Les Ordinals sur Bitcoin, une cybermenace selon les USA

Depuis le début de l’année, les Inscriptions Ordinals sont au cœur de l’activité sur Bitcoin. Ces derniers ont entre autres permis l’essor des NFT et des BRC-20 sur Bitcoin. Cependant, certains développeurs ne voient pas ce nouveau protocole d’un bon œil.

La guerre des Ordinals

La semaine dernière, le développeur Luke Dashjr déclarait que les inscriptions sur Bitcoin exploitent une vulnérabilité. Selon lui, celles-ci contournent la limite sur la taille des données d’une transaction en inscrivant les données en code Script.

Évidemment, cette déclaration ne fait pas l’unanimité. Selon les équipes de Samouraï Wallet, il ne s’agit en aucun cas d’une vulnérabilité. Ces dernières  vont jusqu’à pointer du doigt la censure réalisée par Ocean Mining, la pool créée par Luke Dashjr. Depuis, les deux camps se font la guerre sur les réseaux sociaux.

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La situation s’envenime

Alors que les développeurs de Bitcoin eux-mêmes ont du mal à se décider sur la nature des inscriptions, les États-Unis ont de leur côté tranché.

Ainsi, les Inscriptions Bitcoin ont récemment été ajoutées à la base de Données Nationale des Vulnérabilités (NVD) des États-Unis comme un risque de cybersécurité. Rien que cela.

« Dans Bitcoin Core jusqu’à la version 26.0 et dans Bitcoin Knots avant la version 25.1.knots20231115, les limites de taille des supports de données peuvent être contournées en obscurcissant les données sous forme de code (par exemple, avec OP_FALSE OP_IF), comme cela a été exploité dans la nature par Inscriptions en 2022 et 2023. »

Explique l’enregistrement.

Vous l’aurez peut-être compris, il s’agit là de la « vulnérabilité » soulevée par Luke Dashjr, sur laquelle la communauté n’arrive pas à s’accorder.

Être ajouté à la liste de la NVD signifie qu’une vulnérabilité de cybersécurité spécifique a été reconnue, cataloguée et jugée importante pour la sensibilisation du public. La base de données est gérée par le National Institute of Standards and Technology (NIST), une agence du département du Commerce des États-Unis.

La propagation du discours concernant la vulnérabilité peut affecter négativement le réseau Bitcoin. En effet, cela pourrait donner du poids aux tentatives de Luke Dashjr de débarrasser Bitcoin des Ordinals.

Si la « vulnérabilité » venait à être corrigée, cela pourrait potentiellement restreindre les inscriptions Ordinals sur le réseau.

Ces débats ne sont pas sans rappeler ceux qui ont entouré Bitcoin lors du déploiement de  SegWit. Évidemment, ces débats sont nécessaires pour faire avancer le réseau dans le bon sens.

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La célèbre collection NFT Pudgy Penguins annonce l’arrivée de son metaverse Pudgy World

La collection NFT Pudgy Penguins, lancée en 2021, a su se distinguer rapidement dans le monde des NFT. Cette ascension fulgurante a été marquée par une annonce majeure à Art Basel Miami : le lancement de leur propre metaverse, Pudgy World. Attendu pour courant 2024, ce projet ambitieux promet de révolutionner l’expérience et l’utilité des NFT.

Announcing our Pudgy Miami Art Basel event, co-hosted by @zksync, on Saturday, December 9 from 7-11pm EST.

More information on how to RSVP for this Pudgy World themed event below. pic.twitter.com/tPuaJrr4iN

— Pudgy Penguins (@pudgypenguins) November 19, 2023

Connexion du Physique et du Virtuel



Une innovation majeure de Pudgy World est sa capacité à lier les objets physiques aux éléments virtuels. Les détenteurs des NFT ou des peluches Pudgy Penguin, ces dernières étant vendues dans plus de 2 000 magasins Walmart aux États-Unis, auront la possibilité de voir leurs possessions se transformer en personnages 3D interactifs dans le metaverse. Cette caractéristique renforce le lien entre le monde réel et le monde virtuel, offrant une expérience utilisateur unique.

Une Expérience de Jeu Gratuite et Narrativement Riche



Conçu comme un environnement free-to-play, Pudgy World vise à être accessible à un large public. Les joueurs auront la possibilité d’acheter des traits de caractère pour personnaliser leurs avatars, enrichissant ainsi leur expérience dans une histoire axée sur le storytelling. Le metaverse suivra les aventures de deux personnages principaux, Pudgy et Peaches, apportant une dimension narrative et immersive au jeu. Luca Netz, le PDG de Pudgy Penguins, a déclaré dans un communiqué :

“Le lancement alpha de Pudgy World est une avancée massive pour l’espace Web3 et NFT, car les propriétaires de Pudgy Penguin joueront avec leurs jouets Pudgy, sans aucune connaissance préexistante de la technologie blockchain sur laquelle elle est construite”

Pudgy World Alpha, powered by @zksync, releasing Q1 of 2024.

The beginning of a new era of blockchain-backed experiences, with the goal of onboarding millions, brought to you by Pudgy Penguins. pic.twitter.com/ZvCRRGSUSH

— Pudgy Penguins (@pudgypenguins) December 10, 2023

Cette initiative permet donc aux propriétaires de Pudgy Penguin d’interagir de manière ludique avec leurs jouets dans un univers virtuel, sans nécessiter de connaissances approfondies en technologie blockchain. Cela marque un tournant significatif, ouvrant la voie à une adoption plus large et simplifiée de la blockchain. En effet, en rendant l’expérience utilisateur intuitive et accessible, Pudgy World non seulement valorise ses NFT mais contribue également à démystifier et à populariser l’usage de la blockchain auprès d’un public plus vaste.

