Toute l'actualité des NFT
La technologie blockchain grâce au Bitcoin a permis de démocratiser la désintermédiation des échanges. Plusieurs innovations en termes de cryptomonnaies ont fait leur apparition. A mi-chemin entre la DeFi et les NFT, les Social Tokens ou les jetons sociaux en français redéfinissent les codes du marketing dans la manière d’interagir avec les communautés.
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Le Play-to-Earn plie, mais ne rompt pas – Alors que le monde tremble, que le marché saigne et que les foules s’agitent, le secteur du Play-to-Earn, lui, trace sa petite route tranquillement. Le studio et incubateur d’applications décentralisées de gaming, Vulcan Forged, vient de lever pas moins de 8 millions de dollars lors d’une levée de fonds de série A, menée par Skybridge Capital. Alors, qui a dit que le Play-to-Earn était mort et enterré déjà ?
Vulcan Forged est une plateforme de jeux NFT Play-to-Earn qui a conquis un large public grâce à ses multiples facettes. La société, elle, est principalement un studio de jeux vidéo spécialisé blockchain. Cependant, elle tire sa force de son offre de services.
Pour faire simple, Vulcan Forged est un incubateur de projets play-to-earn, une plateforme de création et d’échanges de NFT, une plateforme de staking ainsi qu’un exchange décentralisé. Alors, oui ! Dit comme ça, le projet paraît bien ambitieux. C’est également pour cette raison que Vulcan Forged a cherché à récolter des fonds. Comme le relate le communiqué de presse, c’est une intention largement accueillie par les investisseurs. En effet, ce sont 8 millions de dollars qui ont été collectés par Skybridge Capital, chargé de mener les opérations.
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« Vulcan Forged a connu une croissance organique rapide au cours des deux dernières années, passant de 2 employés à plus de 130 et en attirant plus de 200 000 utilisateurs sur 15 jeux et dApps sans capital extérieur. »
Jamie Thomson, fondateur et CEO de Vulcan Forged
Toutefois, ce n’est pas seulement de promesses dont fait part la boîte web 3. De fait, ses chiffres actuels témoignent d’une certaine crédibilité. Une crédibilité qui aura joué son rôle dans cette levée de fonds. En effet, la jeune structure a réuni pas moins de 200 000 utilisateurs. Les volumes sur ses dApps avoisinent les 120 millions de dollars.
En plus de ces différentes propositions de valeur, Vulcan Forged compte mettre à service son propre moteur de jeu de création de métavers. C’est d’ailleurs sur cet atout que la confiance de l’équipe repose… Si bien que l’ambition est de rivaliser avec une légende du jeu vidéo, Minecraft. Même si la comparaison peut faire sourire, certains ne le voient pas de cet œil. Ils comptent sur Vulcan Forged pour être un incontournable.
Skybridge Capital, la firme de gestion d’investissement aux commandes de 800 millions de dollars, a aussi laissé entendre, dans son communiqué, que les investissements ne s’arrêteraient pas là. Les 8 millions de dollars collectés n’étaient que la partie émergée de l’iceberg, et ce sont 33 millions de dollars qui sont attendus à l’avenir.
Toujours selon le communiqué de presse, l’investissement de Skybridge (qui, rappelons-le, est détenu à 30 % par FTX) dans Vulcan Forged s’inscrit dans une optique calculée de se saisir du sujet du métavers et des play-to-earn. En plus de mettre les pieds dans le plat, Skybridge compte même, grâce à ces fonds, suralimenter le développement de leur moteur de jeu et faire de lui leur fer de lance.
Contrairement à ce que l’on pourrait penser, le play-to-earn attire toujours les fonds d’investissement. Pour SkyBridge, Yuga Labs, a16z et bien d’autres encore, le metavers et le play-to-earn sont des paris gagnants pour l’avenir. Cependant, le secteur reste toujours une espèce de chenille dont l’esthétique et la motricité font peine à voir. Beaucoup verront, parmi les différents projets, des cocons prêts à donner naissance à des monarques. Toutefois, fort est à parier que bon nombre de mites en sortiront.
Quand SkyBridge se concentre sur un investissement, il n’est pas inutile de s’y intéresser également ! Pour ne pas rater l’opportunité d’une vie, inscrivez-vous sans attendre sur la plateforme d’échange crypto de référence FTX. De plus, vous bénéficiez de 8% d’intérêts composés avec FTX Earn (lien commercial, voir conditions sur site officiel).
