Avalanche se réveille : AVAX enregistre une hausse de 82 %

Le retour d’AvalancheAvalanche est une blockchain qui a été centrale lors du dernier bullrun. Désormais, en parallèle de l’engouement qui entoure les marchés cryptos, Avalanche semble tirer son épingle du jeu.

Avalanche (AVAX) : Les indicateurs sont au vert

Alors qu’il s’échangeait bien au-dessus de la centaine de dollars lors du dernier bullrun, le jeton AVAX a massivement dégringolé lors du bear market, atteignant les 9$.

Toutefois, alors que Bitcoin semble avoir repris des forces et repassé la barre des 40 000$, AVAX se réveille aussi.

Ainsi, le jeton a enregistré une importante hausse en passant de 9$ en septembre dernier à 41$ au moment de la rédaction de ces lignes. Rien qu’au cours des 7 derniers jours, le cours de l’AVAX a augmenté de 82 %.

Évolution du cours du AVAX – Source : Coingecko.

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Record de transactions sur le réseau

Alors que cela se profile bien du côté de son jeton, l’activité est, elle aussi, en large hausse sur Avalanche.

Ainsi, le réseau a enregistré un record de transactions au début du mois de novembre avec 7 millions de transactions en une seule journée. Cela représente deux fois le précédent record établi lors du dernier bullrun.

Du côté de sa DeFi la tendance est similaire. En effet, le réseau comptabilise actuellement 932 millions de dollars de TVL. Une valeur qui a presque doublé depuis le mois de septembre, où Avalanche comptait un peu moins de 500 millions de dollars de TVL.

Ordinals : la nouvelle tendance sur Avalanche

En pratique, cette récente hausse de l’activité peut en partie être expliquée par l’avènement des Ordinals sur Avalanche. En effet, de nombreux utilisateurs ont commencé à inscrire des données dans les AVAX, de la même manière que sur Bitcoin.

Cela a engendré une hausse massive de l’activité, avec d’une part de nombreux mint de jetons. De l’autre, les échanges réalisés par les utilisateurs on-chain.

Toutefois, Avalanche n’est pas la seule blockchain à être témoin de ce phénomène. En effet, Celo et Polygon ont également été pris d’assaut par les Ordinals.

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Mondial 2026 : La FIFA prépare la compétition avec une collection de NFT unique

La Fédération internationale de football association (FIFA) se prépare activement pour la coupe du monde 2026 prévue dans environ 3 ans. L’institution faîtière du football mondial compte lancer une collection de Non-fungible tokens (NFT) dont l’obtention donnera aux 100 premiers utilisateurs crypto, l’accès au match de la finale.

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La FIFA championne du monde des NFT

Football, fans et NFT. La Fédération internationale de football association, la FIFA, est une institution tentaculaire qui représente des dizaines de millions de licenciés sur tous les continents, qui génère des centaines de millions d’euros de revenus et qui organise des évènements parmi les plus populaires du monde. Forte de sa base de fans dans tous les pays du monde, la FIFA ne manque jamais une occasion d’assoir sa popularité à travers des actions de promotion autour de ses compétitions phares comme la Coupe du Monde des clubs qui démarre aujourd’hui en Arabie Saoudite. A l’occasion du coup d’envoi de cet évènement et en prévision de la prochaine grand-messe mondiale du football qui se déroulera sur le continent américain en 2026, la FIFA lance une nouvelle collection de NFT que nous allons vous présenter.

La FIFA a déjà lancé des NFT pour la Coupe du Monde au Qatar…

Du 12 au 22 décembre de cette année, se tient donc en Arabie Saoudite la 20ème édition de la Coupe du monde des clubs de la FIFA. Cette compétition rassemble les vainqueurs des différentes confédérations chapeautées par la FIFA et les clubs impliqués cette année sont Al Ahly FC (Afrique), Auckland City FC (Océanie), Fluminense FC (Amérique du sud), Club Leon (Amérique du nord), Urawa Reds (Asie), Manchester City FC (Europe) et le vainqueur de la Saudi League, le club d’Al Ittihad, où joue d’ailleurs Karim Benzema.

Le 15 décembre prochain, alors que la compétition battra son plein, la FIFA prévoit de lancer sa toute nouvelle collection de NFT en collaboration avec la société Modex. Ce jour-là, 100 premiers NFT seront mis à la vente sur FIFA Collect +, la plateforme dédiée à la vente de ces produits estampillés FIFA. Parmi cette centaine d’objets numériques, certains seront très prisés puisqu’ils offriront la possibilité d’obtenir des places pour la finale de la Coupe du monde 2026 !

La FIFA annonce son opération commerciale sur les réseaux sociaux – Source : compte X

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…et elle remet ça pour la Coupe du Monde des Clubs en Arabie Saoudite

Ensuite, dès le 19 du mois, 900 autres NFT seront proposés à la vente, ils représenteront des moments mémorables de la compétition en cours, comme on peut le lire sur le communiqué de presse. Les NFT seront émis sur le réseau Polygon et certains seront disponibles également sur OpenSea. Romy Gai, directrice commerciale de la FIFA, s’est réjouit de cette opération :

« Nous sommes ravis de nous lancer dans ce voyage transformateur avec Modex et de propulser la plateforme FIFA+ Collect vers de nouveaux sommets. Depuis son lancement, la plateforme a été extrêmement populaire dans le monde entier et les fans de tous les pays ont désormais la possibilité de posséder un morceau de l’histoire du football.

