Un retour des NFT ? FIFA poursuit son projet de blockchain avec Avalanche

Alors que les NFT ont clairement perdu de leur éclat depuis le crash de 2022, certaines institutions n’ont pas abandonné leur projet dans le secteur. La FIFA a récemment annoncé le lancement de sa propre blockchain de niveau 1, en partenariat avec Avalanche. C’est une décision qui dépasse la simple collection numérique pour toucher à…

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FIFA Collect passe au niveau 1 de l’Avalanche alors que la base de fans du Web3 s’élargit

Modex est désigné comme partenaire technique et fournisseur d’infrastructure.
FIFA Rivals va proposer une place de marché NFT via Mythical Games.
Blockchain pour prendre en charge les NFT, les jeux et les actifs numériques des fans.

La FIFA est en train de construire une blockchain de couche 1 dédiée en collaboration avec Avalanche et Modex, qui hébergera ses objets de collection numériques FIFA Collect.

La migration, prévue après le 20 mai, permettra d’établir une infrastructure blockchain personnalisée adaptée aux NFT et aux souvenirs numériques destinés aux fans.

Cette décision témoigne de l’engagement plus large de la FIFA en faveur de la technologie blockchain et s’inscrit dans un contexte d’intérêt croissant pour les actifs numériques sur le thème du sport.

Avec le lancement à venir, Avalanche a confirmé que FIFA Collect sera l’application inaugurale de la nouvelle chaîne, visant à améliorer l’évolutivité, la sécurité et l’expérience des fans.

Modex dirigera l’infrastructure et la mise à niveau de FIFA Collect

Dans le cadre de ce changement, Modex a été désigné comme partenaire technique et fournisseur d’infrastructure. Son rôle comprend la conception de l’architecture de la chaîne de couche 1 de la FIFA et la mise à niveau de la place de marché FIFA Collect.

Modex devrait permettre une migration en douceur et soutenir les ambitions de la FIFA d’étendre son écosystème numérique. La plate-forme mise à jour proposera des lancements numériques réguliers centrés sur des joueurs, des clubs et des moments emblématiques du football mondial.

Ces objets de collection ont déjà été distribués via la page Drops de la FIFA, et le format devrait se poursuivre sur le nouveau réseau.

La migration s’aligne également sur la feuille de route d’Avalanche pour l’hébergement d’applications à haut débit et riches en ressources.

Blockchain de couche 1 pour prendre en charge les NFT, les jeux et les actifs numériques

Selon le blog officiel d’Avalanche et la section FAQ de la FIFA, la blockchain Layer-1 prendra non seulement en charge FIFA Collect, mais fournira également une base pour les intégrations futures, y compris les jeux basés sur les NFT et les expériences tokenisées des fans.

L’infrastructure accueillera un large éventail d’actifs numériques, dans le but d’offrir une expérience utilisateur « axée sur le football ».

Ce lancement de couche 1 est l’initiative blockchain la plus complète de la FIFA à ce jour. Alors que la FIFA a déjà exploré le Web3 lors de la Coupe du monde 2022 au Qatar à travers divers jeux blockchain et objets de collection, cette chaîne dédiée reflète un saut stratégique.

FIFA Collect va maintenant devenir la pierre angulaire de cette stratégie, combinant l’engagement des fans basé sur la blockchain avec des mécanismes de diffusion de NFT évolutifs.

FIFA Rivals et l’économie numérique croissante du sport

La feuille de route blockchain de FIFA comprend également des projets externes comme FIFA Rivals, un jeu de football mobile développé par Mythical Games.

Le jeu comportera une place de marché NFT intégrée et permettra aux utilisateurs d’échanger des NFT de footballeur. Cette initiative souligne l’intention de la FIFA d’être active dans de multiples domaines numériques.

Selon BeInCrypto, FIFA Rivals devrait faire le lien entre les jeux et la propriété d’actifs numériques, en ciblant un public mobile avec du contenu sous licence. Cette annonce s’ajoute à la liste croissante des propriétés sportives qui adoptent l’infrastructure Web3.

