Toute l'actualité des NFT
Pendant que pro et anti ordinaux se lancent des piques, l’espace squatté par les Bitcoin NFT représente désormais plus de 500 Mo. Un ordinal, des ordinaux Bitmex révèle que 13 000 transactions ont été utilisées pour créer des NFT dans la blockchain Bitcoin. L’espace occupé par ces transactions volumineuses représentait déjà 526 Mo le 7 […]
L’article Un « ordinal Punk » vendu pour 9.5 BTC est apparu en premier sur Cointribune.
Music producer Deputy, who helped produce Rihanna’s hit 2015 single « B**** Better Have My Money, » is granting a portion of his streaming royalties to collectors through anotherblock.
In a CoinDesk exclusive, the co-founder of Yuga Labs, Wylie Aronow, shares a frank letter touching on his recent diagnosis of heart failure and responding to accusations of racist and nazi imagery embedded within the Bored Ape Yacht Club NFT project.
Late Wednesday night, one Ordinal Punk NFT, minted on the Bitcoin native Ordinals Protocol, sold for 9.5 BTC, about $214,000.
Un hack minutieusement préparé – De tout temps, les cryptomonnaies ont attisé les convoitises. Ainsi, hacker et autres escrocs ne se sont pas fait prier pour s’attaquer à l’écosystème des cryptos. Résultat : chaque jour, des protocoles et des utilisateurs se voient dérober leurs précieuses cryptomonnaies.
Bien que dans certains cas, l’origine des hacks soit évidente, dans d’autres, le pot aux roses n’est pas aussi évident.
Le 6 février, l’internaute 0xngmi a dévoilé qu’un escroc lui avait dérobé l’équivalent de 4 millions de dollars en cryptomonnaies.
a crypto scam stole 4m by just taking a photo of a trust wallet screen, with no seed phrases or any private info on sight pic.twitter.com/yOQGbReF1I
— 0xngmi (aggregatoor arc) (@0xngmi) February 6, 2023
Sa mésaventure débute le 26 novembre, alors qu’il essaye de lever des fonds pour son projet de NFT Webaverse, dont le lancement venait d’être couronné de succès. Au cours de ces démarches, il a été contacté par l’avocat d’un investisseur intéressé.
Celui-ci représenterait ainsi le petit-fils du fortuné Joseph Safra. Après échange de KYC, les équipes de Webaverse ont décidé de poursuivre les négociations.
Avant de conclure le marché, l’investisseur a demandé à organiser une rencontre afin de « se sentir à l’aise ». Ainsi, 0xngmi et son associé ont rencontré l’investisseur et son banquier dans un lobby d’hôtel à Rome.
Cet entretien allait permettre à 0xngmi de présenter une preuve de fonds à son investisseur. Cette preuve était une des conditions nécessaires pour que l’investisseur prenne part à la levée de fonds.
« Lorsque nous nous sommes rencontrés, nous nous sommes assis en face de ces trois hommes et avons transféré 4m USDC dans le Trust Wallet. M. Safra a demandé à voir les soldes sur l’application Trust Wallet et a sorti son téléphone pour prendre des photos. »
Bien qu’ils aient pu trouver cela bizarre, 0xngmi et son associé ne se sont pas attardés sur ce détail, sachant que l’appareil ne contenait pas les clés privées du wallet. Malheureusement, c’est là que les événements ont pris une tournure dramatique.
« L’investisseur s’est dit satisfait, a déclaré qu’il devait sortir pour discuter des prochaines étapes avec ses collègues, et nous ne l’avons plus jamais revu. Quelques minutes plus tard, les fonds ont quitté le portefeuille. »
Et voilà, 4 millions de dollars envolés, sans que 0xngmi n’ait aucune idée de comment cela a bien pu se passer.
Après cette affaire, les équipes de Trust Wallet ont été sollicitées afin de s’assurer qu’il ne s’agissait pas là d’une faille dans le wallet.
