Surveillez vos enfants ! Les gains des play-to-earn peuvent vous coûter cher !

Ready player one ! – On le sait tous, la fiscalité des cryptos est un mix entre un parcours du combattant et la lecture d’un livre de philosophie écrit en grec ancien. Avoir à déclarer ses gains en France peut vite donner la migraine. Entre le trading, les ventes de NFT, les giveaways possibles, et bien sûr les taxes, tout est très compliqué.

S.O.S parents en détresse (fiscale)

Et bien rassurez vous (ou pas), c’est la même chose en Australie ! Et un point, très à la mode en ce moment, soulève de vraies questions.
Comment déclarer les gains liés aux jeux ? (play-to-earn par exemple). Et plus particulièrement, ceux de ses enfants ?

Il y a quelques mois en arrière, les enfants pouvaient dépenser de l’argent (souvent le vôtre) pour des jeux. Aujourd’hui, ils peuvent en gagner, sans même que les parents n’en soient conscients.

Lors d’une convention crypto en Australie la semaine passée, Adam Saville-Brown (responsable régional de la société de logiciels Koinly), a fait un constat. La majorité des gens ne se rendent pas compte que les revenus, générés par les jeux P2E, sont soumis à la fiscalité. Et ce, au même titre que des revenus liés au trading, à l’investissement ou à la vente de cryptos. Il donne en exemple le cas du père d’un petit garçon de neuf ans. Il joue à des jeux en play-to-earn et en fait des vidéos (lives, tutos) sur les réseaux sociaux.

« Les parents s’inquiétaient autrefois du fait que leurs enfants jouaient à des jeux comme GTA, avec violence […] mais les parents doivent maintenant être conscients d’un tout nouveau niveau de complexités fiscales. […] Le gamin de neuf ans exploite, jalonne, crée des vidéos Youtube et TikTok au point que son père a dû l’amener ici aujourd’hui parce qu’il génère beaucoup de revenus. »

Adam Saville-Brown

Et il ne faut pas prendre la situation à la légère. En Australie, si on joue à un jeu qui génère de l’argent et que l’on en tire un revenu, l’administration vous considère comme un « dirigeant d’une entreprise« . Ce qui peut vite amener à des complications assez sévères.

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Gains en Australie, USA, même combat !

Pour le chef des impôts de la société Koinly en Australie, Danny Talwar, les parents doivent faire très attention. « Si vous êtes un joueur professionnel, il est considéré que vous dirigiez une entreprise, vous serez donc traité selon de telles règles ».
Dans le cas du petit garçon, étant donné qu’il a un gain conséquent via le jeu ET via Youtube et sa communauté TikTok, il peut donc, malgré son jeune âge, avoir le statut de chef d’entreprise.
Danny Talwar prend en exemple le plus célèbre des jeux actuels, Axie Infinity. Celui-ci permet de générer des revenus mensuels. Et la situation se complique quand la personne est mineure.

« Ajoutez l’autre problème des mineurs de moins de 18 ans, en jouant à des jeux pour gagner un revenu et créer de la valeur dans le jeu. Cela a un marché avec des conséquences imposables que les gens ne réalisent pas nécessairement. »

Danny Talwar

Dans le reste du monde, le problème est relativement identique.
Aux États-Unis par exemple, il y a une zone encore assez peu claire dans la manière de déclarer les gains liés aux jeux. Selon que les revenus soient en crypto (tokens du jeu par exemple), en NFT, en giveways, ou via du staking, le traitement (et donc l’imposition) seront différents.
Ainsi dans le cas d’une crypto, le gain est imposé comme un bien corporel. C’est donc l’impôt sur les plus-values qui s’applique. Cependant, si ce gain est lié à un jeu, la crypto est alors imposable comme un revenu classique.

