Ubisoft sort du BWAAA! – Lâcher de lapins crétins sur The SandBox

Sable mouvant pour les Lapins Crétins – Le 9 décembre 2021, l’éditeur de jeux vidéo Ubisoft lance la version bêta d’Ubisoft Quartz, sa plateforme NFT basée sur Tezos (XTZ). Pour marquer l’évènement, la société a commencé par proposer des actifs in-game sous forme de NFT exclusifs appelés Digits, dans leur dernier jeu Tom Clancy’s Ghost Recon Breakpoint. Ubisoft présentait en même temps Ubisoft Quartz comme « la première brique de la vision » de l’entreprise pour construire son métavers. Mais en attendant que son propre monde voie le jour, Ubisoft a décidé de s’aventurer sur les terres d’un autre métavers basé sur Ethereum (ETH).

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Les Lapins Crétins envahissent The Sandbox

Le 8 février 2022, The Sandbox annonce dans un tweet, son partenariat avec Ubisoft. L’éditeur de jeux vidéo disposera dans le cadre de cette collaboration, de sa propre parcelle de terres virtuelles LAND.

Il intègrera également les Lapins Crétins dans le métavers. L’entreprise est connue pour ses franchises populaires comme Assassin’s Creed, Far Cry, Tom Clancy’s, Prince of Persia, Rayman, et bien évidemment les Lapins Crétins.

Le géant des jeux vidéo mettra les personnages des Lapins Crétins, à la disposition des utilisateurs des outils de Game Maker de The Sandbox.

Les créateurs utilisant le Game Maker pourront se servir des versions voxélisées des Lapins Crétins pour développer leurs propres jeux dans le métavers. La voxélisation est la transformation d’un maillage en représentation 3D par des voxels – l’équivalent des pixels en 2D pour la 3D.

Les Lapins Crétins envahissent The Sandbox – Source : vidéo YouTube de TheSandboxGame

Si une telle initiative fait plaisir aux cryptophiles, elle est cependant loin de faire l’unanimité dans la communauté des gamers. De nombreux internautes ont en effet exprimé dans les commentaires de la vidéo ci-dessus, leur mécontentement quant à cette arrivée des Lapins Crétins dans The Sandbox :

TR1PLE_6 : « N’aime pas du tout. Je déteste les NFT et j’aimerais que cette tendance disparaisse ! »Sockman : « C’est un cauchemar »TheRealLuke : « Ubisoft, tu veux vraiment savoir à quel point le public va te détester ? »

Commentaires de la vidéo annonçant l’arrivée des Lapins Crétins dans The Sandbox – Source : vidéo YouTube de TheSandboxGame

Comment peut-on expliquer cette haine de certains gamers envers le métavers et les NFT ? Les tokens non fongibles sont considérés – à tort ou à raison – par leurs détracteurs comme des actifs extrêmement polluants et donc nuisibles pour la planète.

Ubisoft va-t-il pour autant céder à la pression d’une partie de sa communauté et faire marche arrière dans ses projets de conquête du métavers ?

Au vu de ces critiques virulentes des gamers contre les NFT, certains éditeurs de jeux vidéo préfèrent jouer la carte de la prudence. Nitendo a ainsi indiqué récemment qu’il n’envisageait pas d’intégrer les NFT si ses fans s’y opposaient.

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Le volume des ventes sur la plateforme NFT Opensea dépasse les 20 milliards de dollars !

Le succès fou des NFT se voit à travers la dynamique des volumes de vente de la principale marketplace NFT, Opensea. L’entreprise vient ainsi de battre un nouveau record avec un volume de vente totale supérieure à 20 milliards de dollars. Derrière Opensea, le principal concurrent sur le segment des marketplace NFT se nomme Looksrare.Le marché des NFT a représenté plus de 21 milliards de dollars en 2021 ! Opensea est la principale plateforme de ventes NFT à l’heure actuelle. Récemment elle a battu un record de ventes, symbole du succès incroyable des NFT ! La plateforme NFT Opensea bat […]

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Côte d’Ivoire : La Poste lance sa série de timbres NFT