Bien qu’ils n’aient trouvé aucune faille, ils ont décidé de mener l’enquête pour comprendre ce qui s’était passé.
1/ This week, an organised crime unit from Rome stole $4M from one of our users.
It was stated, the thief ‘took a picture’ of the user’s Wallet balance to steal the funds.
We’ve done investigating into the events and believe this is how it happened…
— Trust – Crypto Wallet (@TrustWallet) February 8, 2023
« Nous avons enquêté sur l’activité signalée et nous nous sommes entretenus avec des professionnels de la sécurité à ce sujet. Nous pensons que cela a été causé par une escroquerie d’ingénierie sociale qui a impliqué une série d’événements en amont de ce moment. »
En effet, les équipes de Trust Wallet soupçonnent que les assaillants ont transmis un malware à leur victime au moment de l’échange des papiers de KYC et divers accords d’investissements.
Tout le reste n’était alors qu’une mise en scène pour brouiller l’origine de l’attaque.
De surcroît, les équipes de Trust Wallet ont découvert qu’il pourrait bien s’agir de criminels en bande organisée. Effectivement, il existe plusieurs autres signalements, pour des affaires similaires, impliquant Trust Wallet ou d’autres wallets.
Le mode opérationnel est souvent le même. Les scammeurs se font passer pour de potentiels investisseurs avant d’infecter la victime et dérober les fonds.
D’autres vecteurs d’attaques peuvent être envisagés. En effet, il ne serait pas impossible que les arnaqueurs aient eu recours à une technique appelée « address poisoning », un nouveau type d’attaque découvert par MetaMask.
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L’article Ce hacker magicien fait disparaître 4 millions d’USDC en un clic – Trust Wallet enquête est apparu en premier sur Journal du Coin.
LooksRare users can now buy and sell cryptocurrencies through MoonPay, which will allow users to purchase NFTs with a credit card.
Le bout du tunnel ? – Après une année 2022 terrible pour le marché des NFT, ce dernier semble avoir repris du poil de la bête depuis janvier 2023. Après une baisse prolongée des volumes d’achats sur les différentes plateformes, un retour des ventes pourrait peut-être faire figure de prémices à une prochaine tendance. Analyse.
Alors que les plateformes défendent avec vigueur leur part de ce gâteau géant aux arômes NFT, nul doute que celles-ci semblent confiantes dans l’avenir du marché. Et pour cause, ce nouvel univers d’expression artistique a l’avantage de révolutionner les procédés de rémunération des créateurs. Outre leur aspect artistique, de nombreux NFT font également preuve d’utilités insoupçonnées : aspect communautaire, mise en avant de marques, jeux vidéos, métavers, clubs… Et bientôt peut-être aussi de notre identité numérique dans le web3. Cette prouesse est rendue possible grâce à cette étrange création dévoilée l’année dernière par Vitalik Buterin : les Soulbound Tokens.
Pendant que le marché dort, le secteur continue donc de construire et de se développer. Un marché qui semble néanmoins se réveiller peu à peu. Comme le démontre la hausse progressive des volumes de ventes des derniers mois.
Une croissance renforcée par quelques dernières ventes plutôt spectaculaires. Elles concernent sans surprise les luxueuses collections des Bored Ape Yacht Club (BAYC) et des Cryptopunks. Des ventes qui dépassent allègrement le million de dollars.
Lundi, c’est le cryptopunk 5066, l’un des plus rares, qui s’est vendu pour la modique somme de 857 ETH. Soit environ 1,4 million de dollars. Il a été vendu par Kévin Rose, cofondateur de la collection NFT des Moonbirds. Pour lui, cette vente était nécessaire afin de rééquilibrer son portefeuille NFT suite à la perte sèche dont il a fait l’objet quelques semaines plus tôt. En effet, le collectionneur a eu la malchance de se faire subtiliser l’équivalent de 1 million de dollars en NFT au mois de janvier dernier. L’acquéreur du cryptopunks serait le mystérieux bitshamed.eth.
Peu après, c’est au tour du BAYC numéro 7090 de changer de propriétaire pour 800 ETH. L’équivalent de 1,3 million de dollars. Il s’agit de l’un des plus rares de la collection, classée 62e sur les 10 000 membres de ce club simien très fermé. Le précédent détenteur du singe était Jimmy McNelis, un collectionneur de NFT.
Faux rebond ou signe avant-coureur d’une reprise ? Personne ne le sait, mais le marché des NFT ne semble pas avoir dit son dernier mot. À la faveur d’un regain d’intérêt du marché crypto ou d’une prochaine révolution technologique, celui-ci pourrait bien se permettre de nouvelles folies dans les années à venir. Des folies dont les entreprises du web2 pourraient bien avoir envie de profiter.
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L’article Le marché des NFT à la hausse : les millions de dollars sont de retour est apparu en premier sur Journal du Coin.
Transactions are coming from the popularity of the recently-deployed protocol Ordinals, which allows for NFT-like tokens to be stored on-chain.
L’écosystème NFT évoluant principalement dans l’espace numérique, c’est sur les réseaux sociaux comme Twitter que cette promotion est faite. Mais, avec les nombreuses possibilités qui existent pour acheter des likes, des retweets ou des followers, il semblerait que certains aient abusé de ces accélérateurs d’interactions.
Dans l’univers des NFT, le premier objectif à atteindre pour faire connaître son projet est de créer sa communauté. Cela sert à la fédérer et à avoir des retours, mais aussi à ce qu’elle fasse connaître le projet autour d’elle pour atteindre le second objectif : gagner en visibilité.
Le troisième objectif, c’est celui d’arriver à financer le projet. Cela peut être grâce à des levées de fonds auprès de capital-risque ou à la manière d’un financement participatif décentralisé. Parfois même, les deux. Cette étape, déterminante pour la suite du projet, va susciter beaucoup d’engouement de la part de la communauté qui la partagera avec enthousiasme sur les réseaux sociaux.
Construire cette légitimité peut prendre des mois lorsque cela est fait de manière organique, mais le jeu en vaut la chandelle ! Une communauté solide, fédérée et nombreuse sera plus à même de porter une idée ou une vision sur le long terme.
Seulement, au sein de ce marché libre, ouvert et très concurrentiel, il est tentant de feindre la réussite des deux premiers objectifs pour se concentrer uniquement sur le troisième.
Grâce à des services qui permettent d’acheter des interactions, voire des followers sur Twitter, il est assez facile de rapidement fausser les statistiques d’un compte. Bien qu’interdite sur le réseau social, cette méthode n’est un secret pour personne. Mais, est-ce que certains projets NFT n’en abuseraient-t-ils pas pour gonfler massivement la portée de leur communication ?
D’après un travail de recherche de 158 pages provenant du compte Little Shapes (ou Atto), 274 projets sur Ethereum et Solana auraient utilisé un réseau de bot spécialisé visant l’écosystème NFT. Aussi, il dénonce des comportements pouvant être catégorisés comme des délits d’initiés de la part d’influenceurs sans pour autant donner de noms. Le dernier élément à être mis en évidence est celui du prix des NFT qui a fortement baissé par rapport au prix initial…
Atto aurait contacté différentes institutions juridiques pour signaler la situation tout en faisant référence à 8 personnes arrêtées le 14 décembre 2022 pour fraude financière en utilisant des réseaux sociaux comme Twitter et Discord. À noter, ni la crypto ni les NFT ne sont cités dans ce rapport de la justice américaine.
Tant que la justice ne se sera pas exprimée sur ce document, il est difficile d’en tirer des conclusions. Cela dit, cela soulève des questions sur les conséquences possibles de ces dérives, mais aussi de leur cause. Utiliser les bots pour booster ses engagements et impressions sur les réseaux sociaux est une chose, les envoyer contre des concurrents en est une autre.
