ETF Bitcoin au comptant : La SEC et BlackRock discutent encore

« La SEC est plus occupée que les lutins du Père Noël ! » On doit ce bon mot à Eric Balchunas, analyste financier confirmé qui intervient, entre autres, chez Bloomberg et qui a réagi à l’annonce d’une énième réunion de travail entre la Securities and Exchange Commission (SEC) et les équipes de chez BlackRock en vue de l’approbation de leur ETF Bitcoin au comptant. À l’ordre du jour, il était question d’un nouveau modèle d’ETF qui « augmentera la résistance à d’éventuelles manipulations de marché », ce qui était une préoccupation majeure du régulateur. Voyons ça ensemble rapidement.

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BlackRock a présenté une version modifiée de l’ETF qui pourrait rassurer la SEC

Le journaliste économique Eric Balchunas en est persuadé, cette troisième réunion entre les deux parties est probablement la plus importante, car elle a réglé un problème important aux yeux de la SEC : celui du risque de manipulation de marché. Ainsi, le 28 novembre dernier, six membres de BlackRock et trois du Nasdaq ont présenté au gendarme de la bourse américaine les évolutions de leur produit financier qui va mettre essentiellement le risque dans les mains des market makers, ou faiseurs de marché. Retrouvez d’ailleurs à ce propos, l’excellent article de notre confrère paru le weekend dernier à ce sujet.

À la sortie de l’entrevue, les équipes de Larry Fink se sont montrées satisfaites et ont fait la déclaration suivante :

« La nouvelle structure de l’ETF renforcera la protection des investisseurs, réduira les coûts de transaction et augmentera la simplicité et l’harmonisation dans l’écosystème plus large des ETF Bitcoin. »

Porte-parole de chez BlackRock – Source : Cointelegraph

De quoi satisfaire complètement le régulateur ? D’aucuns misent déjà sur une approbation en début d’année prochaine alors que la SEC devrait donner une réponse autour du 15 janvier. On sait maintenant ce que BlackRock a commandé à Noël !

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Les $SHIB et $UNI se préparent à une vente massive, tandis que les investisseurs affluent vers la prévente de $GFOX, atteignant 600 000 dollars

Le marché des crypto-monnaies a connu une forte hausse depuis le début de l’année. Cependant, certains altcoins pourraient bientôt subir un repli en raison d’une pression à la vente accrue. Bien qu’ils figurent parmi les meilleurs altcoins, Shiba Inu ($SHIB) et Uniswap ($UNI) se préparent à d’importantes ventes potentielles.

Pendant ce temps, les investisseurs avisés se tournent vers Galaxy Fox ($GFOX), en quête de gains alors que le risque de baisse se profile. $GFOX a été identifié comme l’un des meilleurs investissements en crypto-monnaies pour le marché haussier. Observons son évolution dans un avenir proche.

Le Uniswap ($UNI) sous pression suite à la vente de jetons par la fondation Uniswap



Il y a quelques semaines, “Lookonchain” a rapporté que la Fondation Uniswap avait vendu pour plus de 29 millions de dollars de jetons Uniswap ($UNI). Cette action a suscité des inquiétudes, notamment en raison de la pression supplémentaire exercée par un autre déversement conséquent de FTX et d’Alameda. Ce, dans le cadre de leur règlement judiciaire, visant à rembourser les investisseurs après l’effondrement de la bourse.

La liquidation d’Uniswap a provoqué un effet domino sur les investisseurs. Le Uniswap ($UNI), l’une des altcoins les plus prisées, a dû affronter des baisses de prix. Il n’a augmenté que de 6 % au cours de l’année écoulée, tandis que d’autres pièces ont connu des envolées. Depuis août, le prix de l’Uniswap est resté enfermé dans une fourchette de 4 à 6,5 dollars. Le jeton souffre aussi d’un manque d’utilité, n’ayant pas assez de cas d’utilisation pour attirer les investisseurs, malgré le succès du DEX Uniswap en lui-même.

Le Uniswap ($UNI) n’ayant pas réussi à briser cette fourchette, les investisseurs envisagent d’intensifier leurs ventes. Le marché des crypto-monnaies est actuellement dans un cycle haussier, avec d’autres altcoins performant mieux que le Uniswap ($UNI). Une tendance haussière significative est d’ailleurs nécessaire pour restaurer la confiance des investisseurs dans le Uniswap ($UNI).

Embark on a Celestial Odyssey! Our project has skyrocketed past an extraordinary 800K, fueled by our stellar team and the unwavering support of the Galaxy Fox community.
Brace for an exhilarating warp-speed journey as Stage 3 hurtles towards a cosmic sellout! pic.twitter.com/5dWjbGPERu

— Galaxy Fox (@GalaxyFoxToken) December 10, 2023

Des milliards de tokens Shiba Inu ($SHIB) échangés sur l’exchange UpBit



La tendance à la vente a également affecté Shiba Inu ($SHIB), autrefois considéré comme l’une des meilleurs mèmes coins à acquérir. Les données on-chain indiquent que plus de 84 milliards de jetons Shiba Inu ($SHIB) ont été échangés sur Upbit, un exchange crypto de renom en Corée du Sud. Ces transactions étaient principalement des ventes, le prix de Shiba Inu ayant connu une légère hausse.

