Superchain à l’honneur : 54 000 adresses récompensées par le 5ᵉ airdrop d’Optimism

Lancé en décembre 2021, Optimism fut l’un des premiers optimistic rollups du réseau Ethereum. Depuis, ce layer-2 s’est diversifié en introduisant l’OP Stack, une série d’outils conçus pour faciliter la création de chaînes L2 basées sur le code d’OP Mainnet. Ces nouvelles chaînes forment ensemble ce qu’on appelle l’écosystème Superchain, un réseau interconnecté de layers-2 qui partage les mêmes standards. Cerise sur le gâteau, Optimism a annoncé qu’il récompenserait les utilisateurs de ces Superchains avec un airdrop. Une bonne nouvelle pour les amoureux de la DeFi.

Optimism annonce son 5e airdrop

En avril 2022, Optimism a réalisé son premier airdrop marquant le lancement de son jeton OP. Depuis, le protocole a réalisé pas moins de 4 airdrop distincts, récompensant chaque fois un certain type d’utilisateur.

Mercredi 9 octobre, Optimism a annoncé la distribution de son 5e airdrop. En pratique, celui-ci vient récompenser les utilisateurs de l’écosystème Superchain.

Au total, plus de 10 millions de jetons OP ont été alloués à pas moins de 54 000 adresses uniques.

Pour être éligibles, les adresses devaient avoir réalisé des transactions de type App Transaction sur une ou plusieurs chaînes de l’écosystème Superchain. Cela comprend, entre autres, OP Mainnet, Base, Zora, Mode ou encore Orderly pour ne citer qu’elles.

Les utilisateurs devaient avoir réalisé les transactions entre le 15 mars et le 15 septembre 2024 pour être éligibles. Dans les faits, les utilisateurs devraient avoir interagi avec au moins 20 contrats différents au sein de l’écosystème Superchain.

De plus, il était possible d’obtenir des récompenses bonus en étant délégateur, un utilisateur fréquent ou encore en fonction du nombre de chaînes utilisées.

Vous pouvez consulter votre éligibilité en vous rendant sur la page dédiée du site d’Optimism : https://app.optimism.io/airdrops/5.

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Optimism : le roi des airdrops

Comme nous l’avons vu précédemment, ce n’est pas le premier airdrop réalisé par Optimism. En effet, depuis son premier airdrop de début 2022, Optimsim a multiplié les distributions.

En septembre 2023, Optimism a récompensé les participants à sa gouvernance via un airdrop de 19 millions de jetons OP.

Plus récemment, en février 2024, le protocole a distribué 10 millions d’OP aux artistes on-chain et à l’écosystème NFT des Superchain.

Mais cela n’est pas près de s’arrêter ! En effet, comme l’a précisé Optimism dans sa dernière annonce, le protocole a encore 550 millions de jetons OP pour de prochains airdrop !

De ce fait, comme le déclare très bien Optimism : « Il n’est jamais trop tard pour s’amuser onchain ». D’autant plus lorsqu’il y a des airdrops à la clé.

Comment maximiser ses chances d’être éligible aux futurs airdrops ?

Vous l’aurez compris, avec encore 550 millions d’OP à distribuer, ce n’est pas le moment de négliger Optimism et ses Superchains.

Ainsi, en se basant sur les précédents critères d’éligibilité, voici quelques stratégies pour tenter d’être éligible aux futurs airdrops d’Optimism :

Soyez actif sur les dApps de la Superchain : Interagissez régulièrement avec des applications sur plusieurs blockchains du réseau Superchain (OP Mainnet, Base, Zora, etc.) ;

Participez à la gouvernance : Déléguez vos OP à un délégué qui vote activement sur les propositions de gouvernance d’Optimism. Le montant délégué ainsi que la durée de délégation augmentent les chances ;

Effectuez des transactions régulières : Les utilisateurs qui font des transactions fréquentes sont privilégiés, comme dans les airdrops #2 et #5. Réaliser des transactions hebdomadaires ou mensuelles sur des périodes prolongées est un bon moyen de sortir du lot.

Normalement, en appliquant ces différentes stratégies, vous mettez toutes les chances de votre côté pour être éligible à l’un des prochains airdrops.

En parallèle, c’est un autre airdrop tant attendu qui a été annoncé. En effet, le layer-2 Scroll a annoncé le lancement imminent de son jeton SCR, évidemment accompagné d’un airdrop communautaire.

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Le crypto casino Lucky Block offre une montre Rolex de $50,000, 2 jours pour tenter de la remporter

La principale plateforme de crypto-casino, Lucky Block ($LBLOCK), fait monter les enchères en jetant une éblouissante montre Rolex dans la cagnotte du jackpot.

Pour participer au jackpot Rolex de 50 000 $, inscrivez-vous simplement et accomplissez une mission de pari ; même une mise de 10 $ donne droit à une chance de gagner. Les utilisateurs peuvent également rejoindre le pool en possédant un PRC NFT.

Depuis l’annonce du 4 juin, plus de 2 000 joueurs ont déjà rejoint la course au jackpot, et la dernière chance de décrocher une place pour le tour en cours se termine dans seulement deux jours.

Les joueurs peuvent participer en se connectant ou en s’inscrivant sur Telegram ou via la version Web de Lucky Block.

Just 2 days left until the $50,000 #Rolex #Jackpot!

Don’t miss your chance to win BIG with Lucky Block Casino

Enter now! https://t.co/6mheYOlTuR pic.twitter.com/qusVXvZhqX

— Lucky Block Casino (@_luckyblock) October 8, 2024

Lucky Block offre 200 USDT par jour, deux montres Rolex et une Lamborghini d’une valeur de 350 000 $ chaque année

Lucky Block s’inspire de ses racines en tant que plateforme de loterie cryptographique en offrant aux joueurs la possibilité de gagner une Rolex comme jackpot tous les six mois. Cela signifie que deux joueurs peuvent chacun gagner une Rolex de 50 000 $ par an.