Ces nouveaux lancements, cette année et au-delà, offriront aux fans de football un moyen unique et innovant de se connecter au sport, tout en contribuant également à la croissance du marché des objets de collection numériques. »

Romy Gai, directrice commerciale de la FIFA – Source : communiqué de presse

La FIFA n’en est pas à son coup d’essai en la matière puisqu’elle avait déjà mis en vente ce genre de souvenirs numériques pour son évènement au Qatar l’année dernière. Ces nouveaux types de relations entre les fans et les équipes de foot sont de plus en plus en vogue et le PDG de Modex y voit le début d’un mouvement d’ampleur :

« Les objets de collection numériques augmentent la manière dont les fans peuvent interagir avec leurs joueurs et équipes préférés ainsi qu’avec le jeu qu’ils aiment et nous sommes honorés de soutenir la FIFA dans la réalisation de cet objectif. Il s’agit de la première étape d’un voyage visant à impliquer davantage les supporters dans les matches et les initiatives de la FIFA. »

Francesco Abbate, PDG de Modex – Source : Cointelegraph

Les fans tokens et les NFT à collectionner font désormais partie de la panoplie de services proposés par le Web3 qui permettent de rapprocher fans, artistes, sportifs et équipes professionnelles, et à ce titre, il s’agit d’une expérience enrichissante, réjouissante et prometteuse pour l’avenir. Néanmoins, il convient de garder à l’esprit que la valeur marchande de ces NFT ne saurait être garantie dans le temps et qu’espérer spéculer avec ces objets numériques apparaît hautement risqué, voir carrément une mauvaise idée. On vous aura prévenu. En attendant, à voir de choisir votre équipe préférée et pourquoi pas, de gagner des places pour la finale de la Coupe du monde 2026 à Atlanta. Et voir les bleus soulever la coupe ? Allez, c’est Noël, laissez nous rêver un peu.

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FTX et le Fisc américain : les 24 milliards de dollars de la discorde

« Un argument à la Alice au pays des merveilles ». Cette punchline bien trouvée nous vient des avocats de FTX et elle est à destination du fisc américain qui, apparemment, rêve tout éveillé ! Dans le différent qui oppose depuis des mois maintenant l’Internal Revenue Service (IRS) à la nouvelle direction de l’exchange en faillite, il est question d’arriérés d’impôt à payer mais le montant est sujet à de vifs débats entre les parties. Pour le service du Trésor américain, FTX doit au moins 24 milliards de dollars quand la plateforme affirme elle qu’elle ne doit…rien ! Cela fait une sacrée différence et ce sera à la justice de trancher, une fois de plus. Retour sur ces milliards de dollars qui pourraient passer sous le nez des utilisateurs floués qui attendent (toujours) leur argent.

L’IRS affirme que FTX lui doit 24 milliards de dollars

Au mois de mai dernier, l’IRS déposait pas moins de 45 demandes d’indemnisation contre FTX et ses différentes filiales comme FTX Trading ou FTX Marketplace et réclamait au total 44 milliards de dollars à la firme. Cette somme représente l’impôt sur les sociétés, sur le revenu, les différentes charges sociales et arriérés, et la procédure était même classée comme Admin Priority. Un peu plus tard, au mois de septembre, le montant était finalement revu à la baisse pour atteindre « seulement » 43 milliards de dollars.

Enfin, le mois dernier, le fisc américain a refait une nouvelle fois ses calculs et a trouvé le chiffre de 24 milliards et cette fois, c’est la bonne. FTX doit cet argent et le Trésor va pouvoir l’exiger dans les meilleurs délais. Problème ? Les gestionnaires de la plateforme s’opposent à ce calcul et demandent des comptes à l’IRS. Mais l’administration leur répond que ses estimations bénéficient de la « présomption d’exactitude et que c’est à FTX de prouver le contraire ».

Le fisc américain veut récupérer 24 milliards de dollars auprès de FTX mais la direction n’est pas du tout d’accord !

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« absurde et sans fondement » selon la plateforme

Du côté de la direction de la crypto bourse, c’est la douche froide. Pour eux, cette somme ne correspond à rien et il n’est pas question de la paye. D’autant plus qu’ils ne l’ont pas. Extrait de la réponse des avocats de FTX :

« Au cours de sa courte durée de vie de trois ans, FTX n’a ​​jamais distribué de dividendes ni de bénéfices et n’a jamais gagné quoi que ce soit qui pourrait étayer les réclamations de l’IRS pour 24 milliards de dollars d’impôts. Au contraire, FTX a perdu énormément d’argent. »

Les avocats de FTX réagissent aux déclarations de l’IRS – Source : The Block

Ils vont même aller plus loin dans la critique en remettant en doute la véracité des calculs de l’administration fiscale :

« Ces affirmations sont absurdes et sans fondement. Avec le cabinet comptable Ernst & Young nous avons répondu à plus de 2 300 demandes d’informations de l’IRS et nous avons fourni presque tous les documents demandés par l’IRS, à l’exception de certains qui seront fournis d’ici le 15 janvier 2024. »

Les avocats de FTX réagissent aux déclarations de l’IRS – Source : The Block

Quant à l’idée de devoir fournir d’autres preuves, FTX qualifie cela « d’argument Alice au pays des merveilles », sous-entendu, l’IRS prend ses rêves pour des réalités ! Enfin, les gestionnaires rappellent que ces 24 milliards de dollars représentent trois fois les fonds dont ils disposent actuellement, donc cela priverait une grande partie des autres créanciers de leurs fonds.

Pour finir, la nouvelle direction précise qu’il est grandement temps de définir un calendrier pour procéder au remboursement final et que les demandes de l’IRS retarde sa mise en place. La prochaine audience est prévue demain, le 13 décembre prochain. Qui devra payer ? Quoi ? Et à qui ? Réponse dans quelques dizaines d’heures.