Mais est-ce vraiment une bonne idée ? L’idée de dissimuler la complexité de la technologie blockchain aux utilisateurs de Pudgy World peut soulever des préoccupations éthiques : Bien que l’objectif soit de rendre l’expérience utilisateur plus accessible, il est crucial d’éduquer et d’informer les utilisateurs sur les technologies sous-jacentes, en particulier dans un domaine aussi innovant et changeant que le Web3 et les NFT. Ne pas le faire pourrait être perçu comme une forme de dissimulation ou de “mensonge” par omission, pouvant potentiellement induire les utilisateurs en erreur sur la nature et les risques associés…

Avancées Technologiques avec zkSync



L’utilisation de zkSync, le protocole de mise à l’échelle de la couche 2 d’Ethereum développé par Matter Labs, est un choix stratégique pour Pudgy World. Cette technologie offre des avantages significatifs en termes de confidentialité et d’efficacité, grâce aux preuves à zéro connaissance (ZK). Ces dernières sont particulièrement appréciées pour la protection de la confidentialité des utilisateurs dans les transactions blockchain, comparées aux systèmes traditionnels sur des réseaux publics tels qu’Ethereum.

Un Nouvel Horizon dans l’Univers des NFT



Le lancement de Pudgy World par les Pudgy Penguins représente bien plus qu’une simple extension d’une collection NFT. C’est un grand pas vers une intégration plus profonde et significative des mondes virtuels. En alliant technologie blockchain avancée, storytelling captivant et interactivité entre les mondes physique et numérique, Pudgy World tente de se positionner comme un leader dans l’évolution des expériences numériques, redéfinissant ce que signifie posséder et interagir avec un NFT dans un monde de plus en plus connecté.

Source : Pudgy Penguins (X), Decrypt

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Metaverse : The Sandbox (SAND) accueille une campagne de dons pour la Croix-Rouge

Une aide humanitaire pixelisée, mais bien réelle. Le projet crypto de The Sandbox (SAND) continue de développer activement son vaste métavers où diverses entreprises, marques et organisations proposent des environnements d’activités virtuelles aux utilisateurs déambulant dans ce metaverse. Ces prochaines semaines, c’est l’association d’aide humanitaire de la Croix-Rouge française (dont la fondation remonte à 1864, bigre !) qui sera à l’honneur dans cet univers numérique.

The Sandbox offre 125 000 SAND à la Croix-Rouge française

Avec ses près de 160 ans d’existence et ses 70 000 bénévoles répartis dans toute la France, la Croix-Rouge est un acteur incontournable de l’aide humanitaire au sein des associations caritatives. Et ce 11 décembre 2023, The Sandbox annonce que l’organisation s’est lancée dans l’univers des tokens non fongibles (NFT) et du Web3 en lançant une campagne de dons via le monde numérique du metaverse SAND.

En effet, du 11 décembre 2023 au 22 janvier 2024, les utilisateurs du métavers de The Sandbox pourront découvrir l’espace consacré à la Croix-Rouge dans ce métavers. Avec cette approche novatrice pour la collecte de fonds, l’association cherche à mobiliser une audience plus large, et notamment la communauté grandissante gravitant autour de Bitcoin (BTC) et des cryptomonnaies.

Pour montrer la voie, The Sandbox va déjà lui-même contribuer à cette campagne numérique de dons. Le projet de cryptomonnaie va ainsi offrir 125 000 SAND à la Croix-Rouge française. Au cours actuel du SAND, ce don représente un peu plus de 58 000 dollars.

The Sandbox montre l’exemple à ses utilisateurs et donne 125 000 SAND à la Croix-Rouge. Source : play2give.fr

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Les joueurs-donateurs du métavers SAND peuvent acheter des NFT pour aider l’association

En référence au Play-to-Earn, cette initiative de la Croix-Rouge sur The Sandbox est appelée Play-2-Give. Elle a été conçue avec l’aide de l’agence spécialisée Web3 Parishanghai et le studio de jeux vidéo Yobiké.

En plus des 125 000 SAND offerts par le projet, les utilisateurs du métavers pourront bien sûr, eux aussi, participer. Les joueurs peuvent soutenir la Croix-Rouge française en achetant des NFT au sein même de cet univers numérique, ou en faisant des dons directs en cryptomonnaies.

Cette expérience solidaire dématérialisée va permettre de montrer le potentiel que représente cette nouvelle forme de collecte numérique et ludique pour les organisations humanitaires. Les mini-jeux proposés dans le metaverse placeront les joueurs dans le rôle d’un bénévole de la Croix-Rouge « à travers différentes quêtes et missions ». Trois cartes/maps seront à visiter, et un NFT PASS permettra d’accéder à la troisième carte pour finaliser l’expérience.

Cette campagne de dons via blockchain est aussi une bonne occasion de démontrer la générosité des membres de la cryptosphère et des acteurs du Web3. Surtout que, pour chaque SAND dépensé par les acheteurs de NFT, un nombre de SAND équivalent sera également versé par The Sandbox. On constate en tout cas que ce projet de métavers développe activement ses partenariats, aussi bien au sein du secteur crypto qu’en-dehors. Souhaitons une belle réussite à la campagne de dons de la Croix-Rouge dans le metaverse, pour faire le Bien dans notre monde réel !

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Nuit blanche pour Bitcoin : Plus de 300 millions de $ liquidés sur le marché crypto

Correction engagée ? À force de s’inscrire à la hausse, le marché crypto finit toujours par connaître un essoufflement. Une dynamique récurrente à l’origine de pertes significatives suite au déclenchement de liquidations en cascade. Car les acheteurs – souvent retardataires – aux positions long subissent de plein fouet ce genre de rupture de tendance. Et la dernière baisse de 7 % enregistrée par le Bitcoin ne fera pas exception à la règle. Résultat : plus de 300 millions de dollars liquidés en quelques heures sur le marché des cryptomonnaies.

