Visa fournira des services avec Bitcoin (BTC) et d’autres cryptomonnaies aux banques du Brésil

Visa, une grande entreprise, a annoncé son intention de fournir des services de cryptomonnaie aux plateformes bancaires traditionnelles au Brésil. La société souligne qu’elle travaille avec plusieurs sociétés de cryptomonnaie dans le pays pour mettre sur le marché des cartes de paiement en cryptomonnaie.

Plus de détails dans les plans de l’entreprise, selon le site bitcoin.com, sont l’intégration directe du Bitcoin dans les paiements.

Visa offrira l’opportunité d’investir dans les cryptomonnaies au Brésil

Le leader du marché des cartes de paiement Visa a annoncé son intention d’intégrer des solutions de cryptomonnaie dans les plateformes bancaires traditionnelles. Eduardo Abreu, vice-président des nouvelles affaires de Visa au Brésil, a déclaré que la société prévoyait de développer des applications (API) pour combiner les banques traditionnelles avec des produits crypto. C’est ainsi que les investissements en cryptomonnaies et ETF (fonds négociés en bourse) peuvent être réalisés dans le cadre de plateformes bancaires sans intermédiaire.

Visa a également annoncé un partenariat avec plusieurs sociétés nationales de cartes de cryptomonnaie, telles que Zro Bank, Alterbank et Rippio, qui permettront aux utilisateurs de les connecter à des comptes bancaires. Le responsable de Visa n’a pas encore annoncé la date de mise en œuvre de ces évolutions. 

Innovations pour le secteur B2B, cartes NFT et cryptomonnaie

Visa a déclaré qu’elle travaillait également sur une blockchain B2B (business-to-business) qui permettra les paiements entre les entreprises par des contrats intelligents. D’après Abreu, le système est déjà testé sur certains clients et la société fera une annonce à ce sujet dans un avenir proche. Ce système augmentera la transparence des paiements entre les fournisseurs et les prestataires, permettant à tous ceux qui y ont accès de vérifier les paiements et les dépôts. 

En plus, Visa a annoncé qu’elle commencerait à tester les paiements directs en bitcoins au Brésil. Cela signifie que les transactions permettront de transférer directement le Bitcoin vers d’autres comptes. Cette approche est complètement différente de ce qui se passe actuellement avec la plupart des cartes de cryptomonnaie, où un intermédiaire est nécessaire pour échanger des Bitcoins en monnaies fiat pendant l’opération. L’inclusion des paiements directs en Bitcoins simplifiera le processus de paiement et éliminera les intermédiaires. En mars, le directeur général de Visa au Brésil a déclaré que la société prévoyait de déployer cette fonction plus tard cette année.

Abreu a annoncé que Visa Brésil avait également repris l’initiative NFT, que la société révélera bientôt. Visa poursuit activement l’idée de promouvoir le NFT : les tokens peuvent aider les créateurs de contenu, les petites et moyennes entreprises. “NFT est l’intersection de la culture et du commerce”, – a déclaré la société. 

Il est à noter que Visa a rejoint les collectionneurs NFT, après avoir acheté le token Crypto Punk 7610 pour 150 000 dollars à Ethereum (ETH) en août – il s’agit d’une image en pixels de l’une des 3 840 femmes punks.

Visa est devenu le premier système de paiement majeur qui effectue des transactions en cryptomonnaie en mars. A ce jour, l’entreprise ne va pas s’arrêter et ne fait que renforcer ses capacités. L’introduction de la cryptomonnaie comme moyen de paiement permettra à Visa de gagner des fans dans tout le marché émergent.

Plus d’actions

Je suis sûr que la blockchain et les cryptomonnaies représentent le futur, et je veux faire passer cette idée à tout le monde car plus il y aura de monde à croire aux cryptomonnaies, plus vite le futur arrivera.

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L’émission quotidienne d’ethers sur Ethereum est devenue pour la première fois négative

Plus d’ether a été brûlé que créé ce vendredi 3 septembre. C’est la première fois que l’émission nette quotidienne a été négative sur le réseau Ethereum. Cette émission négative est le résultat de la refonte du réseau entrée en vigueur début août, qui « brûle » ou détruit une partie des frais que les utilisateurs paient pour faire vérifier et valider leurs transactions. Les données du tableau de bord sur l’ether de The Block ont montré que l’émission était de -334 vendredi, après que 13 840 éthers ont été brûlés pendant que 13 506 étaient créés. Lundi, un éther valait 3 940 dollars.

