Mois : octobre 2024

MrBeast aurait gagné 23 millions de dollars grâce à des délits d’initiés dans des projets de crypto-monnaie.
Il aurait utilisé 50 portefeuilles pour promouvoir et vendre des jetons, trompant ainsi les investisseurs.
Les preuves incluent une adresse Ethereum partagée publiquement liée à 13 millions de dollars de transactions.

Le phénomène YouTube MrBeast, connu pour son contenu captivant et ses 320 millions d’abonnés, fait face à de graves allégations liées au trading de cryptomonnaies.

Un groupe d’enquêteurs sur la blockchain affirme que MrBeast, dont le vrai nom est James Stephen « Jimmy » Donaldson, a tiré d’importants bénéfices de transactions cryptographiques douteuses, notamment d’une somme faramineuse de 23 millions de dollars provenant de ce qu’ils décrivent comme du délit d’initié.

Enquête sur MrBeast par Loock.io

Selon les conclusions du cabinet de conseil Loock.io et des analystes de la blockchain, MrBeast aurait opéré sur environ 50 portefeuilles, utilisant des échanges tels que Binance et Gemini pour échanger divers jetons.

Il aurait notamment promu des projets comme SuperFarm, désormais connu sous le nom de SuperVerse, aux côtés d’autres influenceurs comme KSI et LazarBeam, pour ensuite vendre ces jetons à des adeptes sans méfiance.

Dans un cas mis en évidence, MrBeast a investi 100 000 $ dans SuperVerse, ce qui a généré un bénéfice estimé à 7,5 millions de dollars.

Ce profit a été réalisé au détriment des premiers investisseurs, qui se seraient retrouvés sans retour sur investissement en raison de lacunes juridiques qui ont annulé leurs gains. Les enquêteurs affirment que l’influence de MrBeast dans l’espace crypto lui a permis de tromper les investisseurs alors qu’il profitait des projets mêmes qu’il promouvait.

Les preuves présentées proviennent d’une adresse Ethereum que MrBeast a partagée publiquement lors d’un achat NFT antérieur, ce qui a permis aux enquêteurs de retracer les transactions.

Selon eux, environ 13 millions de dollars auraient transité par les bourses susmentionnées, ce qui soulève des questions sur la légitimité de ces transactions. Bien que la blockchain publique permette un certain niveau d’analyse, elle ne garantit pas l’exactitude absolue des déclarations concernant l’origine des transactions.

Néanmoins, les conclusions semblent crédibles, car elles sont fondées sur des données vérifiables publiquement. Alors que les allégations se multiplient, la communauté crypto surveille de près la situation, ce qui reflète une préoccupation plus large concernant les soutiens de célébrités sur le marché volatile des crypto-monnaies.

Avec de nombreuses célébrités s’aventurant sur le Web3, le risque de controverse et de mauvaise gestion financière reste élevé, ce qui suscite des appels à une plus grande transparence et à une plus grande responsabilité.

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Dans cette vidéo du Journal du Coin, découvrez l’application Zyfi, qui ambitionne de révolutionner le secteur crypto en réduisant, voire en éliminant les frais de gas. Zyfi, au cœur de cette vidéo sponsorisée, permet aux utilisateurs de gérer différemment leurs transactions, avec des possibilités inédites comme le paiement des frais de gas dans une autre cryptomonnaie, ou encore des transactions sponsorisées.

Zyfi : L’extincteur de frais de gas

Dans les détails, l’application s’insère dans le processus de transaction classique pour y ajouter du code avancé. Contrairement aux transactions standard, le projet permet aux utilisateurs de payer les frais de gas avec d’autres tokens que celui du réseau, comme l’Ether pour Ethereum.

Par ailleurs, Zyfi permet également aux plateformes de sponsoriser les frais de gas de leurs utilisateurs. Par exemple, une plateforme de trading pourrait financer les transactions de ses clients via Zyfi pour attirer plus d’utilisateurs. Des abonnements de gas en NFT, permettant aux utilisateurs de payer un tarif fixe pour leurs frais annuels, sont même prévus.

Grâce à une technologie avancée, Zyfi est compatible avec les chaînes de la famille ZK comme Starknet et ZK Sync. Cependant, les chaînes plus classiques, comme Ethereum, ne permettent pas encore cette flexibilité. Malgré cela, la dApp s’est déjà associée à plusieurs plateformes, telles que Pancake Swap et des projets NFT, pour offrir une expérience sans frais de gas.

Si vous êtes un utilisateur de crypto qui souhaite optimiser ses transactions, cette vidéo vous fournira des informations essentielles sur l’utilisation de Zyfi et son potentiel de réduction de frais.