Marché crypto : plus de 316 millions de dollars de liquidations en 24h

Le réveil de ce début de semaine aura été difficile pour le marché des cryptomonnaies. En effet, à peine le lundi 11 décembre a-t-il débuté que le Bitcoin a accusé un violent recul de -7 % en l’espace de quelques heures. Avec un prix soudainement – mais pour le moment furtivement – projeté vers le niveau de 40 500 $.

Le Bitcoin a enregistré une forte baisse en l’espace de quelques minutes

Une situation pour le moment stabilisée au-dessus des 42 000$. Mais le choc aura tout de même entraîné une cascade de liquidation estimée à près de 100 millions de dollars rien que pour les positions long détenues sur le BTC.

Il faut ensuite ajouter à cela environ 75 millions de dollars pour Ethereum. Avec un total, toutes cryptomonnaies confondues, de plus de 316 millions de dollars sur les dernières 24h. Et un record détenu par la plateforme OKX, avec plus de 168 millions de dollars à elle seule (125,5 millions de dollars pour Binance).

Montant des liquidations sur le marché des cryptomonnaies – Source : Coinglass

Un ralentissement très soudain, qui semble avoir surpris pas mal d’investisseurs positionnés à la hausse avec effet de levier. Car le BTC a en effet accusé la plus importante part de cette baisse (-5,5 %) en moins de dix minutes. Il n’en fallait pas plus…

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Quand le Bitcoin dort, les altcoins dansent ?

Toutefois, de nombreux analystes appellent au calme. Car la situation actuelle semble toujours sous contrôle, avec des objectifs haussiers sur le moyen et long terme qui ne sont pas remis en question.

Le seul véritable problème étant, selon le trader Michaël van de Poppe, le risque d’une correction plus profonde sur le marché des altcoins actuellement illiquide. Mais il anticipe, dans le même temps, un Ethereum qui « devrait facilement prendre le relais au prochain trimestre ». Serait-ce l’annonce de l’enclenchement d’une altseason pour début 2024 ?

Quoi qu’il en soit, cette correction n’a rien de véritablement surprenante. Car le Bitcoin affiche une hausse régulière, toujours supérieure à 145 %, depuis le début de l’année. Mais il semble important de rappeler que ce chemin ne s’est jamais fait en ligne droite.

« La récente correction mineure sur le marché au sens large fait partie du processus rationnel de prise de bénéfices, car les traders pourraient avoir atteint l’objectif de prix à la fin de l’année étant donné que le BTC a augmenté de plus de 70 % depuis octobre. »

Lucy Hu, analyste chez Metalpha

Cette semaine à venir pourrait bien s’inscrire dans une tendance de volatilité soutenue. Car, comme l’explique le compte X de la Kobeissi Letter, plusieurs événements importants doivent intervenir aux États-Unis. Comme par exemple, les données de l’inflation censées être meilleurs que prévu, les chiffres du chômage présentés comme très positifs. Et finalement l’espoir d’une baisse des taux de la Fed à partir du début de l’année prochaine.

La récente baisse du Bitcoin vient de plonger le marché crypto dans une phase de correction. Une étape nécessaire sur le chemin tourmenté de la tendance haussière du BTC vers de nouveaux sommets. Car cela ne remet pas en cause les promesses contenues dans le déroulé de l’année prochaine.

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OYABUN, le jeu mobile web3 à la sauce manga

Dans l’univers ultra-compétitif des jeux Web3, l’innovation est la seule voie possible pour émerger et survivre. Seuls les studios qui sauront implémenter des technologies telles que la réalité augmentée (RA) et l’intelligence artificielle (IA), afin de proposer une expérience de jeu d’exception, resteront en lice. Oyabun, qui a récemment obtenu le soutien de la société Immutable, en est un parfait exemple. Découvrons ensemble ce jeu inspiré de l’univers des Yakuzas, et lisez bien jusqu’au bout, car une surprise vous attend à la fin de l’article. On y parle de la vente prochaine du jeu de société qui inclut un NFT du jeu mobile. C’est parti !

Le Journal du Coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec Oyabun.

Présentation d’Oyabun

Neo-Tokyo, 2084. Dans une ville gangrénée par la violence, les clans de cyber-yakuza font la loi, leur loi. OYABUN, le chef historique de tous les clans, est mort. Le deuil sera de courte durée. En effet, les prétendants au poste vacant ne se feront pas de cadeau. La guerre pour la succession laisse présager d’âpres affrontements. La tension est palpable et c’est dans cette ambiance délétère que vous débarquez sur le jeu pour tenter de survivre et de vous distinguer. Le but ? Devenir le nouvel Oyabun !

Oyabun est un jeu Web3 sur mobile qui emmène les joueurs dans un univers cyber-yakuza manga hyper immersif. Vous incarnez différents membres du clan que vous devez entraîner et faire évoluer pour les ameliorer. Préparez bien vos personnages pour affronter les autres joueurs dans des combats épiques et ainsi prouver votre valeur. À la clé, des récompenses en OYAB, la cryptomonnaie in-game. Celle-ci est indispensable pour améliorer vos personnages. À partir d’un certain niveau, vous pourrez également gagner du BUN, le token déflationniste du jeu qui sera lui aussi nécessaire pour certaines activités du jeu. Ce dernier sera listé prochainement. Êtes-vous prêt à en découdre ?

Démarrage rapide sur le jeu

En préambule, sachez qu’Oyabun est en phase de test de sa version Beta privée. Pour y participer, vous devez posséder au moins un des NFT cyber-yakuza Genesis (numérotés de 1 à 2834). Si ce n’est pas le cas, vous pouvez en acquérir sur OpenSea, car ils ont tous été vendus en seulement quelques minutes lors du mint Genesis. Prenez soin de vérifier le token ID dans la section « Details » sur la page du NFT.

Chaque NFT possède son ID unique

Sans rentrer dans les détails, vous aurez besoin de plusieurs éléments pour profiter du jeu.

