Toute l'actualité des NFT
À peine l’étape The Merge validée, des conséquences inattendues apparaissent et sont scrutées par l’ensemble de la communauté. Cela afin de déterminer dès les premières […]
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Doodles est une entreprise créatrice de NFT créée en 2021, avec une collection de 10 000 NFT pleine de couleurs. La collection a été créée par l’artiste numérique Burnt Toast et les pionniers du Web3 Evan Keast et Jordan Castro. Elle se compose de charmants portraits des héros retrouvés dans les dessins animés. Les NFT sont frappés sur la blockchain Ethereum (ETH). Récemment, Doodles a levé 54 millions de dollars de fonds.
L’article Crypto : Une collection de NFT lève 54 millions de dollars de fonds ! est apparu en premier sur Cointribune.
Unlike most non-fungible tokens, China’s “digital collectibles” are built on closed networks and designed to appease regulators who frown on trading and speculation.
Les NFT continuent d’affoler les compteurs : alors que les marchés se sont dramatiquement effondrés et que les grandes marques sont les principales gagnantes des dernières semaines, voilà un autre géant mainstream qui pourrait bien se lancer dans l’aventure du Web3.
Selon Decrypt, le fameux MoMa de New York chercherait à vendre prochainement pour 70 millions de dollars d’oeuvres d’art, tirées de ses collections détenues au nom de la William S. Paley Foundation. Les représentants de cette dernière auraient confirmé avoir donné mandat à Sotheby’s pour gérer cette vente, dont les fruits devraient servir à asseoir le positionnement numérique du Musée d’Art Moderne de New York au sein de la nouvelle économie.
Si les plans définitifs de la fondation pour cette future manne ne sont pas encore connus, des représentants du MoMa évoquent expressément la possibilité pour le musée d’acheter ses premiers NFT, mais aussi de développer l’organisation d’événements virtuels. On apprend à l’occasion de ces quelques confidences qu’une équipe d’experts dédiés est chargée de suivre les marchés des NFT afin d’identifier les artistes les plus prometteurs.
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L’article Vendre des oeuvres de Picasso et Renoir pour acheter des NFT ? Le drôle de projet du Musée d’Art Moderne de New York est apparu en premier sur Journal du Coin.
Demi-tour, droite ! – Ubisoft occupe régulièrement le devant de la scène quand il s’agit de parler du lien entre les NFT et l’univers du jeu traditionnel. Mais cette fois-ci, c’est pour revenir sur certaines déclarations.
Après le projet des lapins crétins en voxel intégrés à l’univers de The Sandbox, Ubisoft travaillait sur Ubisoft Quartz. Le but était de mettre en place des collections de NFT, utilisables dans les différents jeux du studio. Mais dans une interview qui vient de paraitre, le PDG d’Ubisoft Yves Guillemot vient de refroidir les ardeurs de manière assez brutale.
Pour lui, il ne faut pas mettre la charrue avant les bœufs. Les NFT peuvent apporter beaucoup à la communauté des joueurs, mais tout est encore à l’étude.
« Nous sommes beaucoup sur le cloud, sur la nouvelle génération de voxels, et nous examinons toutes les fonctionnalités du Web3. Les résultats de tests récents nous donnent plus d’informations sur la façon dont il peut être utilisé et ce que nous devrions faire dans l’univers des jeux vidéo. Nous testons donc le terrain avec certains jeux, et nous verrons s’ils répondent vraiment aux besoins des joueurs. Mais, nous sommes toujours en mode recherche, je dirais.»
Yves Guillemot – PDG de Ubisoft
Cette manière de présenter les choses est complétement différente du discours qui était tenu jusque-là, notamment par les anciens dirigeants du studio de jeux.
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Est-ce que ce coup de frein est lié à la levée de boucliers connue par les différents éditeurs, Ubisoft compris, vis-à-vis des joueurs « traditionnels » qui voient d’un mauvais œil l’arrivée des NFT dans leurs jeux favoris ? Rien n’est dit dans ce sens, mais ce paramètre joue certainement un rôle.
Le vice-président du Strategic Innovations Lab d’Ubisoft s’était d’ailleurs exprimé sur le sujet. L’annonce du partenariat avec the Sandbox avait soulevé des protestations.
« Je pense que les joueurs ne comprennent pas ce qu’un marché secondaire numérique peut leur apporter.»
Nicolas Pouard
Là où certains estiment qu’Ubisoft récupère le moindre centime possible via des ventes additionnelles, le studio répond que l’intérêt du NFT est de garder la possession sur un objet/personnage utilisable dans divers univers.
Quoi qu’il en soit, le projet de lier le gaming traditionnel et NFT chez Ubisoft n’est pas mort. Il faudra juste un peu plus de temps que prévu avant de pouvoir utiliser des token non fongibles dans nos jeux favoris.
