Bob Dylan et Miles Davis arrivent dans le métavers sur la plateforme NFT Snowcrash

Sonnez, trompettes ! – La marketplace de NFT basée sur Solana, Snowcrash, a annoncé que Sony Music et Universal Music Group se sont officiellement associés à la plateforme. Les maisons de disques sont actuellement en pleine conquête du métavers. En effet, le label des Red Hot, Warner Music Group a récemment intégré The Sandbox. Par ailleurs, WMG a annoncé un partenariat avec l’éditeur de jeu Splinterlands. Aujourd’hui, c’est au tour de Bob Dylan et Miles Davis de poser leurs valises sur la blockchain.

Universal et Sony intègrent le métavers avec les NFT

La marketplace NFT basée sur Solana, Snowcrash publiera des collections NFT de Bob Dylan et Miles Davis cette année. En effet, la plateforme a annoncé un partenariat avec Universal Music Group et Sony, les deux plus grands labels de musique au monde. Les deux labels prévoient par la suite une intégration plus large de leurs artistes dans le métavers.

Dennis Kooker, président des activités numériques de Sony, a déclaré que Sony Music travaillait avec Snowcrash. Cette collaboration a pour but de «développer une gamme d’opportunités pour (leurs) artistes en mettant l’accent sur l’offre d’expériences accessibles et conviviales pour les créateurs et les fans».

Michael Nash, vice-président exécutif d’Universal Music, fait écho à ce sentiment. En effet, il a déclaré que «(les NFT) permettent à (leurs) artistes et labels de faire progresser leur influence culturelle à la pointe de l’innovation».

L’industrie du disque arrive progressivement sur la blockchain.

L’industrie de la musique s’est plus largement intéressée aux tokens non-fongibles ces derniers temps. Le métavers et les NFT sont un moyen de monétiser davantage le contenu et de créer des communautés uniques. Des artistes populaires tels que Nas ou Snoop Dogg ont rapporté des millions de dollars grâce aux ventes de NFT. Évidement, Sony et Universal ne sont pas les premiers grands labels de musique à s’aventurer dans le Web3. En effet, Warner Music Group a récemment annoncé un partenariat avec le jeu play-to-earn Splinterlands.

Oana Ruxandra, directrice du numérique et vice-présidente exécutive du développement commercial chez WMG, peut le confirmer. Elle a déclaré que la création de jeux basés sur les NFT a permis à WMG de «débloquer de nouvelles sources de revenus pour (leurs) artistes qui s’intéressent à l’espace tout en élevant le rôle du fandom et de la communauté».

Snowcrash, la nouvelle marketplace NFT de Solana

Bob Dylan est l’artiste majeur commun des deux labels. UMG a dépensé environ 400 millions de dollars pour son catalogue en 2020. Sony, quant à eux, ont acheté ses droits pour plus de 150 millions de dollars l’année dernière.

Jesse Dylan, le fils du Rimbaud du rock, est le co-fondateur de la marketplace Snowcrash. Cette marketplace basée sur Solana tire son nom du roman de science-fiction de Neal Stephenson publié en 1992. Par ailleurs, ce roman avait également inventé le terme « Metaverse » à l’époque.

Dans un communiqué, le fils de Bob Dylan, a précisé que le marché actuel des NFT n’est que « la pointe de l’iceberg ». Il a opté pour la blockchain Solana plutôt que pour le réseau Ethereum pour lancer la plateforme car il pense que c’est mieux pour l’environnement.

Snowcrash a choisi la blockchain Solana pour lancer sa marketplace.

Snowcrash sera en concurrence directe avec les marketplaces NFT existantes sur Solana. MagicEden et Solanart sont les deux principales en termes de volume d’échange sur la blockchain. Toutefois, la plateforme a des soutiens de renom. Effectivement, Snowcrash a une coentreprise avec lexchange de cryptomonnaies FTX et est aussi un partenaire stratégique de Solana Labs.