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Une nouvelle méta ? Les tendances ne cessent d’évoluer dans l’écosystème crytpo. Alors que tous les yeux étaient récemment tournés vers les memecoins, ils le sont désormais sur les agents IA. Conçus pour opérer de manière autonome, ils sont capables de traiter des informations, prendre des décisions et exécuter des actions précises, sans intervention humaine. En combinant l’intelligence artificielle à la crypto, ces agents autonomes pourraient bien transformer la manière dont nous interagissons avec les cryptos. Si bien que même Coinbase se lance dans le domaine avec son propre agent IA le « Based Agent ».

Agents IA et crypto : une tendance montante

Les agents IA ont émergé grâce à l’essor des LLM (Large Language Model) tels que ChatGPT, Claude ou encore Llama.

En pratique, un agent IA est une intelligence artificielle autonome, capable d’analyser son environnement et de prendre des décisions pour accomplir une tâche précise. 

Dans le domaine crypto, ces agents prennent une tout autre dimension. En effet, ils deviennent des acteurs à part entière, capables d’interagir en temps réel avec des smart contracts, de réaliser des transactions et même de trader des cryptos.

Si bien que certains observateurs tels que James Ross, fondateur de Mode Network, estiment que les agents IA seront bientôt à l’origine de la plupart des transactions.

« Thèse originale : Plus de 80 % des transactions sur la blockchain seront effectuées par des agents d’IA dans les 24 prochains mois. 

Nouvelle thèse : Plus de 80 % des transactions sur la blockchain seront effectuées par des agents d’intelligence artificielle au cours des 6 à 12 prochains mois. »

Parmi les agents IA qui se démarquent, Terminal Truth est un projet innovant visant à offrir une transparence totale sur les transactions blockchain. 

Ainsi, cet outil est conçu pour analyser les transactions et identifier les anomalies ou les fraudes potentielles. 

Son intelligence lui permet de repérer des opportunités de trading en analysant les tendances et les comportements de marché. Récemment, Terminal Truth est même parvenu à atteindre le statut de « crypto millionnaire », en exploitant la volatilité du marché. Notamment grâce à la cryptomonnaie GOAT.

Coinbase se lance dans les agents IA

Face à l’essor de cette tendance, Coinbase, l’une des plus grosses entreprises de notre écosystème, a décidé de se lancer dans le bain.

Le 26 octobre, Brian Armstrong, le CEO de Coinbase a annoncé le lancement de leur propre agent IA intitulé « Based Agent ».

Sans surprise, cet agent est conçu pour interagir de manière autonome sur le layer-2 Base, développé par Coinbase.

Cet agent, présenté plus en détail par l’ingénieur Lincoln.base.eth, permet aux utilisateurs de créer des agents en moins de trois minutes. Sous le capot, il est basé sur ChatGPT, l’intelligence artificielle développée par OpenAI.

Une fois en place, cet agent autonome peut être paramétré pour effectuer des transactions, automatiser des échanges ou même devenir un bot sur X.

Ainsi, ces agents ont plusieurs cordes à leur arc : 

Exécution autonome : L’agent pense, décide et agit sur la chaîne de manière autonome ; 

Déploiement de jetons : Création et gestion de jetons ERC-20 ;

Déploiement de NFT : Déploiement de NFT ;

Transferts d’actifs : Transfert d’actifs entre adresses ;

Vérification des soldes : Gardez un œil sur les soldes de portefeuilles déterminés.

L’essor des agents IA pourrait bien transformer la manière dont nous interagissons avec les cryptomonnaies. Le jeton GOAT, l’un des principaux représentants de cette mouvance, a ainsi rapidement atteint les 150 millions de dollars de marketcap et s’établit actuellement à plus de 600 millions de dollars.

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Donald Trump envisagerait de lancer un stablecoin, via sa plateforme crypto World Liberty Financial. Le candidat républicain aux présidentielles américaines. Cela pourrait soulever des conflits d’intérêt si le milliardaire redevenait président des Etats-Unis. Un stablecoin “Trump”? Après les NFT et la plateforme DeFi, Donald Trump pourrait lancer un stablecoin. Le candidat républicain aux élections présidentielles…

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L’ancien président Donald Trump, qui se dit lui-même président crypto, continue de marquer son intérêt pour les cryptomonnaies. Notamment avec son projet World Liberty Financial. Après une levée de fonds de 14 millions de dollars, World Liberty envisage de lancer un stablecoin adossé au dollar américain. Cette incursion dans le secteur crypto, impliquant un ancien président, attire l’attention non seulement pour son audace mais aussi pour les questions juridiques et éthiques qu’elle soulève. Dans un contexte où la SEC intensifie sa régulation des actifs numériques, l’émission d’un stablecoin par un acteur aussi médiatisé pourrait impacter l’écosystème crypto dans son ensemble. On fait le point.