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5 nouveaux projets crypto très attendus pour le prochain Bullrun

Il y a trois semaines, j’ai sorti une vidéo sur cinq projets qui, d’après moi, étaient très attendus pour le prochain bullmarket. Vu vos retours, le format a l’air de vous plaire, et donc comme promis je vais remettre le couvert avec une seconde vidéo où l’on va se pencher sur cinq projets très prometteurs en se concentrant principalement sur le fondamental.

Si ce format vous plaît, on pourra décortiquer d’autres projets à l’occasion d’une prochaine vidéo. N’hésitez pas à me le faire savoir en commentaire. Vous connaissez la chanson, on commence par les petits disclaimers habituels. Cette vidéo n’est évidemment pas un conseil en investissement, faites vos propres recherches et forgez-vous vos propres opinions. De même, ceci n’est en aucun cas un partenariat rémunéré et je n’ai aucun lien avec les projets présentés.

Aztec Network

Sans plus attendre, commençons par le premier projet, Aztec Network. Ce projet est un peu particulier et s’inscrit dans la veine des blockchains qui visent à améliorer la vie privée et la confidentialité. Le protocole a été fondé en 2017 par Zac Williamson, docteur en physique des particules et ancien physicien au CERN, le célèbre Conseil Européen pour la Recherche Nucléaire, et Joe Andrews, un entrepreneur et un développeur expérimenté diplômé de l’Imperial College of London.

Aztec Network est une blockchain qui fonctionne avec Ethereum et qui a pour objectif principal d’ajouter une couche de confidentialité sur la blockchain de Vitalik Butterin. Ils se présentent eux-mêmes comme « une blockchain chiffrée de nouvelle génération sécurisée par Ethereum ». Il faut savoir que le protocole est live depuis l’année dernière et est déjà implanté sur plusieurs gros projets bien connus de la DeFi comme Aave ou Lido par exemple.

Alors là, on peut se demander pourquoi aurait-on besoin de transactions plus confidentielles sur Ethereum ? Et bien, vous ne le savez peut-être pas, mais au contraire de Bitcoin, les transactions sur la deuxième blockchain du marché sont vraiment, mais alors vraiment tout sauf confidentielles, je vous explique. Bitcoin fonctionne sur le model UTXO, donc lorsque vous effectuez une transaction, vous envoyez des tokens avec votre adresse Bitcoin vers l’adresse Bitcoin du destinataire.

Sur Bitcoin, vous disposez d’une quasi-infinité d’adresses avec lesquelles vous pouvez envoyer vos fonds, tandis que votre destinataire dispose d’une quasi-infinité d’adresses pour les recevoir. Ensuite, votre logiciel qui vous sert de wallet se charge de faire la somme du solde de toutes vos adresses pour vous donner votre solde total.

Sur Ethereum, c’est différent, puisque la blockchain fonctionne sur un modèle dit “account”. En clair, vous avez une seule adresse publique par compte, un peu comme l’IBAN de votre banque, si on veut. Dans l’idée, ça veut dire que si un jour vous allez payer votre pain en Ether, et bien le boulanger sera au courant à la fois du solde de votre compte, mais également de vos transactions passées et futures. On est d’accord, c’est pas tellement souhaitable. Vous avez toujours la possibilité de créer plein de wallets, mais bon ce n’est pas le plus pratique.

Aztec Network vient s’attaquer à ce problème en proposant une solution basée sur les ZK-proofs. Vous vous souvenez ? Ces preuves à divulgation nulle de connaissance dont on parlait dans la vidéo précédente. En gros, elles vous permettent de prouver la véracité d’une information ou d’un calcul à quelqu’un sans pour autant lui transmettre l’information en elle-même. Et sur Aztec, ça permettra en quelque sorte de chiffrer des transactions. Bon un point crucial à comprendre avec ce projet, c’est que pour pouvoir atteindre leurs objectifs de confidentialité, ils ont dû renoncer à devenir compatibles avec la fameuse machine virtuelle d’Ethereum.

À la place, ils travaillent sur le développement de leur propre écosystème d’applications et planchent sur leur propre langage de programmation qui s’appelle Noir. Dans l’idée, c’est un langage basé sur Rust, open source et compatible avec la technologie ZKP. Et Rust, c’est plutôt solide, c’est le langage utilisé sur des blockchains comme Solana par exemple et qui est connu pour ses performances, et sa sécurité. Bref, le projet avance bien et il se démarque par son envie de créer tout un environnement qui se réclame des valeurs de la vie privée, de la sécurité, et de l’open-source.

Au total, ils ont levé environ 120 millions de dollars avec notamment une série B qui a eu lieu en décembre 2022 où ils ont réussi à mobiliser 100 Millions de dollars avec A16z en tête de liste. Pour rappel, c’est la filiale crypto et tech du célèbre fonds Andreessen Horowitz. Pour le moment, pas de token en vue, mais comme d’habitude, on n’est pas à l’abri d’un éventuel airdrop.

Et oui, Aztec est backé par Paradigm, et bon nombre des projets soutenus par la firme ont eu des airdrop comme dYdX ou bien Optimism, pour ne citer qu’eux.