Téléchargez et installez l’application sur votre mobile. Elle est disponible sur App Store et sur Google Play

Inscrivez-vous sur l’app et créez votre wallet in-game. Pensez à noter votre seed phrase.

Créez un portefeuille MetaMask (ou autre) et configurez le réseau Polygon, car c’est sur cette blockchain que sont émis les différents NFT du jeu. De plus, vous aurez besoin de MATIC pour les opérations onchain.

Transférez vos NFT et du MATIC sur votre wallet in-game Oyabun. 

Le jeu sera prochainement multi-chain, le développement étant en cours sur la blockchain Immutable. Un swap des NFT entre les environnements des blockchains sera possible.

Et voilà ! Regardons maintenant le fonctionnement du jeu.

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Les différents NFT Oyabun

Vous l’avez compris, Oyabun c’est d’abord une collection de magnifiques Tokens non fongibles (NFT). Il en existe plusieurs sortes qui, combinées entre elles, procurent à vos personnages des capacités combatives essentielles pour envoyer du lourd dans le jeu. Nous attendions le moment propice pour vous dévoiler ces merveilles.

Les NFT cyber-yakuza

Ce sont les cartes représentant les six personnages disponibles actuellement. Ils se déclinent en quatre niveaux de rareté, qui déterminent vos gains lors des combats et des missions de rue. Car oui, Oyabun c’est aussi un jeu qui récompense vos efforts physiques dans la vie quotidienne. En outre, plus une carte est rare, plus vous aurez de chances de découvrir un objet exceptionnel dans les « rob boxes »

Les niveaux sont les suivants : 

Commun

Rare

Épique

Légendaire
Les NFT sont répartis entre 6 personnages et déclinés sur 4 niveaux de rareté

Pour l’instant, seuls les “communs” et “rares” sont disponibles.

Chaque cyber-yakuza est doté d’un nombre de points d’attributs de base déterminés au hasard lors du mint. Cela détermine sa capacité à découvrir des « rob boxes » et ses aptitudes au combat.

Les personnages sont répartis dans trois clans différents qui les prédestinent à une catégorie d’objet primaire intrinsèque ou primary item

Clan Dragon (armes)

Clan Oni (biotech)

Clan Lotus (arts martiaux)

Le but sera de faire évoluer vos personnages en gagnant des points d’expérience XP pendant les combats. Vous pouvez aussi acheter ces points d’XP.

Les NFT objets 

Ce sont les accessoires indispensables pour équiper vos personnages et améliorer leurs compétences. Vous devrez en collectionner un maximum et surtout, trouver les bonnes combinaisons pour optimiser le talent de vos cyber-yakuza à la bagarre. Il est nécessaire d’améliorer vos « items » pour augmenter leur pouvoir. 

Collecter des items est une bonne manière d’améliorer vos personnages

Selon l’expérience de votre personnage, vous pourrez combiner jusqu’à cinq items.

Vous obtiendrez ces objets dans les « rob boxes » mais vous pouvez également les acquérir et les vendre sur Opensea.

D’autres NFT permettent encore d’améliorer vos cyber-yakuza : 

Les avatars : ils confèrent un bonus de chance lors des missions de rue et maximisent vos chances de trouver des « rob boxes » Ils sont uniquement disponibles dans les boîtes de jeu physique Oyabun : First Blood et s’échangent sur Opensea.
Les tatouages : ils permettent de recruter de nouveaux membres pour le clan. Vous les trouverez dans les « rob boxes » et ils s’échangent également sur Opensea.
Les avatars sont une autre originalité de la mécanique de jeu Oyabun

Vous devrez effectuer des missions de rue pour espérer obtenir ces « rob boxes ». Ici, tout est question de ruse et de persuasion pour venir à bout des adversaires du quartier et racketter les précieuses boîtes. 

Vous voilà bien équipés. Il faut désormais envoyer vos fiers yakuza à la bataille.

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Comment ça marche ?

Missions de combat

Défiez les autres cyber-yakuza dans l’arène ! Qu’ils soient contrôlés par d’autres joueurs ou par un robot, peu importe. Votre seul but sera la victoire pour gagner de l’expérience et des OYAB, la monnaie in-game. Une combinaison astucieuse de votre équipement vous donnera un avantage certain quant à l’issue des affrontements.

Missions de rue

Vous serez mis physiquement à contribution pour accomplir des tâches à l’extérieur. Cela vous rapportera des OYAB et aussi les tant convoitées « rob boxes ».

Recrutement 

Vous pouvez combiner deux de vos cartes pour recruter un nouveau membre. En utilisant trois cartes de même niveau de rareté, vous en obtiendrez une de rareté supérieure. Cette fonctionnalité est pour l’instant fermée en beta privée.

Pour explorer l’univers du jeu et acquérir des connaissances utiles qui vous serviront à surpasser les autres joueurs, consacrez un peu de temps à la lecture du white paper

OYABUN : First Blood, le jeu de société qui inclut un NFT du jeu mobile, en vente le 13 décembre 

Un événement très spécial se profilera dans quelques jours. La vente de Noël du jeu de plateau « OYABUN : First Blood » qui aura lieu le 13 décembre à 19h00 CET sur la boutique du site. Cependant, il faudra être rapide le moment venu, car il n’y a que 200 boîtes disponibles, même s’ils annoncent une allocation supplémentaire en cas de forte demande. Premier arrivé, premier servi ! Le prix de vente est de 89,90€, mais vous bénéficiez de 10 % de remise avec notre code promo ofb-journal-ducoin-10

Oui, vous avez bien lu ! Un vrai jeu dans une magnifique boîte pour partager de bons moments en famille ou entre amis. Retrouvez l’univers graphique du jeu Web3 chez vous pour organiser des combats acharnés entre cyber-yakuza. Un lien astucieux entre le monde du jeu physique et celui du web3.