Un stablecoin signé World Liberty Financial et Donald Trump

Le projet World Liberty cherche à stabiliser sa future cryptomonnaie en la rendant moins volatile, à l’image des stablecoins classiques. Ceux-ci permettent aux utilisateurs de protéger leurs fonds des fluctuations du marché et sont souvent utilisés comme passerelles entre la finance traditionnelle et la crypto.

L’équipe de World Liberty, épaulée par Rich Teo, co-fondateur de Paxos, travaille à sécuriser ce futur stablecoin, bien qu’il reste encore plusieurs étapes avant le lancement. Cependant, le projet fait déjà l’objet d’intenses débats quant à sa légitimité dans un marché où la SEC montre une rigueur croissante vis-à-vis des stablecoins non réglementés.

Profits, profits et profits… le projet de Donald Trump

Si les stablecoins peuvent offrir des revenus conséquents – par le biais de placements en bons du Trésor, par exemple – l’émission de ces actifs nécessite des investissements colossaux et un solide cadre de conformité.

Ainsi, en s’appuyant sur la popularité de Trump, World Liberty espère-t-il attirer des investisseurs particuliers vers un secteur souvent complexe pour le grand public. Pourtant, le marché saturé et la régulation stricte posent des défis de taille : World Liberty devra sécuriser de nouveaux partenariats et levées de fonds pour réussir.

Avec des géants comme Tether qui a dégagé 5,2 milliards de dollars de bénéfices grâce aux stablecoins, le projet de Trump pourrait suivre une voie similaire, mais non sans obstacles.

MNBC VS Stablecoins

Les informations sont encore minces et le média Decrypt précise bien que Rich Teo n’ait pas souhaité s’exprimer sur le sujet. Toutefois, le choix ne serait pas anodin dans un sens. La création de ce stablecoin par World Liberty pourrait également être perçue comme une alternative aux monnaies numériques de banque centrale (MNBC) que plusieurs gouvernements, dont les États-Unis, envisagent de lancer.

Donald Trump a souvent exprimé son opposition aux MNBC, les considérant comme un moyen de contrôle étatique renforcé sur la monnaie des citoyens. À plusieurs reprises, il a promis d’interdire toute MNBC si elle venait à voir le jour sous son mandat.

En optant pour un stablecoin adossé au dollar mais non émis par l’État, Trump et World Liberty offrent une option plus décentralisée aux utilisateurs, leur permettant de profiter de la stabilité du dollar sans dépendre directement d’une monnaie numérique contrôlée par le gouvernement. Une fois les éléments idéologiques posés, ne soyons pas naifs pour autant. Aussi bien la levée de fonds de WLFI que sa collection de NFT lui ont permis de récupérer des millions de dollars. Affaire à suivre, à quelques jours des élections présidentielles US, sur le Journal du Coin.

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Le monde entier regarde. Le 5 novembre prochain, 244 millions d’Américains seront appelés à choisir le nom du futur Président de la première puissance du monde et tous les quatre ans ce feuilleton passionne la Terre entière. Il faut dire que les décisions prises à Washington ont des répercussions aux quatre coins du monde et que de nombreux dossiers brûlants attendent Mme Harris ou M. Trump comme l’Ukraine et la Russie, Israël et le Proche-Orient, la Chine et Taiwan, sans compter tous les sujets internes qui divisent le pays.

Les deux camps ont mené une campagne riche et intense et on connait maintenant leurs différences de point de vue sur l’économie, l’immigration, l’éducation, l’environnement, la santé ou les revendications sociétales à propos de l’IVG ou des droits des communautés LGBT+. Mais il y a un sujet où l’on a remarqué ces dernières semaines une certaine convergence et il s’agit bien sûr de celui des cryptomonnaies. A droite, un Donald Trump auto proclamé le Président pro-crypto qui a multiplié les appels du pied à la cryptosphère américaine et à gauche, une Kamala Harris plus discrète sur le sujet mais qui tente maintenant de rassurer l’industrie à grands renforts de déclarations et de promesses.

A quelques jours du scrutin, faisons un point complet sur la situation pour voir le chemin parcouru par ces deux candidats au style radicalement différent.

Kamala Harris et les Démocrates se présentent en outsiders de la crypto américaine

Des débuts difficiles pour la candidate Démocrate

Depuis qu’elle a pris la suite d’un Joe Biden diminué physiquement le 21 juillet dernier, Kamala Harris essaye de se démarquer de l’administration précédente en matière de politique crypto et ses conseillers font tout ce qu’ils peuvent pour faire oublier les dernières années où elle était, faut-il le rappeler, la vice-Présidente. La croisade menée par Gary Gensler et la SEC a fait beaucoup de mal à l’image des Démocrates auprès de l’industrie crypto américaine qui lui a tout de suite mis la pression.