Stan Kladko, cofondateur de la société de développement d’Ethereum Skale Labs, a déclaré à Insider qu’un regain d’intérêt pour les jetons non fongibles, les fameux NFT, provoquait la combustion de quantités record d’ether. Le fort intérêt pour les NFT — qui fonctionnent en grande partie sur la blockchain Ethereum — a accru l’activité et les frais de transaction sur le réseau, a déclaré Stan Kladko.

À lire aussi — Bitcoin ou ether ? 10 experts expliquent sur quel actif ils préfèrent miser et pourquoi

Depuis la mise à jour du réseau en août, dont le nom de code est EIP-1559, une partie des frais de transaction a été brûlée, en raison de modifications techniques visant à rendre les frais plus prévisibles pour les utilisateurs. Ces modifications signifient qu’une activité accrue et des frais plus élevés entraînent une combustion plus importante d’ether.

Vendredi, la quantité d’ether brûlée était supérieure à celle créée et donnée aux « mineurs » en récompense de la validation des transactions. Les 13 840 éthers brûlés vendredi constituent un record et marquent une hausse par rapport aux 11 130 éthers brûlés la semaine précédente.

Lex Sokolin, de la société de développement d’Ethereum ConsenSys, a déclaré qu’il était peu probable que l’émission nette soit durablement déflationniste. « Nous nous attendons à une faible inflation plutôt qu’à une déflation continue », a-t-il déclaré à Insider. « Mais à court terme, la demande est susceptible de rester élevée à mesure que de nouvelles industries et de nouveaux marchés passent au mainnet (à la blockchain, ndlr). »

Version originale : Harry Robertson/Markets Insider

À lire aussi — Comment les mises à jour d’Ethereum pourraient propulser l’ether encore plus haut

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Le Web 3.0 arrive et aura besoin des cryptomonnaies! Découvrez pourquoi

e le Web 3.0. Bien qu’encore peu vague, ce terme désigne le fait de rendre Internet plus « intelligent » de diverses manières, de l’utilisation de l’IA pour répondre de manière proactive aux demandes des utilisateurs à l’utilisation de la décentralisation pour apporter de nouvelles fonctions et expériences.

Et comme la décentralisation est susceptible d’être l’une des principales propriétés du Web 3.0, cela signifie que les cryptomonnaies et la blockchain joueront également un rôle central. En fait, les acteurs du secteur qui se sont entretenus avec Cryptonews.com suggèrent que la cryptomonnaie sera au cœur du Web 3.0, les cryptomonnaies servant à créer un nouveau système d’incitation et de coordination pour les services Internet décentralisés.

Les cryptomonnaies pourraient favoriser un nouvel écosystème Web 3.0 caractérisé par des protocoles de travail distribués, une infrastructure décentralisée et des plateformes de créateurs appartenant aux utilisateurs, entre autres tendances naissantes. Bien entendu, le secteur devra s’attacher à améliorer et à simplifier les expériences des utilisateurs avant de pouvoir espérer susciter un niveau d’adoption significatif.

Quelle sera l’importance de la cryptomonnaie pour le Web 3.0 ?

À l’origine (c’est-à-dire avant la crypto), le Web 3.0 était considéré comme une étape de l’évolution de l’Internet. Comme le pionnier Tim Berners-Lee et d’autres l’ont conçu, cela témoignerait d’ordinateurs et de machines « capables d’analyser toutes les données du Web ».

Toutefois, bien que cette définition soit toujours valable dans une certaine mesure, le temps a passé et, désormais, la plupart des personnes travaillant sur la technologie du Web 3.0 l’associent à la décentralisation. À ce titre, les cryptomonnaies et la blockchain jouent un rôle important, voire indispensable.

« Les cryptomonnaies et les blockchains sont une nécessité pour le Web 3.0 ; elles permettent de mettre en œuvre les trois caractéristiques clés du Web 3.0 : la décentralisation, l’absence de permissions et l’absence de confiance », a déclaré un porte-parole de la fondation DFINITY, qui supervise le développement de l’Internet Computer (ICP), une plateforme de 2 milliards de dollars qui vise à remettre en question le monopole des grandes entreprises technologiques.

Adam Soffer, le chef de produit de la plateforme décentralisée de distribution de vidéos Livepeer (LPT), est d’accord avec le fait que les cryptomonnaies et la blockchain sont au cœur du Web 3.0.

