Le portefeuille Solana Phantom va évoluer vers la multichaîne dès le 1er mai. Lors de la première étape de ce changement, le wallet va prendre en charge les chaînes de blocs Ethereum et Polygon.
Les développeurs du portefeuille Solana Phantom vont ouvrir l’application pour qu’elle accepte désormais Ethereum et Polygon. Cela s’inscrit dans son envie de fournir une expérience utilisateur claire en permettant d’afficher les NFT dans le portefeuille….
Lire la suite: Solana : son portefeuille Phantom devient multichaîne et prend en charge Ethereum et Polygon
Mois : avril 2023
Crypto et NFT : Vers la suppression de la taxe de 30 % d’Apple ?
La fin de la taxe de 30 % d’Apple est proche. Les investisseurs en crypto et NFT ont les yeux pétillants.
L’article Crypto et NFT : Vers la suppression de la taxe de 30 % d’Apple ? est apparu en premier sur Cointribune.
The Sandbox et Ledger, partenaires contre les hackers du metaverse
Quand le hardware s’allie au métavers – Après un premier partenariat centré sur l’éducation l’année dernière, les deux fleurons du numérique, The Sandbox et Ledger, remettent le couvert. Les entreprises du secteur crypto grandissent main dans la main et ce n’est pas pour nous déplaire. Plongeons dans le monde de demain, un monde aux accents virtuels du métavers.
Ledger, le nouveau shérif des mondes virtuels
Ne pas se faire dérober son portefeuille lors d’une ballade dans le métavers. Si l’idée peut paraitre incongrue aujourd’hui, cela ne sera peut-être pas le cas demain. L’objectif de Ledger est clair. Sécuriser le fourmillement d’activités qui se déroule en coulisses sur un territoire en pleine construction, mais très prometteur : le métavers. Et quel meilleur partenaire pour cela que The Sandbox, le fleuron du secteur. Si les voleurs ne courent pas les rues dans ces univers virtuels, les hackeurs, eux, sont bien présents, et rappliquent dès qu’ils sentent une bonne affaire.
Or, sécuriser le métavers dès aujourd’hui, c’est sans doute permettre demain, son expansion auprès du grand public. Pour se faire, cela passe bien sûr par l’éducation, savoir protéger ses cryptos, mais aussi par des partenariats d’ampleur. Comme celui entre The Sandbox et Ledger.
L’idée est, en premier lieu, de sécuriser les actifs crypto des entreprises et professionnels qui développent leur activité. Nous savons tous le mal que peut faire un hack, voire plusieurs, s’abattant sans prévenir sur un secteur. Détruisant au passage sa réputation et les prémices d’une confiance qu’il faut encore bâtir. Au sein de l’écosystème crypto, de nombreux acteurs sont encore émergents, fragiles, mais aussi très prometteurs. Ledger promet donc l’intégration de sa technologie de pointe pour tous les partenaires de The Sandbox, afin que ceux-ci puissent sécuriser leurs activités. Wallets, terrains virtuels (LANDs) et précieux NFT. Une extension de plus du répertoire client de notre licorne française, Ledger.
« Chaque marque qui créé ou stocke des actifs numériques est vulnérable à une tendance croissante de hacks, scams et aux erreurs de gestions que nous constatons sur l’ensemble du marché au sens large. The Sandbox travaille avec d’innombrables marques et aide à bâtir une relation de confiance […] avec les nouveaux utilisateurs. […] Ledger est fier d’offrir la tranquillité d’esprit que ces entreprises et consommateurs méritent. »
Alex Zinder, responsable de Ledger Enterprise
Metaverse The Sandbox, bâtir la confiance pour préparer l’adoption
Pour The Sandbox également, c’est un partenariat gagnant-gagnant :
L’application décentralisée (dApp) de The Sandbox sera intégrée à Ledger Enterprise et facilitera l’accès au métavers pour les clients passionnés par le virtuel ;De même, l’intégration d’un widget The Sandbox sera ajoutée à l’application Ledger Live.
En contrepartie, The Sandbox recommandera donc Ledger à sa communauté et ses détenteurs de LANDs. De plus, les NFT actuellement présents sur les wallets de The Sandbox seront migrés sur les portefeuilles sécurisés de Ledger afin d’en renforcer la protection.
