon­naie, a été récem­ment ven­du pour 4 mil­lions de dol­lars en tant que token non fon­gible (NFT), avant d’être frag­men­té en une mul­ti­tude de tokens.

Lors de la rédac­tion de cet article, d’autres coins dont le nom contient le terme « Flo­ki » avaient enre­gis­tré une flam­bée au cours des der­nières heures – même s’ils reven­diquent des volumes beau­coup plus faibles. C’é­tait le cas du Shi­ba Flo­ki (+506%), du Flo­ki Shi­ba (+20%) et du Super­Flo­ki (+114%).

Rap­pe­lons tou­te­fois que tous ces « meme coins » sont extrê­me­ment vola­tils et qu’ils n’offrent aucune tech­no­lo­gie nova­trice. Il serait sans doute plus rai­son­nable pour un « cryp­to enthu­siast » recher­chant des valeurs sus­cep­tibles de s’ap­pré­cier sur le long terme de se tour­ner vers des pro­jets plus sérieux.

Les maîtres s’arrachent les Shiba Inu

Les nom­breux tweets d’E­lon Musk, mais aus­si la flam­bée enre­gis­trée par le Doge­coin il y a quelques semaines ont sus­ci­té une forte aug­men­ta­tion de la demande pour de véri­tables chiens Shi­ba Inu.

Dans un article publié il y a quelques jours sur le site Entrepreneur.com, l’é­le­veur Jeri Burn­side confie la popu­la­ri­té crois­sante de ces canidés :

« Tous mes amis éle­veurs ont été innon­dés de demandes pour ces chiens, ils ont des listes d’at­tente de plu­sieurs kilomètres ».

Il pré­vient tou­te­fois qu’une telle popu­la­ri­té peut sus­ci­ter des dérives. Des ache­teurs peu scru­pu­leux peuvent être ten­tés de les éle­ver dans des « éle­vages-usines », afin de les revendre aux plus offrants.

L’homme a éga­le­ment pré­ve­nu que ces chiens n’é­taient pas aus­si inof­fen­sifs qu’ils peuvent paraître :

« Ce ne sont pas les petits ani­maux en peluche qu’ils semblent être. Ce sont des pré­da­teurs intel­li­gents, rusés et auto­nomes, mais qui se pré­sentent sous la forme de petits chiens mignons ».

Une étude récente a d’ailleurs mon­tré que l’ADN de cette race de chiens japo­nais était le plus proche de celui des loups.

Cet article ne consti­tue pas une recom­man­da­tion d’investissement. Nous ne sau­rons être tenus res­pon­sables de toute perte en capi­tal, en lien avec sa lecture.

Retrouver l’article original de Crypto-France ici: Lien Source

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Marvel et DC Comics interdisent la vente des NFTs relevant des univers Marvel et DC Comics

Le monde des NFTs a beau être ouvert et accessible à tous, il est régi par des règles. L’éditeur de bandes dessinées DC Comics vient de le rappeler à tout le monde. En effet, il a indiqué dans un message public à destination des artistes indépendants que la propriété intellectuelle (PI) et les personnages qui appartiennent à l’univers DC Comics sont interdits d’utilisation par les artistes indépendants qui souhaitent vendre des jetons non fongibles (NFT). Marvel Comics a, lui aussi, publié un communiqué dans le même objectif.

La mise en vente de toute image de Marvel est interdite

Ni Marvel ni DC Comics ne souhaite que les artistes indépendants vendent aux enchères des produits NFT relatifs à l’univers créé par ces deux géants du divertissement.

En mars dernier, Bitcoin.com News a rapporté que le directeur juridique de DC Comics avait envoyé un message aux artistes indépendants ainsi qu’aux employés dans le but de leur demander de renoncer aux initiatives NFT qui ont rapport avec la propriété intellectuelle de DC Comics. Cela dit, avant que le message ne soit envoyé, José Delgo, un dessinateur de bandes dessinées avait vendu une collection NFT sur Wonder Woman par le biais de Makersplace.

« Veuillez noter que la mise en vente de toute image numérique représentant la propriété intellectuelle de DC, avec ou sans NFT, qu’elle soit réalisée pour les publications de DC ou en dehors du cadre de l’engagement contractuel avec DC, n’est pas autorisée », indique la lettre de l’équipe juridique de DC. Lorsque la lettre a été rendue publique, un artiste l’a téléchargée sur OpenSea et l’a vendu comme un art NFT à 2 000 $ en ETH.

Seuls les créateurs doivent vendre les pièces originales

Au début du mois d’août, Marvel avait lancé le « mois Marvel ». La société a alors dévoilé les NFT Spider-Man. Par la suite, vers la fin du mois, elle a présenté au public, lors de son 81e anniversaire, les NFT à l’effigie de Captain America. Dans une déclaration qu’elle a envoyée à Madis Kabash, collaborateur de Bloomberg, Marvel a déclaré qu’elle « prévoit d’introduire de nouvelles opportunités pour les créateurs Marvel sur la plateforme de Veve ».