Plus récemment, plus de 850 milliards de jetons Shiba Inu ($SHIB) ont été retirés de Binance. LookonChain a rapporté que cette somme représentait 7,5 millions de dollars. Bien que cela ne représente pas un montant aussi considérable que celui de Uniswap ($UNI), les analystes suggèrent que cela pourrait marquer le début d’une vente plus importante. Comme pour Uniswap ($UNI), FTX et Alameda ont également commencé à se défaire récemment de quantités significatives de Shiba Inu ($SHIB) dans le cadre du remboursement de leurs investisseurs.

Cette liquidation pourrait être liée à la stagnation du prix de Shiba Inu ($SHIB) pour la majorité de l’année 2023. Depuis que Shiba Inu ($SHIB) est tombé sous la barre des 0,00001000 $ en août, il n’a pas réussi à sortir de cette fourchette.

Les investisseurs se tournent vers Galaxy Fox ($GFOX) face aux craintes de liquidation



Galaxy Fox ($GFOX) est l’un des altcoins qui a profité du repli du marché. En raison de son potentiel haussier, Galaxy Fox et son token Galaxy Fox ($GFOX) ont attiré un intérêt renouvelé, recueillant près de 500 000 dollars d’investissements ces dernières semaines.

Les investisseurs se sont ralliés à Galaxy Fox, considéré comme l’un des meilleurs altcoins à acquérir pour le marché haussier. Le projet a lancé un nouveau jeu de course Web3 play-to-earn, imprégné de la culture mème. Galaxy Fox se distingue en tant qu’écosystème de jeu par rapport à d’autres mèmes coins.

Dans ce jeu interplanétaire immersif, les joueurs s’affrontent et conquièrent des mondes pour gagner des récompenses et des actifs numériques reflétant leurs personnalités distinctes. Les joueurs figurant parmi les 20 % les plus performants lors de différents événements remporteront d’incroyables prix, tels que des objets in-game, des NFT parmi les plus convoités et des tokens Galaxy Fox ($GFOX).

Ces récompenses peuvent être échangées contre de l’argent sur la marketplace de Galaxy Fox, rendant le jeu lucratif. La pièce ERC 20, Galaxy Fox ($GFOX), se négocie aujourd’hui à seulement 0,0008778 $, après une hausse de près de 33 % par rapport à son prix de lancement initial.

Galaxy Fox: faut-il se lancer?

Malgré sa forte performance, les analystes prévoient une croissance substantielle dans le marché haussier à venir. C’est donc le moment idéal pour rejoindre les autres investisseurs avisés qui misent sur le potentiel de Galaxy Fox ($GFOX).

Pour en savoir plus sur Galaxy Fox ($GFOX), cliquez ici :

Visiter la prévente Galaxy Fox  | Rejoindre le groupe Telegram | Suivre Galaxy Fox sur Twitter

Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.

Source : Galaxy Fox

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Luke Dashjr nie avoir ajouté les Ordinals Bitcoin à la liste des vulnérabilités aux USA

En début d’année, le réseau Bitcoin a été témoin de la naissance d’un nouveau protocole : Ordinals. En pratique, ces derniers permettent d’inscrire des données sur un satoshi, via un procédé appelé Inscription. Cela a notamment entrainé l’essor des NFT sur Bitcoin puis des BRC-20. Toutefois, pour certains développeurs, il s’agit d’une vulnérabilité et non d’une fonctionnalité.

Luke Dashjr : l’anti Ordinals sur Bitcoin

Luke Dashjr est un développeur impliqué dans Bitcoin depuis de nombreuses années. Ces derniers temps, celui-ci a fait parler de lui vis-à-vis de ses positions contre les Ordinals.

En effet, dans une publication de début décembre, Dashjr déclarait que les Inscriptions Ordinals « exploitent une vulnérabilité sur Bitcoin », rien que cela.

De surcroît, sa croisade contre les Ordinals ne s’arrête pas à quelques déclarations. En effet, la dernière version de Bitcoin Knots, le client développé par Dashjr, n’acceptera plus les transactions d’Inscriptions de satoshi.

De plus, Ocean Mining, le pool de minage mené par Dashjr applique, lui aussi, diverses mesures contre les Ordinals. Ainsi, celui-ci opère une censure systématique des transactions qui incluent des Inscriptions Ordinals.

Une situation pointée du doigt par Samourai Wallet, qui a entrepris une guerre contre la désinformation menée par Dashjr.

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Luke Dashjr à l’origine de l’ajout à la base des vulnérabilités aux USA ? 

Alors que ces débats font rage au sein de la communauté Bitcoin, un nouvel évènement est venu mettre le feu aux poudres.

En effet, les Inscriptions Ordinals sur Bitcoin ont été ajoutées à la base de données nationale des vulnérabilités des États-Unis. En d’autres termes, les Ordinals sont considérées comme un risque de cybersécurité par les USA.

