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Autograph, la plateforme de tokens non fongibles (NFTs) cofondée par le joueur de NFL Tom Brady, vient de clôturer une levée de fonds de 170 millions de dollars. Ce nouveau financement a pour objectif d’optimiser la technologie de la plateforme et d’agrandir sa base d’utilisateurs.
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Certains influenceurs présents dans l’écosystème des NFT profitent de leur position pour abuser une communauté aussi large que parfois crédule. Mais cela a fini par exaspérer ceux qui ne désespèrent pas de parvenir à établir un espace plus sain. Dernièrement, c’est le très connu autant que sulfureux « Beanie » qui s’est retrouvé sous le feu des projecteurs en voyant son identité et son passé dévoilées, mettant brutalement en lumière les coulisses de petits arrangements peu reluisants. Retour sur les événements récents autour de ce scandale haut en couleur.
Tout n’est pas rose dans l’univers coloré des Non-Fungible Tokens (NFT). Même si depuis l’année dernière, tout semble réussir pour cet écosystème, certaines zones d’ombre subsistent. Notons, par exemple, la manipulation du marché de certains projets par des personnalités influentes présentes depuis 2018.
Dans cet espace extrêmement concurrentiel où de (très) fortes sommes s’échangent, il est normal pour les investisseurs de promouvoir les projets dans lesquels ils ont mis de l’argent, surtout lorsqu’ils ont une certaine portée sur les réseaux sociaux. Mais tout le monde ne le fait pas de la même manière et surtout pas avec les mêmes intentions.
L’écosystème NFT étant particulièrement récent pour le grand public, il demeure beaucoup de places pour lancer des nouveaux projets. De plus, la promotion de l’aspect “non-censurable” laisse une grande liberté d’action aux créateurs de projets. Pour le meilleur… comme pour le pire.
Mais lorsqu’une limite très implicite est franchie sur la promotion de projets douteux, certains n’hésitent pas à dégainer l’arme suprême contre les influenceurs devenus arnaqueurs : le Doxx (la révélation au grand jour de l’identité réelle).
Cette pratique qui consiste à dévoiler l’identité réelle d’un pseudonyme, c’est cette fois-çi l’influenceur Beanie qui en a été victime, en étant exposé récemment par un compte Twitter nommé “NFT Ethics”. Porté par une certaine définition de la morale, voici l’une des raisons pour lesquelles ce compte a décidé de passer à l’action :
“Indiquer d’éventuels actes criminels et/ou la prévention de la fraude constituent un intérêt légitime ou doivent être considérés comme un intérêt légitime à Doxx quelqu’un et nous pensons que c’est le cas pour cette personne en particulier comme le montrera ce fil.”
1/ In this thread we will disclose the identity of one of the (currently) most (in)famous NFT influencers. But before we do that, we first explain our (philosophical) justifications and provide some important disclaimers.
— NFT Ethics (@NFTethics) January 17, 2022
Le thread, constitué de 70 tweets, reconstitue le passé professionnel de Beanie (aka Charles Moscoe) et la manière dont se sont déroulées les différentes entreprises dans lesquelles il a été impliqué. Arnaques, intimidations, sociétés écrans, évasion fiscale, lien avec les Panama Papers, ICO frauduleuses, Pump & Dump… la charge est sévère et compile de nombreuses accusations. Parmi les révélations de NFT Ethics, il y a notamment celle concernant l’utilisation de pas moins de 16 comptes différents par Beanie.
Les réactions ne se sont pas fait attendre, alternant démentis du concerné, dérisions par la communauté et communiqués des projets dans lesquels Beanie est affiliée directement ou non.
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Le lendemain de ces révélations, le fond d’investissement Gm Capital, dans lequel Beanie est partenaire principal a expliqué avoir accepté une lettre de démission de ce dernier. En remplacement, le fonds indiquait qu’un certain « King_Jesse » était désigné en tant que nouveau « responsable marketing. »
Sauf que, rebondissement dans le drama, vérification faite du “nouveau” partenaire censé le remplacer, il s’avérait en réalité que le compte n’était rien d’autre qu’un des nombreux autres alias de Beanie. De quelle manière ? Grâce à sa photo de profil de Bored Ape… qui est lié de manière certaine au wallet de Beanie ! Un splendide fail comme seul l’écosystème crypto en a le secret.
