Solana (SOL) voit une forte baisse d’activité sur son réseau après l’excès de folie des memecoins

Un Pump&Dump de plus ? La blockchain Solana (SOL) a connu une croissance fulgurante depuis plusieurs mois, en grande partie grâce à l’engouement autour des memecoins. Cependant, cette même tendance pourrait bien être en train de jouer contre elle. En effet, une série de scams et de rug pulls impliquant des memecoins basés sur Solana a ébranlé la confiance des investisseurs, entraînant une chute significative de l’activité sur le réseau.

Les points clés de cet article :
La blockchain Solana a subi une chute importante de 40 % du nombre d’utilisateurs actifs, principalement à cause des scams et rug pulls liés aux memecoins. De nombreux investisseurs ont transféré leurs fonds vers Ethereum et Arbitrum, mais certains restent optimistes sur la capacité de Solana à se redresser.
Pour vous offrir le meilleur prix, SwissBorg agrège les offres des plus grands acteurs du marché. Créez votre compte SwissBorg !




Lien commercial

Solana en déclin à cause des memecoins déchaînés : une baisse de 40 % des utilisateurs actifs

Selon les données récentes de Glassnode, le nombre d’adresses actives sur le réseau Solana est passé d’une moyenne hebdomadaire de 15,6 millions en novembre 2024 à seulement 9,5 millions en février 2025.

Cela représente une baisse de près de 40 % de l’activité enregistrée. Cette diminution est principalement due à la méfiance croissante des investisseurs envers les memecoins émis sur la blockchain SOL.

En plus d’être un véritable casino aux jeux de hasard pouvant autant permettre à certains (peu) de s’enrichir et à (beaucoup) d’autres de perdre leur argent, de véritables arnaques sont mises en place. Notamment des scams de type rug pulls, où des créateurs de memecoins disparaissent en « tirant le tapis sous les pieds » (c’est-à-dire, en prenant l’argent) des investisseurs qui ont fait l’erreur de leur faire confiance.

Un mal pour un bien : fuite des capitaux sur Ethereum, mais recadrage du réseau SOL ?

Face à ces problèmes, de nombreux investisseurs ont commencé à transférer leurs fonds vers d’autres blockchains jugées plus stables. Ainsi, selon les données de Debridge, les réseaux Ethereum (ETH) et Arbitrum (ARB) sont ceux qui semblent avoir le plus récolté les fuites de capitaux depuis Solana.

Ethereum et Arbitrum on profité du récent déclin de Solana due aux désintérêt pour les memecoins. – Source : app.debridge.finance/analytics

Les memecoins, qui avaient initialement attiré de nombreux investisseurs, sont désormais perçus comme trop risqués. Mais est-ce un mal pour un bien ? Malgré ces difficultés, certains observateurs restent optimistes quant à l’avenir de Solana. Selon l’analyste d’alpha please surnommé Aylo sur X, cette « purge » pourrait même en fait être bénéfique à long terme :

« La technologie de Solana est si performante qu’elle a attiré un grand nombre de criminels.
La technologie est neutre, mais les humains ne le sont pas.
Les employés des protocoles clés ont probablement été corrompus, parce que c’est ce qui arrive aux humains lorsqu’ils ont la possibilité de gagner d’énormes sommes d’argent en peu de temps, et qu’ils pensent qu’il n’y aura pas de conséquences [à leurs méfaits].
Des choses similaires se sont produites lors du dernier cycle [de 2021] avec [des hackers et scammers qui s’en sont pris] à OpenSea [et aux NFT], à Coinbase, et à d’autres. C’est une histoire qui se répète sans cesse.
Mais si Solana parvient à surmonter cette crise, et à renforcer la sécurité de son réseau, il pourrait bien en ressortir plus fort. (…) »

Aylo

L’analyste pense ainsi que les performances du réseau Solana attireront toujours suffisamment de développeurs et de projets innovants pour voir « une reprise de l’activité dans les mois à venir ». Il se pourrait aussi que des ETF Solana au comptant se précisent, ce qui devrait grandement aider à redorer l’image de ce réseau blockchain.

Vous cherchez à acheter les cryptos avant tout le monde ? Au meilleur prix ? Et bien évidemment seulement les meilleurs projets ? En devenant affilié JDC via notre lien partenaire, de nombreuses offres exclusives vous attendent tout au long de l’année sur SwissBorg !




Lien commercial

L’article Solana (SOL) voit une forte baisse d’activité sur son réseau après l’excès de folie des memecoins est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Applications crypto originales : les must-have des investisseurs

Des applications crypto nécessaires. L’univers de la blockchain et des cryptomonnaies est bien plus vaste et fascinant que ce que l’on imagine souvent. Au fur et à mesure qu’il se démocratise, de plus en plus d’applications voient le jour pour répondre à des besoins concrets et simplifier la vie des utilisateurs. Et si vous pouviez transformer vos dépenses en épargne automatique, optimiser vos rendements sans effort, ou naviguer sereinement dans la jungle fiscale ? Et si des outils ingénieux vous permettaient d’éviter les frais inutiles, de suivre vos transactions en un clic, ou même d’automatiser vos investissements ? Cet article vous dévoile des applications originales et ingénieuses qui ouvrent la voie à de nouvelles opportunités et peuvent faciliter votre quotidien. Prêt à découvrir des idées qui changent la donne ?

Cet article contient des liens d’affiliation vous permettant de soutenir le travail quotidien des équipes du Journal Du Coin.

Estimated reading time: 35 minutes

Table des matières

Kryll³ : un agent IA pour gérer son walletUne suite d’outils innovantsUn accès basique gratuitBitstack : épargner en bitcoin sans même y penserUne liberté de mouvementUne offre qui s’étoffef(x)Protocol : du levier et du rendement sur un stablecoinUn protocole qui évolueDes risques à prendre en compteNeverless : un CEX sans frais connecté à la DeFiUn modèle économique innovant et transparentDes fonctionnalités pour tous les profils d’investisseursDes limites à prendre en compteWaltio : faire sa déclaration d’impôts simplement et sans stressUn outil qui a un coût…… mais qui peut vous faire économiser beaucoupDeBank : un traker de wallet pour retrouver ses jetonsSuivre la smart moneyRéseau social et empreinte on chainRabby : payer les frais de gas sans devoir bridgerUne interface intuitive et une sécurité renforcéeFonctionnalités supplémentaires et programme de pointsBullx : sniper les memecoins facilementLes fonctionnalités clés de BullxAttention aux risquesMeteora : appliquer des stratégies de trading avancées et générer du rendementDes stratégies complexes mais simples à mettre en œuvreUn airdrop en vueBubble Maps : une analyse visuelle intuitive de la blockchainUne alternative aux explorateurs blockchainDes analyses menées par des professionnelsTime Guardian : sécuriser et transmettre ses donnéesUne application pensée pour tousDes cas d’utilisations très variésL’airdrop du moment : ResolvDes opportunités pour générer des intérêtsUn jeton de gouvernance à venir et un airdrop à farmer

Kryll³ : un agent IA pour gérer son wallet

Kryll³ est le fruit du travail passionné de l’équipe française à l’origine de Kryll, l’ancienne plateforme de trading automatisé de cryptomonnaies. Consciente des avancées technologiques et des besoins changeants des investisseurs, l’équipe a décidé de réinventer son offre pour proposer une solution à la pointe de l’innovation : une plateforme d’analyse crypto assistée par intelligence artificielle, conçue pour simplifier les prises de décision et faciliter la gestion de vos investissements.

Au cœur de Kryll³ se trouve l’Agent K, un assistant IA personnel avec lequel vous pouvez interagir de manière naturelle. Que vous ayez besoin d’informations sur le marché, d’explications sur des concepts complexes ou de conseils pour vos investissements, il sera là pour vous guider. Vous vous demandez à quoi cela ressemble ? Vous pouvez l’essayer directement depuis cette page (regardez en bas à droite) puisque nous avons décidé de l’intégrer au Journal du Coin ! Posez-lui des questions sur cet article ou sur tout autre sujet lié aux cryptomonnaies !

Page d’acceuil de Kryll

Une suite d’outils innovants

Mais Kryll³ ne se limite pas à l’Agent K. La plateforme propose toute une suite d’outils innovants, accessibles en version beta depuis peu :

SmartFolio: il s’agit d’un outil de gestion de portefeuille qui suit vos actifs sur plusieurs blockchains (pour l’instant Ethererum et ses layers 2 et Solana) et vous fournit des analyses détaillées. Vous pouvez connecter vos portefeuilles web3 ainsi que des CEX.
Newhub : c’est un agrégateur d’actualités qui analyse les informations provenant de sources anglophones et francophones fiables (comme le Journal du Coin, Cointelegraph…) pour en déterminer l’impact et le sentiment véhiculé.
X-Ray: c’est un outil d’analyse de marché complet qui évalue les actifs numériques selon cinq axes principaux : analyse financière, technique, on-chain, sociale et de cybersécurité. Il combine des indicateurs classiques avec des modèles d’apprentissage profond pour fournir une évaluation globale des forces et faiblesses de chaque projet. Il permet ainsi d’anticiper les tendances de marché.
Gem Detector: il s’agit d’un outil permettant de détecter les futures pépites avant que leur prix n’explose. Il scrute plusieurs blockchains pour y trouver des tokens à fort potentiel, en fonction de vos propres critères.
Harpoon: c’est un outil destiné à traquer les transactions des investisseurs influents et suivre les mouvements de la « Smart Money ». Il peut donner un aperçu de leurs stratégies et vous aider à prendre des décisions.

Un accès basique gratuit

Parmi les fonctionnalités présentées plus haut, certaines sont entièrement gratuites, tandis que d’autres sont accessibles via un abonnement mensuel ou en détenant des jetons KRL (actuellement sur Ethereum, bientôt sur Base et Arbitrum).

La formule la plus haut de gamme permet de connecter jusqu’à 25 portefeuilles à Kryll³ et de poser jusqu’à 600 questions par mois à l’Agent K.

Si le projet vous intéresse, sachez que vous n’êtes pas seul : Google a décidé d’y investir 200 000$ il y a peu.

Bitstack : épargner en bitcoin sans même y penser

Bitstack est un acteur financier régulé en France et enregistré comme PSAN, qui propose une application mobile originale. Cette dernière offre 2 manières d’épargner en bitcoin sans effort :

Arrondis automatiques : Bitstack permet d’arrondir vos dépenses à l’euro supérieur et d’utiliser les centimes supplémentaires pour acheter du bitcoin. Par exemple, si vous achetez un café à 2,60 €, Bitstack arrondit le montant à 3 €. Les 40 centimes restants sont automatiquement prélevés le lundi suivant, cumulés avec les arrondis de vos autres achats de la semaine, pour acheter du bitcoin.

Pour amplifier cette stratégie, vous pouvez appliquer un multiplicateur (jusqu’à x10) et ainsi augmenter vos achats de BTC.

Pour fonctionner, vous devez (pour l’instant) connecter Bitstack à votre compte bancaire via Tink, un service sécurisé. Toutes vos dépenses (virements, chèques, paiements par carte) sont prises en compte pour maximiser votre épargne en bitcoin.
DCA (Dollar-Cost Averaging) classique : Bitstack propose également une méthode d’investissement traditionnelle, le DCA, qui consiste à acheter régulièrement un montant fixe de bitcoin, indépendamment des fluctuations du marché. Vous choisissez le montant et la fréquence (hebdomadaire, bimensuelle ou mensuelle), et Bitstack s’occupe du reste. Cette technique permet de lisser votre prix d’entrée et de réduire l’impact de la volatilité.

Une liberté de mouvement

Quelle que soit la stratégie employée, vous pouvez revendre vos bitcoins à tout moment, les conserver sur la plateforme ou les transférer vers une adresse externe. Bitstack applique des frais de 1,49 % à 0,49 % (dégressifs selon le montant) uniquement lors des achats ou des ventes de bitcoin.