Le secteur des tokens non-fongibles (NFT) a connu une croissance sans précédent au cours de l’année 2021. Face à ce phénomène, de plus en plus de projets NFT ont vu le jour. Aujourd’hui les maisons de disques font partie de l’écosystème. Après l’art visuel, la musique est au centre de cet engouement car la blockchain pourrait révolutionner l’industrie. Une chose est sûre, la musique est un secteur d’avenir pour le métavers et les NFT !

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TreasureDAO Exploited – plus de 100 NFT volés

C’est encore un autre coup dur pour l’industrie NFT après le récent piratage de TreasureDAO qui a vu plus de 100 NFT volés.

À travers un tweet, la société d’analyse de données et de sécurité blockchain Peckshield a expliqué comment les pirates ont pu exploiter un bogue dans le protocole et créer des NFT gratuits.

2/ To illustrate, we use the above hack tx and show the key steps below:
1. Call buyItem() with valid NFT token and NFT ID, but w/ invalid ZERO quantity
2. Treasure Marketplace sells the NFT but charges ZERO MAGIC (due to ZERO quantity) pic.twitter.com/OXGAHTtnZ2

— PeckShield Inc. (@peckshield) March 3, 2022

Suite au piratage, les développeurs de TreasureDAO ont demandé aux utilisateurs de leur plate-forme de supprimer tous leurs NFT du Marketplace pour des raisons de sécurité. Ils ont également expliqué que le piratage avait été effectué, suggérant que la plate-forme avait été rendue vulnérable par un correctif précédent sur la plate-forme. Ils ont noté que cela aurait dû être identifié plus tôt et que les mesures nécessaires auraient dû être mises en place pour prévenir de futures attaques.

Le co-fondateur de Treasure DAO, John Patten, l’a confirmé dans un tweet disant :

«Le marché au trésor est exploité. Veuillez supprimer vos articles. Nous couvrirons les coûts de l’exploit – je renoncerai personnellement à tous mes Smols pour réparer cela.

L’étendue des dégâts causés

Bien que l’étendue des dégâts ne soit pas encore établie, certains messages sur les réseaux sociaux révèlent que l’une des adresses siphonnées 17 Smol Brains, des NFT populaires échangés sur Arbitrum, était utilisée pendant l’attaque.

4/ Here is the hack flow of some stolen NFTs from one hacker. Please delist your smols from @Treasure_DAO marketplace pic.twitter.com/9axjKxhdIr

— PeckShield Inc. (@peckshield) March 3, 2022

Actuellement, le marché TreasureDAO est verrouillé et aucune transaction n’est effectuée jusqu’à nouvel ordre. L’équipe a déclaré que les listes sont désormais sécurisées, mais qu’elles devront revoir les codes et redéployer les correctifs sur le marché.

Il y a également des rapports selon lesquels les pirates ont renvoyé des NFT.

La plate-forme a déclaré que les utilisateurs qui ne recevront pas leurs NFT seront indemnisés, bien que la question de l’indemnisation doive d’abord être soumise à la communauté et votée par l’organisation autonome décentralisée (DAO)

Selon les prix indiqués sur la plateforme Treasure, la valeur des NFT volés est d’environ 426,5K MAGIC (jeton natif du protocole, qui était passé de 3,82 $ à 2,55 $ au moment de la rédaction après l’attaque).

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The Sandbox à l’heure coréenne

La société française The Sandbox a annoncé un partenariat avec l’entreprise coréenne Cube Entertainement. Celui-ci vise à promouvoir non seulement la K-Pop, mais toute la culture coréenne. Pour se faire, The Sandbox et Cube vont construire un espace virtuel dédié, baptisé K-Culture Complex.

Partenariat entre The Sandbox et Cube Entertainment

C’était dans l’air depuis l’annonce le 22 février dernier de la création d’une co-entreprise entre Animoca Brands et Cube entertainment. Baptisée Anicube, cette entité a pour mission de construire un métaverse musical, d’émettre des NFT et des jetons basés sur les droits de propriété intellectuelle des artistes et acteurs de musique K-pop mondialement connus de Cube.