Bloomberg a discuté du sujet des NFT avec des membres de l’industrie de la bande dessinée. L’équipe s’est aussi entretenu avec le marchand de BD Jason Schachter, basé dans le New Jersey. De ces échanges, il ressort que le secteur des NFT doit être réinventé, car les artistes ont le pouvoir de vendre des originaux sans difficulté. Il en a été ainsi pendant des décennies, a souligné M. Schachter.

Dans son interview, le marchand de BD a expliqué que seuls les créateurs doivent être en mesure de « vendre directement leurs originaux ».

Marvel et DC Comics sont montés au créneau pour indiquer que les artistes indépendants ne doivent pas vendre des NFT relatifs à l’univers des héros de Marvel ou de DC Comics. « La mise en vente de toute image numérique représentant la propriété intellectuelle de DC, avec ou sans NFT […] n’est pas autorisée », lit-on dans le communiqué de la société.

Plus d’actions

DISCLAIMER

Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

Retrouver l’article original de Luc Jose Adjinacou ici: Lien Source

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Les utilisateurs d’Ethereum (ETH) affluent vers Arbitrum

La solution de mise à l’échelle (L2) pour Ethereum Arbitrum a progressé de manière importante depuis son lancement public, avec une valeur totale verrouillée (TVL) ayant grimpé de près de 9.400% en deux semaines, relate le site cryptonews.com.

Selon le fournisseur de données sur l’industrie crypto Dune Analytics, la valeur totale verrouillée dans Arbitrum est actuellement de 2,12 milliards de dollars. En ce qui concerne les parts du marché, il est deuxième sur la liste, avec 30%, juste derrière Polygon (MATIC) ERC20 Bridge avec 34%, et devant Avalanche (AVAX) Bridge (20%).

Il s’agit d’une hausse notable pour Arbitrum, qui au 1er septembre, disposait d’une TVL d’environ 22 millions de dollars. Cela fait une énorme augmentation de 9.387 % en quelques semaines.

Le site Web montre une augmentation de 2.376 % de la valeur d’Arbitrum, deuxième en importance, au cours des sept derniers jours seulement. En comparaison, la variation de sept jours dans Polygon TVL est de -7%, pour Avalanche, il est de -8%, tandis que pour Solana (SOL) Wormhole, il est de 80%.

Source: dune.xyz

Arbitrum, un Optimistic Rollup

Arbitrum est un Optimistic Rollup (OR) – une solution de deuxième couche, compatible avec Ethereum (ETH). Le réseau est la couche de base ou couche 1, tandis que les solutions au-dessus de lui sont la couche 2 (L2).

On indique que la finance décentralisée (DeFi), le yield farming, ainsi que le secteur des tokens non fongibles (NFT), ont pressé sur Ethereum, ce qui a entraîné une forte augmentation des frais.

OR est l’un des outils souvent mentionnés comme solution au problème de scalabilité d’Ethereum, promettant un débit beaucoup plus élevé de la blockchain.

Selon Nick Chong, analyste des investissements chez ParaFi Capital (un partisan d’Offchain Labs, développeur d’Arbitrum), les utilisateurs se sont d’abord tournés vers d’autres options de couche 1, mais ces options “compromettent souvent la sécurité avec des ensembles de noeuds plus petits et une infrastructure de transition centralisée”. En revanche, un rollup est “une solution de mise à l’échelle qui hérite de la sécurité du réseau sous-jacent tout en améliorant le débit des transactions et les frais”, a déclaré Chong.


Optimistic rollups, at full scale, are expected to improve Ethereum transaction fees by upward of 50x.

That’s to say, an AMM transaction on mainnet that cost $50 may cost $1 or even less, dramatically improving the user experience.

— Nick Chong (@n2ckchong) September 13, 2021

Chong a également noté qu’il sera intéressant d’observer les projets qui se lancent d’abord sur Arbitrum, puis lancent des ramifications sur d’autres réseaux.

“Ne laissez pas passer les L2 d’Ethereum – ils ne sont pas encore dans leur forme finale,” a tweeté Ryan Watkins, analyste de la société de recherche crypto Messari, qui a également comparé l’utilisation de cette plateforme à “l’utilisation d’Ethereum au début de 2020” – décrivant l’expérience comme “incroyable.”

Il y a ceux qui ont même remarqué qu’au cours de la journée dernière Arbitrum a traité plus de transactions que Bitcoin (BTC).


Arbitrum has in the past 24 hours processed more transactions than BTC

— חירות (@Cheirut) September 13, 2021

Selon Arbiscan, il y a eu 267.608 transactions sur Arbitrum le 12 septembre. Le même jour, il y avait 192.544 transactions sur Bitcoin, selon BitInfoCharts.