Les joueurs peuvent accomplir des missions pour gagner des billets, augmentant ainsi leurs chances de gagner la montre de luxe ou connectant leur PRC NFT pour améliorer leurs chances de gagner. La détention d’un PRC NFT donne automatiquement aux utilisateurs 25 tickets.

En 2022, Lucky Block a lancé cette collection NFT, qui peut être liée à la version Telegram du casino et offre divers avantages, notamment 15 % de cashback, 40 % de commissions de parrainage, l’accès à des tournois, de gros jackpots et un programme de fidélité. Désormais, le prix Rolex est un ajout intéressant aux avantages de posséder un PRC NFT.

Mais ce n’est pas tout. Lucky Block ravive l’excitation avec une Lamborghini à couper le souffle d’une valeur de 300 000 $ dans sa prime. Le prochain tirage aura lieu dans seulement 240 jours. Le grand prix n’est offert qu’une fois par an, donc les joueurs désireux de participer au prochain tirage au sort devraient se lancer dès maintenant et commencer à accomplir ces missions.

Étant donné que ces récompenses sont limitées à quelques utilisateurs, Lucky Block propose également un pool de récompenses quotidiennes avec un prix de 200 USDT. Les tirages ont lieu tous les jours à 11 heures CET et, encore une fois, les utilisateurs disposant de NFT PRC peuvent participer.

Contrairement aux jackpots Rolex et Lamborghini, où les paris contribuent à ces cagnottes, la cagnotte de récompenses quotidienne est construite grâce à des activités telles que l’accomplissement de missions V2, le parrainage d’un ami ou l’accomplissement de tâches ponctuelles comme la création d’un compte ou l’adhésion à la communauté Telegram de Lucky Block.

Lucky Block se prépare à ajouter encore plus de récompenses et des offres de jackpot encore plus importantes pour rendre le pot encore plus intéressant qu’il ne l’est déjà.

Comment rejoindre le Rolex Jackpot : processus d’inscription et missions

Comme souligné, accomplir des missions est la clé pour augmenter les chances d’un joueur de gagner le jackpot de Lucky Block.

Pour s’inscrire, les utilisateurs peuvent créer un compte Lucky Block sur le Web et se connecter au Jackpot en utilisant leurs identifiants Lucky Block Casino.

Alternativement, ceux qui possèdent un compte Lucky Block Telegram peuvent utiliser le bouton « Se connecter avec Telegram ».

Les utilisateurs peuvent également s’inscrire directement sur le site Web du jackpot, leur permettant d’utiliser les informations de connexion exactes du site du casino.

Certaines missions incluent des activités comme créer un compte ou inviter un ami, ce qui permet de gagner des tickets. Les utilisateurs peuvent également parier ou simplement détenir des jetons $LBLOCK pour gagner des billets.

Le casino crypto et les paris sportifs de Lucky Block se sont étendus pour inclure 3 000 jeux de casino et plus de 35 marchés de paris sportifs, offrant aux utilisateurs un large éventail d’options de pari.

Les nouveaux joueurs peuvent également réclamer un bonus de 200 % sur leur premier dépôt et 50 tours gratuits sur la machine à sous populaire « Wanted Dead or a Wild ». C’est une excellente occasion de gagner des billets et potentiellement de gagner une Rolex lors du prochain tirage au sort.

Lucky Block possède une licence de jeu du gouvernement de Curaçao et est le partenaire officiel Asia iGaming du club de Bundesliga allemande VfB Stuttgart.

Il ne reste que deux jours pour obtenir un flex IG majeur.

Visitez le Lucky Block jackpot.

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Phantom Wallet prend désormais en charge le réseau Base de Coinbase

Phantom Wallet ajoute la prise en charge bêta du réseau de couche de base 2 de Coinbase.
Les utilisateurs de Phantom peuvent désormais envoyer, recevoir et acheter des ressources basées sur la base via plusieurs méthodes.
Le réseau de base est confronté à des risques de sécurité, mais Phantom renforce les fonctionnalités de protection des utilisateurs.

Phantom, le portefeuille de cryptomonnaies initialement conçu pour l’écosystème Solana, a étendu ses capacités en lançant la prise en charge bêta du réseau Base de Coinbase, une solution de couche 2 basée sur Ethereum.

Cette nouvelle fonctionnalité permet aux utilisateurs de Phantom Wallet de gérer leurs actifs numériques sur plusieurs blockchains de manière transparente, selon un article de blog publié par Phantom.

Avec des fonctionnalités telles que l’envoi, la réception et l’achat de pièces stables et de cryptomonnaies à l’aide de divers modes de paiement, Phantom vise à améliorer l’expérience utilisateur et à élargir son écosystème.

Fonctionnalités améliorées pour la gestion des actifs sur Phantom

Avec l’introduction du support Base, les utilisateurs de Phantom peuvent désormais interagir avec une gamme de fonctionnalités conçues pour faciliter une gestion efficace des actifs.

Le portefeuille permettra désormais aux utilisateurs d’envoyer et de recevoir des pièces stables basées sur Base, telles que l’USD Coin (USDC), et des crypto-monnaies comme Ethereum (ETH).

Les utilisateurs peuvent acheter ces actifs facilement en utilisant des cartes de débit et de crédit, Apple Pay ou directement via Coinbase, ce qui le rend plus accessible aux nouveaux venus comme aux passionnés de crypto-monnaies chevronnés.

Cependant, il est important de noter que cette prise en charge est actuellement en version bêta et nécessite que les utilisateurs s’y inscrivent via les paramètres de leur portefeuille.

En plus de la gestion des actifs, Phantom a intégré des fonctionnalités qui permettent aux utilisateurs d’interagir avec des applications de finance décentralisée (DeFi) et des jetons non fongibles (NFT) au sein de l’écosystème Base.