Jouer est à la base un moyen de se détendre, se changer les idées et voyager dans un autre monde. Aujourd’hui, c’est également un moyen de gagner de l’argent et donc de voyager dans le domaine de la fiscalité. Cela peut vite devenir un réel cauchemar. Restez prudents, renseignez vous bien sur la manière de déclarer de potentiels gains afin d’éviter de vous retrouver au niveau 5 des galères fiscales.

Votre enfant passe du temps sur les play to earn ? Vous êtes inquiet pour sa santé et surtout pour le montant de votre revenu fiscal ? Inscrivez-vous sans attendre sur la plateforme d’échange crypto de référence FTX. De plus, vous bénéficiez de 8% d’intérêts composés avec FTX Earn (lien commercial, voir conditions sur site officiel).

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Le Trésor américain lance une consultation publique sur la réglementation des cryptomonnaies

Le département américain du Trésor sollicite l’opinion publique sur le « développement responsable des actifs numériques. » Ses questions portent sur divers aspects liés aux cryptomonnaies, notamment la finance décentralisée (DeFi), les jetons non fongibles (NFT), les mixeurs, les fournisseurs de services d’actifs virtuels (VASP) et le dollar numérique….
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L’abandon du modèle play-to-earn par les studios de jeux vidéos est positif pour la crypto

Les principaux studios de jeux vidéo revoient leurs projets de développement de titres “play-to-earn” basés sur la blockchain, dans le contexte d’un ralentissement continu des secteurs GameFi et crypto dans son ensemble. Selon des sources citées par Bloomberg, les NFT et les cryptomonnaies introduisent dans le jeu un élément spéculatif et lucratif qu’au moins certains grands éditeurs préféreraient éviter….
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What Web3 Identity Needs

TL;DR: To create an open financial system for the world, we need to ensure web3 is usable by everyone. This means building an identity experience that’s intuitive, forgiving, and trustworthy, combining the best of web2 and web3. Our first step is to make it easy for anyone to claim a web3 (ENS) username for free, but there’s more work to be done.

By Alex Reeve, Group Product Manager, Identity

If you’ve used crypto, you’ve probably experienced the anxiety that comes from sending tokens or NFTs to intimidating 42-character addresses like 0x2133a64a3bE8B64827B26B08e166d0b478bd09D3. To make this easier, we worked with Ethereum Name Service (ENS) to allow users to claim “name.cb.id” usernames using Coinbase Wallet’s browser extension.

In order to create an open financial system for the world, we need to ensure that people from all walks of life can use web3. Fostering adoption of a human-readable username standard is a key part of making web3 user-friendly for everyone. With this feature, anyone can now claim a free “name.cb.id” web3 username to send and receive crypto (instead of using 42-character addresses), engage with others, and to use as the foundation of their web3 identity.

While this is an important milestone, your username is only part of your online identity. There are other identity-related gaps to fill before web3 is usable by billions of people. While web3 has early promise, it’s often unintuitive, and it lacks viable ways of conveying and assessing trust and legitimacy. To fill these gaps, we need to combine the convenience of web2 with the privacy, security, and control of web3.

What is identity? Why does it matter?

When you create an account or sign in to a product, you’re using your identity to gain access. Identity is how products and platforms represent people, manage access and authorization, and assess trust. Identity has three core parts:

1. Representation: how you’re represented as a user (e.g. your username and profile).

2. Access: proving that you’re the owner of said identity (e.g. signing in) to get access to the product.

3. Authorization: determining what you’re allowed to access based on who you are.

With web3 today, you’re represented by a wallet address or username like nick.eth or nick.cb.id. You access web3 by using your seed phrase to configure your wallet or recover access to your wallet. Specific tokens or NFTs can authorize you to access exclusive communities, merchandise drops, and more.

Hasn’t web2 already solved this problem?

Web2 companies have invested heavily in developing intuitive and convenient identity products. But the cracks in web2 identity are starting to show: the need to manage multiple accounts and passwords; having to fend off relentless spam; and the insidious lack of privacy, security, and control.