Une offre qui s’étoffe

Depuis peu, Bitstack propose une carte de débit Visa qui permet de payer en euros ou en BTC chez tous les commerçants et offre du cashback en bitcoin à chaque utilisation. Fin 2024, la plateforme a levé 5 millions de dollars pour enrichir ses services. Début 2025, elle prévoit de lancer un compte en euros avec IBAN, permettant à ses utilisateurs de recevoir une partie ou la totalité de leur salaire en bitcoin.

f(x)Protocol : du levier et du rendement sur un stablecoin

f(x) Protocol est un protocole de finance décentralisée (DeFi) qui se démarque de la concurrence en offrant deux possibilités principales à ses utilisateurs :

Prendre une position long sur l’ETH avec un effet de levier allant de x2 à x7, sans frais de financement et avec un risque de liquidation réduit grâce à son mécanisme unique de « liquidation brake ». Ce système ajuste automatiquement le levier lorsque le seuil de liquidation approche, offrant une sécurité accrue par rapport aux plateformes traditionnelles de contrats futurs. Notez tout de même que le risque 0 n’existe pas.

Générer un rendement attractif sur un stablecoin décentralisé (le fxUSD) adossé au dollar US. Ce rendement évolue avec le marché, mais fait souvent partie des plus compétitifs du marché. Il offre un excellent ratio risque/reward pour les investisseurs cherchant à maximiser leurs gains sur des actifs stables.
Pool pour générer du rendement sur le fxUSD

Un protocole qui évolue

Avec le lancement de sa V2 en janvier 2025, f(x) Protocol a renforcé son positionnement dans l’écosystème DeFi, attirant un nombre croissant d’utilisateurs et voyant sa TVL exploser. Bien que déployé uniquement sur Ethereum pour l’instant (ce qui peut entraîner des frais de gas élevés pour les petits investisseurs), une version sur Base est en préparation, promettant une accessibilité accrue.

À l’avenir, le protocole prévoit d’étendre ses fonctionnalités avec des leviers allant jusqu’à x10 et l’introduction de positions short. Il devrait aussi être possible de parier sur l’évolution du prix du BTC.

Des risques à prendre en compte

Cependant, comme tout outil DeFi, f(x) Protocol n’est pas sans risques. En plus de ceux inhérents à tout protocole DeFi (smart contracts, oracle…), les positions prises avec du levier peuvent tout à fait se faire liquider, même si cela est moins probable que sur les plateformes classiques. Assurez-vous de bien comprendre les mécanismes en jeu avant de vous lancer. La solution reste prometteuse, mais à utiliser avec prudence tout de même !

Envie d’une démonstration par des professionnels ? N’hésitez pas à visionner l’interview en français de Cyrille Briere menée par Benoit Huguet.

Neverless : un CEX sans frais connecté à la DeFi

Lancée par trois anciens dirigeants de Revolut, Neverless est une plateforme d’échange centralisée qui bouscule les codes du secteur avec une proposition inédite : zéro frais sur les dépôts, les retraits et les transactions. Une offre alléchante qui contraste avec les pratiques habituelles des exchanges, où les frais sont souvent considérés comme une évidence. Et il ne s’agit pas d’un simple argument marketing : Neverless tient bel et bien ses promesses.

Alors, comment la plateforme parvient-elle à se rémunérer sans facturer ses utilisateurs ?

Un modèle économique innovant et transparent

Le secret de Neverless réside dans son modèle économique innovant. Lorsque vous achetez ou vendez des cryptomonnaies, vos ordres sont exécutés sur un ou plusieurs autres exchanges. Neverless peut alors recevoir des commissions de la part de ces plateformes.

Résultat : vous bénéficiez des meilleurs taux du marché sans payer de frais supplémentaires, tandis que la plateforme génère des revenus de manière indirecte. Trop beau pour être vrai ? Nos tests ont confirmé que le modèle fonctionne !

En parallèle, Neverless exploite des opportunités d’arbitrage entre les différents marchés pour maximiser ses profits. Si cela peut rappeler la technique employée par SBF pour faire fortune avant de conduire FTX à la faillite, rassurez-vous : Neverless est une entreprise régulée qui n’a pas choisi de se cacher dans un paradis fiscal. Basée en Espagne et détentrice de l’agrément PSAN délivré par l’AMF en France, elle fait preuve d’une transparence totale et se plie aux exigences des régulateurs.

Des fonctionnalités pour tous les profils d’investisseurs

Neverless ne se contente pas d’offrir une expérience sans frais. La plateforme propose également à ses utilisateurs de tirer parti des opportunités d’arbitrage grâce à son compte « Stratégies ». Ce service utilise des algorithmes sophistiqués, habituellement réservés aux hedge funds, pour générer un rendement payé quotidiennement. Au moment de la rédaction de cet article, le taux annuel effectif (AER) atteignait 10,78 %.

Avec plus de 500 cryptomonnaies disponibles, Neverless répond aux besoins de la plupart des investisseurs. Cependant, consciente que les « degens » et les chasseurs de pépites cherchent toujours plus de diversité, la plateforme a intégré l’agrégateur de DEX Jupiter début 2025. Cette fonctionnalité permet d’accéder à n’importe quel token disponible sur la blockchain Solana (memecoins, token IA…), y compris ceux qui ne sont pas encore listés sur les CEX. Une aubaine pour ceux qui souhaitent investir en amont et potentiellement réaliser des gains importants.

Des limites à prendre en compte

Malgré ses nombreux atouts, Neverless présente quelques limites. La plateforme est pour l’instant uniquement disponible sur smartphone (iOS et Android), sans version web. De plus, elle s’adresse davantage aux investisseurs qu’aux traders aguerris, car elle propose peu d’outils d’analyse technique ou de trading avancé.

Mais si ce n’est pas un frein pour vous, Neverless mérite clairement d’être essayée avec son interface intuitive et son service client entièrement humain (sans chatbot). Son modèle pourrait bien inspirer de futurs concurrents !

Waltio : faire sa déclaration d’impôts simplement et sans stress

Créé en 2018, Waltio est une plateforme innovante conçue pour simplifier la vie des résidents fiscaux français qui investissent dans les cryptomonnaies.

Dans l’hexagone, que l’on parle de crypto ou non, les contribuables sont souvent confrontés à un véritable casse-tête administratif. Entre les déclarations complexes, les outils obsolètes et les menaces de sanctions, la gestion fiscale peut vite devenir un enfer. La déclaration annuelle des revenus en est l’exemple parfait.

Malgré quelques avancées, le cadre fiscal français et les outils mis à disposition des déclarants restent largement en retard face à la rapidité d’évolution et à la diversité des activités liées aux cryptomonnaies.

Conscient de ces lacunes et de l’inertie administrative, Waltio a développé une solution pour répondre à ces problèmes. La plateforme propose un outil capable de générer des rapports fiscaux précis et conformes à la réglementation française. Que vous ayez réalisé du trading de cryptos ou de NFT, du staking, du mining, ou toute autre activité, Waltio prend en compte chaque opération pour calculer automatiquement vos plus-values et moins-values. Elle vous guide pas à pas dans le remplissage de votre déclaration et fournit les documents nécessaires en cas de contrôle fiscal, vous permettant de justifier vos revenus en toute transparence.

Un outil qui a un coût…

Destinée aussi bien aux particuliers qu’aux professionnels, Waltio propose des formules adaptées à différents profils d’utilisateurs. Cependant, cette solution n’est pas accessible à tous les budgets.

Les tarifs dépendent du nombre de transactions réalisées dans l’année, et non des bénéfices générés. Si vous avez effectué moins de 50 transactions, Waltio est gratuit, mais l’outil perd alors une grande partie de son utilité. En revanche, pour les utilisateurs ayant multiplié les transactions, Waltio devient presque indispensable, mais la facture grimpe rapidement, avec des formules allant de 99 à 999 euros. Un investissement non négligeable, surtout lorsqu’il ne peut pas être déduit de vos impôts…

… mais qui peut vous faire économiser beaucoup

Jusqu’à présent, les tarifs pratiqués par Waltio n’ont que peu évolué, mais la plateforme ne cesse d’enrichir son offre.

Parmi les nouveautés récentes, on trouve deux outils particulièrement utiles :

un outil de suivi de portefeuille pour garder un œil sur vos actifs ;
un service d’optimisation fiscale qui identifie les opérations à réaliser (achats ou ventes) pour réduire la facture de l’État. De quoi faire passer un peu mieux le coût de la souscription…

Des questions sur la fiscalité et la manière de déclarer ? On vous explique tout en détails ici, afin que vous puissiez juger en connaissance de cause si vous préférez utiliser Waltio ou faire tout vous-même.

DeBank : un traker de wallet pour retrouver ses jetons

Avec un écosystème en pleine expansion qui offre chaque jour de nouvelles opportunités, il peut parfois être difficile de vous souvenir où se trouvent vos jetons et vos NFT.

DeBank simplifie cette tâche en vous permettant de visualiser en un clin d’œil sur quelles blockchains et quels protocoles vos actifs sont répartis. Le protocole prend en charge la très grande majorité des blockchains compatibles EVM (Ethereum Virtual Machine) ainsi que les protocoles qui y sont déployés. La valeur de vos actifs est automatiquement convertie en dollars US, offrant une vision claire et instantanée de vos performances.

Debank propose aussi un menu permettant de consulter l’historique de vos transactions, classées chronologiquement et par blockchain. Son interface, bien plus intuitive que les explorateurs de blockchain traditionnels, vous permet de comprendre en un instant la nature de chacune de vos transactions. Pour vous y retrouver encore plus facilement lors de vos recherches, il est aussi possible d’utiliser des filtres personnalisables.

Suivre la smart money

L’un des atouts majeurs des blockchains publiques réside dans leur transparence, qui permet à chacun de voir et d’analyser les activités de n’importe quelle adresse. DeBank exploite cette caractéristique en vous offrant la possibilité de suivre non seulement vos propres transactions, mais aussi celles des autres utilisateurs. Que vous souhaitiez observer les portefeuilles de vos influenceurs préférés ou analyser les mouvements des adresses de la smart money, DeBank vous permet de les observer simplement pour tenter de reproduire leurs stratégies. Cette fonctionnalité est un véritable atout pour ceux qui cherchent à s’inspirer des acteurs les plus performants du marché et à optimiser leurs propres décisions d’investissement.

Réseau social et empreinte on chain

En plus de ces fonctionnalités principales, DeBank propose d’autres outils qui méritent d’être mentionnés, bien que moins originaux et développés que le reste. La plateforme tente de se positionner comme un réseau social sur lequel les utilisateurs peuvent échanger des messages ou publier des posts, à l’image de ce que propose X (anciennement Twitter), avec quelques fonctionnalités supplémentaires mais un nombre d’utilisateurs beaucoup moins important. Il est aussi possible d’y collectionner des badges en fonction de vos actions dans l’écosystème (comme la réception d’airdrops), marquant ainsi votre empreinte on-chain.

Pour ceux qui souhaitent accéder à des fonctionnalités avancées, utiles notamment pour les recherches historiques, DeBank propose un abonnement payant.

Enfin, malgré ses nombreux atouts, DeBank ne prend pas encore en charge toutes les blockchains de l’écosystème. Les utilisateurs de blockchain comme Bitcoin, Solana ou encore Starknet devront se tourner vers d’autres outils pour obtenir une vision globale de leur portefeuille.

Attention : bien que la plupart des protocoles soient supportés par DeBank, tous ne le sont pas. Assurez-vous de ne pas oublier vos fonds même s’ils n’apparaissent pas dans votre portfolio !

Rabby : payer les frais de gas sans devoir bridger

Développé en 2021 par l’équipe de DeBank, Rabby est une extension de navigateur servant de portefeuille non custodial pour l’ensemble des blockchains compatibles EVM.

À l’instar de DeBank cité plus haut, il permet de suivre facilement la valeur de votre portefeuille ainsi que vos positions DeFi. Ces deux outils peuvent d’ailleurs être utilisés de manière complémentaire.

