Bitcoin : Wyre se paye Bolt, à vous les emplettes réglées en cryptos !

Une question de bon sens ! La start-up Californienne Bolt a annoncé l’acquisition de l’énorme plateforme d’infrastructures cryptos Wyre pour une somme évoquée d’1,5 milliards de dollars. La prise en charge des cryptomonnaies et par la même occasion des NFT par Bolt risque fort de faire beaucoup parler d’elle dans les mois/années à venir. Le publique qui en sera touché sera conséquent et la procédure intégrera a priori parfaitement l’usage des cryptomonnaies dans les échanges. Le choix de la start-up va dans la ligne directrice de ses fondamentaux et ne s’arrête pas à la mouvance actuelle.

Bolt et Wyre en quelques mots

Bolt est une entreprise américaine fondée en 2014 qui fait de sa particularité sa force : permettre en un clic les achats entre les commerçants et les particuliers. En d’autres termes Bolt représente une solution de paiement directe sans passer par des intermédiaires. Ainsi des centaines de détaillants utilisent cette application pour fournir à leur client une expérience de paiement fluide.

Wyre est quant à elle à ce jour la principale société d’infrastructure de paiement fiat à crypto et de paiement pour l’écosystème crypto. Visant essentiellement les développeurs, elle fournit des API faciles d’intégration pour permettre un accès fluide et intuitif aux cryptomonnaies. Pour donner quelques chiffres Wyre a dirigé plus de 15 millions d’utilisateurs vers ses partenaires et a traité plus de 10 milliards de dollars de paiement depuis sa création.

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L’acquisition par Bolt pour une démocratisation des cryptos

Dans le but final de permettre le commerce décentralisé, la collaboration vise à permettre aux consommateurs de Bolt de payer des biens avec des crypto-monnaies tout en fournissant aux commerçants les outils pour accepter la crypto. L’acquisition a également pour objectif de permettre aux utilisateurs d’acheter des NFT via la plate-forme de Bolt grâce aux API de Wyre.

La procédure suivant l’accord définitif de Bolt pour l’acquisition devrait selon les principaux intéressés se clôturer au plus tard avant la fin de l’année. La raison de cet évènement se traduit essentiellement par un contexte ou la demande d’achat de biens et de services en cryptomonnaies est exponentielle mais aussi par une volonté propre au fondateur de Bolt :

«Cette acquisition est la réalisation d’une ambition de longue date. Lorsque j’ai rédigé le projet de plan d’affaires de Bolt, j’avais toujours imaginé la crypto-monnaie en son centre […]. C’était en 2015, et l’idée était une diapositive sur un diaporama. Penser que sept ans plus tard, nous nous associerions à Wyre pour faire de cette vision une réalité est incroyable. Cette acquisition va accélérer nos efforts pour démocratiser le commerce et cela servira de preuve puissante pour l’union de la cryptomonnaie et du commerce.»

Rayan Breslow, fondateur et président exécutif de Bolt

Les termes employés sont forts et pourtant très probablement à l’image de la réalité. Bolt compte bien accélérer le phénomène de l’adoption des cryptomonnaies. En proposant des nouvelles solutions commerciales pour le grand public et en y incorporant l’utilisation de cryptomonnaies Bolt touchera ses millions d’utilisateurs et influencera forcément ce qui pourrait s’apparenter à de la concurrence.

En dépit d’un marché capricieux, les bonnes nouvelles ne cessent de s’accumuler et les fondamentaux sont plus forts de jour en jour. La collaboration de Wyre et Bolt est un grand pas en avant, différent de ceux qu’ont pu être les annonces de Tesla, Uber, Mc Donald’s etc… Bolt compte bien accompagner les acheteurs et les vendeurs dans leur usage des cryptomonnaies afin de banaliser leur adoption. Le doute n’est plus permis, et même si l’Europe met des bâtons dans les roues, le temps d’adaptation s’avère être maintenant le seul réel obstacle face à la démocratisation tant attendue.

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Les 5 nouveaux projets NFTs les plus prometteurs de la semaine

Depuis le début de l’année 2022, le monde des NFT a vu émerger une quantité astronomique de projets en tous genres. La tendance ne semble pas sur le point de s’inverser.  De ce fait, il peut être un peu dur de s’y retrouver et savoir sur quels projets garder un œil. Pour vous aider, nous avons décidé de mettre en place cette liste comprenant 5 projets qui, selon nous, ont un gros potentiel, en argumentant pour chacun d’entre eux. Quoi qu’il en soit, n’oubliez pas qu’il ne s’agit ici que de partage et pas de conseil d’investissement. Avant d’investir dans […]

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Vitalik Buterin inquiet pour Ethereum (ETH) ? La communauté lui répond

Retour sur les singes – Vitalik Buterin avait fait la une du magazine Time en mars 2022. Il avait alors partagé dans un long article qui lui a été consacré par le media, ses préoccupations concernant l’évolution d’Ethereum (ETH). Certains participants à l’événement ETHDubai ont réagi aux propos du cofondateur d’Ethereum. Les avis sont mitigés.

La blockchain et les cryptomonnaies : nouvel eldorado du capitalisme

Vitalik Buterin avait fait part de ses inquiétudes quant à la multiplication de projets sur Ethereum, qui ne cherchent qu’un profit immédiat. Il avait critiqué la collection NFT Bored Ape Yacht Club en indiquant que « le but ultime de la crypto n’est pas de jouer à des jeux avec des images de singes valant des millions de dollars ». Le fondateur d’Ethereum souhaite que les cryptomonnaies servent à « faire des choses qui ont des effets significatifs dans le monde réel ».

