Mois : octobre 2021

Bien que le changement soit garanti, l’ampleur et la portée de ce changement ne le sont pas. Pour l’industrie financière, blockchain – la technologie qui sous-tend Bitcoin (BTC), Éther (ETH), jetons non fongibles (NFT) et d’autres actifs numériques – nous a amenés à la croisée des chemins.

À quoi ressemblera l’avenir de l’argent ?

Nous opérons en première ligne de la cryptographie depuis 10 ans, protégeant les grands et les petits investisseurs tout en leur permettant d’investir dans cette nouvelle frontière passionnante de la finance. L’expérience que nous avons acquise ici nous aide à voir ce qui nous attend.

Dans cette période historique, une myriade de résultats est possible, mais une chose est sûre : l’efficacité et l’innovation de la technologie influenceront bien au-delà des secteurs financiers traditionnels.

L’industrie mature des actifs numériques arrive

La blockchain offre une structure plus rapide, plus efficace et plus sécurisée pour les transactions financières par rapport aux contrats, transactions et enregistrements qui définissent actuellement nos systèmes économiques, juridiques et politiques. revue de Harvard business mettre c’est succinctement avec cette comparaison : « [The old financial structures] sont comme des embouteillages aux heures de pointe piégeant une voiture de course de Formule 1. Dans un monde numérique, la façon dont nous réglementons et maintenons le contrôle administratif doit changer. »

De génération en génération, les technologies ont mis à jour la façon dont nous effectuons les transactions financières. La carte de crédit moderne existe depuis la fin des années 1950, la première vente appropriée sur Internet a été réalisée en 1994, PayPal a été fondé en 1998 et est devenu public et a été vendu à eBay en 2002, et Satoshi Nakamoto a lancé la révolution de la blockchain en 2008. Aujourd’hui, les poids lourds de la finance ne sont plus sur la touche. Et 55 des 100 plus grandes banques du monde avoir une certaine forme d’exposition à cette nouvelle technologie.

Les premières réglementations internationales ont été promulguées au Japon en 2016 après des piratages contre des échanges cryptographiques, dont un vol de 850 000 BTC contre Mt. Gox. Étant donné que le succès de tout marché financier repose sur la prévisibilité, la sécurité et l’efficacité générale du marché, les régulateurs continuent d’envisager l’orientation et la viabilité de leur implication dans les crypto-monnaies.

En rapport: La réglementation s’adaptera-t-elle à la crypto ou la crypto à la réglementation ? Réponse des experts

Les régulateurs et les entreprises veulent s’assurer que les investisseurs bénéficient de certaines protections sur n’importe quel marché – numérique ou autre – pour susciter la participation. Pensez à la Federal Deposit Insurance Corporation (FDIC) pour les banques américaines ou à la garantie de remboursement d’eBay. Sans réglementation, les acteurs du marché peuvent être exposés à des risques à long et à court terme.

Les régulateurs s’assurent également que les marchés jouent avec un ensemble égal de règles. En tant que commissaire de la Commodity Futures Trading Commission (CFTC) Dan Berkovitz a déclaré en juin:

« Il est intenable de permettre à un marché de produits dérivés non réglementé et sans licence de rivaliser, côte à côte, avec un marché de produits dérivés entièrement réglementé et autorisé. »

Et, surtout, ce ne sont pas seulement les régulateurs et les gouvernements qui décideront de l’avenir – il s’agit de nous, des investisseurs, des dirigeants et du consommateur en général – de décider comment nous voulons utiliser les actifs numériques à l’avenir.

Un langage en évolution pour des actifs numériques utiles

À mesure que le marché mûrira, l’industrie de la crypto-monnaie subira également une évolution du langage. La réglementation et l’adoption généralisée changeront la façon dont les médias et le public perçoivent et parlent des actifs numériques.

La crypto conservera son caractère unique à mesure qu’elle mûrira – ne vous attendez pas à ce que les discussions HODL, FUD et «à la lune» disparaissent – ​​mais il est essentiel qu’une cohorte plus large d’investisseurs de blockchain se sente à l’aise dans l’espace.

Cela peut sembler une petite chose, mais l’attention portée à la fusion des langages de la crypto et de la finance institutionnelle nous a permis au cours des 10 dernières années de travailler avec une gamme d’institutions allant des néobanques, des fintechs et des courtiers aux banques, aux hedge funds et aux family offices.

L’évolution du langage se produit en tandem avec de plus grands investisseurs voyant la valeur à long terme de la blockchain prouvée au fil du temps alors qu’ils commencent à diversifier les principaux avoirs pour inclure la crypto, augmentant ainsi l’association entre ces nouveaux actifs et les actifs hérités qui ont détenu une valeur historique – comme or, obligations ou fiat adossé à une banque centrale.

En affaires, vous êtes jugé par l’entreprise que vous conservez, nous n’obtiendrons donc pas cette « étreinte chaleureuse » sans adopter plus largement le langage des services financiers et des régulateurs.