Si Rabby mérite sa place dans cet article, c’est grâce à l’une de ses fonctionnalités phares qui le distingue de la concurrence (MetaMask, …) : le Gas Account. Comme son nom l’indique, il s’agit d’un compte spécialement dédié au paiement des frais de gas, pouvant être alimenté en stablecoins via les blockchains Ethereum, Base, Optimism, Arbitrum, Avalanche, BNB Chain et Polygon.

Une fois alimenté, ce compte peut être utilisé pour payer les frais de gas sur n’importe quelle blockchain, et ce pour toutes les adresses connectées à votre extension Rabby. Fini les transferts de fonds spécifiques juste pour couvrir les frais !

Une interface intuitive et une sécurité renforcée

Au-delà de cette fonctionnalité très pratique, Rabby offre de nombreux autres avantages. C’est l’un des portefeuilles les plus simples d’utilisation de l’écosystème. Son interface intuitive facilite la gestion des actifs. Lors de la signature d’une transaction, Rabby traduit automatiquement les informations de la blockchain en un message clair et compréhensible. Vous savez ainsi exactement ce que vous êtes sur le point de signer.

De plus, les alertes affichées en rouge permettent d’éviter les transactions frauduleuses et ont déjà protégé de nombreux utilisateurs contre des tentatives de vol de fonds. Open source, Rabby n’a, à ce jour, connu aucune faille de sécurité majeure.

Exemple de signature de transaction avec Rabby

Fonctionnalités supplémentaires et programme de points

Comme la plupart des portefeuilles modernes, Rabby permet également une gestion simplifiée des autorisations, un aperçu de vos NFT, ainsi qu’un agrégateur de DEX intégré pour effectuer des swaps facilement.

Cerise sur le gâteau : à l’image de nombreux projets récents, Rabby a lancé un système de points pour ses utilisateurs, laissant entrevoir la possibilité d’un futur airdrop.

Pour une présentation plus détaillée de l’extension et de son utilisation, vous pouvez consulter cet article. Si vous téléchargez Rabby pour la première fois, utilisez notre code de parrainage « JDC » pour obtenir 100 points supplémentaires !

Bullx : sniper les memecoins facilement

Bullx est un bot Telegram spécialement conçu pour explorer le monde des memecoins, les acheter et les revendre sans se faire piéger d’une manière ou d’une autre.

Son atout principal ? Il permet d’accéder à des memecoins tout juste lancés, qui sont inaccessibles via des méthodes de trading manuelles depuis un portefeuille classique. En effet, dans cet univers ultra-compétitif, l’utilisation d’un bot est essentielle pour éviter de se faire frontrun (devancer par d’autres traders) et augmenter les chances de voir ses ordres exécutés.

Bullx permet de gérer plusieurs portefeuilles sur les blockchains où se concentre le principal de l’activité du secteur (Solana, Ethereum, Base, Arbitrum, BNB Chain et Blast).

Pour pouvoir accéder au bot, vous devrez vous connecter via un compte Telegram. Bullx fonctionne ensuite aussi bien sur smartphone que sur ordinateur et peut même être utilisé directement via Telegram.

Interface de Bullx

Les fonctionnalités clés de Bullx

L’interface de Bullx est intuitive, mais l’application regroupe tellement de fonctionnalités et d’options qu’il vous faudra certainement un peu d’entraînement avant de vous y retrouver facilement. Voici ce que vous y trouverez :

L’analyse de votre portfolio : vous pouvez visualiser tous vos tokens détenus sur vos différents portefeuilles sur un seul écran ainsi que les performances de vos trades. Pour chaque token, vous retrouverez des informations claires et précises sur les actions que vous avez effectuées (moment et prix d’entrée et de sortie, prix moyen d’achat…) ;

Un menu dédié à l’exploration de nouveaux tokens : vous pouvez naviguer facilement parmi les jetons sur le point d’être lancés sur des plateformes telles que Pump.fun ou Moonshot. Vous pouvez utiliser une multitude de filtres pour les classer et estimer leur potentiel ;
Des outils d’analyse intégrés : Bullx propose aussi divers outils pour analyser les tokens (recherche d’image inversée pour le PFP des jetons, intégration de Bubble Maps, …) et affiche automatiquement un « audit » portant sur 8 critères pour estimer s’il est sûr d’investir ou non. Attention cependant, les résultats évoluent et peuvent passer de « sûr » à « risqué » (et inversement) en fonction de nombreux facteurs. ;

Des outils de trading avancés : il est possible de paramétrer vos trades avec de nombreuses options pour mettre en place des stratégies optimales et automatisées (création de Stop Loss et de Take Profit, ajustement des frais de gas… ).

Attention aux risques

Le trading de memecoins reste une activité hautement spéculative et risquée, même avec un outil comme Bullx. Les memecoins sont connus pour leur volatilité extrême, et les projets frauduleux (comme les rug pulls) sont monnaie courante. Bullx facilite le trading, mais il ne garantit pas les profits. Utilisez-le avec prudence et toujours en connaissance de cause.

Pour bien démarrer, assurez-vous de comprendre les mécanismes du trading et les risques associés. Entraînez-vous avec de petites sommes pour vous familiariser avec l’outil et les marchés, afin de limiter la casse en cas d’échec et d’augmenter vos chances de succès.

Meteora : appliquer des stratégies de trading avancées et générer du rendement

Étoile montante de ce début d’année 2025, Meteora est un protocole déployé sur la blockchain Solana. Son but est d’agréger les liquidités afin de faciliter les swaps et maximiser les rendements de ceux qui les fournissent.

Il propose une gamme de produits innovants et originaux, permettant d’appliquer des stratégies avancées, notamment :

Les Dynamic Liquidity Market Maker (DLMM) Pools : il s’agit d’un nouveau modèle de pool de pool de liquidité, permettant d’augmenter la profondeur de cette dernière et d’optimiser les rendements de ceux qui la fournissent.
Les AMM pools dynamiques : elles fonctionnent comme des AMM à produit constant, mais génèrent des rendements supplémentaires en allouant les actifs à des vaults dynamiques.
Les vaults dynamiques : ce sont des vaults dont la liquidité est répartie entre différents protocoles de prêts de Solana par Meteora. Leurs allocations se rééquilibrent à chaque minute afin de trouver le meilleur rendement possible tout s’assurant que les fonds des utilisateurs restent accessibles.
Les pools stables multi-tokens : ces pools regroupent plusieurs stablecoins pour des échanges à faible slippage.
Les LST pools dynamiques : elles permettent de générer du rendement sur les LST (Liquid Staking Token) sans se soucier des pertes intermittentes et des variations de prix. Ils permettent de minimiser le slippage et bénéficient de rendements supplémentaires via les vaults dynamiques.

Des stratégies complexes mais simples à mettre en œuvre

Les DLMM Pools sont les produits les plus originaux de Meteora et permettent de mettre en place simplement des stratégies de trading avancées.

Il est possible de distribuer votre liquidité suivant différents modèles en fonction de vos objectifs :

Au comptant : la liquidité est distribuée uniformément. C’est l’option la plus simple.
Courbe : la liquidité se concentre au centre d’une fourchette de prix. Idéale pour des actifs stables dont le prix bouge peu.
Bid-Ask : c’est une distribution en courbe inversée, dans laquelle la majeure partie du capital est allouée aux deux extrémités de la fourchette. Cette distribution peut servir à capter des fluctuations de volatilité importantes par rapport au prix initial. Elle peut également se déployer d’un seul côté, dans le cadre d’une stratégie DCA in ou out.

Ces distributions et leur concentration (en fonction des bins step et du nombre de bins choisi) permettent de mettre en place une multitude de stratégies (DCA in et out en générant des frais, murs de vente ou d’achat, pari sur une perte de parité…).

Différentes stratégies proposées par Meteora

Un airdrop en vue

Annoncé il y a un moment déjà, Meteora a prévu de récompenser ses utilisateurs via un airdrop. Comme bien souvent, la date et la valeur de celui-ci restent des mystères et un système de points sert à départager les utilisateurs.

Des rôles peuvent aussi être obtenus sur le Discord du projet pour se démarquer de la masse.

Si cela vous intéresse, on vous explique ici comment faire pour le farmer. De prime abord, Meteora n’est clairement pas le protocole DeFi le plus simple à utiliser du marché. Cependant, si vous faites la démarche d’apprendre à l’utiliser, les possibilités qu’il offre ne vous feront sûrement pas regretter vos efforts.

Bubble Maps : une analyse visuelle intuitive de la blockchain

Fondée en 2022 par Léo Pons, Arnaud Droz et Nicolas Vaiman, Bubblemaps  est un projet français innovant qui révolutionne l’analyse des données on-chain en les rendant accessibles et facilement compréhensibles. Leur solution propose une visualisation unique sous forme de bulles colorées, permettant aux utilisateurs de naviguer facilement dans le monde complexe des transactions blockchain.

Cette approche intuitive permet d’identifier rapidement les liens entre les portefeuilles, de repérer les « whales », ou encore de détecter d’éventuelles manipulations de marché. À l’heure où les arnaques et les memecoins prolifèrent, Bubblemaps s’impose comme un outil indispensable pour les investisseurs soucieux d’éviter les pièges.

Une alternative aux explorateurs blockchain

Bien que les blockchains soient par nature transparentes, les explorateurs classiques restent souvent complexes à utiliser pour les non-initiés. Bubblemaps simplifie cette analyse en transformant les données brutes en une représentation visuelle claire et interactive. Les portefeuilles sont représentés sous forme de bulles, reliées entre elles par des lignes qui illustrent les connexions et les flux de fonds.

Cette visualisation permet non seulement de comprendre rapidement la structure d’un projet ou d’une transaction, mais aussi de déceler des schémas suspects, comme des concentrations des fonds sur quelques wallets ou des comportements anormaux.

Bubblemaps est actuellement compatible avec 10 blockchains (Ethereum, Solana, Fantom, Avalanche, Cronos, Arbitrum, Polygon, Base, Sonic et BNB Chain). De plus, il s’intégre à des plateformes DeFi de plus en plus nombreuses comme DexScreener, Pump.fun ou encore GeckoTerminal.

Visualisation du token Pepe sur Bubblemaps

Des analyses menées par des professionnels

Au-delà de son outil de visualisation, Bubblemaps se distingue par son engagement en faveur de la transparence et de la sécurité dans l’écosystème crypto. L’équipe de Bubblemaps, publie régulièrement des analyses approfondies de certains projets sur son blog.

En plus de mettre en avant leur outil, ces dernières permettent de mettre en lumière des arnaques potentielles ou à l’inverse prouvent qu’il n’y a aucune pratique douteuse. Grâce à leur travail, plusieurs escroqueries ont été démasquées, contribuant ainsi à renforcer la confiance des investisseurs et à assainir l’écosystème.

Que vous soyez un investisseur ou un trader, un débutant ou un expert, un degen ou un bon père de famille, Bubblemaps pourra vous être utile. Si vous avez besoin d’aide pour vous en servir ou que vous souhaitez simplement en savoir plus sur le produit, vous pouvez consulter cet article dans lequel on vous explique tout.

Time Guardian : sécuriser et transmettre ses données

Fondée par Amira Soliman et Mickael Canu, Time Guardian est une entreprise spécialisée dans la préservation et la transmission sécurisée de données. Elle s’appuie sur la blockchain Ternoa (elle aussi cofondée par Mickael Canu) qu’elle utilise pour pouvoir stocker les informations de manière décentralisée et cryptée. Sa particularité réside dans sa dimension temporelle, les utilisateurs pouvant programmer de différentes façons à quel moment les données seront révélées.

Time Guardian a été pensé pour proposer des fonctionnalités bien précises, sur lesquelles peu d’acteurs de l’écosystème se sont penchés pour l’instant, faisant d’elle une application originale qui trouve parfaitement sa place dans cet article.