L’article Play-to-Earn : 8 millions de $ supplémentaires levés – Les jeux vidéo NFT toujours au top est apparu en premier sur Journal du Coin.
Sur des plateformes de microservices comme Fiverr, il est possible de payer des personnes pour créer une fausse « hype » sur les serveurs Discord de collections NFT. Nous faisons le point sur cette pratique peu éthique, basée sur le paraître.
L’article Arnaques NFT : qui sont ces « chatters » qui animent faussement les serveurs Discord ? est apparu en premier sur Cryptoast.
Un rapport de The Information révélait il y a quelques jours qu’Apple autoriserait désormais les ventes des tokens non fongibles (NFTs) sur ses applications… Mais que la facture allait être salée pour les vendeurs. On revient sur cette information, et sur la difficile prise en compte des NFTs par le géant de la Tech.
L’article 30% de commission sur les tokens non fongibles – Apple n’a-t-elle rien compris aux NFTs ? est apparu en premier sur Cryptoast.
En avant toute – OpenSea dévoile de nouvelles fonctionnalités relatives aux drops de NFT et l’intégration d’Arbitrum au profit des créateurs et les collectionneurs.
OpenSea fait tomber certaines barrières commerciales et techniques liées aux drops des NFT. Dans un communiqué du 19 septembre dernier, la plateforme a informé les créateurs, d’une nouvelle initiative. Cette innovation leur permet d’offrir une meilleure expérience utilisateur en matière de distribution de leurs NFT aux collectionneurs.
Les créateurs disposeront d’une page de drop dédiée et personnalisable pour lancer leurs NFT. Ils auront la possibilité d’y partager des images, des vidéos, d’y présenter leur équipe ou encore d’y détailler leur feuille de route.
Ces pages contiendront également des informations sur le drop, tels que « le calendrier de minting, un compte à rebours et, bien sûr, une galerie NFT ». Côté collectionneurs, les nouvelles pages de drop leur permettront de paramétrer des alertes par e-mail. Ils éviteront ainsi de passer à côté d’une date de minting importante.
OpenSea met ainsi de nouveaux outils marketing et commerciaux à la disposition des créateurs afin d’optimiser leurs ventes. Mais la plateforme va plus loin pour séduire les talents.
Elle leur propose un nouveau contrat intelligent open source sécurisé portant le nom de « SeaDrop ». Celui-ci épargne aux créateurs les étapes techniques complexes relatives à la création de leurs propres contrats personnalisé, pour réaliser, par exemple, des drops en plusieurs phases.
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Après Ethereum (ETH), Solana (SOL), Polygon (MATIC) et Klaytn (KLAY), le navire vogue sur de nouvelles eaux. Dans un tweet du 20 septembre dernier, OpenSea a annoncé l’intégration d’Arbitrum, la solution de seconde couche d’Ethereum, à sa plateforme.
L’intégration était prévue pour le lendemain, le 21 septembre. Un déploiement qui devrait voir, dans un premier temps, l’arrivée de collections populaires, à l’instar des NFT Smolverse, de GMX Blueberry Club et de Diamond Pepes.
Une plateforme majeure ouvre ainsi ses portes aux NFT hébergés sur Arbitrum. Ils sont actuellement exposés en majorité sur des places de marché relativement petites, comme Stratos et Agora. OpenSea pourrait tirer profit de l’arrivée de quelques NFT sur Arbitrum, qui enregistrent des volumes d’échange élevés.
Les collections, comme Seed of Life, dont les volumes d’échange totaux ont dépassé les 11 millions de dollars, pourraient aider la plateforme à redresser ses performances sur le court terme, dans le contexte baissier actuel.
En effet, OpenSea a vu ses volumes d’échange mensuels chuter de manière importante récemment. Le record de 4,8 milliards de dollars du mois de janvier de cette année semble désormais bien loin. Les volumes de septembre sont revenus à des niveaux très bas qui correspondent à ceux de l’été 2021.
OpenSea continue d’avancer. C’est la seule manière de garder une longueur d’avance sur ses concurrents. La plateforme subit le déclin des volumes d’échange dans le secteur. Cependant, le contexte devrait s’améliorer, à en croire les propos de ce maximaliste NFT.