Le 31 août, Offchain Labs a déclaré que son réseau principal Arbitrum One était ouvert au public. La version bêta d’Arbitrum One destinée aux développeurs a été lancée en mai. Dans le même communiqué, la société a déclaré avoir levé 120 millions de dollars lors de son tour de financement de série B mené par Lightspeed Venture Partners.

Plus d’actions

J’aime bien la cryptomonnaie. Ça fait déjà plusieurs années que je l’étudie, mais aussi que j’y investis et que je travaille dans ce domaine. De plus, je fais des articles sur le sujet où j’essaie d’être clair et net !

DISCLAIMER

Les propos et opinions exprimés dans cet article n’engagent que leur auteur, et ne doivent pas être considérés comme des conseils en investissement. Effectuez vos propres recherches avant toute décision d’investissement.

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Marvel et DC Comics interdisent la vente des NFTs relevant des univers Marvel et DC Comics

Le monde des NFTs a beau être ouvert et accessible à tous, il est régi par des règles. L’éditeur de bandes dessinées DC Comics vient de le rappeler à tout le monde. En effet, il a indiqué dans un message public à destination des artistes indépendants que la propriété intellectuelle (PI) et les personnages qui […]

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L’Inde deviendra-t-elle le plus important des pays créateurs et acheteurs de NFT ?

L’Inde, ce pays mastodonte abritant près de 18% de la population mondiale (soit 1,4 milliard d’habitants), s’est imposé comme un géant mondial des services informatiques. Alors que la Chine est décrite comme « l’usine du monde », certains qualifient l’Inde de « serveur informatique du monde ». Avec ses 400 000 informaticiens formés chaque année, ce surnom lui convient […]

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Visa « au cœur » des cryptomonnaies, selon son PDG

Alfred Kel­ly, PDG du lea­der des paie­ments par carte Visa, a récem­ment affi­ché son opti­misme vis-à-vis des cryptomonnaies.

« Au cœur » des actifs numériques

Dans un entre­tien accor­dé au PDG de For­tune sur le pod­cast « Lea­der­ship Next », le diri­geant a évo­qué les actifs numé­riques et le rôle qu’ils pour­raient jouer dans le sys­tème finan­cier moderne.

Le PDG de Visa estime que sa socié­té se trouve « au cœur » de la crypto-sphère :

« J’i­gnore jus­qu’où les cryp­to­mon­niaes vont décol­ler. Dans 5 ans, est-ce que l’on dira qu’ils s’a­gis­sait seule­ment d’une mode pas­sa­gère ? Ou bien seront-elles deve­nues extrê­me­ment populaires ?

Je ne suis pas suf­fi­sam­ment intel­li­gent pour le savoir, mais je le suis suf­fi­sam­ment pour faire en sorte de m’as­su­rer que notre socié­té se retrouve au cœur de cet éco­sys­tème aujourd’hui ».

M. Kel­ly a ensuite indi­qué que son entre­prise se tenait prête, afin de pou­voir pro­fi­ter d’une éven­tuelle crois­sance de ce secteur :

« Si ça décolle, nous pour­rons obte­nir une part impor­tante du volume, dans la mesure où nous anti­ci­pons que cet éco­sys­tème pour­rait poten­tiel­le­ment deve­nir bien plus impor­tant. Nous sou­hai­tons être prêts à cette éven­tua­li­té, et je pense que nous avons connu un bon démarrage ».

Alors qu’il voit le Bit­coin comme un or numé­rique, le diri­geant a pré­ci­sé que Visa tra­vaillait sur un sys­tème per­met­tant à ses clients d’a­che­ter des BTCs, tout en favo­ri­sant la sim­pli­ci­té des conver­sions entre cet actif numé­rique et des mon­naies fidu­ciaires.

Alfred Kel­ly a éga­le­ment van­té les mérites des mon­naies numé­riques sou­te­nues par des banques cen­trales, qui pour­raient deve­nir des modes de paie­ment d’un poids conséquent.

Un NFT à 165 000 dollars

Le mois der­nier, le géant du paie­ment avait débour­sé 165 000 dol­lars pour s’of­frir un token non fon­gible de la col­lec­tion « Cryp­to­Punks ». Cuy Shef­field, son « Head of Cryp­to », avait confié qu’il ne s’a­gis­sait que d’une pre­mière étape dans l’in­cur­sion de Visa dans cet écosystème.

« Nous pen­sons que les NFTs joue­ront un rôle impor­tant dans l’avenir du com­merce de détail, des réseaux sociaux, du diver­tis­se­ment », avait-il alors déclaré.

« Afin d’aider nos clients et nos par­te­naires à y par­ti­ci­per, il nous fal­lait dans un pre­mier temps com­prendre les besoins en termes d’infrastructures pour qu’une marque mon­diale puisse ache­ter, sto­cker et tirer pro­fit d’un NFT ».

Réfé­rence : Digest­time

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