Mois : janvier 2023

Une vie 3.0 – Masa déploie son mainnet sur Ethereum (ETH) et apporte les tokens Soulbound sur le réseau. Ces tokens ouvrent de nouvelles possibilités aux autres protocoles basés sur la blockchain, en termes de facilitation des procédures KYC, ou de gestion des risques de crédit pour les protocoles de prêt.

Masa et les tokens d’identité Soulbound

Masa se présente comme le premier protocole qui se sert des tokens Soulbound (SBT), pour représenter les informations formant l’identité de leurs détenteurs. Les SBT sont des tokens non-fongibles, qui ne peuvent être transférés d’un portefeuille à un autre.

Masa propose alors différents tokens, qui permettent à ses utilisateurs de construire leur identité dans le web3. Le protocole permet à ses utilisateurs de minter des Soulnames, qui sont des noms ou des pseudos facilement lisibles, associés à l’adresse classique de leurs portefeuilles.

Ces Soulnames peuvent être une combinaison de lettres, de chiffres, et d’émojis, suivi de l’extension « .soul », comme satoshi.soul. Ils présentent ainsi des similarités avec les noms de domaines ETH.

Ces pseudos sont liés à des NFT qui peuvent être échangés sur OpenSea. Par contre, les tokens d’identité Soulbound (MID) de Masa qui sont liés aux attributs composant l’identité de leurs détenteurs sont des NFT non transférables. Ces MID peuvent par exemple être utilisés pour les procédures KYC.

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Des cotes de crédit pour le web3

Masa propose également un token Soulbound représentant la cote de crédit (MCR) d’un individu. Cette cote est calculée sur la base de plusieurs données, relatives aux activités sur Ethereum, du détenteur du token – historique des transactions de portefeuilles, soldes sur les bourses cryptos etc.

Si les Soulnames peuvent être échangés sur OpenSea, les MCR ne sont pas transférables, tout comme les MID. En d’autres termes, un individu peut vendre son Soulname qui lui sert de pseudo, mais il ne peut en faire de même pour son identité ou pour sa cote de crédit.

Masa amène les tokens Soulbound sur Ethereum

Masa fonctionnait uniquement sur le testnet Goerli. Toutefois, dans un communiqué du 17 janvier dernier, le protocole a annoncé le lancement de son mainnet sur le réseau principal d’Ethereum. Dorénavant, les utilisateurs du protocole peuvent minter les différents tokens Soulbound de Masa : ceux liés aux Soulnames, les MID, et les MCR.

L’annonce souligne que Masa prévoit de s’étendre sur d’autres blockchains cette année. Elle indique également que près de 250.000 tokens d’identité Soulbound et de 300.000 Soulnames auraient été mintés sur le testnet, depuis le mois d’août.

Avec cette arrivée de Masa sur le mainnet d’Ethereum, le protocole facilite la construction d’une identité sur la blockchain. Dans un futur proche, Masa comptera-t-il alors les gouvernements qui veulent créer une identité décentralisée, parmi ses principaux partenaires ?

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Fort heureusement, les NFTs ne sont pas uniquement ces collections de personnages aux raretés aléatoires qui peuplent l’inconscient collectif, pour le meilleur comme pour le pire. Car de nouveaux cas d’usage pour ces jetons non fongibles ne cessent d’apparaître dans divers domaines. Avec comme seule véritable certitude, l’importante innovation apportée par ces documents numériques uniques et infalsifiables. Au point de devenir un outil privilégié dans le cadre de procédures légales en lien à la blockchain et aux cryptomonnaies. Explications…

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The move will make the Floor user experience more expansive by showcasing data to help educate traders.

Nearly one-fourth of ether burned stems from NFT trades over the past seven days, according to data from ultrasound.money.

The floor price of the collection on the secondary market fell below its minting price of 0.911 ETH in the hours after it opened to the public.

The popular new project by Jack Butcher has been embraced by the community through a number of derivative projects, and highlights the power of accessible mints.

The expansion aims to grow the project’s scope into world building, narrative storytelling and new markets and will bring Golden’s Wolf’s founder into the company as Chief Content Officer.

