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Stacktical est une start-up spécialisée dans la gestion des services informatiques fondée en 2016 à Paris. A ses prémices, cette entreprise développait un outil de suivi et d’analyse de données ayant permis à de nombreux protocoles de monter en puissance et en capacité.
Aujourd’hui, elle permet aux prestataires de services en ligne de proposer à leur clients une couverture assurantielle contre les impondérables, tels que des dysfonctionnements ou des coupures, parfois synonymes de pertes abyssales. Une démarche administrative jadis fastidieuse, mais aujourd’hui automatisée par la magie des smart-contracts Stacktical.
Cet article promotionnel vous est proposé en collaboration avec Stacktical.
Lorsqu’un service informatique est souscrit, la qualité des prestations est garantie par le Service Level Agreement (SLA), un cahier des charges que le prestataire a le devoir de respecter. Si le service en question accuse des retards, des interruptions ou qu’il cause des pertes financières au client, le SLA permet de réclamer une compensation. Cependant, obtenir réparation demeurait jusqu’à présent une démarche juridique très complexe.
Les services juridiques se comportent comme de véritables prédateurs face aux demandes des consommateurs
Stacktical propose aujourd’hui d’automatiser ce processus grâce à la technologie blockchain. Si le fournisseur ne respecte pas les engagements pris avec l’utilisateur, alors, les smart contracts entrent en jeu pour dédommager automatiquement ce dernier.
Loin d’être anecdotiques, ces SLA “décentralisés” (ou DSLA) voient leur cas d’usage exploser en étendant leur domaine de compétence à certains protocoles DeFi tels que le staking par exemple, et deviennent même des sources de revenus complémentaires pour les fournisseurs de liquidités.
A titre d’exemple, si une plateforme DeFi désire proposer à sa clientèle une couverture dans le cadre de son offre de staking, il lui suffit de se rendre sur la “marketplace” de Stacktical et de suivre les étapes suivantes :
Choisir un DSLA déjà existant ou créer le sien, sur l’une des nombreuses blockchains prises en charge par l’application StackticalDéposer des crypto-monnaies en tant qu’utilisateur pour se couvrir contre le risque, à l’instar d’une assurance souscrite. Il est également possible de déposer en tant que fournisseur de liquidités pour, à l’inverse, aider à garantir les risques, et être récompensé pour cela.Vérifier le SLA
Les SLA vérifiés sur l’application vont apporter une garantie d’une semaine par défaut, mais ce temps peut être adapté aux usages pour porter sur différentes périodicités : horaire, journalier, hebdomadaire, bi-hebdomadaire, mensuel et annuel. A titre d’exemple, un utilisateur cherchant à se couvrir pendant 3 semaines devra donc déposer ses cryptos sur des pools qui, mises bout à bout, représenteront 3 semaines d’activité du service.
A son échéance, l’accord est soit honoré, soit rompu. Si l’accord a été respecté, alors les fournisseurs de liquidités peuvent réclamer les tokens déposés par les assurés. En revanche, dans le cas d’une rupture, ces derniers peuvent réclamer leur compensation en piochant dans les tokens des fournisseurs de liquidités.
L’offre de Stacktical peut donc s’assimiler à un marché prédictif sur le bon fonctionnement d’un service, comme le staking choisi pour notre exemple. Cette nouvelle manière de vérifier, d’automatiser et de mettre en œuvre les SLA augmente leur transparence et facilite grandement leur application. Stacktical espère ainsi permettre à un plus grand nombre de particuliers et d’entreprises de bénéficier de leurs avantages, tout en aidant les fournisseurs à améliorer la qualité de leurs services et les résultats commerciaux.
Le protocole Stacktical est un véritable crypto-atout dans la relation prestataire/client
L’image de marque étant l’une des pierres angulaires du succès entrepreneurial, l’avenir du secteur des DSLA réside dans sa capacité à apporter une plus-value dans ce rapport de confiance entre le client et l’entreprise. Un défi pour un nouveau domaine de compétence blockchain encore méconnu, qui va devoir trouver les moyens de faire sa place et diffuser son savoir auprès de la communauté crypto.