Que vous soyez un professionnel cherchant à protéger des informations sensibles, une personne souhaitant transmettre un héritage numérique, ou simplement à la recherche d’une manière originale et fiable de célébrer un événement spécial, Time Guardian pourra combler votre besoin.

Une application pensée pour tous

Si Time Guardian s’appuie sur des protocoles web3 qui peuvent sembler complexes, l’application a été pensée pour pouvoir être utilisée par tous. Tout comme vous n’avez pas besoin de savoir comment fonctionne le moteur de votre voiture pour la conduire, il n’est pas nécessaire d’avoir des connaissances informatiques particulières pour utiliser leur solution.

Tout se passe avec une application mobile, intuitive et simple à utiliser. Voici comment ça marche :

Inscription : vous devez commencer par créer un compte sécurisé avec une clé cryptographique robuste et une protection biométrique ;
Création d’une capsule temporelle : vous téléchargez les fichiers que vous voulez transmettre. Il peut s’agir de n’importe quel type de données numériques, du simple texte aux vidéos, en passant par les photos ou les fichiers audios. Elles sont automatiquement cryptées avant d’être envoyées sur la blockchain ;
Choix du destinataire : vous déterminez à qui sera envoyée la capsule (par email) ;
Définition des conditions d’accès : vous devez programmer les conditions qui conduiront à l’envoi de la capsule. Time Guardian propose plusieurs protocoles. Vous pouvez décider que les données ne seront accessibles qu’à une date spécifique, comme dans 10 ou 20 ans, ou seulement après votre décès. Il est également possible de définir une approbation multipartite, c’est-à-dire que plusieurs personnes doivent se mettre d’accord pour que l’envoi s’effectue ;
Transmission et déverrouillage : une fois les conditions remplies, la capsule est transférée comme vous l’avez déterminé, avec un email contenant toutes les informations pour déverrouiller les données qu’elle contient.
Email reçu pour récupérer une capsule Time Guardian

Des cas d’utilisations très variés

Grâce à une technologie de cryptage avancée, toutes les informations que contiennent les capsules sont indéchiffrables sans avoir la clé, garantissant ainsi une confidentialité absolue. Par ailleurs, le processus est irréversible (sauf si vous choisissez de l’interrompre), ce qui signifie que vos données seront délivrées comme prévu, même en cas de disparition de Time Guardian ou de cessation d’activité de l’équipe.

Vous avez donc l’assurance que tout se déroulera conformément à vos instructions, quelles que soient les circonstances.

Ces paramètres permettent d’envisager une utilisation de Time Guardian pour de nombreux cas d’usage :

Les entreprises peuvent protéger des informations sensibles, comme des documents juridiques ou des secrets industriels ;
Les artistes peuvent dévoiler des œuvres numériques à une date ultérieure, créant ainsi de l’anticipation et de la valeur ;
les particuliers peuvent transmettre un héritage numérique ou programmer l’envoi de documents pour des occasions spéciales ;
….

Si vous voulez essayer l’application pour voir ce qu’elle donne concrètement, Time Guardian vous propose de l’essayer gratuitement. Vous disposerez d’un mois d’essai avec 100 Mo de stockage et un protocole d’envoi. De quoi vous faire une idée du produit à moindre coût !

L’airdrop du moment : Resolv

On vous l’a présenté il y a peu, Resolv est un protocole novateur qui introduit l’USR, un stablecoin synthétique adossé à l’ETH qui maintient sa parité avec le dollar US grâce à une stratégie de delta neutre.

Contrairement aux stablecoins centralisés « traditionnels » (USDT, USDC,…), l’USR ne repose pas sur des réserves physiques en monnaies fiat ou en or. Sa valeur repose sur des ETH (ou des ETH stakés) déposés en collatéral. La compensation des variations de prix du jeton à la baisse s’obtient par des positions shorts sur des contrats perpétuels. Cette approche permet de compenser les fluctuations du marché tout en générant des rendements attractifs pour les utilisateurs.

Conscient que le marché crypto est loin d’être un long fleuve tranquille, Resolv entend pouvoir faire face à des conditions de marché extrêmes sans que le cours de l’USR ne s’oit affecté’en ressente. Pour ce faire, l’équipe a mis en place la Resolv Liquidity Pool (RLP), une pool de liquidité supplémentaire servant à surcollatéraliser l’USR à hauteur de 110 % au minimum. En cas de problème, les fonds qui s’y trouvent sont utilisés pour rétablir le peg.

Des opportunités pour générer des intérêts

Bien entendu, ceux qui fournissent de la liquidité à la RLP doivent y trouver un intérêt en contrepartie des risques qu’ils prennent. Aussi, Resolv utilise les fonds de la pool pour générer du rendement et le redistribuer à ceux qui ont fourni les tokens.

Deux méthodes sont possibles pour en profiter :

Staker des ETH pour obtenir des intérêts ;

Ouvrir des positions shorts et récupérer (le plus souvent) un taux de financement positif.

Les utilisateurs ont deux options pour s’y exposer :

Staker de l’USR : il est possible de staker des USR pour recevoir du stUSR, une version stakée du jeton. Les stUSR alimentent la Resolv Liquidity Pool et perçoivent une partie de son rendement (4.91 % APR en moyenne sur les 7 derniers jours au moment de la rédaction de cet article).
Acheter du RLP : les RLP sont des jetons qui représentent une part de la Resolv Liquidity Pool. Ils génèrent plus de rendement que les stUSR mais sont bloqués dans la pool si la surcollatéralisation de l’USR tombe sous les 110 %. Ils peuvent servir à rétablir le peg (13.60 % APR en moyenne sur les 7 derniers jours au moment de la rédaction de cet article).

Si vous souhaitez obtenir plus d’informations sur Resolv, son fonctionnement et les risques et opportunités offertes par le protocole, nous vous invitons à vous reporter à cet article.

Un jeton de gouvernance à venir et un airdrop à farmer

Si le jeton lancé par Resolv a un mécanisme de fonctionnement original, le système retenu pour attirer de nouveaux utilisateurs ne l’est pas du tout. Le protocole distribue des points qui donneront droit à une allocation du futur jeton de gouvernance de la plateforme lors de son lancement, le RESOLV.

Plusieurs stratégies sont possibles pour en accumuler un maximum et espérer recevoir un airdrop lucratif. La première consiste tout simplement à passer par notre lien d’affiliation qui vous permettra de gagner 20 % de points supplémentaires quoi que vous fassiez. Vous pouvez ensuite choisir de :

Détenir les jetons du protocole (USR, stUSR ou RLP) ;

Déposer de la liquidité sur certains protocoles DeFi ;

Gagner des multiplicateurs ;

Obtenir des rôles sur Discord ;

Participer au Grants ;

Multiplier vos points avec Pendle.

Nous avons pris soin de vous détailler chacune de ces stratégies dans cet article. Vous y trouverez toutes les astuces pour maximiser votre nombre de points et toucher un airdrop de RESOLV conséquent.

L’univers des blockchains et des cryptomonnaies est en perpétuelle évolution, porté par des innovations qui redéfinissent sans cesse les limites du possible. Les avancées technologiques sont rapides, et les applications que nous trouvons originales aujourd’hui risquent de se banaliser par la suite, remplacées par de nouvelles solutions encore plus performantes.

Aussi, nous ne manquerons pas de mettre régulièrement cet article à jour afin qu’il reste d’actualité. Nous suivrons de près les développements majeurs, les tendances émergentes et les projets prometteurs pour vous offrir un contenu toujours pertinent. N’hésitez pas à y jeter un œil de temps en temps lorsque vous passerez sur le Journal du Coin !

L’article Applications crypto originales : les must-have des investisseurs est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

The Protocol: Story Protocol Launches Its IP-Focused Blockchain

Welcome to The Protocol, CoinDesk’s weekly wrap-up of the most important stories in cryptocurrency tech development. I’m Margaux Nijkerk, CoinDesk’s Ethereum reporter, filling in for Ben Schiller.

In this issue:

Story Protocol launches to let people register IP and get paid for it

Ethereum developers release new initiative to simplify cross-chain transactions

Ethereum L1 monad joins forces with Orderly Network for DeFi boost

How a sitting president became crypto’s most sought-after investor

Network News

STORY PROTOCOL GOES LIVE: Story Protocol launched its intellectual property-focused blockchain and associated IP token last week. The blockchain is positioned as the « world’s intellectual property network, » providing users with a way to register their IP and track how others use it. The aptly named « $IP » token, which Story announced earlier this month, is used for transaction fees and offers users a vote in the platform’s governance system. So far, the IP focused blockchain seems to have had legs — at least with investors. PIP Labs, the chain’s primary developer, raised $80 million in a Series B venture funding round led by Andreessen Horowitz (a16z), bringing the project’s total funding to $140 million. PIP has sought to position Story at the intersection of blockchain and artificial intelligence, a way for people to track and get paid for data used to train AI models. The Story mainnet launch accompanies the first unlock event for the just-announced IP token. « Story is unlocking 25% of the initial 1 billion $IP, with 58.4% devoted to the ecosystem and community, foundation, and initial incentives, » according to the project. — Sam Kessler Read more.

ETHEREUM DEVELOPERS RELEASE NEW OPEN INTENTS FRAMEWORK: A group of top Ethereum developers and leaders released Wednesday a new framework that would simplify and standardize cross-chain token transfers.

The initiative, called the Open Intents Framework (OIF), was kickstarted by contributors from the Ethereum Foundation and is supported by 25 projects including teams building layer-2s like Arbitrum, Optimism, ZKsync, and Scroll, according to a press release shared with CoinDesk.The goal of the initiative is to bring “intents” to all corners of the Ethereum ecosystem, which is a technological feature that lets a blockchain user accomplish a specific goal by asking an intermediary to fulfill that goal (like a trade or transaction they want to make.) There are some standards out there that are already trying to make cross-chain transactions easier by using intents. ERC-7683, which was introduced by the team behind the decentralized exchange Uniswap and the Across protocol, is one of those standards circulating the Ethereum space lately, and is supposed to address fragmentation and allow more chains in the Ethereum ecosystem to interoperate. But the OIF team claims that they will build on that standard through their framework allowing intents to function at scale. “By offering shared infrastructure and execution coordination, OIF makes intent-based transactions permissionless, efficient, and accessible for all projects,” the press release said. — Margaux Nijkerk Read more.

MONAD AND ORDERLY JOIN FORCES: Monad, an Ethereum Virtual Machine (EVM) layer-1 blockchain about to launch its testnet, has joined forces with Orderly Network, a decentralized exchange (DEX) infrastructure supporting a range of other chains, as the platforms spread their nets wide in anticipation of a second decentralized finance (DeFi) summer. The arrival of the Monad testnet on Wednesday will provide traders with a fast EVM-compatible building site and the possibility of airdrops on the L1. Orderly’s band of 20 or so market makers includes Wintermute, Selini and Riverside, according to a press release. Firms in the decentralized trading industry, which includes major exchanges like Coinbase (COIN), are hoping for surge of DeFi activity in the coming months as the crypto-friendly administration of President Donald Trump gives crypto a regulatory tailwind. The first DeFi summer, in 2020, came hot on the heels of Federal Reserve interest-rate cuts in response to the Covid outbreak. Orderly already offers users a shared order book across multiple blockchains, including Arbitrum, Optimism, Polygon, Base, Mantle and Near. — Ian Allison Read more.