Dès le mois de juillet, The Digital Chamber, un groupe de pression Web3 américain, lui adresse une lettre ouverte en réclamant « une approche plus positive de la cryptomonnaie » à la toute nouvelle candidate Démocrate. Début août, une poignée de sympathisants de la candidate liée au secteur lancera d’ailleurs l’initiative Crypto 4 Harris pour pousser sa candidature et ne pas laisser le champ libre à un Donald Trump archi présent médiatiquement. Les jours suivants, des conseillers très proches de Mme Harris rencontreront plusieurs personnalités importantes de l’écosystème dans un hôtel de Washington et la réunion sera jugée positive par les participants.

L’équipe de campagne de Kamala Harris multiplient les signaux positifs à l’industrie

Finalement, le 21 août, Kamala Harris fera sa toute première déclaration pro crypto et bien qu’un peu timide sur la forme, il sera question de « soutenir les politiques qui garantissent que les technologies émergentes peuvent continuer à se développer ». Il n’en fallait pas plus pour rassurer ses supporters et affirmer que les Démocrates changeaient leur fusil d’épaule ! Un mois plus tard, face à une journaliste de Bloomberg, la candidate déclarera qu’elle encouragera « les technologies innovantes comme l’IA et les actifs numériques tout en protégeant les consommateurs et les investisseurs » et le 25 septembre, elle insistera sur le sujet en affirmant vouloir « repositionner la Nation comme leader mondial dans les secteurs qui définiront le siècle prochain (…) comme la blockchain ».

Enfin, il y a quelques jours, elle a confirmé qu’elle se séparerait de l’actuel Président de la SEC en cas de victoire, ce qui ressemble à un ultime appel du pied à la cryptosphère américaine qui déteste ouvertement Gary Gensler. Mais malgré ce revirement sémantique remarqué des deux derniers mois, l’écart en matière de crypto avec Donald Trump est abyssal tant le Républicain est allé loin dans son implication dans le secteur.

Kamala Harris est rentrée tard dans la campagne mais elle a essayé de rattraper son retard sur Donald Trump

Donald Trump et les Républicains sont les favoris de l’industrie crypto US

Donald Trump et les cryptos : une longue histoire

Il est effet difficile de remonter aux sources du sujet concernant le candidat Républicain car ses premières aventures dans le Web3 sont déjà anciennes avec des premiers collections de NFT lancées pour le meilleur et surtout pour le pire dès 2021 ! Dans un souci de clarté et de concision, nous allons donc démarrer notre exploration de la galaxie Trump à partir du 18 juillet, date de la Convention Républicaine qui l’a officiellement intronisé candidat du Grand Old Party, même s’il multipliait déjà les déclarations anti-SEC et anti-MNBC depuis quelques semaines.

Après la nomination d’un vice-Président ouvertement pro-crypto, le candidat Républicain va lancer une quatrième collections de NFT à son effigie à la soi-disant « demande du public » mais le premier gros coup de la campagne sera sa participation à la conférence Bitcoin 2024 à Nashville. Cette nouvelle va avoir un retentissement énorme dans la cryptosphère mondiale qui commencera d’envisager que le futur POTUS (Président of the United State) soit réellement un bitcoiner convaincu ! Une fois sur scène, Donald Trump va flatter les oreilles d’un auditoire déjà conquis en parlant de « réserve stratégique américaine en bitcoins », de « virer Gary Gensler » mais surtout d’être « le candidat pro-innovation et pro-crypto dont l’Amérique a besoin ».

Le Président pro-crypto se pose en bitcoiner convaincu

Enfin, dans la dernière ligne droite vers le scrutin, la famille Trump surprendra tout le monde en lançant un projet de finance décentralisée baptisé World Liberty Financial qui rencontrera un succès limité mais qui accentuera encore l’image crypto friendly du candidat Républicain. En parallèle de cette initiative, il n’aura de cesse de parler de Bitcoin et de la crypto comme « la technologie du futur » et il envisagera même de mettre fin à la dette fédérale grâce à ces actifs innovants !

Toutes les déclarations de l’ancien Président auront finalement l’effet escompté puisqu’il est actuellement largement en tête des prises de positions sur les marchés prédictifs et notamment du côté de Polymarket où il a certains jours jusqu’à 30 points d’écarts avec la candidate Démocrate. Cependant, dans les sondages traditionnels, Kamala Harris est en tête de 2 points, ce qui apporte certains observateurs à remettre en question la pertinence de ces plateformes prédictives alors que d’autres dénoncent (évidemment) la partialité des instituts de sondages américains à la solde du parti au pouvoir. Pour savoir qui a raison, il faudra attendre le 5 novembre prochain.

Donald Trump s’est imposé comme le candidat pro-crypto avec des déclarations ultra favorables à Bitcoin et aux cryptoactifs

Une campagne électorale dans un contexte favorable à Bitcoin et aux cryptomonnaies

Une année déjà historique pour Bitcoin et les cryptos

Mais au-delà du résultat du scrutin, et quelque soit le ou la vainqueur, Bitcoin et les cryptomonnaies ont déjà gagné en 2024 avec une année qui restera dans les annales de la jeune histoire du secteur. L’avènement des ETF Bitcoin et Ethereum à Wall Street est une petite révolution qui va remodeler le paysage de la finance internationale, tout comme la tokenisation – ou RWA – qui devrait changer les habitudes de la finance traditionnelle. De plus, l’adoption se vérifie chaque jour un peu plus dans le monde et les électeurs américains affirment même vouloir voter pour un candidat sensible au sujet à près de 16%.

Tous ces évènements ont placé les États-Unis au centre du jeu et il était donc inévitable que le sujet soit au cœur des préoccupations des candidats, même si l’on peut déplorer que Bitcoin et les cryptomonnaies n’aient pas été abordés lors du seul débat de cette campagne. Il faut cependant reconnaitre que les thèmes de division sont suffisamment nombreux pour que les journalistes n’aient pas insisté sur les quelques sujets de convergence entre les deux prétendants au pouvoir !

Les deux camps au coude-à-coude, le marché prêt à décoller !

Enfin, notons que plusieurs études différentes notent que le marché crypto devrait repartir à la hausse suite à l’élection du prochain Président, et ce, quelque soit le résultat du scrutin. Donald Trump devrait par son attitude et ses déclarations créer un mouvement de sympathie pour le secteur mais les Démocrates ont d’ores et déjà promis un changement de politique qui devrait profiter aussi aux cryptoactifs, même si des doutes subsistent. Les deux camps ont d’ailleurs reçu des dons importants de la part de l’industrie crypto américaine ce qui montre bien que Démocrates et Républicains ont conscience des enjeux.

La pression est à son comble outre-Atlantique et le monde entier aura les yeux rivés vers Washington le 5 novembre pour assister à une des élections les plus serrées de l’histoire américaine récente où bien plus que le cours de Bitcoin se jouera dans les urnes. La politique de la première puissance du monde et leader de l’OTAN est en jeu et les américains auront entre leurs mains plus que le destin de leur pays. Espérons qu’ils feront le bon choix pour eux mais aussi pour nous.

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Les solutions de seconde couche sur Ethereum ont le vent en poupe. Désormais, tout le monde veut son propre L2. Ainsi, en août 2023, Coinbase a ouvert le bal avec le déploiement du L2 Base. Peu après, en novembre 2023, des rumeurs ont émergé quant à la possible création d’un layer-2 par Kraken. Désormais, la rumeur se confirme avec l’annonce de Ink, le layer-2 made in Kraken.

Kraken annonce son layer-2 : Ink

Fort de près de 700 millions de dollars de volume quotidien, Kraken est la 5e plus grosse plateforme d’échange de cryptomonnaies au monde.

Près d’un an après les premières rumeurs, Kraken a finalement dévoilé Ink le 24 octobre. Il s’agit de son propre layer-2 évoluant au-dessus d’Ethereum.

« Ink comble le fossé entre les utilisateurs et les développeurs de l’avenir de DeFi, en offrant un accès sécurisé et transparent à des expériences attrayantes et rationalisées qui ouvrent les possibilités de création de richesse de DeFi à un éventail beaucoup plus large d’utilisateurs de cryptomonnaies que jamais auparavant. »

Sous le capot, Ink est basé sur le code source de l’OP Stack, à savoir la même technologie que celle utilisée sur OP Mainnet (anciennement Optimism) ou encore Base.

Une opportunité pour Kraken qui pourra profiter de l’écosystème grandissant des Superchain Optimism.

« En plus d’hériter de la sécurité d’Ethereum, Ink fera partie de l’écosystème Superchain, un réseau de blockchains construites sur une base de code standard commune qui partage la sécurité, la gouvernance et les valeurs. Ce réseau unifié de L2 travaille ensemble pour faire évoluer Ethereum. »

Par exemple, Ink supportera le standard SuperchainERC20 conçu pour faciliter les transferts de jetons au sein de l’écosystème Superchain.

Testnet et NFT commémoratifs

D’après l’annonce, un testnet devrait être déployé rapidement par les équipes de Kraken. Celui-ci permettra d’attirer les premiers développeurs et utilisateurs du réseau. De son côté, le mainnet ne sera probablement pas déployé avant 2025.

En attendant, pour fêter le démarrage d’Ink, Kraken a annoncé la création d’un NFT commémoratif, qui peut être minté sur la blockchain Zora. Nous ne pouvons que vous conseiller de le minter, car ne sait-on jamais, cela pourrait être un critère d’éligibilité si Kraken venait à lancer et distribuer un jeton via un airdrop.