C’est désormais concret, puisque The Sandbox (filiale d’Animoca Brands) a annoncé le 2 mars un partenariat avec l’entreprise Cube. Celui-ci vise évidemment à diffuser et faire connaître la culture coréenne dans le monde entier, à travers un espace dédié dans le métaverse.

« Cube embrasse véritablement l’esprit du métaverse ouvert en franchissant une étape supplémentaire dans The Sandbox via son hub K-culture. Il sélectionne activement des marques locales et des partenaires de son principal label K-POP et leur offre une présence dans The Sandbox à travers son Land. »

Sébastien Borget, co-fondateur de The Sandbox

Ce partenariat se concentre sur la collaboration pour l’expansion des opportunités relatives au métaverse et aux NFT. Dans un premier temps, un espace dédié à la K-Culture sera créé sur le LAND appartenant à Cube. Les utilisateurs du monde entier pourront ainsi découvrir et échanger autour de la culture coréenne dans cet espace virtuel.

The Sandbox à la réalisation, Cube à l’organisation

Bientôt les premiers concerts de K-Pop dans The Sandbox ?

The Sandbox sera en charge de la partie technique, englobant notamment la création visuelle des NFTs, la gestion des jetons de gouvernance (!), la construction sur le LAND et les mécanismes techniques d’interaction. Cube Entertainment sera lui responsable du contenu culturel et de l’organisation des évènements. Les artistes affiliés à Cube seront évidemment mis à l’honneur à travers différents évènements musicaux.

Il est certain qu’initialement, on vivra beaucoup de concerts. Cependant, l’entreprise a d’ors et déjà déclaré ne pas vouloir se limiter uniquement à l’univers musical. L’objectif annoncé est bel et bien de faire connaître et rayonner l’ensemble de la culture coréenne à travers cette présence dans le métaverse. Bien que les détails ne soient pas (encore) publics, de multiples partenariats avec des entreprises coréennes sont déjà annoncés.

« Nous sommes sur le point de jouer un rôle essentiel dans la diffusion de la culture coréenne à travers le monde dans le métaverse, la clé de la quatrième révolution industrielle, grâce à ce partenariat avec The Sandbox. »

Ahn Woohyung, CEO de Cube Entertainment.

Le pays du matin calme (le surnom de la Corée du Sud) apprécie grandement le métaverse. Après l’annonce de la mise en place d’une ambassade, c’est donc un lieu dédié à la culture coréenne qui va voir le jour. Le gouvernement prend également le sujet au sérieux, puisque la municipalité de Séoul a alloué presque 200 millions de dollars au développement d’un écosystème de métaverse.

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Shiba Inu (SHIB), chien de garde de la blockchain ? Le projet le plus sécurisé selon Certik

Beau score pour le toutou – Le début de l’année 2022 a malheureusement été marqué pour la cryptosphère, par de nombreux piratages. La bourse LCX basée au Liechtenstein a perdu 6,8 millions de dollars en cryptomonnaies dès le premier mois de cette année. La plateforme Crypto.com fut également victime d’un piratage de plus de 34 millions de dollars en cryptomonnaies. Le 2 février 2022, c’est au tour de l’équipe du pont Wormhole d’être sous le coup d’une attaque qui va vider intégralement les fonds de ce bridge qui relie Solana (SOL) à d’autres blockchains dont Ethereum (ETH) et Avalanche (AVAX). Les audits de sécurité sont donc essentiels pour les protocoles cryptos pour identifier et colmater les failles potentielles. La société de sécurité crypto Certik a révélé récemment le nom du protocole qui serait le plus sécurisé, et c’est une surprise quand on sait que le projet à la base est une crypto mème qui a copié une crypto-blague.

ShibaSwap, premier de la classe selon Certik

Certik a indiqué dans son tweet du 1er mars 2022, que l’échangeur décentralisé de Shiba Inu (SHIB), ShibaSwap, est la plateforme la plus sûre dans son classement. Certik lui attribuait alors un score de sécurité de 91 sur 100.

Publication de Certik – Source : Twitter

ShibaSwap se place désormais sur ce terrain devant d’autres projets majeurs comme Terra, Polygon, PankcakeSwap, Aave, 1inch Network, ou encore Decentraland.