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L’article Ubisoft et les NFT : il est urgent d’attendre selon le patron du géant du gaming est apparu en premier sur Journal du Coin.
New York’s Museum of Modern Art (MoMA) will auction off $70 million worth of William S. Paley’s art collection, with the museum considering the acquisition of non-fungible tokens (NFTs) with the proceeds.
Il y a un secteur de la cryptosphère qui se porte à merveille, c’est le financement des projets NFT et de gaming. La firme The Block Research nous apprend en effet que le financement des opérations de capital-risque liées à ces deux secteurs-clés du monde des cryptos a bondi de 66 % en août 2022 par rapport au mois précédent. …
Lire la suite: Explosion des financements pour les projets du secteur du gaming et des NFT en août
Depuis plusieurs mois, les NFT et plus généralement l’économie mondiale, sont rentrés dans une phase pour le moins tourmentée. Mais certains projets continuent d’avancer et déroulent imperturbablement leur roadmap… Construisant ainsi des fondations solides pour leur avenir. On pourra citer des projets comme RTFKT x Nike , Born Ape Yacht Club (BAYC) ou encore DeGods pour rester dans le thème des NFT. Aujourd’hui focus sur l’actualité d’RTFKT et la réouverture de sa forge emblématique.
Mécanisme faisant l’ADN de l’univers RTFKT, celui-ci permet de franchir les barrières entre le réel et le virtuel … Ainsi la forge permet de transformer son NFT (un objet digital) en un objet physique.
Exemple : Je possède une paire de sneakers (=chaussure) sous forme de NFT. Je vais alors passer à la forge pour obtenir cette paire sous forme physique.
Ainsi via ce système, les possesseurs de certains NFTs peuvent réclamer des produits ou “expériences” exclusives dans le monde réel.
Cette « fusion » a déjà été explorée à maintes reprises par RTFKT et ce depuis plusieurs mois… Notamment avec la forge pour le sweat « RTFKT x Nike AR Hoodie » ou encore via des évènements comme “An Arrow Through History” aux Galeries Gagosian de New York.
“An Arrow Through History” a été une exposition sur les nouvelles œuvres de l’artiste Takashi Murakami en collaboration avec RTFKT. Exposition transfigurée en une expérience immersive par le biais de l’AR. Celle-ci étant activable à l’intérieur mais aussi à l’extérieur du bâtiment. La frontière entre le réel et le virtuel a donc été brisée :
une première fois par l’AR une seconde par la possibilité de visiter l’exposition depuis n’importe quel endroit dans le monde directement via Oncyber .
« La culture japonaise est originaire du continent eurasien, et mon concept a été d’aller au-delà, dans le métavers, en tirant une seule flèche à travers l’histoire de l’art. (…) Lorsque je travaille sur une production créative, je ne fais aucune distinction entre le numérique et l’analogique. Je travaille toujours dans le contexte de l’art contemporain, et ce contexte consiste à savoir si je peux participer à des événements qui parviennent à déclencher une révolution cognitive. »
Takashi Murakami, pour l’article du Gagosian au sujet de l’exposition
D’autres mastodontes du monde des NFT comme BAYC ont aussi tenté l’expérience avec l’organisation de fêtes et concerts privés.
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Néanmoins RTFKT conserve une longueur d’avance sur ce domaine. Domaine qui reste à ce jour l’épine dorsale ainsi que le fer de lance d’RTFKT. Celui-ci se résumant par le slogan souvent énoncé dans les tweets de la team : “merge the worlds” (littéralement fusionner les mondes).
« Dans le futur, nous voyons RTFKT comme l’épicentre de tout ce qui touche au luxe, au streetwear et à la culture. La principale façon dont nous envisageons de dominer le marché est de soutenir les créateurs (les petits créateurs entre autres). »
Zaptio (Steven Vasilev), co-fondateur d’RTFKTstudio pour highsnobiety
L’entreprise a donc fait passer à un autre niveau son mécanisme de forge. Proposant ici une collection entière de plus de 70 vêtements, allant des casquettes jusqu’aux chaussures. Ici, les chaussures sont la pièce maîtresse de la collection.
Cette « Forge SZN1 » est composée de 2 parties :
La première, l’étape du mint (du 31/08/22 au 07/09/22) : c’était le moment où les détendeurs de CloneX pouvaient acheter les NFT qui leurs plaisent.La deuxième, l’étape de la forge (du 07/09/22 au 14/09/22) : les NFT mintés pourront ensuite être forgés (gratuitement), sauf les sneakers qui seront forgeables plus tard.
Les sneakers sont par ailleurs « essayables » via des filtres AR sur Snapchat.