De son côté, Base, le L2 lancé par Coinbase ne cesse de battre des records. Ainsi, en seulement une année d’existence, Base est devenu le premier layer-2 d’Ethereum en termes de TVL, dépassant Arbitrum, jusqu’ici indétrônable. Reste à savoir si Kraken arrivera à rattraper son retard face aux nombreux autres L2 lancés cette année.

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Présent dans le monde des cryptos depuis plusieurs cycles, Algorand est un projet toujours prometteur qui n’a pas fini de faire parler de lui. Loin d’avoir succombé à l’hiver du bearmarket, l’équipe a profité du temps qui passait pour optimiser sa technologie et développer son écosystème. Le réseau blockchain bénéficie ainsi de plusieurs années d’innovations et d’amélioration constantes, qui lui permettent aujourd’hui de se distinguer comme une solution fiable et robuste. Il accueille un éventail toujours plus large de projets et d’applications décentralisées qui attirent de plus en plus  l’attention d’institutions et de grands acteurs du monde réel. Nous vous proposons ici de découvrir quelques-uns de nos favoris, qui vous donneront sûrement envie d’aller explorer le reste de l’écosystème par vous-même.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Algorand.

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Algorand en quelques mots

L’équipe

Algorand n’est pas un projet tout jeune puisqu’il a été fondé en 2017 par Silvio Micali. Si ce nom vous est inconnu, il s’agit d’un cryptographe italo-américain de génie, qui cumule diplômes, récompenses et découvertes en tous genres. Il est notamment lauréat du prix Turing de 2012, professeur au MIT, et co-inventeur des preuves à divulgations nulles de connaissance dont vous avez certainement déjà entendu parler.

Symbole de la nouvelle dynamique en cours chez Algorand, Marc Vanlerberghe, le nouveau CMO de la Fondation, a travaillé pendant 9 ans chez Google, notamment en tant que directeur marketing d’Android de 2007 à 2013, une période où Android est littéralement passé de 0 à 1 milliard d’utilisateurs ! Mais vous pouvez aussi voir ci-dessous que les autres membres de l’équipe sont eux aussi de brillants spécialistes.

Membres de l’équipe d’Algorand Technologies

Lancée en juin 2019, Algorand est une blockchain qui se distingue de la concurrence grâce à son mécanisme de consensus appelé Pure Proof of Stake.

La tech

Sans entrer dans des détails trop techniques, il s’agit d’un dérivé du mécanisme de preuve d’enjeu. Il offre une efficacité énergétique et une sécurité accrue, ainsi qu’une mise en œuvre plus simple des frais extrêmement faibles et des transactions quasi instantanées. 

De plus, le gros avantage c’est que grâce à des prérequis très faibles comparés à d’autres blockchains, n’importe qui peut facilement participer au consensus avec très peu d’ALGO, le token natif du réseau. En effet, le minimum de stake est de 0.1 ALGO ! 

Au fil des années, Algorand a réussi à attirer des investissements importants, avec notamment une levée de fonds de 300 millions de dollars US en 2021. Cette somme a été utilisée pour payer les recherches et le développement, mais aussi pour financer d’autres projets innovants. En effet, l’Algorand Fondation, qui a pour mission de gérer la croissance globale de l’écosystème, a elle-même réinvesti 62 millions de dollars dans une vingtaine de projets.

C’est donc sans surprise que l’écosystème autour de cette blockchain est en pleine ébullition, regroupant notamment des projets touchant à des domaines en vogue actuellement, tels que la finance décentralisée (DeFi) et les Real World Assets (RWA).

Un écosystème RWA en pleine expansion

Voici quelques-uns des projets les plus originaux sur Algorand :

Lofty.ai

Marketplace de Lofty.ai

Lofty.ai est une plateforme qui permet d’acheter et de vendre de l’immobilier tokenisé situé aux États-Unis. Si vous connaissez RealT, Lofty est un concurrent direct et sérieux avec déjà plus de 40 millions de dollars en TVL. C’est aussi l’unique endroit au monde où il est possible d’investir dans des propriétés Airbnb de luxe !

Voici son fonctionnement :

Un propriétaire « classique » soumet son bien à Lofty pour qu’il soit listé sur la place de marché ;

Des professionnels du milieu mandatés par Lofty inspectent et évaluent le bien et enquêtent sur le propriétaire (antécédents, solvabilité…) ;

Si l’avis des professionnels est positif, le propriétaire transfère son titre de propriété à une LLC (équivalent US d’une SARL en France) du Wyoming ;

Cette société est ensuite divisée en plusieurs parts de 50 dollars US chacune, représentées par des tokens sur la blockchain Algorand ;

Ces tokens sont ensuite échangeables sur Lofty ;

Le bien immobilier est mis en location et les détenteurs des tokens touchent une part du loyer au prorata du nombre de jetons qu’ils possèdent.