ShibaSwap a été lancé en juillet 2021. La bourse dispose de fonctionnalités similaires à celles d’Uniswap et d’autres DEX, comme l’échange de tokens ou les pools de liquidité. Il propose en plus du staking, de la gouvernance et une place de marché pour les NFT du projet : les Shiboshis.

ShibaSwap est alimenté par le SHIB et deux autres tokens ERC-20, le bone shibaSwap (BONE) et le doge killer (LEASH). Le BONE est le token de gouvernance du DEX. Son offre totale s’élève à 250 millions de tokens.

Le LEASH fut initialement un token similaire à un stablecoin algorithmique. Son offre s’ajustait automatiquement pour suivre le prix du dogecoin (DOGE) à un taux de 1/1000. Si le prix du dogecoin s’élevait ainsi à 0,02 $, le cours du LEASH était de 20 $.

Le prix du LEASH ne suit cependant plus le cours du DOGE. Le token a désormais une offre limitée à 107 647 tokens et est devenu la principale réserve de valeur pour les investisseurs.

Shiba Inu serait donc réellement en train devenir un projet crypto sérieux ? Son écosystème se développe à un rythme relativement élevé : lancement d’un DAO, annonce de vente de Shiba Lands dans le métavers du projet, ou encore arrivée prochaine de Shibarium, le layer 2 du projet.

Le DOGE, le seul, l’unique l’authentique Shiba Inu originel a gagné ses lettres de noblesse. La preuve : il fait partie du panel C10 Hedged d’Invictus, la référence des index crypto qui vous permettra une exposition maximale aux potentiels du marché crypto dans les meilleures conditions de prudence possible (lien affilié).

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Une grande société japonaise va se lancer dans le secteur des NFT

Dans un récent communiqué, le gestionnaire de patrimoine japonais Nomura a annoncé qu’il va officiellement se lancer dans le domaine des NFT en créant une nouvelle unité. Il a précisé que ses activités commenceront en avril 2022, dans un mois donc. En attendant, il prévoit de réorganiser ses activités. Une nouvelle équipe pour analyser les […]

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Un tableau de Basquiat aux enchères – Bitcoin et Ethereum acceptés

Les beaux-arts s’invitent de plus en plus fréquemment sur la blockchain. Dernièrement, un musée a même lancé une collection NFT d’un célèbre tableau de Gustav Klimt. Le 18 mai 2022, la maison Phillips organise une vente aux enchères mettant en vedette le travail de l’artiste américain Jean-Michel Basquiat. La Phillips’ Evening Sale of 20th Century & Contemporary Art mettra aux enchères l’œuvre « Untitled, 1982 » de Basquiat. La valeur de ce tableau est estimée à 70 millions de dollars. Phillips a révélé que la vente aux enchères accepterait Ethereum ou Bitcoin pour l’achat de cette œuvre d’art.

Une vente aux enchères de Basquiat ? Bitcoin et Ethereum seront au rendez-vous

Le célèbre collectionneur d’art Yusaku Maezawa et la maison Phillips, fondée il y a 225 ans, organisent une vente aux enchères le 18 mai 2022. Cette vente aux enchères publique mettra en vedette le travail de Jean-Michel Basquiat. L’artiste américain est très populaire au sein du mouvement néo-expressionniste et est souvent comparé à Pablo Picasso, cofondateur du cubisme.

Le tableau de Basquiat, « Untitled, 1982 », sera présenté à la Phillips’ Evening Sale of 20th Century & Contemporary Art. Par ailleurs, la valeur de cette œuvre d’art, mesurant plus de 2 mètres de haut et 4,87 mètres de large, est estimée à environ 70 millions de dollars.

« Untitled, 1982 » de Jean-Michel Basquiat.

« Ce format horizontal saisissant est probablement un clin d’œil au chef-d’œuvre de Pablo Picasso, « Guernica » », note l’annonce de Phillips. « J’espère qu’Untitled poursuivra son grand voyage entre de bonnes mains et qu’il apportera des sourires à de nombreuses personnes dans le monde entier », a déclaré le collectionneur Yusaku Maezawa.