Néanmoins, il n’est pas déraisonnable d’imaginer valoriser la crypto comme une marchandise plutôt que comme une monnaie numérique — Président de la Réserve fédérale américaine Jerome Powell a déclaré au Congrès en 2019 que Bitcoin était une « réserve de valeur spéculative » comme l’or. Mais Bitcoin n’est pas toute l’histoire, juste le plus dont on parle. L’industrie doit cesser de se concentrer sur un cas d’utilisation particulier de la technologie et commencer à parler davantage d’argent, d’investissements, de gestion financière et de paiements intelligents.

En rapport: La technologie Blockchain peut changer le monde, et pas seulement via la crypto

L’industrie est plus grande que n’importe quel jeton

Nous avons découvert au cours des 10 dernières années que les clients sont de plus en plus attirés par les actifs utiles et capables de résoudre des problèmes complexes.

Différentes monnaies numériques ont des cas d’utilisation différents. Par exemple:

Attache (USDT) fonctionnerait bien pour payer les salaires car il est lié – attaché – aux dollars américains, évitant ainsi la volatilité du Bitcoin.
Le jeton d’attention de base (BAT) de Brave trace la voie pour l’avenir du contenu en ligne en émettant des paiements, en BAT, aux utilisateurs de son navigateur pour la visualisation des publicités. Ces utilisateurs peuvent ensuite donner un pourboire à n’importe qui sur Internet en utilisant le BAT dans leur portefeuille numérique.
Et le jeton de gouvernance Audius (AUDIO) plaide de manière convaincante pour que la crypto joue un rôle plus important dans l’avenir de l’industrie de la musique, offrant sécurité, accès exclusif aux fonctionnalités et gouvernance communautaire aux artistes et aux fans.

La blockchain consiste à résoudre des problèmes, pas à conquérir le monde, à remplacer le fiat ou les banques, une idée fausse répandue parmi le grand public. Bien que BTC soit peut-être l’actif numérique le plus reconnaissable, car il est reconnu et arrivé en premier, ce n’est qu’une classe d’actifs parmi tant d’autres.

Alors à quoi ressemble l’avenir ?

Le Congrès a ouvert les portes aux régulateurs plus tôt cette année lorsque le Le Sénat a adopté un projet de loi sur les infrastructures qui contenait un amendement apportant un nouvel examen minutieux à l’industrie de la cryptographie.

Les investisseurs, les échanges d’actifs numériques, les technologues intelligents, les représentants du gouvernement, les régulateurs et tous les autres bénéficieront d’un marché plus mature qui protège ses consommateurs et valorise la transparence, la prévisibilité et une communication honnête. De même, la majorité bénéficie d’une clarté sur les actifs numériques qui détiennent une valeur réelle et ceux qui existent en tant qu’outils de manipulation pour enrichir les riches.

Nous sommes là depuis le début et nous avons vu le flux et le reflux des tendances. Mais nous avons également vu que ce qui survit en fin de compte, ce sont toujours des idées brillantes qui résolvent les problèmes émergents de notre temps.

Oui, le changement est là. L’industrie mature des actifs numériques a commencé à émerger au cours des dernières années, apportant avec elle une synergie de langage qui est devenue plus sophistiquée et a invité un public plus large à notre table. Les atouts et les connaissances que ce nouveau public apporte, à leur tour, apporteront une grande confiance dans tous les secteurs. Cette confiance conduira à l’adoption de la technologie blockchain pour résoudre des problèmes dont personne n’aurait jamais rêvé pouvoir être résolus avec la blockchain.

Cet article ne contient pas de conseils ou de recommandations d’investissement. Chaque mouvement d’investissement et de négociation comporte des risques, et les lecteurs doivent effectuer leurs propres recherches avant de prendre une décision.

Les points de vue, pensées et opinions exprimés ici n’engagent que l’auteur et ne reflètent ou ne représentent pas nécessairement les points de vue et opinions de Cointelegraph.

MekaVerse

Mekaverse est une collection de 8 888 Mekas génératifs avec des centaines d’éléments. Chaque œuvre d’art est originale, avec sa propre palette de couleurs et ses propres attributs. L’objectif de la collection est de rendre chaque Meka unique, privilégiant ainsi la qualité à la quantité.

Les auteurs affirment que les mekas ont un potentiel énorme. Les développeurs sont passionnés par l’impression 3D et veulent réaliser le concept en utilisant des matériaux de haute qualité. Après plusieurs entretiens avec des fabricants connus de jouets d’art, l’équipe travaille actuellement sur un autre projet, qui n’a pas encore été divulgué ! Lorsque toutes ces phases de mise en œuvre seront achevées, les créateurs se chargeront de préserver l’Univers de Meca. 

Les créateurs, Matty et Matt B sont deux amis qui se concentrent actuellement sur la direction 3D et artistique. Tous deux viennent du secteur du design et sont véritablement passionnés par l’art, les courts métrages, les recherches physiques et numériques. Ils travaillent dur pour créer leur propre style. Les créateurs ont également collaboré avec Apple, Microsoft, MTV, Adobe, Adidas, Nike et d’autres entreprises ! 

