Toute l'actualité des NFT
Paris, France – UVL Studios, qui explore l’utilité émotionnelle des NFT, lance sa première Open Edition: Energy. Pour annoncer la sortie de son projet Axis Mundi, le studio a préparé un live-minting sous forme de performance artistique pour NFC Lisbonne. La communauté d’Axis Mundi se développe rapidement, avec 22 000 followers sur Twitter et presque […]
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La DeFi à portée de clic – Nous voici de nouveau réunis pour une interview sur la chaine YouTube du Journal du Coin. Nous avons rencontré pour vous la semaine dernière Gauthier Vila, CEO de Onedefy. On vous emmène ?
Dans cette vidéo, vous serez guidé à travers une présentation détaillée des services et des fonctionnalités d’Onedefy, une application qui vous permet de mettre un pied dans la DeFi en toute simplicité.
De la méthode de connexion à l’application, aux différentes blockchains prises en charges Gauthier Vila nous explique tout afin que l’on puisse comprendre le fonctionnement et les rouages d’Ondefy. La sélection des cryptomonnaies listées sur l’application, les services NFT proposés, le Yield et l’actualité autour de la régulation crypto en France, aucun point n’est oublié lors de cette rencontre. Bon visionnage et abonnez vous à notre chaîne YouTube pour ne pas manquer nos interviews.
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L’article Ondefy, l’application qui facilite l’accès à la DeFi : rencontre avec Gauthier Vila est apparu en premier sur Journal du Coin.
Cet article n’en est pas un. Ou du moins, n’en attendez rien, et considérez que, quels que soient vos espoirs attentes, ils ne pourront qu’être déçus. En effet, aujourd’hui on descend dans le puit sans fonds de la vacuité faite art. Ce moment suspendu dans l’histoire de l’industrie crypto où il n’y a tellement plus rien à dire, que ce « rien » finit lui-même par en devenir précieux. Et par valoir des millions de dollars.
Depuis ses premiers pas, l’industrie crypto est traversée par des courants de sub-culture, marqués autant par l’art du troll que par celui du mèmes et de la parodie crypto-potache.
C’est ainsi que certains des esprits cryptographiques les plus brillants de l’industrie mêlent dans une improbable alliance la création et le soutien d’innovations qui pèse désormais des centaines de milliards de dollars, avec un sens de la vanne que votre petit cousin tiktokeur trouverait presque too much.
Rien d’étonnant finalement à ce que le secteur de la DeFi notamment, tout « avenir de la Finance » soit-il, demeure également en 2023 le creuset d’initiatives grotesques, ridicules, voire même gênantes.
On pensera notamment au phénomène $PEPE, du nom de la fameuse grenouille (mal) dessinée, directement issue de la culture Reddit des années 2010 qui a surgi en quelques jours dans le top50 crypto, voyant sa capitalisation passer de 0 à 1.4 milliard de dollars à la vitesse du batracien supersonique. Ou encore le Milady Meme Coin, token de la collection NFT éponyme, envoyé tout droit en orbite, presque par erreur par Elon Musk, troller en chef de toute une industrie.
Mais après ces épiphénomènes en mode bouffées délirantes, où le n’importe quoi et l’absence de la moindre valeur intrinsèque étaient pour ainsi dire portées en étendard (le site officiel du token PEPE l’indiquant même en toute lettre « pas d’équipe, pas de projet, pas de feuille de route »), on pensait avoir tout vu.
Et pourtant, on avait « rien » vu.
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« Envoyez des ETH ici », suivi d’une adresse de wallet.
C’est tout ce dont a eu besoin celui qui arbore le pseudo @Pauly0x (et qui se présente comme créateur du site NotLarvaLabs (en pied de nez au vrai Larva Labs, derrière les emblématiques Cryptopunks) pour recevoir de milliers de mécènes d’un jour le total délirant de 1.7 millions de dollars… en 7 minutes.
Actuellement, 5 jours après sa publication, l’adresse continue à recevoir des fonds et ce sont désormais plus de 12 000 transactions qui ont été envoyées… pour rien donc, puisque c’est pile le concept.
Dans le tas, de l’ether, divers tokens, et même des NFT, donc certains de collections prestigieuses.
Many people have sent NFTs pic.twitter.com/agdVcPHvTx
— PAULY (@Pauly0x) June 4, 2023
Troll magistral, opération marketing de génie, ou simple révélateur d’une forme avancée de crétinisme collectif ? Chacun tentera de se faire une idée, ou de trouver le moindre sens à un événement qui en est tellement dénué, qu’il frôle le génie.
A ce titre, on serait presque tenté de faire un parallèle avec cette œuvre d’art invisible et intangible du plasticien italien Salvatore Garau… vendue dans un circuit artistique tout ce qu’il y a de plus traditionnel pour 15 000 euros.