Le portefeuille met l’accent sur la sécurité avec des fonctionnalités telles que la compatibilité avec les appareils Ledger, la détection automatique du spam pour les NFT et les jetons malveillants, et la simulation de transaction pour signaler les activités suspectes, répondant ainsi aux préoccupations croissantes en matière de sécurité dans l’espace crypto.

Un écosystème en pleine croissance face aux défis sécuritaires

L’expansion de Phantom intervient à un moment où le paysage cryptographique est de plus en plus exposé aux menaces de sécurité.

Des données récentes de Trugard Labs ont révélé que le réseau Base de Coinbase a enregistré plus de 34 000 détections à haut risque dans ses contrats intelligents en août.

Le réseau a connu des vulnérabilités, notamment concernant les problèmes de signature numérique et les contrôles booléens malveillants sur les transferts de jetons.

Ces défis soulignent le besoin urgent de mesures de sécurité robustes alors que les acteurs malveillants exploitent les vulnérabilités des contrats intelligents. Néanmoins, malgré ces risques, le partenariat entre Phantom et Base signale une orientation positive pour les deux entités.

Jesse Pollak, créateur de Base et récemment nommé à la tête du portefeuille Coinbase en tant que vice-président de l’ingénierie chez Coinbase, souligne la vision partagée entre Base et Coinbase de simplifier l’expérience en chaîne pour les utilisateurs.

Il a exprimé son enthousiasme pour le nouveau rôle et la mission d’amener un milliard de personnes et un million de constructeurs sur la blockchain.

Alors que l’espace crypto continue d’évoluer, l’intégration de Phantom avec Base représente une étape importante vers l’élargissement de sa base d’utilisateurs tout en répondant au besoin urgent de sécurité et d’accessibilité dans l’écosystème décentralisé.

Avec la popularité croissante des solutions de couche 2 comme Base, l’avenir semble prometteur pour Phantom et ses utilisateurs alors qu’ils naviguent dans le paysage complexe des crypto-monnaies.

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Infinex intègre Wormhole pour alimenter une application DeFi multi-chaînes

Infinex intègre Wormhole Connect pour les transferts de jetons multi-chaînes intégrés à l’application pour ses utilisateurs.
La plateforme DeFi utilisera également les requêtes Wormhole pour renforcer la sécurité et la récupération des actifs inter-chaînes.

Infinex, une plateforme qui cherche à amener plus d’utilisateurs vers l’espace financier décentralisé via un accès multi-chaînes aux protocoles et aux applications, a choisi Wormhole comme principal fournisseur d’interopérabilité.

Le projet fondé par le créateur de Synthetix, Kain Warwick, utilisera la technologie de Wormhole pour alimenter les transferts de jetons dans l’application pour ses utilisateurs.

Selon une annonce du 7 octobre, Infinex s’appuiera sur Wormhole Connect et Wormhole Queries pour dynamiser les transferts de jetons.

« La vision d’Infinex est de simplifier la finance décentralisée en créant une expérience utilisateur multi-chaîne transparente et en fournissant le moyen le plus sûr d’accéder à la chaîne », a déclaré Kain Warwick, fondateur d’Infinex.

This is only the beginning…@infinex_app 🤝 @wormhole

Stay tuned for more 🧡 pic.twitter.com/eo3iJ1G9EV

— Infinex (@infinex_app) October 7, 2024

Efficacité et adoption de la DeFi

Les fonctionnalités de Wormhole qui profiteront également à Infinex sont l’efficacité et l’adoption croissante dans l’écosystème de la finance décentralisée.

L’infrastructure d’interopérabilité de la plateforme connecte actuellement plus de 30 blockchains. Les protocoles ont exploité Wormhole pour alimenter plus d’un milliard de messages inter-chaînes et des transferts d’actifs d’une valeur de plus de 45 milliards de dollars.

Les principaux acteurs du secteur qui tireront parti de l’intégration de Wormhole sont la société de valeurs mobilières d’actifs numériques Securitize, la bourse décentralisée Uniswap, l’émetteur de l’USDC Circle et le géant de la gestion d’actifs BlackRock.

Worldcoin exploite également Wormhole pour son intégration World ID sur Solana .

L’intégration avec Wormhole fait suite à la récente vente de NFT d’Infinex pour 65,2 millions de dollars qui a attiré Solana Ventures, Moonrock Capital, Framework Ventures et Wintermute.

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L’Intelligence Artificielle est-elle digne de confiance ? Éthique et réglementation dans l’IA et le Web3

Dans notre monde moderne, deux technologies révolutionnaires ont bouleversé notre manière de voir les choses : l’Intelligence Artificielle (IA) et le Web 3.0. 

Jadis confinées aux pages de la science-fiction, ces innovations sont désormais des outils indispensables au quotidien. L’IA s’est incrustée dans tous les secteurs, de la sécurité à la santé en passant par le juridique, offrant aux entreprises des moyens d’améliorer leur productivité de manière exponentielle.

Parallèlement, le Web 3.0, reposant sur la blockchain, a ouvert un horizon de possibilités pour les petites et moyennes entreprises, transformant les modèles de gouvernance traditionnels grâce à un espace décentralisé qui élimine les intermédiaires de confiance. Cependant, cette révolution technologique s’accompagne de défis majeurs en matière d’éthique et de réglementation.

L’IA, en traitant des volumes massifs de données personnelles, pose plusieurs questions concernant la confidentialité et la sécurité des informations. L’utilisation de ces données pour personnaliser les résultats expose les utilisateurs à des risques de divulgation non autorisée à des fins commerciales ou publicitaires, et les biais algorithmiques peuvent entraîner des conséquences néfastes sur les individus. La bonne gouvernance de l’IA, intégrant les leçons et les meilleures pratiques de diverses juridictions mondiales, est devenue l’un des enjeux les plus pressants de notre époque.

De son côté, le Web 3.0, avec ses structures décentralisées comme les organisations autonomes décentralisées (DAO), propose de nouveaux modèles de gouvernance démocratique et inclusifs, mais il soulève également des questions de sécurité et de conformité. Maintenir un équilibre entre innovation technologique et protection des données personnelles représente un grand défi pour ces systèmes émergents.