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ZKSYNC, le layer 2 star d’Ethereum

Maintenant, on va parler d’un projet dont vous avez surement déjà entendu parler tellement il est populaire et prometteur, zkSync. Il s’agit d’un Layer 2 qui a pour but d’apporter la scalabilité sur Ethereum sans pour autant faire des concessions sur la sécurité ou sur la décentralisation, plutôt classique pour un Layer 2.

zkSync a été développé par Matter Lab, une société fondée en 2018 par Alex Gluchowski, un diplômé en informatique de l’Université Technique de Berlin fort de pratiquement vingt ans d’expérience en développement de logiciels. C’est un protocole qui, comme plusieurs autres de ses concurrents, utilise la technologie des preuves à divulgation nulle de connaissance. Vous commencez à être familier avec ces termes, le moins que l’on puisse dire c’est que ces nouvelles technologies sont un bon présage pour l’avenir d’Ethereum et deviendront probablement incontournables.

Le protocole zkSync sort tout d’abord avec une première version en 2020 et ensuite avec un mainnet public de sa version 2, zkSync Era, en mars de cette année. La nouveauté sur la version 2 ? Entre autre, la compatibilité avec l’Ethereum Virtual Machine, le support de tous les langages EVM et notamment de Solidity et Vyper, les deux langages les plus utilisés sur Ethereum, ainsi qu’une scalabilité décuplée tout en bénéficiant de la sécurité du Layer 1 d’Ethereum.

Et autant vous dire que la promesse est grande, on parle de potentiellement 20 000 transactions par secondes avec très peu de frais et sans compromis sur la sécurité. On ne va pas rentrer dans les détails techniques car c’est vraiment très abrupt.
En tout cas, zkSync bénéficie déjà de pas mal d’intégration et d’un écosystème plutôt varié. On peut par exemple citer des systèmes d’achats de cryptomonnaies directement sur zkSync grâce à des partenariats avec Banxa ou Moonpay, ou encore des intégrations sur des exchanges comme ByBit ou Crypto.com par exemple.

De nombreuses applications décentralisées bien connues ont aussi intégré zkSync Era comme c’est le cas pour Uniswap, DyDx ou encore Curve, par exemple. Avec 500 millions de dollars de tokens bloqués sur le protocole, il se pose à la quatrième
place des Layers 2 d’Ethereum en termes de TVL, Valeur Totale Verrouillée en Français. Aujourd’hui, le projet a réussi à lever 458 millions de dollars à l’occasion de 5 tours de table dont un lead par Andreessen Horowitz, et un autre par Blockchain Capital, rien que ça. On ne sait pas encore quand arrivera le token de zkSync ni s’il arrivera un jour, mais il est probable qu’un airdrop soit en préparation pour les utilisateurs du protocole.

Au niveau de l’utilité du token c’est pareil, rien d’officiel mais si l’on se base sur les déclarations des fondateurs, les frais de transaction doivent être payés avec les tokens du L1, c’est-à-dire avec de l’ETH, donc à priori, on serait plutôt sur un token de gouvernance, qui servira à la décentralisation du protocole. On verra ce que ça donne pour ce L2 d’Ethereum qui s’annonce en tout cas très prometteur par ses caractéristiques. Un concurrent sérieux aux autres projets que l’on a présentés et
qui se situent dans la même veine.

Risc0

Là vous allez voir, on va parler d’un projet un peu moins connu mais aussi très intéressant, Risc Zero. Fondé par Brian Retford, Frank Laub et Jeremy Bruestle, tous ayant de solides compétences et de nombreuses expériences en conception de logiciels, Risc Zero se décrit comme une startup qui crée l’infrastructure et les outils nécessaires aux développeurs du monde entier pour créer des logiciels qui exploitent la technologie ZK Proof.

C’est plutôt un protocole d’infrastructure donc, un peu à l’image de LayerZero, que je vous avais présenté dans la précédente vidéo. Ils sont open-source et leur objectif principal, c’est de rendre la technologie Zk plus accessible que ce soit aux développeurs ou aux entreprises en leur permettant de déployer rapidement des applications qui utilisent ces technologies.

En 2022, ils lancent leur propre ZK-EVM qui permet, entre autres, à chaque développeur de construire des ZK proofs qui peuvent être exécutées simplement et efficacement. Le tout pouvant être exécuté avec du langage informatique traditionnel, ou bien réservé aux blockchains. L’idée, c’est de permettre aux développeurs de construire des applications utilisant la technologie ZK avec des outils qu’ils connaissent et en levant les barrières de la complexité des différents langages informatiques. Leur produit phare, c’est Bonsai, qui est une sorte de machine tout-en-un pour générer des ZK-proofs. Cela simplifie grandement l’utilisation de cette technologie pour améliorer la confidentialité et l’interopérabilité des chaînes, protocoles et applications.

Avec Bonsai, intégrer la preuve à connaissance zéro dans des environnements comme Ethereum et les blockchains de niveau 1 devient facile, ça nécessite vraiment peu d’efforts de développement. La zkVM de Bonsai, est basée sur RISC-V, qui, pour la faire courte, est un jeu d’instruction normalement utilisé dans l’électronique pure et dure. L’équipe de Risc Zero utilise ces instructions directement dans leur ZK-EVM et concrètement, ça permet d’écrire du code dans des langages informatiques connus comme en Solidity, ou bien des langages plus traditionnels comme C++ par exemple. Leur bibliothèque est vraiment vaste et ça permet une grande flexibilité.

En somme, ce que Risc Zero développe, c’est une sorte de roll-up universel et open-source, plutôt prometteur, pas vrai ? Pour le moment, le projet a pu lever un peu plus de 50 millions de dollars au total avec quelques beaux noms comme Blockchain Capital, ou bien Galaxy Digital, entre autres. On n’a pas encore d’information concernant un éventuel token, mais comme pour les autres projets, il faut rester à l’affût, peut-être qu’on aura des nouvelles plutôt rapidement.

