Toute l'actualité des NFT
Stables est un jeu fantasy de courses hippiques propulsé par le PMU et construit sur la blockchain Tezos. Les joueurs peuvent posséder des chevaux numériques reliés à un vrai cheval de course grâce aux NFT, ainsi que profiter des récompenses des courses réelles.
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Blockchain ton futur – Le monde de la blockchain et des cryptomonnaies intrigue et passionne. Ces dernières années, de nombreux cerveaux ont quitté les rivages du web2 pour rejoindre l’aventure palpitante des start-ups du web3. En effet, bâtir un nouvel écosystème émergent n’est-il pas plus exaltant que de perpétuer l’existant ? Mais la compréhension d’une nouvelle technologie passe inévitablement par la formation. Si vous aussi, vous vous sentez l’âme d’un pionnier et souhaitez lancer votre projet, Alyra, l’école de la blockchain, pourrait bien être le déclencheur qu’il vous manque. Plongeons au cœur de l’école du web3.
Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Alyra.
Le secteur crypto, et plus généralement le web3, fourmille d’activités. Blockchain, cryptomonnaies, NFT, metavers… De toutes nouvelles notions, un nouvel écosystème ayant ses propres règles, son vocabulaire attitré. Un domaine qui, dans les années à venir, fera probablement partie intégrante de notre quotidien. Une bonne raison pour se renseigner dès à présent afin d’en comprendre les rouages et les perspectives. En effet, propulsé par une croissance presque impertinente, le secteur de la crypto n’en reste pas moins difficile à appréhender. Par quel bout commencer ?
En France, peu de moyens existent pour s’y former. Et c’est ici qu’intervient Alyra, une école d’un nouveau genre, créée en 2019. En effet, appuyée par une panoplie de formateurs arpentant depuis des années l’écosystème blockchain, cette école se donne pour objectif de former les prochaines générations d’entrepreneurs du web3. Ceci afin que la France puisse prendre toute sa place dans ce secteur technologique prometteur. Elle propose trois formations :
Développeur Blockchain, pour apprendre à coder dans l’univers web3Consultant Blockchain, pour savoir conseiller les entreprises dans leurs initiatives blockchainFinance Décentralisée (DeFi) et blockchain, afin d’appréhender ce nouveau monde de la finance porté par les applications décentralisées (DEX)
Toutefois, Alyra, loin d’être à cours d’idées, se dote désormais de deux nouvelles cordes à son arc :
Développer votre première collection NFTRéussir sa stratégie pour lancer son token
Explorons ensemble plus en détails ces nouvelles offres.
NFT (Token Non Fongible), un terme qui n’a cessé de défrayer la chronique au cours des dernières années. Au point de faire son entrée au dictionnaire en 2022. Ce nouveau mode d’expression du numérique a permis à nombre d’artistes d’émerger, leur ouvrant la voie à une nouvelle manière de promouvoir leur art, et de financer leur passion par la même occasion. Néanmoins, avant de pouvoir se lancer efficacement, il est indispensable pour les futurs artistes du numérique d’appréhender les outils et techniques propres à ce nouvel univers.
C’est tout l’enjeu du nouveau module lancé par Alyra. S’appuyant sur le savoir-faire de développeurs expérimentés, elle propose à ses élèves d’acquérir les bases leur permettant de se lancer. Et cela au travers d’une formation de plus de 40h répartie sur 6 semaines, chacune ponctuée de 3 sessions pratiques en live avec les experts. Tous les savoirs indispensables seront étudiés à la loupe.
Cette formation vous apportera de nombreuses compétences :
Acquérir des notions sur les différents langages propres aux différents réseau blockchain, comme par exemple Solidity pour Ethereum, support de choix pour la création de NFTInstaller le wallet Metamask et naviguer sur Opensea, la plateforme référence pour y proposer sa collection NFT fraîchement crééeSe doter des outils pertinents pour gérer sa collection NFT de manière propre en s’appuyant sur les bons smart-contracts et les bonnes pratiques de sécuritéSavoir mettre en œuvre un site de mint, permettant aux futurs détenteurs d’acquérir leur précieux NFTSe perfectionner au travers de notions plus poussées comme la fusion et le staking de NFT
Et en fin de formation, le couperet. Un projet final au cours duquel vous aurez à créer votre propre collection de A à Z. Celle-ci sera évaluée par jury de professionnels. De la création du site de mint à la fusion de NFT, en passant par la gestion des whitelists. Un véritable parcours initiatique qui assurément vous dotera de solides appuis pour vous lancer à votre tour dans l’aventure NFT.