« Ce sont elles qui permettent aux développeurs d’intégrer des règles et des incitatifs économiques dans les logiciels open source et de créer des réseaux coordonnés par des jetons. En incitant les individus à participer aux protocoles du Web 3.0, les développeurs et la société peuvent s’attaquer aux problèmes qui nécessitent une coordination à grande échelle », a-t-il déclaré à Cryptonews.com.

Tous les acteurs du secteur ne sont pas d’accord pour dire que la cryptomonnaie sera essentielle au Web 3.0, mais tous s’accordent néanmoins à dire qu’elle sera très importante. Selon Nick Mancini, analyste principal de Trade the Chain, il y aura probablement une division entre les secteurs public et privé et leur utilisation des cryptos.

« Les cryptomonnaies, telles que nous les voyons aujourd’hui, sont susceptibles d’être utilisées en grande partie pour les utilitaires publics et open source. Quant aux entreprises privées qui n’ont pas besoin de cryptomonnaies, elles construiront probablement des systèmes privés qui interagissent avec les systèmes publics, mais n’ont pas besoin d’économies internes ou de modèles complets basés sur le consensus », a-t-il déclaré à Cryptonews.com.

De même, Frank Mong, directeur des opérations d’Helium (HNT), le développeur d’une infrastructure sans fil décentralisée, n’est pas nécessairement d’accord avec l’idée que les cryptomonnaies seront indispensables au Web 3.0, mais il suggère que la blockchain et les cryptos ajouteraient une incitation unique pour que les gens se comportent différemment de ce qu’ils font en utilisant l’Internet tel qu’il est actuellement.

« Si l’incitation était de garder les choses privées et de les crypter en permanence et que plus vous le faites, plus vous gagnez de récompenses en cryptomonnaies, alors le comportement actuel consistant à collecter des informations privées et à les revendre pour obtenir des récompenses cesserait », a-t-il déclaré à Cryptonews.com.

Si Mong reconnaît que la blockchain peut fournir un moyen décentralisé d’accéder à Internet, il rappelle également une question importante.

« Je pense que la question est de savoir quelle part d’Internet peut être décentralisée de manière réaliste. Si le noyau est toujours détenu par quelques grandes entités, alors ces entités peuvent toujours censurer ou créer des obstacles à l’indépendance et à la vie privée », a-t-il ajouté.

Exemples de Web 3.0

En ce qui concerne les plates-formes offrant actuellement des exemples de technologie Web 3.0 décentralisée, les avis divergent.

Pour Adam Soffer, les projets relevant de la catégorie « protocole de travail distribué » sont parmi les plus intéressants. Il s’agit notamment du Filecoin (FIL), qui « est un réseau de stockage décentralisé et open-source qui permet aux développeurs de construire de nouvelles façons de stocker des données dans leurs applications, ainsi que de donner aux individus les moyens de s’éloigner des services de stockage centralisés qui monétisent les données et ne garantissent pas la confidentialité. »

Il comprend également le Graph (GRT), qui permet aux utilisateurs d’extraire des données de blockchains sur des blockchains. « Il permet à quiconque de construire et de publier des API ouvertes, ou des sous-graphes, qui peuvent être interrogés pour une énorme gamme d’informations sur les tendances cryptogras », a expliqué Soffer.

Comme on pouvait s’y attendre, Soffer inclut également Livepeer parmi ses favoris, une plateforme qui fournit une infrastructure distribuée pour des services clés tels que le transcodage vidéo à une fraction du coût facturé par les fournisseurs centraux. « Ces services sont fournis par des opérateurs de nœuds (appelés « orchestrateurs » dans la communauté Livepeer) qui se font concurrence sur la base de la qualité du service, du prix et de l’emplacement », a-t-il expliqué.

L’un des exemples les plus marquants du Web 3.0 est sans doute le computer Internet, qui vise à offrir une version décentralisée de l’Internet et de divers services et sites Web.

Et selon le porte-parole de la fondation DFINITY, un certain nombre de plates-formes fonctionnant déjà sur le Computer Internet mettent en évidence le potentiel du Web 3.0. Il s’agit notamment de DSCVR (une version décentralisée de Reddit qui appartient à ses plus de 12 000 utilisateurs), d’OpenChat (une application de messagerie en temps réel comptant 19 000 utilisateurs), mais aussi de Distrikt (un réseau professionnel communautaire qui permet aux utilisateurs de voter sur les mises à niveau et qui ne vendra jamais leurs données).