Nous allons explorer les dimensions éthiques et les cadres réglementaires de l’IA et du Web 3.0, soulignant la nécessité d’une régulation stricte et d’une gouvernance responsable pour assurer une utilisation sécurisée, éthique et conforme de ces technologies révolutionnaires.

Défis éthiques et pratiques de l’intelligence artificielle : de la confidentialité des données aux biais algorithmiques

Dans le monde moderne où l’IA est omniprésente, la confidentialité des données devient un enjeu complexe. Les entreprises doivent non seulement être des visionnaires technologiques, mais aussi des gardiens vigilants de la confidentialité des données. Cette responsabilité nécessite une approche qui intègre des solutions techniques avancées, des protocoles opérationnels solides et une conscience aiguë des implications éthiques.

IA digne de confiance

Pour qu’un système d’IA soit considéré comme digne de confiance, il doit respecter quatres caractéristiques essentielles tout au long de son cycle de vie :

être licite,

être conforme à la législation en vigueur,

être éthique en adhérant à des principes et valeurs morales tel que le respect des droits fondamentaux,

être robuste tant sur le plan technique que social, en garantissant la fiabilité, la sécurité et la minimisation des préjudices involontaires.

Ainsi, les systèmes d’IA doivent répondre à sept exigences : la supervision humaine, la sécurité technique, le respect de la vie privée et la gouvernance des données, en veillant à la qualité et à l’intégrité des données et en garantissant un accès légitime à celles-ci.

Le Conseil de l’Europe a adopté un traité international visant à garantir que les activités liées à l’IA respectent les droits fondamentaux, la démocratie et l’État de droit. Ce traité exige que l’IA soit respectueuse des droits fondamentaux à toutes les étapes, de la conception au développement, en passant par la collecte des données, particulièrement dans les domaines sensibles tels que la santé, la sécurité et l’emploi. D’autre part, il impose une exigence de transparence, obligeant à informer les utilisateurs lorsqu’ils interagissent avec des systèmes d’IA et il prévoit également que les États mettent en place des voies de recours permettant aux utilisateurs de contester les décisions prises par une IA, assurant ainsi une protection juridique aux personnes potentiellement affectées par ces systèmes.

Le Conseil de l’Europe adopte le premier traité international sur l’intelligence artificielle – Source

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Différentes réglementations applicables

Les réglementations actuelles, telles que le RGPD le DMA et le DSA ne s’appliquent qu’indirectement à l’IA et ne couvrent pas toutes les problématiques ni tous les usages de l’IA. Le RGPD encadre l’utilisation des données personnelles par les IA et permettent un certain contrôle, telle que l’obligation des entreprises à mettre en œuvre des mécanismes internes pour être en conformité avec la réglementation européenne et à démontrer cette conformité à tout moment par le biais du principe d’accountabitlity. 

Le DSA de son côté, entièrement applicable depuis le 17 février 2024, pose des règles importantes pour les plateformes en ligne. Bien que le DSA ne se concentre pas spécifiquement sur l’IA, il a un impact significatif sur les systèmes d’IA utilisés par ces plateformes surtout en luttant contre la haine, la désinformation et en mettant en œuvre des mesures de vigilances concernant la publicité ciblé.

 Le DMA, qui vise à lutter contre les pratiques anticoncurrentielles des contrôleurs d’accès « gatekeepers », les GAFAM plus spécialement, et à corriger les déséquilibres que ces acteurs ont causés sur le marché numérique européen, peut aussi être appliqué aux systèmes d’IA.

La déclaration de Benoit Coeuré, président de l’Autorité de la concurrence, met en lumière une préoccupation croissante concernant les implications potentielles de l’IA sur la concurrence : « l’IA a le potentiel de devenir le musée des horreurs de l’anti-trust si on ne fait rien ». En effet, le développement de systèmes d’IA nécessite une puissance de calcul considérable et l’accès à de vastes ensembles de données, des ressources que les grandes entreprises technologiques comme Google, Amazon et Facebook possèdent en abondance. Cette capacité pourrait leur permettre de monopoliser le marché de l’IA, restreignant ainsi la concurrence et entravant l’innovation.

Ainsi, l’amende imposée par l’Autorité de la concurrence française à Google en juillet 2023 illustre une préoccupation croissante concernant les pratiques anticoncurrentielles potentielles liées à l’utilisation de l’IA. Dans ce cas précis, Google, à travers son service d’intelligence artificielle Bard (maintenant Gemini), a été sanctionné pour avoir utilisé des contenus provenant d’éditeurs et d’agences de presse sans leur consentement explicite et sans proposer une solution technique leurs permettant d’exercer leur droit d’opt-out, ni rémunération adéquate.

Cette pratique a été interprétée comme limitant la capacité des éditeurs à négocier une juste rémunération pour l’utilisation de leurs contenus par Google, ce qui constitue une entrave à la libre concurrence.

L’amende significative de 250 millions d’euros reflète la gravité de ces infractions aux règles de la concurrence. Elle vise non seulement à sanctionner Google pour ses actions présumées, mais aussi à dissuader d’autres entreprises de pratiquer des comportements similaires qui pourraient compromettre l’équité du marché et l’innovation dans le domaine de l’IA.

L’adoption de l’IA Act

Comme on peut le constater, différentes réglementations peuvent s’appliquer sur les systèmes d’IA, mais ces règles ne sont pas toujours suffisantes pour encadrer son développement et son utilisation. Ainsi, l’UE a adopté l’IA Act, un règlement qui marque une avancée majeure dans la régulation de l’utilisation de l’IA. Ce cadre juridique, le premier de son genre, vise à équilibrer l’innovation technologique avec la protection des droits fondamentaux et la sécurité des utilisateurs.

