Mois : mai 2022

Empreinte écologique – MiCA, Kyoto, GIEC, ONU. Autant d’acteurs qui nous interpellent trop souvent ces dernières années. Tous s’accordent à dire qu’il est urgent de lutter contre les émissions de CO2 et le dérèglement climatique. Mais ces alertes ne sont hélas pas en capacité de répondre aux besoins urgents de la Terre. 

CarbonABLE, projet atypique et inédit, entend créer un pont entre le Web 3 et le monde réel, à travers la DeFi. Pour ce-faire, les crypto-investisseurs sont invités à participer à des projets écologiques et vertueux. Les technologies de la blockchain y sont utilisées comme des solutions viables pour régénérer la nature. Découvrez le projet révolutionnaire de CarbonABLE. 

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec CarbonABLE

CarbonABLE : la DeFi qui régénère la nature 

La démarche de CarbonABLE prend racine autour de la problématique des émissions de CO2. Il s’agit donc de comprendre la notion de crédit carbone introduite en 1997 par le protocole de Kyoto. Depuis lors, il existe un marché volontaire des crédits carbones. Les espaces naturels, comme les forêts par exemple, constituent ce que l’on appelle des «puits de carbone». Ils permettent d’absorber le CO2 et génèrent ces fameux crédits carbone. Des entreprises peuvent alors acheter les crédits sur ce marché dans le but d’atteindre la neutralité carbone pour leurs activités. 

CarbonABLE entend donc utiliser ce système incitatif pour financer des projets de régénération de la nature et pour vendre de manière transparente et fiable les crédits carbone qui en sont issus. Une prouesse que les technologies de la blockchain et des NFT permettent d’accomplir très naturellement.

CarbonABLE sélectionne donc des projets en fonction de leur capacité à absorber du CO2. Ces initiatives sont illustrées par des parcelles de terre : elles sont vendues sous la forme de collection de NFTs sur la marketplace de CarbonABLE. Il s’agit donc d’un réel launchpad pour les projets visant à régénérer la nature et à décarboner l’atmosphère. 

L’achat des NFTs représentant ces parcelles permet de fluidifier et d’accélérer le financement desdits projets. Ainsi, les NFT deviennent la preuve indiscutable d’une participation à des actes concrets de régénération de la nature. Par conséquent, ils donnent droit à une rente financière (un revenu passif) basée sur la revente des crédits carbones qui leurs sont liés.

Les NFT CarbonABLE victimes de leur succès !

Le premier mint, en date du 06 mai 2022, a soutenu la reforestation de la forêt de Banegas au Costa Rica. La fondation Corcovado s’est engagée à reboiser cette zone afin  de permettre à la forêt de s’étendre à nouveau. 8000 arbres natifs de la région seront plantés pour cette occasion. Ils permettront ainsi de capturer 1851 tonnes d’émission de carbone ces 30 prochaines années. L’opération a connu un succès fulgurant avec la vente de toute la collection en moins de 2 secondes ! Les heureux propriétaires de ces NFT représentant donc une parcelle de terre délaissée proche de la forêt de Banegas, pourront dès aujourd’hui faire valoir leur participation au projet de reforestation.

Le deuxième mint se tenait le 10 mai 2022. CarbonABLE y soutient un projet localisé sur l’île de Colón dans l’archipel de Bocas del Toro, à Las Delicias, au Panama. Il s’agit d’y planter des mangroves, écosystème tropical qui stocke 3 à 5 fois plus de carbone qu’une forêt. L’objectif ? Restaurer les forêts de mangrove traditionnellement utilisées pour protéger les littoraux. Ce sont ainsi 360 NFT représentant chacun 500 m2 de zones humides qui ont été frappés avec succès et vendus en quelques minutes, tandis que de l’autre côté de la blockchain, l’ensemble du réseau Luna et de l’UST étaient réduits à néant. Une crise qui n’a pourtant pas effrayé les investisseurs, bien au contraire !

Carbonable : une opportunité pour la planète et pour vous !

En acquérant un NFT CarbonABLE vous allez donc aider à régénérer la nature. Vous obtiendrez en contrepartie des rendements issus de cet investissement. Ils sont issus de la vente par CarbonABLE des crédits carbones liés aux projets. Les détenteurs de NFT recevront ces bénéfices sous la forme de stablecoins. 