Observant le secteur de l’extérieur, Nick Mancini estime que les sous-domaines du Web 3.0 les plus prometteurs sont les échanges décentralisés, les médias, l’art et le stockage.

« Les échanges décentralisés comme Uniswap et Sushiswap changent la façon dont nous échangeons les cryptos, Steemit change notre façon de communiquer, OpenSea change la façon dont nous achetons et vendons l’art numérique, et Filecoin, Storj (STORJ) et Sia (SC) mènent la charge sur le stockage décentralisé des fichiers. Ce ne sont là que quelques exemples d’entreprises qui s’attaquent à l’innovation dans trois mondes mûrs pour le bouleversement », a-t-il déclaré.

Tendances futures

En ce qui concerne l’avenir, Frank Mong estime que l' »infrastructure décentralisée » sera la plus grande et la plus importante tendance du Web 3.0 lié aux cryptomonnaies. Ce n’est peut-être pas tout à fait surprenant, étant donné qu’Helium est une blockchain publique visant à encourager le développement d’un réseau sans fil décentralisé.

« Je pense que cela doit se produire pour un véritable Web 3.0. Nous y travaillons », a-t-il déclaré.

Si Adam Soffer s’attend à ce que les plates-formes liées aux NFT et à la DeFi fassent l’objet de la plus grande attention à court terme, il s’attend également à ce que d’autres domaines prennent de l’importance à moyen terme.

« Dans un avenir proche, je vois des [organisations autonomes décentralisées], des protocoles de travail distribués et des plates-formes de créateurs décentralisées/appartenant aux utilisateurs, comme Audius.co et Glass.xyz (qui sont elles-mêmes basées par des protocoles de travail distribués), qui ont le vent en poupe », a-t-il déclaré.

Par ailleurs, la fondation DFINITY s’attend à ce que les réseaux sociaux décentralisés prennent de l’ampleur, notamment en réponse à l’invasion de la vie privée, au risque de plateforme et à la censure synonymes de réseaux hérités tels que Facebook.

« Les jeux vont également devenir très populaires sur la blockchain. Le jeu est le cas d’utilisation parfait pour les NFT », a ajouté son porte-parole.

Toutefois, une tendance importante pour l’avenir proche, selon Nick Mancini, sera la convivialité, qui sera primordiale si toutes les autres tendances – infrastructure, protocoles de travail, réseaux sociaux, plateformes de jeux, plateformes de créateurs – doivent atteindre une masse critique.

Selon lui, « la plus grande tendance sera probablement l’accent mis sur la convivialité. Pour être adoptés en masse, les projets doivent offrir une expérience utilisateur si simple que vos grands-parents pourraient l’utiliser. »

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Brésil : Visa souhaite apporter des crypto-services aux banques traditionnelles

Le géant mon­dial des paie­ments Visa a annon­cé qu’il pré­voyait d’ap­por­ter des cryp­to-ser­vices à des pla­te­formes ban­caires bré­si­liennes. La socié­té, qui tra­vaille sur la créa­tion de « smart contracts » pour faci­li­ter les règle­ments finan­ciers entre entre­prises, espère pro­chai­ne­ment per­mettre d’ef­fec­tuer des paie­ments en Bit­coin entre compte bancaires.

Visa planche sur une crypto-intégration au Brésil

Visa compte ame­ner des solu­tions de cryp­to-paie­ment dans le monde ban­caire traditionnel.

Eduar­do Abreu, le vice-pré­sident des nou­velles acti­vi­tés de l’en­tre­prise, a révé­lé la semaine der­nière qu’elle tra­vaillait sur des inter­faces de pro­gram­ma­tion (API) per­met­tant de lier banques tra­di­tion­nelles et cryp­to-pro­duits. Objec­tif : per­mettre aux Bré­si­liens d’ef­fec­tuer des inves­tis­se­ments en actifs numé­riques et en fonds indi­ciels (ETFs) direc­te­ment depuis leur compte ban­caire, sans avoir à se tour­ner vers un intermédiaire.

Le géant du paie­ment a éga­le­ment annon­cé qu’il col­la­bo­rait avec plu­sieurs éta­blis­se­ments locaux afin de déve­lop­per une carte de paie­ment en cryp­to-mon­naies. Ces par­te­naires – par­mi les­quels on retrouve Zro Bank, Alter­bank et Rip­pio – pour­raient ain­si per­mettre à leurs clients de connec­ter cette carte à leur compte bancaire.