De plus, l’annonce précise que la société d’enchères permettra aux gens d’acheter l’œuvre d’art Basquiat avec des cryptomonnaies. « Phillips est heureuse d’annoncer que la maison de vente aux enchères acceptera la cryptomonnaie pour la vente, en Ethereum ou en Bitcoin », a révélé la société.

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Phillips accepte les cryptomonnaies et vend aussi des NFT

La maison Phillips accepte les paiements en crypto et s’intéresse aux tokens non-fongibles depuis un moment. En effet, le paiement en Bitcoin (BTC) et Ethereum (ETH) pour le tableau de Basquiat ne sont pas une première. L’année dernière, Phillips avait déjà organisé des enchères en cryptomonnaies pour une œuvre d’art de renommée mondiale. Effectivement, en juin 2021 la maison a vendu aux enchères « Laugh Now Panel » créée par le street-artist Banksy, par ce biais.

Les œuvres du street-artiste Banksy sont en vogue du côté des NFT.

La vente aux enchères de « Laugh Now Panel » de Banksy était une première pour la société. Pour la première fois, ils acceptaient des paiements en cryptomonnaie pour une œuvre dans une vente aux enchères physique. D’ailleurs, la même semaine, la maison Sotheby’s vendait le NFT de « Love is in the Air » de Banksy via Coinbase.

Récemment, Phillips présentait également le premier NFT générant des données d’enchères. Effectivement, pour la Saint-Valentin 2022, la maison organisait sa première vente aux enchères en ligne, « My Kawaii Valentine ».

« Parmi les NFT de la vente se trouve Drowning in Love, le premier NFT au monde créé par l’artiste virtuel, Monoc, utilisant des données d’enchères en temps réel »

Phillips, le 8 février 2022

Dans la perspective de la vente aux enchères Basquiat, Phillips dit que l’art de Basquiat entreprendra une tournée internationale. En effet, Londres, Los Angeles et enfin Taipei accueilleront l’exposition de « Untitled, 1982 » et d’autres tableaux de l’artiste. Finalement, après les expositions, le siège social de Phillips à New York ouvrira la vente aux enchères.

Bitcoin et Ethereum, les deux cryptomonnaies les plus connues de l’écosystème, se répandent dans le secteur artistique. En effet, Les beaux-arts sont un terrain fertile pour les NFT et les cryptomonnaies et la blockchain sont des outils adaptés pour les ventes aux enchères de tous bords. Grâce à l’émancipation rendue possible par la technologie, lart retrouve enfin sa dimension populaire. Par ailleurs, si vous appréciez l’art et la crypto, la collection Out Of Africa d’Invictus NFT Lab vaut le détour.

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La SEC lance une enquête pour savoir si les NFT doivent être considérés comme des valeurs mobilières

Après avoir fait la chasse aux cryptomonnaies émises comme des titres non enregistrés, la SEC (Securities and Exchange Commission) devrait bientôt faire de même avec les NFT. En effet, les conseillers juridiques du régulateur américain ont adressé dans ce sens des convocations aux créateurs du marché des NFT ainsi qu’aux exchanges de cryptomonnaies. Leur objectif […]

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Un immeuble de plus à Dubaï oui, mais dans le métavers

L’ architecture est politique – Deux concepts caractérisent l’architecture par rapport aux autres disciplines artistiques : sa dimension essentiellement utilitaire et son côté « art fatal », « inexorable ». On peut échapper à la musique, à la peinture ou à la littérature mais pas à l’architecture. A Dubaï, la société de promotion immobilière DAMAC a façonné le paysage pour le meilleur ou pour le pire, c’est selon. Grandeur, ostentation et débauche de luxe sont sur le point de débarquer dans le métavers ! Les géants de l’immobilier fourbissent leurs armes et le Monopoly n’est plus un jeu pour enfants. NFT, dollars, montres de luxes et sable chaud, bienvenu-e-s aux Emirats arabes Unis.

