Euro 2021 : l’Equipe de France débarque sur Ethereum, mettrez-vous la main sur un NFT des Bleus ?

En ces temps d’excitation footbalistique, le leader des cartes à jouer et à collectionner sous forme de NFT Sorare annonce du très lourd : l’octroi par la FFF d’une licence exclusive d’exploitation qui vous permettra d’envoyer sur le terrain virtuel de Sorare les stars du ballon rond français !

Vignettes virtuelles et crypto-Licornes

Si on rentre de plain-pied dans l’ère de l’éclosion des licornes crypto, la start-up Sorare a de sérieux arguments à faire valoir. Fondée en 2018, Sorare a structuré sa proposition de valeur autour de l’émission de cartes de joueurs de foot à collectionner, à l’image des vignettes qui ont bercé notre enfance. A la différence près que celles-ci sont virtuelles et évoluent sur le réseau Ethereum sous forme de NFT.

Signe du dynamisme de l’entreprise, une levée de fonds de 40 millions en série A a tout récemment concrétisé tout l’intérêt du marché pour une initiative qui pourrait préfigurer le futur à la fois du gaming, mais également de la notion même de collectibles.

Si la forme change, le fonds demeure familier, avec des cartes de raretés et de puissances variables et dont les performance in game varient en fonction des résultats réels des joueurs qu’elles incarnent. Et si le terme “in game” importe, c’est que plutôt que d’enfermer les précieuses effigies dans des albums poussiéreux, leurs détenteurs peuvent les mettre en jeu dans de véritables tournois, si réels d’ailleurs que les entraîneurs doués seront en mesure d’en retirer coupes, prestige et même prize money, bien réels eux.

On le sait, le nerf de la guerre pour ce type de modèle économique réside autour de la capacité à récupérer des licenses prestigieuses. C’est donc peu dire que l’annonce du jour de Sorare est d’importance !

La FFF et Sorare, let’s play !

Par voie de communiqué de presse, on apprend ainsi que Sorare disposera désormais d’une licence accordée par la Fédération Française de Football (FFF).

Un petit événement, d’une part bien sûr parce que la FFF rejoint un écosystème où évoluent déjà 400 clubs de foot partenaires, mais surtout parce qu’il s’agit de la première fois qu’une fédération nationale noue un partenariat avec Sorare.

« Sorare est une société française avec plus de 140 clubs partenaires. C’était important pour nous de commencer nos licences avec les fédérations avec l’équipe qui nous tenait le plus à cœur: l’équipe de France! C’est une première étape importante pour Sorare avec de nombreuses nouvelles fédérations qui nous rejoindrons dans les semaines et mois à venir »

Nicolas Julia, cofondateur et PDG de Sorare

Les performances des bleues seront donc désormais monitorées et reportées dans l’arène de jeu Sorare, grâce au manager de datas sportives Opta Sports.

Pour plus de détails, n’hésitez pas à aller faire un tour sur le site officiel Sorare. Et si cette news matérialise parfaitement l’envergure que prend le projet de cartes sportives NFT, il se murmure déjà que d’autres fédérations pourraient rapidement suivre l’exemple de la FFF. A suivre !

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Dogecoin : Une image NFT de Shiba Inu vendue à 4 millions de dollars !

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Un chien qui pose devant un appareil photo en adoptant une position formelle. Cette photo serait probablement passée inaperçue si elle n’avait pas été celle qui a inspiré les créateurs du Dogecoin pour avoir le logo de la monnaie virtuelle. Et si la photo refait surface des années après le lancement de la cryptomonnaie, c’est […]

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Binance NFT, Morgan Chapa, Ternoa et Yugnat 999 au programme du “100 créateurs”

Binance NFT Creators

Le jour de lancement de la marketplace Binance NFT s’approche de plus en plus ! Pour son lancement le 24 juin, Binance vient d’annoncer l’initiative “100 créateurs” sur invitation uniquement. Des talents du monde entier  La marketplace sera divisée en deux marchés distinct :  “Premium Event” : mettant en avant des créateurs “connus”, dont certains […]

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Un NFT du célèbre mème du Doge vendu pour 4 millions de dollars

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Avant d’être le symbole du Dogecoin (DOGE) et l’un des mèmes les plus célèbres d’Internet, le « Doge » était simplement une photo d’un Shiba Inu nommé Kabosu. Ce vendredi 11 juin, il est officiellement devenu le NFT d’un mème le plus cher de l’histoire, vendu pour la modique somme de 4 millions de dollars.

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Ce CryptoPunk a été vendu à 11,8 millions de dollars chez Sotheby’s

Biarritz , Aquitaine / France - 09 25 2020 : Sotheby logo and sign luxury brokers specialized in realty and auctions real estate text

Jeudi, un événement historique a eu lieu. L’image d’un personnage entièrement numérique et pixellisé avec un visage bleu a été vendue pour 11,8 millions de dollars à New York. Frappé du certificat d’authenticité NFT, ‘’COVID Alien’’ – le titre de l’œuvre d’art – est devenu la deuxième œuvre entièrement numérique la plus chère de l’histoire. […]

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La Thaïlande interdit les NFTs et les tokens basés sur des mèmes

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Le régulateur thaïlandais interdit aux exchanges locaux de proposer des tokens basés sur des mèmes, des fans tokens et des tokens non fongibles (NFTs). D’après l’annonce, la Thaïlande cherche à freiner la spéculation sur les actifs « sans objectifs ni substance clairs ».