Vitalik Buterin a par ailleurs souligné la nécessité d’exercer « notre voix ». Le cas échéant, « les seules choses qui sont construites sont celles qui sont immédiatement rentables ».

Ces critiques de Vitalik Buterin sont-elles fondées ? Les projets cryptos s’écartent-ils vraiment de plus en plus des idéaux liés à la construction d’un monde égalitaire, inclusif, grâce à la blockchain et aux cryptomonnaies ?

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Des critiques qui ne font pas l’unanimité

Raullen Chai, cofondateur de la blockchain IoTeX, partage  « la même préoccupation »  que le fondateur d’Ethereum. Il craint que « les pionniers de la crypto » ne soient pas en mesure de « s’en tenir à leur vision », tout en avouant qu’il n’avait « pas de solution à ce problème, malheureusement ».

Le cofondateur de 1inch Network, Sergej Kunz, ne partage pas vraiment cet avis. Il estime qu’il existe des bons projets ayant des besoins réels de financement, des capitaux  qui peuvent être fournis par des sociétés de capital-risque. Il admet toutefois que certains projets sont tout simplement des scams.

L’analyse d’Aleksei Pupyshev, développeur chez GTON Capital, va quant à elle, au-delà d’une simple prise de position concernant les inquiétudes de Vitalik Buterin. Le développeur a évoqué la nécessité d’un équilibre entre les projets à but lucratif et les initiatives à but non lucratif.

GTON Capital est une organisation autonome décentralisée qui veut développer les marchés numériques des capitaux, en construisant une infrastructure DeFi et un écosystème de produits nécessaires à l’atteinte de cet objectif.

Les raisons de cette projection à court terme

Les retours sur investissement sont selon Aleksei Pupyshev, nécessaires pour motiver « les gens » à explorer le secteur. Il a également rappelé qu’il existe de nombreux projets qui soutiennent les œuvres de charité ou qui résolvent des problématiques de santé dans la cryptosphère.

Le cofondateur et CTO d’Ozone Sivagurunathan S, s’est plutôt intéressé à la cause de cette multiplication de projets blockchain et cryptos, à la recherche de rentabilité sur le court terme.

La croissance de l’écosystème crypto motive selon Sivagurunathan S, les acteurs de la finance traditionnelle à plonger dans les cryptomonnaies. Ozone est une entreprise basée dans les Emirats arabes unis, avec un centre de recherche à Bangalore, en Inde. La société aide les entreprises dans le développement de leurs applications.

Ces acteurs de la finance traditionnelle voudront en priorité générer et maximiser leur profit, tout en essayant d’exercer « une sorte de contrôle ». Le cofondateur d’Ozone croit cependant que les développeurs continueront à construire sur Ethereum, tant que les concepts de base de la décentralisation, comme les mécanismes de consensus, demeurent pertinents.

Malheureusement pour Vitalik Buterin, la blockchain et les cryptomonnaies ne serviront pas uniquement de « nobles » causes. Les entreprises de différents secteurs y voient un nouvel espace pour créer de nouvelles sources de revenus, loin des grandes idées relatives à la création d’un monde meilleur. La cryptosphère n’est pas un monde parfait, idéologiquement parlant mais également techniquement, cet acteur de la tech pointant les limites d’une décentralisation souvent vantée.

Les idéaux pour une société meilleure et la volatilité des cryptomonnaies sont-ils inconciliables ? Dans 2 heures, je ramasse les copies. Si le sujet ne vous inspire pas, inscrivez-vous dès maintenant sur Binance LA référence absolue du secteur (lien affilié).

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Deux nouveaux standards dédiés aux NFT et aux actifs tokénisés pour Ethereum (ETH)

Les développeurs peuvent créer de nouvelles normes ERC qui définissent un ensemble de fonctions requises pour un type de jeton – et c’est ce qu’ils ont fait. Deux normes récemment créées ont attiré l’attention de la communauté et pourraient être adoptées à l’avenir.

Les utilisateurs cryptos connaissent probablement de nombreuses normes ERC, dont la plus courante, la norme ERC-20….
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Guerre en Ukraine : les NFT de la solidarité

Faites de l’art pas la guerre ! – La communauté crypto s’investit particulièrement dans les soutiens au peuple ukrainien. En effet, Timepieces par exemple avait déjà lancé une collection pour venir en aide aux populations impliquées par le conflit opposant l’Ukraine à la Russie. Une organisation caritative ukrainienne nouvellement créée, Pray4Ukraine, a récemment réuni des centaines d’artistes numériques. Ces derniers utilisent l’art afin de collecter des fonds pour l’armée ukrainienne et les civils dévastés par la guerre. L’organisation tente également d’utiliser le pouvoir de l’art pour aider à mettre fin à la guerre en Ukraine.

10 000 NFT pour venir en aide aux ukrainiens

Le projet caritatif ukrainien récemment lancé, Pray4Ukraine, a réuni des centaines d’artistes numériques du pays. Ces derniers ont créé près de 10 000 œuvres d’art en NFT. Travaillant de concert avec Pray4Ukraine, les artistes espèrent récolter des fonds. Les artistes reverseront les fonds récoltés à l’aide humanitaire afin de soutenir les forces armées du pays.