Bera Chain

Passons maintenant à un protocole là encore très peu connu, mais qui, cette fois, n’a pas grand-chose à voir avec les ZK proofs, Berachain. Pour commencer, on ne sait pas trop d’où sortent les créateurs de Berachain. J’ai réussi à dénicher au moins trois co-fondateurs, SmokeyTheBera, Homme Bera et DevBear. On ne sait pas grand chose sur eux, si ce n’est que même en public, ils ont l’air de vouloir garder leur identité secrète.

Tout ce qu’on sait, c’est qu’ils sont tous trois basés à Toronto, et que le choix du pseudonymat est motivé par la volonté de construire sans être inquiété par des questions légales ou bien de sécurité personnelle. Le projet a débuté fin 2021 et à l’origine, ça a commencé avec une collection de NFT qui donnera naissance au projet Berachain. Ce nom vient d’ailleurs de “bear”, qui veut dire « ours », et qu’ils ont orthographié “bera” en référence au fameux “hodl” qu’on connaît bien
dans l’écosystème.

Il s’agit d’une blockchain basée sur Cosmos compatible avec l’Ethereum Virtual Machine et qui repose sur Tendermint, le consensus natif de Cosmos. En plus d’utiliser l’un des cadres de construction de blockchain les plus performant du
marché, tout en profitant de la fiabilité de Tendermint, le protocole intègre également un système de résistance contre les attaques Sybil plutôt novateur, le proof-of-liquidity. Pour rappel ou pour info, et sans rentrer dans les détails, une attaque Sybil se produit quand quelqu’un arrive à créer de multiples identités fictives pour tromper un système décentralisé.

C’est problématique dans le cas d’une blockchain par exemple, puisqu’en créant plusieurs identités, un attaquant peut influencer le système de manière injuste. Bref, les développeurs de Berachain ont proposé de contrer ce risque avec leur système de preuve de liquidité. Pour la faire courte, les utilisateurs peuvent miser divers actifs sur un validateur, recevant en retour des récompenses tokenisées. Le tout favorise l’interopérabilité grâce à l’adoption de Cosmos et permettant de participer au staking sans obligation de staker les tokens natifs de Berachain.

En clair, peu importe ce que vous stakez, vous devez juste prouver au protocole que vous avez des liquidités. D’ailleurs concernant les tokens natifs, ils misent sur un système avec trois tokens. D’abord,
le BERA, qui fonctionnera comme un token de gas, pour payer les frais de transaction donc, un peu comme l’ETH sur Ethereum.

Ensuite, le BGT, qui fonctionne comme un token de gouvernance avec des caractéristiques un peu particulières et qui permettra de participer aux décisions relatives à la blockchain. Et enfin le HONEY, un stablecoin collatéralisé par le consensus de Berachain et qui fonctionnera un peu comme le token de liquidité du protocole. Si on devait faire un parallèle, imaginez que vous avez de l’ETH et que tout cet ETH est staké pour sécuriser la blockchain Ethereum. Maintenant, imaginez que vous pouvez quand même utiliser cet ETH pour interagir avec des protocoles de DeFi comme Aave par exemple.

C’est ce que permet Berachain. Pour le moment, on en sait pas beaucoup plus sur le projet, si ce n’est qu’ils ont levé 42 millions de dollars en avril dernier à l’occasion d’une serie A avec Polychain Capital en tête d’affiche. La valorisation du projet s’élève à 420,69 millions de dollars et, je pense qu’entre ça et le nom du projet, vous aurez compris que le projet s’inscrit pleinement dans l’ethos de l’univers crypto.

D’après l’un des cofondateurs, Berachain, qui est pour le moment en devnet, devrait être lancé d’ici la fin d’année, et ses tokens natifs devraient arriver en même temps. En tout cas, le projet a l’air plutôt sérieux et leur produit a vraiment de quoi plaire par son fonctionnement et ce qu’il permet, affaire à suivre !

Kakarot

Pour le dernier projet prometteur de cette vidéo, on va parler de Kakarot, qui est, roulements de tambours, un projet français ! Kakarot est né durant la conférence StarkNet Community d’octobre 2022 et est à l’initiative de trois entrepreneurs, Elias Tazartes, Clement Walter et Danilo Kim. Ils disposent tous d’expériences en développement logiciels, et sont diplômés de grandes écoles comme Science Po Paris par exemple. D’ailleurs, Abdelhamid Bakhta de chez StarkWare, que vous connaissez sans doute si vous regardez la chaîne, est lui aussi impliqué dans le projet qu’il ne manque pas de suivre et de conseiller.

Et ce n’est pas pour rien, Kakarot va permettre, en quelque sorte, de rendre Starknet plus compatible avec Ethereum. Je m’explique rapidement. Les contrats sur Starknet sont aujourd’hui écrits en Cairo, un langage de programmation spécifique et plus adapté, pour pleins de raisons, à la technologie des zero knowledge proofs qu’utilise Starknet. Or, vous le savez peut-être, le Cairo, ce n’est pas du tout la norme dans les langages de programmation sur Ethereum, c’est même tout le contraire en fait.

La norme, c’est plutôt le Solidity, un autre langage de programmation. A cause de ça, entre autres, Starknet est incompatible avec la machine virtuelle Ethereum, ce qui veut dire que les projets qui veulent intégrer leur technologie seraient dans l’obligation d’embaucher deux équipes de développeurs, une qui code, par exemple, en Solidity, et l’autre qui adapte et maintien le code en Cairo. On ne va pas plus rentrer dans le détail, mais il faut retenir une chose de Kakarot, c’est que
c’est une implémentation de la machine virtuelle d’Ethereum, mais en langage Cairo. Et ça, c’est une super nouvelle pour les projets comme Starknet qui utilisent ce langage.

