Hebdo Crypto #269 – Les actualités Bitcoin et cryptomonnaies de la semaine

La semaine du 04/12 en bref. L’actualité concernant Bitcoin et les cryptomonnaies est en ébullition constante. Il peut arriver que des informations capitales se perdent dans le flux informatif quotidien et que vous passiez à côté des points importants. Ce format est là pour y remédier. Nous revenons sur les actualités de la semaine passée dans lHebdo Crypto afin de vous tenir informés sur la situation actuelle des cryptomonnaies.

L’actualité crypto en bref

Un fork se précise sur Cosmos. En désaccord avec la diminution de l’inflation du jeton ATOM, l’un des cofondateurs du projet souhaite créer un fork, intitulé AtomOne.

Deux Français relaxés dans le hack de Platypus Finance. Ces derniers avaient été appréhendés peu après l’attaque. Néanmoins, la justice française ne couvre pas ce type d’attaque et rien n’a pu être retenu contre les hackers.

L’agrégateur de DEX de Solana, Jupiter distribue son airdrop. Ainsi, le protocole a récompensé ses utilisateurs de la première heure avec des jetons JUP. Selon les annonces, trois autres vagues d’airdrop devraient arriver dans les mois à venir.

Le fondateur de Solana ne voit pas son réseau comme un « Ethereum-killer ». En effet, il a déclaré qu’il ne voyait pas de concurrence entre les deux projets, chacun répondant à des besoins spécifiques.

Une faille critique impact les NFT. Ainsi, plusieurs contrats template de Thirdweb présentaient une faille. Ces derniers ont largement été utilisés dans l’écosystème NFT, entrainant une vague d’incertitude chez les développeurs.

Coinbase simplifie les paiements entre particuliers. En effet, l’entreprise a dévoilé un nouveau produit permettant d’envoyer de l’argent à travers le monde, et ce, avec un simple lien.

Et si le bullrun était en approche ? Préparez-vous avec notre sélection de cryptos à suivre en 2024 :

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Les 4 métriques de la semaine

25 %, c’est la part des Américains qui possèdent du Bitcoin. C’est ce qu’a révélé une étude menée sur un panel de 402 investisseurs américains. De plus, 95 % des interrogés ont déclaré souhaiter augmenter leurs allocations crypto en 2024.

1 milliard de dollars, il s’agit du record de capitalisation atteint par le jeton ORDI. Pour rappel, ce jeton est l’un des premiers BRC-20 a avoir vu le jour sur Bitcoin.

1 million de dollars, c’est le montant du visa résident pour le Salvador. Malgré le prix astronomique, celui-ci a l’avantage d’être payable en Bitcoin ou en USDT.

43 000$, il s’agit de la nouvelle barre dépassée par le cours du Bitcoin cette semaine. Cette nouvelle hausse a emmené avec elle de nombreux altcoins.

Bonne semaine sur le Journal du Coin !

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La tokenisation pourrait augmenter les risques systémiques, selon la Bank of England

Les risques de la Tokenisation. Depuis quelques mois, la tokenisation est sur toutes les lèvres des acteurs de la finance traditionnelle. Un principe basé sur la technologie blockchain, dont l’intérêt est de créer une représentation numérique des actifs. Car cela pourrait permettre une plus grande rapidité, sans interruption et avec une liquidité plus simple à faire circuler. Pourtant, quelques voix s’élèvent afin d’alerter sur les risques potentiels liés à ce nouveau paradigme financier en cours de déploiement. C’est le cas de la Bank of England (BoE) qui parle de « risques systémiques importants ». Explication…

Avenir de la finance ou risque pour la stabilité financière ?

Rien ne semble pouvoir arrêter l’essor de la tokenisation auprès des principaux acteurs financiers traditionnels. Et cela peut se comprendre. Car la technologie blockchain est en train d’apporter à ce secteur poussiéreux les capacités numériques du secteur des cryptomonnaies. Et le changement pourrait bien être révolutionnaire.

Une dynamique présentée dans un récent rapport de la plateforme Coinbase, comme l’un des potentiels moteurs du nouveau cycle crypto en cours de démarrage. Car le fait est désormais indéniable, les prochaines années seront celles de l’arrivée massive des acteurs institutionnels dans cette économie du Web 3.

La tokenisation pourrait bien changer le visage de la finance traditionnelle

Pourtant, cette fête ne semble pas avoir que des adeptes enthousiastes. Comme par exemple le FMI qui encourage le principe de « numérisation », mais se refuse catégoriquement à parler de tokenisation. Car c’est bien connu, ignorer volontairement la réalité des faits permet de changer l’évolution des choses… ou pas !

En cause, des risques accrus pour la stabilité financière que de toute évidence la Bank of England (BoE) a également pris très au sérieux.