« Smart contracts » et transferts de Bitcoin entre comptes bancaires

Visa a récem­ment révé­lé qu’elle plan­chait sur la créa­tion d’une blo­ck­chain, qui s’ap­puie­rait sur des « smart contracts » pour faci­li­ter les paie­ments entre entre­prises. Objec­tif : amé­lio­rer la trans­pa­rence des flux finan­ciers entre four­nis­seurs et pres­ta­taires, en per­met­tant à toute per­sonne auto­ri­sée de véri­fier les paie­ments et les dépôts effectués.

Le mas­to­donte finan­cier a éga­le­ment confié qu’il allait com­men­cer à effec­tuer des tests pour per­mettre la réa­li­sa­tion de trans­ferts de BTCs d’un compte ban­caire à un autre. Il s’ap­puie­ra pour cela sur un méca­nisme dif­fé­rent de celui uti­li­sé par les cryp­to-cartes de paie­ment actuelles, qui requièrent impé­ra­ti­ve­ment la pré­sence d’un inter­mé­diaire capable d’é­chan­ger du Bit­coin contre des mon­naies fidu­ciaires. En mars, M. Abreu avait décla­ré que cette fonc­tion­na­li­té devrait être dis­po­nible dès 2021.

En août, Visa avait mis la main sur un NFT Cryp­to­Punk pour 165 000 dol­lars d’E­thers. L’en­tre­prise avait jus­ti­fié son acqui­si­tion en expli­quant qu’elle comp­tait ain­si « mieux com­prendre les besoins en termes d’infrastructures pour qu’une marque mon­diale puisse ache­ter, sto­cker et tirer pro­fit d’un NFT ».

Réfé­rence : News.Bitcoin.com

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NFT du jour: Prince Lail – DOLOS II

Nous sommes le 7 septembre et voici une nouvelle édition de la rubrique «NFT du jour», dans laquelle nous vous parlons des œuvres d’art numérique qui ne sont probablement pas à la mode, mais qui sont assez profondes et méritent d’être appréciées.

Pour consulter l’édition précédente, veuillez suivre le lien. ‌

Alors, c’est parti!

Les tokens non fongibles attirent de plus en plus l’attention, tant de la part des spéculateurs que des artistes désireux d’accroître leur propre fanbase. Et non, ce n’est pas que nous nous opposons activement aux relations commerciales au sein de la sphère de NFT. Leur importance ne doit pas non plus être sous-estimée. C’est l’occasion pour les créateurs de se faire connaître et, par conséquent, de gagner de la reconnaissance et de l’argent. C’est une possibilité d’être moins distraits par les problèmes quotidiens et de se consacrer pleinement à leur créativité. Pour l’industrie des tokens non fongibles, les objets d’échange monétaire élevés deviennent une source d’infographie médiatisée, avec des milliers de nouveaux collectionneurs et créateurs répondant à l’appel. Cela contribue au développement du domaine.

Créez-vous par amour de l’art ou pour gagner de l’argent ? A mon avis, c’est une affaire personnelle de chaque artiste. Et si une création reste unique, belle et incite à la réflexion, il n’y a rien de mal à la payer. Qu’en pensez-vous? Nous attendons vos options sous forme de commentaires sur les médias sociaux !

Dans le cadre de cette édition, nous voudrions vous présenter un utilisateur de Twitter sous le pseudo de Prince Lail, et de vous présenter son œuvre – DOLOS II.

Dolos (Dolus en latin) est un esprit de tromperie et d’arnaque de la mythologie grecque. Cette œuvre fait partie d’une série de trois NFT, chacune représentant un hominien avec un téléviseur à la place de la tête.

Probablement, aucun lecteur n’a besoin d’expliquer pourquoi l’auteur de cet ouvrage identifie un téléviseur à la tromperie. Mais pour ceux qui attendent toujours une explication, je répondrai de la manière suivante : les émissions de télévision et les films sont tous des jeux d’acteurs basés sur un scénario écrit par quelqu’un. La tromperie est un acte, et les acteurs étaient autrefois appelés comédiens. Parce qu’ils “se masquent” et jouent une fausse histoire qui n’est jamais arrivée. En d’autres termes, ils nous trompent.