En tout cas, le projet a l’air de plaire puisqu’ils ont annoncé une pre-seed en juin dernier avec ni plus ni moins que le soutien de Starkware, évidemment, mais aussi Nicolas Bacca, cofondateur de Ledger et du metaverse The Sandbox, et, tenez-vous bien, Vitalik Butterin himself. Et vu les visions de ce dernier, ce n’est pas surprenant. Et oui, pour lui, plus il y a de zkEVM, mieux c’est. Il encourage la diversité d’approche et d’architectures, donc un projet qui promet de rendre cette diversité plus facile, ça ne pouvait que lui plaire. Pour l’instant, il n’y a eu qu’une pre-seed et une seed et on ne sait pas trop combien ils ont levé, mais on sait qu’à l’issue de la pre-seed, ils avaient un total de 48 investisseurs et une valorisation d’environ 15 millions de dollars.

En tout cas, le projet s’annonce plutôt prometteur et mérite d’être suivi de près, si vous voulez mon avis.

Nous voilà donc arrivés à la fin de la présentation de 5 projets attendus pour le prochain bull run. La première partie de cette vidéo, disponible ici, aborde quant à elle les 5 cryptomonnaies les plus attendues pour 2024.  J’ai encore de nombreux projets en tête donc si vous voulez une suite à cette vidéo, faites-le-moi savoir en commentaire sur notre chaîne YouTube.

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Coupe du Monde de football 2026 : ces NFT vous donnent une chance de gagner un ticket pour la finale

La FIFA continue son exploration du Web3, et propose des tokens non fongibles (NFTs) pour la prochaine Coupe du Monde, qui aura lieu en 2026. Présents sur la blockchain de Polygon (MATIC), ils peuvent donner accès à des places gratuites. Comment cela fonctionne-t-il ?

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Bitcoin le 12 décembre – Les baleines sont prêtes pour le bull run

Liquidations sur les cryptomonnaies – Le cours du Bitcoin a connu de la volatilité baissière, et de nombreux opérateurs ont été liquidés. Au total, la chute d’environ 8 % a engendré plus de 300 millions de dollars de liquidations. La plupart des opérateurs qui ont été liquidés étaient en long, et ceci montre une certaine euphorie sur le marché.

Le cours du Bitcoin évolue au-dessus du chiffre rond psychologique des 40 000 $, et les whales semblent être prêtes pour le prochain marché haussier. Voici le bulletin du jour !

Cette analyse du cours du Bitcoin vous est proposée en partenariat avec CryptoTrader et sa solution de trading algorithmique enfin accessible aux particuliers.

Le cours du Bitcoin chute de plus d’1 % en 24 heures

Depuis dimanche soir, les vendeurs ont repris le contrôle du cours du Bitcoin. Le BTC a bloqué au niveau des 44 000 $, et le cours a chuté proche des 40 000 $. Le cours affiche une baisse de plus d’1 % en 24 heures :

Performances du Bitcoin face à différentes paires. Source : Coincheckup

Malgré cette baisse, le cours reste en hausse de 13 % en un mois, et de plus de 60 % en trois mois. La paire BTC/ETH stagne en une semaine, et elle grimpe de près de 4 % en un mois. Le BTC continue d’être solide face à Ethereum.

Les whales distribuent, le nouveau cycle de hausse est-il déjà lancé ?

Les whales sont des entités ayant plus de 1 000 BTC en portefeuille. Ces portefeuilles ont la capacité d’influer sur le marché des cryptomonnaies, c’est pour cette raison qu’on regarde leur comportement. Ici, on va s’intéresser aux portefeuilles ayant plus de 10 000 BTC :

Evolution du nombre d’adresses ayant plus de 10 000 BTC en portefeuille Source : Glassnode

Pendant que le marché était en bull market en 2021, les whales ayant plus de 10 000 BTC en portefeuille en ont profité pour distribuer. Elles profitaient de l’euphorie sur le marché des cryptomonnaies pour vendre. Puis, lorsque le BTC a marqué un top, elles ont changé de comportement. En effet, les whales ont commencé à accumuler des BTC à partir de 2022. Il semblerait que la phase d’accumulation soit terminée, et qu’elles soient prêtes pour un nouveau marché haussier. Auront-nous droit à une chute importante comme en 2019 avant de partir en bull run ? Ou sommes-nous déjà en marché haussier ?

Le cours du Bitcoin doit reprendre les 42 000 $ en tant que support

Les vendeurs ont réussi à casser le support présent à 42 000 $, mais les acheteurs défendent le dernier creux à 41 160 $. En effet, le cours a rebondi au niveau du support à 40 500 $ :

Cours du Bitcoin face au dollar (4H)

Le BTC doit reprendre le niveau à 42 000 $ pour pouvoir revenir au niveau de la résistance à 44 000 $. Si les 42 000 $ résistent, le cours pourrait de nouveau chuter sur le support à 40 500 $, et celui-ci pourrait finir par céder. Dans ce cas, le BTC pourrait perdre les 40 000 $ et revenir sur le prochain support situé à 37 500 $. Le RSI affiche une dynamique baissière, les vendeurs ont la main sur le mometum à court terme.

Les whales sont en train de distribuer, et elles adoptent ce comportement depuis le début de l’année. Il semblerait qu’elles aient fait le stock pendant la vertigineuse chute de 2022, et qu’elles soient prêtes pour le bull run. Les whales pourraient continuer à distribuer au fur et à mesure que le cours grimpe. De son côté, le BTC a rebondi au niveau du support à 40 500 $, mais il faut se défaire de la résistance à 42 000 $ pour pouvoir retrouver la résistance à 44 000 $. Les acteurs institutionnels sont-ils en train de FOMO ? CoinShares enregistre des entrées à hauteur de 2 milliards de dollars.