Lofty permet donc de se lancer dans l’investissement locatif avec un capital de 50 dollars US seulement. Avec plus de 140 propriétés aux quatre coins des États-Unis, elle permet de se diversifier très facilement. Les contraintes administratives pour les acheteurs et les vendeurs sont bien moindres que pour un achat classique. La transparence, la traçabilité et la sécurité offertes par la blockchain permettent de supprimer les intermédiaires inutiles et gourmands (notaires…) et de réduire les coûts.

TravelX

Page d’accueil de TravelX.io

TravelX est un projet innovant qui est en train de révolutionner le fonctionnement des compagnies aériennes.

Pour faire simple, il leur permet d’émettre leurs tickets sous forme de NFT, sur la blockchain Algorand sans que cela soit visible pour les utilisateurs. Cela procure de nombreux avantages par rapport au système classique, pour les compagnies comme pour les passagers.

Grâce aux NFTickets

Les compagnies aériennes peuvent en effet prédéfinir des règles concernant l’achat, l’échange, le transfert, etc … Elles peuvent ainsi programmer la vie complète d’une place sur un vol en fonction de tous les cas de figure imaginables. Le tout en quelques clics et sans besoin d’intervention humaine une fois le processus enclenché ;
Les passagers jouissent de beaucoup plus d’autonomie et de flexibilité. Ils peuvent par exemple revendre leur place directement à un autre passager ou changer le nom sans passer par la compagnie. Ils bénéficient par ailleurs des opportunités détectées par l’algorithme de TravelX. Ce dernier peut par exemple leur proposer de revendre leur place plus chère qu’ils ne l’ont achetée en cas de forte demande, etc…

Au niveau de l’inventaire, grâce aux NFTickets, les compagnies remplissent leurs avions beaucoup plus rapidement. Les gens sont moins réticents à acheter des billets longtemps à l’avance sachant qu’ils peuvent les transférer ou les revendre via la marketplace secondaire de la compagnie. Et via le marché secondaire, les compagnies récupèrent aussi un % sur chaque revente, ce qui leur fait un revenu supplémentaire non négligeable !

Avec déjà plusieurs dizaines de millions de tickets émis sous forme de NFT, plus de 10 millions de passagers on pris l’avion grâce à la blockchain, sans même le savoir. Ainsi, TravelX attire de plus en plus de compagnies. Parmi ses utilisateurs, on retrouve notamment la deuxième plus grosse compagnie aérienne du Mexique, Viva Aerobus, ainsi que Flybondi et Air Europa. D’autres annonces devraient arriver rapidement.

Fifa Collect

FIFA Collect est une plateforme officielle créée par la FIFA. Elle permet aux fans d’échanger des objets numériques de la collection officielle « FIFA Collect » illustrant des moments les plus emblématiques de l’histoire du football.

La plateforme utilise la technologie d’Algorand pour permettre aux utilisateurs de suivre les ventes sur les marchés primaire et secondaire. Tous les NFT, sans exception, y sont exclusivement mintés, et la barre du million de NFT a été franchie ! Elle leur permet aussi d’être informés en cas d’arrivée de nouvelles collections ou d’opportunités de ventes. 

La croissance de FIFA Collect est juste incroyable : leurs drops se sont écoulés en quelques minutes, et désormais, n’importe quel club ou fédération peut utiliser la marketplace pour émettre des NFT pour ses fans ! Des fédérations nationales et des clubs de football majeurs commencent aussi à s’y associer pour proposer des cartes VIP avec des bénéfices exclusifs. Le dernier en date est le Genoa, en Série A !

D’ailleurs, c’est actuellement la seule plateforme sur laquelle il est possible d’acheter des billets pour la prochaine Coupe du Monde de 2026 !

Toutes les autres plateformes

Listes des prinicipaux projets présents sur Algorand proposée par Defillama

La liste des projets RWA sur Algorand est bien trop longue pour nous permettre de tous vous les présenter ici. Pour en découvrir d’autres, vous pouvez vous rendre sur Defillama qui en liste beaucoup. Mais vu le développement de la blockchain, il y a de fortes chances pour que vous tombiez sur l’un d’entre eux sans même chercher. Pensez-y par exemple la prochaine fois que vous boirez un café : Lavazza l’utilise pour la traçabilité de certaines de ses gammes ! L’adoption de masse est à nos portes, grâce à Algorand.

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Lazarus frappe une nouvelle fois. Lazarus est un groupe de hackers nord-coréen qui sévit dans l’écosystème crypto depuis plusieurs années. Entre 2020 et 2023, le groupe a mené plus de 25 hacks différents, ciblant des protocoles ou exchanges crypto. Désormais, ils refont parler d’eux après avoir exploité une faille dans le navigateur Google Chrome.