Dans un communiqué, l’équipe de Pray4Ukraine a également révélé que l’organisation caritative avait déjà lancé la vente de sa collection NFT. Cette collection artistique se compose de 9 930 œuvres d’art. Selon le communiqué, les fonds récoltés lors de la vente iront directement sur le portefeuille de Come Back Alive. Cette autre fondation caritative est en « première ligne humanitaire depuis mai 2014 ». Le communiqué ajoute que les rapports financiers seront publiés quotidiennement via les chaînes publiques de Pray4Ukraine.

L’Ukraine, dévastée par la guerre, pourra-t-elle être sauvée par des NFT, aussi jolis soient-ils ?

L’ONG Come Back Alive, qui s’intéresse de près à la situation géopolitique actuelle, avait reçu 3 millions de dollars en Bitcoin (BTC) en un seul don il y a quelques temps. Les dons que cette ONG reçoit actuellement visent à soutenir les efforts militaires de l’Ukraine.

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L’art pour sauver des vies en Ukraine

En plus de collecter des fonds pour les Ukrainiens dévastés par la guerre, l’équipe de Pray4Ukraine a déclaré qu’elle utiliserait également l’art numérique et les NFT pour atteindre l’objectif plus large de l’organisation de mettre fin aux hostilités entre l’Ukraine et la Russie.

« La mission de Pray4Ukraine est de montrer que chacun peut aider à mettre fin à cette guerre et à sauver d’innombrables vies en Ukraine. L’art numérique et les NFT offrent à la communauté crypto une méthode alternative pour rejoindre un puissant mouvement de solidarité mondiale. »

Déclaration de l’équipe de Pay4Ukraine

La collection Pray4Ukraine vise à aider les civils impactés par le conflit mais aussi l’armée ukrainienne.

Selon le communiqué, l’une des artistes s’engageant pour la cause, Olga de Kiev, a refusé de quitter la capitale. En effet, elle « continue de canaliser sa compréhension des événements (…) à travers l’art numérique ». Une autre artiste, Kamila, a déclaré que la guerre a rendu difficile la recherche d’inspiration. Cependant, elle a la volonté d’aider de toutes les manières possibles. Selon elle, c’est ce qui lui permet de surmonter les défis auxquels elle est confrontée depuis l’invasion de l’Ukraine par la Russie.

La communauté crypto est solidaire du peuple ukrainien, la communauté NFT tout particulièrement et les dons affluent. Comme quoi, Bitcoin et les cryptomonnaies ne sont pas que des actifs à la volatilité attrayante pour les traders. Il s’agit surtout d’un investissement sur lequel ceux qui en possèdent ont le contrôle. Et en temps de guerre, contrôler son argent n’est pas négligeable. L’Ukraine l’avait déjà compris avant le conflit armé l’opposant à la Russie. Le pays a effectivement attribué un statut légal à Bitcoin et aux autres actifs numériques depuis le 17 février 2022.

Un peu comme la géopolitique, la crypto est parfois complexe à appréhender. Vous cherchez une plateforme qui simplifie l’accès au Bitcoin et autres actifs numériques tendance ? Inscrivez-vous dès maintenant sur Binance, la référence absolue des exchanges cryptos (lien affilié).

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Hollywood : future star de la blockchain selon le PDG sortant de la Warner

That’s all folks ! – Jason Kilar, le PDG sortant de Warner Media, a présenté la blockchain comme une technologie qui pourrait transformer l’industrie du divertissement. Il a également déclaré que cette technologie pourrait apporter de nouvelles formes de financement. L’ancien PDG de Disney avait lui aussi montré son intérêt pour le Web3 et les NFT récemment.

La blockchain pour transformer l’industrie du divertissement

Le PDG sortant de Warner Media, Jason Kilar, a déclaré que l’avenir d’Hollywood était dans la blockchain. En effet, il voit en cette dernière une technologie capable de transformer l’industrie du divertissement. Selon Jason Kilar, cela est particulièrement vrai en ces temps où le processus d’achat d’objets de collection numériques a été grandement simplifié par la technologie.

Selon un rapport de Reuters, Jason Kilar a comparé le potentiel de la technologie blockchain et des NFT à celui des DVD avant qu’ils ne se généralisent.

« Je pense que ce sera une vague potentielle qui arrivera à Hollywood, de la même manière que la vague DVD est arrivée à Hollywood dans les années 90. »

Jason Kilar, le PDG sortant de Warner Media

Le PDG sortant a concédé que même si les DVD ont finalement sombré dans l’oubli, ils ont changé la l’économie de nombreuses sociétés de divertissement. Warner Media, entre autres, avait grandement augmenté sa trésorerie avec l’arrivée de ce support à l’époque. Jason Kilar, connu pour pousser à l’adoption de la technologie et aux changements dans l’industrie du divertissement, surenchérit. De ce fait, il estime que la blockchain pourrait également présenter de nouvelles formes de financement.

« Évidemment, cela a changé la fortune économique de beaucoup de ces entreprises, y compris Warner Media. »

Jason Kilar, le PDG sortant de Warner Media

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La réponse de Warner Media à la pandémie

Le rapport relate le parcours de Jason Kilar dans l’industrie du divertissement. Jason Kilar a lancé son propre service de vidéo par abonnement pour le contenu des médias sociaux, Vessel. Ensuite, il a vendu ce service à Verizon en 2016. Ce n’est donc que quatre ans plus tard que Jason Kilar a rejoint Warner Media.