L’actualité du Bitcoin qui compte :

Le cours du Bitcoin enchaîne une huitième semaine d’affilée dans le vert en hebdomadaire. Toutefois, le cours bloque au niveau des 44 000 $. S’agit-il d’un top de marché, ou d’une simple correction ?
Le Bitcoin chute de près de 8 %, et le marché enregistre 300 millions de dollars de liquidations. Au total, 100 millions de dollars de positions longs ont été liquidés sur le roi des cryptomonnaies.
Les Ordinals sont de nouveau dans la tourmente. Alors que certains développeurs ne sont pas friands des NFT et des BRC-20 sur Bitcoin, les USA classe les Ordinals parmi les cybermenaces.
Après son 364ᵉ et dernier message sur le Bitcoin forum, Satoshi Nakamoto disparaissait. Cela fait désormais 13 ans que le créateur du Bitcoin a disparu, sans laisser de traces.

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La FIFA fera gagner des places pour la coupe du monde aux détenteurs de sa collection NFT

La FIFA annonce le lancement de sa collection NFT pour la coupe du monde des clubs de 2023 se déroulant en Arabie Saoudite.

La FIFA annonce le lancement de sa collection NFT pour la dernière coupe du monde des clubs à 7 équipes

We are excited to announce a new era@FIFAcom announces collaboration with @modex_tech to power @FIFAPlusCollect ahead of FIFA Club World Cup Saudi Arabia 2023https://t.co/01nwAT261u

— FIFAPlusCollect (@FIFAPlusCollect) December 11, 2023

Initialement déployée sur la blockchain Algorand, Fifa +Collect a annoncé le lancement de leur prochaine collection sur le réseau Polygon. En collaboration avec la société blockchain Morex, la FIFA annonce la possibilité de remporter des places pour la finale du tournoi pour les 100 premiers acquéreurs.

Pour rappel, la coupe du monde se déroule en Arabie Saoudite du 12 au 22 décembre. Elle sera la dernière édition à 7 équipes. En effet, les 7 meilleurs clubs des 5 continents s’opposeront pour remporter le trophée le 22 décembre prochain. Parmis elles se trouve notamment le géant et favori Manchester City.

C’est dans ce contexte qu’au travers de +Collect, la FIFA lance une collection NFT exclusive. Elle permettra notamament aux détenteurs d’obtenir des goodies en récompense.

En effet, la FIFA +Collect déclare travailler “sur des collections attrayantes et passionnantes visant à récompenser la communauté”. Ils ajoutent que “ce n’est que le début”, ce qui pourrait relancer un peu de hype sur le marché des NFTs en pleine période de doute.

Le premier drop des 100 premiers NFT sera disponible à partir du 15 décembre. Tandis que les 900 NFTs restants seront disponible sur OpenSea à partir du 19 décembre, à l’approche de la grande finale.

Une collaboration pour relancer les NFT ?

FIFA is taking fan engagement onchain, ahead of the FIFA Club World Cup Saudi Arabia 2023.@FIFAcom is collaborating with @modex_tech to lead the strategic implementation of @FIFAPlusCollect, adding digital collectibles minted on the Polygon network to celebrate the fandom of… pic.twitter.com/X6WUcvLvtg

— Polygon (Labs) (@0xPolygonLabs) December 11, 2023

Selon leur communiqué, “la technologie Web3 peut apporter en termes de motivation accrue et d’augmentation de la participation des fans.” Les cas d’utilisations des NFT sont nombreux et la tokenisation permet d’offrir des investissements innovants.

“Nous sommes ravis de nous lancer dans ce voyage transformateur avec Modex et de porter la plateforme FIFA+ Collect à de nouveaux sommets. Depuis son lancement, la plateforme a été extrêmement populaire dans le monde entier et les fans de tous les pays ont maintenant la possibilité de posséder un morceau de l’histoire du football. Ces nouveaux lancements, cette année et au-delà, offriront aux fans de football un moyen unique et innovant de se connecter au sport, tout en contribuant à la croissance du marché des objets de collection numériques.”a déclaré Romy Gai, Directeur des affaires de la FIFA.

Cette collaboration n’est sans doute pas la dernière. Il est bon de sginaler qu’en novembre 2022, plus de 230,000 packs NFT de la FIFA +Collect avaient étaient ouverts sur la blockchain Algorand. Cela représenté donc plus de 1 million de dollars de ventes, en marge de la dernière coupe du monde de la FIFA.

Cette première génération des NFT FIFA +Collect avaient connu un succès relativement important. En effet, plus de 500,000 packs avaient été mintés. Ce qui représentait environ 1,5 millions de NFT.

“La Coupe du Monde des Clubs de la FIFA promet de donner 10 jours excitants et avec la sortie de ces objets de collection qui peuvent permettre d’obtenir des articles de match de la FIFA et l’accès final de la Coupe du Monde de la FIFA 26 , il y a une incitation supplémentaire pour les fans à participer. C’est la première étape d’un voyage pour engager davantage les fans dans les matches et initiatives de la FIFA. » déclare Francesco Abbate, PDG de Modex.

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IOTA vise 0,30 $ après les nouvelles haussières de DLT alors que les investisseurs se diversifient avec Everlodge (ELDG)

L’IOTA a dépassé un niveau clé après l’annonce de la fondation DLT de 100 millions $.
Le prix de prévente d’Everlodge est passé à 0,025 $ et devrait atteindre 0,035 $ au moment de son lancement.
Au moment où ELDG sera lancé sur les principales bourses, sa valeur pourrait être 280 % supérieure au prix initial de 0,01 $.