Une société immobilière gigantesque bascule dans le métavers

DAMAC est la première société immobilière du Moyen-Orient cotée à la bourse de Londres dans les années 2010. Elle travaille sur des projets résidentiels, commerciaux et de loisirs et opère à l’échelle internationale : Qatar, Jordanie, Liban ou encore Royaume-Uni. Elle a construit des projets pharaoniques à Dubaï autour du Trump International Golf Club et des tours légendaires comme la DAMAC Heights et la DAMAC Towers à Dubaï ou la DAMAC Tower Nine Elms à Londres. Voici quelques images de ces réalisations.

DAMAC Towers à Dubaï – Source DAMAC Properties
DAMAC Tower Nine Elms à Londres – Source DAMAC Properties
La fameuse DAMAC Towers Heights à Dubaï – Source DAMAC Properties

Le directeur général et responsable des opérations s’appelle Ali Sajwani et il se trouve que c’est un féru de nouvelles technologies et un entrepreneur talentueux. Il y a quelques semaines, il a soumis un questionnaire à ses followers sur les réseaux sociaux et il en est ressorti un intérêt croissant pour les NFT. NFT ? Vous connaissez pas ? Allez faire un tour ici et revenez ensuite. Toujours autour des NFT, il a participé récemment à une session « AMA » (demandez moi n’importe quoi) sur Twitter autour des projets NFTyRACER et CryptoBear Watch Club. Il a déclaré lors de cet échange avec le public :

« Nous avons déjà beaucoup de projets chez DAMAC, mais en ce qui concerne le métavers, je pense que DAMAC y entrera d’ici un mois et demi maximum. Et nous en sommes ravis. »

Il a également ajouter qu’à titre personnel il avait acheté un terrain dans The SandBox car « il était temps de changer, le monde évoluant très rapidement dans cette direction ».

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Des terrains et des immeubles mais aussi des ours et des montres de luxe

Lors de cette fameuse session de « questions réponses » avec le public, il s’est livré sur ses récents investissements autour des NFT et du métavers. Il a longuement parlé du projet CryptoBear Watch Club (CBWC) dont il a acheté près de 10% des jetons. Ce projet possède finalement des caractéristiques assez « classiques ». Un design sympa à mi-chemin entre le monde du graffiti et celui du « cool » genre Bored Ape. Mais le petit truc en plus est une déclinaison unique de montres de luxe associées à chaque ours ! Et l’originalité réside surtout dans les avantages après l’achat…en effet tous les trente jours, des jetons Arkouda sont envoyés aux détenteurs des fameux ours.

Des images du CryptoBear Watch Club – Source : cryptobearwatchclub.io

Ces jetons ainsi que des avatars en 3D permettront d’évoluer au sein du terrain Premium 6×6 situé dans SandBox juste à côté du Hub Central d’Atari. Et oui les amis, ça c’est du VIP ! On parle aussi de tirage au sort avec des montres à plus d’un million de dollars et d’un jeux de rôle massivement multijoueur (MMORPG) à venir. Si vous voulez plus d’infos sur ce sujet, je vous invite à aller lire les explications d’Ali Sajwani ou de visiter le site internet du projet indiqué ci-dessus.

Ce mélange des genres plutôt original est à l’image des évolutions actuelles autour des cryptomonnaies. Des entrepreneurs brillants s’amourachent de projets plus-ou-moins connus et les dollars coulent par millions de la réalité vers le virtuel. Certains prédisent même que l’immobilier virtuel pourrait surpasser celui en béton et en ciment. En attendant, si votre copine – ou votre copain – vous demande « C’est quand que tu vas mettre des paillettes dans ma vie Kevin ? » attendez un peu avant de craquer votre Livret A dans un ours stylé mais mal léché.

Peur des ours et allergique au bling-bling ? On a ce qu’il vous faut, avec Invictus Capital et ses multiples solutions d’investissement. En vous inscrivant maintenant sur la plateforme, vous pourrez diversifier vos avoirs via plusieurs index innovants tels que le Crypto10 Hedged (lien affilié).

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