Vague de licenciements : le studio NFT Yuga Labs annonce à son tour une restructuration

Après Ledger et Chainalysis, c’est désormais Yuga Labs qui présente un plan de restructuration impliquant des licenciements. Dans une lettre adressée aux employés, le PDG de l’entreprise estime qu’il faut se concentrer sur le metaverse Otherside.

L’article Vague de licenciements : le studio NFT Yuga Labs annonce à son tour une restructuration est apparu en premier sur Cryptoast.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Héritage et crypto : Legapass boucle une levée de fonds majeure dans le notariat

La startup niçoise Legapass, spécialisée dans la transmission du patrimoine numérique de manière sécurisée, vient de boucler une deuxième levée de fonds et noue un partenariat stratégique avec le Groupe ADSN, poids lourd dans le secteur du notariat.

Dans le monde, 4 millions de bitcoins seraient perdus, selon Chainanalysis. Autre statistique, près d’une fois sur deux le décès d’un dirigeant d’entreprise entraîne la fermeture de la société dans les cinq années qui suivent. Face à ces risques liés à la mort, la startup Legapass, basée à Nice, a développé une solution de coffre-fort virtuel, et propose de s’occuper de l’héritage numérique des particuliers et des entreprises : codes d’accès aux messageries, réseaux sociaux, photos souvenirs, comptes bancaires en ligne, logins d’ordinateur… ou encore la seed-phrase donnant accès à ses crypto-monnaies ou à ses NFT.

Des données chiffrées et stockées dans des coffres

Créée en 2020, la legaltech a développé une technologie de chiffrement utilisant le format de cryptographie OpenPGP, celui qui a notamment permis à Edward Snowden de communiquer avec des journalistes de manière sécurisée et anonyme. Les données déposées par les clients de la plateforme sont stockées dans plusieurs coffres physiques répartis dans toute la France.

Legapas a annoncé lors du Congrès des notaires, qui s’est tenu à Deauville (Calvados) fin septembre, avoir noué un partenariat stratégique avec le Groupe DSN, qui s’occupe pour le compte de l’Etat de la plateforme informatique utilisée par tous les notaires en France.

Et ce n’est pas tout : la startup en a profité pour boucler une deuxième levée de fonds avec Adnexus, le fonds d’investissement du Groupe DSN, pour un montant resté secret. Selon nos informations, il s’agit d’un tour de table portant sur un demi-million d’euros. “Ils ont choisi de nous soutenir parmi d’autres solutions parce que nous étions les plus sécurisés”, se réjouis Jean-Charles Chemin, co-fondateur de Legapass.

Une intégration réussie avec “France Connect”

La startup multiplie les distinctions

. Coup de coeur du jury du festival Silver éco, à Cannes, lauréat du Trophées d’or de l’Assurance, à Paris… “C’est difficile de nous mettre dans une catégorie, nous intervenons un peu partout. Web3, assurance, notariat… Chaque industrie était dans son monde, il manquait un acteur capable de jongler entre ces différents univers”.

Chose rare dans l’univers des startups, elle vient d’intégrer “France Connect”, ce qui permet à ses clients de se connecter en un clic. “C’est un gage de sécurité et de confiance, qui a demandé un an de travail, et six refus. Il a fallu montrer patte blanche, parce que France Connect s’adresse normalement plutôt aux structures publiques.”

A l’origine, Legapass est née de l’histoire personnelle de la co-fondatrice Adelina Prokhorova, dont la perte de son père a inspiré la mission de l’entreprise : tout faire pour que les choses qui comptent ne disparaissent jamais. L’entreprise emploie aujourd’hui dix-huit personnes et a son siège à l’Allianz Riviera. D’autres solutions existent sur le marché, comme la “Time Capsule” de Ternoa, “mais ces solutions n’ont pas une sécurité de niveau militaire accessible à tout le monde”, souligne Jean-Charles Chemin.

Vers une levée en seed fin 2024

Fin 2022, Legapass a levé 1 million d’euros en pré-seed auprès de divers investisseurs, dont Christophe Courtin, premier business angel de France selon le Magazine Challenges, Laurent Caredda (Almerys), Romain Vidal (Teampact.ventures), Vincent Daffourd ou Etienne Leroy.

Cette deuxième levée est surtout le début d’une collaboration avec l’une des deux entités suprêmes du notariat”, la seconde étant le Conseil supérieur du Notariat. “L’important était de signer le Groupe DSN, plus que l’aspect financier. Etre adoubé par eux, c’est énorme”, reconnaît Jean-Charles Chemin. “Et puis cela nous permet d’attendre que l’orage économique passe, pour faire une levée en seed fin 2024.”