« Nous avons une relation de longue date avec Ledger et nous sommes heureux de renforcer notre partenariat afin de fournir une sécurité renforcée aux marques faisant leur entrée au sein du métavers. Nous facilitons l’accès à Ledger pour nos utilisateurs et, du côté de Ledger, l’accès à The Sandbox pour leurs clients. Cela rendra plus simple et plus sécurisée pour les individus et les marques leur plongée au sein du métavers. »
Sébastien Borget, COO et cofondateur de The Sandbox
Parmi les précurseurs, passionnés et curieux, ceux qui s’intéressent fortement aux nouvelles technologies sont aussi bien sûr les hackers. Attirés par les failles, synonymes d’autant de profits, les incidents sont légion dans ces écosystèmes en développement. Le métavers, tout comme les autres secteurs, n’est pas épargné. Que l’un des leaders, The Sandbox, s’allie à un partenaire de choix, Ledger, afin de pérenniser le développement des mondes virtuels, est très bon signe. Et prometteur pour un secteur grandissant qui a encore de nombreux challenges devant lui avant de hacker à son tour le cœur de gens.
Pour dormir l’esprit tranquille, équipez-vous d’un wallet hardware sécurisé Ledger, il y en a pour toutes les bourses. Votre sécurité n’a pas de prix (lien commercial).
L’article The Sandbox et Ledger, partenaires contre les hackers du metaverse est apparu en premier sur Journal du Coin.
Apple contraint d’accepter cryptos et NFT sur les applications iOS
Apple contre Epic Games – Dans l’attente d’un potentiel appel de la décision judiciaire, nous assistons probablement à une petite révolution dans le monde du jeu et du divertissement dans la galaxie Apple. Cette affaire dure depuis plusieurs mois maintenant, et elle a peut-être trouvé son dénouement. On vous en avait parlé au mois d’octobre dernier quand la polémique autour de la politique commerciale du géant de la Silicon Valley faisait rage sur les médias et les réseaux sociaux. Il était question de la commission de 30 % obligatoire pour tous les vendeurs sur l’App Store, notamment ceux qui proposaient des NFT. La justice s’est prononcée en faveur d’une ouverture de la plateforme de vente de la marque à la pomme. Nous allons voir ensemble quelles pourraient en être les conséquences.
Une décision de justice contre la politique d’Apple sur son App Store…
Le 24 avril dernier, la cour d’appel fédérale a rendu une décision qui pourrait faire date. Un tribunal californien a ainsi considéré qu’Apple avait enfreint les lois sur la concurrence en interdisant aux vendeurs d’applications d’utiliser d’autres méthodes de paiement que celles intégrées à l’App Store. Notons qu’il s’agit surtout de la commission de 30 % appliquée à toutes les transactions qui a fait davantage débat par rapport aux méthodes de paiement. C’est à l’occasion d’une procédure contre Epic Games, studio à l’origine du jeu Fortnite, que la décision a été prise.
Tim Sweeney, le fondateur et directeur général d’Epic Games, s’est réjoui de cette décision qui va permettre, selon lui, de « libérer les développeurs sur iOS ». Ainsi, il sera désormais possible, via l’App Store, « d’envoyer les consommateurs directement sur un site internet pour faire affaire avec eux », poursuit le CEO. Et ça, ça change tout, notamment pour les développeurs d’applications web 3.
… qui pourrait bien profiter aux cryptomonnaies et aux NFT
En effet, jusqu’alors, cette fameuse commission de 30 % était un frein évident à la vente de certaines applications, mais surtout de NFT. Pour avoir un ordre d’idée de ce qui se fait dans le milieu, OpenSea, un des leaders du marché, vient de faire tomber ses propres frais de transaction à… zéro. C’est dire si la commission d’Apple paraissait énorme. Et parmi les différents types de NFT que l’on peut trouver, ceux qui concernent le tokengating sont en première ligne. Pour rappel, il s’agit de NFT qui donnent droit à un accès privilégié à certains services, produits ou applications.
Or, jusqu’à maintenant, il n’était pas possible d’envisager cela via l’App Store à cause de la politique commerciale de la firme. Ce sera désormais réalisable. De même, envisager de rediriger les clients vers un site de paiement qui accepterait les cryptomonnaies devient tout à coup facile à mettre en place. Cela devrait permettre, si Apple ne fait pas appel, de mettre la crypto à portée de clic des utilisateurs de la marque. Ces derniers représenteraient, si on en croit les derniers chiffres, un peu moins de 2 milliards de personnes sur Terre tout de même.