Le prix de l’IOTA (IOTA) a grimpé au-dessus de 0,28 $, son plus haut niveau depuis début octobre 2022. Pendant ce temps, un sentiment positif a envahi Everlodge (ELDG). Avec une dynamique haussière susceptible de faire grimper les prix de l’IOTA et d’autres crypto-monnaies, est-ce le moment de diversifier les portefeuilles ?

Voici un aperçu de l’évolution potentielle des prix de l’IOTA et des raisons pour lesquelles les investissements fractionnés sur la blockchain sont l’une des tendances les plus en vogue aujourd’hui – Everlodge étant positionné pour être le principal acteur du secteur de l’investissement immobilier en croissance rapide.

Lancement clé de la Fondation DLT de l’IOTA

IOTA (IOTA) est un registre distribué, dont la pièce native est utilisée comme unité de transaction. Bien qu’il gère un réseau peer-to-peer, ce n’est pas une blockchain. Son grand livre distribué s’appelle Tangle et utilise la technologie Directed Acyclic Graph (DAG).

Bien que le réseau soit à la traîne depuis son entrée dans l’écosystème, les récents développements haussiers mettent les analystes sous surveillance et les investisseurs intéressés.

Cela inclut le dévoilement de ShimmerEVM, la blockchain compatible Ethereum qui prend en charge les contrats intelligents et permet aux dApps impossibles sur IOTA d’être déployées sur le réseau principal.

La dernière nouvelle haussière est arrivée le 29 novembre, lorsque la Fondation IOTA a annoncé qu’elle avait obtenu l’enregistrement d’une fondation écosystémique. La Fondation IOTA Ecosystem DLT est la première du genre à Abu Dhabi et soutiendra la croissance et l’adoption de l’IOTA au Moyen-Orient et en Afrique du Nord (MENA).

Cette entreprise doit être alimentée par un financement de 100 millions $ payé en jetons natifs. Cette nouvelle peut-elle aider le prix du jeton à augmenter ?

Prédiction de prix pour IOTA – les taureaux peuvent-ils retester la barre de 0,30 $ ?

L’IOTA a réduit une partie des gains observés mercredi, s’échangeant à environ 0,23 $. Cependant, le jeton natif de la plate-forme technologique de registre distribué sans autorisation reste au-dessus du niveau technique clé de 0,20 $ après avoir imprimé des gains verticaux de plus de 50 %.

Prix de l’IOTA sur le graphique hebdomadaire

Avec la base établie pour utiliser les jetons IOTA dans ses opérations et sa quête pour développer l’écosystème DLT, le scénario probable serait que l’actif numérique soit soumis à une pression d’achat accrue.

Si les taureaux se maintiennent au-dessus de 0,20 $, un rebond vers les sommets intrajournaliers pourrait parfaitement préparer ce jeton pour un nouveau test de 0,30 $. Au-dessus, la première zone de résistance majeure pourrait se situer à 0,36 $, un point de rejet en juin et août 2022.

Mais malgré ces perspectives, l’IOTA est toujours dans une tendance baissière à long terme. La valeur de la pièce n’a pas suivi de tendance haussière depuis sa chute du sommet de 2,00 $ en août 2021. Le sommet historique était de 5,25 $, atteint en décembre 2017.

Everlodge – investissement immobilier fractionné sur la blockchain

Le monde de l’investissement connaît une croissance rapide, et particulièrement dans le domaine de la technologie blockchain. Everlodge cherche à apporter cette réalité aux investisseurs avec le premier marché immobilier de propriété fractionnée de maisons, d’hôtels et de villas de luxe.

Tirant parti de la technologie de la blockchain, du timeshare et des jetons non fongibles (NFT), cette plateforme apporte des investissements de type « AirBnb » sur Web3.

Par exemple, une villa de luxe située dans un endroit haut de gamme peut être numérisée, avec des titres et des actes sécurisés sur la blockchain via des contrats intelligents. Ensuite, un NFT de propriété est créé et fractionné pour permettre de petits achats aux investisseurs. Ceux-ci seront possibles via le jeton ELDG.

Lorsque ce projet sera lancé, il comprendra une place de marché, un Launchpad et une plateforme de prêt.

Le prix d’Everlodge (ELDG) devrait augmenter de 280 % lors de la prévente

Le projet innovant d’Everlodge pourrait constituer une énorme opportunité avec un marché immobilier mondial estimé à plus de 280 000 milliards $ et le secteur hôtelier à lui seul à plus de 4 500 milliards $ (en 2022).

ELDG est un jeton basé sur Ethereum qui sera la monnaie de paiement de l’écosystème Everlodge. Il disposera d’une offre fixe totale de 800 millions de jetons. Les détenteurs bénéficieront de bonus, de réductions sur les frais de négociation et de récompenses de mise. Le projet promet également d’offrir un ensemble complet en termes de ce dont un investisseur peut profiter et des spectacles de prévente.

Un total de 480 millions de jetons seront proposés en prévente, avec un objectif de collecte de fonds de 12 millions $.

Après avoir été lancé avec un prix initial de 0,01 $, la valeur du jeton a augmenté de 150 % pour atteindre 0,025 $. Ce prix devrait atteindre 0,035 $, offrant potentiellement 280 % de rendement aux lève-tôt. Il ne s’agit cependant que de gains théoriques, car les investisseurs ne réclameront leurs jetons qu’au lancement officiel du projet.

Vous pouvez en apprendre davantage sur Everlodge (ELDG) ici.

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