Comme énoncé ci-dessus ce sont des articles en édition limitée. En effet, les possesseurs de CloneX peuvent seulement mint les NFT correspondant à l’ADN ou à l’attribut « Murakami Drip » de leurs Clones (en 2 exemplaires maximum pour chaque type). De plus une collection est ouverte à tous les Clones, la collection « genesis ». Elle comporte un T-shirt que chaque Clone peut mint en 1 exemplaire gratuitement.
Vous l’aurez compris, c’est la communauté qui décidera de la quantité de chaque article sur le marché et ainsi déterminera leur rareté.
Tous les articles forgeables, à l’exception des chaussettes et des casquettes, possèdent des étiquettes NFC. Celle ci permettent aux propriétaires de relier les objets physiques à leur NFT.
Cette technologie va permettre le déblocage de nouvelles possibilités en matière d’innovation aussi bien dans le monde physique que digital (accès à des événements exclusifs en scannant votre sweet par exemple, vérification d’authenticité de l’objet, historique sur les détenteurs de celui-ci, etc…).
Au vu du nombre de grandes marques de luxe s’intéressant aux NFT, nous pouvons anticiper l’avènement d’une nouvelle branche dans cette industrie. Celle-ci pourra notamment laisser s’épanouir des initiatives de créateur comme maison Maachi, mettant ainsi au premier plan la qualité et l’unicité d’un produit.
Le savoir-faire artistique et numérique de RTFKT associé à l’expertise et au pouvoir financier de Nike, permettent d’entrevoir une éventuelle sortie de niche des NFT adossés à des objets physiques. Et ainsi d’envisager un monde « physical » (mix entre physique et digital). Cette thèse est notamment soutenue par l’arrivé imminente des multinationales du luxe dans le domaine. En effet grâce à la technologie NFC, il paraîtra rapidement indéniable pour le grand publique que les NFT puissent constituer une réelle solution aux problématiques du monde réel. Et pourquoi pas augmenter la valeur d’un produit physique ?
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Solana en passe de détrôner Ethereum ? – Les NFT de la blockchain Solana continuent d’attirer du public en dépit d’un marché difficile, voire inerte. Mieux encore, voilà qu’ils battent un nouveau record du nombre de mints en une journée. Malgré quelques dysfonctionnements, les faibles coûts de transaction ont su convaincre des utilisateurs pour les mints et les échanges de NFT. Le pari des amateurs de NFT ayant misé sur Solana est donc bien réussi.
Le samedi 7 septembre, la blockchain Solana a enregistré sa plus grosse performance en terme de NFT mintés à la journée. C’est au total 313 380 mints qui ont été enregistrés en 24 h, sans oublier des volumes d’échange avoisinant ceux de la blockchain Ethereum.
Alors que tous les yeux semblaient être rivés sur The Merge et les opportunités qu’elle pouvait offrir, des portefeuilles bien avisés ont privilégié les spéculations délivrées par Sam Bankman-Fried sur Solana. La cause de cette fulgurante augmentation de mints ? Principalement la collection « Yoots » que beaucoup attendaient, mais aussi tout simplement un engouement collectif.
De tout temps, le volume d’échange de NFT sur la blockchain Solana s’est trouvé bien en dessous de celui des dits concurrents. À vrai dire, la « concurrence » se faisait principalement entre 3 chaînes : Ethereum, Solana ainsi que Ronin.
Depuis, Ronin, la blockchain dédiée au jeu Axie Infinity, a perdu de sa superbe en raison des mauvaises nouvelles qu’a accumulées son play-to-earn. Elle s’est finalement trouvée sur la touche. Il reste ainsi Solana qui peut être qualifiée de challenger. Toutefois, Ethereum reste évidemment indétrônable pour ses volumes d’échange de NFT.
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Cependant, malgré le bear market qui a particulièrement frappé le marché des NFT, la quantité d’échanges et de mints sur Solana fait preuve d’une forte résilience. En effet, par rapport à son point haut, Solana a enregistré une baisse de ses volumes d’environ 50 %. Le réseau Ethereum affiche, quant à lui, des volumes, non pas divisés par 2, mais par 20.
Bien entendu, cette comparaison reste relative en raison des volumes astronomiques que le réseau de Vitalik Buterin a pu capter. Cependant, le constat est assez brillant pour Solana.