Le PDG sortant a rejoint le groupe en 2020 lorsque la pandémie de Covid-19 se propageait. Cette période se caractérise par des fermetures et de sévères restrictions aux déplacements humains. Toutefois, Jason Kilar aurait réussi à en profiter. Il a effectivement introduit une nouvelle façon de faire entrer les films dans les foyers.

Le PDG a décidé de ne plus attendre qu’une certaine période s’écoule avant de sortir un film pour le visionnage à domicile. Il a en effet lancé une nouvelle pratique. Cette dernière consiste à sortir les nouveaux films dans les salles et sur le service de streaming HBO Max le même jour. L’expérience a commencé avec la première de « Wonder Woman 1984 » le jour de Noël 2020 et s’est poursuivie jusqu’en 2021. Cette décision aurait aidé HBO Max et le réseau de télévision HBO à attirer 73,8 millions de nouveaux abonnés.

La carrière de Jason Kilar a chevauché Hollywood et la Silicon Valley. Il est donc normal qu’il voit la blockchain comme un potentiel changement pour l’industrie du divertissement. Surtout avec l’augmentation croissante de l’engouement autour des tokens non fongibles (NFT).

« L’histoire a montré que les titulaires ont tendance à lutter contre les tendances qui remettent en question les méthodes établies. »

Jason Kilar, le PDG sortant de Warner Media

La blockchain et les NFT sont sans aucun doute une technologie sur le point de révolutionner le secteur du divertissement. Le secteur du sport est particulièrement impacté avec la tokenisation des objets de collection et les fan-tokens. Dans l’industrie du disque ce changement a également déjà été initié. En effet, pour l’exemple, Warner Music Group est déjà bien avancé. La maison de disque s’est déjà lancée dans les jeux blockchain en partenariat avec Splinterlands. Elle est également partenaire de la plateforme metaverse The Sandbox afin d’offrir une nouvelle expérience aux auditeurs et de nouvelles opportunités à ses artistes.

La blockchain, Bitcoin, Ethereum, Lightning Network… Toutes ces technologies occupent de plus en plus de place parmi les solutions existantes pour échanger de la valeur. Et chaque jour des professionnels de tous secteurs parlent publiquement de l’apport des cryptomonnaies. Procurez-vous vos premiers jetons sur la plateforme la plus populaire de l’écosystème crypto ! Inscrivez-vous sur Binance (lien affilié)

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Laurent Correia derrière une arnaque aux NFT ? Une enquête serait actuellement en cours

La popularité grandissante des NFT ainsi que la possibilité, pour les personnes qui en créent, de générer des sommes plus qu’intéressantes font que de plus en plus de personnes souhaitent tenter leur chance dans ce milieu. Certaines personnes étant mieux intentionnées que d’autres… Qui est Laurent Correia ? Suivi par quelque 3 millions de personnes sur Instagram, Laurent Correia est un entrepreneur reconnu en France. Il doit notamment sa notoriété aux émissions de téléréalité auxquelles il a participé. Il est même le “personnage principal” de l’une d’entre elles (JLC Family) avec sa femme, Jazz.  Homme d’affaires accompli, Laurent Correia est […]

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Les NFT foulent le tapis rouge des Grammy awards 2022 en musique

NFT, musique s’il vous plaît ! – L’industrie musicale a récemment manifesté son intérêt pour les jetons non fongibles (NFT). Pour cause, les musiciens du monde entier commencent à comprendre l’intérêt de s’éloigner des modèles commerciaux centralisés. Le rappeur populaire Snoop Dogg a bien compris le principe. Cet artiste innovant a récemment acquis Death Row Records avec l’intention de transformer l’entreprise en label NFT dans le metaverse. L’icône de la musique country Dolly Parton a également lancé sa première collection NFT baptisée « Dollyverse » récemment. Elle se compose d’illustrations et de morceaux symboliques dans le cadre d’une promo pour son album Run, Rose, Run.

Les NFT, grand sujet de discussion des Grammys

L’intersection de la musique et des NFT a été concrétisée lors de la 64e cérémonie annuelle des Grammy Awards, le 3 avril 2022. La cérémonie a eu lieu au MGM Grand Hotel and Casino de Las Vegas. Les Grammys sont l’un des événements les plus importants de l’industrie musicale aux États-Unis. En effet, la Recording Academy y décerne une série de prix. Ces derniers récompensent les réalisations exceptionnelles dans le secteur de la musique. 

Compte tenu de l’essor des NFT, les jetons non fongibles ont été des sujets de discussion brûlants lors des Grammy Awards 2022. Trevor Noah, comédien et animateur des Grammy Awards 2022, a d’ailleurs plaisanté sur le sujet lors de l’événement. Cependant, les NFT se sont avérés être plus qu’une simple boutade pendant les Grammys cette année. Les experts de l’industrie y ont exprimé leur intérêt pour les cas d’utilisation de ces tokens.