Voilà une nouvelle qui devrait réjouir à la fois les passionnés de philatélie et les amateurs de NFT :Dans le but de promouvoir le patrimoine culturel africain en général et ivoirien en particulier, la Poste de Côte d’Ivoire vient de lancer une nouvelle série de NFT représentant des timbres de collection. Pour y parvenir, elle a […]

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Des NFT dans le prochain GTA ? Pas de spéculation à Liberty City

San Andreas 3.0 – Take-Two, la société d’édition de la franchise de jeux vidéo Grand Theft Auto, a les yeux rivés sur les opportunités présentées par les NFT. Les déclarations de Strauss Zelnick, le PDG de l’entreprise, laissent penser que Rockstar pourrait suivre Konami, Ubisoft ou encore Square Enix sur les traces de la blockchain. À Liberty City, les gamers s’impatientent et se demandent s’il y aura donc des NFT dans le prochain GTA.

Gaming et NFT, les deux secteurs font la paire

Plusieurs éditeurs de jeux vidéo ont déjà franchi le pas dans l’adoption des NFT. Malgré la colère de ses joueurs, la société Ubisoft fut la pionnière de cette saga. En effet, en décembre 2021, elle était la première à lancer des NFT dans un jeu.

« Cette expérience vise à comprendre comment la (…) décentralisation peut être reçue et adoptée par nos joueurs. Nous savons qu’il s’agit d’un changement majeur qui prendra du temps, mais nous resterons fidèles à nos trois principes »

Didier Genevois, directeur technique blockchain chez Ubisoft

Ces trois principes incluent l’utilisation responsable de la technologie et la création d’un environnement sûr. Le principe fondamental étant l’exploitation de blockchains Proof-of-Stake (PoS), plus économes en énergie.

Par ailleurs, Square Enix, la société à l’origine de la franchise Final Fantasy, est également très optimiste quant à l’avenir des NFT dans les jeux vidéo. Dans sa lettre de fin d’année de 2021, le président de l’entreprise Yosuke Matsuda, avait effectivement déclaré que les jeux sur la blockchain seraient un domaine sur lequel l’entreprise devrait se concentrer à l’avenir. La société avait affirmé sa volonté d’explorer les NFT en novembre 2021.

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Des NFT de Grand Theft Auto : Un wallet digne de San Andreas

Les fans de la saga star de Rockstar ont l’habitude d’attendre. Si les récentes déclarations du PDG de Take-Two, la société d’édition de la franchise sont plutôt de bonne augure pour les NFT, il faudra sans doute attendre quelques temps, dans tous les cas, avant la sortie du prochain opus de GTA. C’est à ce moment là que votre wallet pourrait se transformer en un San Andreas 3.0.

« Nous sommes fortement convaincus qu’il existe une opportunité pour les NFT de s’adapter aux offres de Take-Two à l’avenir »

« Nous croyons aux biens rares, nous croyons aux objets de collection. Ce qui nous préoccupe, c’est qu’il y a des spéculations en cours »

Strauss Zelnick, PDG de Take-Two, la société d’édition de GTA

La tendance connaît une hype sans précédent. Cependant, cela ne va pas sans controverse. Entre les arguments écologistes des uns et la peur de la spéculation des autres, allier NFT et gaming n’est pas un long fleuve tranquille pour les éditeurs de jeux vidéo. Sega et Electronic Arts ont fait machine arrière suite à des déclarations plutôt positives dans un premier temps. Sega a déclaré qu’il mettrait fin à ses plans sur les NFT en cas de réaction négative de ses clients. Quant à EA, le célèbre éditeur du jeu FIFA entre autres, bien qu’initialement assez optimistes sur le sujet, a également revu sa position récemment. De ce fait, Take-Two modère aussi ses propos.

« Nous voulons nous assurer que les consommateurs ont toujours une bonne expérience, chaque fois qu’ils interagissent avec nos licences. Perdre de l’argent sur une spéculation n’est pas une bonne expérience. Nous allons donc rester à l’écart de la spéculation. »

Strauss Zelnick, PDG de Take-Two, la société d’édition de GTA

Le phénomène des NFT est encore très récent et le secteur du jeu vidéo, avec ses joueurs acharnés, devrait voir les tokens-non fongibles encore détractés pendant quelques temps. Patience et longueur de temps donc, avant de voir des NFT dans le prochain GTA. Il ne s’agirait pas que tout s’arrête avant même d’avoir commencé, comme ce fut le cas récemment pour Team17 et les Worms.

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Hermès attaque MetaBirkins une collection de NFT

Grâce au monde des NFT (Non Fungible Tokens), les actifs numériques peuvent être plus facilement créés, échangés ou vendus à travers le monde. Depuis n’importe où, et pour n’importe qui, chacun peut collectionner, créer ou transférer de la propriété. La technologie se développe tellement rapidement qu’il est difficile pour les institutions d’être prêtes en toute […]

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Le SUV Tonale d’Alfa Romeo est doté d’un NFT qui certifie la voiture à l’achat, puis enregistre et conserve ses données tout au long de sa durée de vie

Grâce à leurs propriétés innovantes, la blockchain et les NFT servent désormais à révolutionner plusieurs secteurs comme l’art, l’immobilier, l’assurance ou la logistique pour ne citer que ceux-là. Avec un tel potentiel, les entreprises s’efforcent de s’approprier ces nouvelles technologies. Le constructeur automobile italien Alfa Romeo a justement décidé de les utiliser pour suivre le […]

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Métavers, cryptomonnaies et NFT : le « Monde d’après » est pour dans 5 ans

« La réalité n’est qu’un point de vue » – Cette citation du romancier Philip K. Dick – auteur de Minority Report et Blade Runner – va probablement prendre tout son sens dans les années qui viennent. La réalité virtuelle s’apprête en effet à dépasser la science-fiction car le métavers est bien pour demain. Au delà des considérations philosophiques ou sociétales, c’est d’économie dont il s’agit et on parle déjà de milliers de milliards de dollars. Un nouveau rapport nous éclaire un peu plus sur ces perspectives.

Vers un métavers unique pour tout faire et tout vivre

Basée à Stamford dans le Connecticut, Gartner Incorporation est une entreprise américaine qui réalise des études de marché. Elle est spécialisée dans le domaine des technologies avancées et travaille depuis 40 ans dans plus de 100 pays. Une note de synthèse à propos du secteur des métavers a été présentée à la presse le 7 février dernier. En voici les grandes lignes.

Tout d’abord, Marty Resnick – le vice président en charge de la recherche de Gartner Inc. – explique que « 30% des sociétés dans le monde proposeront des biens et des services dans le métavers d’ici 2026 ». Pour l’instant, plusieurs projets se construisent en parallèle mais le rapport insiste sur la probable convergence vers un métavers unique pour « répondre à la demande d’expériences virtuelles, interactives et tridimensionnelles. » En effet, de la vie quotidienne au monde professionnel, tous les domaines vont être impactés par l’arrivée des métavers.

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Cryptomonnaies et NFT seront les standards de demain

L’éducation, le travail, les réseaux sociaux, les divertissements, aucun secteur ne sera épargné. Le rapport estime que « 25% de la population passera au moins une heure par jour dans le métavers d’ici quatre ans ». Une grande partie des réunions de travail et des événements culturels auront lieu dans le métavers. Et que dire de la consommation de biens…Imaginez un peu : tout ce que vous possédez dans le monde réel, vous aurez besoin de le racheter dans l’autre monde ! Logements, terrains, ameublement, vêtements, véhicules, accessoires, les possibilités sont presque infinies et donnent réellement le vertige.

Bien sûr, les retombées économiques envisagées sont à la hauteur du changement de civilisation. Strategy Analytics parle de 42 milliards quand Grayscale avance 1000 milliards et Goldman Sachs 8000. Des multinationales aux licornes françaises, des milliers d’entreprises sont dans les starting-blocks pour se partager le gâteau du métavers. Enfin, le rapport précise que tout ceci ne sera possible qu’avec l’avènement des cryptomonnaies comme moyen d’échange et des NFT comme standards du nouveau paradigme virtuel.

Le rapport conseille cependant aux entreprises de ne pas se précipiter. « Les responsables d’entreprises devraient prendre leur temps pour apprendre et comprendre le métavers (…) et être ainsi plus compétitifs dans le futur. » Comme dit l’adage, il ne faut pas confondre vitesse et précipitation. C’est vrai qu’on a déjà vu quelques initiatives surprenantes, comme l’arrivée des chaussures Croc’s sous forme de NFT.

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Vampire attack! LooksRare vs. OpenSea

Analyzing a new contender for NFT marketplace dominance

Around the Block from Coinbase Ventures sheds light on key trends in crypto. Written by Connor Dempsey, Justin Mart, & Mike Cohen (WE’RE HIRING)

Only in crypto can a platform built by anonymous founders come out of nowhere to challenge an industry leader, all in a matter of weeks.

That’s precisely what happened with the launch of NFT marketplace LooksRare, whose $9B+ in January volume nearly tripled that of OpenSea. On top of that, within 30 days of launch LooksRare produced $307M in protocol revenue, vs OpenSea’s $110M over the same period.

https://medium.com/media/d038b0dfd1a72181a239aae83dc21786/hrefListen on Spotify or Apple

The raw numbers don’t tell the full story, however…

In this edition of Around The Block, we’ll explore the LooksRare vampire attack of industry leading NFT marketplace OpenSea.

The OG vampire attack

Vampire attacks are purely a crypto/Web3 phenomena. At their highest level, a vampire attack refers to a method for sucking users out of an existing platform into a competing one by offering some kind of incentive (typically tokens).

The most notorious vampire attack occurred in 2020, when SushiSwap launched a near identical decentralized exchange to industry leading Uniswap with one key difference: users who migrated their liquidity from Uniswap to Sushiswap were given $SUSHI tokens. $SUSHI offered holders governance rights over the platform in addition to a cut of trading fees collected on SushiSwap.

The result? Uniswap’s liquidity temporarily took a nosedive, as users moved $1.2B in funds over to Sushiswap to cash in on the superior incentives being offered. Uniswap eventually recovered and responded with a token launch of their own, but a new DEX was bootstrapped over a relatively short period of time.

LooksRare’s vampire attack

LooksRare followed the typical vampire attack playbook which is as follows:

Identify industry leaderBuild competing, yet strategically differentiated platformOffer superior incentive for users who migrate over

The main difference between SushiSwap’s attack and LooksRare’s is that SushiSwap was a near identical copy of Uniswap’s code (known as a fork) with token incentives built on top. LooksRare appears to have built their own smart contracts (according to their documents); everything else in the playbook is the same:

Identify industry leader: in this case, it’s OpenSea by a country mile.Build a competing, yet differentiated platform: looksrare.org.Offer superior incentives for users to migrate: meet the $LOOKS token.

A $LOOK at the initial incentives

Due to the open-sourced nature of blockchains, the LooksRare team was able to identify OpenSea users who had traded at least 3 ETH worth of NFTs over the prior six months and airdrop them LOOKS tokens. However to claim these free tokens, users first had to list an NFT on the LooksRare exchange.

Airdropping tokens to an existing community of active NFT traders proved effective, as NFTs flooded onto the new marketplace. The LOOKS token would climb to nearly $7 just 10 days after launch, fetching a $1B marketcap in the process.

And the incentives didn’t stop there…

MOAR Incentives

Beyond the initial airdrop, users of the LooksRare platform could earn more tokens by staking their LOOKS and by trading NFTs on the platform. LooksRare charges a 2% fee for every sale (vs. 2.5% on OpenSea), and staking (locking LOOKS into a smart contract) entitles stakers to 100% of those fees. Stakers also earn additional LOOKS on top of trading fees.

At the time of writing, staking LOOKS earns an eye-popping 500%+ APR.

The trading incentives is where things start to get interesting. It’s pretty simple: buy or sell an NFT on LooksRare and earn LOOKS. Rewards are paid out daily, based on the % of that day’s volume. Currently 2.8M LOOKS, or just under $10M USD at current prices, are being awarded daily.

So far, a free airdrop was enough to get people to the platform, and a $10M daily reward has been enough to keep daily trading volumes outpacing OpenSea. However, when you look the total daily # of users, it’s clear that these volumes aren’t as impressive as they initially appear.

Wash trading

While LooksRare is doubling OpenSea’s volume on any given day, OpenSea has 20–40 times more active users than LooksRare. This suggests that LooksRare’s volume is fueled by a small number of traders gaming the incentive system to earn LOOKS.

There’s nothing stopping a user from swapping the same NFT back and forth between their own wallets at a high dollar amount. Since daily rewards are paid out as a % of the day’s volume, if, for example, someone can wash trade their way to 10% of that day’s volume, they can net $1 million in LOOKS.

The wrinkle here is that for every trade, users must pay a 2% fee priced in ETH. The math works out such that the fees traders are paying in ETH are roughly equal to the rewards being paid in LOOKS. As such, traders are basically swapping ETH for LOOKS, which will pay off should the price of LOOKS appreciate relative to the price of ETH.

Essentially, there’s an interesting bit of game theory in motion, as early adopters will be rewarded should the LooksRare platform succeed.

Beyond wash trading

At this point, no one would dispute that LooksRare’s staggering volumes are a result of their lucrative incentive scheme. However, that doesn’t necessarily mean that LooksRare is all hat and no cattle.

At the end of January, Crypto Slam estimated that about $8B of the $9B in January volume was washtrading. However, the remaining legitimate NFT volume is still more than what NFT marketplaces Rarible, SuperRare, Foundation, Makersplace, and Aysnc did in all of 2021 combined.

Even with washtrading eliminated, LooksRare’s launch can still be considered a success. Plus they offer other interesting and novel features such as no transaction fees for private sales and the ability to make a single offer across an entire collection of NFTs. Lastly, their “real volume” is continuing to grow.

Is it sustainable?

LooksRare’s trading rewards will wind down over the course of the next two years, at which point the marketplace will have to compete on its product and community alone. Whether it can continue to grow its market share without powerful incentives is up to the anonymous team behind it.

We can look to its vampire attacking predecessor, SushiSwap, for a glimpse into what the future may hold. SushiSwap by many measures has remained relevant after its initial rewards dried up. They continued to innovate and deploy across multiple chains, with nearly $5B in TVL today.

However, usurp Uniswap they did not. Uniswap eventually launched a token of its own (there’s speculation that OpenSea may one day do the same) and has maintained its standing as crypto’s dominant DEX with over $7.5B in TVL today. It’s also worth noting that no contentious hard fork (Bitcoin Cash, Ethereum Classic, etc) or vampire attacker (SushiSwap, Swerve, etc) has ever supplanted an incumbent.

While Sushiswap has enjoyed success, it has had its fair share of struggles as well. Community infighting between the core team and Sushi token holders led to the exit of several high profile team members, including the project’s CTO. Once LooksRare hands governance over to LOOKS holders, it will likely be reminded of how nascent and messy DAO governance truly is.

Lastly, for LooksRare users, it bears mentioning that anon teams always come with rugpull risk. On top of that, LooksRare’s smart contracts launched unaudited and without a public GitHub repo — so trader beware.

Top analysis on LooksRare and past vampire attacks

How LooksRare Doubled OpenSea’s Trading Volume, by Yuga CohlerThe Sushi Chronicles, by Connor DempseyLooksRare Protocol Revenue leapfrog’s OpenSea, by Brady DaleIrregular sales fire up wild NFT market, by Elizabeth HowcraftLooks Rare analysis, from BanklessFork Defense Strategies in DeFi, from Bankless

Top tweets on LooksRare

Crunching the number on LooksRare incentives, by Yuga CohlerThe game theory behind LooksRare, by Jordi AlexanderLooksRare’s growing organic volume, by DogetoshiWhy LooksRare’s launch was a success despite washtrading, by AllNick

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Vampire attack! LooksRare vs. OpenSea was originally published in The Coinbase Blog on Medium, where people are continuing the conversation by highlighting and responding to this story.

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SocialFi – the future shape of social networks

Since 2020, the cryptocurrency market is going through its main transformation: the new concepts of Defi, NFT, altcoins, and Metaverses coming to the place of relic utility tokens and suffering security tokens, stuck in vicious regulation circles 

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Quand la musique n’est plus bonne – les NFT pirates déclenchent la fureur des musiciens

Avoir ou ne pas avoir… les droits – Ah, ces fameux NFT ! Pas un jour ne passe sans une nouvelle vente record ou l’annonce fracassante d’un nouveau projet – soi-disant – révolutionnaire. Cette technologie innovante alimente tous les espoirs, mais suscite également beaucoup de convoitise. L’industrie du disque s’étant déjà largement dématérialisée, elle expérimente désormais la tokénisation de la musique. Et certains ne s’embarrassent pas de la légalité…

Une plateforme d’enchères de NFT musicaux pour rémunérer les artistes

Fondée en 2021 par Rory Felton et Jeff Burningham, la plateforme de NFT musicaux HitPiece était sur le papier un joli projet. Le directeur de la musique et l’investisseur avait réussi a lever 5 millions de dollars. La promesse ? Créer un NFT pour chaque chanson du catalogue et le mettre aux enchères pendant une semaine. L’utilisateur qui faisait la meilleure offre le remportait, tout simplement.

Il faut ajouter que Felton était l’ancien responsable d’un label reconnu et que d’autres personnalités faisait partie de l’équipe, comme le détaille Loudwire. A priori, tous les voyants étaient au vert sur ce projet.

Publicité pour HitPiece – source : Instagram

Mais le château de cartes va s’effondrer en quelques jours après une tempête de protestations sur Twitter venant d’artistes référencés à leur insu sur la plateforme. Du 1er au 4 février, récit des 3 jours qui vont tout changer.

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Des artistes s’insurgent contre les NFT illégaux

Tout d’abord, le 1er février, une première salve de réclamations arrive sur Twitter venant – entre autres – du groupe Glass Beach et de Wolf Van Halen :

« Hey HitPiece ! Enlevez tout ce qui nous concerne de votre site ! Point final ! On ne veut rien à voir avec vous. (…)

C’est clairement criminel (…) Vraiment dégouté. (…) HitPiece devrait avoir honte. »

Ensuite, le 2 février, la plateforme tente une réponse – toujours sur Twitter – pour essayer d’éteindre la polémique :

« Clairement, nous avons touché une corde sensible, mais nous voulons toujours créer la meilleure expérience possible pour les fans. Pour être clair, les artistes seront payés quand les biens numériques seront vendus. Comme tous les projets naissants, on écoute les critiques de nos utilisateurs et on s’engage à améliorer notre fonctionnement pour être au plus près des besoins des artistes, des labels et des fans. »

Rien n’y fait, les critiques continuent toute la journée :

« Allez-vous me payer pour les 5 albums que j’ai auto-produits et dont je possède les droits ? S’il vous plaît, expliquez-moi comment vous allez faire ? »

Le groupe Chain Gang Of 1974

« Le pire dans tout ça, c’est qu’ils veulent tirer avantage d’artistes qui n’ont pas assez de notoriété pour se faire entendre. (…). Honte à vous ! »

Le groupe The real Sully G

« Les pires charognards du capitalisme qui viennent nous sucer la moelle et se faire de l’argent sur notre dos (…) »

Ted Leo

Le régulateur intervient en faveur des artistes et règle le problème

Enfin, le 4 février, l’Association américaine de l’industrie du disque (RIAA) va finir par intervenir et mettre fin au différend de manière radicale.

Une lettre a été envoyée aux avocats de HitPiece avec l’obligation de « cesser de porter atteinte aux droits de propriété intellectuelle des musiciens ». La plateforme devra en outre fournir une liste exhaustive de tous les NFT générés ainsi que tous les artistes impliqués. Le site a été fermé quelques heures plus tard et n’a jamais été réactivé. Le CLO (directeur juridique) de la RIAA, Ken Doroshow, qualifiera HitPiece comme « un peu plus qu’une arnaque » et assure que ses services surveillent la résurgence du site sous un autre nom.

Les NFT permettront peut-être un jour aux artistes d’être mieux rémunérés et d’être au plus près de leurs fans en évitant les intermédiaires. En attendant la démocratisation de cette technologie, certains proposent déjà des utilisations originales des NFT, comme le festival mondialement connu Coachella.

Certes, il y a des projets douteux autour des NFT, et il vaut mieux être prudent face aux belles promesses. En attendant d’acheter de la musique ou des images en cryptos, vous pouvez quand même accumuler gentiment un peu de BTC. Idéale pour faire vos premiers pas, la plateforme KuCoin n’attend plus que vous. (lien affilié)

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