Selon les dires de Zhuoxun « Z » Yin, le co-fondateur de la marketplace Magic Eden, les faits démontrent que Solana n’est pas un choix de seconde zone. Son écosystème est robuste :
« Je pense que les gens sont en train de réaliser que Solana est encore assez liquide en tant que marché NFT, malgré le marché baissier. (…) [Cela] s’est plutôt bien passé, ce qui a entraîné une nouvelle vague de mints/d’échanges. »
Il est aussi important de mentionner le fait que la qualité globale des projets NFT Solana tend à s’améliorer. Il est évident que faire mieux au niveau de la qualité des collections n’était pas vraiment une épreuve. Mais durant des temps difficiles, la clientèle devient forcément plus exigeante. Elle ne se contente (presque) plus de NFT hideux et inutiles.
Malgré les difficultés techniques, la blockchain fait fi des critiques et attire indéniablement un large public. De fil en aiguille, la concurrence entre ses différentes marketplaces de NFT et la manifestation du bear market ont légèrement tiré vers le haut la qualité des projets. Couplé aux frais de transaction presque insignifiants, le phénomène crée la recette d’un intérêt collectif. Quelques pannes ne sont pas tant un obstacle dans la conquête du marché des NFT.
Le SOL est encore loin du plafond mais son écosystème résiste ! Inscrivez-vous sans attendre sur la plateforme de référence FTX. De plus, vous bénéficiez d’un rendement jusqu’à 8% sur tous vos actifs cryptos (lien commercial, voir conditions sur site officiel).
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Le Merge d’Ethereum est imminent. D’ailleurs, beaucoup de mineurs ont déjà arrêté leurs machines, ou sont passés sur une autre cryptomonnaie à miner. Ces changements affectent des cryptos qui étaient relativement discrètes jusqu’aujourd’hui, à l’image du Flux et surtout du Ravencoin.
Ravencoin, qu’est-ce que c’est ? Nous vous en parlions dans une analyse en 2019, le Ravencoin (RVN) est né le 3 janvier 2018. Née d’un fork de Bitcoin, cette blockchain qui utilise le consensus de Proof of Work valide un bloc toutes les minutes. Bitcoin, lui, n’en ajoute qu’un toutes les 10 minutes en moyenne.
Avec un montant maximal de 21 milliards de RVN (contre 21 millions pour le BTC) cette blockchain est connue depuis longtemps. Assez peu mise sur le devant de la scène, elle pourrait cependant remplacer Ethereum dans le cœur des mineurs.
Ravencoin permet également l’utilisation de NFT (Non fungible token) et toute une série d’applications décentralisées, à l’image d’Ethereum.
Asic résistant, le RVN se mine avec des cartes graphiques (GPU), tout comme Ethereum et son fork, Ethereum Classic (ETC).
À l’approche du Merge, beaucoup de mineurs ont cherché une autre cryptomonnaie à miner, qui soit le plus rentable possible. C’est pour cela que plusieurs cryptos en POW ont connu un pump assez conséquent, et le Ravencoin en fait partie !
Avec un prix de 0,035 $ le 7 septembre, le RVN a atteint les 0,071 $ le 13 septembre ! Une belle augmentation (une fois 2 en quelques jours) qui pourrait s’accélérer après le Merge si le Ravencoin devient l’une des crypto qui remplace Ethereum dans le cœur des mineurs.
Avec un ATH de 0,282 $ le 20 février 2021, époque où le Bitcoin explosait tous les records, le Ravencoin pourrait se révéler un investissement relativement intéressant pour les mineurs. Le fait que la crypto fassent partie des « anciennes » et qu’elle puisse encore multiplier son prix par 4,5 pour atteindre son prix le plus haut connu pourrait donner envie à beaucoup de mineurs de passer le cap. Ils mettraient alors leurs machines à dispositions pour créer de nouveaux blocs sur la blockchain Ravencoin.
Actuellement à la 65ᵉ place de coinmarketcap avec plus de 500 millions de dollars échangés par jours, il ne serait pas surprenant de voir le Ravencoin gravir encore quelques marches.
Si vous êtes (ancien) mineur d’Ethereum, le RVN peut être un bon recours après le Merge pour continuer de rentabiliser vos cartes graphiques. Alors, pourquoi ne pas essayer de trouver un remplaçant à ce bon vieux ETH ?
Dans tous les cas, que ce soit pour miner du Ravencoin ou n’importe quelle autre crypto en Proof of Work, prenez le temps de faire vos recherches, d’étudier le token et ses cours, ainsi que son potentiel. Une page se tourne avec le passage d’ETH en full Proof of Stake, à nous d’écrire la suivante !
Le Ravencoin sera-t-il l’avenir des mineurs d’ETH ? En attendant les retombées de The Merge, profitez des rendements à 8% de FTX Earn. Inscrivez-vous sur FTX la plateforme crypto de référence (lien commercial, voir conditions sur le site officiel).
L’article The Merge : Ravencoin va-t-il remplacer Ethereum dans le cœur des mineurs ? est apparu en premier sur Journal du Coin.