TRUMP – CRYPTO’S MOST INFLUENTIAL INVESTOR?: Crypto isn’t all that different from politics. According to Rushi Manche, the founder of blockchain company Movement, « Crypto is an attention game. »It’s fitting, then, that Donald Trump — the master of all things attention — is so at home selling memecoins. But it’s not just Trump’s inner circle that’s managed to capitalize on his crypto ventures, which include the $TRUMP coin and World Liberty Financial. Once a vocal crypto skeptic, the president has become the industry’s largest « key opinion leader » — or KOL, in blockchain industry parlance: a trader whose portfolio is closely watched by other investors deciding what to buy and sell. Trump’s foray into crypto has created a new go-to-market playbook for ambitious token peddlers like Manche — blockchain founders who realize pumping the price of a token can be as simple as elbowing into a sitting president’s crypto portfolio. The president’s primary vehicle for blockchain trades is World Liberty Financial (WLFI), a decentralized finance (DeFi) venture he announced with his sons over the summer. After accruing more than $400 million by selling a token, the company, which does not yet have a product, has built up a portfolio containing millions of dollars in the assets of other crypto projects. On Wednesday, it announced it was launching an official « strategic reserve » of crypto investments. The trades have already raised serious concerns about conflicts of interest, insider dealing, and the very nature of how influence is leveraged in the digital asset space. Trump’s political opponents are calling for investigations into his growing blockchain empire. But crypto founders like Manche see World Liberty’s crypto investments as something different: a once-in-a-generation marketing opportunity. « You need to have a product roadmap that makes sense, » said Manche. « But you also need to have a strategy for your token. » And what better way to boost the price of your cryptocurrency than by publicly tying it to the leader of the free world? — Sam Kessler Read more.

In Other News

Libra Token’s Co-Creator Claimed He Paid Argentinian President Milei’s Sister: It was unclear if any money was exchanged between Davis and Milei’s inner circle in advance of Libra’s launch. Danny Nelson reports.

Will Argentinian President Milei’s Crypto ‘Fiasco’ Be a Deathblow for Memecoin Craze?: The latest frenzy that started with U.S. President Donald Trump’s TRUMP memecoin launch and saw traders making and losing millions within minutes, might have finally come crashing down with the LIBRA token fiasco.

Regulatory and policy: EToro secures MiCA license from Cyprus to offer crypto services across EEA.

Calendar

Feb. 19-20, 2025: ConsensusHK, Hong Kong.

Feb. 23-24: NFT Paris

Feb 23-March 2: ETHDenver

March 18-19: Digital Asset Summit, London

May 14-16: Consensus, Toronto.

May 27-29: Bitcoin 2025, Las Vegas.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Pourquoi OpenSea a brusquement stoppé son Airdrop ?

La plus grande place de marché NFT au monde, OpenSea, vient d’annoncer la suspension de son nouveau système de récompenses XP, introduit le 28 janvier, suite à une vague de critiques de sa communauté. Cette décision intervient dans un contexte particulier où la plateforme tente de se réinventer avec le lancement récent de son token SEA.

L’article Pourquoi OpenSea a brusquement stoppé son Airdrop ? est apparu en premier sur Cointribune.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Hack Cardex : Retour sur le siphonnage de 400 000 $ sur la blockchain Abstract

Difficile de faire abstraction. La blockchain Abstract a récemment été secouée par un hack majeur touchant l’application Cardex. L’attaque, qualifiée de « hack de clé de session », a permis à un acteur malveillant d’accéder à des milliers de portefeuilles ayant interagi avec ce projet de cartes à collectionner. Résultat : près de 400 000 $ siphonnés. Retour sur ce coup dur pour l’écosystème Abstract.

Les points clés de cet article :La blockchain Abstract a été secouée par un hack majeur ayant touché l’application Cardex.
Une faille dans la gestion des clés de session de Cardex a permis à l’attaquant de compromettre environ 9 000 portefeuilles.
Pour vous offrir le meilleur prix, SwissBorg agrège les offres des plus grands acteurs du marché. Créez votre compte SwissBorg !




Lien commercial

Une faille de sécurité isolée

En ce début de semaine, l’écosystème de la blockchain Abstract a subi un hack d’envergure. Et ce n’est finalement pas le bilan comptable de 400 000 $ qui s’impose comme la conséquence la plus problématique.

En effet, le rapport post mortem publié par Abstract indique que cette attaque a été rendu possible par une faille dans la gestion des clés de session du projet Cardex. C’est-dire la fonctionnalité qui permet aux applications d’accéder temporairement à certaines fonctions des portefeuilles.

Le layer 2 Abstract est lié aux Pudgy Penguins

L’occasion pour le réseau Abstract de clarifier les choses. Car cela ne concerne en rien la sécurité de sa blockchain.

« Il ne s’agissait pas d’une vulnérabilité dans Abstract Global Wallet (AGW) ou dans le réseau Abstract lui-même, mais d’une faille de sécurité isolée d’une application tierce (Cardex). »

Abstract

Un impact massif sur la communauté Abstract

Concrètement, « l’équipe Cardex a exposé par inadvertance la clé privée de son signataire de session sur le front-end de son site Web ». Un erreur tragique qui a permis à un attaquant d’initier des transactions sur les contrats Cardex pour tout portefeuille ayant approuvé une clé de session avec eux.

Une opération dramatique pour l’écosystème Abstract, puisque cela a permis au hacker de compromettre environ 9 000 portefeuilles. C’est la raison pour laquelle ses développeurs ont appelé les utilisateurs à la prudence. Cela en leur conseillant de ne plus interagir avec Cardex et de révoquer toute session active avec l’application.

Ce hack met en lumière l’importance cruciale de la gestion sécurisée des clés de session dans les applications décentralisées. Une leçon que la blockchain Abstract – développée par la société derrière le projet de NFT Pudgy Penguins – devrait retenir. Car la sécurité doit rester une priorité absolue pour protéger les utilisateurs et leurs cryptomonnaies.

Vous cherchez à acheter les cryptos avant tout le monde ? Au meilleur prix ? Et bien évidemment seulement les meilleurs projets ? En devenant affilié JDC via notre lien partenaire, de nombreuses offres exclusives vous attendent tout au long de l’année sur SwissBorg !




Lien commercial

L’article Hack Cardex : Retour sur le siphonnage de 400 000 $ sur la blockchain Abstract est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

NFT Collector Buys Digital Art for $3M, Largest Sale in 3 Years

U.S.-based art collective Kanbas made the largest non-fungible token (NFT) purchase in three years last week, scooping up a 1-of-1 artwork by Sam Spratt for $3 million.

The artwork is called « X.Masquerade » and is the sixth chapter in the « Story of Luci. » It ties into into an upcoming invite-only event that allows supporters to participate in a game by purchasing a « Mask of Luci » for 2.56 ETH ($6,800).

« We’re proud to stand beside him [Sam Spratt] and help share Masquerade with the world. It is our way of honoring Sam’s trust, the monumental work he’s created, and—above all—the shared values that underpin it, » Kanbus posted on X

The purchase comes alongside a timely boost to the NFT sector following a marketing push from NFT platform OpenSea that includes a token airdrop. Trading volume hit $40 million over the past 24 hours, a 29% rise on the previous day according to CoinGecko.

However, the NFT market as a whole has failed to replicate the dizzying heights of previous cycles; activity is down and general sentiment is also waning as floor prices of collections like CryptoPunks and Bored Ape Yacht Club and are down by 71% and 91% respectively.

Much of the market’s plight is connected to this cycle’s $73 billion rise of memecoins, which retail investors appear to prefer due to minimal transaction fees, more liquidity and a lower barrier for entry.

But perhaps Kanbas’ $3 million purchase demonstrates a maturing of the NFT market away from speculative profile picture (PFP) collections and towards real art, the value of which lies in the adoration of a few as opposed to the attention of many.

The rapid growth of NFTs in 2022 was addictive; it captured millions of participants and racked up billions of dollars in weekly volume, but the market itself was unsustainable. When underlying assets used to purchase digital art began to tumble, NFT collectors attempted to cut losses by undercutting other sellers —creating a liquidity crunch and eventual cascade.

All speculative bubbles pop at some point, the majority of 2017 ICO tokens are no longer operational but the ones that still exist are worth billions. For NFTs it now seems less about the monetary value and ‘get rich quick’ aspect and more about the cultural and creative value of the art itself.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Memecoins : Un airdrop de jetons TRUMP pour les acheteurs de merchandising Trump

Airdrop Trump. Il y a définitivement un avant et un après memecoin TRUMP pour le secteur des cryptomonnaies. Avec comme démonstration du pire, la récente affaire du LIBRA argentin promut par Javier Milei en personne. Mais il ne faut pas sous estimer trop rapidement le président des États-Unis. Car il est désormais question d’un airdrop de 3 jetons pour récompenser les acheteurs de ses produits dérivés estampillés Trump. Si vous avez acheté une montre, un parfum, des baskets ou une carte à collectionner numérique… vous pouvez être éligible !

Les points clés de cet article :Un airdrop de memecoins TRUMP souhaite récompenser les acheteurs de produits dérivés Trump.
Donald Trump continue sa stratégie crypto-marketing tous azimuts.
Pour vous offrir le meilleur prix, SwissBorg agrège les offres des plus grands acteurs du marché. Créez votre compte SwissBorg !




Lien commercial

Un airdrop de memecoins TRUMP ?

La nouvelle est tombée comme un cheveu orange dans la soupe. Le memecoin déjà largement polémique TRUMP se préparerait à organiser un airdrop à l’attention de sa communauté. Enfin, plus précisément de ses clients…

En effet, il semble que le président des États-Unis soit près à tout pour écouler les stocks de sa boutique Trump. Avec des produits dérivés aussi improbables que des montres, du parfum, des baskets ou encore un des cartes à collectionner numériques.

Site de réclamation de l’airdrop TRUMP

L’information émane du compte X nommé Trump Meme en charge de tout ce qui touche au memecoin TRUMP. Et il est apparemment question de verser l’équivalent de 3 jetons – environ 50 $ – à certains clients de ses boutiques en ligne.

« Vous avez montré votre amour pour le président Trump en achetant dans les magasins officiels Trump — maintenant, le président TRUMP vous aime en retour ! » 

Trump Meme

Donald Trump surfe sur la vague crypto

Pour être éligible à cet airdrop, il faut avoir été un fan assez inconditionnel de Trump pour acheter l’un de ses produits dérivés. C’est-à-dire avec une opération valide sur les 4 sites dédiés à ses baskets, son parfum, ses montres et ses cartes à collectionner NFT. Sachant qu’aucun cumul n’est pris en compte.

Attention tout de même, car pour les plus hésitants cette opération ne sera pas nécessaire. En effet, pour pouvoir prétendre à ce largage il faut avoir validé son achat avant la date du 15 février. Il est donc trop tard pour se rattraper. Sachant qu’avec des baskets à 499$, un parfum à 199 $, une montre à 499 $ en moyenne ou un NFT à 99 $ ce versement de 50 $ sera tout au plus une sorte de promotion a posteriori pour les intéressés.

Donald Trump continue d’utiliser sa notoriété de président des États-Unis pour promouvoir ses projets cryptos. Car cet airdrop de jetons TRUMP s’inscrit dans une stratégie marketing bien rodée, visant à capitaliser sur ses électeurs. Une opération débutée avec des collections de NFT à répétition, dont on se demande où elle va bien pourvoir s’arrêter.

Vous cherchez à acheter les cryptos avant tout le monde ? Au meilleur prix ? Et bien évidemment seulement les meilleurs projets ? En devenant affilié JDC via notre lien partenaire, de nombreuses offres exclusives vous attendent tout au long de l’année sur SwissBorg !




Lien commercial

L’article Memecoins : Un airdrop de jetons TRUMP pour les acheteurs de merchandising Trump est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Memecoin LIBRA en Argentine : retour sur un futur scandale d’État ? Crypto Dossier

Décidément, le week-end aura été agité dans la sphère crypto. Ainsi, vendredi 14 février tard, Javier Milei, l’actuel président argentin a annoncé via X le lancement du jeton LIBRA sur Solana. Sans grande surprise, celui-ci a atteint des sommets à plusieurs milliards de dollars de capitalisation avant de s’effondrer tout aussi vite. Alors que l’opposition politique le poursuit en justice pour manipulation de marchés, de nouveaux éléments montrent un lien entre ce jeton et celui de Melania Trump, lancé la veille de l’investiture de son mari Donald Trump. De son côté, Hayden Davis, le créateur du jeton dévoile les dessous du lancement dans une interview. Explorons les dessous de cette affaire.

>> Acheter des cryptomonnaies tout en économisant 10 % de frais ? <<




Lien commercial

Javier Milei lance le jeton LIBRA

Comme nous venons de l’aborder, vendredi 14 février, le président argentin Javier Milei a annoncé sur le réseau social X le lancement du jeton LIBRA sur Solana.

Celui-ci est alors présenté comme un projet privé destiné à encourager la croissance de l’économie locale. Toutefois, au vu du déroulé des heures et jours qui ont suivi, nous avons de quoi en douter.

Lancé le 14 février à 23h, heure française, le LIBRA atteindra les 4,54 milliards de dollars de marketcap. Et ce, seulement une demi-heure après son lancement. Par la suite, en l’espace d’une heure et demie, le cours va s’effondrer, pour atteindre les 700M$ de marketcap. Il oscille actuellement aux alentours de 400 millions de dollars de marketcap.

Le cours du LIBRA s’effondre aussi vite qu’il est monté – Source : DexScreener.

Sans surprise, les rumeurs de manipulation de marché et d’insider trading ont rapidement émergé.

Le créateur de LIBRA en lien avec le jeton MELANIA

Les événements vont prendre une tout autre tournure ce lundi 17 février suite aux révélations coordonnées de BubbleMaps et CoffeeZilla.

Pour rappel, BubbleMaps propose un outil de visualisation de données on-chain et mène fréquemment des enquêtes on-chain. De son côté, CoffeeZilla est un YouTuber qui met en évidence des escroqueries. Il a notamment mis en évidence celle de Logan Paul via sa collection de NFT CryptoZoo.

Pendant le week-end, l’entreprise avait pointé du doigt les retraits de liquidités opérés par les créateurs du LIBRA. En effet, ils avaient alors retiré pour un montant de 87 millions de dollars. 

Toutefois, les révélations de cette nuit sont d’autant plus graves et impressionnantes.

« Comment $LIBRA a été créé par l’équipe à l’origine de MELANIA et d’autres coins éphémères ?Une nouvelle preuve onchain. »

Ainsi, des similarités dans les modes opératoires avaient été identifiées engendrant de nombreuses rumeurs. Malheureusement, peu de preuves concrètes avaient jusqu’ici pu être fournies.

Les pièces du puzzle s’assemblent

Lors de leur investigation sur le jeton MELANIA, ils avaient identifié l’adresse d’un sniper « P5tb4 ». Celui-ci avait réalisé 2,4 millions de dollars de gains.

Pour rappel, un sniper est un robot qui va acheter une cryptomonnaies le plus vite possible après son lancement. Sniper qui semblerait-il être utilisé par le créateur du jeton MELANIA.

« Cette adresse a envoyé tous les bénéfices à 0xcEA, un portefeuille lié au créateur de MELANIA. Le transfert a été effectué à l’aide du protocole CCTP (Cross-Chain Transfer Protocol) de l’USDC. »

Selon BubbleMaps, plusieurs connexions existent entre ce wallet (0xcEA) et le créateur du jeton MELANIA. Comme le précise le thread, cela veut dire que le créateur du MELANIA ou une personne de son équipe a activement snipé le lancement du jeton.

Les événements deviennent intéressants dans les semaines qui suivent quand l’adresse 0xcEA va financer l’adresse DEfcyK, à savoir le créateur du jeton LIBRA. C’est aussi elle qui a retiré les liquidités en empochant 87 millions de dollars quelques heures après le lancement.

« Pour ne rien arranger, 0xcEA a également piraté $LIBRA et réalisé un profit de 6 millions de dollars, en utilisant plusieurs adresses secondaires financées par le CCTP. Cette situation est similaire à l’affaire MELANIA. »

Un cas loin d’être isolé

En étudiant de près l’adresse 0xcEA, les équipes de BubbleMaps ont découvert que celle-ci était liée à plusieurs autres lancements de jetons tels que TRUST, KACY, VIBES ou encore HOOD.

Sans grande surprise, ces jetons ont connu le même sort, prenant la forme de pump&dump où le cours explose lors du lancement avant de rapidement chuter. Les insiders empochent les bénéfices lors de la hausse et les investisseurs classiques essuient les pertes pendant la chute.

Qui est derrière ces jetons ?

Toutefois, une question reste en suspens : qui est à l’origine de ces jetons ?

Au lendemain du lancement du jeton et de son fiasco, Hayden Davis, le fondateur de Kelsier Ventures a dévoilé dans une vidéo, publiée sur X, être à l’origine du lancement du jeton. 

Addressing Libra: pic.twitter.com/lUlAADWnkq

— Kelsier (@KelsierVentures) February 16, 2025

Dans cette vidéo, il explique également être l’un des conseillers de Javier Milei. Que ce soit concernant le lancement du jeton LIBRA mais également sur des projets plus larges concernant la tokenisation en Argentine.

Tôt ce matin, le YouTuber CoffeeZilla a publié une interview d’un peu plus d’une heure avec Hayden Davis, revenant sur les détails de ce lancement et ce qu’il se serait réellement passé.

Cette interview des plus intéressantes met en lumière plusieurs points majeurs concernant ce lancement et nous allons les explorer un à un.

Le projet initial de Milei avec le LIBRA

D’après l’interview, le projet initial du président argentin Javier Milei était d’utiliser le lancement du memecoin Libra comme un test pour une initiative plus large. En effet, selon les dires de Hayden Davis, Javier Milei est très intéressé par la tokenisation et la transparence offerte par la blockchain. De ce fait, il souhaite que toutes les transactions financières du pays passent par la blockchain.

Bien qu’il en ait fait la promotion, cela ne devait pas être le jeton de Javier Milei. Ainsi, en amont du lancement, plusieurs discussions étaient en cours avec des fondations pour structurer un plan à long terme pour la tokenisation des transactions financières du pays.

Deux employés de Tech Forum Argentina, « Manuel » et « Mauricio » étaient ainsi impliqués dans le lancement. De son côté, Kip Network devait gérer la fondation aux manettes du projet, comme expliqué par Hayden Davis dans l’interview :

« Kip Network allait gérer l’organisation à but non lucratif ou quoi que ce soit qui allait être comme une fondation »

Un lancement qui ne s’est pas passé comme prévu

Toujours selon Hayden Davis, le lancement ne s’est pas passé comme prévu. Ainsi, l’objectif initial était d’accumuler suffisamment de liquidités au lancement pour contrer l’impact des snipers.

En contrôlant les liquidités, Davis pensait être en mesure de contrôler la chute du prix, causée par les ventes massives des snipers. Ainsi, selon lui, des snipers experts ont investi massivement dans le jeton. Bien qu’il ne s’agirait pas d’insiders. Malgré ses tentatives, leurs achats étaient trop massifs pour contrôler la chute.

Par la suite, Javier Milei devait publier une deuxième vidéo sur X pour promouvoir le projet. En parallèle d’autres personnalités influentes (non nommées dans l’interview) devaient également interagir ou promouvoir le LIBRA.

Mais Milei, probablement face à des pressions politiques, a retiré son soutien et supprimé sa publication initiale sur X. De ce fait, les autres interactions de personnalités influentes n’ont pas eu lieu.

Milei se retire du projet

En effet, quelques heures après sa publication initiale, Javier Milei a retiré le tweet et fait la déclaration suivante sur X : 

« Il y a quelques heures, j’ai posté un tweet, comme je l’ai fait d’innombrables fois auparavant, pour soutenir une entreprise prétendument privée avec laquelle je n’ai évidemment aucun lien. Je ne connaissais pas les détails du projet et après m’être renseigné, j’ai décidé de ne pas continuer à le diffuser (c’est pourquoi j’ai supprimé le tweet). »

De son côté, Hayden Davis se défend via le communiqué partagé par Kelsier Ventures :

« À ma grande surprise, Milei a ensuite publié une déclaration indiquant que son retrait était dû à une prétendue mauvaise conduite de la part des fondateurs du projet, les qualifiant d’escrocs. Je rejette catégoriquement cette affirmation et tiens à souligner que Julian Peh, fondateur de KIP Network et principal sponsor de Libra Token, est totalement innocent de tout acte répréhensible. Je ne peux que supposer que les associés de Milei ont tenté de rejeter la faute sur Julian afin de se protéger de toute responsabilité. »

Les deux parties se renvoient la balle pour ne pas prendre la responsabilité de ce fiasco. De son côté, le président argentin devrait faire une apparition télévisée dans la journée afin de faire la lumière sur ce fiasco.

Les critiques de rug-pull

Comme nous l’avons abordé précédemment, le créateur du jeton a retiré des liquidités de la pool Meteora, ce qui a été perçu comme un rug-pull.

Hayden Davis explique qu’il a fait cela pour « protéger le prix minimal du jeton » :

« Est-ce que j’échange une partie des liquidités pour protéger le prix minimal en sachant qu’il y a d’autres plans de marketing à venir ou est-ce que je laisse le graphique s’écraser et c’est ce qui se passe à chacun de ces lancements, c’est ce qui se passe quand il y a entre trois et dix sniper experts qui cherchent juste à se débarrasser de toute leur position. »

Selon Davis, le plan initial était de réinjecter la vaste majorité des liquidités après la deuxième vidéo de Milei, afin de créer un « mega Trump launch ». Cependant, ce plan n’a pas pu être mis en œuvre, car le président a retiré son soutien au projet.

KOL et insiders

Évidemment, CoffeZilla l’a également interrogé sur les KOL (Key Opinion Leaders) et autres insiders qui auraient profité du lancement.

Ainsi, plusieurs KOLs et initiés étaient au courant du lancement du LIBRA avant le public. Cela leur donnait un avantage pour acheter tôt ou partager l’information avec d’autres.

Un exemple notable est Dave Portnoy, qui connaissait l’existence de LIBRA environ deux semaines avant son lancement. Il a investi 5 millions de dollars dans le projet. Par la suite, Dave Portnoy a perdu de l’argent sur le jeton, et l’équipe a décidé de le rembourser. Un événement qui a suscité la controverse.

De son côté, Davis explique que ce remboursement était une erreur. Notamment réalisé par l’attente d’un soutien public continu du président Milei et par le souhait de ne pas voir Portnoy perdre d’argent. Il reconnaît que cela a créé l’impression que le système était truqué.

Son implication dans le jeton MELANIA

Enfin, Hayden Davis a confirmé son implication dans le lancement du memecoin MELANIA lancé par l’épouse de Donald Trump. 

Selon Davis, cette implication était motivée par la volonté d’éviter le « sniping » qui avait impacté le lancement du memecoin TRUMP. 

L’objectif était de créer un lancement plus stable et équitable. Davis insiste sur le fait que, contrairement à Libra, l’équipe Melania n’a retiré aucune liquidité et n’a réalisé aucun profit sur ce projet. 

Il souligne que cette décision a été prise dans un souci de transparence et d’intégrité. Cependant, il reconnaît que des adresses liées au projet ont pu être impliquées dans des opérations de vente de jetons Melania, mais sans qu’il y ait eu de retrait de liquidités de la part de l’équipe principale.

Une défense un peu fébrile, on se l’accorde.

Une fois de plus, il s’agit d’une affaire riche en rebondissements qui aura fait couler de l’encre. Reste maintenant à savoir si des autorités vont se saisir de l’affaire et si des poursuites seront engagées à l’encontre de Hayden Davis ou d’autres parties impliquées dans le lancement. Quoi qu’il en soit, prudence est mère de sûreté. Cette interview montre bien que les investisseurs que nous sommes n’ont aucune chance face aux KOLs et autres insiders. Ainsi, les memecoins sont à trader avec une extrême précaution.