Chaque boîte contient 124 cartes à jouer ainsi qu’un NFT unique. Il s’agit principalement d’avatars qui vous apportent des boosts dans le jeu mobile, comme expliqué précédemment, mais vous pourriez obtenir aussi un des personnages. Ces NFT sont utilisables dans la beta privée du jeu mobile. Tenez-vous prêt, la vente risque d’être très courte ! 

OYABUN promet d’offrir une expérience de jeu exceptionnelle à tous les amateurs de manga et à un public plus large qui se laissera forcément séduire. L’équipe bouillonne de créativité et propose un écosystème très réussi tant sur le plan graphique que technique. Un projet à suivre pour le plaisir du travail bien fait et pour satisfaire la curiosité des prochaines évolutions technologiques.

Et comme OYA Studio aime à chouchouter sa communauté voici l’annonce que je vous présentais en intro : à l’approche de noël, l’équipe vous propose de tenter de remporter une boîte de jeu d’une valeur de 89€. Pour tenter votre chance, rien de bien compliqué :

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Tether (USDT) gèlera tous les portefeuilles sanctionnés par l’OFAC

OFAC freezer. L’écosystème des cryptomonnaies a toujours fonctionné avec deux visages associés, mais distincts. D’un côté son canal historique et décentralisé construit sur les traces cryptographiques du Bitcoin. De l’autre un secteur plus centralisé, avec des plateformes comme Binance et des stablecoins comme le controversé USDT, pour ne citer que les leaders. Et autant dire que la place occupée par ces derniers géants n’a rien de très enviable. Tout particulièrement en pleine tempête réglementaire intensifiée sur la zone crypto. Un contexte au sein duquel la société Tether souhaite visiblement se positionner dans le camp des régulateurs lors de la prochaine distribution des rôles, déjà en cours.

Tether : prochaine cible des instances de régulation ?

L’acharnement réglementaire appliqué à la plateforme Binance pourrait finalement être interprété comme une tête plantée au bout d’un pic à l’intention de l’écosystème – au moins centralisé – des cryptomonnaies. Avec comme principal évènement à retenir, le départ plus forcé que volontaire de Changpeng Zhao (CZ), au profit d’un certain Richard Teng. Ce dernier principalement présenté comme plus réglementairement correct.

Un contexte au sein duquel la société Tether vient de nommer Paolo Ardoino à la tête officielle de ses opérations. Un homme déjà omniprésent sur les médias sociaux, comme le réseau X, afin de défendre les intérêts de cette entreprise réputée opaque et adepte du gel des fonds de ses utilisateurs. Et autant dire que ce changement de dynamique interne correspond très clairement à un changement de cap effectif.

Le stablecoin Tether affiche une hausse de 25 % de sa supply sur la dernière année

Car la société Tether est connue pour l’omniprésence et la force de frappe de son stablecoin USDT. Un jeton dont la valorisation est actuellement estimée à plus de 96 milliards de dollars. Le seul acteur de cette économie de la stabilité numérique à afficher une hausse significative (+25 %) sur la dernière année. Autant dire que tous les ingrédients sont là pour attirer les foudres des régulateurs. À moins d’essayer de les brosser dans le sens de la sanction…

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des relations de travail plus étroites avec les régulateurs crypto

Dans une récente publication, la société Tether annonce la mise en place d’une « nouvelle politique pour renforcer la sécurité des écosystèmes ». Et autant dire que par sécurité il est principalement question de piétiner encore un peu plus les bases initialement décentralisées du secteur des cryptomonnaies. Car le but affiché est de prendre des « mesures proactives supplémentaires » au gel de ses USDT sur sa seule plateforme.

« Tether annonce aujourd’hui sa dernière initiative visant à protéger l’écosystème des cryptomonnaies. Le 1er décembre 2023, la société a pris la décision de lancer une nouvelle politique volontaire de gel des portefeuilles conçue pour lutter contre les activités liées aux personnes sanctionnées figurant sur la liste des ressortissants spécialement désignés (SDN) de l’Office of Foreign Assets Control (OFAC). (…) Tether proposera désormais sur le marché secondaire les contrôles de sanctions qu’il applique déjà pour les portefeuilles sur sa plateforme. »

Tether

Dans les faits, Tether s’engage donc à geler tous les portefeuilles pointés du doigt par l’OFAC. Et cette décision de Paolo Ardoino s’applique également à tous ceux qui seront ajoutés à l’avenir. Sachant qu’il suffit d’être le développeur du mixeur Tornado Cash pour se retrouver en bonne place sur cette liste noire.

Une annonce visiblement suivie d’une mise en pratique rapide et effective. Car à la suite de cette relation désormais affichée comme étroite avec l’OFAC, la société Tether aurait déjà gelé 161 portefeuilles Ethereum en moins de 24 h. Pourtant, il semblerait que 150 de ces adresses ne détenaient aucun stablecoin USDT au moment de leur mise en glaciation « proactive ».

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Binance fait marche arrière à Abu Dhabi, mais ne quitte pas les Émirats arabes unis

Changement de stratégie. Alors que tous les yeux sont rivés vers les États-Unis qui viennent de forcer Binance à mettre un genou à terre, le numéro 1 mondial de la cryptomonnaie continue pendant ce temps-là ses grandes manœuvres sous d’autres fuseaux horaires. Loin de se laisser abattre, le leader du marché en profite pour réévaluer ses priorités et élaborer de nouveaux plans d’action sous la houlette de son nouveau PDG, Richard Teng. Focus aujourd’hui sur les Émirats arabes unis, et plus particulièrement sur Abu Dhabi, où Binance vient de retirer une demande de licence qui lui aurait permis de gérer un fonds de placement collectif. Aveux de faiblesse ou changement de stratégie ?