Can’t make this shit up
Again… we are living in a simulation… pic.twitter.com/mRo2clFV5P
— ᴍʙʜ.ᴇᴛʜ (@mbhdoteth) January 18, 2022
Cette réactivité montre à quel point il est facile de faire des liens entre une photo de profil Twitter qui est aussi un NFT et l’adresse qui l’héberge. Mais cela soulève d’autres questions, notamment sur la confidentialité des informations personnelles et la sécurité physique. Car bien qu’il puisse sembler légitime de dénoncer les pratiques malveillantes d’un acteur de l’écosystème, la pratique du Doxxing est dangereuse, notamment pour l’entourage de la personne. Il est donc essentiel de ne pas tomber dans une chasse aux sorcières qui pourrait dégénérer et avoir des conséquences désastreuses.
Pendant que ce bon vieux Beanie en est à sa deuxième nuit sans sommeil à tenter d’effacer Internet n’attendez plus pour préparer l’avenir. Allez vous inscrire sur la plateforme Binance, LA référence absolue du secteur (lien affilié).
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L’équipe espagnole G2 Esports vient d’annoncer qu’elle allait proposer des tokens non fongibles (NFTs) à la vente, principalement à destination de ses fans. La première collection sera constituée de 6 262 pièces et sera dévoilée sous forme d’un airdrop au mois de février.
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Si on parle souvent de la possibilité que l’Ethereum détrône le Bitcoin à la première place des plus importantes cryptomonnaies, les investisseurs et analystes crypto évoquent au moins tout aussi souvent la possibilité qu’une autre cryptomonnaie dépasse l’Ethereum, en termes d’adoption comme en termes de capitalisation. Cette semaine, la célèbre banque d’investissement JP Morgan a rejoint le camp de ceux qui préviennent que certaines cryptomonnaies sont prêtes à remplacer l’Ethereum dans presque toutes ses fonctions. JP Morgan pense que Solana peut dépasser Ethereum dans les NFT JP Morgan a notamment souligné dans sa note publiée plus tôt cette semaine […]
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Enterrer la hache de guerre ? Selon le Crypto Perception Report 2022 de Huobi Group, environ 70 % des détenteurs de cryptomonnaies aux États-Unis ont fait leur premier pas dans le secteur en 2021. Si l’essor des cryptomonnaies dans le pays est bien évidemment perçu positivement par les cryptophiles américains, il est plutôt considéré comme une menace à maîtriser pour les régulateurs.
Le contrôleur par intérim de la monnaie, Michael J. Hsu, a partagé le 13 janvier 2022 lors du Transatlantic Finance Forum, ses inquiétudes face au développement des cryptomonnaies malgré une série de facteurs négatifs qui devraient pourtant affecter la croissance du secteur, comme « l’incertitude réglementaire et juridique », les scams, les hacks, « et d’autres événements perturbateurs ».
Il a notamment souligné le fait que tout internaute peut investir dans les bourses de cryptomonnaies, les NFTs, et le métavers.
Les régulateurs financiers doivent alors selon lui, se poser « une multitude de questions » dans leurs actions : « Sur quoi doit se concentrer l’attention des régulateurs ? Que faut-il faire ? Par qui ? Et pourquoi ? »
Hsu appelle dans ce cadre à une coordination et à une collaboration avec les intermédiaires en cryptomonnaies, notamment ceux « qui opèrent de plus en plus au niveau mondial et dans un large éventail d’activités » :
« Les plus grandes entreprises de cryptomonnaies et les opérateurs de plateformes comptent aujourd’hui des dizaines de millions d’utilisateurs et traitent des centaines de milliards de dollars de transactions chaque mois »
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Alan Konevsky, chief legal officer de l’exploitation minière PrimeBlock, s’attend à un « un renforcement de la réglementation et du dialogue politique concernant les cryptomonnaies » en 2022. Il prône également une collaboration des législateurs et des régulateurs avec l’industrie crypto pour la mise en place d’un cadre réglementaire « qui reconnaît la façon dont la crypto est différente de la finance traditionnelle et de la réglementation des valeurs mobilières ».
Les stablecoins restent dans le viseur des législateurs et des régulateurs cette année. Lors de son intervention, Hsu a abordé ce sujet et a souligné plus précisément les risques relatifs aux stablecoins adossés au dollar américain. Les utilisateurs de stablecoins ne se posent pas selon lui, des questions quant aux potentiels problèmes qui pourraient survenir lors du rachat de ces stablecoins contre des dollars :
« Et si, toutefois, cette confiance devait vaciller ou être perdue ? Les détenteurs de stablecoins, sachant que le premier à racheter aurait la plus grande chance de récupérer son argent, rachèteraient rationnellement immédiatement »
Les régulateurs ne sont d’ailleurs pas les seuls à souhaiter la mise en place d’un cadre réglementaire clair pour les cryptomonnaies. Lors du récent Asian Financial Forum, le CEO de l’exchange FTX, Sam Bankman-Fried, a appelé les régulateurs à créer un cadre unique pour les cryptomonnaies.
Michael J. Hsu se veut être la voix de la raison en appelant à une collaboration avec les géants cryptos. La réalité est que malgré les vœux d’un dialogue constructif entre les différents acteurs, chacun tente pour le moment de défendre ardemment ses intérêts. Côté crypto, certaines organisations tentent de contrer la régulation sur les stablecoins. Côté régulateur, la SEC a déjà exprimé en 2022 sa volonté de jouer au shérif pour ramener l’ordre dans le far west des cryptomonnaies.
Les Etats s’intéressent de plus en plus à bitcoin (BTC) et aux cryptomonnaies, qui connaissent une forte croissance d’année en année. Et vous ? Que faites vous pour préparer l’avenir dans la nouvelle finance ? Commencez à vous familiariser avec ce monde passionnant, et n’attendez plus pour vous créer un compte sur Binance, l’exchange bitcoin et crypto de référence (lien affilié).
L’article Géants crypto et régulateurs : l’ère de la coopération ? est apparu en premier sur Journal du Coin.
Le compte Twitter officiel du géant du fast food McDonald’s a récemment reçu une flopée de messages pour l’inciter à prendre en charge les paiements en Dogecoin.
hey #dogecoin fam let’s make sure this tweet response of McDonald’s is their highest engagement one https://t.co/9nZPRy8p53
— Shibetoshi Nakamoto (@BillyM2k) January 19, 2022
Cet engouement est intervenu après que la chaîne de restauration rapide a répondu à Billy Markus, le fondateur du « meme coin », avec l’image d’un « Doge » en train de savourer des frites.
— McDonald’s (@McDonalds) January 19, 2022
En novembre, McDonald’s s’était tournée vers l’écosystème des tokens non fongibles en lançant sa première collection de NFTs. Celle-ci célébrait le 40ᵉ anniversaire de son sandwich McRib.
En juillet 2018, la chaîne de fast food avait lancé le MacCoin. Si de nombreux clients pensaient que cela signifiait qu’elle comptait entrer dans la crypto-sphère, il ne s’agissait que d’un coupon pour un sandwich gratuit, sans lien avec la technologie blockchain.
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Au Salvador, pays dans lequel le Bitcoin fait office de monnaie officielle depuis septembre 2021, les restaurants McDonald’s acceptent déjà les paiements en BTC, conformément aux lois locales.
McDonald’s et d’autres entreprises américaines subiraient actuellement des pressions pour accepter les paiements dans la monnaie numérique de la banque centrale chinoise d’ici aux jeux Olympiques de Pékin.
Tesla (pour ses produits dérivés), Space X (pour le lancement de sa mission lunaire), les Dallas Mavericks et Newegg font partie des grandes entreprises qui acceptent les paiements en Dogecoin.
AMC, la plus grande chaîne de salles de cinéma au monde, devrait bientôt permettre à ses clients de payer leur place de cinéma en DOGE.
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Take a selfie ! – En cette année 2021, les Non Fungible Tokens (NFTs) ont explosé. Entre les collections d’art, d’utilité sur la blockchain et de Play-To-Earn le volume d’échange des NFTs a connu une forte augmentation en 2021. Il est même maintenant possible pour tout à chacun de créer facilement sa propre collection. Et c’est ce qu’a fait Sultan Gustaf Al Ghozali en créant des selfies sous forme de NFTs qui l’a rendu millionnaire.
Sultan Gustaf Al Ghozali, étudiant en informatique, originaire de Semarang en Indonésie a décidé de se prendre en photo pendant 5 ans. Entre ses 18 ans et ses 22 ans, le jeune homme voulait voir son évolution pendant ses études. Il a ensuite décidé de transformer ces 1000 selfies en une collection NFT qu’il a mise en vente sur Opensea.
« Vous pouvez faire ce que vous voulez, flip mes NFT [pratique qui consiste à acheter pour vendre plus cher juste après] ou autre mais, s’il vous plait, n’abusez pas de mes photos ou mes parents seront très déçus de moi. Je crois en vous les amis alors, s’il vous plaît, prenez soin de mes photos.»
Sultan Gustaf Al Ghozali
Il décide donc de mettre en vente ses selfies sous forme de NFTs à 3$ l’unité le 10 Janvier 2022. Il ne s’attendait pas à ce que des grosses personnalités de la « Twittosphère » crypto s’intéressent et commencent à faire la promotion de sa collection.
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De gros influenceurs comme le chef cuisinier Indonésien Arnold Poernomo découvrent et font la promotion des selfies du jeune homme. Poernomo a déclaré ne pas seulement avoir « changé la vie de Ghozali » mais de tous les détenteurs de la collection. L’influenceur a déclaré que ces derniers ont fait une plus-value de 78 000%. Devant la hype montante du projet, le jeune homme décide même de donner une histoire à ses selfies ce qui va ajouter de la rareté aux NFTs.
Très vite le Floor Price [prix du NFT le moins cher de la collection] atteint les 0,88 ETH, soit près de 2 800$ au cours actuel. En quelques jours le volume d’échange atteint 317 ETH soit un peu plus d’1 million de dollars. Sultan Gustaf Al Ghozali devient donc millionnaire en vendant des NFTs de ses selfies. Actuellement, malgré une baisse de la hype du moment, le Floor Price est toujours de 0,3 ETH (950$).
Sultan Gustaf Al Ghozali a changé sa vie en se prenant en photo devant son ordinateur. L’explosion des NFTs permet maintenant à tout à chacun de créer sa collection et pourquoi pas de faire un joli profit ! Et cela n’a pas échappé même aux plus grosses entreprises. Récemment, les sociétés Crocs ou encore Gap ont annoncé se lancer également dans le monde des NFTs.
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L’article Millionnaire grâce à des selfies : L’indonésien qui a tout compris au NFTs est apparu en premier sur Journal du Coin.
Le Secret Network a débloqué 400 millions de dollars pour financer le développement de son écosystème axé sur la confidentialité et accroître son adoption auprès des utilisateurs.
Le Secret Network est un écosystème décentralisé qui garantit la confidentialité des transactions grâce à des données chiffrées. Il s’appuie sur quatre composantes : Secret Tokens, Secret Bridges, Secret Finance et Secret NFTs.
Dans une annonce publiée le 19 janvier, la plateforme a révélé avoir mis sur pied un fonds d’écosystème de 225 millions de dollars, financé par 25 investisseurs et partenaires comme BlockTower Capital, Arrington Capital ou encore Fenbushi Capital. Il doit permettre de favoriser le développement d’applications décentralisées adossées au Secret Network afin de faire de cette dernière la plateforme confidentielle par excellence du Web 3.0.
À celui-ci s’ajoute un « pool » d’accélération de 175 millions de dollars (financé en tokens SCRT), qui ambitionne de proposer des incitations financières destinées à accroître sa base d’utilisateurs.
Tor Bair, fondateur de la Secret Fondation, a indiqué au site CoinTelegraph que ce financement allait permettre de faciliter les ambitions du réseau, qui souhaite obtenir « une adoption mondiale par des millions d’utilisateurs d’applications décentralisées axées sur la confidentialité ».
« Les technologies de confidentialité sont essentielles pour s’assurer que le Web 3.0 sera valorisant et ouvert, plutôt qu’un prolongement des échecs du Web 2.0 », a‑t-il ajouté.
Tor Bair estime qu’un réseau mondial axé sur la confidentialité constituerait un élément fondamental pour améliorer l’internet :
« Les réseaux confidentiels par défaut et leurs applications offrent des choix supplémentaires aux utilisateurs, en leur permettant de contrôler la manière dont leurs données sont utilisées. La communauté Secret ambitionne de protéger ses utilisateurs, en leur offrant un grand niveau de sécurité, tout en luttant contre le capitalisme de surveillance – un système qui exploite plutôt que de valoriser ».
Ce financement intervient peu de temps après le lancement des enchères pour 7 NFTs créés par Quentin Tarantino, disponibles sur le réseau Secret Network. La collection se compose de 7 chapitres du scénario du film Pulp Fiction.
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L’article LooksRare prend les devants sur OpenSea avec un volume d’échanges de 100 millions de dollars est apparu en premier sur Cointribune.
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