Toute l'actualité des NFT
Signe que les tokens non fongibles (NFT) frappent à la maison, la personnalité médiatique et femme d’affaires Martha Stewart, peut-être la plus grande influenceuse et créatrice de goûts sur la vie familiale américaine moderne et des aspirations de la classe moyenne, vient de lancer la boutique en ligne FRESH Mint qui vendra des NFT sur […]
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Avec plus de 340 000 OVRLands vendus, une communauté croissante d’utilisateurs et de nettes améliorations de scalabilité en vue, le projet de réalité augmentée OVR mène la danse des crypto-métavers.
Une nouvelle étape est aujourd’hui franchie puisque la compagnie lance une campagne d’évolutions tous azimuts, à commencer par une offre de staking revue à la hausse et la mise à jour de ses règles de gouvernance. Gare au Big Bang !
Cet article vous est proposé dans le cadre d’une campagne de communication éducative, et soutenue par OVR.
OVR est un protocole à preuve d’enjeu bâti sur la technologie blockchain Ethereum, mais aux ambitions «crosschain».
La sécurité et la décentralisation de son consensus reposent sur une constellation de nodes qui nécessitent que l’on y agrège des token OVR, en contrepartie de récompenses versées elles-mêmes en OVR.
Les nodes du modèle “proof of stake” garantissent la décentralisation et la validation du consensus
La version 1.0 de ce staking ne fournissait que des intérêts fixes, simplement calculés sur le nombre de coins déposés au départ. Le système 2.0 va désormais réintégrer quotidiennement les bénéfices au montant des OVR bloqués, augmentant ainsi les rendements de manière exponentielle. En clair, plus longtemps vous laissez travailler vos OVR, plus le rendement annuel total est élevé.
Une évolution majeure répondant aux attentes d’une communauté croissante ( accessible via Telegram ) et ayant pour but de rendre les efforts de staking encore plus rentables. Un second volet tout aussi alléchant, vient s’immiscer dans l’équation, faisant la part belle à des intérêts évolutifs. En effet, le blocage de vos OVR sur le protocole va vous donner un accès privilégié à des parcelles exclusives au sein de lots prestigieux tels que le Taj Mahal ou encore le Colisée.
Les grands monuments constituent la base rêvée d’une réalité augmentée
Ainsi, les investisseurs qui participeront aux programmes de staking se verront délivrer des crédits afin d’acquérir certains terrains extrêmement convoités.Selon le temps du blocage de leurs tokens, un indice multiplicateur sera appliqué :
Multiplicateur 6 mois : 1xMultiplicateur 9 mois : 1.5xMultiplicateur 12 mois : 2x
Ce faisant, OVR place son token au centre des enjeux stratégiques que revêtent les grands monuments et les paysages somptueux qui constituent à la fois le patrimoine de l’humanité, et la base visuelle des métavers en devenir.
Forte d’un audit de sécurité réussi haut la main, la compagnie évolue désormais de manière extrêmement dynamique. Les annonces liées à la nouvelle politique de gouvernance délivrent leurs lots de clarifications, offrant une plus grande visibilité sur le potentiel et la mise en œuvre économique des métavers.
Les NFT, le nouveau vecteur de fortune de la cryptomonnaie
On y trouve pêle-mêle, la possibilité de louer sa parcelle, les tarifs pour héberger des créations numériques sur son terrain (de l’ordre de 1$/mois pour 100MB), les règles de visualisation des contenus voisins, la distinction de l’expérience locale, nécessitant une présence physique sur site, par opposition à l’utilisation distante des contenus.
La compagnie y apporte aussi la définition des différentes couches de réalités virtuelles disponibles sur chaque parcelles :
La couche publique proposera les informations générales du site, telles que la géolocalisation et les infrastructures présentes.La couche privée contiendra les contenus développés par le propriétaire qui pourra choisir de les montrer, à quelles conditions, à quel prix, etc …La couche play-to-earn permettra la gamification “crosschain” des parcelles.
Cette dernière promet d’être au centre de toutes les convoitises puisque OVR allie un modèle économique complet, ouvert, ludique, lucratif et interopérable, ayant entraîné la croissance d’une communauté française qui n’attend que vous.
>> Rejoindre la communauté francophone OVR >>
En collaboration avec divers développeurs de jeux issus des différents réseaux, OVR promet de garantir de nombreuses expériences et opportunités crosschain, accessibles au plus grand nombre.