Le numéro 1 mondial retire une demande de licence auprès du régulateur d’Abu Dhabi

C’est par une simple mention ajoutée au site internet de l’ADGM – Abu Dhabi Global Market – qu’on a donc appris que Binance retirait la demande de licence qu’elle avait déposé il y a un peu plus d’un an. L’entité locale de la plateforme, nommée BV Investment Management, avait ainsi demandé le 15 novembre 2022 une licence de gestion de fonds de placement collectifs et l’a retiré le 7 novembre dernier.

Un porte-parole de Binance a livré une explication à Reuters dans la semaine :

« Lors de l’évaluation de nos besoins mondiaux en matière de licences, nous avons décidé que cette demande n’était pas nécessaire. »

Réponse d’un porte-parole de Binance aux questions d’un journaliste – Source : Reuters

Bien sûr, ces mêmes journalistes ont demandé au représentant de l’exchange si cela avait quelque chose à voir avec les récents déboires américains de Binance et la réponse fut sans appel :

« Cela n’a aucun rapport ! »

Réponse d’un porte-parole de Binance aux questions d’un journaliste – Source : Reuters

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Binance donne quelques explications sur le retrait de cette fameuse licence à Abu Dhabi

Binance reste cependant très présent aux Émirats arabes unis

Le timing est évidemment troublant pour les observateurs qui ne peuvent s’empêcher d’y voir une réorganisation globale de la crypto bourse à la lumière des derniers développements règlementaires aux États-Unis, mais aussi en Europe. Mais dans les faits, Binance reste très présent aux Émirats et a même embauché du personnel l’année dernière à Dubaï où la plateforme a obtenu différentes autorisations règlementaires.

Quelques heures après l’annonce du retrait de cette demande et devant la mauvaise interprétation manifeste de nombreux médias internationaux, Binance a tenu à préciser par un message publié sur X que cette licence n’avait jamais été utilisée et qu’elle concernait un secteur d’activité que la plateforme ne souhaite plus exploiter. Fin de la polémique et retour au travail pour les équipes de l’exchange qui ne compte pas laisser tomber le petit État fédéral composé de sept Émirats.

Car autant le vieux continent et le nouveau monde semblent tourner le dos à Binance, autant d’autres territoires lui tendent les bras ! Les Émirats arabes unis font désormais partie de ces nouveaux Eldorado de la crypto mondiale qui attirent les industriels de premier plan dont la plateforme de M. Teng fait bien évidemment partie. Mais d’autres acteurs majeurs du secteur de la cryptomonnaie ont aussi posé leurs valises au Moyen-Orient ces derniers mois comme Gemini ou Crypto.com.

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Blockchain, crédit carbone et écologie : les Emirats arabes unis passent au vert

Greenwashing au pays de l’or noir ? À l’occasion de la COP28 qui s’est déroulée à Dubaï, aux Émirats arabes unis, l’Institut d’innovation technologique du petit État fédéral du Moyen-Orient en a profité pour dévoiler un projet ambitieux de plateforme internationale de gestion des crédits carbone basée sur la technologie de la blockchain. Décriés par les écologistes au nom de la lutte contre le réchauffement climatique, les Émirats arabes unis ont profité de la tenue de la grand-messe mondiale de l’environnement pour verdir un peu leur discours et réaffirmer leur intention de participer aux efforts internationaux indispensables à la limitation des gaz à effet de serre.

Et de la parole aux actes, il n’y a qu’un pas qui vient d’être franchi avec le lancement prochain de ce projet qui coche toutes les cases de l’écologie actuelle : faible consommation énergétique, captage du carbone et même reboisement. Pour faire le point là-dessus, direction le plus grand des sept Émirats : Abu Dhabi.

Abu Dhabi lance une plateforme pour gérer les crédits carbone…

La COP28 a démarré le 30 novembre dernier à Dubaï et elle se terminera le 12 décembre prochain. Pendant ces deux semaines de débats, de conférences et de rencontres entre chefs d’États, il sera évidemment question de lutte contre le réchauffement climatique et de réduction des gaz à effet de serre, et c’est dans ce cadre que le Cryptography Research Center du Technology Innovation Institute (TII) d’Abu Dhabi a présenté son projet de plateforme d’échange et de suivi des crédits carbone, c’est-à-dire des droits d’émission ou autrement dit, de la tokenisation de ces droits à polluer.

L’idée est de faciliter et d’encourager le commerce de crédits carbone afin de sensibiliser les entreprises à cette problématique tout en proposant un outil facile et efficace à ces mêmes entreprises ou institutions. Le tout sera alimenté et supporté par une blockchain publique afin de garantir la sécurisation et la transparence du système et elle sera à faible consommation énergétique pour respecter les engagements environnementaux des acteurs de la COP28.

Le Technology Innovation Institute lance une plateforme d’échange pour les crédits carbone – Source : compte X

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… qui sera basée sur la technologie de la blockchain

Le Docteur Ray O. Johnson, PDG du Technology Innovation Institute a fait la déclaration suivante lors de la présentation publique du projet :

« Nous sommes fiers de vous présenter cette plateforme de suivi et d’échange à la COP28 car cela représente la volonté des Émirats arabes unis de devenir une puissance technologique d’innovation et son engagement à devenir un leader mondial en matière d’actions climatiques. Les Émirats arabes unis ont fourni l’outil nécessaire pour garantir que le commerce puisse se faire en toute confiance, tout en atténuant l’empreinte écologique et en maximisant les avantages pour l’environnement. »

Docteur Ray O. Johnson, PDG du Technology Innovation Institute (TII) – Source : communiqué de presse TII

Concrètement, des tokens représentant une certaine quantité de carbone seront émis et pourront ensuite être achetés ou vendus par des entreprises qui en auraient besoin. Les sociétés plus vertueuses qui n’auraient pas consommé tous leurs crédits, pourraient par exemple les revendre à d’autres qui sont dans des secteurs plus polluants. Le principe est d’encourager les entreprises à multiplier les projets verts, comme l’expliquent les responsables du TII :