Le règlement établit un système de classification des risques associés aux systèmes d’IA, allant de minimal à inacceptable, et impose des obligations proportionnées aux entreprises selon le niveau de risque.

Prenons l’exemple de la notation sociale, un système d’IA interdit par le règlement car considéré comme contraire aux droits fondamentaux et à la dignité humaine. Ce système évalue et classe les individus en fonction de leur comportement social, entraînant ainsi un traitement préjudiciable. Par exemple, en Chine si ces personnes ont été considérées comme indignes de confiance, le système de crédit social utilise ces notes pour restreindre l’accès des individus à certains services, tels que les aides sociales, l’accès au crédit, en raison d’un score trop bas. 

Problématiques d’algorithmes aux variables discriminatoires

L’IA présente également des problèmes de biais discriminatoires, tels que la discrimination basée sur le sexe, la couleur de peau ou la nationalité. Un autre exemple est lié à Google Gemini, dans son effort pour prendre en compte les problèmes d’égalité raciale, qui a fini par produire des résultats inverses. Plusieurs utilisateurs se sont plaints de cette tendance à la diversité, la percevant comme une forme de racisme anti-blanc ou de propagande “woke”. Par exemple, l’écrivain Frank J. Fleming a écrit sur X : « Nouveau jeu : essayez de demander à Google Gemini de créer une image d’un homme de race blanche. Je n’ai pas réussi jusqu’à présent. ».

Par ailleurs, une obligation de vigilance pèse aussi sur les utilisateurs des IA. Les chatbots peuvent parfois inventer des faits, ce qui peut nuire à la réputation de certains professionnels ou entraîner des situations humiliantes. Un exemple de mauvaise utilisation de l’IA est illustré par un incident survenu en 2023. Un avocat new-yorkais avait utilisé ChatGPT pour effectuer des recherches juridiques dans le cadre d’une affaire de préjudice corporel. Il a rédigé un mémoire de dix pages, citant plusieurs décisions de justice antérieures, qui se sont révélées être entièrement fabriquées par le chatbot.

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Web 3.0 et régulation : vers une nouvelle ère de transparence et d’autonomie numérique

L’industrie du Web 3.0 se caractérise par des principes de protection, de transparence, de fiabilité et d’efficacité. Le secteur des PME en France affiche une grande diversité d’activités, allant de la tokenisation et la sécurité, à la conservation d’actifs et aux NFT, démontrant ainsi la capacité d’innovation et d’adaptation des entreprises françaises aux besoins du marché.

Au niveau de la réglementation, tant en Europe qu’en France, les législateurs travaillent à encadrer et réguler cet univers encore largement complexe. Au niveau européen, le règlement MiCA, qui entre pleinement en application à la fin de l’année, instaure des règles de marché uniformes dans l’UE pour les crypto-actifs. Le règlement couvre les crypto-actifs qui ne sont pas régulés par la législation existante sur les services financiers. Les principales dispositions pour les acteurs qui émettent et négocient des crypto-actifs, y compris les stablecoins, concernent la transparence, la divulgation, l’autorisation et la supervision des transactions. Le nouveau cadre juridique soutiendra l’intégrité du marché et la stabilité financière en régulant les offres publiques de crypto-actifs et en veillant à ce que les consommateurs soient mieux informés des risques qui y sont associés. 

En France, la loi SREN a été mise en place pour réguler l’espace numérique, avec un accent particulier sur les jeux à objets numériques monétisables (JONUM) qui se réfèrent aux jeux Web 3.0 basés sur un système de « play to earn ».

Cette loi crée un cadre légal spécifique pour ces jeux, les distinguant des jeux de hasard, généralement interdits. Le régime dérogatoire pour les JONUM a été conçu pour offrir une régulation plus adaptée et équilibrée, tout en assurant la protection des consommateurs et la lutte contre la fraude.

Les technologies Web 3.0 ne représentent pas seulement un nouveau terrain de développement pour l’apparition de nouveaux acteurs sur le marché, mais à travers la blockchain elles introduisent également un système de stockage et d’échange de valeur de pair à pair qui supprime les intermédiaires et redonne sa souveraineté à l’utilisateur et retire le pouvoir des mains des entités centralisatrices.

En réduisant l’influence des « gatekeepers », le Web 3.0 permet de transformer le modèle économique d’internet en introduisant la notion de « propriété » en ligne. Cela donne aux citoyens et aux entreprises la possibilité de reprendre le contrôle de leurs propres données, sans que ces géants numériques puissent les exploiter à des fins de profit ou de publicité.

Par ailleurs, un nouveau système de gouvernance est apparu en soutenant, par exemple, l’instauration du vote électronique par les DAO (Organisations Autonomes Décentralisées). Ce système basé sur la blockchain permet aux personnes de se coordonner et de se gouverner elles-mêmes grâce à des règles auto-exécutables déployées sur une blockchain.

Par conséquent, l’UE s’engage déjà pleinement au niveau de la régulation. Cependant, la question se pose toujours de savoir comment assurer une application effective de toutes ces règles. Les systèmes d’IA et le Web 3.0 pourraient jouer un rôle essentiel en facilitant leur mise en œuvre.

IA et blockchain : Renforcement des régulations et préservation de la confiance numérique

Le Web 3.0 soutient ainsi les objectifs du RGPD et pourrait être reconnu comme un outil fiable et sécurisé dans les réglementations relatives à la protection des données personnelles, grâce à l’anonymat qu’il offre.

Les blockchains offrent une solution pour certifier l’authenticité et la traçabilité d’une information, ce qui permet de lutter de façon plus efficace contre la désinformation et les contenus illégaux. De plus, les NFT permettent de protéger les œuvres d’art et les droits d’auteur en enregistrant sur la blockchain leurs créations. Chaque œuvre est associée à un identifiant unique qui sert de certificat d’authenticité et facilite la mise en œuvre du droit de suite, assurant une rémunération continue aux créateurs lorsque leurs œuvres sont revendues.