Conformément à l’absence de promesse initiale de cet article, il est temps de conclure en ne racontant rien. On terminera quand même sur une réflexion qui vous poussera peut-être dans des abîmes insondables de perplexité : si rien, c’est quand même quelque chose, ce quelque chose est-il présent dans l’histoire sur rien que raconte cet article ?
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L’article Crypto : Il promet « Rien » et obtient 1.7 million de dollars en ETH en un instant est apparu en premier sur Journal du Coin.
Les scams se mettent aux NFT – On pourrait penser que la folie des NFT (tokens non fongibles) de 2021 se serait arrêtée avec l’hiver crypto de 2022, mais force est de constater qu’elle a de beaux restes. Non pas que ces jetons numériques, rendus uniques par l’immutabilité des blockchains, ne présentent pas beaucoup de cas d’utilisation concrets, et donc d’intérêt. Mais cet intérêt ne doit pas se transformer en euphorie aveugle. Même quand cela vient de votre influenceur préféré (car il peut lourdement se tromper, comme nous allons le voir).
Ici, il ne s’agit pas d’une simple histoire de tenter de vendre une fortune des NFT d’images bariolées sous Paint en 3 secondes, ou autres images d’intelligence artificielle générées à la chaîne. Il s’agit bel et bien d’une escroquerie organisée.
Comme le rapporte notamment CoinDesk, les NFT « Pixel Penguins » sont ainsi un cas d’école de scam. C’est l’influenceur Web3 Andrew Wang qui s’est ici fait manipuler pour nuire (à priori involontairement) à ses près de 200 000 followers.
Pour cela, l’arnaqueur a tiré sur la corde sensible d’aider une œuvre de charité. Une amie (ou en tout cas, présentée comme telle par Andrew Wang) connue seulement sous le prénom de « Sarah » (compte @Hopeexist1 sur Twitter) prétendait « lutter contre le cancer ». C’est pour soi-disant payer ses « lourds frais médicaux », qu’elle avait créé la collection de NFT Pixel Penguins. L’hameçon était lancé.
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Jusque là vendus à 13 dollars, les Pixel Penguins ont rapidement vu leur prix plancher monter à 0,07 ETH, soit environ 130 dollars, après les tweets d’Andrew Wang sur son « amie » Sarah. C’est notamment le compte Twitter ZachXBT, connu pour sa chasse on-chain aux scams, qui a mis en évidence l’escroqueur quelques heures plus tard.
À cet instant-là, ZachXBT estimait que 63,5 ETH (environ 120 000 dollars), avait déjà été extorqués en exploitant les bons sentiments des followers d’Andrew Wang. Depuis, le compte @Hopeexist1 et la prétendue Sarah ont disparu de la surface de la Terre. Andrew Wang a par la suite été forcé de dénoncer ce qu’il avait précédemment promu auprès de ses fans, en s’excusant platement.
« Je me sens comme une m*rde en ce moment, je me suis réveillé, j’ai vu son histoire (…) et j’ai ajouté mon soutien… J’avoue n’avoir eu aucune idée [du projet au départ] et j’ai essayé de faire ce que je pensais être un contrôle préalable. Je suis désolée. (…) »
Si, ici, c’est la bonté plutôt que la cupidité qui a été exploitée, l’erreur commise est la même. Quand un projet crypto vous est présenté (que s’en soit un concernant les NFT ou tout autre), il faut impérativement faire vos propres recherches (DYOR) avant de mettre de l’argent et de partir, tête baissée, droit dans le mur. Comme tout un chacun, les influenceurs peuvent se faire berner. Multiplier les sources d’informations avant de mettre le moindre sous est le meilleur moyen de s’éviter de telles déconvenues.
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L’article Escroquerie aux NFT éclatés : le cas des « Pixels Pingouins » est apparu en premier sur Journal du Coin.
Les nouvelles créations virtuelles de NFT Nike seront bientôt intégrées aux jeux EA Sports. La liste des jeux n’est pas encore disponible.
L’article Des NFT Nike bientôt dans les jeux EA Sports est apparu en premier sur Cointribune.
L’univers de la blockchain en général a fortement subi l’hiver de l’année 2022. Non seulement l’industrie des crypto-monnaies a connu une chute magistrale, mais l’industrie des NFT a aussi eu son lot de difficultés. Cependant, si le marché des crypto-monnaies semble mieux se porter en 2023, ce n’est pas vraiment le cas pour celui des…
L’article Les collections NFT les plus célèbres ont pris une sacrée claque en 2023 est apparu en premier sur Cryptonaute.