Pour faire le plein de cryptos, rendez-vous sur Binance, le leader des exchanges. Vous y trouverez toutes les cryptomonnaies les plus connues, ainsi que les projets novateurs présentés sur leur launchpool. Grâce à ce lien affilié, bénéficiez de 10 % de remise sur vos frais de trading et soutenez le travail du JdC




Lien commercial

L’article Memecoin LIBRA en Argentine : retour sur un futur scandale d’État ? Crypto Dossier est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Radix DLT – Présentation partie 2 – Une nouvelle norme pour les développeurs

Radix DLT est une plateforme full stack, une pile technologique complète dédiée à améliorer le Web3 sous tous ses aspects, issue de plusieurs années de recherche et de développement.

Cet article est la suite de la première partie où nous avions récemment posé les principes généraux du protocole et les principaux détails techniques. Il est important d’avoir lu cette première approche au préalable.

Nous allons aujourd’hui aborder la mise en pratique et les outils spécialement conçus pour changer la vie des développeurs. En effet, de nombreux concepts qui sous-tendent le design de Radix s’éloignent radicalement des normes actuelles en la matière. Nous nous baserons sur le livre blanc du projet afin d’exposer cette boite à outils technologique. Pour nous y aider, l’équipe a réalisé de nombreux schémas explicatifs, qui nous permettront de saisir la manière dont le travail de développement sur Radix diffère fondamentalement des plateformes existantes.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Radix.

Un protocole taillé pour la DeFi

Le protocole Radix est développé en open source par la Radix Foundation. Radix possède des propriétés uniques, qui vont au-delà de ses performances techniques et de son accessibilité pour les développeurs et les utilisateurs.

Les fonctionnalités classiques de la DeFi sont préexistantes, éprouvées et maintenues :

Actifs fongibles ou NFT ;

Comptes ;

Représentations de parts d’un fonds ou d’un pool ;

Contrôle multipartite ;

Pools de liquidité ;

Échanges (swaps) ;

Oracles ;

Etc.

Des « briques Lego » pour décentraliser la finance

Derrière cette appellation (on-network DeFi Lego Bricks) se cache des librairies, des frameworks et autres outils pour les développeurs Scrypto sur Radix. Comme pour les suites logicielles classiques, ils permettent aux programmeurs de créer plus rapidement leurs dApps, en réutilisant ce que d’autres ont déjà réalisé. De plus, cette standardisation générale améliore l’interopérabilité entre les applications.

L’avantage du réseau décentralisé est que la collaboration communautaire et la gestion des packages s’effectue directement sur ce dernier. Les blueprints peuvent être utilisés de façon modulaire, adaptés, mis à jour, versionnés et combinés. Il n’y a pas à copier/coller du code au sein d’un projet : il suffit d’utiliser l’environnement partagé du réseau pour utiliser les blueprints déjà déployés et opérationnels.

Ainsi, les développeurs n’ont donc pas à construire leur dApp de A à Z : ils peuvent réutiliser et combiner des blueprints fonctionnels. La philosophie de Radix est ainsi très proche de celle des créateurs d’UNIX dans les années 70. Des programmes simples et efficaces, pouvant être facilement combinés, pour bien fonctionner dans un ensemble plus complexe. En effet, cela maximise l’interopérabilité et la modularité, tout en permettant à chacun de contribuer à son niveau pour l’ensemble de la communauté.

Le Catalogue des Blueprints

Le modèle de Radix diffère grandement des plateformes de smart-contracts classiques, où les développeurs écrivent leur code, le déploient sur le réseau, et laissent les utilisateurs interagir avec. Le code Scrypto déployé sur Radix devient un blueprint ajouté à un registre appelé Blueprint Catalog.

Tout code déployé sur le réseau est ajouté au catalogue des blueprints.

Pour instancier un composant à partir d’un blueprint disponible dans le catalogue, le développeur appelle une fonction qui active le (ou les) composants et ressources désirés. Il spécifie les paramètres pour personnaliser son instance. Il peut ainsi instancier plusieurs composants à partir d’un unique blueprint.

Spécifier les paramètres désirés est suffisant pour instancier plusieurs composant à partir du même blueprint.

Avec ce nouveau paradigme d’environnement applicatif, les développeurs accèdent de façon rapide, facile et sécurisée aux fonctionnalités déjà créées, testées et éprouvées. Les Blueprints peuvent ainsi être instanciés et personnalisés grâce à une simple transaction. On peut programmer leur instanciation via d’autres Blueprints ou Composants, et construire ainsi les fonctionnalités d’une dApp de façon modulaire. En d’autres termes, c’est comme si sur Ethereum, il suffisait d’appeler une fonction et de spécifier ses paramètres pour créer plusieurs jetons ERC-20 en quelques lignes de codes.

Exemple

Bob souhaite par exemple déployer un protocole de prêt sur Radix. Pour cela, il utilise un AMM à fonction constante afin de réaliser les swaps des actifs pris en charge par sa dApp. Dans son Blueprint Lender, il va alors instancier un blueprint existant correspondant à l’AMM, puis le configurer à sa guise.

Les Blueprints possèdent leur adresse unique, associée à celle de leur créateur. Radix propose un système de versionnage, chaque mise à jour nécessitant révision. Cependant, les différentes versions d’un Blueprint cohabitent de façon immuable sur le réseau. La mise à jour d’un blueprint n’entraîne donc pas automatiquement celle des blueprints ou composants instanciant ce dernier.

Un écosystème de développeurs auto-incitatif

Radix étend le concept d’incitation économique propre aux réseaux blockchains à l’écosystème de ses développeurs.

Les royalties

Le système de Developer Royalties de Radix est particulièrement intéressant et innovant. Il est conçu pour catalyser la croissance de l’écosystème, de la même façon que les récompenses de bloc incitent mineurs et valideurs à participer. Il s’appuie sur le Blueprint Catalog.

Les Developer Royalties sont pour les développeurs l’équivalent économique des récompenses de bloc pour les mineurs/validateurs d’un réseau blockchain.

Le système est simple mais efficace : le développeur d’un blueprint/composant peut définir des royalties pour chaque utilisation de son code au sein d’une transaction. Lors de chaque transaction nécessitant son utilisation, son développeur touche ainsi une petite commission. Les royalties se basent donc sur l’utilité réelle du composant.

Puisque les blueprints et les composants sont présents sur le réseau (il ne s’agit pas de copier/coller du code pour les utiliser), le Radix Engine assure le versement de ces royalties. De plus, ces paiements s’effectuent de manière complètement décentralisée, en fonction de l’utilité du travail apporté par le développeur. Cette propriété exclusive de Radix établit une sorte de place de marché developer-2-developer. Les royalties sont versées de façon automatique, et garanties par le mécanisme de consensus de Radix.

Un système de récompense basé sur l’utilité des contributions

Les Composants sont instanciés via des blueprints originaux. Ainsi, le développeur fixe ses royalties avant de déployer son blueprint dans le Catalogue. Lorsqu’une transaction fait appel à un composant instancié via son blueprint, son créateur perçoit sa royalty

Les royalties sont automatiquement calculées et ajoutées aux frais par le Radix Engine, au moment de la création de la transaction. L’utilisateur verra donc leur montant sur son wallet, en plus des traditionnels frais de transaction. Il incombe à chaque développeur la responsabilité de calculer finement ses royalties, en fonction de l’utilité et de la valeur de son code. Ainsi, certaines méthodes pourront être gratuites, tandis que d’autres seront payantes.

De nouveaux flux de revenus pour les développeurs

Ce modèle incite donc les développeurs à fournir les fonctionnalités les plus utiles et efficaces pour gagner des récompenses. Cela incite également à créer des blueprints standards, largement adoptés, améliorant d’autant plus la modularité générale de la plateforme.

Dans l’exemple de l’utilisation d’un AMM, le créateur du blueprint de base et le développeur de la dApp utilisant un composant instancié via ce blueprint sont tous deux récompensés.

Les royalties peuvent être cumulatives. Par exemple, le créateur d’un blueprint d’oracle percevra des royalties à chaque utilisation, tandis que le développeur d’un composant instancié à partir de cet oracle pourra être aussi récompensé pour son usage spécifique (par exemple s’il fournit des données originales, ou si sa version est adoptée par une dApp).

Ce modèle inédit permet de créer des flux de revenus on-chain pour les développeurs, pouvant inspirer de nouveaux business modèles. Il est possible de modifier le montant des royalties, toutefois, il faudra préalablement accepter l’ensemble des royalties associé à chaque nouvelle version d’un blueprint ou d’un composant pour l’utiliser.

Le guide du développeur

Le guide du développeur est l’interface regroupant les différents blueprints du catalogue que fournit la Fondation Radix. On y trouvera facilement toutes les informations les concernant : frais de transaction, prix des royalties, historique des versions, identifiant et réputation du développeur, usage, etc. De même, ce front-end facile d’accès permettra d’accéder aux données des différents composants instanciés sur le réseau. Cela permettra aux développeurs de découvrir tous les blueprints et les composants pour accélérer leur travail.

La Radix Foundation, résolument axée sur l’open source, compte voir croître un écosystème d’applications DeFi portée par une communauté de développeurs, récompensée à la juste mesure de son travail. La Fondation est là pour épauler cette communauté, en fournissant des blueprints-clés, exempts de royalties. De même, lors des stages initiaux de la croissance du réseau, elle récompensera les opérateurs de nœuds et les développeurs.

Cerberus, le protocole de consensus BFT parallélisé de Radix

À l’instar des plateformes de smart contracts et DLT de dernière génération, Radix présente un très haut débit de transactions. Plus précisément, Radix vise une scalabilité illimitée selon trois axes :

Débit de transactions illimité ;

Utilisation des applications DeFi illimitée ;

Composabilité illimitée entre les applications décentralisées.

Nous avons passé en revue le fonctionnement du Radix Engine, il est maintenant temps de s’intéresser au mécanisme de consensus de Radix : Cerberus.

Composabilité versus scalabilité

L’approche la plue répandue pour améliorer la scalabilité d’un DLT est celle du sharding (la fragmentation du réseau). Il s’agit de paralléliser les opérations à travers différentes parties du réseau (shards), pour augmenter son débit global. Certains réseaux utilisent une architecture en sidechains, articulées autour d’un hub : c’est le cas de Cosmos et de Polkadot. D’autres fragmentent les blocs, afin que différents nœuds traitent ces morceaux indépendamment, comme Near. Avec cette approche, applications et transactions se répartissent au sein de différents shards, pour être traitées en parallèle.

Les différents shards doivent communiquer entre eux. Les limites de ces architectures se posent lorsque les consensus des shards sont différents. Il faut trouver des méthodes de coordination. Dans tous les cas, elles vont affecter le débit du système, d’autant plus si le nombre de shards est fixe, et que les dApps et actifs du réseau global sont assignés à des shards statiques. Cela ralentit l’ensemble, peut provoquer des erreurs et renforce la complexité du code.

La scalabilité des plateformes DLT est donc souvent atteinte au détriment de la composabilité des applications décentralisées. Par composabilité, on entend la capacité des différents dApps et actifs à être interopérables. L’idéal est la composabilité « atomique » : valider ou rejeter des séries de transactions complexes entre différentes dApps en une seule étape. Cet objectif est au cœur du design de Cerberus.

Le consensus « tressé » de Cerberus

En tenant compte des observations ci-dessus, Radix et son système de sharding est conçu selon trois principes : 

Nombre de shards illimité ;

Protocole de consensus dynamique et synchrone entre les shards concernés par une opération atomique ;

Couche applicative adaptée.

Le concept central de Cerberus est nommé le « pré-sharding ». Le registre est initialement fragmenté en un très grand nombre de shards (virtuellement illimité). Ces fragments sont ensuite utilisés pour représenter tout type d’objet. Cerberus peut alors « tresser » un consensus sécurisé pour un nombre arbitraire de shards. On parle de « braided consensus » : nous allons nous contenter dans cet article d’explorer ce concept dans ses grandes lignes. Afin d’avoir plus de détails, il faut se référer au whitepaper dédié : Cerberus – A Parallelized BFT Consensus Protocol for Radix.

Ordonnancement partiel

Les registres distribués reposent sur l’ordonnancement global des transactions : elles sont toutes placées sur la même échelle temporelle. Avec Cerberus, l’ordonnancement ne concerne que la transaction à traiter. Tout d’abord, la couche applicative de Radix spécifie quels shards sont requis pour son exécution.

Sélection des shards concernés par la transaction.

Tressage

Une fois la sélection des shards effectuée, l’algorithme de consensus BFT consiste à exécuter une instance de 3 rondes de consensus pour chaque shard (appelée 3-chain). Toutes ces instances (donc ces shards) sont « tressées » les unes avec les autres, grâce à des mises en gage cryptographiques. Ces commitments sont produits et partagés par les nœuds leaders des shards concernés. On obtient alors un consensus « émergent », qui assure que tous les shards peuvent peuvent s’engager dans la transaction – atomic multi-shard transaction.

La transaction est bien atomique grâce aux mises en gage entre les shards (d’où l’appellation « tressage »).

Consensus dynamique

Le protocole est conçu pour paralléliser ces processus de consensus. Chaque shard a sa propre instance locale. Elles sont exécutées de façon indépendante, comme toute instance multi-shard qui n’est pas reliée temporellement à une autre à l’instant t au moment de l’exécution.

Cerberus est donc un algorithme de consensus conçu pour des réseaux d’applications et de transactions simultanées divers, de très grande taille. La scalabilité est linéraire, car la parallélisation des ensembles de shards est illimitée. De multiples opérations peuvent être effectuées en même temps sans ralentir le reste du système. Si la charge du réseau augmente, il suffit d’augmenter le nombre de nœuds. La section « Labs » du site officiel de Radix comporte un calculateur du débit de transactions en fonction du nombre de nœuds.

La scalabilité linéaire de Radix

La couche applicative de Radix

La parallélisation des tâches grâce à Cerberus confère donc au réseau un débit virtuellement illimité en termes de transferts d’actifs. Pour ce qui est de l’exécution des smart contracts, il faut concevoir une couche applicative adaptée. Cette dernière définit les règles qui régissent les sous-états du registre (substates). De plus, elle doit assurer que chaque transaction définit quels sous-états (et donc les shards concernés) doivent être inclus dans le consensus.

Un substate est donc un enregistrement qui fixe les règles d’une opération précise. Par exemple, lors d’un transfert de jetons entre Alice et Bob, les sous-états définissent :

Les 5 jetons se trouvent sur le compte de Bob ;

Ces 5 jetons ne se trouvent plus sur le compte d’Alice.

Ces deux substates permettent de s’assurer que les jetons ne sont ni perdus, ni créés. Il est donc très important, pour paralléliser les tâches, que la couche applicative donne à Cerberus la liste des shards concernés pour chaque transaction.

C’est grâce au Radix Engine que l’on peut définir les sous-états et leur importance pour une transaction donnée. En effet, les jetons sont traités comme des objets, au niveau de la plateforme. Ce concept de ressources permet de paralléliser les transferts autant que possible : les actifs sont disséminés au sein des sous-états et des shards à la demande. Ce n’est pas possible avec l’EVM, où les jetons sont représentés à travers des smart contracts individuels.

Structure des transactions

Conceptuellement, la façon dont les déplacements d’actifs fonctionnent sur Radix diffère des modèles UTXO classiques, comme Bitcoin ou Cardano.

Une transaction sur le Radix Engine spécifie l’intention de la transaction. Pour comprendre, imaginons le fonctionnement d’un smart contract devant traiter un grand nombre de transactions en même temps. Dans la version naïve, chaque transaction devrait spécifier quels substates/shards sont concernés et identifier les actifs à déplacer. Cela poserait des problèmes en cas d’utilisation massive du réseau :

Le portefeuille de l’utilisateur identifie les jetons à déplacer lors du swap, puis initie la transaction ;

Dans le même temps, un autre utilisateur effectue un swap, mais son portefeuille identifie les mêmes jetons ;

La première transaction devient alors invalide, et échoue.

C’est un problème qui s’est posé lors du lancement du premier DEX sur Cardano. Ces conflits proviennent du modèle de transaction : les UTXO doivent être identifiés préalablement au transfert des fonds.

Avec Radix, les jetons ne sont pas identifiés lors d’une transaction. Il s’agit simplement de communiquer l’intention

« Je souhaite envoyer cette quantité de jetons A sur le DEX (peu importe lesquels), et souhaite recevoir en échange cette quantité de jetons B en retour (peu importe lesquels). »

Les substates spécifiques à la transaction sont donc déterminés par le Radix Engine au moment de son exécution sur le réseau. Il « regarde » quels jetons sont disponibles, et prend la quantité désirée au moment où le réseau opère la transaction. Cela évite ainsi les conflits.

Structure des composants

Les composants de Radix, ainsi que leurs données et ressources, sont assignés à un shard unique, à n’importe quel moment dans le temps. De la sorte, chaque composant peut traiter autant de transactions que nécessaire. Pour chaque composant, le Radix Engine « capture » l’état de ce dernier au sein d’un unique substate. Toute ressource entrant dans le composant est incluse dans ce sous-état. À l’inverse, si une ressource quitte le composant, elle disparaît du substate.

Il en va de même pour les comptes, qui sont aussi des composants. Les applications décentralisées utilisant plusieurs composants font donc usage de plusieurs shards. Par exemple, dans le cas d’un DEX, chaque paire de trading utilisera un shard différent, et les échanges pourront être traités en parallèle.

Le sharding avec le Radix Engine et Cerberus

Nous en revenons à la notion de composabilité, qui ne doit pas être affectée par l’aspect hyperscalable de Radix. Sur Ethereum, les dApps peuvent être composables, mais toutes les transactions et les appels entre smart contracts passent par le même mécanisme de consensus global.

Dans le cas classique, les transactions composées entre de multiples dApps (entourées en gris) restent traitées par l’algorithme de consensus global du réseau.

Les mécanismes de sharding permettent de paralléliser les opérations, à travers un nombre fixé de shards ou de sidechains. Comme nous l’avons vu, bien que cela augmente le débit global, cela limite la composabilité entre les shards/sidechains. Le débit de chaque shard reste également limité.

Avec le sharding classique ou les systèmes de chaînes secondaires, la composabilité entre les dApps est compromise.

La combinaison du Radix Engine et de Cerberus permet de s’affranchir de ce compromis :

Transactions (« déplacement » des ressources) effectuées en parallèle sans goulot d’étranglement ;

Exécution des composants simultanée et sans conflits ;

Parallélisation des opérations des dApps, grâce aux multiples composants logiquement indépendants, qui augmente encore le débit ;

Sélection des ressources et composants nécessaires pour chaque transaction, qui maximise l’efficacité de la parallélisation.

La composabilité est assurée par Cerberus, qui exécute les transactions atomiques entre les shards. La scalabilité de Radix est ainsi virtuellement illimitée sans compromettre la composabilité atomique grâce au système de transactions cross-shards.

Radix : scalabilité et composabilité.

Le design unique de Radix a pour but de créer une plateforme DeFi réellement adaptée à une adoption de masse et à la finance globalisée !

La feuille de route de Radix vers l’hyperscalabilité

Nous avons passé en revue la technologie de Radix de façon théorique. En pratique, le projet est toujours en développement. La feuille de route de Radix vise à atteindre l’objectif d’hyperscalabilité – la capacité du réseau à accueillir des milliards d’utilisateurs – vers 2027.

Elle comporte 3 étapes :

Cassandra (2025). Il s’agit de la plateforme de test du Radix Engine.

Radix Engine (2025). Déjà implémenté lors de l’étape Babylon, il sera testé par la communauté après implémentation de la mise à jour du système de sharding, puis audité.

Xian : il s’agit de l’étape finale, la mise en production. La version alpha est prévue pour début 2027, et son lancement vers la mi-année. Xian sera implémenté en Rust en 2026, et intégrera toutes les fonctionnalités de la plateforme.

Ressources et références

En tant que développeur, Radix est bien sûr une opportunité à ne manquer si vous souhaitez travailler dans l’industrie Web3. Le système unique des royalties est particulièrement incitatif si vous souhaitez contribuer. Le Developer Hub vous permettra de vous familiariser avec Scrypto. Radix propose également un programme (incluant des récompenses) pour bâtir sa communauté, et l’accès à de futurs événements. Quant aux offres d’emploi, elles sont disponibles ici.

Si l’ambitieux Radix vous intéresse, vous trouverez ci-dessous toutes les liens et ressources nécessaires pour rejoindre sa communauté, et approfondir votre compréhension du projet. Le jeton natif de Radix, le XRD, est disponible sur de nombreuses plateformes, et directement achetable sur le site officiel via Alchemy Pay. L’équipe communique très régulièrement sur les réseaux sociaux et sur son blog.

Afin de tester la plateforme, l’utilisation du Radix Wallet, clair et intuitif, est une première étape. Un système ludique de quêtes vous permettra d’obtenir vos premiers jetons XRD.

Réseaux sociaux

Discord

Facebook

GitHub

Medium

Reddit

Telegram

X

YouTube

LinkedIn

Ressources

Peer review de Cerberus et analyse mathématique formelle

Site officiel

Blog

Podcast

DeFi Whitepaper

Cerberus Whitepaper

L’article Radix DLT – Présentation partie 2 – Une nouvelle norme pour les développeurs est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Quand le street art arrive on-chain : Space Invader et Collaterize tokenisent une œuvre d’art

Collaterize est une blockchain spécialisée dans la tokenisation des actifs du monde réel (RWA). En novembre dernier, elle a ouvert les portes de son premier testnet public marquant une étape majeure dans son développement. Aujourd’hui, le projet annonce un partenariat innovant avec l’artiste Space Invader, connu pour son street art. Cette première collaboration vient donc de débuter directement sur l’application Collaterize.

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Collaterize.

Collaterize et Space Invader annoncent aujourd’hui une collection de NFT

Samedi 15 février, les équipes de la plateforme RWA ont annoncé un partenariat avec l’artiste Space Invader. Vous avez probablement vu l’une de ses mosaïques iconiques en France, que ce soit à Paris, Nantes, Toulouse ou encore Lyon.

Une œuvre d’Invader à Paris.

Une démarche artistique entamée en 2010, lorsque Invader s’est inspiré de l’esthétique architecturale de Rome pour son œuvre « Mosaico & Muratura ». De ces productions urbaines sauvage distribuées au détour des rues, une série de sérigraphies voit le jour. 30 exemplaires disponibles, édités, signés et numérotés par l’artiste.

Aujourd’hui, Collaterize tokenise et met en vente l’une de ces sérigraphies. Ainsi, le projet a fractionné cette œuvre en 1 000 jetons uniques.

La vente de la sérigraphie « Mosaico & Muratura » de Invader vient d’ête annoncée sur X.

Une opération qui s’inscrit dans la volonté de Collaterize : 

« Transformer des actifs historiquement illiquides en jetons numériques négociables, en les rendant accessibles, liquides et programmables. »

Ainsi, vous avez vous aussi la possibilité d’acquérir une fraction d’œuvre d’art, pour un prix d’appel qui débute à 10,50$.

Vous l’aurez compris, l’objectif de la démarche est de réunir et faire grandir une communauté Collaterize passionnée d’art qui pourra enfin réaliser son rêve de collectionner sous la forme de jetons échangeables et surtout abordables.

La vente se déroule sur la plateforme de Collaterize, accessible via l’application mobile disponible sur iOS et téléchargeable sur l’App Store. La version Android quant à elle sera disponible très bientôt.

Ainsi, dès aujourd’hui, vous pouvez acquérir un bout de l’histoire du street art, on-chain grâce à la tokenisation de Collaterize.

L’article Quand le street art arrive on-chain : Space Invader et Collaterize tokenisent une œuvre d’art est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé