NFT, éclat de lumière en chambre noire ? – Loin de l’improvisation qui habite parfois son pendant musical, la société Rhapsody œuvre pour que l’art de la photographie se fasse une place sous le soleil du web 3. Aujourd’hui, l’entreprise ouvre les portes du monde exaltant des NFT (Non Fungible Token) à trois prestigieux photographes : Yann Arthus-Bertrand, Namsa Leuba et Nicolas Henry. Zoomons sur les détails, déroulons ensemble la pellicule.
NFT, le pouvoir d’une photo blockchain entre les doigts des artistes
Par delà la spéculation, inhérente à la jeunesse de toute innovation, les NFT sont un formidable outil d’authentification, de numérisation, de certification. L’exemple typique sont les Soulbound Token. Des NFT non transférables qui pourraient devenir dans les prochaines années nos futurs passeports, cartes, certificats, diplômes… En bref, tout document qui, à l’ère du numérique, demeure aujourd’hui une réminiscence d’un monde papier.
Les NFT, c’est également un nouveau mode d’expression, une forme d’art inédite et un vecteur de communication inégalable à destination d’une jeunesse fan de nouvelles technologies. Un outil plébiscité par les marques bien sûr, mais aussi une rampe d’accès pour toute industrie souhaitant profiter des bienfaits de la technologie. La société Rhapsody, en ce sens, se place au croisement de deux mondes. Celui de la blockchain, dernier né d’une technologie de plus en plus virtuelle. Et celui de la photographie, à la beauté très réelle mise au service de causes fortes par les artistes précédemment cités.
« Ces trois photographes talentueux témoignent des problèmes environnementaux et sociaux actuels, chaque style exprimant les préoccupations qui nous émeuvent et nous rassemblent. Cette collection spéciale a pour vocation de sensibiliser, inspirer et provoquer un dialogue constructif sur les questions cruciales qui façonnent le monde d’aujourd’hui. »
Pierre-Elie de Pibrac, cofondateur de Rhapsody
La galerie Rhapsody ouvre les portes du monde NFT aux photographes
Désormais, via la blockchain, les photographes disposent d’un formidable outil d’authentification de leurs œuvres, de certification de leur provenance. Des éléments déterminants dans leur valorisation. Le 4 mai prochain, à 18h, sur la galerie d’art de Rhapsody, seront proposées aux collectionneurs des œuvres de prestigieux artistes, alliant photographie et technologie NFT :
Yann Arthus-Bertrand : photographe, cinéaste et écologiste français devenu célèbre pour ses photographies aériennes publiées dans le non moins connu « La Terre vue du ciel ». En effet, il s’agit du livre photographique le plus vendu de l’histoire. Trois de ses œuvres seront en vente.
Namsa Leuba : photographe suisso-guinéenne, dont le travail cherche à mettre en valeur la diversité de l’Afrique à travers le scope de la culture occidentale. Cette artiste a reçu de nombreuses distinctions et a collaboré avec les maisons Dior, Christian Lacroix ou encore Nike. Cinq de ses œuvres seront en vente.
Nicolas Henry : artiste plasticien, producteur et réalisateur qui possède un style unique associant photographie, sculpture et performance artistique. Son objectif ? Plonger le spectateur dans son univers onirique. Six de ses œuvres seront en vente.
Les œuvres seront mises en vente à un prix de départ de 2 ETH. Plus de 50% des recettes seront reversées à Photoclimat. Cette dernière, biennale sociale et environnementale de photographie à Paris, a pour but de sensibiliser sur l’urgence climatique.
Le web 3, nouveau terrain d’expression des créateurs ?
La start-up française Rhapsody se donne pour mission d’accompagner photographes, collectionneurs et institutions tout au long de leur parcours créatif, de la curation à la vente de pièces photographiques uniques. La technologie NFT est un outil au service des artistes afin de révolutionner le monde de l’art contemporain. Yann Arthus-Bertrand, Namsa Leuba et Nicolas Henry font partie de ceux qui l’ont bien compris.
« Nous espérons que d’autres grands artistes nous rejoindront dans ce fascinant voyage utilisant la technologie web 3. Notre objectif est de leur permettre de redevenir propriétaires de leurs photographies sous format numérique, et d’enfin pouvoir les valoriser, tout en donnant aux collectionneurs la possibilité d’aborder les questions climatiques de manière unique. »
Julien Zanet, cofondateur de Rhapsody
Raconter une histoire, défendre une cause, les œuvres photographiques marquent les esprits. Un ancrage dans le réel, une excursion vers l’imaginaire, un lien fort aussi avec la technologie. Et un art qui s’ancre désormais dans la blockchain grâce à l’utilisation fort à propos des NFT, et ce grâce à l’initiative de l’entreprise Rhapsody. Qui sait, un jour peut-être, la création de cette passerelle entre art et technologie sera immortalisée via la photographie.
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