Les développeurs prennent la blockchain à bras le « core » – On le sait. Le cœur d’une blockchain bat au rythme de l’activité de ses développeurs. Ce sont eux qui construisent chaque jour un peu plus le réseau de dApps censé supporter le monde technologique de demain. Sans développeurs, la blockchain meurt. Et les plus vivantes d’entre elles sont Ethereum bien sûr, mais aussi Cardano. Plongeons au plus profond d’un abysse rempli de lignes de codes.

Les développeurs, le cœur du réacteur blockchain

Bonne année et la santé ! Ces mots ont résonné ces dernières semaines au bureau, en famille et entre amis. Mais aussi sur nos blockchains préférées tandis que l’on s’arrête quelques instants pour faire le bilan de cette année 2022 mouvementée. Et la bonne santé pour une blockchain, c’est un fourmillement de développeurs qui s’activent à bâtir dessus nuit et jour. Nouvelles fonctionnalités, plus de sécurité, effet réseau, innovations, tous les ingrédients nécessaires à la recette de l’adoption.

Et les meilleurs cuisiniers en chef dans ce domaine en 2022 semblent être Ethereum et Cardano. En tout cas, selon les données concaténées par DappRadar et Token Terminal. Des plateformes qui agrègent les données financières sur les blockchains et applications décentralisées (dApps) peuplant la DeFi (Finance Décentralisée).

En effet, 223 développeurs s’activeraient quotidiennement sur le réseau Ethereum tandis qu’ils seraient 151 sur Cardano. Suivi de près par les blockchains modulaires Polkadot et Kusama.

Néanmoins, les blockchains ayant vu la plus importante croissance du nombre de leurs développeurs ne seraient pas celles qu’on pense en premier lieu. En effet, ce sont les réseaux Solana et Internet Computer (ICP) qui sont à ce jeu les grands vainqueurs de 2022. En effet, ces deux blockchains ont connu une augmentation de 1320 % pour Solana et 1050 % pour ICP.

Et ce, malgré la déconvenue de novembre dernier avec le cataclysme FTX – Alameda Research dans le cas de Solana. Un profond traumatisme qui a pourtant fait fuir une partie de l’activité de Solana vers d’autres blockchains alternatives. La célèbre collection NFT DeGods, ayant annoncé migrer prochainement sur Ethereum et Polygon, en est l’un des exemples typiques. Ces évènements sont tout de même responsables de la fuite de près de 30 % des développeurs du réseau Solana, passant de 96 à 69 actifs chaque jour.

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Les layers 2 d’Ethereum, future tendance 2023 ?

Par ailleurs, la blockchain avec le plus faible déclin de son nombre de développeurs, malgré cette année de bear market, reste Ethereum. Un déclin de seulement 9 %. Et ceci semble somme toute logique pour le leader du secteur. Celle qui surprend son monde, c’est donc la blockchain Cardano qui se place en deuxième position avec une augmentation de 26,5 % en 2022 par rapport à l’année 2021. Les blockchains Polkadot et Kusama ont connu quant à eux une croissance de 16 % et 12,8 % respectivement.

Chiffre intéressant aussi : le nombre d’utilisateurs ayant migré vers les layers 2 d’Ethereum ces derniers mois. Optimism, Arbitrum, Starknet, skSync… Les roll ups ont fortement eu la cote au dernier trimestre 2022 (Q4) accueillant 443 000 nouveaux venus, soit une augmentation de 155 % par rapport au trimestre d’avant (Q3).

Bien que les frais de transaction sur Ethereum soient désormais beaucoup plus abordables qu’en plein bull market, la rapidité et les frais insignifiants des roll ups attirent. Une tendance qui pourrait se confirmer en 2023, propulsée par le renforcement de ces solutions et la mise à jour prochaine du réseau Ethereum prévue en mars, et nommée Shangaï.

Le monde blockchain en construction fourmille d’activités dispersées sur une multitude de réseaux qui s’entrecroisent. D’Ethereum, grand leader, aux dernières arrivées comme Solana ou Near. En passant par Polygon, Avalanche, Cardano, Polkadot, MultiversX ou encore Cosmos. Il y en a pour tous les goûts. Des initiatives qui pour beaucoup ont explosé en 2021 et 2022 et qui pourraient à l’avenir décider de se connecter entre elles pour former une gigantesque toile d’araignée sur laquelle bâtir l’économie de demain. Celle du web3 et d’un futur multi-blockchains.

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Les ETH au bûcher – En août 2021, l’EIP 1559 a été déployé sur le réseau Ethereum. En pratique, celui-ci vise à modifier le système de frais en détruisant systématiquement une partie des frais de transactions. Depuis sa mise en marche, des milliards de dollars ont été brûlés par ce mécanisme. Si bien, que l’émission d’ETH sur Ethereum est devenue déflationniste.

4,6 milliards de $ détruits sur Ethereum

Cela fait un peu moins d’un an et demi que l’EIP 1559 a été déployé sur le réseau Ethereum. En pratique, celui-ci avait pour objectif de rendre les frais plus prévisibles d’un bloc à l’autre.

En parallèle, il intègre également un procédé de destruction systématique d’une partie des frais de transactions. Comme nous pouvons le voir, cette destruction est massive.

Ainsi, depuis le déploiement de l’EIP 1559, 2,8 millions d’ETH ont été détruits, pour une valeur totale d’environ 4,6 milliards de dollars. Par conséquent, cela fait une moyenne de destruction de 3,69 ETH par minute.

De nombreux protocoles ont participé à cette destruction. En premier lieu, Uniswap arrive en tête avec 307 000 ETH détruits lors de transactions interagissant avec les smart contracts de la plateforme. La plateforme d’échange de NFT Opensea suit le DEX de près avec 300 000 ethers détruits.

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ETH : un actif déflationniste

Au mois de septembre dernier, le réseau Ethereum a finalisé sa transition du Proof of Work au Proof of Stake. Cette transition historique a eu de nombreux effets sur le réseau, notamment sur l’émission des ETH.

En effet, le passage au Proof of Stake a drastiquement réduit le nombre d’ETH issu quotidiennement. Ainsi, là où 4 millions d’ETH étaient émis chaque année en POW, ce nombre a diminué à 645 000 en POS.

Ce mécanisme, couplé au mécanisme de destruction systématique de frais, entraîne une réduction encore plus importante de l’émission.

Si bien, qu’à de nombreuses reprises, le nombre d’ETH détruit est supérieur au nombre d’ETH créé, rendant l’émission d’ETH déflationniste.

Actuellement, il est estimé que le taux d’émission de l’ETH est de -0.006%. Évidemment, cette valeur varie dans le temps, proportionnellement à l’activité enregistrée sur le réseau.

Ainsi, selon certaines estimations, l’offre totale d’ethers en circulation a atteint son pic au début du mois d’octobre à 120 millions d’ETH. Dorénavant, celle-ci devrait diminuer petit à petit.

En pratique, l’émission sera hautement dépendante de l’activité on-chain. Par conséquent, il est probable qu’Ethereum soit très déflationniste pendant les périodes de haute activité, et rencontre des périodes inflationnistes lors des baisses d’activités, notamment en bear market.

 De leur côté, les staker du réseau Ethereum attendent impatiemment le mois de mars. En effet, le hard fork Shanghaï y sera déployé, apportant avec lui la possibilité de retirer les ETH déposés en staking.

Ethereum, Bitcoin et les cryptomonnaies sont là pour durer et vont changer le paysage de l’économie, tout le monde en convient. De votre côté, ne tardez pas trop et foncez vous inscrire sur AscendEX. Profitez de 10 % de réduction sur les frais de trading (lien commercial, voir conditions sur site).

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NYX est une marque de maquillage très populaire qui souhaite créer une communauté d’amoureux d’esthétique, crypto-savvy. Ceci, par la commercialisation d’un incubateur de beauté sous la forme d’un DAO, connu sous le nom de GORJS. C’est aussi le cas pour le lancement de 1000 NFT Ethereum (ETH) appelé « FKWME Pass ». Ce programme peut-il tenir ?

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