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Que ce soit les startups ou les marketplaces NFT, tous sont formels Il existe une difficulté avec les règles du groupe d’Appel et a fortiori avec l’Apple Store. En effet, ces entreprises ne peuvent avoir accès à l’App Store du fait des règles d’Apple. Ces règles portent sur les commissions Apple et la méthode d’achat. […]
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Le metaverse, du rêve à la réalité – Du troc viennent les origines de nos échanges et de notre sociabilité. À y regarder de plus près, le commerce part de rien. D’un constat logique et simple : « si tu veux le lait de mes vaches, tu devras en échange me donner de ton blé ». Par la suite, sans vous faire un cours d’histoire et d’anthropologie, la monnaie, comme équivalent de valeur est apparue. Elle a permis à de nombreuses puissances politiques, étatiques et commerciales de se développer par-delà les frontières.
De fil en aiguille, grâce à une ellipse volontaire sur le progrès des technologies, nous arrivons donc à la naissance de l’e-commerce, exacerbé avec l’arrivée, le développement et l’essor d’Internet. L’apparition alors du terme Web 3, évolution du Web 2, internet tel que nous le connaissons, a permis de voir naître la technologie des NFT, solution presque sur mesure pour envisager la possibilité – inaboutie pour le moment – d’un metaverse ouvert à tous, espace de libre échange, et, de ce fait, de commerce.
Alors prophétiques, des livres tels que Snow Crash ou encore le film Ready Player One deviennent une probable réalité à caractère dystopique pour certains. Mais pas pour d’autres. En effet, d’Amazon à E-bay en passant par Meta (anciennement Facebook) ne sommes-nous pas d’ores et déjà dans une ère metaverse – embryonnaire certes – propulsée par la technologie des NFT et de la blockchain ? Pris d’assaut par les géants du commerce, le metaverse a-t-il glissé du roman d’anticipation à une réalité déjà consommée ? Prenons un peu de hauteur.
NFT et Metaverse : les solutions commerciales du futur Amazon, E-bay, Orange… faites vos achats dans le metaverseNFT et metaverse : l’un ne va pas sans l’autreNous sommes déjà dans un commerce 3.0NFT et le metaverse : un nouveau canal de communication Le metaverse repousse les limites de la réalité pour les marquesLe metaverse : une omniprésence de la marque NFT et metaverse, une utilisation limitée
Face à un Internet 2.0 qui s’essouffle et une technologie blockchain qui malgré les obstacles continue de gagner du terrain dans le cœur de ses utilisateurs, le commerce, s’est de fait, adapté à la situation et aux exigences nouvelles et naissantes des consommateurs. Art, Luxe, Sport, Politique, il n’est pas un secteur qui n’ait pas entamé l’adoption de codes propres à l’univers dit crypto.
Cependant, au-delà de cette adoption visible, il existe des fonctions propres au metaverse que nous utilisons dans des applications smartphone. Nous les avons même intégrées à notre quotidien sans nous en rendre compte. Amazon vous permet, par exemple, de visualiser en 3D vos futurs meubles dans votre logement. Par ramification, l’implication d’Amazon dans la mise en place de l’euro numérique va dans cette dynamique d’un géant commercial déjà acteur – critiquable – du Web 3.
Orange Espagne, filiale d’Orange a également ouvert récemment sa boutique dans le métavers avec des espaces prévus pour que les marques puissent y exposer leurs innovations et leurs produits. Aidé d’un partenariat avec Meta et son casque virtuel Meta Quest, l’expérience du consommateur est d’après les mots de Diego Martínez, directeur de l’unité commerciale d’Orange, le nerf de l’avenir de la société :
« Avec l’ouverture de notre magasin dans le metaverse, nous sommes devenus une entreprise pionnière dans cet environnement, approfondissant notre engagement en faveur de l’innovation et de la transformation numérique et, ce qui est plus important, améliorer l’expérience de ses clients qui ont ainsi un autre point de contact avec l’entreprise. »
Collection de NFT du côté de E-Bay, développement de NFT reconnus et côtés chez Nike, la conquête du métavers est une stratégie effective pour ces géants du commerce
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Alors oui. Parler de metaverse ne sous-entend pas forcément parler des technologies de la blockchain. Toutefois, ces dernières ont permis la naissance des NFT, réelles preuves de l’authenticité d’un avatar ou d’un objet virtuel. Le contrat gravé sur la blockchain devenant une preuve de propriété indéniable.