Many of us have exchanged privacy, security, and control for convenience. We only become aware of web2’s downsides when we’re impacted by a data breach, organizational overreach, or loss of access. But in today’s world, these events are becoming inevitabilities.

What does web3 need to thrive?

Basic customer needs are the same for web2 and web3 identity. The difference is how they’re met. Web2 is centralized, providing convenience and flexibility at the cost of privacy, security, and control. Web3 is trustless and decentralized, but it has usability gaps. For web3 to thrive, we need to combine the best of both (flexibility and usability without sacrificing privacy, security or control) and create an experience that’s:

Intuitive. It needs to be easy for every user to transact and engage with others through human-readable usernames rather than intimidating 42-character addresses.Forgiving. Every user needs security, and they need a way to recover access without being reliant on safely storing a sensitive recovery phrase — where a single mistake can cost someone their livelihood.Trustworthy. People need to be able to understand whether the person or app they’re interacting with is trustworthy, and apps and people need tools to demonstrate trust to others.

Evolving web3 identity

Web3 has the opportunity to address many of web2’s flaws. With crypto, you control the keys to your identity and your security is in your own hands. But let’s be realistic: web3 as it exists today is intimidating. So what do we, the web3 community, need to build to make the benefits of web3 available to everyone?

An identity for the user.

We need to make it easy to define and manage portable, interoperable, human-readable usernames that sit on rich, customizable public identities ranging from anonymous to fully public. Users should be able to maintain multiple identities for different contexts (e.g. one for work and one for gaming).

Tools to help everyone stay secure and feel secure.

Today, web3 violates one of the cardinal laws of security in that our identities are vulnerable to a single point of failure: the recovery phrase. A compromised app, device, or a social engineering attack can lead to identity theft. Multi-factor authentication (MFA) is the quintessential web2 example, and web3 will need an equivalent solution that can protect every user.

Recovery for when something goes wrong.

We’ve all forgotten a password at some point, and we shouldn’t expect recovery phrases to be any different. We can’t scale an ecosystem where losing a recovery phrase can cost someone access to their livelihood — users need ways of regaining access. Products like social recovery or the multi-party computation (MPC) technology that powers Coinbase’s dapp wallet are creating more forgiving experiences that can enable broader web3 adoption.

Signals for trust and legitimacy.

Passports only work because governments attest to their legitimacy. The utility of web3 identity will also rely on trusted parties attesting to the legitimacy of an identity. Users will need ways of collecting, managing, and communicating “attestations” that validate their credentials and legitimacy. Applications will need ways of both issuing and verifying the legitimacy of a user’s identity and credentials.

Interoperability across web2 and web3.

Over time, the concepts of “web2” and “web3” will blur and users who are later on the adoption curve won’t see a clear difference between the two. They will expect to be able to seamlessly access both “web2” and “web3” from a single identity and set of credentials, and we need to enable that experience. Similarly, we need to provide users with a chain-agnostic identity that they can use across all of web3.

Building identity for web3

Building a robust web3 identity layer will require deep focus from strong teams that can build and iterate rapidly. This will often mean building and refining locally before scaling globally (and in a decentralized way). Coinbase and organizations like us need to embrace this long-term vision from the start: open source, open standards, and close collaboration with the broader web3 ecosystem.

Most importantly, we can’t lose sight of the core promise of web3 identity. We need to build in a way that prioritizes privacy, security, and control for the user while being intuitive, forgiving, and trustworthy.

We’ve started this journey with organizations like ENS and Verite to enable a free web3 identity (cb.id) for everyone, and we’ll continue expanding our identity offerings. Watch this space: this is only the beginning of an exciting new chapter for identity and web3 for Coinbase and for the web3 community at large.

What Web3 Identity Needs was originally published in The Coinbase Blog on Medium, where people are continuing the conversation by highlighting and responding to this story.