>> Un webinar autour des deux modules aura lieu le 16 février de 20h20 à 21h40 (lien commercial) >>
Pour ceux plus intéressés par la tokenisation et les tokenomics que l’art numérique, Alyra propose également une formation clé en main qui vous est dédiée. Car sur un sujet aussi complexe que celui-ci, rien ne doit être laissé au hasard. Il s’agira en premier lieu de revenir sur les enjeux des blockchains programmables comme Ethereum. De comprendre les mécanismes sous-jacents aux fonctions nécessitant l’existence d’un token. Car celui-ci doit répondre à un besoin réel et vital du projet.
Une fonction communautaire, organisationnelle, participative… Tel le carburant de votre projet, votre token doit être judicieusement calibré pour faire tourner ensemble les engrenages de votre machine sans anicroches. La tokenomics d’un projet est à l’image des NFT, un art à part entière. Elle repose sur des variables et métriques précises : quantité en circulation, mode de conservation et de distribution…
La santé d’un projet repose également sur sa capacité à faire lister son token sur des DEX et des plateformes centralisées comme Coinbase ou Binance. Afin de permettre au plus grand nombre de découvrir votre projet et de partager vos ambitions. Et tout cela passe évidemment par une stratégie de communication efficace.
Une formation de plus de 44h répartie sur 6 semaines et s’appuyant sur 6 cours en direct est délivrée par Serge Petroff, consultant DeFi chez DAO Maker. La création d’un token est un casse-tête stratégique. L’opération doit être menée avec une extrême rigueur mathématique pour fournir un appui solide et réel à votre projet.
>> Inscrivez vous au webinar qui aura lieu le 16 février de 20h20 à 21h40 (lien commercial)>>
A l’aide d’experts du secteur des cryptomonnaies, l’école Alyra propose un large panel de formations, dont certaines accessibles via le Compte Professionnel de Formation (CPF), et soutenues par la région Île-de-France.
Se former aux technologies blockchain est probablement l’un des challenges les plus complexes et passionnants de notre époque. Car il s’agit ici de pleinement participer à la construction de notre futur. Au lieu de plonger les deux pieds en avant au cœur de ce flot tumultueux de nouveautés, Alyra, l’école de la blockchain, vous propose d’emprunter le pont qu’elle a bâti au fil des années entre vous et les précieuses connaissances qui vous attendent patiemment sur la rive opposée dès la prochaine rentrée qui aura lieu le 6 mars 2023.
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Le Centre Pompidou, ce grand musée d’art moderne français, a l’intention de présenter cet été les jetons non fongibles (NFT) de certains artistes numériques de premier plan à l’occasion de sa prochaine exposition permanente….
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« L’association Annecy 3.0 en partenariat avec Annecy Bitcoin Meetup vous propose de venir les rencontrer tous les lundis midi pour découvrir leurs projets. Entre l’organisation d’un évènement dédié à l’univers blockchain, la découverte de la proposition de valeur de Bitcoin, de la préparation de présentations explicatives des concepts comme DAO, NFT, Layer lors de soirée […]
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Vétéran de la scène techno française, Agoria fait aujourd’hui partie des artistes les plus en vue du Web3. Fasciné par cette révolution, il s’essaie à toutes les expérimentations permises par la technologie blockchain. Il a sorti plusieurs collections de NFTs et s’apprête à inaugurer son Land dans The Sandbox. Rencontre avec un artiste touche-à-tout séduit par les pouvoirs exceptionnels du Web3.
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L’année 2022 fut compliquée pour le marché NFT avec l’ensemble de ses indicateurs qui ont subi une forte baisse. En ce début d’année, la tendance semble s’inverser d’après les données de DappRadar, Cryptoslam et NonFungible.
En prenant en compte l’ensemble des blockchains, les données disponibles concernant le marché NFT montrent une croissance du nombre de ventes et du volume en dollars. Regardons plus en détail d’où provient l’ensemble de cette activité.
N’en déplaise aux sceptiques, le marché NFT n’est pas mort, bien au contraire.
D’après les données du site d’analyse de marché DappRadar et Cryptoslam, l’écosystème NFT se porte bien. En prenant en compte l’activité de multiples blockchains (Ethereum, Polygon, Flow, Ronin et Wax), DappRadar estime que le volume en dollars a augmenté de 38 % entre décembre 2022 et février 2023 pour atteindre 946 millions de dollars.