Bien entendu, ce token non fongible n’est pas une pierre dans le jardin de tous ceux qui travaillent dans l’industrie de la télévision. En fin de compte, c’est l’esprit de tromperie et d’arnaque que Prince Lail voit lui-même. Ce qui signifie que c’est exactement sa façon unique de voir les choses et le monde en général.

Dolos est assis calmement sur une voiture qui coule, entourée de tous côtés par l’eau. Il n’y a pas d’îles autour et donc aucune chance de sauvetage. Le héros, quant à lui, ne dispose que d’un écran d’accueil sur lequel s’affiche “Pas de signal”.

Cette œuvre est peut-être l’analogie d’un menteur pris dans la toile de sa propre tromperie. Devenu l’otage de la situation, il ne s’est pas laissé une échappatoire et ne peut plus qu’attendre que la situation se résolve d’elle-même. On en arrivera à la seule issue possible.

Le token non fongible du jour est devenu DOLOS II de Prince Lail pour une idée intéressante, une exécution de qualité et un héros charismatique dans une situation intéressante.

Qu’en pensez-vous ? Partagez vos sentiments sur les réseaux sociaux de Cointribune !

En outre, nous avons le plaisir de vous faire savoir que vous avez une opportunité unique de partager avec nous vos réflexions sur l’industrie des tokens non fongibles !

Envoyez-nous vos œuvres préférées d’art numérique et décrivez ce qui vous a attiré dans les créations sélectionnées. Nous examinerons les meilleures d’entre elles dans les prochaines éditions de “NFT du jour”!

Restez avec nous! Qui sait, la prochaine fois, nous pourrions vous parler de votre token non fongible!

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NFT du jour: Prince Lail – DOLOS II

Nous sommes le 7 septembre et voici une nouvelle édition de la rubrique «NFT du jour», dans laquelle nous vous parlons des œuvres d’art numérique qui ne sont probablement pas à la mode, mais qui sont assez profondes et méritent d’être appréciées. Pour consulter l’édition précédente, veuillez suivre le lien. ‌ Alors, c’est parti! Les […]

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Brésil : Visa souhaite apporter des crypto-services aux banques traditionnelles

Le géant mondial des paiements Visa a annoncé qu’il prévoyait d’apporter des crypto-services à des plateformes bancaires brésiliennes. La société, qui travaille sur la création de « smart contracts » pour faciliter les règlements financiers entre entreprises, espère prochainement permettre d’effectuer des paiements en Bitcoin entre compte bancaires.

Visa planche sur une crypto-intégration au Brésil

Visa compte amener des solutions de crypto-paiement dans le monde bancaire traditionnel.

Eduardo Abreu, le vice-président des nouvelles activités de l’entreprise, a révélé la semaine dernière qu’elle travaillait sur des interfaces de programmation (API) permettant de lier banques traditionnelles et crypto-produits. Objectif : permettre aux Brésiliens d’effectuer des investissements en actifs numériques et en fonds indiciels (ETFs) directement depuis leur compte bancaire, sans avoir à se tourner vers un intermédiaire.

Le géant du paiement a également annoncé qu’il collaborait avec plusieurs établissements locaux afin de développer une carte de paiement en crypto-monnaies. Ces partenaires – parmi lesquels on retrouve Zro Bank, Alterbank et Rippio – pourraient ainsi permettre à leurs clients de connecter cette carte à leur compte bancaire.

À lire également : États-Unis : Vast Bank devient la première banque commerciale à permettre à ses clients d’acheter des cryptomonnaiess

« Smart contracts » et transferts de Bitcoin entre comptes bancaires

Visa a récemment révélé qu’elle planchait sur la création d’une blockchain, qui s’appuierait sur des « smart contracts » pour faciliter les paiements entre entreprises. Objectif : améliorer la transparence des flux financiers entre fournisseurs et prestataires, en permettant à toute personne autorisée de vérifier les paiements et les dépôts effectués.

Le mastodonte financier a également confié qu’il allait commencer à effectuer des tests pour permettre la réalisation de transferts de BTCs d’un compte bancaire à un autre. Il s’appuiera pour cela sur un mécanisme différent de celui utilisé par les crypto-cartes de paiement actuelles, qui requièrent impérativement la présence d’un intermédiaire capable d’échanger du Bitcoin contre des monnaies fiduciaires. En mars, M. Abreu avait déclaré que cette fonctionnalité devrait être disponible dès 2021.