Malgré tout, il faut rester prudent quand il s’agit de telles nouvelles, car la justice américaine pourrait bien décider de revenir sur sa décision en cas d’appel de la société. Le feuilleton entre les GAFAM et la cryptomonnaie continue donc d’animer l’actualité, avec Google et Microsoft qui se positionnent de plus en plus sur la blockchain. Mais revenons à Apple pour terminer, car nous avions appris, il y a quelques jours, avec un petit sourire en coin, que le livre blanc de Bitcoin était caché dans le système d’exploitation MacOS Ventura 1.4 depuis 2018. Eh, bien ! Apparemment, c’est terminé.
Vous aimeriez essayer le trading ? Inscrivez-vous dès maintenant sur la plateforme PrimeXBT pour participer au concours du meilleur trader ! Vous avez peur de perdre vos capitaux ? Le concours est basé sur de l’argent virtuel, mais les gains sont bien réels ! (lien commercial).
L’article Apple contraint d’accepter cryptos et NFT sur les applications iOS est apparu en premier sur Journal du Coin.
Web3 Culture Is ‘Not Dead’ But as Strong as Ever, Say Brand Leaders
Creators, leaders and builders from the NFT space spoke about the resilience of Web3 at CoinDesk’s annual Consensus conference.
Art Blocks Co-Founder Erick Calderon Uses Free Market Ideals to Defend NFT Royalties
Erick Calderon, the co-founder of Art Blocks, tried to turn down the heat on the battle around non-fungible token (NFT) creator royalties at CoinDesk’s Consensus Festival. He made his own opinion on the matter clear, however: according to Calderon, royalties “let the creator keep creating.”
Pourquoi la collection NFL All Day est un tel désastre ?
Suite à l’incroyable succès de la collection NFT NBA Top Shot, la crypto-startup à l’origine du concept était impatiente de réitérer l’expérience dans un nouveau domaine sportif. Dapper Labs, puisque c’est de la compagnie dont il s’agit, a alors tourné son attention vers l’autre sport ultra-populaire aux États-Unis : le football américain. Cependant, cette nouvelle…
L’article Pourquoi la collection NFL All Day est un tel désastre ? est apparu en premier sur Cryptonaute.
Michelin et son célèbre Bibendum débarquent dans le Web3 avec une collection de 5 000 NFTs
La liste des entreprises prenant le virage du Web3 s’agrandit à nouveau. C’est au tour de Michelin et de son célèbre bonhomme Bibendum d’annoncer une collection de 5 000 tokens non fongibles (NFTs), baptisée « Michelin 3xplorer Club ». Celle-ci permettra à la communauté d’accéder à des expériences exclusives et inédites en lien avec les différentes activités de Michelin.
L’article Michelin et son célèbre Bibendum débarquent dans le Web3 avec une collection de 5 000 NFTs est apparu en premier sur Cryptoast.
The Sandbox s’associe à Ledger pour sécuriser ses NFT
Dans le cadre de ce partenariat, l’ensemble des NFT du wallet de The Sandbox seront transférés vers le portefeuille de Ledger Enterprise. Vers une conquête du metaverse pour Ledger ? The Sandbox va s’associer au fournisseur de solutions sécurisé Ledger Enterprise afin de développer et d’améliorer la sécurité pour ses partenaires. Ces derniers verront leurs…
L’article The Sandbox s’associe à Ledger pour sécuriser ses NFT est apparu en premier sur Cryptonaute.
Rhapsody, quand la photographie s’invite en NFT sur la blockchain
NFT, éclat de lumière en chambre noire ? – Loin de l’improvisation qui habite parfois son pendant musical, la société Rhapsody œuvre pour que l’art de la photographie se fasse une place sous le soleil du web 3. Aujourd’hui, l’entreprise ouvre les portes du monde exaltant des NFT (Non Fungible Token) à trois prestigieux photographes : Yann Arthus-Bertrand, Namsa Leuba et Nicolas Henry. Zoomons sur les détails, déroulons ensemble la pellicule.
NFT, le pouvoir d’une photo blockchain entre les doigts des artistes
Par delà la spéculation, inhérente à la jeunesse de toute innovation, les NFT sont un formidable outil d’authentification, de numérisation, de certification. L’exemple typique sont les Soulbound Token. Des NFT non transférables qui pourraient devenir dans les prochaines années nos futurs passeports, cartes, certificats, diplômes… En bref, tout document qui, à l’ère du numérique, demeure aujourd’hui une réminiscence d’un monde papier.