Bien qu’une augmentation de 20 % du volume ait eu lieu sur Solana en un mois, c’est toujours sur Ethereum que l’activité reste concentrée. Du côté du nombre de ventes, les chiffres sont aussi éloquents avec 9,5 millions de NFT vendus en janvier. Cela représente 42 % de volume en plus par rapport à la fin de l’année dernière.
Un autre événement a marqué le mois de janvier : celui du partage du marché avec d’autres marketplaces qu’OpenSea. Même si cette dernière reste première au classement des plateformes hors agrégateurs, OpenSea a perdu des parts de marché, notamment face à Blur.
Selon les données de NonFungible, le marché a été dominé par le segment des collectibles en janvier. Ce sont les collections de Yuga Labs qui monopolisent la tête du classement :
Leurs trois collections phares ($244 millions)Le Sewer Pass ($57 millions)Les Cryptopunks ($28 millions)
Ces 5 collections totalisent 310 millions de dollars soit 64% du volume total en dollars échangés sur janvier 2023. C’est le projet Azuki qui arrive ensuite avec un volume de vente de 92 millions de dollars.
L’art, quant à lui, a essentiellement été porté par Art Blocks et Manifold. Avec 31 millions de dollars, ces deux projets représentent plus des trois-quarts du volume du marché pour janvier.
D’après ces données, l’écosystème NFT est donc bel et bien vivant en ce début d’année, mais précisons que les statistiques présentées dans cet article n’incluent pas le wash trading. Selon The Block, le pourcentage de ventes artificiellement gonflées en janvier a été en nette augmentation. Aussi, le prix des différentes cryptos a aussi augmenté durant janvier et cela se reflète sur le montant des ventes.
Le marché NFT semble donc repartir à la hausse pour ce premier mois de l’année 2023, permettant de souffler et peut-être saisir les opportunités qui se présentent. Mais tout comme Rome qui ne s’est pas construite en un jour, il reste encore de nombreuses choses à accomplir pour le web de demain !
Le marché crypto peut être tumultueux par moments ! Pour équilibrer votre portfolio, il est nécessaire de vous diversifier. Inscrivez-vous dès maintenant sur Trade Republic. Vous recevrez un bonus de 20€ pour passer à l’action (lien commercial).
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Si la fièvre acheteuse autour des NFT s’est quelque peu consumée avec un marché crypto saisi par un froid polaire qui dure, leur intérêt en tant tant qu’objet artistique à inscrire dans le paysage contemporain n’est pas mort. Pour preuve, le Centre Pompidou les met en vedette lors d’une exposition qui se tiendra en avril avec notamment l’un de ses fleurons emblématiques, la CryptoPunk #110, qui fera désormais partie de ses collections permanentes.
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Une enquête a été menée par DappRadar sur 81 collections NFT de la blockchain Ethereum (ETH). Il est fort regrettable de constater une perte globale en terme de capitalisation boursière pour l’année 2022. Découvrez comment cette dernière était répartie.
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Le célèbre Centre Pompidou se lance dans l’univers de la blockchain, au travers de l’acquisition de 18 NFT. Dans cette collection, nous retrouverons notamment un CryptoPunk.
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Des opinions divergentes – En moins de deux semaines après les premières inscriptions d’Ordinals sur Bitcoin, la communauté est divisée sur le sujet. Certains souhaitent censurer ces transactions qu’ils jugent inutiles tandis que d’autres jubilent de cette utilisation du protocole. Et, il y a aussi ceux qui sont simplement heureux de pouvoir mettre en ligne des médias sur la blockchain la plus sécurisée du monde. Difficile de trouver un juste milieu dans les discussions, car malgré les critiques, certains observateurs en tirent des aspects positifs. Petit tour d’horizon des différentes réactions et des arguments.
Des NFT hébergés à 100 % sur Bitcoin ? Cette prouesse technique a été rendue possible le 29 janvier 2023 par Casey Rodarmor et a suscité de nombreuses réactions.
Mais qu’est-ce que les inscriptions d’Ordinals ? En résumé, c’est la possibilité de contourner une limitation technique pour utiliser tout l’espace des blocs Bitcoin afin d’y inscrire des données jusqu’à 4Mo. Mais utiliser Bitcoin comme une base de données plutôt qu’un instrument d’échange financier n’est pas vraiment une idée récente et a déjà entraîné de nombreux débats.