Un jeu vidéo blockchain comme appât

Securelist est un blog qui répertorie l’ensemble des trouvailles de Kaspersky, une entreprise spécialisée dans la sécurité informatique. Ainsi, ils publient fréquemment des rapports complets sur les menaces détectées.

Le 23 octobre, ils ont révélé une nouvelle affaire de piratage massif impliquant le groupe de hackers nord-coréens de Lazarus. Une fois n’est pas coutume avec Lazarus, l’objectif était de mettre la main sur des cryptomonnaies.

Pour ce faire, ils sont allés jusqu’à créer un faux jeu MOBA appelé Detankzone. Ce dernier était basé sur des NFTs, un appât idéal pour dérober des cryptomonnaies.

Pour que tout cela paraisse vrai, ils ont créé un site internet dédié au jeu. Nous avons même la possibilité d’y télécharger une version bêta du jeu.

Évidemment, il est logique de penser que le malware était situé dans la version bêta du jeu. Et bien non.

En creusant le code source du jeu, les chercheurs de Kaspersky ont découvert qu’il y avait bel et bien le code source d’un MOBA dans lequel des tanks s’affrontent.

Screenshot du jeu partagé par Kaspersky.

« Après de nombreuses manœuvres, nous avons pu nous connecter au jeu et jouer avec les tanks ! Oui, il s’agit d’un vrai jeu ! Nous y avons joué un peu et c’était amusant – cela nous a rappelé certains jeux shareware du début des années 2000. »

Sauf, qu’en réalité ce n’est pas Lazarus qui a développé ce jeu. Ils ont volé le code source à un autre projet, DefiTankland.

« Nous avons trouvé un jeu légitime qui a servi de prototype à la version de l’attaquant – il s’agit de DeFiTankLand (DFTL). »

Ainsi, les attaquants ont créé une version modifiée du jeu DeFiTankLand (DFTL). Après avoir volé son code source, ils ont lancé une campagne en février 2024 pour promouvoir leur version du jeu.

Un hack sophistiqué

En pratique, l’attaque menée par Lazarus est bien plus sophistiquée. Dans cette affaire, le jeu n’est qu’un appât, et la version bêta téléchargeable sur le site ne présente aucun malware.

Tout est fait pour détourner l’attention de la vraie menace : le site internet du jeu. C’est sur celui-ci que se cache la faille qui permet à Lazarus de dérober vos précieuses cryptomonnaies.

Pour cela, Lazarus a utilisé une vulnérabilité dite 0-day présente dans le navigateur Google Chrome. Pour rappel, une 0-day est une vulnérabilité inconnue de tous, que les attaquants exploitent avant qu’un correctif ne soit déployé. Celles-ci peuvent être découvertes par les hackers ou bien achetées auprès d’autres hackers.

Dans notre cas, cette faille permettait d’exécuter du code arbitraire sur la machine de la victime via un script malveillant. Ce script s’exécutait lors de la visite du faux site sans que l’utilisateur ne s’en rende compte.

Une fois la faille exploitée, le code malveillant injecté via Google Chrome contournait les protections présentes, permettant à l’attaquant de manipuler la mémoire du système infecté.

Et le tour est joué. Lazarus a un plein accès à l’ordinateur de sa victime, et de ce fait, aux wallets stockés localement. Ils n’avaient plus qu’à se servir.

Évidemment, les équipes de Kaspersky ont immédiatement alerté Google, qui a déployé un correctif deux jours après la détection de la faille. Toutefois, il est difficile de savoir depuis quand Lazarus a découvert ou obtenu cette faille qui affectait Google Chrome.

Lazarus : une organisation tentaculaire

En pratique, ce n’est pas à proprement parler Lazarus qui est à l’origine de cette attaque. En effet, elle a été menée par BlueNoroff, un sous-groupe de Lazarus, également à la botte du gouvernement nord-coréen.

Toutefois, cette affaire se différencie des autres attaques menées par la nébuleuse Lazarus. En effet, c’est l’une, si ce n’est la première fois que l’on voit le groupe mener une attaque massive à l’encontre de victimes lambda.

Jusqu’à présent, Lazarus ciblait principalement les plateformes d’échange de cryptomonnaies ou les protocoles DeFi. Les quelques cas d’attaques de personnes physiques ciblaient des portefeuilles très fortunés.

Il est désormais clair que Lazarus a une stratégie tentaculaire concernant les hacks crypto. Tous les moyens sont bons pour dérober des cryptomonnaies, et ce, peu importe leur origine.

Au mois de septembre, les efforts communs de plusieurs émetteurs de stablecoins ont permis de geler 5 millions de dollars qui avaient été dérobés par Lazarus. Toutefois, cela reste encore bien loin des milliards de dollars qui ont été dérobés par le groupe à ce jour.

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