« Vous savez que ça a été difficile quand vos artistes préférés passent d’essayer de vous vendre de la musique à des images de singes numériques. »

Trevor Noah, comédien et animateur des Grammy Awards 2022

Quelques musiciens grand public ont décidé de lancer des collections NFT lors des Grammys cette année. Par exemple, le rappeur et producteur de disques américain Gerald Earl Gillum, également connu sous son nom de scène « G-Eazy », était extrêmement excité et honoré de lancer sa première collection NFT aux Grammys cette année. Connue sous le nom de « The Geralds », cette collection a été créée par le graphiste Dzanar. Le rappeur l’a lancée sur la plateforme musicale NFT OneOf NFT basée sur Tezos.

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Mieux vaut tard que jamais pour les NFT

Les NFT ont fait l’objet de discussions aux Grammys cette année. Cependant, il est important de souligner que les premiers cas d’utilisation des NFT existent depuis 2017. Nous pouvons donc nous demander pourquoi il aura fallu plus de cinq ans pour que les tokens non fongibles soient enfin sous les projecteurs. 

Josh Katz, PDG de YellowHeart, une maketplace pour les NFT musicaux et la billetterie NFT, a déclaré qu’il y a un an, personne dans l’industrie de la musique ne savait vraiment ce qu’étaient les NFT. Il pensait toutefois que cela avait changé lorsque le groupe de rock américain Kings of Leon avait sorti l’un des premiers albums NFT de l’industrie en mars 2021.

« Suite à cet album, tout le monde dans l’industrie de la musique et du divertissement a commencé à prêter attention aux NFT. Les artistes les plus créatifs sont intervenus en premier, puis tous les autres ont commencé à fouiner. »

Josh Katz, PDG de la marketplace NFT YellowHeart

Il convient également de souligner que deux sociétés cryptos ont sponsorisé les Grammys cette année. Binance, le populaire exchange de cryptomonnaie et la marketplace NFT OneOf, étaient tous deux de la partie.

« La Recording Academy est l’institution la plus importante de l’industrie de la musique et nous savons qu’elle est très sélective lorsqu’elle décide avec quelles entreprises aligner sa marque. Nous sommes ravis que de plus en plus d’entreprises de crypto et de blockchain s’impliquent dans les plus grands événements (…) dans la musique, le sport et le lifestyle et nous nous attendons à ce que la tendance se poursuive. »

Lin Dai, PDG et co-fondateur de OneOf

Les musiciens reçoivent généralement des micropaiements de services de streaming comme Spotify. Ces paiements reviennent traditionnellement à une maison de disques tierce, à un éditeur etc… La plateforme de streaming décentralisée Audius change la donne. En effet, elle privilégie une juste rétribution des artistes.

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Ethereum selon Grayscale, la New York City des blockchains

Une blockchain pour les gouverner tous ? – Ou un futur multi-chains ? Dans son rapport, le plus gros gestionnaire d’actifs numériques au monde, Grayscale, explore la question en détails. Ses analystes s’intéressent plus particulièrement à la révolution engendrée par les fameux contrats intelligents (smart contracts) qui peuplent désormais le web3. Pour Grayscale, ces smarts contracts seront le socle du monde décentralisé vers lequel nous tendons irrémédiablement. Plongeons au cœur de ce rapport, riche en enseignements et en métaphores !

Les origines d’un monde multi-blockchains

Grayscale, présentation du crypto-manager

Créé en 2013, Grayscale est un fond d’investissement spécialisé dans les cryptomonnaies. Ses achats s’étendent désormais sur un large panel de tokens allant du célèbre Bitcoin jusqu’aux nouveaux venus, moins connus, comme le dernier token en date, AMP. De plus, un certain nombre de tokens se trouvent répertoriés sur une liste d’attente, surveillée à la loupe. D’abord par les particuliers, espérant une montée du cours le jour où leur crypto préférée fera son apparition au sein du panel officiel. D’autre part par les professionnels, conscients que les thèses de Grayscale sont souvent signes avant-coureurs des futurs tendances de marché.

Plus largement, Grayscale permet un accès facilité et sécurisé aux investisseurs traditionnels qui souhaitent s’exposer aux cryptomonnaies. En passant par eux, les professionnels s’évitent la complexe logistique d’achat, de stockage et de gestion directe de leurs cryptomonnaies. Les investisseurs traditionnels à la tête de plusieurs millions ou milliards de capitaux n’ont aucunement envie de s’embêter à les stocker dans un hardware wallet ! D’autre part, Grayscale leur assure une conformité irréprochable au sein du cadre réglementaire en vigueur sur l’achat de ces actifs.

Grayscale publie régulièrement des rapports analysant le comportement des investisseurs et détaillant les pans de cette crypto-économie en développement. A travers ces documents, ils précisent les tendances de marchés sur lesquelles ils basent leurs investissements. Le scope balayé est large, allant du Bitcoin, en passant par la DeFi (Finance Décentralisée), jusque dans les profondeurs du métavers. Aujourd’hui, nous allons nous intéresser à leur dernier rapport, dont l’intention est ni plus ni moins que d’anticiper l’avenir d’un « monde blockchainisé » en plein boom. Il s’agit également de répondre à une question qui taraude les experts du secteur. Notre monde du futur sera-t-il basé sur une blockchain unique, ayant écrasé toutes les autres ? Ou plutôt sur un ensemble de réseaux décentralisés, communiquant entre eux en bonne entente ? Grayscale nous fournit une partie des réponses.

Bitcoin et Ethereum, retour aux sources

En 2009, Satoshi Nakamoto crée le Bitcoin. Une réserve de valeur digitale, décentralisée, libre de tout contrôle de la part des autorités centralisées. Malgré tous les aspects exceptionnels de cette innovation, beaucoup argumentent sur ses limitations. Ils mettent en avant son manque de programmabilité qui restreint les cas d’usage, au-delà du « simple » transfert de valeur entre individus. En bref, Bitcoin manque de praticité.

En 2015 apparaît alors un tout nouveau réseau, la première plateforme de smart contracts. Ethereum. Socle de tout un écosystème bientôt peuplé d’une multitude d’applications décentralisées appelées dApps. À travers elles, c’est le plein potentiel du monde crypto qui s’apprête à jaillir. Toutefois, l’activité des utilisateurs sur ces dApps génèrent d’innombrables opérations sur la blockchain. Ces plateformes se doivent d’optimiser ces échanges s’ils veulent se targuer de pouvoir un jour remplacer les systèmes centralisés d’aujourd’hui.

Blockchain : Performance versus Décentralisation

Ayant cette ambition en tête, il pourrait paraître étonnant, à première vue, qu’Ethereum ne soit en mesure de supporter que 7 à 15 transactions par seconde. À titre d’exemple, le réseau Visa en autorise jusqu’à plus de 65 000. Néanmoins, ceci est intrinsèquement lié à la nature décentralisée du réseau Ethereum. Visa a investi dans du matériel de haute technologie capable de supporter de telles vitesses de transaction. Mais en faisant cela, elle concentre la puissance de calcul, centralise son système et crée par voie de conséquence un point unique de défaillance, générateur de risque.

Les blockchains décentralisées comme Ethereum suppriment ce risque car elles ôtent la responsabilité à une seule entité d’assurer le bon fonctionnement du réseau. Celui-ci est en effet maintenu à flot par une multitude d’individus dispersés sur la planète entière. En contrepartie, sa vitesse de fonctionnement se voit réduite car l’information doit être validée par tous les participants. Cette lenteur devrait toutefois trouver sa résolution au travers des différentes mises à jour en cours d’implémentation sur Ethereum, et notamment la plus attendue d’entre elles, The Merge.

Au problème des frais, l’émergence d’un monde multi-blockchains

De nouvelles blockchains ont alors fait leur apparition, chacune avec une approche unique essayant de concilier au mieux performance et décentralisation. Par exemple, les validateurs sur Solana disposent de machines très coûteuses par rapport aux autres blockchains mais sont en mesure de délivrer plus de transactions par secondes. La contrepartie est une plus faible décentralisation du réseau.

Table des différentes blockchains et de leur vitesse associée au coût du matériel

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En 2017, Ethereum était la seule plateforme de smart contracts disposant d’une base significative d’utilisateurs. De fait, elle fut rapidement dépassée avec l’arrivée d’un phénomène qui déchaina les foules à l’époque. Les Cryptokitties. Ces mignons petits chats digitaux furent parmi les premières collections de NFT (Non Fungible Token) à gagner en popularité. Cette surcharge du réseau força les utilisateurs à payer des sommes astronomiques pour réaliser leurs transactions. Ces frais dépassant même parfois le prix du NFT en question. Un comble !

En 2020, ce fut au tour de la DeFi de générer une énorme force d’attractivité chez les utilisateurs en quête de rendements démentiels. Engouement similaire, conséquences identiques. Toutes ces transactions de farming et de lending exécutées par des milliers d’utilisateurs en simultanée firent s’envoler le montant des frais de transaction. De fait, la plupart de ces protocoles devinrent rapidement inenvisageable pour l’investisseur particulier comme vous et moi.

Ce phénomène fut l’opportunité pour d’autres blockchain comme Solana ou Avalanche, encore naissantes, de capturer une partie du marché.

« Alors que les frais sur Ethereum dépassaient largement les 10$, des plateformes comme Stellar, Algorand, Solana ou Avalanche expérimentaient un fort accroissement du nombre de transactions par jour sur leur réseau. »

Rapport Grayscale

En date du 15 mars 2022, le réseau Solana a effectué plus de 12 milliards de transactions depuis mars 2020. De son côté Ethereum dépasse seulement les 1,5 milliard de transactions depuis 2015. Soit 8 fois plus de transactions sur Solana en quatre fois moins de temps d’existence.

Histogramme du nombre de transactions sur chaque blockchain depuis leur création

Les blockchains, ces villes digitales

Les blockchains, vers une analogie urbaine ?

Nous pouvons à ce jour diviser les plateformes de smart contracts en deux branches, les Layers 1 (L1) et les Layers 2 (L2). Les Layers 1 font référence aux blockchains telles qu’Ethereum, Solana, Avalanche. Les Layers 2 comme Polygon sont des solutions construites par-dessus un Layer 1 afin de lui permettre d’accroitre la vitesse de ses transactions. C’est cela qu’on appelle la scalabilité. Investisseur chez DragonFly Capital, Haseeb Qureshi propose l’étonnante mais adéquate idée que les blockchains seraient semblables à des villes américaines. Développons.

Les gens décrivent souvent les L1 comme des réseaux. Cela implique que les blockchains seraient infiniment extensibles comme internet ou Facebook. Si tel était le cas, alors l’effet de réseau prédominerait et à la fin il ne resterait qu’une seule blockchain. Pour Haseeb, toutefois, les réseaux seraient une mauvaise analogie.

« Les blockchains sont physiquement contraintes. Elles ne peuvent s’étendre à l’infini, car elles reposent sur un nombre fini de validateurs indépendants pour fonctionner. »

Haseeb Qureshi

Ainsi, le fonctionnement des blockchains se rapprocherait plutôt de celui d’agglomérations. En suivant ce modèle, la dynamique actuelle en jeu entre les différentes blockchains émergeantes devient un peu moins mystérieuse.

Ethereum, la vaste et bouillonnante New York City

Ethereum. Encombrée, lente, construite il y a si longtemps que rien ne fonctionne comme il le faudrait. Tellement chère que seuls les riches peuvent se permettre d’y faire affaire. « Ethereum, c’est New-York. » Et pourtant, bien sûr, New York est « the place to be ». Il y a toutes les plus grosses banques d’affaire, les multi-millionnaires, les sièges des plus célèbres marques. De la même manière, Ethereum dispose des protocoles de DeFi les plus importants, sécurisant d’énormes capitaux. Sur Ethereum sont hébergées les DAO tendances et les collections NFT les plus enviées.

Mais tout cela a un coût. Si vous êtes nouveau, ce n’est certainement pas vers Ethereum que vous allez vous diriger en premier lieu. Les millionnaires peuvent tout à fait y trouver leur compte. Mais la génération suivante se doit de déménager en quête d’une autre ville où habiter, sans quoi elle se ferait peu à peu grignoter par le coût de la vie (ici, les frais de transaction).

Bien sûr, quelques solutions existent et permettent de réduire ces frais. L’espace autour de New York est limité mais rien ne vous empêche de construire à la verticale ! Bâtir de gros buildings, avec d’innombrables étages. Ainsi plus de personnes peuvent habiter New York. Ces immeubles, c’est les L2 comme Polygon. Néanmoins, la solution apportée n’est pas complète. D’abord les immeubles ne montent pas jusqu’au ciel. Ensuite, au bout de tout, impossible d’échapper aux embouteillages inhérents aux rues de New York.

« Si je veux vous rendre visite, il me faudra bien descendre de mon immeuble, sauter dans un taxi coûteux et affronter les bouchons. »

Haseeb Qureshi

Polkadot et Cosmos, l’interconnexion de petites cités

Polkadot et Cosmos, quant à elles, permettent aux développeurs de lancer leur application sur une petite blockchain dédiée. Des sous-réseaux sont interconnectés entre eux, au travers de la Relay-Chain sur Polkadot et du Cosmos Hub sur Cosmos. Sur le plan métaphorique, cela reviendrait à considérer un réseau de petits villages ayant chacun une fonction dédiée. Au nord, une cité minière, à l’est une ville industrielle. Au sud, un village fermier et à l’ouest une bourgade commerciale. Le tout interconnecté via une ribambelle d’autoroutes.

Et ça marche. Certaines villes dans le monde sont d’ailleurs construites sur ce modèle. Néanmoins, tout l’enjeu est de déterminer si à l’avenir, ce type d’organisation sera capable d’accueillir une forte croissance de population.

Construire New York, mais en mieux

Cette approche, c’est celle de Solana, Avalanche ou encore Near. Quand vous bâtissez une nouvelle ville, la duplication d’un grand nombre d’infrastructures peut sembler redondante. Chaque nouvelle ville nécessite son lot de routes, de commissariats, d’écoles ou encore d’hôpitaux.

« De même, chaque nouvelle blockchain Layer 1 a besoin d’un explorateur de blocks, d’accès fiat, d’un AMM (automated market maker) ou d’une place de marché NFT. Ça fait doublon mais c’est une base nécessaire au développement d’une blockchain. »

Haseeb Qureshi

En revanche, l’avantage de construire une nouvelle cité, c’est que chacune d’entre elles dispose de ses spécificités, d’une identité qui lui est propre. Chaque personne sera naturellement attirée par une blockchain ou une autre, comme nous avons nos préférences quant à la ville dans laquelle nous choisissons de résider. Sous la neige de Paris ou le soleil de Tahiti.

À chaque blockchain son atmosphère

« Solana, c’est Los Angeles. » C’est grand, tentaculaire et bon marché comparé à Manhattan. Mettez de côté les ambitions décentralisées de la côte Est, et tel un acteur sans le sou en quête de gloire, lancez votre application ou votre collection NFT sur Solana afin de profiter de la force d’attraction des faibles frais ! Bien sûr, Solana est loin de la belle image d’une blockchain décentralisée. Mais au final, les jeux et les NFT ont-ils réellement besoin de cet aspect pour bien fonctionner ? Et puis, il faut bien dire qu’à Los Angeles, la météo est incroyable.

« Et Avalanche, quant à elle ? Je dirais qu’Avalanche, c’est Chicago. »

Haseeb Qureshi

Elle ambitionne d’être le prochain Wall Street mais en plus neuf, en moins cher, en plus agressif. Forcément, chez Avalanche, l’air est plus frais mais son avenir s’annonce tout aussi radieux.

Pour Near, notre analogie nous conduit vers San Francisco. Bâtie pour les technologies web3, c’est une cité idéaliste, remplie de gens poursuivant le rêve d’un Ethereum 3.0.

Chacune de ces villes a une vision différente du futur et de ce que doit être une cité. Ces visions se complètent. Elles attirent différents types de communautés, d’investisseurs, d’industries qui se retrouvent dans leurs idéaux. Alors ? Je vous repose la question. Vivrons-nous dans un monde multi-chains ou seront-nous happés par la force de l’une d’entre elles ?

Supposons un instant un futur multi-chain. Dans un tel monde, « Ethereum restera probablement la blockchain la plus capitalisée, car […] c’est là que se trouve l’argent », déclare Haseeb.

Les autres L1 continueront de s’apprécier et de se différencier d’Ethereum. A chaque blockchain sa culture. Les L2 continueront leur ascension car sans gratte-ciel, New York n’est pas New York. Les blockchains très spécialisées resteront des marchés de niche. Enfin, dans notre monde physique, le réseau routier est indispensable à l’interconnexion des villes entre elles. Il permet les flux commerciaux, la libre circulation des personnes, des biens et des capitaux. Ainsi, dans un monde multi-chain, les bridges cross-chain seront certainement les rois.

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Les prévisions de Grayscale

Le DeFi des perspectives

Pour Grayscale, la DeFi commence à peine à effleurer la surface des possibilités à venir. Cet écosystème bouillonnant d’applications pour tous peut littéralement révolutionner la finance traditionnelle. Sans paperasse, sans perte de temps ni intermédiaire. Nul besoin de banques, de courtiers ou de gestionnaire, la blockchain vous fournit le même service en une fraction de seconde et à frais réduits.

En pourtant, le marché des actions détient encore 500 fois plus de valeur que le marché actuel de la DeFi. Ce système financier, selon Grayscale, fait pourtant désormais figure d’« antiquité nécessitant un délai de plusieurs jours pour le règlements des transactions et les transferts de fond ».

Graphique de la capitalisation de la DeFi versus celles du secteur financier traditionnel

« Si la crypto attirait ne serait-ce qu’un seul petit pourcent de l’activité du marché du Forex actuel, cela résulterait en un afflux de plus de 660 milliards de volume journalier. Soit 20 trillions de dollars mensuels. À titre de comparaison, les plus hauts pics de volume mensuel constatés en mai 2021 sur les échanges décentralisés étaient à peine plus élevés que 168 milliards. »

Rapport Grayscale

Le Gaming et les NFT dans tout ça ?

Le gaming du web3 représente seulement 2% du revenu global de l’industrie du gaming qui a atteint les 180,3 milliards l’année dernière. Au fur et à mesure que ce nouveau type de jeux, portés par le play-to-earn, ou le move-to-earn, verra son activité se développer, il y a fort à parier qu’ils attirent bien plus de capitaux.

Par ailleurs, les développeurs sont de plus en plus sélectifs dans le choix de la blockchain sur laquelle s’implémenter. Le jeu Axie Infinity a migré sur un Layer 2 d’Ethereum. De manière similaire, DeFi Kingdoms, déjà présent sur la blockchain Harmony, vient de s’étendre sur un subnet d’Avalanche. En parallèle, ces blockchains alternatives mettent en place des programmes de subvention pour attirer ces développeurs, accélérant de fait leur adoption. C’est le cas d’Avalanche qui a annoncé un programme de 290 millions de dollars le 8 mars dernier pour développer son écosystème « multivers ».

En résumé, l’adoption du Web3 par l’industrie du gaming ne cesse de croitre. De manière indirecte, le secteur du gaming attire les capitaux au sein des Layers 1 et Layers 2. Selon Grayscale, le marché éventuel pouvant être capté par le monde de la DeFi et du métavers est probablement bien supérieur aux 2 trillions de dollars de capitalisation de l’entièreté de l’écosystème crypto actuel.

Le constat de Grayscale sur les technologies blockchains

Dans sa conclusion, Grayscale relativise néanmoins les belles perspectives de croissance de l’écosystème par sa grande jeunesse.

« Malgré le fait de permettre des millions de transactions par jour, les plateformes de smart contacts actuelles seraient en l’état bien incapables de recevoir ne serait-ce que 10% du trafic mondial. »

Rapport Grayscale

Le nombre de transactions des marchés traditionnels et financiers à eux seuls serait suffisant pour congestionner tout l’écosystème crypto. Toutefois, cela n’empêche pas le marché adressable par cette technologie d’être la promesse d’une longue prospérité une fois celle-ci en mesure de le recevoir.

L’écosystème crypto tout entier est en train de bâtir les fondations d’un futur décentralisé. Ce futur tend vers une seule destinée : recevoir l’immense charge de trafic actuellement concentré au sein de systèmes centralisés. Dans ce contexte, la thèse de Grayscale est la suivante : investir sur l’ensemble de ces blockchains est surement le meilleur moyen de s’exposer à la croissance globale de ce nouveau marché digital. Ceci, car les activités on-chain (NFT, gaming, métavers) vont très probablement attirer la valeur vers les tokens des blockchains sur lesquelles elles seront bâties. ETH, AVAX, SOL, NEAR et bien d’autres ? Les paris sont ouverts. Quel est le bon cheval ? Et si en réalité, tous ces chevaux étaient gagnants ?

Le rapport de Grayscale vous propose un panel assez large de choix pertinents. Alors pour quelles cryptomonnaies allez-vous fondre ? Vous ne savez pas encore ? Dans ce cas prenez le temps de les essayer et fournissez-vous en cryptos sur un des meilleurs exchanges du marché ! Inscrivez-vous sur FTX (lien affilié) !

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