En août, Visa avait mis la main sur un NFT CryptoPunk pour 165 000 dollars d’Ethers. L’entreprise avait justifié son acquisition en expliquant qu’elle comptait ainsi « mieux comprendre les besoins en termes d’infrastructures pour qu’une marque mondiale puisse acheter, stocker et tirer profit d’un NFT ».

Référence : News.Bitcoin.com

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FTX lance un marketplace pour les NFTs : Son cours grimpe de 14% en 24H

FTX poursuit avec sa phase haussière. FTT, le jeton de l’exchange des produits dérivés cryptos a  déjà gagné près de 53,4% au cours de ces 7 derniers. Toujours dans cette percée haussière, son cours a augmenté de 14% en 24h après que FTX ait annoncé le lancement d’un éventuel marketplace pour les NFTs sur sa plateforme. La barre technique des 100$ est le prochain visé des taureaux après avoir renversé l’ATH de 65,66$. Profiter de la bulle des NFTs  FTX travaille d’arrache pied pour lancer un marketplace pour les NFTs afin de prendre place dans un marché en pleine expansion. […]

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Bored Ape Yacht Club : les enchères de Sotheby’s flambent à 19 millions de dollars

Après les Cryp­to­Punks, c’est au tour des singes numé­riques du « Bored Ape Yacht Club » de sus­ci­ter l’en­goue­ment des investisseurs.

19 mil­lions de dol­lars pour une col­lec­tion de tokens. Il s’a­git désor­mais de l’en­chère prin­ci­pale de la vente de la mai­son Sothe­by’s, qui pro­pose depuis le 2 sep­tembre 101 NFTs appar­te­nant à la col­lec­tion per­son­nelle de Yuga Labs, l’en­ti­té à l’o­ri­gine des images du Bored Ape Yacht Club.

Cette somme dépasse déjà les esti­ma­tions de Sothe­by’s, qui valo­ri­sait ce lot à un mon­tant com­pris entre 12 et 18 mil­lions de dol­lars.

The 101 Bored Ape Yacht Club (BAYC) auc­tio­ned by Sotheby’s cur­rent­ly bid for US$19 mil­lion. https://t.co/Q6F3z7ROOo pic.twitter.com/f8Gw4ouv3s

— Wu Blo­ck­chain (@WuBlockchain) Sep­tem­ber 6, 2021

La col­lec­tion des NFTs Bored Ape se com­pose d’un total de 10 000 images. Ain­si, mal­gré la somme débour­sée, l’in­ves­tis­seur qui rem­por­te­ra l’en­chère ne détien­dra qu’à peine plus de 1% de la tota­li­té de ces singes digitaux.

D’au­tant que le prix de ce lot pour­rait conti­nuer à aug­men­ter, puis­qu’il reste encore trois jours avant la fin de l’en­chère, qui sera close le 9 sep­tembre prochain.

Lors de la rédac­tion de cet article, le pro­jet Bored Ape Yacht Club fai­sait par­tie des col­lec­tions de NFts les popu­laires.

Il poin­tait à la cin­quième place du clas­se­ment de la prin­ci­pale place de mar­ché de NFTs Ethe­reum Open­Sea, avec 18 344 Ethers (envi­ron 72 mil­lions de dol­lars) échan­gés au cours des 7 der­niers jours. Au total, les volumes de tran­sac­tion de la col­lec­tion attei­gnaient les 150 093 Ethers (envi­ron 592 mil­lions de dollars).

Les « Bored Ape » enregistrent des records

La col­lec­tion Bored Ape a sus­ci­té l’en­goue­ment des inves­tis­seurs, prêts à miser plu­sieurs cen­taines de mil­lions de dol­lars sur ces NFTs.

Le Bored Ape Yacht Club a don­né nais­sance à d’autres lots de tokens tels que le Mutant Ape Yacht Club et le Bored Ape Ken­nel Club. En août, ces trois col­lec­tions ont repré­sen­té un total de plus de 170 000 ETH (soit alors 644 mil­lions de dol­lars) d’é­changes.

Le Mutant Ape Yacht Club avait connu un lan­ce­ment his­to­rique. En seule­ment une heure, Yuga Labs avait écou­lé ses 10 000 NFTs de « singes mutants » pour plus de 96 mil­lions de dol­lars d’E­thers.