La tendance plus large montre une forte dynamique, les outils d’engagement des fans basés sur la blockchain étant de plus en plus adoptés par les organismes sportifs du monde entier. L’implication d’Avalanche offre à la FIFA une base solide pour l’expérimentation des NFT, des jeux et des récompenses numériques.

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NFT : La FIFA choisit Avalanche pour sa plateforme de collection numérique

La FIFA sur Avalanche. L’instance dirigeante du football international, la FIFA, a annoncé le transfert de sa plateforme de collection numérique, FIFA Collect, vers la blockchain Layer-1 Avalanche. Cette décision marque une nouvelle étape dans l’adoption de la technologie blockchain par les grandes organisations sportives.

Les points clés de cet article :La FIFA a annoncé le transfert de sa plateforme FIFA Collect vers la blockchain Avalanche, marquant un tournant dans l’adoption de la technologie blockchain par les grandes organisations sportives.
Ce choix stratégique repose sur la performance et la scalabilité d’Avalanche, permettant à la FIFA de développer de nouveaux cas d’utilisation sur sa propre chaîne, tout en exploitant son audience mondiale.
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Une migration stratégique de FIFA Collect

Lancée initialement sur Algorand, puis partiellement sur Polygon, FIFA Collect permet aux utilisateurs d’acheter et d’échanger des NFT basés sur des moments forts du football. En avril, la plateforme avait déjà annoncé son intention de quitter Algorand pour une blockchain dédiée à la FIFA, désormais confirmée comme étant propulsée par Avalanche.

Selon Francesco Abbate, PDG de Modex et FIFA Collect, ce changement vise à améliorer la capacité de la plateforme à offrir des expériences immersives aux fans, grâce à la rapidité, la scalabilité et la compatibilité EVM d’Avalanche : « nous sommes fiers de poser les bases d’une nouvelle ère du football numérique », a-t-il déclaré.

Pour en savoir plus sur Avalanche, retrouvez notre entretien avec un développeur du réseau – Source : YouTube

Avalanche : un choix basé sur la performance

Le choix d’Avalanche a été motivé par des critères de performance, de scalabilité et de personnalisation, selon Francesco Abbate. De son côté, John Nahas, le directeur commercial d’Ava Labs, a souligné que cette collaboration permettrait donc à la FIFA d’exploiter son audience mondiale et de développer de nouveaux cas d’utilisation sur sa propre chaîne.

« La FIFA est une marque et une ligue de renommée mondiale. Avalanche lui offre ainsi l’infrastructure et l’échelle nécessaires pour tirer parti de son audience mondiale, de sa base de fans et de ses ambitions commerciales

John Nahas, le directeur commercial d’Ava Labs – Source : Decrypt

La migration de FIFA Collect n’est que la première étape des plans de la FIFA pour sa nouvelle blockchain. D’autres projets sont prévus, bien que les détails restent à préciser. Cette initiative s’inscrit dans une tendance plus large où les organisations sportives explorent les technologies blockchains pour créer des produits numériques innovants et engager leurs fans de manière inédite, et à ce petit jeu là, la FIFA a déjà un temps d’avance sur tout le monde.

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FIFA Teams Up With Avalanche to Build Its Own Blockchain, Expanding Web3 Ambition

FIFA, football’s global governing body, plans to use Avalanche’s network to power its own dedicated layer-1 blockchain.

The FIFA Blockchain is an Avalanche L1, a customizable blockchain that uses Avalanche’s technology (also previously known as a subnet). The news comes as the Avalanche network recently went through its major Avalanche9000 upgrade, aimed at attracting new developers and encouraging them to create customized L1s.

Thursday’s announcement is not FIFA’s first foray into the world of blockchain and crypto. In 2022, the football body released a non-fungible token (NFT) collection on the Algorand blockchain ahead of the Qatar World Cup. FIFA also teased this change in April, noting that it would shift its collection to an EVM-compatible blockchain while continuing to pursue Web3 initiatives.