Adopté par de grandes stars, des collections NFT telles que celles des CryptoPunks ou encore des Bored Ape Yatch Club ont permis un développement du metaverse attirant des investisseurs et autres magnats des affaires comme Paris Hilton.
Pour les plus enthousiastes, les NFT apparaissent même comme la nouvelle base d’un commerce global usé. Dans une société où nous portons tous les mêmes vêtements, et sommes tous aux mêmes endroits, utilisons les mêmes réseaux, proposer des NFT de la part d’une marque est le moyen de permettre au consommateur d’appartenir réellement à la communauté.
Assez vite, nous comprenons que nous sommes déjà dans l’ère d’un commerce 3.0. Les QR codes accompagnent nos vies, à la manière de celui qui colle à notre pass sanitaire. Exacerbé par la période dite « covid » que nous avons connus, le concept d’un espace commun virtuel ouvert à tous fait sens.
Amazon, E-Bay, Meta, mais encore Microsoft sont autant d’acteurs majeurs du commerce traditionnel qui se sont alors d’ores et déjà lancés dans la course au métavers et au développement des NFT. Nike, qui sort plus fort du rachat des studios RTFKT a su gagner la tête du peloton avec ses Cryptokicks.
Gucci, Louis Vuitton ou encore Balenciaga, le luxe et la haute couture régulièrement avant-gardiste sont, eux aussi, stimulés par les expériences permises par les NFT et le métavers auprès de leur clientèle. Gucci acceptant même Bitcoin et les cryptomonnaies dans certains de ses points de vente.
Enfin, le marketing du secteur du sport également prouvé son intérêt pour le métavers. De la construction d’un stade virtuel pour Manchester City, à la mise en place de plateforme de fan token (cryptomonnaies de club de sport) comme Socios. Les NFT ont ainsi su montrer leur valeur et se positionner comme solution sécurisée pour le commerce et non comme une menace.
L’évolution des technologies permet ainsi au commerce de continuer leur développement à un moment d’essoufflement. En effet, le concept de cliquer pour acheter ayant progressivement dérivé vers celui d’expérimenter pour acheter.
Au-delà de l’hiver crypto que nous traversons tous, beaucoup de levées de fonds et autres études prévisionnelles comme celle de McKinsey montrent l’intérêt croissant et propulseur du metaverse et par ramification des NFT. Commerce, réseaux sociaux, expériences virtuelles, évolution du gaming, le metaverse permet aux marques d’aller plus loin.
Elles peuvent par la propriété de NFT proposer une réelle identité virtuelle à leur consommateur, proposant un monde – censé – être un espace libre et inclusif. Cet espace permet alors la mise en place d’un commerce omnicanal.
Le terme omnicanal est un concept qui, avec la naissance et l’essor du metaverse, permet de prendre son sens. Issu du marketing, ce terme souligne le fait que le metaverse permet de garder tous les canaux de communication et de les lier en un point de chute et un espace de vente central la plupart du temps physique. Ici, le métavers propose un espace de vente virtuel, ouvert 24 heures sur 24. Les marques comptes ainsi bien se jouer des distances et de l’espace dans ce nouveau terrain de jeu.
Catalyseur des canaux de communication, permettant des preuves d’engagement réelles malgré la distance le métavers permet de développer l’expérience du client et de le fidéliser grâce à cette dernière, à la manière de Starbucks, qui dévoilait récemment sa plateforme NFT.
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Parcours ludique, interactions, les marques commencent déjà à multiplier les idées innovantes pour créer une interaction virtuelle avec les utilisateurs ou encore leurs futurs utilisateurs.
Cependant, cette mutation du commerce et les inconnus qu’elle comprend dans son équation questionnent. Quel droit de propriété pour les NFT ? Quel droit pour la juste concurrence et pour le consommateur ? Ce sont autant de questions soulignées par certains vides juridiques que nous pouvons voir dans l’actualité NFT. L’action des GAFAM, que ce soit Apple, Google, Meta ou bien encore Microsoft pour l’avenir du metaverse sera décisive au risque de bafouer quelques principes clés de la décentralisation.