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Vente des NFT du DOGE : Le co-créateur du projet récolte 46 000$

Coin cryptocurrency doge on the background of wires and circuits.

Actuellement, l’engouement autour du Dogecoin (DOGE) est remarquable. Beaucoup d’investisseurs y accordent une attention particulière, et le cofondateur du projet, Billy Markus, a essayé de profiter de cet intérêt général. Il a créé et mis en vente une série spéciale de 420 NFT à l’effigie de Shiba Inu. Mais tout ne se serait pas passé […]

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Le documentaire « The Underground Sistine Chapel » de PBOY… en avant-première le vendredi 25 juin 2021

Le vendredi 25 juin sortira en avant-première le documentaire « The Underground Sistine Chapel », qui retrace le processus de création de l’œuvre éponyme, réalisée par le crypto-artiste Pascal Boyart, aka PBOY… avant une sortie gratuite et pour tous sur YouTube et IPFS !

PBOY, le crypto street-artiste 

Pascal Boyart, aussi connu sous le pseudonyme PBOY, est un street-artiste parisien. Celui-ci est spécialisé dans la réalisation de fresques engagées, telles que « La liberté guidant le peuple », une version moderne de la célèbre peinture de Delacroix.

La peinture « La liberté guidant le peuple » de Pascal Boyart

Ces dernières années, PBOY s’est fait connaître dans la sphère crypto via ses prises de position contre les politiques monétaires et sociales menées en Europe et à travers le monde. Il a été l’un des premiers street-artistes à apposer des QR codes Bitcoin à ses œuvres, pour permettre à des mécènes anonymes de supporter son travail. 

Du côté des NFT, PBOY n’a pas attendu la hype de 2021 pour prendre part à cette révolution artistique. En effet, dès août 2019, ce dernier a fait le choix de tokéniser la plupart des fresques qu’il a réalisées sous la forme de NFT. En général, ses fresques ont été scindées en plusieurs jetons non fongibles. C’est notamment le cas de « La liberté guidant le peuple » qui a été découpée en 100 NFT distincts. La Chapelle Sixtine a, quant à elle, été fragmentée en 404 NFT différents, chacun représentant un personnage de l’œuvre.

« The Underground Sistine Chapel »

Au cours de l’année 2020, PBOY s’est attelé à un nouveau projet d’envergure, à savoir la création d’une fresque majestueuse de 100 m2 dans un lieu atypique parisien, résultat d’un travail de 5 mois consécutifs. 

Une fois n’est pas coutume, celle-ci reprend un chef-d’œuvre de l’histoire de l’art, adapté aux problématiques et enjeux actuels avec une version moderne de la Chapelle Sixtine de Michel-Ange. 

Tout au long de la réalisation de cette œuvre, PBOY a été suivi par les équipes de Samouraï Coop qui ont soigneusement filmé et documenté l’ensemble du processus de création pour finalement nous délivrer le documentaire « The Underground Sistine Chapel ».

Samouraï Coop est une société de production indépendante, qui œuvre dans l’écosystème crypto depuis 2016. Ce film ne serait « que le début d’une longue série de films appartenant à la communauté », en tirant parti des nouvelles méthodes de production offertes par les cryptomonnaies.

Comme nous l’a expliqué Antoine Breuil de la société de production Samouraï Coop, le « film est dans le prolongement de la démarche Bitcoin, crypto et NFT de Pascal Boyart ». En effet, celui-ci sera en libre accès, aussi bien sur YouTube que sur le protocole de stockage décentralisé IPFS.

« En tant que producteurs et réalisateurs, on souhaitait offrir ce film à internet, de façon gratuite. C’est une démarche qui est totalement incomprise des producteurs de cinéma ou d’audiovisuel actuellement. Il y a toute une symbolique d’indépendance pour nous, car c’est le premier film au monde qui donne naissance à des NFT et qui est destiné à être partagé gratuitement sur le net, tout comme les œuvres de Pascal sont offertes gratuitement dans la rue. »

Antoine Breuil

Les équipes du film tiendront également une avant-première le vendredi 25 juin, à 19h30 au Grand Rex.

Plusieurs invitations à l’évènement peuvent être gagnées via un concours qui va se dérouler sur le Twitter officiel du Journal du Coin

En plus de sa sortie, plus de 200 NFT seront créés et mis en vente, contenant des passages du film, des bandes originales ainsi que des scènes coupées et envers du décor. Ces derniers auront plusieurs niveaux de rareté via des cartes, telles que les « Rare Cards », comprenant des moments clés du film, ou les « Gold Cards », comprenant des chapitres entiers du film.

Connaissant les œuvres proposées par Pascal Boyart, il ne serait pas étonnant que le film lui-même puisse cacher des surprises à qui saura les trouver.

En plus de la promotion du travail de PBOY, ce film espère mettre en avant le développement des nouvelles pratiques dans l’art, insufflées par les innovations de la sphère crypto.

« C’est désormais au réalisateur et aux artistes d’explorer de nouveaux usages. Pascal est le meilleur exemple possible puisqu’il explore cela depuis de nombreuses années. »

Antoine Breuil

Minty pour la création de NFT

Comme nous venons de le voir, de nombreux NFT seront créés en parallèle avec la sortie du documentaire. En pratique, ces derniers seront émis sur la plateforme Minty, dont la sortie est prévue le 17 juin prochain. En réalité, Minty souhaite transformer les interactions entre artistes et collectionneurs. 

En plus de proposer une place de marché d’achat et de vente de NFT relativement classique, Minty propose donc un système de mécénat novateur.

Les artistes auront la possibilité d’y présenter des projets d’œuvre à un panel de mécènes, en amont de leur réalisation. Une fois le projet mis en ligne, les mécènes seront en mesure de supporter la réalisation de l’œuvre, en précommandant des portions sous la forme de NFT. Pour remercier ses mécènes, l’artiste pourra partager une partie des royalties perçues lors de la revente desdits NFT avec les mécènes ayant financé son projet. 

Sous le capot, Minty est une plateforme hébergée sur Polygon (anciennement Matic), un choix qui permet de minimiser les frais, aussi bien lors de la création des NFT que de la revente.

La plateforme dispose également d’un jeton, le MINTY, qui peut être staké pour devenir un mécène et accéder à des ventes privées d’œuvres. Dans les mois à venir, des fonctionnalités de gouvernance seront ajoutées au jeton via la création d’un DAO.

Il va désormais falloir prendre son mal en patience avant de pouvoir visionner le passionnant reportage réalisé par Samouraï Coop, sur le travail titanesque réalisé par Pascal Boyart. Peut-être aurez-vous la chance d’assister à l’avant-première en remportant notre concours ! 

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Dogecoin, Pokemon et Banane géante : le frère du Premier ministre canadien tourne le dos à Bitcoin et part en vrille

Folie créative ou folie tout court ?Cette personnalité crypto qui avait fait les gros titres au Canada, pour avoir critiqué son Premier ministre de frère, veut lancer un univers où se rencontrent Pikachu, des animaux virtuels vieux de 25 ans, et les NFT. Le tout doit être mélangé au rythme de tubes discos, avec une distribution de dogecoins (DOGE) comme animation principale.

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Une boule disco pour illuminer le DOGE

Il est le demi-frère du Premier ministre canadien Justin Trudeau et il portait un costume de Banane lors de la conférence Bitcoin 2021 à Miami. Du haut de ses 37 ans, Kyle Kemper, fondateur du wallet et de la carte crypto suisse, Swiss Key, présente son nouveau concept fun et tout en couleur basé sur Dogecoin, dans une interview exclusive accordée à Cointelegraph.

Kemper décrit son projet, le « Million Doge Disco », comme une combinaison de Pokemon Go, Tamagotchi et des NFT. Cet évènement organisé avec la plateforme de développement blockchain Blockv partage des « NFT Disco Doge à réalité augmentée » aux participants. Kemper avance le chiffre de 327 000 DOGE à distribuer. Le site web de Million Doge Disco indique que le « rêve ultime est de créer un Metaverse de la fête alimenté par les DOGE ».

Kemper est un cryptophile, un partisan de Bitcoin (BTC), mais il estime que les enfants trouvent le DOGE plus attrayant que le BTC. Il avait d’ailleurs indiqué, lors de son intervention durant la conférence, que Dogecoin était une « merveilleuse » crypto pour commencer.

Dogecoin prévoit une résurrection de Satoshi

Quel crédit donner au projet de Kemper ? Voila ce que le Million Doge Disco a l’ambition de créer :

« (…) une nouvelle ‘couche de fête’ qui se situera au-dessus de la réalité, permettant à n’importe qui, n’importe où, d’entrer instantanément dans une dimension parallèle vivante avec du son, de la lumière et des vibrations positives. »

Le projet s’adresse à un profil bien précis de cryptophile, prêt à suivre un Kemper qui a comparé le fameux Satoshi Nakamoto à Jésus, déclarant que le papa de Bitcoin n’était « plus avec nous, mais qu’il marchait sur l’eau » et qu’il pourrait ressusciter pour saluer les cryptophiles.

Kemper est un évangéliste du DOGE, qui a une approche quasi spirituelle de Bitcoin. Certains ont eu foi en la crypto-toutou et ne l’ont pas regretté. Cette personnalité crypto célèbre a d’ailleurs fait un bénéfice de plus de 4 millions de dollars en pariant très tôt sur le Dogecoin.

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