« Les jetons d’échange créeront des incitations pour stimuler les investissements dans des projets verts tels que la reforestation et le captage du carbone et permettront aux entités de compenser les activités difficiles à décarboner, ce qui encouragera davantage les investissements verts. »

Docteur Ray O. Johnson, PDG du Technology Innovation Institute (TII) – Source : communiqué de presse TII

Pour information, le principe même de création d’un marché mondial des crédits carbone a été admis lors de la COP21 à Paris en 2015, il s’agit donc d’une application pratique de ces décisions passées. Bien sûr, le fait que ce soit un des plus gros producteurs de pétrole du monde qui lance cette idée fera probablement grincer des dents et d’aucuns crieront au greenwashing. Il en reste pas moins que les États du golfe cherchent aussi à reverdir leur économie pour anticiper la fin de l’or noir, et que toute recherche en ce sens est finalement bonne à prendre pour l’avenir de la planète bleue.

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Crypto et ETF : Google allège les conditions pour les annonceurs

Google va réviser sa politique relative aux publicités crypto d’ici janvier 2024. Les activités promotionnelles pour les Cryptocurrency Coin Trusts seront également concernées par ces nouvelles directives. Détails ! Publicité crypto, Google renouvelle ses conditions En septembre dernier, Google a déjà procédé à une update des règles relatives aux crpytomonnaies et aux tokens non-fongibles (NFT). Cela […]

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L’exploitation de cryptomonnaies par les États : la création de monnaies numériques souveraines

À l’aube d’une nouvelle ère numérique, les cryptomonnaies émergent comme les pionnières d’une révolution financière mondiale. Ces dernières progressent en tant que monnaies légitimes, redéfinissant ainsi les dynamiques traditionnelles de l’économie et de la finance. Depuis peu, toutefois, une nouvelle tendance se dessine : l’exploitation de cryptomonnaies par les États pour la création de monnaies numériques souveraines. Les gouvernements du monde entier, qui auparavant étaient plutôt sceptiques face à l’évolution du Web 3, semblent désormais embrasser la technologie blockchain et les cryptomonnaies, reconnaissant leur capacité à transformer les systèmes monétaires actuels.

Les MNBC, une solution pour les pays émergents

Les monnaies numériques souveraines, ou CBDC (Central Bank Digital Currencies), sont envisagées comme un moyen pour les États de maintenir leur souveraineté monétaire, tout en bénéficiant des avantages de la technologie blockchain, tels que la sécurité, la transparence et l’efficacité.

L’Afrique, confrontée à des défis monétaires tels que la faible bancarisation, la volatilité des monnaies locales et des obstacles aux transferts d’argent internationaux, a trouvé dans les cryptomonnaies un outil précieux pour surmonter certains de ces défis. En effet, les monnaies locales en Afrique sont souvent sujettes à une dévaluation significative, et les systèmes monétaires traditionnels, comme le franc CFA, sont critiqués pour leur manque de souveraineté financière. De plus, l’Afrique a le taux de bancarisation le plus bas au monde, avec de nombreux Africains n’ayant pas accès aux services bancaires traditionnels en raison de la pauvreté, du manque de documentation officielle et de l’absence d’adresses postales formelles.

En réaction, des services comme M-Pesa ont révolutionné les transactions financières, permettant aux utilisateurs d’envoyer, de recevoir et de stocker de l’argent sur leurs téléphones, même sans accès à Internet. Et évidemment, le Bitcoin est devenu particulièrement populaire au Nigéria et en Centrafrique en tant qu’outil permettant des transferts d’argent internationaux moins chers et plus efficaces, sans obligation de KYC. Mieux encore, des services innovants comme Machankura ont été développés, permettant aux gens d’acheter, de vendre et de transférer des Bitcoins en utilisant la technologie USSD, même sans accès à Internet.

La souffrance monétaire, un des défis de l’Afrique

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Le BTC étatique doit encore faire ses preuves dans les pays en développement : l’exemple du Salvador

Le Salvador, premier pays à légaliser le Bitcoin comme monnaie officielle en septembre 2021, espérait ainsi améliorer l’accès au système bancaire, réduire la dépendance au dollar américain et faciliter les transferts internationaux. Cependant, malgré les efforts gouvernementaux, comme la création de l’application Chivo Wallet et des incitations financières, le Bitcoin est peu utilisé.

Une partie significative de la population n’a pas adopté l’application, citant une préférence pour les paiements en espèces et un manque de confiance envers le Bitcoin. Parmi ceux qui ont téléchargé l’application, l’utilisation reste limitée, et l’engagement diminue après l’utilisation des incitations initiales. Du côté des entreprises, seule une minorité accepte les paiements en Bitcoin, et une faible proportion de ces entreprises a effectivement reçu des paiements en cryptomonnaie. De plus, la majorité d’entre elles convertissent immédiatement les Bitcoins reçus en dollars, indiquant une méfiance envers la volatilité de la crypto-monnaie.

L’adoption du Bitcoin au Salvador n’a pas encore atteint les objectifs fixés, son utilisation restant encore très marginale malgré les efforts du gouvernement.

L’adoption de Bitcoin au Salvador, un espoir douloureux ?

Les crypto étatiques des BRICS contre le roi dollar des USA et du monde

Robert Kiyosaki, l’auteur de l’incontournable Père Riche Père Pauvre, a récemment partagé ses prévisions concernant le futur monétaire mondial. Il a affirmé que les BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) envisagent de lancer une cryptomonnaie adossée à l’or, ce qui, selon lui, pourrait marquer le déclin du dollar américain. Cette perspective d’une monnaie commune des BRICS a déjà été discutée dans les médias, s’inscrivant dans une tendance plus large de « dédollarisation », où divers pays et blocs économiques cherchent des alternatives au dollar en raison de préoccupations liées à la dette américaine et à l’utilisation du dollar dans des sanctions économiques.