Combien? Le prix pour 1 Meka sera connu le jour de mise sur le marché. 

Quand? Les ventes commenceront le 6 octobre à 23 heures CET. 

Où? MekaVerse Discord compte déjà plus de 60 000 membres ! Si vous voulez rejoindre #MEKAGANG, abonnez-vous aux gars sur Twitter et Discord.

Cacti Club

Cacti Club est une collection éclectique de 9999 objets générés aléatoirement, qui est orientée aux cactus 3D. Les tokens sont déjà apparus sur la blockchain BSC et en les achetant, vous pouvez devenir le héros d’un jeu fantastique. L’intrigue du jeu numérique est calquée sur celle du jeu populaire Worms de 1995. Dans une tentative folle de sauver l’essence de l’humanité, un savant fou manqué implante des âmes humaines dans 9999 cactus, puis les envoie en voyage à travers la galaxie pour coloniser une planète désertique peu connue au nom de toute l’espèce en voie d’extinction. Le Cacti Club équipé uniquement d’épines, d’une rétention impressionnante d’eau et d’une vague compréhension de la blockchain, est le dernier espoir de l’humanité.

Chaque cactus est unique, doté d’une capacité spéciale, dessiné originellement à la main par le créateur sous le pseudonyme “animateur”. Les propriétaires des cactus se connectent, rivalisent à d’autres joueurs et font batailler par leurs NFT en temps réel pour obtenir des tokens à une demande élevée.

Lorsque vous achetez des NFT, des cactus uniques créés à l’aide de la blockchain seront fait du minting et envoyés dans votre portefeuille. Au nom de l’équité, les cactus n’ont pas de niveaux de prix. Lorsqu’un cactus est acheté, le propriétaire reçoit non seulement un avatar exquis et une œuvre d’art rare, mais il a également accès à l’adhésion au club, dont les avantages et les offres augmentent avec le temps. Ces cactus vivent dans le monde réel depuis plus de 200 ans et sont conservés à jamais sur la blockchain.

Auteurs : Notre équipe principale se compose de six membres clés, tous actifs dans le domaine des cryptomonnaies et des NFT depuis plusieurs années.

Combien? Les cactus n’ont pas de niveaux de prix et tous sont initialement tarifés à un taux fixe de 0,4 BNB.  

Quand? Le début des ventes est prévu pour le 6 octobre, à 17h00.

Où? Les cactus seront disponibles à l’achat sur notre site web lorsque le minting commencera en direct.

Capsule House

Capsule House est une collection de 10 000 gachapons NFT uniques d’une version numérique de jouets à collectionner populaires au Japon. Chaque capsule NFT avec plus de 100 espèces, 60 variantes et des combinaisons infinies de caractéristiques, contient une pièce d’art de gachapon vraiment rare et unique. La rétention d’une capsule vous donne droit aux futurs événements de l’équipe ainsi qu’à l’admission à des extensions de capsules uniques.

Combien? Le prix d’une capsule est de 0,08 ETH.

Quand? La date de sortie est fixée au 1er octobre à 15h00 EST. 

Où? La Capsule House peut être achetée sur la plateforme OpenSea. 

Baller Ape Club

Le Baller Ape Club est une collection d’objets numériques uniques sur la blockchain Solana. Chaque singe est unique en son genre. L’achat d’un singe ballerine vous permet non seulement de posséder une œuvre d’art rare, mais vous donne également un accès VIP au club, où les avantages, les offres et les récompenses augmenteront au fil du temps.

L’artiste et l’équipe de Baller Apes ont travaillé pour développer et comprendre les caractéristiques et les attributs uniques du Baller Ape Club, offrant ainsi le meilleur salon VIP à tous ses membres !

Combien? Le prix d’un singe est en moyenne de 2 SOL.

Quand? Le début des ventes est prévu pour le 1er octobre, à 21h30.

Où? La vente commencera sur le site officiel. 

Vous voulez faire connaître votre NFT au monde entier ? Vous avez une opportunité unique de le faire avec Cointribune ! Envoyez-nous par mail des informations sur vos tokens non fongibles et si nos spécialistes voient le potentiel de votre travail, nous en parlerons au monde entier, en quatre langues à la fois !

Le co-fondateur de Dogecoin (DOGE), Billy Markus, s’est adressé à la communauté DOGE, l’incitant à travailler à la fois sur un pont DOGE-ETH et sur des plates-formes NFT pour les achats DOGE et ETH. Comme il l’a dit, cela pourrait aider DOGE à augmenter son utilité et ses cas d’utilisation. Cela survient à un moment où DOGE est tombé à la 10e position sur le marché des crypto-monnaies.