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La tokenisation ne doit pas profiter au secteur des cryptomonnaies

En effet, la Bank of England vient de livrer son dernier rapport sur la stabilité financière. Un document au sein duquel est abordé plus précisément la question dorénavant centrale de la « tokenisation de l’argent et des actifs ». Une évolution, classée dans le domaine des « technologies de crypto-actifs », que la Banque centrale du Royaume-Uni s’inquiète de voir accueillie de manière désormais « plus positive » par les acteurs bancaires.

« Les applications actuelles [de la tokenisation] ont une portée très limitée et une part importante des projets se déroulent sur des registres autorisés qui n’impliquent pas l’utilisation de crypto-actifs. Cependant, certains projets se déroulent également sur des blockchains publiques. La croissance de la tokenisation des actifs sur les blockchains publiques pourrait contribuer à des risques systémiques plus importants liés aux pièces stables et aux crypto-actifs non garantis. »

Bank of England

Car la Banque centrale du Royaume-Uni fait une différence très nette entre les blockchains privées – souvent nommées registres autorisés – et publiques, comme par exemple Ethereum. Et plus précisément encore, entre les blockchains avec cryptomonnaies natives et les autres.

En effet, l’utilisation d’un réseau publique avec option crypto intégrée pourrait participer à une « augmentation de la taille de l’écosystème des crypto-actifs ». Un problème à ne surtout pas négliger, selon la Bank of England. Car cela pourrait entrainer un « accroissement de l’interconnectivité du marché des crypto-actifs avec les actifs financiers traditionnels (…) et créer des expositions directes pour les institutions systémiques ».

La Banque centrale du Royaume-Uni semble donc se rapprocher des conclusions plutôt alarmistes du FMI au sujet de la tokenisation. Car ce secteur émergent devrait, selon elle, se développer sans profiter au secteur des cryptomonnaies. Dans le même temps, la Société Générale (Forge) vient d’émettre une obligation verte tokenisée sur la blockchain (publique) Ethereum. À méditer…

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77ème Repas du Coin, à Lille le 6 décembre 2023

Retour à Lille où des Repas s’étaient tenus en octobre 2015 et en mai 2017, toujours dans la pittoresque rue de Gand.

Les convives, au nombre de 35 (ils étaient 16 et 20 les précédentes fois) venaient de Lille mais aussi de Bruxelles et Liège, de Luxembourg, d’Amiens, de Rennes, de Paris, de Bordeaux, de Toulouse et même de Kiev en ce qui concerne deux convives toulousaines!

L’occasion, donc d’échanger assez largement avec de nouvelles têtes (un tiers des convives participaient pour la première fois).

On a parlé sans invective du thread lancé par Emilien, des NFT et des Ordinals (oui), de la multiplication d’événements intervenant tous et partout en France le premier mercredi du mois, de la nature de Bitcoin (le sujet de l’horodatage interpellant un bitcoineur horloger). On a évoqué les dernières émissions de Faune Radio, dont toute l’équipé était présente. Les discussions politiques ont eu bon train ! On a eu, sur une table, un bon petit débat sur ce qu’est la monnaie et sur le point de savoir si Bitcoin pourrait à terme remplacer le bon vieux USD en tant que monnaie de référence internationale. On a  parlé d’investissement VC avec Agathe Laurent. Enfin, à une autre table le thème le plus abordé concernait la dépense énergétique de Bitcoin, avec la présentation par Alexandre Stachtchenko d’un projet de récupération du méthane sur les sites d’enfouissement français – projet qui recherche d’ailleurs des contacts auprès de sociétés impliquées ainsi que quelques ingénieurs pour la mise en oeuvre opérationnelle, avis aux amateurs!

L’après midi a été consacrée pour certains à une visite du Vieux-Lille,  de ses estaminets, de ses boutiques ou de sa cathédrale pour Jacques Favier qui avait commencé tôt la journée au Palais des Beaux-Arts avec quelques bitcoineurs matinaux.

Nombre de convives de midi se sont retrouvés à 19 heures pour le Bitcoin Meet-up lillois dans le nouveau « QG » de la communauté locale avec les malheureux que leurs occupations professionnelles avaient empêchés de passer deux heures à table à midi. Nouveaux visages, nouveaux échanges, et retrouvailles de deux anciens de l’UTC de Compiègne arrivés là par des chemins bien différents. Discussions sympathiques sur les meetups, leur organisation ainsi que sur l’épineuse question de savoir si on doit accepter les shitcoiners !

Jacques Favier a pu faire une courte présentation du Cercle du Coin qui avait par ailleurs offert les planches destinées à accompagner les consommations.

Le groupe lillois envisage une adhésion comme institution au Cercle, et il est entendu que cette rencontre se renouvellera.

Cet article 77ème Repas du Coin, à Lille le 6 décembre 2023 est issue du site Le Coin Coin.

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​Blockchain : quels sont les différents types de layer 2 ?