L’IA joue également un rôle important dans l’amélioration de la blockchain. Elle peut optimiser l’audit des codes des smart contracts afin de détecter les potentielles failles, et analyser les vastes quantités de données générées par les blockchains pour détecter les fraudes.

Ce partenariat IA et blockchain peut être un outil pertinent pour l’exécution des règlementations et les autorités pour préserver un espace de confiance dans ce système

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Telegram va permettre à ses utilisateurs de convertir leurs cadeaux en tokens non fongibles (NFT)

Grâce à sa nouvelle fonctionnalité, Telegram invite ses utilisateurs à acheter des « cadeaux virtuels » à leurs amis afin de célébrer un évènement. Dans les prochaines semaines, ces offrandes pourront même être converties en tokens non fongibles (NFT) basés sur la blockchain TON.

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Bitcoin : Le paradoxe de l’adoption grandissante du BTC

Adopte-moi si tu peux. Le Bitcoin évolue – et résiste – au rythme effréné des innovations du secteur des cryptomonnaies. Une course en avant qui lui a récemment valu de se voir transformé en copie d’Ethereum, avec l’arrivée des jetons ERC-20 et autres NFT Ordinals. Mais une autre étape d’envergure vient également d’être franchie en janvier dernier, avec l’approbation historique de ses ETF au comptant par la SEC des États-Unis.

Un simple changement de paradigme pour certains, mais un véritable paradoxe au regard de ses origines Cypherpunk et libertaires. Car comment justifier que le BTC soit passé d’un projet de monnaie autonome et décentralisée au dernier joujou à la mode de sociétés comme BlackRock ? Cela au point d’avoir possiblement réduit à néant les records volatils de la première des cryptomonnaies…

Bitcoin : de monnaie numérique à actif risqué

Le Bitcoin est en train de vivre un changement de cap décisif, fortement marqué par la récente approbation des ETF au comptant made in US. Car depuis cette période, les acteurs de la finance traditionnelle ont fait du BTC leur nouvel actif risqué de référence, avec un succès sans équivalent sur les 30 dernières années.

Une évolution étrangement soutenue par une importante majorité de maximalistes du Bitcoin. Il faut dire que les rendements promis peuvent paraître plus attractifs que le fait de défendre les idéaux historiques inscrits en toutes lettres dans son white paper par Satoshi Nakamoto. Surtout si l’on considère que la chaîne HBO doit prochainement révéler son identité au grand jour.

La révolution du Bitcoin serait-elle morte avec l’approbation des ETF au comptant ?

« Le commerce sur Internet en est venu à reposer presque exclusivement sur les institutions financières agissant comme tiers de confiance afin de traiter les paiements électroniques. Alors que le système fonctionne suffisamment bien pour la plupart des transactions, il souffre de faiblesses inhérentes au modèle de confiance ».

White paper du Bitcoin

En effet, il s’agit à la base d’un « système de paiement électronique pair-à-pair ». C’est-à-dire en capacité d’effectuer « des paiements en ligne directs d’une partie à l’autre sans passer par une institution financière ». Mais ça, c’était l’objectif en 2009.

Une vocation récemment remise en cause par le très (trop) enthousiaste Michael Saylor. Car sa société MicroStrategy est en train d’acquérir plus de 1 % de la supply du BTC pour gonfler une trésorerie moribonde. Cela tout en annonçant à qui veut bien l’entendre que le statut de monnaie du Bitcoin serait finalement un « malentendu fondamental ».

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D’alternative au dollar à solution pour la dette américaine

Un pari gagnant, en termes de performances. Mais un échec cuisant, si l’on considère que le Bitcoin avait pour vocation d’échapper aux instances qui sont en train d’en prendre le contrôle. Cela au point d’être envisagé par le candidat Donald Trump comme une solution pour régler le problème de la dette américaine. Qui aurait pu l’imaginer !

Et la frontière dressée par Satoshi Nakamoto entre finance traditionnelle et Bitcoin s’efface inexorablement, au détriment de ses valeurs initiales. Avec le risque évident de voir sa volatilité légendaire tenue en laisse par le patron de BlackRock. Ce dernier devenu le défenseur improbable de son statut de « monnaie alternative mondial émergente ». La boucle est bouclée…

L’arrivée de BlackRock sur le marché du Bitcoin est-elle réellement une bonne chose ?

Car les instances de contrôle ont cette capacité à absorber ce qui les rejette pour en faire un nouvel élément de leur succès toujours plus important. Ce qui pourrait donner à terme un BTC totalement corrélé aux mouvements du marché des actions. Et des maximalistes du Bitcoin en train de surveiller les déclarations du président de la Banque centrale des États-Unis (Fed). Et personne ne semble saisir l’ironie en cours ?

De réseau décentralisé à sociétés cotées en bourse

Dans le même temps, les sociétés minières deviennent des géants cotés en bourse. Avec le risque de voir le réseau du Bitcoin perdre son indépendance vis-à-vis des exigences de censure imposées par ceux qui en détiennent les clés réglementaires… ou financières.

Car il suffira ensuite de faire trembler les dividendes des actionnaires pour que ces entreprises décident de suivre les recommandations des instances de contrôle, comme l’Office of Foreign Assets Control (OFAC) des États-Unis.

Le réseau du Bitcoin est-il résistant à la cupidité ?

Il suffit de se remémorer la politique du Bitcoin « propre » menée par le géant Marathon Digital en 2021. Ce qui consistait alors à exclure de la validation de ses blocs toutes les transactions « figurant sur la liste des ressortissants spécialement désignés et des personnes bloquées (SDN) du département américain du Trésor ». Une question déjà très polémique à l’époque…

« Bien que nous appréciions l’appétit de certains mineurs pour le traitement des transactions sans discernement, nous sommes convaincus qu’en tant que société cotée en bourse basée aux États-Unis et visant à permettre une adoption plus institutionnelle du Bitcoin, il est de notre responsabilité de suivre la réglementation américaine. Nous pensons qu’une telle exploitation minière conforme à la réglementation nous permettra de produire du Bitcoin propre ».