Cette monnaie commune servirait à faciliter le commerce entre les membres sans dépendre du dollar américain, et ainsi éviter les sanctions monétaires de Washington. Ce projet vise ainsi clairement à lutter contre l’hégémonie des États-Unis dans le système monétaire mondial et dans lequel les BRICS représentent une part significative de l’économie mondiale, avec un quart du PIB mondial et 42 % de la population mondiale.

Cependant, la mise en œuvre pratique de cette monnaie commune est complexe, nécessitant l’adhésion des entreprises et une coordination étroite entre les pays membres, qui ont des systèmes politiques et économiques divergents. Or, selon les experts, la faisabilité du projet est justement remise en cause en raison de ces différences économiques et politiques entre les pays membres, ainsi que des défis logistiques et réglementaires.

L’euro et le dollar ne sont pas en reste

Les puissances occidentales, principalement les États-Unis et l’Union européenne, font des progrès vers la création de monnaies numériques de banques centrales (MNBC). Aux États-Unis, suite à une demande du président Joe Biden, un rapport sur le « futur de la monnaie» a été publié, soulignant l’importance du développement responsable des actifs numériques pour les intérêts nationaux. Des études supplémentaires sont prévues, dirigées par le Trésor et la Réserve fédérale, pour explorer davantage la possibilité d’un « e-dollar”. En Europe, la Banque centrale européenne (BCE) collabore avec des entreprises pour développer des interfaces utilisateur pour l’euro numérique, visant à évaluer l’intégration de la technologie de la monnaie numérique avec les prototypes d’entreprise.

Ces efforts sont en partie une réponse à la montée des cryptomonnaies, avec une attention particulière portée à la régulation de ces actifs numériques. L’euro numérique serait un complément aux espèces, offrant une solution de paiement supplémentaire et gratuite. Il serait utilisable partout dans la zone euro, garantissant sécurité et confidentialité.

Contrairement aux cryptoactifs, l’euro numérique serait stable et sûr, garanti par la BCE, assurant ainsi une valeur constante, où un euro numérique aurait toujours la même valeur qu’une pièce d’un euro. La BCE garantit également la confidentialité des transactions, sans sauvegarder les données personnelles des utilisateurs, et offre une utilisation gratuite de l’euro numérique, renforçant ainsi la souveraineté monétaire de la zone euro et favorisant la concurrence dans le secteur européen des paiements.

Les initiatives de développement d’une MNBC en Europe se concrétisent même de plus en plus. Ainsi, l’euro numérique dit de retails, lui certes, attendra encore un peu avant sa mise en place, toutefois, la banque de France, elle, compte bien presser le pas concernant la mise en place d’une MNBC dite de gros. Les partenaires sont nombreux comme Petale ou Forge, filiale de la Société Générale.

Le projet entrera dans sa phase de préparation et d’expérimentation en novembre 2023 durant laquelle les bases d’un éventuel euro numérique seront établies. L’introduction de l’euro numérique ne sera toutefois décidée qu’après l’adoption du cadre législatif approprié par le Conseil et le Parlement européen.

Chacun de ces cas révèle les possibilités et les défis inhérents à l’intégration des cryptomonnaies dans les systèmes financiers globaux et nationaux, soulignant un parcours en évolution vers une nouvelle ère monétaire numérique.

L’euro numérique, la MNBC européenne.

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L’impact sérieux sur le système financier mondial

L’introduction des MNBC par les banques centrales représente un changement fondamental dans la manière dont la monnaie est créée, distribuée et gérée. Contrairement aux cryptomonnaies décentralisées comme Bitcoin, les MNBC sont émises et régulées par les États, ce qui leur confère une légitimité et une stabilité potentiellement supérieures. Cette transition vers des monnaies numériques officielles pourrait réduire la dépendance aux systèmes de paiement traditionnels et aux monnaies fiduciaires, modifiant ainsi la dynamique du pouvoir monétaire mondial.

L’un des impacts les plus significatifs des MNBC est leur potentiel à faciliter les transactions transfrontalières. En simplifiant les échanges internationaux, les MNBC pourraient réduire les coûts de transaction et accélérer les transferts d’argent, favorisant ainsi le commerce mondial. Cette efficacité accrue pourrait remettre en question le rôle des monnaies de réserve dominantes, telles que le dollar américain, et pourrait conduire à un système financier mondial plus diversifié et multipolaire.

Cependant, l’intégration des MNBC soulève également des défis réglementaires importants. La nécessité d’une réglementation internationale cohérente est cruciale pour éviter les abus potentiels et garantir la stabilité du système financier mondial. Les questions de confidentialité et de sécurité des données sont également préoccupantes, car les gouvernements doivent trouver un équilibre entre la surveillance des transactions financières pour prévenir les activités illicites et la protection des droits à la vie privée des individus.

L’adoption généralisée des MNBCs pourrait remodeler le système financier mondial. En facilitant les transactions transfrontalières et en réduisant les coûts associés, les MNBC pourraient diminuer la dépendance aux monnaies de réserve comme le dollar américain. Cela pourrait conduire à un paysage monétaire plus diversifié et potentiellement plus stable, bien que cela dépende fortement de la manière dont les différentes économies adoptent et intègrent ces technologies.

En tout état de cause, la mise en œuvre des MNBC n’est pas sans défis. Les préoccupations en matière de sécurité des données et de vie privée sont au premier plan, car les gouvernements doivent équilibrer la nécessité de surveiller et de réguler les transactions financières avec le respect de la confidentialité des citoyens. Surtout que l’harmonisation des réglementations à l’échelle internationale est essentielle pour éviter les disparités qui pourraient entraver le commerce mondial et la stabilité financière…

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