C’est avec la volonté d’afficher la puissance de leur produit qu’OVR organise en marge de la conférence crypto Liscon qui se tiendra du 20 au 22 octobre, une grande chasse au trésor à travers la capitale portugaise, avec 7 pass VIP à découvrir durant les 36 heures du salon.
De précieux sésames qui permettront d’accéder à la Brunchpool privée organisée par OVR et ses partenaires en clôture de ce qui s’annonce déjà comme l’évènement crypto majeur de ce dernier trimestre 2021, en présence de tous les plus grands noms du crypto-game.
>> Découvrir les opportunités d’OVR en avant première sur le Telegram francophone du projet >>
Un concept qui semble déjà victime de son succès puisque depuis l’annonce, les partenaires désirant s’y joindre font pleuvoir les prix additionnels sous forme, entre autres, de quêtes parallèles et de NFT créés pour l’occasion par certains des artistes digitaux les plus en vue. Vous saisissez le tableau ?
L’article Un staking encore plus lucratif, une gouvernance redéfinie : OVR impose sa réalité ! est apparu en premier sur Journal du Coin.
Coming soon – Les fans de Shiba Inu (SHIBU) attendent impatiemment le lancement de son NFT, le Shiboshi, qui permettra également d’incarner les futurs personnages d’un jeu. Le projet a ainsi un potentiel intéressant sur le papier. Certains observateurs demeurent cependant sceptiques quant à ces évolutions supposées de l’écosystème SHIB, et pensent même que le Shiba Inu laissera ses investisseurs aux abois.
Shiba Inu projette de lancer son NFT, Shiboshi, dont les premières éditions seront disponibles uniquement sur Shiba Swap. Aucune date de sortie officielle n’a encore été annoncée. Le chef du projet, Shytoshi Kusama, avait indiqué le 05 octobre 2021, que le lancement était prévu pour la semaine du 11 octobre 2021, « ou plus tôt ». La communauté crypto-canine s’impatiente depuis lors, mais la page d’accueil du site officiel n’affiche pour le moment qu’un « coming soon ».
La collection de Shiboshi est composée de 10 000 créatures. Ces dernières seraient générées par un algorithme, en fonction d’un ensemble d’attributs variables. Aucune information concernant ces attributs n’a actuellement été révélée.
La tarification d’un Shiboshi quant à lui, suit un système à plusieurs niveaux. Les 3 000 premiers NFTs coûtent 0,1 Ether (ETH), contre 0,2 ETH pour les 5 000 suivants. Le prix des 2 000 derniers s’élèvera à 0,3 ETH. Le LEASH, qui est l’un des principaux tokens de l’écosystème Shiba Inu, est la seule cryptomonnaie acceptée pour l’achat des Shiboshis.
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Les Shiboshis sont présentés comme plus que des NFTs. Ils seront les futurs personnages du jeu Shiboshi. Les attributs spécifiques de chaque créature lui donnant une capacité particulière :
« Le jeu Shiboshi permettra aux détenteurs d’utiliser leurs NFTs dans un jeu stratégique. Certaines propriétés Shiboshi seront assorties d’éléments de jeu correspondants. »
Ce NFT serait également une indication que l’équipe de Shiba Inu cherche à construire un projet sur le long terme.
Cependant, certains observateurs estiment que Shiba Inu constitue en réalité un parfait exemple de smash and dash, avec comme danger potentiel la ruine pure et simple des investisseurs, dès lors que la relative vacuité du projet deviendra évidente. L’investisseur Michaël Burry reproche ainsi au Shiba Inu son offre totale de tokens à 1 000 000 000 000 000 d’unités.
La mise sur le marché effective des Shiboshis calmera-elle les inquiétudes de certains investisseurs ? Shiba Inu mise sur les NFTs pour développer et valoriser son écosystème. L’engouement pour les tokens non fongibles semble être loin d’être terminé. Même les géants comme Visa plongent d’ailleurs de plus en plus dans le secteur.
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L’article Crypto de niche : Les NFT Shiboshi affolent la communauté Shiba Inu est apparu en premier sur Journal du Coin.
Polygon, déjà sujet à des bugs ? – Les solutions de seconde couche sont devenues l’alternative préférée à Ethereum (ETH) en cette année 2021, face à l’engouement rencontré par la finance décentralisée (DeFi) et les jetons non fongibles (NFT). En effet, ce vif intérêt a entraîné une hausse drastique des frais de transactions sur le réseau de Vitalik Buterin.
Polygon (anciennement Matic) est une commit chain d’Ethereum proposant un écosystème similaire, sans subir les frais de transactions élevés. Son objectif est de déporter les transactions hors du réseau principal d’Ethereum afin de réduire la charge qu’il supporte.
Depuis le mois de mai, Polygon n’a cessé d’attirer de nouveaux utilisateurs, désireux de profiter de l’écosystème DeFi grandissant sur le réseau. Le principal DEX du réseau, QuickSwap se situe désormais à la 10ème place du classement des plateformes d’échange décentralisées en termes de volume, avec plus de 90 millions de dollars échangés quotidiennement.
Malheureusement, tout n’est pas rose sur Polygon. En effet, depuis mai, dernier le réseau est témoin d’un important spam de transactions, entraînant l’utilisation du réseau à plus de 90 %. En effet, le réseau enregistre en moyenne entre 4 et 8 millions de transactions quotidiennes, contre à peine plus d’1 million pour Ethereum.
Dans un rapport publié le 15 octobre, les chercheurs de Flipside Crypto ont attribué cette immense quantité de transactions à des bots d’arbitrage. Selon les données présentées, 2 de ces bots sont à l’origine de 30 % des transactions envoyées sur Polygon.
Pour rappel, un bot d’arbitrage va profiter d’une différence de prix sur un actif donné entre 2 plateformes d’échange. Par exemple, si 1 ETH vaut 3 000 dollars sur Uniswap et 2 900 dollars sur Sushiswap, le bot va acheter de l’ETH sur Sushiswap avant de le revendre sur Uniswap et réaliser un profit de 100 dollars, sans compter les frais de transaction.
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Avec un coût moyen de 0,02 MATIC par transaction, il est très peu coûteux pour ces bots de spammer le réseau. Malgré cela, une question demeure : pourquoi spammer le réseau ?
Concernant cette question, les chercheurs de Flipside Crypto ont esquissé une théorie :
« La théorie probable est que le propriétaire veut simplement spammer le contrat pour que les autres ne puissent pas devancer la véritable transaction. En conséquence, quelqu’un a un robot qui inonde un bloc de bruit pour se protéger du front running, au lieu d’utiliser les frais de priorité pour s’assurer d’être toujours le premier dans le bloc. »
De notre côté, nous avons contacté le développeur Raphael Westphal, habitué de la blockchain Polygon et de ses rouages.
Selon lui, la justification de ce spam est toute autre :
« La blockchain Polygon utilise une version modifiée du client Ethereum geth. Cependant, celle-ci n’a pas encore déployé la mise à jour vers la version 1.10 de geth, qui introduit l’ordonnancement des transactions dans un bloc, à savoir que l’ordre des transactions dans un bloc est celui d’arrivée chez le validateur. De ce fait, les transactions ne sont actuellement pas ordonnancées sur Polygon, et la meilleure manière de gagner un arbitrage face aux autres bots est de spammer la chaîne afin d’augmenter les chances d’avoir la transaction la plus proche de l’arbitrage à réaliser. »
Selon lui, il n’est ainsi pas question de créer du bruit pour éviter le front running. L’objectif de ce spam est d’assurer qu’une des centaines de transactions envoyées pour un arbitrage donné arrive en première position chez le validateur, afin qu’elle soit incluse dans le bloc avant les autres.
D’autres développeurs ont également relevé ce détail, comme moneyoriented, qui vient tout juste de soulever le problème de manière publique via le github de Polygon :
« Actuellement, les transactions de même prix ne sont pas triées. De ce fait, les bots d’arbitrage doivent envoyer des milliers de transactions pour une seule opportunité d’arbitrage. C’est la raison principale pour laquelle il y a tant de spams dans le réseau Polygon. Ethereum avait le même problème et il a été résolu depuis go-ethereum v1.9.19. Je pense que Polygon peut également avoir cette fonctionnalité pour réduire les spams. »
Face à cette explication, il semblerait que la manière la plus efficace pour mettre fin à ce spam constant serait d’implémenter la nouvelle version de geth, afin d’ordonnancer les transactions.
Cependant, la réaction de Polygon a été toute autre, et il semblerait que l’ordonnancement ne soit pas une priorité pour les développeurs du réseau. Effectivement, ces derniers ont préféré augmenter les frais de transaction minimums d’1 à 30 gwei par gas, afin de limiter le spam en le rendant plus cher.