Les NFT, c’est également un nouveau mode d’expression, une forme d’art inédite et un vecteur de communication inégalable à destination d’une jeunesse fan de nouvelles technologies. Un outil plébiscité par les marques bien sûr, mais aussi une rampe d’accès pour toute industrie souhaitant profiter des bienfaits de la technologie. La société Rhapsody, en ce sens, se place au croisement de deux mondes. Celui de la blockchain, dernier né d’une technologie de plus en plus virtuelle. Et celui de la photographie, à la beauté très réelle mise au service de causes fortes par les artistes précédemment cités.
« Ces trois photographes talentueux témoignent des problèmes environnementaux et sociaux actuels, chaque style exprimant les préoccupations qui nous émeuvent et nous rassemblent. Cette collection spéciale a pour vocation de sensibiliser, inspirer et provoquer un dialogue constructif sur les questions cruciales qui façonnent le monde d’aujourd’hui. »
Pierre-Elie de Pibrac, cofondateur de Rhapsody
La galerie Rhapsody ouvre les portes du monde NFT aux photographes
Désormais, via la blockchain, les photographes disposent d’un formidable outil d’authentification de leurs œuvres, de certification de leur provenance. Des éléments déterminants dans leur valorisation. Le 4 mai prochain, à 18h, sur la galerie d’art de Rhapsody, seront proposées aux collectionneurs des œuvres de prestigieux artistes, alliant photographie et technologie NFT :
Yann Arthus-Bertrand : photographe, cinéaste et écologiste français devenu célèbre pour ses photographies aériennes publiées dans le non moins connu « La Terre vue du ciel ». En effet, il s’agit du livre photographique le plus vendu de l’histoire. Trois de ses œuvres seront en vente.
Namsa Leuba : photographe suisso-guinéenne, dont le travail cherche à mettre en valeur la diversité de l’Afrique à travers le scope de la culture occidentale. Cette artiste a reçu de nombreuses distinctions et a collaboré avec les maisons Dior, Christian Lacroix ou encore Nike. Cinq de ses œuvres seront en vente.
Nicolas Henry : artiste plasticien, producteur et réalisateur qui possède un style unique associant photographie, sculpture et performance artistique. Son objectif ? Plonger le spectateur dans son univers onirique. Six de ses œuvres seront en vente.
Les œuvres seront mises en vente à un prix de départ de 2 ETH. Plus de 50% des recettes seront reversées à Photoclimat. Cette dernière, biennale sociale et environnementale de photographie à Paris, a pour but de sensibiliser sur l’urgence climatique.
Le web 3, nouveau terrain d’expression des créateurs ?
La start-up française Rhapsody se donne pour mission d’accompagner photographes, collectionneurs et institutions tout au long de leur parcours créatif, de la curation à la vente de pièces photographiques uniques. La technologie NFT est un outil au service des artistes afin de révolutionner le monde de l’art contemporain. Yann Arthus-Bertrand, Namsa Leuba et Nicolas Henry font partie de ceux qui l’ont bien compris.
« Nous espérons que d’autres grands artistes nous rejoindront dans ce fascinant voyage utilisant la technologie web 3. Notre objectif est de leur permettre de redevenir propriétaires de leurs photographies sous format numérique, et d’enfin pouvoir les valoriser, tout en donnant aux collectionneurs la possibilité d’aborder les questions climatiques de manière unique. »
Julien Zanet, cofondateur de Rhapsody
Raconter une histoire, défendre une cause, les œuvres photographiques marquent les esprits. Un ancrage dans le réel, une excursion vers l’imaginaire, un lien fort aussi avec la technologie. Et un art qui s’ancre désormais dans la blockchain grâce à l’utilisation fort à propos des NFT, et ce grâce à l’initiative de l’entreprise Rhapsody. Qui sait, un jour peut-être, la création de cette passerelle entre art et technologie sera immortalisée via la photographie.
PrimeXBT organise un concours de trading en argent virtuel et offre 5000 USDT à partager entre les 10 meilleurs. Profitez des conditions actuelles de marché pour accumuler les profits pour de faux, et peut-être gagner 1500$ pour de vrai. Inscrivez-vous dès maintenant sur la plateforme PrimeXBT (lien commercial).
L’article Rhapsody, quand la photographie s’invite en NFT sur la blockchain est apparu en premier sur Journal du Coin.