Stacktical a donc opté pour la mise en place d’une académie DSLA. Une expérience originale d’apprentissage interactif se servant de la technologie NFT comme d’un vecteur. En effet, la tokenisation du savoir est un nouveau domaine à explorer pour ces fameux Non Fungible Token et Stacktical y voit l’opportunité de souder une base d’utilisateurs autour de la valeur qu’ils contiennent,comme des avantages qu’ils apportent.
Stacktical invente la tokenisation du savoir au travers de NFT possédant de nombreuses capacités et accordant certains privilèges
D’ici le 30 novembre, pas moins de 101 NFT de la collection “Genesis” seront mintés et distribués aléatoirement aux investisseurs détenant au moins 100 000 DSLA. Des token uniques aux traits aléatoires dont l’inspiration se trouve au cœur des engagements pris par la société. Ils feront bénéficier à leurs détenteurs de plusieurs avantages, dont la réduction de frais inhérents à l’utilisation des services Stacktical.
Alors que le marché des fournisseurs de services a beaucoup à tirer des SLA pour augmenter et fidéliser sa clientèle, ces contrats sont encore sous-exploités, et les assurés luttent bien souvent pour obtenir indemnisation. La solution développée par Stacktical automatise ce procédé pour obtenir une compensation rapide et sécurisée, sans aucune démarche supplémentaire.
Une assurance qui a d’ores et déjà su convaincre de nombreux protocoles DeFi hébergés sur 6 blockchains différentes. Un concept qui ne demande qu’à s’étendre au-delà de l’écosystème crypto strict, pour intégrer chaque jour un peu plus la technologie blockchain au cœur de nos quotidiens.
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Le Metaverse est un investissement d’avenir. De Facebook à KuCoin, les millions affluent. La plateforme d’échange de cryptomonnaie a débloqué 100 Millions de dollars via un fond d’investissement spécialisé dans le Metaverse, la DeFi, les NFT et l’écosystème blockchain dans son ensemble. KuCoin débloque une somme record pour le metaverse Le Metaverse est au cœur des enjeux technologique des prochaines années Facebook est positionné, mais la blockchain a des avantages que l’argent ne peut pas acheter. KuCoin est le 5e plus gros exchange de la planète avec ses 6 milliards de dollars de volume quotidien. Derrière cette plateforme qui […]
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La semaine dernière, le populaire marché de tokens non fongibles (NFT) basé sur Tezos, Hic et Nunc, a cessé ses activités après s’être classé parmi les vingt premiers marchés NFT en matière de ventes. Après que le fondateur du marché, Rafael Lima, s’est retiré, la communauté a décidé de reprendre le projet et a entrepris […]
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Manger à vie gratuitement dans leur restaurant de spécialités italiennes Casa Randazzo à Cagnes-sur-Mer, voilà ce que Loris Randazzo et sa conjointe vous proposent de faire. Pour cela, il vous faudra devenir propriétaire de leur NFT « Mangiare gratis » qui est actuellement en vente sur la plateforme OpenSea….
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Les nouveaux chevaliers blancs de la cryptosphère – Le succès du jeu play-to-earn Axie Infinity a attiré l’attention des éditeurs de jeux vidéo traditionnels sur la technologie blockchain. D’après une toute récente étude menée auprès des développeurs, les prochains mois devraient être riches en projets de jeux blockchains.
Il est fort probable que l’industrie du jeu vidéo traditionnel propose très prochainement des jeux blockchains. En effet, selon une étude menée par Opinium à la demande de la société Stratis spécialisée dans la technologie blockchain, 58 % des éditeurs de jeux vidéos américains et britanniques commencent à intégrer la technologie blockchain dans leur développement. En outre, 48 % des mêmes éditeurs interrogés intègrent des NFT dans leurs jeux. L’étude a été menée sur un panel de 197 éditeurs.
Par ailleurs, parmi les éditeurs n’utilisant pas encore ces technologies, plus de 70 % ont déclaré réfléchir à les utiliser pour développer de nouveaux jeux, dont 56 % prévoient de le faire d’ici la fin 2022. Aussi, 64 % des participants ont répondu par l’affirmative à la question de savoir si la technologie blockchain se généraliserait dans l’industrie du jeu vidéo d’ici les 2 prochaines années.