De nom­breuses per­son­na­li­tés ont par­ti­ci­pé à la fré­né­sie sus­ci­tée par ces images. La star de la NBA Ste­phen Cur­ry s’est récem­ment offert un NFT Bored Ape Yacht Club pour un mon­tant de 180 000 dollars.

Mais d’autres col­lec­tions ont, elles aus­si, enre­gis­tré des ventes colos­sales. Jus­tin Sun, le fon­da­teur de Tron, a récem­ment déci­dé de mettre la main sur un Ether Rock – une simple image de roche – pour une somme fara­mi­neuse de 500 000 dol­lars. Same­di, c’é­tait un Cryp­to­Punk « Zom­bie » qui était ven­du pour 5,12 mil­lions de dol­lars, seule­ment quelques heures après avoir été ache­té pour 3,89 mil­lions de dollars.

Retrouver l’article original de Crypto-France ici: Lien Source

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Le faux Banksy NFT se vend 244 000 £. Parlons des vulnérabilités NFT.

Dans un canular élaboré cette semaine, le collectionneur de NFT Panksy a fini par acheter un faux Banksy NFT pour 244 000 £, ce qui serait considéré comme une bonne affaire dans le monde des NFT de nos jours.

Bien que la quasi-totalité de l’argent ait été restituée à l’acheteur, cet incident à lui seul met en évidence certaines des manières dont les NFT sont exposés aux menaces de sécurité.

Des punks aux pilules et tout le reste, les NFT ont explosé dans le monde de la crypto alors est-il temps de parler de propriété intellectuelle ?

La capacité de reproduire des œuvres artistiques sans conséquences continue de relever la tête alors que de plus en plus d’artistes et de collectionneurs établis se lancent dans le commerce NFT. Un autre exemple de la consternation des artistes cette semaine est venu du créateur populaire de NFT gribouillis.

Si le whos who du Web mondial vend actuellement des NFT, comment gérons-nous les lois sur la propriété intellectuelle dans différentes juridictions et qui est responsable de toute violation du droit d’auteur ? Les plates-formes et les vendeurs détiennent un certain niveau de contrôle ici.

Gestion des piques NFT

Les plates-formes qui permettent la frappe de NFT et de vendre des NFT doivent être conscientes des types de NFT avec lesquelles elles traitent et peuvent être exposées en ce qui concerne la manière dont les transactions sont utilisées sur leurs plates-formes.

Le vendeur doit être conscient que le contenu d’un NFT ne peut pas être modifié. S’ils ont explicitement copié le travail de quelqu’un d’autre et qu’ils ont le droit d’auteur ou la propriété intellectuelle sur le travail, il n’y a aucun moyen de revenir en arrière et de modifier l’original.

Une technologie intéressante est la technologie EDFS qui vise à assurer la sécurité du stockage de fichiers au niveau de la couche noyau d’un système de fichiers. Il s’agit essentiellement d’une solution de stockage qui offre un moyen sécurisé de posséder et de partager des actifs numériques. Ils veulent résoudre les problèmes de propriété intellectuelle pour les créateurs de NFT et combiner des données en chaîne avec des fichiers numériques cryptés hors chaîne.

Une autre façon de contrecarrer la possibilité de copier des NFT est d’équilibrer la liberté du créateur avec le droit de propriété.

Unique Network a annoncé cette semaine qu’il rendait son marché NFT à la communauté, ce qui signifie que le marché sous Substrapunks et Chelobricks appartiendra principalement à ceux qui les ont déjà achetés. Ils décentralisent le marché et reversent 50 % des bénéfices à la communauté.

Cela pourrait créer un précédent et constitue également un moyen astucieux de donner le contrôle aux propriétaires des NFT.

Bien qu’actuellement, il soit assez facile de copier, de télécharger et de réutiliser les NFT, nous ne faisons qu’effleurer la surface en termes d’utilisation des NFT. Les images .JPEG ou GIF que nous trouvons avec certains des NFT les plus populaires aujourd’hui peuvent être des biens immobiliers ou des personnages dans les jeux de demain. Si des incidents comme le faux Banksy continuent de se produire, la sécurité des NFT deviendra

Les NFT sont censés être exempts de duplication avec leur identité numérique stockée sur la blockchain. Cependant, des incidents comme le canular Banksy/Pranksy cette semaine démontrent qu’il existe de nombreuses vulnérabilités dont les artistes et les collectionneurs doivent être conscients.

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Publié dans: Ethereum, TVN

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Traduction de l’article de Lisa Gibbons : Article Original

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