Une situation qui a mené de nombreux observateurs à envisager que Luke Dashjr soit derrière cela. De son côté, le développeur a nié son implication auprès de nos confrères de CoinTelegraph.

Pour autant, la situation semble lui convenir. Ainsi, il aurait déclaré à CoinTelegraph que le score de 5,3 assigné à la “vulnérabilité” serait trop faible.

« Je pense que cette note sous-estime l’impact, car elle ne tient pas compte des effets à long terme du gonflement de la blockchain. S’ils avaient classé l’impact sur la disponibilité comme “élevé”, le score CVSS de base serait de 7,5 ».

Quoi qu’il en soit, ces débats ne semblent pas impacter les Ordinals. En effet, le marché continue de s’envoler, avec un record de capitalisation pour l’ORDI en dépassant le milliard de dollars.

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Avalanche se réveille : AVAX enregistre une hausse de 82 %

Le retour d’AvalancheAvalanche est une blockchain qui a été centrale lors du dernier bullrun. Désormais, en parallèle de l’engouement qui entoure les marchés cryptos, Avalanche semble tirer son épingle du jeu.

Avalanche (AVAX) : Les indicateurs sont au vert

Alors qu’il s’échangeait bien au-dessus de la centaine de dollars lors du dernier bullrun, le jeton AVAX a massivement dégringolé lors du bear market, atteignant les 9$.

Toutefois, alors que Bitcoin semble avoir repris des forces et repassé la barre des 40 000$, AVAX se réveille aussi.

Ainsi, le jeton a enregistré une importante hausse en passant de 9$ en septembre dernier à 41$ au moment de la rédaction de ces lignes. Rien qu’au cours des 7 derniers jours, le cours de l’AVAX a augmenté de 82 %.

Évolution du cours du AVAX – Source : Coingecko.

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Record de transactions sur le réseau

Alors que cela se profile bien du côté de son jeton, l’activité est, elle aussi, en large hausse sur Avalanche.

Ainsi, le réseau a enregistré un record de transactions au début du mois de novembre avec 7 millions de transactions en une seule journée. Cela représente deux fois le précédent record établi lors du dernier bullrun.

Du côté de sa DeFi la tendance est similaire. En effet, le réseau comptabilise actuellement 932 millions de dollars de TVL. Une valeur qui a presque doublé depuis le mois de septembre, où Avalanche comptait un peu moins de 500 millions de dollars de TVL.

Ordinals : la nouvelle tendance sur Avalanche

En pratique, cette récente hausse de l’activité peut en partie être expliquée par l’avènement des Ordinals sur Avalanche. En effet, de nombreux utilisateurs ont commencé à inscrire des données dans les AVAX, de la même manière que sur Bitcoin.

Cela a engendré une hausse massive de l’activité, avec d’une part de nombreux mint de jetons. De l’autre, les échanges réalisés par les utilisateurs on-chain.

Toutefois, Avalanche n’est pas la seule blockchain à être témoin de ce phénomène. En effet, Celo et Polygon ont également été pris d’assaut par les Ordinals.

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Mondial 2026 : La FIFA prépare la compétition avec une collection de NFT unique

La Fédération internationale de football association (FIFA) se prépare activement pour la coupe du monde 2026 prévue dans environ 3 ans. L’institution faîtière du football mondial compte lancer une collection de Non-fungible tokens (NFT) dont l’obtention donnera aux 100 premiers utilisateurs crypto, l’accès au match de la finale.

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La FIFA championne du monde des NFT

Football, fans et NFT. La Fédération internationale de football association, la FIFA, est une institution tentaculaire qui représente des dizaines de millions de licenciés sur tous les continents, qui génère des centaines de millions d’euros de revenus et qui organise des évènements parmi les plus populaires du monde. Forte de sa base de fans dans tous les pays du monde, la FIFA ne manque jamais une occasion d’assoir sa popularité à travers des actions de promotion autour de ses compétitions phares comme la Coupe du Monde des clubs qui démarre aujourd’hui en Arabie Saoudite. A l’occasion du coup d’envoi de cet évènement et en prévision de la prochaine grand-messe mondiale du football qui se déroulera sur le continent américain en 2026, la FIFA lance une nouvelle collection de NFT que nous allons vous présenter.

La FIFA a déjà lancé des NFT pour la Coupe du Monde au Qatar…

Du 12 au 22 décembre de cette année, se tient donc en Arabie Saoudite la 20ème édition de la Coupe du monde des clubs de la FIFA. Cette compétition rassemble les vainqueurs des différentes confédérations chapeautées par la FIFA et les clubs impliqués cette année sont Al Ahly FC (Afrique), Auckland City FC (Océanie), Fluminense FC (Amérique du sud), Club Leon (Amérique du nord), Urawa Reds (Asie), Manchester City FC (Europe) et le vainqueur de la Saudi League, le club d’Al Ittihad, où joue d’ailleurs Karim Benzema.