Merrick Okamoto, PDG de Marathon Digital

Quel avenir pour le Bitcoin ?

Des interrogations récemment soulevées par Jason Dehni, cofondateur de la plateforme DeFi Credbull, dans les colonnes du média crypto CoinTelegraph. Avec la perspective d’éviter au Bitcoin de devenir une cryptomonnaie à vocation dystopique, comme cela était déjà envisagé en 2020.

« Le destin dystopique n’est pas un résultat inévitable. La responsabilité d’agir, avec un but, incombe toujours aux natifs du secteur des cryptomonnaies, et plus précisément à ceux qui prétendent être maximalistes du Bitcoin ».

Jason Dehni

Car l’arrivée de la finance traditionnelle et de ses accointances boursières dans l’équation Bitcoin change définitivement la donne. Et elle pose notamment la question de savoir quelle vision l’on souhaite soutenir dans le cadre du développement à venir de cette cryptomonnaie emblématique.

Le Bitcoin se trouve actuellement à la croisée des chemins. Un constat effectué jusque dans le déroulé de son bull run actuel, possiblement inscrit comme la première édition d’une version « Supercycle » débarassée de son lien aux halvings. Deviendra-t-il un nouvel actif au service de la finance traditionnelle. Ou saura-t-il rester cette monnaie numérique hors de tout contrôle ? Le débat est loin d’être terminé…

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Solana vs Ethereum : Le match de boxe des blockchains

Solana et Ethereum sur le ring. Dans notre écosystème, la compétition est parfois rude. Aussi féroce qu’un match de boxe. Et, dans le calme de l’actualité du moment, 2 blockchains semblent mener sur le ring un long combat. À gauche, le challenger au coup de poing rapide, Solana, qui fait un retour explosif avec ses memecoins — Bonk en tête — et des transactions en rafales. À droite, le champion établi, Ethereum, reconnu pour sa solidité et sa sécurité à toute épreuve, mais que certains commencent à trouver un peu lourd sur les pieds. Alors que Sygnum Bank se demande si Solana pourrait bientôt « sérieusement challenger » Ethereum, c’est peut-être l’heure de regarder ces deux poids lourds de la crypto se mesurer sur le ring. Alors, qui est le vrai champion ? Que le match commence !

À ma gauche : Solana, le poids léger rapide et agile

Solana, représentée par son token SOL, s’impose comme la blockchain aux performances impressionnantes. Sa vitesse de traitement des transactions et ses faibles coûts font de Solana une favorite parmi les nouveaux entrants sur le marché, surtout les entreprises cherchant une infrastructure évolutive et rentable.

La technologie de Solana d’abord est un des atouts de la blockchain. En effet, Solana se distingue par son mécanisme de consensus unique, le Proof of History (PoH). Contrairement à Ethereum qui utilise le Proof of Stake (PoS), le PoH de Solana permet de générer des timestamps vérifiables, créant une chronologie précise et accélérant le traitement des transactions. Grâce à ce système, Solana peut atteindre des vitesses impressionnantes, idéales pour les applications nécessitant une grande rapidité, comme les paiements en temps réel et les jeux décentralisés. En effet, PoH permet à Solana de traiter environ 65 000 transactions par seconde, rendant son infrastructure particulièrement adaptée aux environnements de haute performance

Côté adoption institutionnel, les performances de la blockchain sont présentes, mais encore timides et jeunes. Toutefois, ne prenons pas parti. Solana attire de plus en plus d’institutions, séduites par ses coûts réduits et sa scalabilité. Visa et Franklin Templeton ont récemment testé Solana pour les règlements de transactions et la tokenisation d’actifs, respectivement. De plus, Solana a prouvé sa capacité à traiter des stablecoins comme le USDC avec une efficacité notable. Si Ethereum reste le leader historique pour les applications de finance décentralisée et la tokenisation d’actifs réels, la flexibilité de Solana et sa capacité à réduire les frais attirent désormais des acteurs plus conservateurs qui pourraient privilégier ces caractéristiques pour leurs déploiements futurs

Du côté des critiques, elles sont nombreuses. Nous retiendrons pour ce match les reproches récents formulés par Edward Snowden. En effet, ce dernier a exprimé des inquiétudes sur la centralisation du réseau, qui pourrait le rendre vulnérable à une ingérence externe. La centralisation découle partiellement de la haute puissance de calcul requise pour le PoH, ce qui limite la participation des nœuds et pourrait concentrer le pouvoir entre les mains de quelques acteurs dominants. Ce risque pourrait compromettre la sécurité et l’indépendance de la blockchain

À ma droite : Ethereum, le poids lourd au palmarès bien rempli

Ethereum, quant à elle, se présente comme un vétéran expérimenté de la blockchain, avec un palmarès impressionnant et une capitalisation de marché bien supérieure à celle de Solana.

Depuis sa transition vers le Proof of Stake (PoS) en 2022 avec « The Merge », Ethereum a su réduire considérablement sa consommation énergétique, rendant le réseau plus écologique par rapport à son ancien mécanisme Proof of Work (PoW). Ce choix technologique permet de sécuriser le réseau tout en diminuant la barrière d’entrée pour les validateurs. Autant d’éléments qui font quel a blockchain est solide sur ses appuis.

Par ailleurs, concernant l’adoption institutionnelle, Ethereum est le leader incontesté pour la tokenisation des actifs réels et les stablecoins. Il détient 81 % du marché des actifs réels tokenisés et 49 % des stablecoins, ce qui témoigne de sa popularité dans le secteur de la finance décentralisée. Les institutions préfèrent Ethereum pour sa sécurité et sa capacité d’accueil de contrats intelligents complexes, faisant de cette blockchain une référence pour les projets à grande échelle. La compatibilité avec de multiples applications, telles que les NFT et la DeFi, consolide sa place de choix pour les innovations technologiques. Les titans de Wall Street en on meme fait un produit d’investissement via leurs ETF ETH validés, il n’y a pas si longtemps par la SEC aux USA.