Depuis 2014, un statu quo s’est établi sur cette question grâce à la fonction OP_RETURN qui permet d’écrire jusqu’à 80 octets de données dans un bloc. Cet espace est suffisant pour y écrire des poèmes ou un lien externe qui héberge un média. Cela a même permis l’avènement de collections comme les RarePepe ou les cartes de Spell of Genesis.
Puis en 2021, la mise à jour Taproot a eu lieu avec comme objectif d’accroître la confidentialité, la flexibilité et la scalabilité des smart contracts. En interprétant cette mise à jour d’une manière qui n’avait pas été pensée par ses développeurs, Casey allait imaginer la théorie Ordinals sur quatre éléments :
Le champ témoin : Endroit où « vivent » les données ;L’inscription : représente ce qui va être écrit ;L’enveloppe : contient les codes (Opcodes) qui donnent les instructions à Bitcoin ;Nombres ordinaux : permet de distinguer chaque satoshi de manière individuelle pour en faire des digital artifacts.
Pour le moment, il est nécessaire d’avoir un logiciel compatible avec Ordinals pour visualiser les médias ou écrire des inscriptions. Mais cette limitation n’a pas empêché un nombre croissant de transactions jusqu’à compléter l’espace d’un bloc.
Au 8 février 2023, c’est environ 15 000 inscriptions cumulées qui ont été écrites sur Bitcoin. Entre mèmes, punks, rochers, animaux, gifs ou vidéo, le contenu qu’on peut trouver sur la page dédiée d’Ordinals est aussi large que varié.
Certes, cette augmentation des données présentes dans les transactions a entraîné une augmentation des frais de transaction. Mais cette augmentation crée aussi une barrière financière et la question de dépenser ses précieux satoshis pour mettre en ligne une image ayant peu d’intérêt commence à se poser.
Même si Ordinals permet de mettre en ligne jusqu’à 4Mo de données, ce n’est pas pour autant que tous les blocs ont été remplis à 100 % depuis le 29 janvier. Jusque-là, seul le développeur Udi Wertheimer a réussi et cela représentait une première mondiale. Au-delà de ce record, est-ce que cette action ne serait pas aussi une réponse au débat qui sévit dans la communauté Bitcoin ?
Le débat est celui de la question sulfureuse de l’identité de Bitcoin. Car bien que son code n’en soit pas partisan, son usage peut diviser l’avis des développeurs et experts. Ordinals a d’abord été vu comme un nouveau vecteur d’attaque par Luke Dashjr. Selon Adam Black (qui s’est rétracté ensuite), il devrait être censuré car il pourrait causer la diffusion de malware en exécutant du code malveillant depuis le navigateur.
Mais, ces craintes ne sont pas majoritaires au sein de la communauté Bitcoin. Par exemple, Dan Held, un partisan de longue date de Bitcoin, a notamment supposé que Hal Finney aimerait les « NFT Bitcoin ». Dennis Porter quant à lui est satisfait qu’Ordinals fasse monter les frais de transaction, bénéfiques entre autres pour les mineurs Bitcoin.
D’autres acteurs de l’écosystème sont optimistes par rapport à ces nouveaux NFT au nom plus élégant. Par exemple, les inscriptions pourraient être des documents classés secret défense mis en ligne par des lanceurs d’alerte. Certains parlent même d’un Wikileaks sous stéroïde. Mais cet enthousiasme ne doit cependant pas empêcher la réflexion autour de la modération des contenus à mettre en ligne sur Ordinals.
Il est déjà possible de retrouver des collections sur Ethereum comme les CryptoPunks (devenu OrdinalsPunks ou Bitcoin Punk). Seulement, pour pouvoir les échanger, ça n’a rien à voir avec le fonctionnement d’Opensea. Tout se passe actuellement sur Discord avec des accords entre anonymes, parfois même avec des ordres inscrits sur une feuille de calcul partagée.
Les transactions sont visibles grâce à des bots qui rendent compte des différentes ventes sur Twitter ou un salon dédié sur Discord. Ce sont bien des échanges de pair-à-pair, mais avec une confiance absolue dans les tiers. Les transactions existent bien sur Bitcoin, pas de doutes là-dessus. Il sera donc théoriquement possible de retracer toutes les inscriptions Ordinals avec un logiciel dédié, mais ce dernier n’est pas encore sorti.
N’hésitez pas à télécharger un noeud Bitcoin pour participer à sa décentralisation. Mais si vous ne savez pas quoi faire pour acheter une inscription, la prudence est de mise !
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L’article NFT sur Bitcoin : les réactions autour d’Ordinals est apparu en premier sur Journal du Coin.