Avec la place que prennent les réseaux sociaux dans la communication, peut-être est-ce le moment de repenser la manière de promouvoir les projets NFT ?
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Le captain web3 a encore frappé – Il est bon de savoir qu’internet n’est pas peuplé que de vils personnages qui en veulent à votre argent, vos cryptos ou vos NFT. Parmi tous les récits affligeants de vols, de phishing ou d’arnaques en tout genre, on trouve de temps en temps de belles histoires. Et celle d’aujourd’hui en est une. Elle concerne celui qui devient de plus en plus une sorte de justicier des temps modernes et qui se nomme ZachXBT sur les réseaux sociaux. Il vient d’aider le FBI à mettre la main sur un butin de presque 250 000 dollars. Il a réussi à remonter jusqu’au pirate grâce à une montre de luxe un peu trop bling-bling. Vous avez aimé American Gangster de Ridley Scott ? Vous allez adorer ce qui va suivre.
Tout commence en décembre 2021. Le détective de la blockchain ZachXBT commence alors à publier des messages sur les réseaux sociaux à propos d’une enquête qu’il va entamer. En effet, il réalise à ce moment-là que près de 600 groupes Discords et comptes Twitter liés à des projets NFT et cryptos sont compromis par un pirate. Au fil de l’année 2022, il va accumuler des preuves et recenser des vols auprès d’une large communauté de victimes.
En septembre de l’année dernière, il publie ses premiers résultats. Le limier du web3 met en lumière l’identité numérique du voleur. Ce serait un certain Chase Senecal, mieux connu sous le nom de Horror (HZ). Mais tout va basculer quand ZachXBT repère sur Twitter une publication du fameux @horror qui frime avec une montre de luxe. À partir de là, les choses vont s’accélérer.
Notre héros du jour va d’abord chercher à remonter la piste de la montre. Il est, en effet, persuadé que ce type de montre ne court pas les rues. Il fait sa petite enquête sur son terrain de jeu favori que sont les réseaux sociaux. ZachXBT arrive finalement à trouver le vendeur de la Audemars Piguet série Royal Oak couverte de diamants. Ce dernier lui indique que le paiement a été effectué en cryptos et plus particulièrement en USDC. Bingo, la traque peut commencer !
En effet, l’adresse utilisée pour le paiement était directement financée par plusieurs adresses utilisées pour escroquer des personnes avec des comptes Twitter piratés. Il transmettra ensuite toutes ces informations au FBI qui procèdera à une perquisition à Brunswick, dans l’État du Maine, où la fameuse montre sera retrouvée. Tout ceci s’est déroulé au mois d’octobre dernier, mais le FBI n’a publié le communiqué que le 7 février.
Le document du Bureau Fédéral d’Investigation ne donne pas beaucoup plus de détails sur l’affaire. On sait juste que le Bored Ape Yacht Club #9658 et le Doodle #3114 ont été saisis. Ces deux NFT coûtent respectivement 95 500 et 9 300 dollars. Il y avait aussi 86,5 ETH sur les portefeuilles.
Le FBI a déclaré que la confiscation est un outil à la disposition de la justice :
« Elle permet au gouvernement de supprimer, sans compensation pour l’individu, la propriété des biens impliqués dans un crime. Cela peut se produire dans une procédure civile ou après la condamnation d’un individu dans un procès pénal. »
Ceci laisse donc penser que d’autres procédures sont en cours concernant le mis en cause. Mais, à cette heure, il n’y a pas d’information à ce sujet. On peut en revanche regretter que les autorités fédérales n’aient pas souhaité remercier ZachXBT pour le travail réalisé. En attendant, ce fameux web3 reste le terrain de jeu des escrocs de tous poils et les justiciers auront fort à faire pour les empêcher de nuire. Même Interpol s’improvise en shérif du metaverse !
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