Le futur du voyage aérien pourrait bien réserver quelques surprises. All Nippon Airways (ANA), la plus grande compagnie aérienne du Japon, fait une incursion audacieuse dans l’espace numérique. Elle a lancé une plateforme d’échange pour les jetons non fongibles (NFT) axés sur l’aéronautique. Ce pari audacieux fait partie de la stratégie d’ANA pour étendre ses activités à l’intersection des compagnies aériennes et du Web3.
L’article Japon : ANA s’embarque dans l’aventure NFT est apparu en premier sur Cointribune.
Sotheby’s will sell Dmitri Cherniak’s “The Goose” NFT at a live auction this month, while Mercedes Benz released a collection inspired by its luxury vehicles.
Après l’apparition de la marketplace Blur qui a ramené la lumière sur les NFT, c’est au tour d’un acteur majeur de la mode de s’intéresser au concept une fois de plus. Ainsi, le géant des vêtements de sport, Nike, a annoncé la création de nouveaux produits NFT en collaboration avec l’éditeur de jeux Electronic Arts….
L’article Nike intègre sa collection de baskets NFT dans tous les jeux EA Sports est apparu en premier sur Cryptonaute.
L’idylle continue – Nike et les NFT, c’est un couple qui possède déjà une longue histoire. Passeront-ils le difficile cap des 3 ans ? Nul ne saurait le prédire. Toutefois, avec toujours plus de projets en commun sur ce territoire des nouvelles technologies, Nike semble, de manière certaine, avoir trouvé chaussure à son pied. Décryptage.
Rappelez-vous, c’était en décembre 2021. Les senteurs étourdissantes du précédent bull run étaient encore dans l’air. Les NFT, ce nouveau phénomène surgit du numérique, étaient au sommet de leur gloire. Les Non Fungible Tokens étaient sur toutes les lèvres. Les marques, comprenant soudain les potentialités publicitaires de ce secteur émergent, tentaient avec plus ou moins de réussite de l’accaparer. Nike, évidemment, était de la partie, et faisait même office de tête de proue.
En effet, c’est en décembre 2021 que Nike rachète l’emblématique collection NFT RTFKT et ses Clones X. Des avatars prêts à conquérir à l’époque tous les métavers existants et à venir. Une collection sur le point de devenir l’une des plus prisées sur la blockchain Ethereum, non loin des ancestraux Cryptopunks et autres singes du prestigieux Bored Ape Yacht Club.
Depuis, Nike en a parcouru du chemin. Les NFT deviennent soudain un vecteur idéal de promotion pour les accessoires de modes. Tout à coup, il devient naturel d’obtenir une copie virtuelle pour l’achat d’un vêtement bien réel. Les paires de chaussures envahissent le métavers. Et dans cette course effrénée, la tendance ne semble pas prête de s’arrêter.
En effet, ce nouveau moyen de promotion génère des millions de dollars. De fait, oubliant tout préjugé, les marques, dotées d’un pragmatisme profond sur la question, s’y précipitent tout naturellement. Une bataille bien réelle fait ainsi rage entre les différents protagonistes au cœur de ces nouveaux univers numériques.
De fait, pour conserver sa place à la pointe de la technologie, ou plutôt au cœur des recettes, Nike redouble d’imagination. La marque semble vouloir s’associer avec un autre secteur dont la blockchainisation ne saurait tarder : le gaming. Nous apprenons en effet que la plateforme NFT de la marque, .Swoosh, révélée en novembre 2022, devrait être intégrée aux jeux EA Sports. Nous pourrions alors, un jour peut-être, constater des vêtements Nike habillant les avatars de ces jeux. Et par voie de conséquence, la publicité s’introduire donc jusque dans les tenues de nos joueurs préférés sur FIFA.
Derrière EA Sports se trouve potentiellement FIFA donc, mais aussi Madden NFL ou encore NBA Live. Football, football américain, basket, des sports emblématiques réunissant chacun des communautés gigantesques. Les perspectives de développement sont étourdissantes et l’on comprend pourquoi les marques se livrent une lutte sans merci pour être la première à s’implémenter dans le secteur du gaming blockchain naissant.
Le 15 mai dernier, Nike a notamment délivré sa première collection NFT via la plateforme .Swoosh. Des baskets virtuelles nommées Our Force 1. Un nom, vous l’aurez peut-être deviné, dérivé de l’iconique sneakers Air Force One. À ce jour, le nombre de NFT vendu approche les 100 000, à environ 20$ l’unité.
Aucun autre détail n’a été révélé pour l’instant, ni par Nike ni par Electronic Arts. Toutefois, le fait est là : la conquête de ces technologies par les marques continue de faire son chemin. Appuyées par l’avenir prometteur du gaming blockchain, les créations virtuelles ont encore de beaux jours devant elles. Et les marques aussi.
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