Malgré ses nombreux avantages, Ethereum fait face à des problèmes de frais de transaction élevés, particulièrement en période de forte demande. Les coûts peuvent rapidement grimper, dissuadant les utilisateurs de petite envergure et rendant la blockchain moins accessible. Par ailleurs, la vitesse relative d’Ethereum, avec environ 15-20 transactions par seconde, est nettement inférieure à celle de Solana, créant un goulot d’étranglement qui pourrait poser problème si le réseau continue de croître sans solutions de scalabilité adéquates comme les rollups et la migration vers des shards .

Solana contre Ethereum : Et le Gagnant est…

Solana tape fort et vite avec des transactions éclairs, idéal pour des applications comme les micropaiements. Ethereum, quant à elle, joue la carte de la fiabilité avec une base d’utilisateurs solide et un écosystème mature. Sa droite ne pardonne pas.

Technologie et scalabilité : La rapidité de Solana attire, mais Ethereum, avec son écosystème plus vaste, a un avantage stratégique pour les développeurs et investisseurs.

Sécurité et stabilité : Ethereum est toujours perçu comme plus sécurisé, un point non négligeable pour les institutionnels. Solana devra prouver qu’elle peut rivaliser sur ce terrain.

Adoption et partenariats : Avec Visa, PayPal et Franklin Templeton dans son coin, Solana prouve qu’elle séduit, même si Ethereum reste incontournable.

Au final, déterminer un vainqueur est difficile. Ethereum et Solana ont tous deux des forces et des faiblesses. Ethereum peut compter sur sa stabilité éprouvée et son réseau de développeurs, tandis que Solana attire par sa rapidité et son faible coût. Ce match n’aura probablement pas de gagnant unique, chaque blockchain ayant sa propre place dans l’écosystème.

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CryptoPunk vendu 56 millions: une pub pour un memecoin?

L’annonce, jeudi soir, de la vente d’un NFT CryptoPunk pour 56,3 millions de dollars (24 000 ETH) a pris l’écosystème Web3 par surprise. Mais l’analyse de cette vente a révélé certains détails qui amènent à questionner l’authenticité de cette transaction. Vraie vente, fausses intentions La nouvelle a fait l’effet d’une bombe au sein de l’écosystème…

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NFT : Un CryptoPunk vendu pour 56 millions de dollars… ou pas !

Un record de trop. La plupart des secteurs associés aux cryptomonnaies connaissent des moments d’euphorie spéculative saisonniers. Une réalité qui oblige à bien comprendre que tout ce qui n’est pas Bitcoin – ou certains projets réputés (très) solides – peut redescendre aussi rapidement qu’il est monté. C’est, par exemple, le cas du marché des NFT, très populaire lors du bull run de 2021/2022. En effet, quelques années plus tard 96 % des collections lancées sont considérées comme mortes et enterrées. Une réalité qui épargne, plus ou moins, les projets emblématiques comme les CryptoPunks. Mais que faut-il penser de la vente record de l’exemplaire #1563 pour 56 millions de dollars ?

NFT : un marché en lente agonie

Le marché des NFT fonctionne comme tous les autres secteurs associés aux cryptomonnaies. Avec des projets phares supposément plus résilients, et d’autres – pour ne pas dire la plupart – inscrits dès leur création dans une sorte d’obsolescence numérique programmée.

C’est la raison pour laquelle le bilan n’est pas très positif, quelques années après la forte euphorie de 2021/2022. Car la plupart de collections lancées sont retombées comme un soufflet. Et les quelques projets emblématiques, comme les CryptoPunks ou les Bored Ape Yacht Club (BAYC), semblent vivre une longue agonie sans fin.

500 NFT Index (YTD) – CryptoSlam

Un désintérêt évident dont la principale preuve est une activité au point mort. Avec comme seule véritable actualité récente une énième collection improbable lancée par le candidat Donald Trump. Tout un symbole…

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Un CryptoPunk vendu pour 56 millions de dollars 
?

Pourtant, quelques opérations continuent de se comptabiliser en millions de dollars. Mais cette fois sur le réseau Bitcoin, devenu malgré lui le support des fameux Ordinals… encore assez récents pour attiser les convoitises. Toutefois, une récente opération record vient soulever quelques interrogations au sujet d’un retour en force des CryptoPunks… ou pas !

L’opération a été signalée hier à la surprise générale. L’exemplaire #1563 de la célèbre collection des CryptoPunks aurait change de main pour la somme astronomique de 56 millions de dollars (24 000 ETH). Pour donner un ordre de grandeur, cette somme représente 3 fois le montant de précédent record fixé à 8000  ETH en février 2022.

Mais rapidement, des doutes sont apparus sur l’origine de cette vente et sa portée effective. Notamment car le marché des NFT est connu pour être passé maître dans le domaine de wash trading et de la manipulation des prix, à l’aide de plateformes comme Blur.

Une vente pour promouvoir un memecoin ?

Car, en y regardant de plus près, cette opération a été réalisée à l’aide d’un prêt flash effectué sur la plateforme DeFi Balancer. Et les 24 000 ETH concernés sont immédiatement retournés à leur point de départ, pour une transaction « sans profit » finalement réglée à 54 $ !

« Il n’y a eu aucun bénéfice – rien n’a changé de mains, à part le gas (54 $ pour déployer les deux contrats et les exécuter). Cette fois, il semble s’agir d’une tentative de com pour un memecoin Kamala Harris Punks. Un jeton ERC20 récemment déployé, qui a une prévente ouverte pendant environ 1 semaine. » 

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Cette vente record serait une simple opération de com destinée à faire la promotion d’un énième memecoin éclaté. Le tout dans la lignée directe des jetons politiques de ce type qui pullulent en parallèle des élections présidentielles US. Une affaire à ne pas suivre…

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