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Le Trésor américain lance une consultation publique sur la réglementation des cryptomonnaies

Le département américain du Trésor sollicite l’opinion publique sur le « développement responsable des actifs numériques. » Ses questions portent sur divers aspects liés aux cryptomonnaies, notamment la finance décentralisée (DeFi), les jetons non fongibles (NFT), les mixeurs, les fournisseurs de services d’actifs virtuels (VASP) et le dollar numérique….
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Yuga Labs recrute pour son metaverse – Un nouveau directeur à la tête d’Otherside

Des NFT oui, mais pour jouer – Yuga Labs s’est déjà fait un nom dans le petit milieu des NFT à succès. Non content d’être l’heureux créateur de la collection à succès des Bored Apes, Yuga Labs s’est offert en mars dernier les CryptoPunks. Et ces deux-là se disputent depuis le top du classement des NFT « de stars ». Mais la société de Floride ne compte pas s’arrêter là ! Elle souhaite ardemment développer son projet de métavers baptisé « Otherside ». Et pour le mener à bien, elle vient de renforcer son équipe dirigeante avec un spécialiste du secteur.

Yuga Labs continue son développement dans les jeux vidéo web 3

Yuga Labs fait régulièrement la une de la presse spécialisée dans le web 3 avec ses collections de NFT et ses nouveaux projets. Dernièrement, c’est le métavers Otherside qui a attiré tous les regards. Les concepts de développement ouvert, d’interopérabilité, de participation des utilisateurs et d’utilisation des droits sont autant de nouveautés dans le secteur. Et tout ceci suscite énormément d’attentes de la part de la communauté.

Nicole Muniz, CEO de Yuga Labs, développe cela dans le communiqué de presse :

« Yuga est aujourd’hui surtout connue pour être la maison du Bored Ape Yacht Club, des CryptoPunks et des Meebits. Mais Yuga est plus que cela. Le jeu est l’un de nos principaux domaines d’intervention. Nous sommes idéalement placés pour révolutionner la façon dont nous pensons tous au jeu web 3, ceci grâce à des principes fondamentaux, tels que la propriété, l’utilité, la communauté et la narration. »

Et, pour mettre en pratique ces projets, la société a énormément embauché, passant de 10 à 70 salariés dans l’année. Et, elle dépassera probablement les 100 employés à temps plein d’ici fin 2022, avec notamment une recrue de choix : Spencer Tucker.

La collection « star » de chez Yuga Labs : les Bored Apes

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Un nouveau chef pour le metaverse maison Otherside

Anciennement haut responsable chez Scopely, ce dernier a pour mission de superviser l’ensemble du secteur jeux, plus particulièrement le métavers. Le nouvel arrivant – qui vient d’une entreprise spécialisée dans le jeux vidéo mobile – a partagé son enthousiasme avec la presse :

« Le web 3 révolutionne le jeu, le divertissement et la communauté de la même manière que le passage au mobile a révolutionné la communication. Je suis plus que ravi de rejoindre l’équipe de Yuga Labs et de continuer à progresser vers une nouvelle ère d’interopérabilité et de croissance communautaire dans le metaverse Otherside. »

Après avoir débauché des salariés de nombreuses sociétés prestigieuses, Yuga Labs continue donc sa politique de développement qui la place dans le wagon de tête des entreprises du domaine. Rencontrera-t-elle le même succès avec ses jeux vidéo qu’avec ses collections de NFT ? Une chose est sûre. Les entreprises fourbissent leurs armes pour partir à l’assaut d’un secteur qui sera énorme dans les années à venir.

Accompagnerez-vous la révolution gaming sur la blockchain ? Il ne tient plus qu’à vous d’embarquer dans le train crypto ! Pour ce faire et commencer donc à vous familiariser avec ce monde passionnant. N’attendez pas pour vous créer un compte sur Binance, l’exchange Bitcoin et crypto de référence (lien commercial).

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