Le cofondateur de Dogecoin réclame un pont DOGE-ETH

L’un des principaux problèmes de la communauté des crypto-monnaies est lié au manque d’interopérabilité entre les réseaux blockchain. C’est quelque chose qui affecte non seulement Bitcoin (BTC) mais aussi d’autres actifs numériques tels que Dogecoin ou Ethereum. C’est pourquoi Billy Markus a écrit un tweeter dans lequel il suggère deux choses qui pourraient aider Dogecoin à long terme : la réalisation d’un pont DOGE-ETH et des plateformes NFT sur DOGE.

La première chose à dire à propos du pont proposé est qu’il existe d’autres réseaux blockchain qui fonctionnent déjà avec des ponts pour augmenter l’interopérabilité. L’un de ces réseaux blockchain est RSK, qui offre la sécurité de Bitcoin mais est connecté à l’écosystème Ethereum grâce à un pont.

La même chose pourrait maintenant être faite avec DOGE et ETH. Ce serait certainement une chose positive pour les deux réseaux car il pourrait y avoir des projets passant d’une blockchain à l’autre. De plus, cela pourrait également être un bon moyen de permettre aux utilisateurs de DOGE de profiter de l’écosystème ETH sans avoir à se soucier de l’interopérabilité.

En parlant de NFT, l’industrie s’est considérablement développée ces dernières années, mais plus particulièrement en 2021. Les marchés NFT sont devenus très populaires avec Opensea offrant une large gamme de solutions aux artistes, aux créateurs de contenu et plus encore. Les collectionneurs et les détenteurs de NFT peuvent désormais accéder à un large éventail de NFT grâce à ces nouvelles places de marché fonctionnant principalement sur le réseau Ethereum.

Mais serait-il possible de commencer à créer de nouvelles solutions au-dessus de Dogecoin et de créer une connexion à la plate-forme Ethereum ? Cela pourrait être possible et cela pourrait non seulement aider Dogecoin à rester dans le top 10 des monnaies virtuelles, mais cela pourrait également être un excellent moyen d’inciter la communauté et de créer de nouveaux projets et solutions à l’aide de DOGE.

Au moment de la rédaction de cet article, DOGE est la 10ème plus grande monnaie virtuelle du marché avec une valorisation de 29 milliards de dollars. De plus, il a un prix par pièce de 0,22 $. N’oublions pas que pendant le marché haussier, DOGE a bondi à plus de 0,60 $ par pièce.

The blockchain is a cryptography-focused architecture based on the internet protocol, powered by networked computer servers that do not need to be set up by developers. The Bitcoin Core developers sign all of their releases using the “Pretty Good Privacy” (PGP) encryption program that provides cryptographic privacy and authentication for data communication. The trust service layer, in combination with Peer to Peer (P2P) network, handles microtransactions and large-value transactions as well – allowing two users to do the same things that a bank would need to do on their behalf.

The blockchain is a cryptography-focused architecture based on the internet protocol, powered by networked computer servers that do not need to be set up by developers.

That is, however, just one of its many attractive features. In addition, blockchain is a software approach designed to bind this hardware together and dedicate it to the consensus, a universal validity check system that, among others, uses the Proof of Work (PoW) and Proof of Stake (PoS) methods for validation, and is the primary layer of any decentralized verification architecture.

The Bitcoin Core developers sign all of their releases using the “Pretty Good Privacy” (PGP) encryption program that provides cryptographic privacy and authentication for data communication. PGP is used for signing, encrypting, and decrypting texts, e-mails, files, directories, and whole disk partitions and to increase the security of e-mail communications. End-users can download the software and signatures and verify the releases using PGP software running on their own machines. In this particular verification, blockchain is not necessary.

See also:

In many respects, blockchain can be considered a meta-technology, since it utilizes, enhances, challenges, and potentially supersedes other pre-existing software technologies. As such, it allows us to create versatile technological solutions that aim to minimize the agency of third-party providers and, in a way, return power back to the users. This can be achieved by the blockchain providing an environment where users can interact freely in a trustless ecosystem for very low to almost zero fees, at speeds that make everybody in the world reachable in a matter of minutes. To make this possible, the blockchain is used as a transaction platform and distributed accounting ledger that uses cryptocurrency tokens (digital money) as a representation of a specific value at the current time (much like traditional fiat currencies). Nevertheless, for trustless technology to work on a global scale, it needs to implement trust in a different manner. This is where ISO standards come into the picture, as they ensure that the blockchain interactions follow globally applicable rules, norms, and procedures. This is also why starting in 2016, the blockchain technology obtained its own set of ISO standards, called ISO/TC307.

From the perspective of a technician, the blockchain is:

A transactional platform and distributed accounting ledger using cryptocurrency tokens as a representation of a specific value at the current time (same as fiat). That means that a transaction is carried out by the blockchain nodes, and every member of this blockchain party has a copy of this transaction on their computer (node). Everybody verifies if the entities that are about to do a transaction have enough funds to make this transaction happen. You are basically announcing to all members of this system that you are about to make something happen and, even though this action is happening between two peers, the rest of the network verifies and records the transaction. It is a computing infrastructure that uses the power of the decentralized database with linear cell-space structure, published in a semi-public way (also known as “the block”). It’s an open-source software operating on a development platform of the future. The trust service layer, in combination with Peer to Peer (P2P) network, handles microtransactions and large-value transactions as well – allowing two users to do the same things that a bank would need to do on their behalf. That’s right, instead of a middleman or third party (such as a bank, PayPal service…), you and only you are the master of your transaction registers and the way you do it. This is all possible because of the fact that more and more people realize that there’s a way to do things differently. Because the blockchain transaction is borderless, you don’t need to think where your friends are when you are about to send them some money – and with very low fees, to boot!

“Fees are not necessarily low on blockchains. There are times when on-chain transactions are quite expensive! And of course, “low” is a relative term as well, what may be low for some is expensive to others and vice versa.” – John Light

It provides:

The use for cryptocurrencies, the blockchain’s most famous derivative.Bitcoin, the most crucial contribution to blockchain technology of all time.

From the Evangelist Perspective, the Blockchain Provides:

A suitable environment for running decentralized financial service marketplaces. A layer that creates a borderless opportunity for anybody to join a technological and financial revolution.

To finish on a poetic note, blockchain sounds like a song of the future and can be described as an innovative digital splendor with a strong narrative, with the ability to influence the global direction of finance, data integrity, and the way people control their credentials.

What is needed to run a blockchain? Internet, Electricity, Software, Algorithms, and Hardware (miners)

Blockchain as a Helping Hand

Some economies are still catching up, but accepting innovative technologies that are easy to adapt and can supply those regions with proper financial substitutions, which can foster real and fast progress.

In some regions, people are trying to improve their situation and develop their businesses while struggling with a lack of government support and FinTech adoption. Overcoming those problems is one of the main hallmarks of blockchain technology and cryptocurrencies, as people can use them to bypass obstacles posed by the overbearing authorities to achieve their goals, such as having a money account or credit score.

Indonesia: Small-medium Indonesian enterprises lack access to fundamental financial technologies like personal banking or cloud-stored accounting. This, in turn, makes it difficult for such companies to provide a formally valid and reliable record of business and trade credibility. All those facts make financial institutions reluctant to provide a loan when governments are not able to offer economic support. To exacerbate the problem, small businesses are struggling to join existing marketplaces dominated by large established companies that already control the market through great amounts of business know-how and customer loyalty.

The majority of Indonesian internet traffic is mobile, and only about a third of the population has an actual bank account.

A Possible Blockchain Solution:

The thing we can relate to is Indonesia’s excitement over mobile internet/app usage. This is especially handy since, in many parts of the world, people don’t have access to a standard PC with a fixed or wireless internet connection. This is an obstacle for them when it comes to making records, accessing financial institution services, and communicating with partners.

Instead of a PC with an internet connection, they could instead use smartphones and their mobile data from mobile network providers, since there is excellent coverage in places like Indonesia. Mobiles could solve the problem of the lack of traditional fixed infrastructure, and a blockchain-based application could embrace and encompass all possible applications under one roof. A publicly accessible profile, representing a form of identity management between the users and institutions originating from this fusion could be used to verify a user’s creditworthiness and define their business profile (identity).

In some countries, this potential for financial self-sufficiency of individuals is looked down upon by the government, and cryptocurrencies are thus considered illegal. However, there are also countries, such as Estonia, where the government accepted and endorsed the use of blockchain and cryptocurrencies as a medium in green energy procurement and trading platforms. Inevitably, their economies have benefited as a result. After all, this technology has not been invented to make people rich, but to make what we do more fluent, secure, and in some parts of the world, actually possible.

Estonia: Tokenized energy from natural resources (WePower)

Blockchains allow people to be their own banks in systems where they cannot have a bank account, it makes it impossible to provide fraudulent proof of authenticity of goods, and it prevents the issue of double-spending in digital transactions. The proprietary technology this solution could utilize are, for example, NFC compatible chips, which could be discretely incorporated with any physically manufactured product. Upon integration of the chip, the product is paired with the digital counterpart on the blockchain. Verification of authenticity is instantaneous with a simple tap or scan with any smart device. This way, any goods would have a record about their purchase on the blockchain and protect the ownership, which could be updated with every secondary market action that could happen to the goods and transfer that ownership to a new owner. This bears striking similarity with the use of NFT tokens and art. This method would protect the “non-fake” background of the chipped goods, the same way as proving the buyers’ ownership.

Still, there are many other aces this technology can pull out of its sleeves.

Everywhere it is needed: Decentralized Finance (DeFi) as the alternative to standard centralized financial products backed by banks. In this system, you can be the loaner and the borrower, without adhering to the wishes of central banks. At the same time, the users are in full control of their assets and are responsible for managing and safekeeping their own private keys.

For some, blockchain is still nothing more than an idea, which accidentally made some people rich. On the other hand, if we free ourselves from this bubble perspective, we will realize that blockchain is helping millions of users around the world to access previously unattainable possibilities, forbidden by their countries.