Comme expliqué précédemment, ces crédits récoltés sur les parcelles exploitées par tous les projets sont négociés sur le marché volontaire des crédits carbone. La vente de ces crédits est progressive. La réalité des marchés et de l’urgence écologique soutient leur prix. Les projections annoncent que la demande pour ces crédits devrait croître massivement d’ici 2050. Les plus optimistes annoncent ainsi un rendement multiplié par 100.   

Le projet CarbonABLE, un allié pour combattre l’urgence climatique

La blockchain et ses dérivés deviennent dès lors des outils pertinents contre le dérèglement climatique. Une solution pratique et concrète pour participer directement à des projets écologiques en attente d’un soutien financier massif et rapide. En remerciement de leurs investissements, les propriétaires de NFT CarbonABLE recevront également des CARBZ, utility token à venir dans les prochains mois. En plus de leur valorisation classique sur les marchés crypto, ces tokens confèreront des droits de gouvernance et des avantages exclusifs à leurs détenteurs. 

Actuellement sur le protocole Cosmos (blockchain Juno), connu pour être peu énergivore, l’écosystème de CarbonABLE prend donc racine dans la finance décentralisée de manière vertueuse. Acteur positif au cœur du problème, le modèle rémunérateur qu’il propose motive à la fois les projets ambitieux pour l’avenir de la planète, les entreprises visant la neutralité carbone, et les investisseurs responsables, heureux détenteurs de NFT CarbonABLE. Un accord multipartite garanti par la puissance de la blockchain, pour le plus grand bonheur de la Terre.

Grâce à la technologie blockchain, la DeFi et la planète ne sont plus incompatibles. Il s’agit donc pour CabonABLE de réconcilier les points de vues en proposant un projet attractif et vertueux. Un capitalisme responsable, à visage humain. Le concept, encore bourgeonnant, n’en reste pas moins prometteur.  En initiant une solution de financement décentralisée pour des projets ambitieux et concrets de régénération de la nature à fort potentiel de captation du CO2, il permet aux technologies du web3 d’étendre leurs champs d’action, et de commencer à insuffler une conscience écologique nécessaire au cœur de la technologie du futur.

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Jason Robins, cofondateur et PDG de Draftkings, le populaire site de paris sportif, est un fan de longue date des cryptomonnaies. Il possède en outre une variété de pièces de NFT. Sur un nouveau podcast Gm de Decrypt, il a partagé ses réflexions sur la manière dont l’industrie cryptographique pourrait être plus accessible aux masses.

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Hier était la date prévue pour la sortie des deux premières chansons de l’album exclusif NFT de Snoop Dogg et Steve Aoki. Ces deux pionniers de la musique NFT les ont accordés gratuitement aux collectionneurs de tokens Snoop Stashbox ou de passeport Aokiverse NFT. NFT musique, une révolution web3 est en marche « Alpha Doggz Da […]

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Le week-end dernier, OpenSea a annoncé le lancement de son protocole open-source, portant sa marketplace NFT Web 3.0 et nommé Seaport. Seaport vise à équiper tous les constructeurs, créateurs et collectionneurs de NFT. Un effort d’optimisation d’OpenSea OpenSea est incontestablement l’un des pionniers du trading des NFT. L’entreprise a dominé le marché avec sa plateforme […]

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Drop kick – Les tokens non fongibles (NFT) partent à l’assaut du ballon ovale français. La Ligue Nationale de Rugby (LNR) se penche sur la possibilité de proposer trois lots de NFT aux fans.

Essai à transformer pour les NFT dans le rugby français

Le rugby français proposera-t-il des NFT lors de la prochaine saison ? Le Comité Directeur de la Ligue Nationale de Rugby a validé le 9 mai 2022, le lancement d’une consultation pour offrir des tokens non fongibles liés au rugby professionnel, à partir de la saison 2022/2023.

Le communiqué de la LNR du 23 mai 2022, indique que cette offre de NFT se décline sous trois formes. La première concerne la commercialisation de cartes NFT. Ces dernières sont associées à « 30 clubs professionnels de TOP 14, et de PRO D2 », ainsi qu’aux « 1500 joueurs sous contrat professionnel ou espoir ».

Le deuxième lot concerne des NFT qui seraient liés à « la diffusion de séquences vidéos du TOP 14 et de la PRO D2 ».

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Les NFT : un moyen de partir à la conquête d’un nouveau public

Le dernier lot donnerait la possibilité « à tout candidat de proposer à la LNR tout autre produit NFT à la commercialisation », tant que ces produits ont un « lien avec les actifs et évènements de la LNR ».