Le 15 décembre prochain, alors que la compétition battra son plein, la FIFA prévoit de lancer sa toute nouvelle collection de NFT en collaboration avec la société Modex. Ce jour-là, 100 premiers NFT seront mis à la vente sur FIFA Collect +, la plateforme dédiée à la vente de ces produits estampillés FIFA. Parmi cette centaine d’objets numériques, certains seront très prisés puisqu’ils offriront la possibilité d’obtenir des places pour la finale de la Coupe du monde 2026 !

La FIFA annonce son opération commerciale sur les réseaux sociaux – Source : compte X

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…et elle remet ça pour la Coupe du Monde des Clubs en Arabie Saoudite

Ensuite, dès le 19 du mois, 900 autres NFT seront proposés à la vente, ils représenteront des moments mémorables de la compétition en cours, comme on peut le lire sur le communiqué de presse. Les NFT seront émis sur le réseau Polygon et certains seront disponibles également sur OpenSea. Romy Gai, directrice commerciale de la FIFA, s’est réjouit de cette opération :

« Nous sommes ravis de nous lancer dans ce voyage transformateur avec Modex et de propulser la plateforme FIFA+ Collect vers de nouveaux sommets. Depuis son lancement, la plateforme a été extrêmement populaire dans le monde entier et les fans de tous les pays ont désormais la possibilité de posséder un morceau de l’histoire du football.

Ces nouveaux lancements, cette année et au-delà, offriront aux fans de football un moyen unique et innovant de se connecter au sport, tout en contribuant également à la croissance du marché des objets de collection numériques. »

Romy Gai, directrice commerciale de la FIFA – Source : communiqué de presse

La FIFA n’en est pas à son coup d’essai en la matière puisqu’elle avait déjà mis en vente ce genre de souvenirs numériques pour son évènement au Qatar l’année dernière. Ces nouveaux types de relations entre les fans et les équipes de foot sont de plus en plus en vogue et le PDG de Modex y voit le début d’un mouvement d’ampleur :

« Les objets de collection numériques augmentent la manière dont les fans peuvent interagir avec leurs joueurs et équipes préférés ainsi qu’avec le jeu qu’ils aiment et nous sommes honorés de soutenir la FIFA dans la réalisation de cet objectif. Il s’agit de la première étape d’un voyage visant à impliquer davantage les supporters dans les matches et les initiatives de la FIFA. »

Francesco Abbate, PDG de Modex – Source : Cointelegraph

Les fans tokens et les NFT à collectionner font désormais partie de la panoplie de services proposés par le Web3 qui permettent de rapprocher fans, artistes, sportifs et équipes professionnelles, et à ce titre, il s’agit d’une expérience enrichissante, réjouissante et prometteuse pour l’avenir. Néanmoins, il convient de garder à l’esprit que la valeur marchande de ces NFT ne saurait être garantie dans le temps et qu’espérer spéculer avec ces objets numériques apparaît hautement risqué, voir carrément une mauvaise idée. On vous aura prévenu. En attendant, à voir de choisir votre équipe préférée et pourquoi pas, de gagner des places pour la finale de la Coupe du monde 2026 à Atlanta. Et voir les bleus soulever la coupe ? Allez, c’est Noël, laissez nous rêver un peu.

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FTX et le Fisc américain : les 24 milliards de dollars de la discorde

« Un argument à la Alice au pays des merveilles ». Cette punchline bien trouvée nous vient des avocats de FTX et elle est à destination du fisc américain qui, apparemment, rêve tout éveillé ! Dans le différent qui oppose depuis des mois maintenant l’Internal Revenue Service (IRS) à la nouvelle direction de l’exchange en faillite, il est question d’arriérés d’impôt à payer mais le montant est sujet à de vifs débats entre les parties. Pour le service du Trésor américain, FTX doit au moins 24 milliards de dollars quand la plateforme affirme elle qu’elle ne doit…rien ! Cela fait une sacrée différence et ce sera à la justice de trancher, une fois de plus. Retour sur ces milliards de dollars qui pourraient passer sous le nez des utilisateurs floués qui attendent (toujours) leur argent.

L’IRS affirme que FTX lui doit 24 milliards de dollars

Au mois de mai dernier, l’IRS déposait pas moins de 45 demandes d’indemnisation contre FTX et ses différentes filiales comme FTX Trading ou FTX Marketplace et réclamait au total 44 milliards de dollars à la firme. Cette somme représente l’impôt sur les sociétés, sur le revenu, les différentes charges sociales et arriérés, et la procédure était même classée comme Admin Priority. Un peu plus tard, au mois de septembre, le montant était finalement revu à la baisse pour atteindre « seulement » 43 milliards de dollars.

Enfin, le mois dernier, le fisc américain a refait une nouvelle fois ses calculs et a trouvé le chiffre de 24 milliards et cette fois, c’est la bonne. FTX doit cet argent et le Trésor va pouvoir l’exiger dans les meilleurs délais. Problème ? Les gestionnaires de la plateforme s’opposent à ce calcul et demandent des comptes à l’IRS. Mais l’administration leur répond que ses estimations bénéficient de la « présomption d’exactitude et que c’est à FTX de prouver le contraire ».

Le fisc américain veut récupérer 24 milliards de dollars auprès de FTX mais la direction n’est pas du tout d’accord !

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« absurde et sans fondement » selon la plateforme

Du côté de la direction de la crypto bourse, c’est la douche froide. Pour eux, cette somme ne correspond à rien et il n’est pas question de la paye. D’autant plus qu’ils ne l’ont pas. Extrait de la réponse des avocats de FTX :

« Au cours de sa courte durée de vie de trois ans, FTX n’a ​​jamais distribué de dividendes ni de bénéfices et n’a jamais gagné quoi que ce soit qui pourrait étayer les réclamations de l’IRS pour 24 milliards de dollars d’impôts. Au contraire, FTX a perdu énormément d’argent. »

Les avocats de FTX réagissent aux déclarations de l’IRS – Source : The Block

Ils vont même aller plus loin dans la critique en remettant en doute la véracité des calculs de l’administration fiscale :

« Ces affirmations sont absurdes et sans fondement. Avec le cabinet comptable Ernst & Young nous avons répondu à plus de 2 300 demandes d’informations de l’IRS et nous avons fourni presque tous les documents demandés par l’IRS, à l’exception de certains qui seront fournis d’ici le 15 janvier 2024. »

Les avocats de FTX réagissent aux déclarations de l’IRS – Source : The Block

Quant à l’idée de devoir fournir d’autres preuves, FTX qualifie cela « d’argument Alice au pays des merveilles », sous-entendu, l’IRS prend ses rêves pour des réalités ! Enfin, les gestionnaires rappellent que ces 24 milliards de dollars représentent trois fois les fonds dont ils disposent actuellement, donc cela priverait une grande partie des autres créanciers de leurs fonds.

Pour finir, la nouvelle direction précise qu’il est grandement temps de définir un calendrier pour procéder au remboursement final et que les demandes de l’IRS retarde sa mise en place. La prochaine audience est prévue demain, le 13 décembre prochain. Qui devra payer ? Quoi ? Et à qui ? Réponse dans quelques dizaines d’heures.

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5 nouveaux projets crypto très attendus pour le prochain Bullrun

Il y a trois semaines, j’ai sorti une vidéo sur cinq projets qui, d’après moi, étaient très attendus pour le prochain bullmarket. Vu vos retours, le format a l’air de vous plaire, et donc comme promis je vais remettre le couvert avec une seconde vidéo où l’on va se pencher sur cinq projets très prometteurs en se concentrant principalement sur le fondamental.

Si ce format vous plaît, on pourra décortiquer d’autres projets à l’occasion d’une prochaine vidéo. N’hésitez pas à me le faire savoir en commentaire. Vous connaissez la chanson, on commence par les petits disclaimers habituels. Cette vidéo n’est évidemment pas un conseil en investissement, faites vos propres recherches et forgez-vous vos propres opinions. De même, ceci n’est en aucun cas un partenariat rémunéré et je n’ai aucun lien avec les projets présentés.

Aztec Network

Sans plus attendre, commençons par le premier projet, Aztec Network. Ce projet est un peu particulier et s’inscrit dans la veine des blockchains qui visent à améliorer la vie privée et la confidentialité. Le protocole a été fondé en 2017 par Zac Williamson, docteur en physique des particules et ancien physicien au CERN, le célèbre Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire, et Joe Andrews, un entrepreneur et un développeur expérimenté diplômé de l’Imperial College of London.

Aztec Network est une blockchain qui fonctionne avec Ethereum et qui a pour objectif principal d’ajouter une couche de confidentialité sur la blockchain de Vitalik Butterin. Ils se présentent eux-mêmes comme « une blockchain chiffrée de nouvelle génération sécurisée par Ethereum ». Il faut savoir que le protocole est live depuis l’année dernière et est déjà implanté sur plusieurs gros projets bien connus de la DeFi comme Aave ou Lido par exemple.

Alors là, on peut se demander pourquoi aurait-on besoin de transactions plus confidentielles sur Ethereum ? Et bien, vous ne le savez peut-être pas, mais au contraire de Bitcoin, les transactions sur la deuxième blockchain du marché sont vraiment, mais alors vraiment tout sauf confidentielles, je vous explique. Bitcoin fonctionne sur le model UTXO, donc lorsque vous effectuez une transaction, vous envoyez des tokens avec votre adresse Bitcoin vers l’adresse Bitcoin du destinataire.

Sur Bitcoin, vous disposez d’une quasi-infinité d’adresses avec lesquelles vous pouvez envoyer vos fonds, tandis que votre destinataire dispose d’une quasi-infinité d’adresses pour les recevoir. Ensuite, votre logiciel qui vous sert de wallet se charge de faire la somme du solde de toutes vos adresses pour vous donner votre solde total.

Sur Ethereum, c’est différent, puisque la blockchain fonctionne sur un modèle dit “account”. En clair, vous avez une seule adresse publique par compte, un peu comme l’IBAN de votre banque, si on veut. Dans l’idée, ça veut dire que si un jour vous allez payer votre pain en Ether, et bien le boulanger sera au courant à la fois du solde de votre compte, mais également de vos transactions passées et futures. On est d’accord, c’est pas tellement souhaitable. Vous avez toujours la possibilité de créer plein de wallets, mais bon ce n’est pas le plus pratique.

Aztec Network vient s’attaquer à ce problème en proposant une solution basée sur les ZK-proofs. Vous vous souvenez ? Ces preuves à divulgation nulle de connaissance dont on parlait dans la vidéo précédente. En gros, elles vous permettent de prouver la véracité d’une information ou d’un calcul à quelqu’un sans pour autant lui transmettre l’information en elle-même. Et sur Aztec, ça permettra en quelque sorte de chiffrer des transactions. Bon un point crucial à comprendre avec ce projet, c’est que pour pouvoir atteindre leurs objectifs de confidentialité, ils ont dû renoncer à devenir compatibles avec la fameuse machine virtuelle d’Ethereum.

À la place, ils travaillent sur le développement de leur propre écosystème d’applications et planchent sur leur propre langage de programmation qui s’appelle Noir. Dans l’idée, c’est un langage basé sur Rust, open source et compatible avec la technologie ZKP. Et Rust, c’est plutôt solide, c’est le langage utilisé sur des blockchains comme Solana par exemple et qui est connu pour ses performances, et sa sécurité. Bref, le projet avance bien et il se démarque par son envie de créer tout un environnement qui se réclame des valeurs de la vie privée, de la sécurité, et de l’open-source.

Au total, ils ont levé environ 120 millions de dollars avec notamment une série B qui a eu lieu en décembre 2022 où ils ont réussi à mobiliser 100 Millions de dollars avec A16z en tête de liste. Pour rappel, c’est la filiale crypto et tech du célèbre fonds Andreessen Horowitz. Pour le moment, pas de token en vue, mais comme d’habitude, on n’est pas à l’abri d’un éventuel airdrop.

Et oui, Aztec est backé par Paradigm, et bon nombre des projets soutenus par la firme ont eu des airdrop comme dYdX ou bien Optimism, pour ne citer qu’eux.

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ZKSYNC, le layer 2 star d’Ethereum

Maintenant, on va parler d’un projet dont vous avez surement déjà entendu parler tellement il est populaire et prometteur, zkSync. Il s’agit d’un Layer 2 qui a pour but d’apporter la scalabilité sur Ethereum sans pour autant faire des concessions sur la sécurité ou sur la décentralisation, plutôt classique pour un Layer 2.

zkSync a été développé par Matter Lab, une société fondée en 2018 par Alex Gluchowski, un diplômé en informatique de l’Université Technique de Berlin fort de pratiquement vingt ans d’expérience en développement de logiciels. C’est un protocole qui, comme plusieurs autres de ses concurrents, utilise la technologie des preuves à divulgation nulle de connaissance. Vous commencez à être familier avec ces termes, le moins que l’on puisse dire c’est que ces nouvelles technologies sont un bon présage pour l’avenir d’Ethereum et deviendront probablement incontournables.

Le protocole zkSync sort tout d’abord avec une première version en 2020 et ensuite avec un mainnet public de sa version 2, zkSync Era, en mars de cette année. La nouveauté sur la version 2 ? Entre autre, la compatibilité avec l’Ethereum Virtual Machine, le support de tous les langages EVM et notamment de Solidity et Vyper, les deux langages les plus utilisés sur Ethereum, ainsi qu’une scalabilité décuplée tout en bénéficiant de la sécurité du Layer 1 d’Ethereum.

Et autant vous dire que la promesse est grande, on parle de potentiellement 20 000 transactions par secondes avec très peu de frais et sans compromis sur la sécurité. On ne va pas rentrer dans les détails techniques car c’est vraiment très abrupt.
En tout cas, zkSync bénéficie déjà de pas mal d’intégration et d’un écosystème plutôt varié. On peut par exemple citer des systèmes d’achats de cryptomonnaies directement sur zkSync grâce à des partenariats avec Banxa ou Moonpay, ou encore des intégrations sur des exchanges comme ByBit ou Crypto.com par exemple.

De nombreuses applications décentralisées bien connues ont aussi intégré zkSync Era comme c’est le cas pour Uniswap, DyDx ou encore Curve, par exemple. Avec 500 millions de dollars de tokens bloqués sur le protocole, il se pose à la quatrième
place des Layers 2 d’Ethereum en termes de TVL, Valeur Totale Verrouillée en Français. Aujourd’hui, le projet a réussi à lever 458 millions de dollars à l’occasion de 5 tours de table dont un lead par Andreessen Horowitz, et un autre par Blockchain Capital, rien que ça. On ne sait pas encore quand arrivera le token de zkSync ni s’il arrivera un jour, mais il est probable qu’un airdrop soit en préparation pour les utilisateurs du protocole.

Au niveau de l’utilité du token c’est pareil, rien d’officiel mais si l’on se base sur les déclarations des fondateurs, les frais de transaction doivent être payés avec les tokens du L1, c’est-à-dire avec de l’ETH, donc à priori, on serait plutôt sur un token de gouvernance, qui servira à la décentralisation du protocole. On verra ce que ça donne pour ce L2 d’Ethereum qui s’annonce en tout cas très prometteur par ses caractéristiques. Un concurrent sérieux aux autres projets que l’on a présentés et
qui se situent dans la même veine.

Risc0

Là vous allez voir, on va parler d’un projet un peu moins connu mais aussi très intéressant, Risc Zero. Fondé par Brian Retford, Frank Laub et Jeremy Bruestle, tous ayant de solides compétences et de nombreuses expériences en conception de logiciels, Risc Zero se décrit comme une startup qui crée l’infrastructure et les outils nécessaires aux développeurs du monde entier pour créer des logiciels qui exploitent la technologie ZK Proof.

C’est plutôt un protocole d’infrastructure donc, un peu à l’image de LayerZero, que je vous avais présenté dans la précédente vidéo. Ils sont open-source et leur objectif principal, c’est de rendre la technologie Zk plus accessible que ce soit aux développeurs ou aux entreprises en leur permettant de déployer rapidement des applications qui utilisent ces technologies.

En 2022, ils lancent leur propre ZK-EVM qui permet, entre autres, à chaque développeur de construire des ZK proofs qui peuvent être exécutées simplement et efficacement. Le tout pouvant être exécuté avec du langage informatique traditionnel, ou bien réservé aux blockchains. L’idée, c’est de permettre aux développeurs de construire des applications utilisant la technologie ZK avec des outils qu’ils connaissent et en levant les barrières de la complexité des différents langages informatiques. Leur produit phare, c’est Bonsai, qui est une sorte de machine tout-en-un pour générer des ZK-proofs. Cela simplifie grandement l’utilisation de cette technologie pour améliorer la confidentialité et l’interopérabilité des chaînes, protocoles et applications.

Avec Bonsai, intégrer la preuve à connaissance zéro dans des environnements comme Ethereum et les blockchains de niveau 1 devient facile, ça nécessite vraiment peu d’efforts de développement. La zkVM de Bonsai, est basée sur RISC-V, qui, pour la faire courte, est un jeu d’instruction normalement utilisé dans l’électronique pure et dure. L’équipe de Risc Zero utilise ces instructions directement dans leur ZK-EVM et concrètement, ça permet d’écrire du code dans des langages informatiques connus comme en Solidity, ou bien des langages plus traditionnels comme C++ par exemple. Leur bibliothèque est vraiment vaste et ça permet une grande flexibilité.

En somme, ce que Risc Zero développe, c’est une sorte de roll-up universel et open-source, plutôt prometteur, pas vrai ? Pour le moment, le projet a pu lever un peu plus de 50 millions de dollars au total avec quelques beaux noms comme Blockchain Capital, ou bien Galaxy Digital, entre autres. On n’a pas encore d’information concernant un éventuel token, mais comme pour les autres projets, il faut rester à l’affût, peut-être qu’on aura des nouvelles plutôt rapidement.

Bera Chain

Passons maintenant à un protocole là encore très peu connu, mais qui, cette fois, n’a pas grand-chose à voir avec les ZK proofs, Berachain. Pour commencer, on ne sait pas trop d’où sortent les créateurs de Berachain. J’ai réussi à dénicher au moins trois co-fondateurs, SmokeyTheBera, Homme Bera et DevBear. On ne sait pas grand chose sur eux, si ce n’est que même en public, ils ont l’air de vouloir garder leur identité secrète.

Tout ce qu’on sait, c’est qu’ils sont tous trois basés à Toronto, et que le choix du pseudonymat est motivé par la volonté de construire sans être inquiété par des questions légales ou bien de sécurité personnelle. Le projet a débuté fin 2021 et à l’origine, ça a commencé avec une collection de NFT qui donnera naissance au projet Berachain. Ce nom vient d’ailleurs de “bear”, qui veut dire « ours », et qu’ils ont orthographié “bera” en référence au fameux “hodl” qu’on connaît bien
dans l’écosystème.

Il s’agit d’une blockchain basée sur Cosmos compatible avec l’Ethereum Virtual Machine et qui repose sur Tendermint, le consensus natif de Cosmos. En plus d’utiliser l’un des cadres de construction de blockchain les plus performant du
marché, tout en profitant de la fiabilité de Tendermint, le protocole intègre également un système de résistance contre les attaques Sybil plutôt novateur, le proof-of-liquidity. Pour rappel ou pour info, et sans rentrer dans les détails, une attaque Sybil se produit quand quelqu’un arrive à créer de multiples identités fictives pour tromper un système décentralisé.

C’est problématique dans le cas d’une blockchain par exemple, puisqu’en créant plusieurs identités, un attaquant peut influencer le système de manière injuste. Bref, les développeurs de Berachain ont proposé de contrer ce risque avec leur système de preuve de liquidité. Pour la faire courte, les utilisateurs peuvent miser divers actifs sur un validateur, recevant en retour des récompenses tokenisées. Le tout favorise l’interopérabilité grâce à l’adoption de Cosmos et permettant de participer au staking sans obligation de staker les tokens natifs de Berachain.

En clair, peu importe ce que vous stakez, vous devez juste prouver au protocole que vous avez des liquidités. D’ailleurs concernant les tokens natifs, ils misent sur un système avec trois tokens. D’abord,
le BERA, qui fonctionnera comme un token de gas, pour payer les frais de transaction donc, un peu comme l’ETH sur Ethereum.

Ensuite, le BGT, qui fonctionne comme un token de gouvernance avec des caractéristiques un peu particulières et qui permettra de participer aux décisions relatives à la blockchain. Et enfin le HONEY, un stablecoin collatéralisé par le consensus de Berachain et qui fonctionnera un peu comme le token de liquidité du protocole. Si on devait faire un parallèle, imaginez que vous avez de l’ETH et que tout cet ETH est staké pour sécuriser la blockchain Ethereum. Maintenant, imaginez que vous pouvez quand même utiliser cet ETH pour interagir avec des protocoles de DeFi comme Aave par exemple.

C’est ce que permet Berachain. Pour le moment, on en sait pas beaucoup plus sur le projet, si ce n’est qu’ils ont levé 42 millions de dollars en avril dernier à l’occasion d’une serie A avec Polychain Capital en tête d’affiche. La valorisation du projet s’élève à 420,69 millions de dollars et, je pense qu’entre ça et le nom du projet, vous aurez compris que le projet s’inscrit pleinement dans l’ethos de l’univers crypto.

D’après l’un des cofondateurs, Berachain, qui est pour le moment en devnet, devrait être lancé d’ici la fin d’année, et ses tokens natifs devraient arriver en même temps. En tout cas, le projet a l’air plutôt sérieux et leur produit a vraiment de quoi plaire par son fonctionnement et ce qu’il permet, affaire à suivre !

Kakarot

Pour le dernier projet prometteur de cette vidéo, on va parler de Kakarot, qui est, roulements de tambours, un projet français ! Kakarot est né durant la conférence StarkNet Community d’octobre 2022 et est à l’initiative de trois entrepreneurs, Elias Tazartes, Clement Walter et Danilo Kim. Ils disposent tous d’expériences en développement logiciels, et sont diplômés de grandes écoles comme Science Po Paris par exemple. D’ailleurs, Abdelhamid Bakhta de chez StarkWare, que vous connaissez sans doute si vous regardez la chaîne, est lui aussi impliqué dans le projet qu’il ne manque pas de suivre et de conseiller.

Et ce n’est pas pour rien, Kakarot va permettre, en quelque sorte, de rendre Starknet plus compatible avec Ethereum. Je m’explique rapidement. Les contrats sur Starknet sont aujourd’hui écrits en Cairo, un langage de programmation spécifique et plus adapté, pour pleins de raisons, à la technologie des zero knowledge proofs qu’utilise Starknet. Or, vous le savez peut-être, le Cairo, ce n’est pas du tout la norme dans les langages de programmation sur Ethereum, c’est même tout le contraire en fait.

La norme, c’est plutôt le Solidity, un autre langage de programmation. A cause de ça, entre autres, Starknet est incompatible avec la machine virtuelle Ethereum, ce qui veut dire que les projets qui veulent intégrer leur technologie seraient dans l’obligation d’embaucher deux équipes de développeurs, une qui code, par exemple, en Solidity, et l’autre qui adapte et maintien le code en Cairo. On ne va pas plus rentrer dans le détail, mais il faut retenir une chose de Kakarot, c’est que
c’est une implémentation de la machine virtuelle d’Ethereum, mais en langage Cairo. Et ça, c’est une super nouvelle pour les projets comme Starknet qui utilisent ce langage.

En tout cas, le projet a l’air de plaire puisqu’ils ont annoncé une pre-seed en juin dernier avec ni plus ni moins que le soutien de Starkware, évidemment, mais aussi Nicolas Bacca, cofondateur de Ledger et du metaverse The Sandbox, et, tenez-vous bien, Vitalik Butterin himself. Et vu les visions de ce dernier, ce n’est pas surprenant. Et oui, pour lui, plus il y a de zkEVM, mieux c’est. Il encourage la diversité d’approche et d’architectures, donc un projet qui promet de rendre cette diversité plus facile, ça ne pouvait que lui plaire. Pour l’instant, il n’y a eu qu’une pre-seed et une seed et on ne sait pas trop combien ils ont levé, mais on sait qu’à l’issue de la pre-seed, ils avaient un total de 48 investisseurs et une valorisation d’environ 15 millions de dollars.

En tout cas, le projet s’annonce plutôt prometteur et mérite d’être suivi de près, si vous voulez mon avis.

Nous voilà donc arrivés à la fin de la présentation de 5 projets attendus pour le prochain bull run. La première partie de cette vidéo, disponible ici, aborde quant à elle les 5 cryptomonnaies les plus attendues pour 2024.  J’ai encore de nombreux projets en tête donc si vous voulez une suite à cette vidéo, faites-le-moi savoir en commentaire sur notre chaîne YouTube.

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