Additional example

Afghanistan: The cooperation of three companies resulted in a system for a land registry secured by blockchain technology.

Why Does the World Need Blockchains?

Consider the following:

Roads need traffic lights. Modern states would fail without the rule of law. Every important technological field, such as economy, health care, and medicine, needs ISO standards.

These standards declare the correct limits, values, procedures, and quality evaluation methods. The same way a technology world needs ISO to keep things auditable and safe, a homegrown economy based on scarcity and a decentralized, permissionless, borderless financial-economic system needs blockchains.

“Trusted standards mean that industry doesn’t need to reinvent the wheel, that innovations will be compatible and work with existing technology, and that products and services will be trusted, too. Governments use standards as trusted solutions to complement regulation, and they give peace of mind to consumers who know they are not putting themselves or their families at risk.” – Acting ISO Secretary-General Kevin McKinley

To extend the above wheel analogy further, the use of the wheel as an instrument was initially very limited, but eventually permeated through every aspect of the industrial revolution and the world it created. In many ways, the internet is the new wheel, and the blockchain, its pneumatic tire – an enhancement to make the wheel even more useful and ubiquitous. Nevertheless, there is still some uncertainty about how innovative an aspect this technology can prove for the IT infrastructure of the future. A lot will depend on what can be built on or around blockchain technology. Implementing blockchain-based solutions to systems that deliver ISO standards globally is a great step towards adopting blockchain technology thoroughly. Some may still not believe that the blockchain could ever escape the pitfalls of being “just another technological buzzword.” However, since this technology is starting to permeate areas like the ISO, banking, and identity protection, many have already begun to pay closer attention. Still, the most important phenomenon born from the blockchain to date has been Decentralized Finance (DeFi) and the freedom of finance for self-sovereign identities it brings. Thanks to DeFi, even the erstwhile blockchain skeptics are now wondering “What is this blockchain I keep hearing about??!” and “How do I buy it?!”

The Massive Adoption of Blockchain Technology During the DeFi Season of 2020-2021

Decentralized finance, or DeFi, is a cryptocurrency use case that has recently been attracting significant attention. DeFi refers to financial services using smart contracts, which are executed by miners with a transaction when certain conditions are met. Smart contracts are automated agreements that do not need intermediaries, such as banks or lawyers, and instead, use online blockchain timestamping as proof of authority. With cryptocurrencies, there are no restrictions related to wealth, social status, religion, etc. Almost everyone can permissionlessly and pseudonymously access and use DeFi applications. This is an advantage for those who cannot access traditional financial services because of the lack of formal documentation or the absence of such services in their country. Also, the current conditions and captivating rate of Annual Percentage Yield (APY) attract various investors to DeFi ecosystems every day.

Between September 2017 and September 2020, the total value locked up in DeFi contracts has grown significantly, from $2.1 million to $6.9 billion (£1.6 million to £5.3 billion). Since the beginning of August 2020 alone, its rise has grown even faster, and as of April 2021, it stands above $45 billion (£32 billion).

DeFi from the Regulatory Perspective

An important question from a regulatory standpoint is, “Are cryptosystems money transmitters or money service businesses?” This is because money transmitters are regulated in a different fashion than other finance systems.

Money Transmitters – FINCEN’s definition

“Any person, whether or not licensed or required to be licensed, who engages as a business in accepting currency, or funds denominated in currency, and transmits the currency or funds, or the value of the currency or funds, by any means through a financial agency or institution, a Federal Reserve Bank or other facility of one or more Federal Reserve Banks, the Board of Governors of the Federal Reserve System, or both, or an electronic funds transfer network; orAny other person engaged as a business in the transfer of funds.”

An entity that receives money from one person and transmits that money to another person or location. This entity needs to be registered with FINCEN and is required to have an anti-money laundering compliance program, including the “Know Your Customer” procedure, KYC.

See a video of Yago’s thoughts on ‘The dangers of KYC’ here.DeFi – A money-service business that is not a money transmitter

Non-custodial DeFi systems – like Sovryn – do not take possession of your funds. They are not controlled by a single entity and do not hold transactional control over users’ funds. Using smart contracts to distance DeFi platforms from the ownership of the funds being used causes a regulatory grey area in most jurisdictions. Therefore, the system is not currently classed as a regulated financial institution, but its users can be regulated in other ways, such as being taxed on profits, or having limits on fiat on/off-ramps.

Why are Blockchains a Good Solution?

Traditionally, electronic security focuses on authorization, authentication, and access control. These mechanics are intended to keep unauthorized users from accessing or modifying data. However, when it comes to authorized access, either on the application or system level, it does not provide any protection. Blockchains enable tamper resistance for data through distribution over many systems that are run and managed by independent parties. This is ensured by the architecture of the blockchain, where every piece of data has thousands of globally distributed copies. A potential attacker intent on breaching the certificate would have to compromise the majority of the data distribution at the same time, which is extremely hard, expensive, and with a well-designed blockchain almost impossible.

To reiterate, a blockchain is a versatile solution for a variety of real-world use cases, and it is up to innovative minds how soon and how extensively this “pneumatic tire” of the internet will be used for the betterment of many walks of modern life.

Data Integrity

Blockchains can be the solution to improve data integrity to the highest possible standard. By design, blockchains are inherently resistant to the modification of data. Blockchain ledgers are designed to be immutable, meaning that if data addition or transaction has been made, it cannot be edited or deleted without great difficulty (e.g., the cost to re-organize the bitcoin blockchain). This means that what is put on the blockchain stays on the blockchain as long as the data owner needs to update them. Then, this updated information is distributed between thousands of computers that created a blockchain network.

Blockchain blocks are: structures for data keeping the timestamping mechanism for these data structures.

Blockchains provide: proof of the history of any data recorded on a blockchain data integrity that can be used for audits, regulatory compliance requirements, or legal challenges decentralized data distribution with a transparent transaction history.

Trusted Time stamping

In the context of blockchain, you can specifically encounter a term called Trusted Timestamping. This is a process of securely keeping track of the creation and modification time of a document, and it is an indispensable tool in the business world. It allows interested parties to know, without a doubt, that a document in question existed at a particular date and time. By design, a Bitcoin transaction includes a date and time held on the blockchain. By including a cryptographic digest of a file, you can later certify that the data existed at that time.

Important Blockchain and Bitcoin Milestones

1976

An asymmetric key cryptosystem was published by Whitfield Diffie and Martin Hellman who, influenced by Ralph Merkle’s work on public key distribution, disclosed a method of public-key agreement. This method of key exchange, which uses exponentiation in a finite field, came to be known as Diffie–Hellman key exchange. This was the first published practical method for establishing a shared secret-key over an authenticated (but not confidential) communications channel without using a prior shared secret. Merkle’s « public key-agreement technique » became known as Merkle’s Puzzles and was invented in 1974 and only published in 1978.

1982

Dissertation « Computer Systems Established, Maintained, and Trusted by Mutually Suspicious Groups » is the first known proposal for a blockchain protocol. Complete with the code to implement the protocol, Chaum’s dissertation proposed all but one element of the blockchain later detailed in the Bitcoin whitepaper.

1993

The PoW concept was invented by Cynthia Dwork and Moni Naor as a way to deter denial-of-service attacks and other service abuses such as spam on a network by requiring some work from a service requester, usually meaning processing time by a computer. The term « proof of work » was first coined and formalized in a 1999 paper by Markus Jakobsson and Ari Juels.

Hal Finney in 1993 talking about digital trading cards

1994

Smart contracts ancestors were first introduced as “Ricardian Contracts » by Nick Szabo, a computer scientist, legal scholar, and cryptographer. The term “smart contract” was first introduced long before the invention of Bitcoin, but it underwent a long gestation period of inactivity and disinterest since there was no platform that could enforce a smart contract, until the advent of Bitcoin blockchain technology in 2009.

1995

DigiCash created the first digital currency with eCash (an electronic cash application that aims to preserve a user’s anonymity, and inventing many cryptographic protocols like the blind signature, mix networks, and the Dining cryptographers protocol)

1998

Computer scientist Nick Szabo works on ‘bit gold,’ a decentralized digital currency.

2000

Stefan Konst publishes his theory of cryptographically secured chains, plus ideas for implementation.

2008

Invention of cryptocurrency. Developer(s) working under the pseudonym Satoshi Nakamoto released a white paper establishing the model for a blockchain.

31 October: Bitcoin white paper published on the internet.

2009

Nakamoto implements the first blockchain as the public ledger for transactions made using bitcoin. Later that year → Blockchain was the first time operable.

January 3 – Satoshi Nakamoto mined the genesis block of bitcoin (the first block) for 50  bitcoins.

January 9 – The first open-source bitcoin client was released on SourceForge.

January 12 –  The first bitcoin transaction was made of 10 bitcoins to the first bitcoin user (other than Satoshi), Hal Finney

November 19 –  Satoshi created the Bitcointalk.org site. November 22 – Satoshi Nakamoto posted the first post on the bitcoin forum using the account « satoshi. »

December 16 –  Bitcoin version 0.2 is released. By this point, Martti Malmi has joined Satoshi Nakamoto, a developer with full permission to change the codebase.

December 30th – The first difficulty increase occurs, from 1 to 1.18.

2010

February 6 – A currency exchange is born. The Bitcoin Market is established by dwdollar as a Bitcoin currency exchange.

March 17 – The now-defunct BitcoinMarket.com exchange was the first one that started trading with cryptocurrency.

May 22 – Mr. Sturdivant filled the order for two large pizzas from Papa John’s paid by 10,000 BTCs, making this transaction the first physical purchase ever made with Bitcoin in history.

In May of 2021, this amount of BTC was worth 367,991,000.00 USD: See the TX
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 July 6 – Bitcoin version 0.3 was released.