The NFT craze, which saw large institutions and corporations jumping into the trend, has now mostly vanished after the brutal crypto winter that dampened industry sentiment for several painful years. However, a large entity such as FIFA’s continued focus on blockchain likely signals that the use case for the technology hasn’t died down, and big enterprises are still looking to dabble in the industry.

“Avalanche is designed for enterprises and organizations looking to build custom, high-performance blockchain solutions,” said John Nahas, chief business officer at Ava Labs, in a press release shared with CoinDesk . “FIFA’s decision to launch its L1 on Avalanche is a testament to our technology’s ability to support global-scale applications with speed, flexibility, and security.”

While FIFA currently only has a World Cup NFT collection and a digital collectibles marketplace, it did not share what else it is planning to release on its new blockchain.

Read more: FIFA Embraces NFTs Tied to Classic Games Highlights for World Cup 2022

Tokenization is Full Steam Ahead… with Tracks Still Needing to be Built

The tokenization of real world assets (RWAs) is gaining recognition from institutions seeking collateral mobility, issuers making private, alternative assets more accessible to retail investors and crypto enthusiasts engaging in more serious conversations as compared to the NFT and memecoin craze of past years.

As predicted earlier this year, tokenization is solidifying its position and moving into the « pragmatists » portion of the adoption bell curve. 2024 ended with a $50 billion market cap and as of May 2025 has surpassed $65 billion, excluding stablecoins.

A recent conference, TokenizeThis 2025, brought together industry leaders to dive deep into specific areas of the tokenization space, celebrating innovative accomplishments and evaluating how to tackle remaining challenges to reach mainstream adoption. While the conference panel topics delved into granular areas, a couple overarching themes to highlight include 1) collateral mobility and new utility enhancing real world assets and 2) the effects tokenization will have on investment strategies and workflows.

Adding utility and collateral mobility

“I think that’s actually what makes this technology so powerful is that you’re talking about the same token but it can be used in very different ways for very different investors as long as of course the risk framework is right,” said Maredith Hannon, head of business development, digital assets at WisdomTree.

While tokenizing assets is straightforward, the real opportunity lies in enabling more streamlined usage of assets compared to their traditional counterparts and addressing the needs of different participants. A panel dedicated to this topic shared examples of tokenized treasury products that can be used in both retail and institutional settings. Because blockchain allows an asset to move more freely, a money market fund could be used as collateral on a prime brokerage, eliminating the need to exit from that position thus still earning its corresponding yield for the investor. From a retail perspective, the same is possible with a different application where the fund units can be used for payment using a debit card linked to them. Utility can be added to other, higher risk investment products as well through different applications depending on the use case, with the common denominator being the use of blockchain technology.

Along the same lines, lending and borrowing is being disrupted thanks to tokenization. Going to a traditional lender (usually an institution) for cash is a cumbersome process.

“The end goal in my opinion would be that my kids when doing their first mortgage just apply anonymously on a mortgage saying ‘this is my situation I want to borrow this for that’ and then she just borrows it [from] many people at the same time and repaying stablecoins… it’s already quite daunting to talk to 20 banks because you want to buy one apartment, at least this is how it works in France right now,” said Jerome de Tychey, CEO at Cometh.

Jerome’s anecdote speaks to the power of decentralized finance for an individual and how it can fast-track a loan. Figure offers an internet-based solution for home equity lines of credit (HELOCs) and even they are using the blockchain in the backend. By issuing, warehousing and securitizing them, they’ve saved 150 bps out of the process — an operational advantage. From an investment standpoint, the DeFi vaults panel showcased how vaults streamline something similar but for investors, with an example being Apollo’s tokenized private credit fund now using this technology to enable leverage loops. This means borrowed stablecoin can be used to buy more of the asset, increasing yield while being subject to a built-in programmatic risk framework.

Source: Securitize

However, challenges remain to be solved before vaults can take off, such as high custody and liquidity provision costs, limited RWA composability in DeFi and minimal appeal to crypto-native users seeking higher returns. Despite these obstacles, participants expressed enthusiasm for future possibilities.

How RWAs are impacting traditional strategies and workflows

“The reason this technology is so powerful is because it’s a computer. If you think about all the middle and back office work from originating an asset to selling it, how many intermediaries touch it and take fees, how many people ensure loan tapes match with received funds bringing that workflow on-chain is far more meaningful than just focusing on the asset itself,” said Kevin Miao, head of growth at Steakhouse Financial.

Traditional markets have had a challenging time incorporating less liquid, higher yielding assets into investment strategies due to complex back and middle office needs for transfers, servicing, reporting and other factors. Automating transfer processes and providing on-chain transparency would make it easier for these assets to be allocated in and out of, in addition to cryptocurrencies introducing new investment opportunities.

Cameron Drinkwater from S&P Dow Jones Indices and Ambre Soubiran from Kaiko discussed how blockchain will unlock previously inaccessible portfolio construction tools. They shared how this could result in blockchain-native investment strategies combining crypto and private asset allocations for greater diversification and new sources of yield.

Achieving this, however, requires interoperability between legacy and blockchain-based infrastructure and between blockchains themselves. Some critical elements include aligning workflows, price transparency, rebalancing, on-chain identity, risk assessment considerations and risk management solutions. Providing maximum visibility into these assets and tools to navigate markets on-chain is one key step in.

RWAs are shifting from theoretical blockchain to practical tokenized asset implementation in traditional and decentralized finance. The focus is now on enabling real utility through better collateral mobility, new financial products and more efficient workflows. By improving interoperability and identity frameworks, tokenization is expected to democratize illiquid assets and enhance financial efficiency. For additional recordings of the informational sessions, please visit STM TV on YouTube.

Crypto : La SEC confirme que les NFT ne sont pas des titres financiers

Quel statut pour les NFT ? La commissaire de la SEC, Hester Peirce, a récemment clarifié la position de l’agence sur les NFT, déclarant que ces derniers, même avec des mécanismes de redevances pour les créateurs, n’étaient pas considérés comme des titres financiers. Cette déclaration intervient alors que la plateforme OpenSea a demandé le mois dernier à la SEC de reconnaître que les places de marché NFT n’étaient pas des bourses au sens des lois fédérales sur les valeurs mobilières. La régulation continue d’avancer à grands pas aux États-Unis.

Les points clés de cet article :La commissaire de la SEC, Hester Peirce, a clarifié que les NFT, même avec des redevances pour les créateurs, n’étaient pas considérés comme des titres financiers.
OpenSea, principale plateforme de marché NFT, a donc demandé à la SEC de reconnaître que ces places de marché ne sont pas des bourses selon les lois fédérales sur les valeurs mobilières.
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Les NFT ne sont pas des titres financiers selon la SEC

Hester Peirce a donc expliqué que les NFT qui permettent aux artistes de percevoir des redevances sur les reventes n’étaient pas qualifiés de titres financiers. Contrairement aux actions, les NFT sont des actifs programmables qui distribuent des revenus aux développeurs ou aux artistes, un peu comme les plateformes de streaming rémunèrent les musiciens et les cinéastes :

« Tout comme les plateformes de streaming paient des redevances au créateur d’une chanson ou d’une vidéo chaque fois qu’un utilisateur la joue, un NFT peut permettre aux artistes de bénéficier de l’appréciation de la valeur de leur travail après sa vente initiale »

Hester Peirce, commissaire au sein de la SEC – Source : document de la sec

Oscar Franklin Tan, directeur juridique d’Atlas Development Services, a cependant souligné que les commentaires de Mme Peirce avaient été largement mal compris. Il a donc bien précisé que les NFT qui versaient des redevances aux artistes n’étaient pas considérés comme des titres financiers, une vue qui est juridiquement correcte, mais qui a été mal interprétée par certains médias :

« La SEC n’a jamais interdit les contrats où les artistes et les créateurs perçoivent des redevances sur les ventes secondaires de leur travail, pas plus que les redevances issues de contrats papier ou de protocoles blockchain »

Oscar Franklin Tan, directeur juridique d’Atlas Development Services – Source : Cointelegraph

Pour lui, il est important de rappeler que la règlementation sur les investissements n’a rien à voir avec celle sur le droit de propriété, ni sur celle concernant la rémunération des artistes.

La commissaire de la SEC, Hester Peirce, a répété la position de la régulation américaine sur les NFT

OpenSea demande une clarification indispensable

OpenSea, la plus grande place de marché du secteur, a d’ailleurs récemment demandé à la SEC de clarifier sa position sur les NFT. Dans une lettre adressée à Hester Peirce, les avocats d’OpenSea ont ainsi soutenu que les places de marché NFT devaient être exclues de la surveillance des exchanges, au sens des lois fédérales sur les valeurs mobilières.

Cette lettre fait suite à la conclusion de l’enquête de la SEC sur OpenSea, qui a été considérée comme une victoire pour l’industrie. Les avocats d’OpenSea ont fait valoir que les places de marché de ces jetons non fongibles n’exécutaient pas de transactions, mais n’agissaient qu’en tant qu’intermédiaires. Ils ont donc exhorté la SEC à déclarer clairement que les places de marché NFT comme OpenSea n’étaient pas des bourses d’échange.

La déclaration de Mme Peirce et la demande d’OpenSea marquent une étape importante dans la régulation des NFT. Alors que la SEC continue d’explorer le statut juridique des actifs numériques, les acteurs de l’industrie espèrent une clarification qui permettra de stimuler l’innovation tout en protégeant les investisseurs.

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Cardano en tempête : Charles Hoskinson accusé de détourner 600 millions de dollars

Lancé en 2017, Cardano (ADA) a été fondé par Charles Hoskinson, l’un des cofondateurs d’Ethereum. À l’instar d’Ethereum, Cardano est une blockchain qui permet l’exécution de smart contract. Toutefois, plusieurs points différencient les deux chaînes, allant du mécanisme de consensus au langage de programmation des smart contracts. Toutefois, Cardano et son fondateur sont au cœur d’une polémique depuis le début du mois de mai. Polémique que Charles Hoskinson essaye tant bien que mal à contenir.

Les points clés de cet article :
Cardano et son fondateur Charles Hoskinson ont été plongés dans une polémique concernant une accusation de détournement de fonds de 600 millions de dollars.
Charles Hoskinson a nié les accusations, soutenant que les fonds avaient été réclamés par leurs propriétaires initiaux ou donnés à Intersect, et a promis un rapport pour clarifier la situation.
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Cardano : Charles Hoskinson accusé d’avoir subtilisé 600 millions de dollars

Cette affaire débute le 6 mai, avec une publication sur le réseau social X. Celle-ci a été partagée par l’artiste NFT, Masato Alexander.

Dans sa publication, Alexander accuse Charles Hoskinson d’avoir mis la main sur 318 millions de jetons ADA, soit 619 millions de dollars. Une accusation loin d’être anodine au vu des montants impliqués.

Il étoffera son accusation le lendemain dans un thread plus important.

Tout commence en 2021, alors que le réseau Cardano opère le hard fork Allegra. Selon Masato Alexander, ce hard fork contenait une modification du registre Cardano. En d’autres termes celui-ci vient modifier l’historique du réseau. 

« Ce HF a effectivement EFFACÉ les UTxOs de l’ICO d’origine détenant les ₳318M et a balayé les fonds dans les réserves de Cardano. »

Les 318 millions d’ADA mentionnés par Masato Alexander seraient des fonds qui étaient encore associés à des UTxOs de l’ICO et qui n’avaient pas été réclamés ou déplacés par leurs propriétaires d’origine pendant plusieurs années.

Selon lui, le hard fork a permis de déplacer les fonds vers la trésorerie de Cardano. L’un des problèmes, selon lui, réside dans le fait que cette opération a été réalisée via les clés genesis de Cardano, alors détenues par Charles Hoskinson et l’entreprise Input Output Global (IOG).

« La transaction Hard Fork, déclenchant une mise à jour du protocole, nécessitait des signatures des clés de genèse Cardano, que Charles Hoskinson/IOG contrôlait à l’époque. »

Par la suite, les fonds ont une nouvelle fois été déplacés via l’utilisation d’une transaction MIR ou Move Instantaneous Rewards. 

« Elles permettent de déplacer des fonds depuis les réserves, généralement pour des récompenses de staking ou à des fins de trésorerie. »

Une situation inquiétante, car ces fonds appartiennent à des utilisateurs ayant participé à l’ICO. Cela met également en lumière un manque important de transparence de la part de IOG et Charles Hoskinson.

Charles Hoskinson se défend

Dans sa première publication, Masato Alexander pointe du doigt le fait que 619 millions de dollars auraient été récupérés. Et que selon Hoskinson, ils auraient été utilisés pour financer Intersect, une organisation de gouvernance au sein de l’écosystème Cardano.

« Intersect a dépensé moins de 10 millions d’USD l’année dernière au cours de sa première année d’activité, et demande maintenant plus d’argent. Je n’utilise pas de méthodes formelles, mais quelque chose ne colle pas. »

Publication à laquelle Charles Hoskinson a répondu en niant les faits :

« L’OIG ne s’est jamais attribué 350 millions d’ada non réclamés. C’est un mensonge. La grande majorité a été réclamée et le reste, qui a été confisqué après sept ans d’attente, a été donné à Intersect. Intersect a été financé de la même manière et par la même TGE qui a financé la Fondation Cardano. »

Alors que Alexander le question sur la différence entre les 600 millions de dollars originaux et les 10 millions ayant été utilisés pour financer Intersect, Hoskinson que « La grande majorité de ces 350 millions d’ADA a été récupérée par les acheteurs initiaux. Cela a pris sept ans ».

En pratique, Masato Alexander ne renie pas cette déclaration. Toutefois, il met en évidence le manque de preuves. En effet, dans un écosystème où l’adage est « don’t trust, verify » difficile de croire sur parole les dires du fondateur d’un projet.

Plus récemment, le 18 mai, Hoskinson dans une nouvelle publication a annoncé qu’un rapport serait publié sur l’utilisation de ces fonds. Cela permettra de faire la lumière sur cet événement.

De son côté, Hoskinson continue d’être optimiste. En avril dernier, il envisageait que le Bitcoin pourrait atteindre les 250 000$ d’ici à la fin de l’année 2025.

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Validation Cloud Debuts Mavrik-1 AI Engine on Hedera to Democratize DeFi Data Analysis and Web3

Crypto infrastructure company Validation Cloud announced Tuesday the debut of Hedera-based AI engine Mavrik-1 that lets users and developers get DeFi market insights by asking queries in plain English.

Despite DeFi’s promise in revolutionizing finance, its complexity has long acted as barrier against widespread adoption. For DeFi users, the learning curve is steep, requiring knowledge of complex terminologies such as liquidity mining, impermanent loss and staking. Many Defi platforms require users to interact with command-line interfaces and complex web applications.

With Mavrik-1, users can ask questions like « Which trading pairs have the largest spreads and which stablecoin has the highest on-chain
transaction volume?. » Imagine chatting with your personal AI advisor.

The ability to seek information via natural language queries represents democratization of data analysis and marks a shift in how investors interact with the blockchain protocols.

« This is a pivotal moment for the Hedera ecosystem,” Viv Diwakar, Chief Information Officer at Hedera Foundation, said in a press release shared with CoinDesk. “Validation Cloud’s Data x AI platform brings an entirely new way to engage with blockchain data. It’s a novel experience that unlocks usability and insight for builders, enterprises, and users in our ecosystem.”

Validation Cloud is the AI platform powering Web3 finance, delivering products across Data x AI, Staking, and Node API.

Mavrik-1 is deeply integrated with the Hedera-based DeFi applications, such as hUSDC, Karate Combat, and leading DeFi applications, the press release said. It is specially trained for blockchain environments, ensuring contextually relevant responses to queries.

« We built Mavrik because you shouldn’t need a PhD in Web3 to access and understand what’s happening on-chain, » said Andrew McFarlane, CTO of Validation Cloud. « By surfacing real-time intelligence in natural language, we’re making Web3 accessible to everyone. »

The launch on Hedera is the first step, which will be followed by integrations with other blockchains and a full public rollout, dubbed Mavrik 2, later this year.

Hedera debuted in 2021 and is a leaderless proof-of-stake network with aBFT hashgraph consensus. Hedera Foundation fuels the development of the Hedera ecosystem through grants and expert support for decentralized applications across DeFi, NFTs, and more.

ETF Solana : La SEC retarde sa décision sur 4 demandes

La SEC prend son temps. Alors que l’on pensait que les ETF crypto allaient être approuvés à la chaine par la nouvelle administration Trump, il semblerait que la réalité soit un peu plus compliquée et que la bureaucratie américaine ait encore son mot à dire. C’est en tout cas ce qu’a déclaré le président de la SEC qui a annoncé hier que les dossiers concernant les ETF Solana déposés par 21Shares, Bitwise, VanEck et Canary Capital allaient être étudiés plus longuement et que la décision était reportée. Explications.

Les points clés de cet article :
La SEC a reporté sa décision concernant les dossiers d’ETF Solana déposés par 21Shares, Bitwise, VanEck et Canary Capital, nécessitant un examen approfondi.
Le régulateur américain a invoqué des questions juridiques et politiques, appelant les parties prenantes à fournir leurs commentaires sur les propositions.

La SEC annonce qu’elle a besoin de plus de temps pour étudier les dossiers d’ETF Solana

Dans une déclaration officielle publiée hier, la Securities and Exchange Commission a annoncé qu’elle avait besoin de plus de temps pour examiner les demandes d’ETF Solana déposées par 21Shares, Bitwise, VanEck et Canary Capital. Le régulateur financier américain a évoqué des questions juridiques et politiques qui nécessitent un examen plus approfondi et a donc décidé de reporter sa décision.

Voici ce qu’on peut lire dans le document officiel :

« L’ouverture d’une procédure ne signifie pas que la Commission ait tiré des conclusions sur l’une ou l’autre des questions en jeu (…) La Commission cherche et encourage les personnes intéressées à fournir des commentaires sur la modification proposée de la règle. »

La SEC a donc besoin de plus de temps pour analyser les dossiers . Elle invite aussi les parties prenantes à faire part de leurs remarques sur les propositions des différents gestionnaires d’actifs.

Paul Atkins, président de la SEC

Le régulateur américain évoque des « questions juridiques et politiques » à propos de ces dossiers

Cette annonce de la SEC intervient alors que le marché s’attendait à une approbation rapide des ETF crypto après l’élection de Donald Trump et ses déclarations pro-crypto. Mais comme le rappelle Juan Leon, le directeur financier de Bitwise Asset Management, le processus réglementaire est plus complexe qu’il n’y paraît :

« Les gens s’attendaient à ce que la Commission donne simplement le feu vert à tout dès que les demandes seraient déposées (…) mais ce n’est pas comme ça que ça marche (…) Les gens doivent réaliser que ces organisations gouvernementales sont bureaucratiques et que ces processus prennent plus de temps que prévu. »

Malgré ce retard, Juan Leon reste optimiste et pense que nous sommes à un point d’inflexion dans la course réglementaire et que nous verrons beaucoup plus de produits financiers basés sur les cryptomonnaies arriver sur le marché dans les années à venir.

Il faut dire que depuis l’élection de Donald Trump, les gestionnaires d’actifs ont inondé la SEC de propositions d’ETF basés sur des cryptos variées, allant des memecoins comme Official Trump ou Bonk aux NFT comme Pudgy Penguins en passant par des altcoins comme Solana ou Ripple.

La SEC a donc du pain sur la planche et elle prend son temps pour examiner chaque dossier. Si on peut comprendre que le régulateur veuille faire les choses correctement, on espère que cette prudence ne se transformera pas en frilosité et que la nouvelle administration tiendra ses promesses de campagne en approuvant rapidement les ETF crypto.

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Crypto : Le fondateur d’un projet NFT aurait détourné des millions de dollars selon la justice

Fraude aux NFT. Les affaires de fraudes et d’arnaques sont malheureusement monnaie courante dans notre écosystème et même si la justice fait son travail, il y a toujours une nouvelle histoire pour nous rappeler que tout n’est pas rose dans le secteur. Aujourd’hui, direction l’Illinois aux États-Unis où plusieurs investisseurs d’un projet NFT viennent de porter plainte contre le fondateur d’une société pour avoir détourné des millions de dollars. Retour sur les faits.

Les points clés de cet article :Des investisseurs ont accusé le fondateur de Hashling NFT, Jonathan Mills, de fraude après avoir détourné des millions de dollars.
La plainte allègue que Mills a menti sur le transfert d’actifs vers sa société holding, Satoshi Labs LLC, et n’a pas respecté ses obligations fiduciaires envers les investisseurs.
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Le fondateur de Hashling NFT est accusé de fraude par ses anciens partenaires

La plainte déposée le 14 mai dernier devant un tribunal de l’Illinois émane de plusieurs investisseurs du projet Hashling NFT qui accusent le fondateur de la société d’avoir détourné des millions de dollars. Plus précisément, il s’agirait de 3 millions de dollars issus d’un projet de minage de bitcoins et de 1,46 million de dollars levés lors de deux ventes de NFT sur les blockchains Solana et Bitcoin.

Les plaignants affirment que leur ancien partenaire, Jonathan Mills, aurait menti sur le transfert d’actifs de Hashling NFT et sur l’argent du projet de minage vers une société holding appelée Satoshi Labs LLC (anciennement Proof of Work Labs LLC) dont il est le fondateur et le PDG.

La justice américaine devra encore se prononcer sur une arnaque crypto, cette fois autour de NFT

Il aurait détourné plus de 4 millions de dollars au total

Les investisseurs ont donc poursuivi Jonathan Mills pour fraude et manquement à ses obligations fiduciaires, alléguant qu’ils n’ont reçu aucun des retours sur investissement qu’il leur avait promis. Ils déclarent également que l’homme aurait commencé à les ignorer peu de temps après les levées de fonds et qu’il aurait créé un accord d’actionnaires trompeur pour soutenir que la société holding contrôlait les actifs du projet.

Selon cet accord, Jonathan Mills devait recevoir une participation de 67 % dans Proof of Work Labs (avant de la renommer Satoshi Labs) alors que plusieurs autres investisseurs ont contribué jusqu’à 20 000 dollars dans la société en échange de seulement 2 % de participation. Il leur aurait assuré que leurs participations resteraient inchangées malgré le changement de nom.

Pour l’instant, l’accusé n’a pas répondu à la presse spécialisée, mais il devra forcément le faire devant la justice américaine. De leur côté, les plaignants demandent la mise en place d’une fiducie constructive sur les actifs du projet et une restitution légale complète. Affaire à suivre, mais il s’agit d’un nouveau rappel à l’ordre : attention aux projets trop beaux pour être vrais.

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