« Afin de réduire le nombre de transactions de spam danss le réseau, nous augmentons le prix minimum du gas à 30 gwei, contre la valeur actuelle (par défaut) de 1 gwei pour nos nœuds de fondation. »
Déclaration de Polygon
Bien que cette modification ait effectivement permis de réduire le spam sur Polygon, elle n’a pas été accueillie positivement par l’ensemble des utilisateurs. En fait, tous les utilisateurs devront désormais dépenser plus de frais de transaction à cause des bots spammeurs, alors même qu’une simple mise à jour vers Geth 1.10 aurait permis de résoudre le problème sans avoir à impacter les frais.
Malgré cela, le réseau Polygon a encore de beaux jours devant lui. En effet, le coût des transactions sur Ethereum reste extrêmement élevé en comparaison de celles qui s’exécutent sur Polygon.
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L’article Aie Robot – Le réseau Polygon (MATIC) désarmé face à une armée de bots est apparu en premier sur Journal du Coin.
L’association des NFT aux jeux Play-to-Earn est devenue l’un des moyens les plus efficaces de lancer un métaverse dans l’industrie du Gaming. Plusieurs projets cryptographiques s’en sont donc remis à cette pratique pour lancer leurs tokens natifs autour d’une communauté forte. C’est le cas de Chimeras qui vient de boucler avec succès un tour de […]
L’article Chimeras décroche plus de 2 millions de dollars pour financer son métaverse Play-to-Earn est apparu en premier sur Cointribune.
Des centaines de NFT brûlés – Les jetons non fongibles (NFT) génèrent toujours autant d’enthousiasme dans la cryptosphère, et même bien au-delà. Il n’y a qu’à voir encore récemment le succès fou des pré-inscriptions sur la future plateforme de Coinbase spécialisée dans les NFT. Cette fois, c’est ShapeShift qui fait le buzz dans le monde des NFT, en voulant provoquer la raréfaction extrême d’un de ses tokens uniques.
Entre les objets d’art numériques et les cartes à collectionner, les NFT provoquent parfois une euphorie proche de l’hystérie. Les prix de certains NFT peuvent ainsi exploser vers des sommes astronomiques.
Le service d’échange de cryptomonnaies ShapeShift a annoncé, dans une publication, qu’il allait contribuer à sa façon à cette douce folie des NFT. Sa nouvelle organisation autonome décentralisée (DAO) compte en effet raréfier une carte à collectionner existant sous forme de token numérique.
Il s’agit plus exactement de la carte « ShapeShift, the Wanderer » (SHAPESHIFTCD), issue du jeu « Spells of Genesis », et mintée (créée) en 2015 sur la blockchain Counterparty (XCP). Étant déjà un des plus anciens NFT existants – les CryptoKitties et les CryptoPunks datant de 2017 seulement -, ces tokens n’avaient été émis qu’à 1 000 exemplaires, mais cela semblait manifestement encore trop pour ShapeShift :
« La société ShapeShift prévoit de burn (détruire) 649 SHAPESHIFTCD en sa possession (…), d’en conserver 16 pour les vendre au nom de la société d’ici la fin de l’année et de donner les 16 exemplaires restants à la trésorerie de la DAO de ShapeShift. »
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En brûlant ainsi 649 des 681 cartes à collectionner numériques en sa possession, le but de ShapeShift est clair et expliqué dans son annonce :
« [Ces cartes] pourraient finir par faire partie des NFT les plus rares et les plus historiques qui soient. (…) Ces cartes pourraient ainsi s’avérer être un actif précieux et important de la trésorerie de la DAO de ShapeShift. »
L’idée qui est soumise au vote des détenteurs de FOX (le token natif du projet ShapeShift) est de débloquer progressivement les cartes qui seront possédées par la DAO, pour en faire bénéficier sa trésorerie sur le long terme.
Sur les 16 cartes reçues par l’organisation décentralisée, 5 seraient disponibles immédiatement à la vente, 5 ne seraient mis en vente que dans 1 an, et 6 ne seraient vendables que dans 2 ans.
Si les détenteurs de FOX refusent ce deal, aucun SHAPESHIFTCD ne sera distribué à la DAO de ShapeShift.
Aucune zone du monde n’échappe à la folie des NFT. Même la très crypto-hostile Chine n’est pas épargnée. En effet, pour fêter ses 31 ans d’implantation sur le sol chinois, le géant McDonald’s y a émis un NFT en forme de hamburger pour ses clients locaux.
Qui pourrait vous en vouloir de lever un sourcil interrogatif face aux dernières délires de l’écosystème NFT ? Si par précaution vous préférez plutôt vous intéresser aux valeurs sûres de l’industrie, de Bitcoin à Ethereum, n’hésitez pas à vous inscrire sur l’exchange crypto de référence FTX. Une réduction à vie sur vos frais de trading vous y attend grâce au lien affilié du JDC.
L’article Comment ShapeShift va créer le NFT le plus rare du monde est apparu en premier sur Journal du Coin.
Difficile de s’y retrouver avec tous ces tokens qui naissent sans arrêts. C’est la raison pour laquelle vous consultez le média de référence Cryptonaute ! Aujourd’hui nous allons vous parler de Pampther, un coin audacieux qui prétend faire découvrir massivement la finance décentralisée, les NFT et les mèmes coin. Tout ca avec une dimension caritative non négligeable. Alors, vous voulez savoir de quoi ça parle ? c’est quoi le Pampther ? Le Pampther est un coin unique qui met en commun deux des niches les plus prolifiques et les plus rentables de l’univers crypto en 2021. A savoir les NFT […]
L’article Pampther, le projet qui va réunir NFT et DeFi dans un jeu sur mobile est apparu en premier sur Cryptonaute.
En France, la toute première vente aux enchères de token non fongible (NFT) s’est déroulée hier. Le journal 20 Minutes y a proposé une de ses éditions spéciales.
L’article Première vente aux enchères de NFT en France : une édition spéciale de 20 Minutes est apparu en premier sur Cryptoast.
Au Journal du coin, on prône des valeurs simples : on aime à vous faire partager l’actualité crypto la plus fraîche, vous proposez les dossiers les plus pointus, qu’il s’agisse d’analyse techniques sur vos shitc… altcoins favorites, des papiers de fonds sur le monde passionnant des NFT ou des papiers d’angles sur la fiscalité crypto. Mais soyons honnêtes un instant les uns avec les autres : tous, autant que nous somme, ne sommes pas nécessairement là QUE pour la tech, et parfois, un peu de cryptomonnaie sonnante et trébuchante pour améliorer l’ordinaire peut être la bienvenue. Alors que Bitcoin joue avec nos nerfs et son ATH, le Journal du Coin a de son côté atteint un pallier important en dépassant les 100 000 followers sur Twitter ! Ça nous fait plaisir, alors on a décidé de vous faire plaisir aussi, en vous régalant d’un jeu doté de 1000 euros en bitcoins, de quoi vous échauffer en douceur pour les mois qui viennent !
C’est un concours exceptionnel que le JDC vous propose donc, en collaboration avec nos estimés confères du Trading du Coin que vous avez le plaisir de retrouver chaque semaine dans nos colonnes pour le point hebdo de Hakim.
Pour un simple like et un modeste re-tweet, tout un chacun se voit ainsi offrir la chance de prendre part à un concours doté de 1000 euros en bitcoins.
Pour fêter nos 100 000 followers, ça vous dirait de gagner 1000€ de #Bitcoin ? RT + like ce tweet + Follow @LeJournalDuCoin & @TradingduCoin pour participer ! 1000 euros en BTC pour 1 grand gagnant, TAS et annonce du gagnant pendant le live de @Cryptosamee dimanche pic.twitter.com/tCwX60MaBW
— Journal du Coin (@LeJournalDuCoin) October 19, 2021
La compétition est ouverte toute la semaine et le grand gagnant de cette opération exceptionnelle sera tiré au sort en direct dimanche soir, à l’occasion du live de Sami. Bonne chance à tous, et que le crypto-sort vous soit favorable !
L’article Prêt pour le bull run de Bitcoin ? 1000€ en BTC offerts par le JDC et Trading du Coin est apparu en premier sur Journal du Coin.
Jusqu’à présent, les jeux NFT et blockchain proposé sur le marché peinent à se marier avec l’écosystème entièrement décentralisé et avant-gardiste qu’est la blockchain. Aucun n’arrivait à proposer l’expérience complète en chaine tant attendue par le grand nombre. C’est la raison pour laquelle les initiateurs du Blockchain Monster Hunt (BCMH) ont mis sur pied un […]
L’article Blockchain Monster Hunt (BCMH), place à la révolution Play-to-Earn ! est apparu en premier sur Cointribune.