November 6 –  Bitcoin market capitalization passes $1 million.

December 9 –  The mining difficulty exceeds 10,000

December 12Satoshi Nakamoto posted his last post on the BitcoinTalk forum.

2011

January 2 – Tonal Bitcoin, designed for those who prefer the Tonal number system, standardized its units.

 May 9 – The launch of Bitbills is announced. Bitbills are the first physical incarnation of bitcoins, coming in plastic cards that contain cryptographic information.

2012

January 15 – Bitcoin made an appearance in the show « The good wife » in the episode « Bitcoin for Dummies. »

September 27 –  The Bitcoin Foundation was launched with the aim of implementing a core development team for the protocols and the body to oversee the digital currency.

 June 3 –  Bitcoin confirmed its largest transaction to date with 1322 transactions on block 181919

 November 28 – Bitcoin  Halving Day. On Halving Day, Block 210,000 is the first with a block reward subsidy of 25 BTC.

2013

QixCoin , a Turing-complete cryptocurrency, was created by some of the RSK founders. QixCoin introduced the concept of pay per execution, currently known as transaction “gas.” However, RSK inherits several key concepts from Ethereum, such as its account format, VM, and web3 interface.

 January 22 – BitPay surpasses 10,000 transactions. BitPay, a Bitcoin payment processing company, announces that it has surpassed 10,000 Bitcoin transactions for its merchants, with no cases of payment fraud reported.

February 15 – The bitcoin-based payment processor Coinbase reported selling US$1 million worth of bitcoins in a single month at over $22 per bitcoin.[41] The Internet Archive announced that it was ready to accept donations as bitcoins and that it intends to give employees the option to receive portions of their salaries in bitcoin currency.

February 19 –  Version 0.8 of the Bitcoin client was released. It features Bloom Filtering and improved download speed.

February 21 –  Internet Archive began accepting BTC donations so that its employees can be paid in Bitcoins.

Mar 12 –  A hard fork occurs on the blockchain. A protocol rule that was previously undiscovered results in a hard fork of the 0.8.0 reference client.

March 18 – the Financial Crimes Enforcement Network (or FinCEN), a bureau of the United States Department of the Treasury, issued a report regarding centralized and decentralized « virtual currencies » and their legal status within « money services business » (MSB) and Bank Secrecy Act regulations. It classified digital currencies and other digital payment systems such as bitcoin as « virtual currencies » because they are not legal tender under any sovereign jurisdiction.

March 28 – The total Bitcoin market cap passed US$1 billion.

May 1 – Online gaming company ESEA is called out for secretly using customer computers to mine Bitcoins.

May 2 – 2013 The first Bitcoin ATM in the world debuted in San Diego, California.

May 3 – Coindesk, a bitcoin-focused resource, and news website was launched by Shakil Khan, an angel investor and advisor to Spotify.

May 17 –  The first major Bitcoin Conference was held at the San Jose Convention Center.

December 5 –  The People’s Bank of China announced in a press release regarding bitcoin regulation that whilst individuals in China are permitted to freely trade and exchange bitcoins as a commodity, it is prohibited for Chinese financial banks to operate using bitcoins or for bitcoins to be used as legal tender currency, and that entities dealing with bitcoins must track and report suspicious activity to prevent money laundering.

2014

Blockchain technology is separated from the currency, and its potential for other financial, inter-organizational transactions are explored. Blockchain 2.0 was born, referring to applications beyond currency. The Ethereum blockchain system introduces computer programs into the blocks, representing financial instruments such as bonds.

2015

Ethereum launched – first 2.0 blockchain system (but It’s not even the first cryptocurrency to have a Turing-complete language, which was QixCoin).

2016

World Economic Forum – first governance models through blockchain
IBM opens a blockchain innovative research center. Started a development that ends up with an umbrella product called Hyperledger Fabric.

 Blockchain has its own set of ISO standards, called ISO/TC307
 The “Dubai Blockchain Strategy 2021” project was launched.

2017

15% of global banks using blockchain for intercommunication.

March 2 –  The day one bitcoin overtook the price of an ounce of gold.

July 21 –  SegWit was locked in by Bitcoin miners

August 21 –  SegWit was activated.

December 6 – Lightning Network preview was released.

2018

July 17 – 2018, MasterCard accepted the agreement to participate in cryptography. Emirates Blockchain Strategy launched.

2021

Sovryn platform launched.

The cooperation of three companies resulted in a blockchain-based land registry for AfghanistanSovryn developed the Bitcoin-native DeFi protocol that allows Ethereum and Binance Smart Chain users to experience the most feature-rich platform directly on the Bitcoin-native RSK blockchain.

El Salvador became the first country in the world to officially classify Bitcoin as a legal currency.

June 16 – The World Bank has rejected a request from El Salvador to help with the implementation of Bitcoin as legal tender.

Congratulations. You made the ninth step in becoming a blockchain expert.

Also Published At: https://wiki.sovryn.app/en/library/education/episode-eight

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