Enfin, et c’est un paramètre que les marques devront considérer pour se développer dans le web 3, ces dernières devront permettent à leurs clients, de comprendre par l’éducation, la volatilité des NFT ainsi que les pratiques et usages propres à la blockchain, de manière à limiter les risques spéculatifs pour leurs consommateurs.
Acteurs de ce que l’on appelle la mass adoption, ( l’adoption de masse ), la place des marques et du commerce dans le métavers, de Roblox à Decentraland en passant par The Sandbox, n’est plus à déterminer. Partagé entre l’utilité qu’elles peuvent apporter pour vulgariser le Web 3 et la menace qu’elles constituent en ce qu’elles peuvent dénaturer l’utilisation des NFT et du métavers (par la destruction de l’anonymat et la centralisation) l’avancée rapide des technologies leur permet d’envisager un espace virtuel où elle pourrait plus que dans le réel. Toucher plus de clients, être plus visible, avoir une communication plus directe avec les consommateurs : le metaverse rompt avec les codes du commerce que nous connaissons.
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L’entreprise Disney cherche une aide juridique pour s’étendre sur le territoire du Web3. L’objectif est de pénétrer ce marché nouveau tout en se protégeant sur le plan juridique. D’aucuns considèrent qu’il existe une forme de vide juridique s’agissant des NFT et plus globalement de la finance décentralisée. En ce sens, le recrutement d’un avocat spécialisé […]
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Avis aux fans d’airdrops ! – Le protocole Metaplex basé sur Solana (SOL) lance un airdrop de tokens, qui serviront à la gouvernance du projet.
Metaplex est un protocole qui permet de minter des tokens non fongibles (NFT) à moindres prix sur Solana et de créer facilement une plateforme pour la vente de NFT.
Sur ce dernier point, le projet ambitionne d’offrir un produit, dont la facilité d’utilisation serait similaire à celle de Shopify, à la différence près que Metaplex est conçu pour les NFT et l’écosystème Solana.
Découvrez le projet Metaflex et d’autres initiatives du web 3, en vous abonnant à la chaîne YouTube du Journal du Coin
La Fondation Metaplex avance le chiffre de 20 millions de NFT Solana mintés à ce jour via le protocole, avec plus de 2,4 millions de créateurs et de collectionneurs qui auraient interagi avec ces tokens non fongibles. En outre, Ces NFT auraient généré plus de 3,5 milliards de dollars de ventes initiales et secondaires.
Néanmoins, en l’absence d’un recoupement plus poussé, ces chiffres sont à prendre avec des pincettes.
Metaplex avait récemment annoncé le lancement du token MPLX qui permettra de décentraliser sa gouvernance via une organisation autonome décentralisée (DAO). Le protocole a commencé à procéder à un airdrop de son token durant la semaine du 19 septembre.
Dans un tweet du 20 septembre, le projet a rappelé sa promesse de créer une « plateforme de création décentralisée et communautaire », un engagement qu’elle serait donc en train de tenir. Les détenteurs de MPLX auront en effet le pouvoir d’orienter « la direction du protocole par le biais de la DAO Metaplex ».
Les utilisateurs du protocole sont éligibles à cette distribution gratuite de tokens MPLX, à l’exception des résidents aux États-Unis. Une exclusion qui pourrait être due à la réglementation dans le pays. Dans les faits, Metaplex avait pris un instantané de créateurs éligibles, le 24 août. Les nouveaux arrivants après cette date pourraient donc également être exclus de cet airdrop.
Le protocole veut aussi écarter les créateurs de projets qui sont perçus comme des rug pulls. Ces initiatives mises en cause sont celles des créateurs qui se sont contentés de soutirer l’argent des utilisateurs, avant qu’ils ne disparaissent sans tenir leurs promesses.
Metaplex lance son airdrop dans un contexte difficile pour les NFT en général. Mais malgré cette situation qui affecte globalement l’ensemble du secteur, les tokens non fongibles sur Solana parviennent tout de même à battre un nouveau record.
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L’article Airdrop crypto en vue – Metaplex fait son entrée sur le terrain des NFT est apparu en premier sur Journal du Coin.
Le géant mondial du divertissement Disney vient de réaffirmer son attrait envers la blockchain, au travers d’une offre d’emploi pour un avocat compétent en matière de NFT, de cryptomonnaies et autres technologies Web3.
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