Dans un secteur des cryptos en recherche de respectabilité vis-à-vis des autorités régulatrices, voir un jour un exchange proposer à ses utilisateurs de sécuriser la transmission de leur patrimoine crypto, via Legapass, est-ce envisageable? “J’aimerais beaucoup, car cela simplifierait la chaîne de transmission. Mais les plateformes sont-elles assez transparentes pour jouer le jeu, et s’occuper de l’héritage de leurs utilisateurs ?” 

The post Héritage et crypto : Legapass boucle une levée de fonds majeure dans le notariat appeared first on Cryptonews France.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Ledger : le géant français va se séparer de 12% de ses employés

Le marché baissier n’en finit plus de faire des dégâts. Le 5 octobre, Pascal Gauthier, CEO de Ledger, l’entreprise française spécialiste de la sécurisation des actifs numériques pour les particuliers et entreprises fondée en 2011, a envoyé une lettre à ses quelque 750 salariés annonçant qu’en raison de la conjoncture, 12% d’entre eux allaient être remerciés. Soit, selon les calculs, environ 90 salariés. Explications.

Des licenciements justifiés par la situation macroéconomique

“La situation macroéconomique actuelle limite notre capacité à générer des revenus. En réponse à ce contexte difficile, nous sommes contraints de réduire nos effectifs à l’échelle globale. Cela signifie malheureusement que nous devons prendre la difficile décision de réduire les effectifs de Ledger de 12 %.” Voilà, en plus de la promesse d’accompagnement et de réussite aux futurs licenciés, le propos du CEO de la start-up française pour expliquer cette vague de départs forcés.

Ledger n’est pas la première entreprise opérant dans la tech à tailler dans ses effectifs depuis la crise provoquée par l’attaque russe en Ukraine. Amazon a déjà supprimé 18000 postes, Google 12000… Le site spécialisé layoffs.com en recense 200000 au total. Selon le site LinkedIn, l’effectif total de Ledger est de 734 employés, ce qui porterait le nombre de licenciements à 88. Le monde des cryptos n’a pas échappé à cette tendance, avec par exemple Binance qui a annoncé le licenciement de 1000 personnes en juillet.

Pascal Gauthier justifie cette décision par le marché baissier de 2022 et l’effondrement d’entreprises comme FTX, SVB et Voyager Digital, et par la nécessité de garantir la “pérennité de l’entreprise”. Les grands mots, alors que le timing de cette décision interroge un peu.

Garantir la pérennité de l’entreprise?

En effet, comme le rappelle Pascal Gauthier, Ledger a été “l’une des rares entreprises à réaliser une importante levée de fonds au cours de la première moitié de l’année 2023”. L’entreprise a en effet levé plus de 109 millions de dollars, ce qui a porté sa valorisation à environ 1.4 milliards. Les caisses semblent donc bien remplies. Ce qui a permis par exemple à l’entreprise il y a 2 jours d’annoncer qu’elle va offrir des portefeuilles uniques aux plus gros collectionneurs de NFT Sotheby’s

De plus, comme le rappelle également Pascal Gauthier, “les utilisateurs ont trouvé refuge dans les produits et services de Ledger. Aujourd’hui, le marché de détail et institutionnel exige un niveau de sécurité et de gouvernance sans précédent à grande échelle.” L’épidémie de faillites, touchant des plateformes abritant parfois jusqu’à plusieurs milliards de dollars d’actifs, a plutôt profité à l’entreprise. En conséquence, elle sécurise aujourd’hui plus de 20% des actifs numériques dans le monde.

Cette décision a-t-elle vraiment pour but de pérenniser l’entreprise, ou sa rentabilité dans un contexte où celle-ci aura tendance à s’effriter? La survie du groupe à court terme semblant être garantie. Où alors, cela signifierait que les business analysts de l’entreprise anticipent plusieurs années de crise économique, et donc de vaches maigres. Seul l’avenir nous dira ce qu’il en est réellement.

Sources: Ledger, Cointelegraph, Bloomberg

The post Ledger : le géant français va se séparer de 12% de ses employés appeared first on Cryptonews France.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Alice au pays des cryptos : une BD pour plonger dans le terrier du Bitcoin

Bitcoin, NFT et autres curiosités. Le secteur des cryptomonnaies peut rapidement paraître incompréhensible et hostile pour les non-initiés. Une impression d’autant plus accentuée si la personne concernée prête trop d’attention aux poncifs véhiculés par les médias traditionnels… ou aux discussions surréalistes subies lors des réunions de famille. Car les gens croient souvent tout savoir sur les sujets qu’ils ne maitrisent absolument pas. C’est la raison pour laquelle une éducation positive doit impérativement leur être adressée. Un pari remporté avec brio par la bande dessinée « Alice au pays des cryptos ».

Les auteurs seront en dédicace à Paris le samedi 7 octobre à La Tartine de 16h à 19h, et Daniel Villa Monteiro dédicacera la BD à la NFT Factory le 14 octobre.

Une histoire « parfaitement fictive, mais totalement possible »

Il vaut parfois mieux une bonne BD qu’un long discours. C’est par cette simple constatation que débute cet article à propos de la bande dessinée « Alice au pays des cryptos » récemment publiée par Nicolas Balas et Daniel Villa Monteiro, directeur pédagogique de l’école blockchain Alyra, aux éditions du Faubourg. Deux hommes pour une même mission : faire découvrir le monde mystérieux et controversé des cryptomonnaies.

Une plongée sans compromis dans un écosystème à la fois intense et déroutant. Avec comme guide attitré, la jeune et sympathique Alice, tout juste héritière de sa grand-mère récemment décédée. Et un questionnement finalement assez légitime de sa part, au cœur d’une société en train de sombrer dans un confinement sanitaire.

Alice au pays des crypto propose de découvrir cet écosystème de l’intérieur

Que faire de cet argent ? Et comment rendre fière sa grand-mère résistante au régime de Franco durant les sombres heures de l’Espagne ? Surtout lorsque le système monétaire actuel n’inspire plus confiance. Le décor est planté pour une plongée aux côtés d’Alice dans le terrier du Bitcoin, des NFT et autres curiosités…

Bloc : 810 741

C’est au rythme des blocs minés sur la blockchain du Bitcoin que cette aventure retrace l’histoire du secteur des cryptomonnaies entre février 2020 et janvier 2023. Une aventure numérique et humaine tout d’abord portée par l’euphorie du marché haussier de 2021. Et face à cela, des proches et parents de la jeune Alice en train de lui répéter sans cesse de ne pas sombrer dans cette escroquerie à grande échelle qui « ne repose sur rien ».

Pourtant, ce rien va rapidement devenir le tout de la vie de cette étudiante. Un parcours qui va amener Alice à traverser des étapes importantes. Elle se retrouve par exemple au Salvador afin de découvrir ce pays qui vient tout juste de faire du Bitcoin sa monnaie officielle. Puis dans les événements VIP organisés par un écosystème sous stéroïdes à cause de trop fortes doses de volatilité.

Alice au pays des cryptos aborde l’adoption du Bitcoin au Salvador

Car au cours de cette aventure, le solde du portefeuille d’Alice ne cesse de s’envoler. En effet, cette dernière voit le montant de son héritage être tout simplement multiplié par 28 en l’espace de deux années intenses. Le tout à l’aide de placements emblématiques, tout d’abord dans le Bitcoin, puis dans des NFT comme la prestigieuse collection des Bored Ape Yacht Club (BAYC)… mais également des « opportunités » plus discutables comme l’écosystème Terra et son stablecoin algorithmique UST.

Quel sera le dénouement de cette aventure crypto aussi parfaitement fictive qu’elle est totalement possible ? À vous de le découvrir en achetant la bande dessinée « Alice au pays des cryptos » disponible sur plusieurs plateformes. Un bon moment de détente et d’introspection pour les initiés. Et un outil indispensable pour faire découvrir cet écosystème aux plus sceptiques de nos proches…

L’article Alice au pays des cryptos : une BD pour plonger dans le terrier du Bitcoin est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

La responsable de l’IA et des NFT chez Warner Music démissionne

Après avoir conduit la maison de disques Warner Music Group sur la voie de l’innovation numérique, Oana Ruxandra, la responsable de l’IA et des NFT a pris la décision de quitter le navire. Au cours des trois dernières années, sous sa houlette, le label de musique de la compagnie Warner Bro a embrassé des technologies…

L’article La responsable de l’IA et des NFT chez Warner Music démissionne est apparu en premier sur Cryptonaute.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Marvel et Christian Louboutin vont distribuer des NFT dans le cadre de leur dernière collaboration

Début octobre paraissait une étude réalisée par Dapp Gambl, un collectif composé d’experts américains en crypto monnaies, qui affirme que 95% des NFT n’ont aujourd’hui aucune valeur. De quoi enlever le sourire des 23 millions de personnes en possédant au moins 1. Mais cela n’empêche pas de nombreuses nouvelles opérations avec ces crypto-actifs. Après le partenariat entre le musée d’Orsay et la société Tezos le mois dernier, la mise en vente d’un NFT associé à un diamant de 1,2 million de dollars par la marketplace Tiamonds ce mois-ci, c’est au tour du mythique créateur de chaussures Christian Louboutin de rentrer dans la danse.

Marvel et Christian Louboutin s’associent pour lancer des NFT

Le pape des chaussures aux semelles rouges s’associe en effet au géant de la bande dessinée et des films Marvel pour lancer une paire d’objets de collection numériques en édition limitée. Des NFT qui ont été dévoilés mercredi parallèlement au lancement de la collection de chaussures et d’accessoires réalisée conjointement par le créateur et la franchise de divertissement.

Les 2 NFT ont été créés sur le réseau Ethereum par VeVe, une application qui offre un marché sur les NFT sous licence. VeVe s’efforce depuis 2020 de marier les univers des NFT avec celui des comics. La société a déjà notamment lancé des opérations avec DC comics, Disney et Universal.

Des NFT plus simples à acquérir que des chaussures Louboutin

Si les chaussures Louboutin sont connues pour leurs prix exorbitants, ces NFT sont distribués sous forme de bonus gratuit. En effet, les acheteurs des articles de la “Marvel Collection” de Louboutin recevront en cadeau l’objet de collection NFT “Sea Warrior Special Edition”.

Ce NFT est un rendu numérique des sandales de gladiateur de la marque, inspirées du personnage classique de Marvel, Namor, vendues tout de même au prix de 3495 dollars. Si les NFT sont distribués gratuitement, il faut tout de même s’acquitter préalablement d’un achat assez onéreux pour les obtenir.

le NFT “Sea Queen” sera quant à lui distribué sous forme de “marques d’appréciation numériques” aux invités assistant aux événements de lancement de la collaboration. L’objet de collection présente une illustration dessinée à la main d’une chaussure unique qui a été vendue aux enchères. La version numérique est signée par Christian Louboutin lui-même.

Pas la première incursion dans le monde des NFT pour Christian Louboutin

Pour rappel, Christian Louboutin avait lancé une première opération dans le Web3 il y a tout juste 1 an. Les invités de son événement “Loubi Show”, organisé à la Tour Eiffel lors de la Fashion Week de Paris en septembre 2022, ont reçu un POAP ( Proof of Attendance Protocol ), semblable à un talon de billet NFT. Ceux qui ont regardé la diffusion en direct pouvaient également le réclamer. Une stratégie qui se concentre sur l’engagement et la récompense de la base de fans existante de la marque, plutôt que sur la recherche de clients natifs Web3 supplémentaires.

Sources: Decrypt, Cryptosaurus, Econotimes

The post Marvel et Christian Louboutin vont distribuer des NFT dans le cadre de leur dernière collaboration appeared first on Cryptonews France.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Exclusif : Entretien avec Gonzalo, responsable marketing d’une start-up spécialisée dans la tokenisation

À l’heure où la tokenisation est en passe de devenir l’un des secteurs clés dans le marché des crypto-monnaies, de nombreuses entreprises tentent de saisir les opportunités. C’est ce qu’a fait Gonzalo Wangüemert, un spécialiste en marketing espagnol de 26 ans en rejoignant le projet The365NFT. Découvrez en quoi cette start-up web 3 apporte une…

L’article Exclusif : Entretien avec Gonzalo, responsable marketing d’une start-up spécialisée dans la tokenisation est apparu en premier sur Cryptonaute.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Quand Van Gogh fait rimer NFT avec le Musée d’Orsay

Un souvenir éternel et (presque) unique. Ramener chez vous une représentation en trois dimensions de la dernière palette de Vincent Van Gogh pour même pas 10 € ? Ou un .gif d’une peinture représentant le Musée d’Orsay dans le plus pur style du peintre générée par une IA pour seulement 20 € ? C’est pas cher, mais il n’y en aura clairement pas pour tout le monde ! C’est tout le principe de cette opération promotionnelle orchestrée par le Musée d’Orsay qui s’associe pour l’occasion avec Tezos et Keru pour proposer une expérience unique grâce à la technologie des NFT.

Le musée parisien met en avant ces nouvelles technologies dans le cadre d’une exposition dédiée aux dernières œuvres de la vie de Vincent Van Gogh. Il était finalement évident pour ce lieu qui affectionne tant l’impressionnisme et le postimpressionnisme d’utiliser le travail du génial peintre néerlandais pour offrir ce souvenir digital unique aux passionnés de peinture et/ou de blockchain. Quand le troisième art rencontre le Web3, ça valait bien une petite visite au musée.

Tezos, Van Gogh, Keru et le Musée d’Orsay, que du beau monde dans ce projet là !

Et ce sera bien la première fois que vous pourrez repartir d’un musée avec quelque chose de bien à vous qui ne sort pas d’une banale boutique de souvenirs. En effet, la prochaine fois que vous visiterez le Musée d’Orsay à Paris, vous aurez l’opportunité d’acheter un souvenir digital de l’événement Van Gogh à Auvers-sur-Oise : les derniers mois. Prévue du 3 octobre au 4 février prochain, cette exposition présentera les œuvres réalisées dans ce petit village de région parisienne pendant les deux mois qui ont précédé le suicide de Vincent Van Gogh à l’âge de 37 ans, et c’est la première rétrospective du genre.

Pour la partie technique des opérations, le Musée d’Orsay s’est tourné vers la société Keru qui est une experte dans l’art de créer des souvenirs digitaux, sous le regard bienveillant de la Fondation Tezos qui a déjà collaboré par ailleurs avec le musée. Christophe Leribault, Président des musées d’Orsay et de l’Orangerie, se réjouit de cette nouvelle proposition originale à destination du public :

« Nous sommes ravis d’offrir à nos visiteurs la possibilité d’emporter avec eux des souvenirs digitaux de cette exposition exceptionnelle. Un souvenir original de leur expérience au Musée qui ne restera pas sur leur étagère, mais auprès d’eux dans une boîte à souvenirs numérique sur leur téléphone ou leur ordinateur ! Pour réaliser ce projet, nous sommes heureux d’avoir choisi comme partenaires KERU et plus largement la Fondation Tezos, pour son modèle d’ouverture et de responsabilité écologique, qui correspond à nos valeurs et à nos engagements. »

Christophe Leribault, Président des musées d’Orsay et de l’Orangerie – Source : communiqué de presse

À l’occasion de l’exposition Van Gogh à Auvers-sur-Oise : les derniers mois, il sera possible d’acheter des souvenirs digitaux – Source : X

>> Vous préférez garder vos NFT à l’abri ? Choisissez un portefeuille Ledger (lien commercial) <<

Un souvenir digital unique à ramener à la maison ou à emporter partout

Concrètement, il s’agit d’une version 3D de la dernière palette de peinture qui a été prêtée à l’artiste par le docteur Gachet – oui, oui, le même que sur les deux tableaux éponymes – et que vous pourrez observer en réalité augmentée sur votre téléphone. Il y aura 10 000 exemplaires à 8,90 € pièce. Le deuxième souvenir est donc une image animée – un .gif – d’un tableau qui n’existe pas, mais qui a été générée par une IA dans les couleurs et le style postimpressionniste de Van Gogh. Il s’inspire d’un de ses célèbres tableaux intitulé La Nuit Étoilée et dont voici une image visible sur les réseaux sociaux (ci-dessus). Mais en vrai, ce sera bien mieux parce que ça bouge.

Sachez qu’autour de l’exposition et de la vente de ces nouveaux objets souvenirs virtuellement bien réels, la Fondation Tezos et le musée ont prévu d’organiser des événements et des conférences sur le thème du Web3 pour sensibiliser à ces nouvelles technologies les 3,7 millions de visiteurs annuels. Tout ceci s’inscrit d’ailleurs dans le projet Unlocking Web3 for the Arts and Culture dont les détails sont à retrouver ici.

Enfin, parce qu’on aime tous se sentir un peu spécial et qu’on adore les surprises, chaque heureux détenteur d’un NFT pourra potentiellement prétendre à diverses réductions dans le musée parisien, à être invité à dîner dans un restaurant ou même participer à un vernissage avec le Tout-Paris. Mais les plus chanceux pourront carrément gagner un accès à vie au Musée d’Orsay ! Pour se dégoter un de ces précieux NFT, direction la boutique souvenir ou directement sur le site de Keru. Plus d’excuses dorénavant pour ne pas visiter une des plus belles collections du monde et s’émerveiller devant les toiles de Millet, Courbet, Degas, Monet, Manet, Gauguin et Van Gogh… tout en parlant blockchain et rugby à voix basse.

Pour dormir l’esprit tranquille, équipez-vous d’un wallet hardware sécurisé Ledger, il y en a pour toutes les bourses. Votre sécurité n’a pas de prix (lien commercial).

L’article Quand Van Gogh fait rimer NFT avec le Musée d’Orsay est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé