« L’art est une visite du temps … » – La plateforme sud-africaine Invictus Capital (qui fêtait ses quatre ans en décembre 2021) innove encore et toujours. Cherchant à rester à la pointe des tendances et des attentes de leur crypto-clientèle, elle nous présente sa première collection de NFT, Out of Africa. Avec le lancement d’Invictus NFT Lab, les beaux-arts s’invitent sur la blockchain, et peut-être aussi dans le portfolio de ses investisseurs.
Cet article promotionnel vous est proposé en collaboration avec Invictus Capital.
De l’expression artistique aux NFT, un cheminement évident
En matière d’œuvres d’art, les ventes privées sont monnaie courante. L’absence d’historique sur les prix de vente,ou encore l’anonymat des vendeurs rend pratiquement impossible l’estimation précise d’une côte réaliste. Invictus a bien compris que la technologie NFT permet de résoudre ce problème. En effet, la blockchain permet facilement de connaître la provenance et de vérifier l’authenticité d’une œuvre. Cette technologie moderne permet aussi une véritable traçabilité des transactions effectuées depuis la mise sur le marché d’une œuvre corrélée à son NFT.
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Jusqu’à présent, l’industrie des tokens non-fongibles s’est principalement démocratisée dans l’art numérique grâce à des collections d’avatars numériques. Leur implémentation dans les divers metaverses a aussi été un atout majeur de cet essor. Cependant, leur adoption en tant que certificats de propriété pour des œuvres d’art physiques pourrait révolutionner le secteur. En plus de la traçabilité, la blockchain donne la possibilité aux artistes et aux collectionneurs d’économiser des sommes plutôt conséquentes.
En effet, les galeries et autres structures de vente aux enchères facturent généralement des frais importants aux acheteurs comme aux vendeurs. Même en achetant une œuvre d’art sans intention de l’exposer, les acheteurs doivent s’acquitter des frais de livraison et d’assurance. Encore une fois, la technologie blockchain vient resserrer les liens directs entre artistes et collectionneurs. Une approche plus vertueuse du commerce de l’art qui va forcer certains acteurs un peu trop gourmands à réduire drastiquement leurs marges s’ils veulent survivre.
En plus d’élargir l’accès d’un public globalisé aux œuvres d’art, Invictus NFT Lab supprime le problème des frais de transport inutiles. Pour la collection Out of Africa, les œuvres sont stockées en sécurité au nom du détenteur du NFT leur correspondant. L’acheteur peut récupérer son œuvre à tout moment ou demander sa livraison, si et quand il le souhaite.
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Out of Africa, la première collection d’Invictus NFT Lab
En facilitant la vente d’une collection complète d’œuvres d’art physiques et uniques, proposées par les meilleurs artistes contemporains d’Afrique-du-sud via la blockchain Ethereum, Invictus NFT Lab place la nation arc-en-ciel au centre de l’écosystème des NFT. La collection inaugurale Out of Africa ouvre la voie aux beaux-arts sur la blockchain.
Les ventes sur le marché secondaire des NFT de la collection Out of Africa prévoient également des frais de 10%. La répartition de ces frais est cependant bien plus équitable que dans les ventes d’art traditionnelles. En effet, les artistes et la communauté partageront la moitié de ces revenus.
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“La collection Out of Africa est composée de 118 NFT uniques. Cette collection est un triomphe pour ces artistes et représente certains des meilleurs talents émergents, en devenir ou déjà établis.”
Marelize van Zyl, conservatrice de la collection Out of Africa
Alors que ses cadres juridiques sont encore en train de rattraper leur retard, le monde de l’art est sur le point d’être bouleversé. La collection Out of Africa espère attirer l’attention sur les avantages que le format NFT peut offrir. Invictus NFT Lab pourrait bien déclencher une révolte contre les pratiques déloyales et inefficaces de l’industrie artistique. Une démarche salvatrice pour que l’art retrouve enfin sa dimension populaire, grâce à l’émancipation rendue possible par la technologie blockchain.
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