Pour le directeur général de la LNR, Emmanuel Eschalier, ces lots de NFT permettront « tout à la fois d’enrichir notre offre auprès des fans de rugby tout en partant à la conquête de nouveaux publics ».

Concernant la valeur financière de ces NFT, Emmanuel Eschalier a en outre indiqué qu’il était « totalement prématuré d’anticiper ou de spéculer »  sur les éventuelles retombées économiques.

Le directeur général de la LNR estime qu’ « il faut d’abord être pertinent dans ce qui est proposé ». Mais bien que la « motivation première n’est pas financière », Emmanuel Eschalier admet qu’il « y a évidemment une dimension économique et l’ambition que cette offre génère des revenus ».

Après le football et le basketball, les NFT continuent leur percée dans le monde du sport. Le ballon ovale français pourrait bientôt proposer des offres NFT aux fans. De son côté, le ballon rond semble malgré tout avoir une longueur d’avance sur ce terrain. Arsenal s’est par exemple lancé récemment lancé dans le play-to-earn, avec des joueurs représentés par des cartes NFT.

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Visions from Remembered Futures is leaping into the metaverse and simultaneously, out into the real world.

Kevin McCoy, the digital artist who minted the first NFT ever, compares the metaverse of today to the watershed moment when Nintendo launched Mario Bros in 1985.

The DeFi company is using an NFT collection to crowdfund legal defense against a lawsuit brought by a former Elizabeth Warren staffer.

Économie virtuelle – Les métavers et les tokens non fongibles (NFT) seraient en train de transformer le mode de consommation en Chine. Les stratégies des entreprises qui veulent surfer sur cette nouvelle vague 3.0 s’adaptent également à cette nouvelle tendance.

Le Chinaverse ou l’économie chinoise à l’ère du web3

Fabernovel, le groupe international expert dans l’accompagnement à l’innovation, a publié un rapport intitulé « Into the Chinaverse ». Le document s’intéresse aux nouveaux modes de consommation générés par la technologie.

Il questionne ainsi les stratégies des marques utilisant le web3, pour séduire la génération Z en Chine. Il se penche également sur la manière dont les entreprises pourraient mieux comprendre le métavers, pour pouvoir y évoluer en utilisant au mieux leur potentiel stratégique. Le rapport tente en outre de déterminer les startups de la génération Z qu’il faudrait surveiller dans le métavers.

Le poids du web3 en général et des métavers en particulier a augmenté de manière importante en Chine. D’ailleurs Morgan Stanley estime la taille de l’industrie du métavers dans le pays à 8 000 milliards de dollars en 2021. En outre, la société d’intelligence marketing IDC prévoit que d’ici 2025, 37 millions de chinois connectés auront une identité virtuelle dans les métavers.

Cette croissance du web3 en Chine bénéficie de l’appui du gouvernement. Le ministère chinois de l’industrie et des technologies de l’information veut soutenir 3 000 startups engagées dans les métavers, la blockchain, et l’intelligence artificielle.

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La Chine veut conquérir le metaverse

La Chine accueille ou accueillera des startups ambitionnant de conquérir le web3, comme les médias sociaux tels que Bud et Vyou, ou les entreprises NFT comme Animoca Brands.

Le rapport sur le Chinaverse donne également son avis sur le statut des NFT en Chine. Les jetons non fongibles serviraient davantage de certificats de propriété et seront utilisés pour protéger les droits de propriété intellectuelle. Ils ne seraient pas utilisés comme des produits financiers.

Les NFT s’écartent ainsi des cryptomonnaies dont le minage fut officiellement interdit dans le pays en 2021. Le minting, la publication, la vente, ou les transactions NFT en général continueraient selon le rapport, à être réglementés. Bien que la Chine ait « banni » le minage de cryptos, elle figure toujours parmi les plus grands mineurs de Bitcoin mondiaux.

De plus en plus d’entreprises issues de différents secteurs – mode, banque, immobilier, etc. – décident d’embrasser les NFT et les métavers. Elles veulent en effet saisir les différentes opportunités réelles qui se créent dans ces mondes virtuels. Les lecteurs du Journal du Coin peuvent également faire leurs premiers pas dans le web3, en visitant le métavers de leur média crypto préféré.

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NFTs and cryptocurrencies have the promise to build deeper relationships between companies and their customers.