Le CEO de Stratis, Chris Trew, a clairement présenté l’objectif de cette étude :
« Nous avons commandé cette recherche pour consolider ce que nous supposions déjà : que la blockchain et les NFT sont l’avenir des jeux vidéo. »
Côté développeurs, le modèle play-to-earn semble être celui qui séduit le plus, avec 46 % des éditeurs interrogés qui envisagent de se tourner vers celui-ci. Enfin, plus de la moitié des 197 développeurs admettent que la technologie blockchain permet un gameplay plus intéressant et innovant pour le joueur.
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En outre, l’avènement des jeux blockchains présente l’opportunité de faire émerger des éditeurs de jeux indépendants et ainsi leur permettre de concurrencer les grosses entreprises de l’industrie du jeu vidéo. En effet, ces dernières, à l’instar d’Ubisoft ou d’Electronic Arts, n’ont pas encore développé de véritable jeu blockchain. Ces jeux présentent ainsi une véritable chance pour les éditeurs indépendants de tirer leur épingle du jeu et d’être des acteurs majeurs de l’industrie du gaming de demain.
C’est d’ailleurs ce qu’a affirmé Chris Trew :
« Avec des plateformes renommées, telles qu’Epic, accueillant des jeux basés sur la blockchain et des NFT, nous nous attendons certainement à ce que les studios AAA lancent des titres intégrant ces technologies dans les années à venir. Mais il y a tellement de développeurs de jeux indépendants qui y arriveront en premier. »
De plus, dans la lignée du jeu Axie Infinity, d’autres jeux play-to-earn méritent d’être suivis de près. Les adeptes de jeux de cartes, comme Hearthstone ou Magic : The Gathering, pourront s’essayer au trading card game blockchain avec Gods Unchained, tandis que les fans de science-fiction sur le thème de l’espace pourront s’essayer à CryptoMines.
CryptoMines s’est révélé être un jeu très lucratif, comme en témoigne le cours du token collecté dans le jeu, l’ETERNAL. En effet, à la date de rédaction de cet article le cours de l’ETERNAL s’est envolé, avec une croissance de plus de 10 000 % en 90 jours. Actuellement, un ETERNAL s’échange au prix de 191 dollars.
D’autres géants de l’industrie du jeu vidéo ont choisi de tourner le dos à la technologie blockchain et aux NFT. Tel est le cas de Steam, dont l’interdiction des jeux blockchain sur sa plateforme témoigne de sa réticence à s’investir dans ces technologies innovantes.
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Le SAND a enregistré de nouveaux records historiques après l’annonce par The Sandbox du lancement imminent de son évènement « play-to-earn ».
The Sandbox, l’entité de gaming et de propriété virtuelle de la société Animoca Brands, va bientôt ouvrir son metaverse aux joueurs à travers « Sandbox Alpha », un évènement « play-to-earn » :
Get ready for The Sandbox Alpha!
Launching November 29th
Anyone can experience the Alpha hub and three experiences
5,000 Alpha passes giving access to content, NFT, and 1,000 SAND!
Get all details below https://t.co/63iAl5MMmS pic.twitter.com/OiXmbAWYN2
— The Sandbox (@TheSandboxGame) November 16, 2021
L’univers de jeu virtuel de The Sandbox permet à ses utilisateurs de tenter de gagner de l’argent en évoluant dans son metaverse. Les joueurs peuvent acheter des parcelles de terre, créer des NFTs et obtenir des tokens Sandbox (SAND) en participants à des quêtes diverses et variées.
Selon une annonce publiée ce mercredi 17 novembre par la société, cet évènement démarrera le 29 novembre à 14 h 00, heure française, et se tiendra jusqu’au 20 décembre.
Un groupe restreint de 5 000 utilisateurs pourront empocher jusqu’à 1 000 SAND (environ 3 100 dollars aux cours actuels) ainsi que 3 NFTs exclusifs en participant aux 18 évènement proposés par les équipes de The Sandbox.
Ces NFTs – un portail de style médiéval, un dragon bleu et noir ainsi qu’une épée – pourront tous être utilisé dans le metaverse de The Sandbox.
Pour y participer, les joueurs devront être munis d’un des 5 000 tickets NFTs « Alpha Pass ».
1 000 tickets seront distribués aux propriétaires de terrain sur The Sandbox. Ils devront pour cela s’inscrire au « Alpha Raffle » entre le 22 novembre et le 28 novembre.
Deuxième possibilité : participer aux concours quotidiens qui seront bientôt organisés. Plus de 750 « Alpha Passes » seront ainsi distribués chaque semaine pendant trois semaines dès l’ouverture d’Alpha, soit un total de 2250 tickets.
Enfin, les utilisateurs pourront tenter d’acheter des tickets entre le 29 novembre et le 19 décembre sur la plateforme OpenSea auprès d’utilisateurs souhaitant s’en séparer.
Néanmoins, les joueurs qui n’auront pas de pass pourront avoir accès à trois expériences de jeu ainsi qu’à l’Alpha Hub, un mode multijoueurs permettant de participer à certaines quêtes. Ils n’auront toutefois pas accès à des récompenses « play-to-earn ».
À lire également : La plateforme de NFTs OpenSea dépasse les 10 milliards de dollars de transactions
Lors de la rédaction de cet article, le « floor price » – le prix le moins élevé – des NFTs The Sandbox sur OpenSea s’élevait à 0,986 Ethers, soit environ 4 150 dollars. Au total, 40 100 Ethers (168,8 millions de dollars) avaient été échangés depuis la fin 2019.
Yat Siu, cofondateur d’Animoca Brands, a expliqué au site CoinTelegraph qu’il conseillait aux nouveaux joueurs de prendre leur temps avant d’acheter des parcelles de terrain sur The Sandbox :
« Je suggère aux gens qui souhaitent découvrir cet univers de commencer par l’explorer, de rejoindre la communauté Discord et de discuter.
Ils doivent d’abord voir ce que c’est avant de décider d’acheter du terrain : en effet, il s’agit d’une opération identique à celle d’un achat immobilier dans le monde réel. Vous n’allez pas prendre l’avion pour vous rendre à New York et dire “je veux acheter ça” ».
Il y a quelques jours, The Sandbox avait levé 93 millions de dollars pour accélérer sa croissance. Ces fonds permettront de développer de nouveaux jeux et de nouvelles expériences au sein de The Sandbox, mais aussi de nouer des partenariats supplémentaires avec des marques populaires.
La société, qui avait entamé le développement de son metaverse il y a 4 ans, devrait lancer celui-ci en « plusieurs étapes ».
À lire également : « The Shiboshis » : le prix minimum des NFTs du Shiba Inu (SHIB) grimpe à près de 5 000 dollars
Lors de la rédaction de cet article, le SAND – le token natif de l’écosystème The Sandbox – avait enregistré une hausse de 29,81% sur les 24 dernières heures, après un record historique à 3,61 dollars atteint dans la nuit de mardi à mercredi.
L’actif avait littéralement flambé en 2021, avec un cours multiplié par 88 depuis le 1er janvier.
Il avait notamment profité le mois dernier du changement de nom Facebook, devenue « meta ». Cette initiative avait conduit de nombreux crypto-traders a miser sur des tokens en lien avec le metaverse.
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L’article The Sandbox : après 4 ans de développement, son metaverse va lancer sa version « Alpha » le 29 novembre est apparu en premier sur Crypto-France.
Des tokens non fongibles (NFT) qui n’auront peut-être pas le succès escompté ? La société de production Miramax, qui distribue le film Pulp Fiction, a tapé du poing sur la table. Elle poursuit le réalisateur Quentin Tarantino en justice, estimant qu’il n’a pas le droit d’émettre des NFT.
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La propriété numérique est un élément essentiel du métaverse, qui ouvre l’accès à des expériences véritablement virtuelles. Mais l’arrivée de Facebook dans cet espace est-elle le bon ingrédient pour la croissance ? Les exemples d’utilisation des NFT sont presque infinies Ne pensez pas que les NFT se limitent aux singes qui s’ennuient, aux pingouins joufflus […]
L’article NFT : ne pas se limiter à de jolies photos de profil, mais être la propriété numérique est apparu en premier sur Cointribune.
Plateforme de commerce électronique, Chain Mall nourrit l’ambition de mettre fin à la contrefaçon des produits de marque et des œuvres d’art en se servant du potentiel des NFT. À cet effet, elle s’est dotée d’un jeton utilitaire, Cham, qui vient d’être listé par l’exchange LATOKEN. Celui-ci permet notamment d’encourager les artistes à utiliser la […]
L’article Chain Mall (Cham) est désormais listé sur LATOKEN est apparu en premier sur Cointribune.