Booster la scalabilité des blockchains. Bitcoin et Ethereum sont les deux blockchains qui font le plus parler en crypto. Rien d’étonnant puisqu’il s’agit des deux plus grands projets cryptos en termes de capitalisation. Pour autant, le secteur de la blockchain est bien plus vaste que ces deux réseaux. Par exemple, il faut savoir que les blockchains se déclinent en « layers » aussi appelés « couches » ou « niveaux ». En l’occurrence, Bitcoin et Ethereum sont des blockchains de « niveau 1 » (layer 1). Or, il existe aussi un niveau 2 en blockchain. D’ailleurs, les layers 2 suscitent un fort engouement en 2023. Découvrez ce qu’est un layer 2, ainsi que les différentes technologies utilisées sur le marché.

À quoi sert un layer 2 en blockchain ?

Découvrez ci-dessous le principe d’un layer 2.

​Le trilemme de la blockchain

Si vous suivez un peu la crypto, vous avez peut-être entendu parler du « trilemme » de la blockchain. Celui-ci est issu du théorème CAP (ou Brewer) dont la théorie remonte à 1998. Pour faire simple, la conception d’une blockchain s’articule autour des trois paramètres suivants : 

Scalabilité ;

Sécurité ;

Décentralisation.

Or, ces trois critères ne peuvent pas tous être satisfaits pleinement ; un arbitrage doit être fait pour en prioriser deux au détriment du troisième

Beaucoup de blockchains ont fait le pari de privilégier la sécurité et la décentralisation. En conséquence, elles rencontrent des soucis au niveau de leur scalabilité. Concrètement, elles ne sont pas capables de gérer un grand nombre de transactions, ce qui se traduit par des congestions au niveau du réseau. C’est le cas de Bitcoin et Ethereum par exemple. 

​Layer 2 : un « booster » de blockchain

La scalabilité est devenue un véritable enjeu à l’heure actuelle. En effet, une mauvaise scalabilité est un frein pour viser une adoption massive de la blockchain. C’est là qu’entrent en jeu les niveaux 2. Ces solutions permettent de booster les performances d’une blockchain et apparaissent comme incontournables pour l’avenir crypto. Mais un layer 2, c’est quoi ?

Un niveau 2 est une couche qui se greffe sur un niveau 1 (Ethereum par exemple) pour en augmenter la scalabilité. S’il fallait prendre une comparaison, on pourrait dire qu’un niveau 2 est similaire à une voie d’autoroute supplémentaire qui permet de fluidifier le trafic.

​Les différents types de layers 2 

Vous trouverez ci-dessous une vue d’ensemble des principaux layers 2 sur le marché à l’heure actuelle.

​Sidechains

Le principe de sidechain a été décrit pour la première fois dans un livre blanc paru en 2014. Une sidechain désigne une (block)chain qui se greffe à une blockchain principale (layer 1). Elle permet d’améliorer la scalabilité de cette blockchain principale tout en assurant une interopérabilité. Bien que connectée à une blockchain principale, la sidechain reste responsable de la sécurité de ses transactions. Autrement dit, une sidechain doit mettre en jeu un consensus de validation, le plus souvent POW (Proof-Of-Work) ou POS (Proof-Of-Stake)

À l’heure actuelle, les deux sidechains les plus connues sont :

Polygon (MATIC) sur Ethereum ;

Liquid Network sur le Bitcoin.

Rollups ​Optimistic 

Les rollups du type Optimistic sont conçus pour exécuter le contrat intelligent en dehors de la blockchain layer 1 (off-chain). Ce faisant, le réseau principal se trouve moins encombré et les frais de transaction ne s’envolent pas. Contrairement aux sidechains, la sécurité de ces rollups est assurée par le réseau principal puisque la transaction est in fine inscrite sur celui-ci.

À l’heure actuelle, la plupart des rollups Optimistic fonctionnent sur Ethereum, comme Optimism (OP) et Arbitrum (ARB).

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Rollups zero-knowledge 

Le principe d’un rollup zero-knowledge (ou rollup zk) est de regrouper le traitement d’un grand nombre de transactions, puis de publier un minimum d’informations sur la blockchain principale

De plus, ces rollups assurent une protection optimale des données. En effet, ils fonctionnent sur la technologie appelée « zero knowledge » (zk), ou « zéro connaissance » en français. Le principe du zk est d’assurer une validation sans pour autant transmettre d’informations de première importance. 

Prenons un exemple simple. Joshua et Miriam ont effectué la même tâche et ont reçu leur paie. Ils veulent vérifier s’ils ont reçu le même montant. Sur un modèle de POW ou de POS, c’est simple, Joshua et Miriam diraient ouvertement combien ils ont gagné. 

Le modèle zk, quant à lui, permet d’arriver à la même conclusion, mais sans divulguer les salaires. Reprenons notre exemple. Pour simplifier, disons que Joshua et Miriam savent qu’ils ont gagné soit 80 €, 100 € ou 150 €. Joshua utilise trois boîtes. Chaque boîte est fermée avec une clé spécifique et étiquetée avec l’un de ces trois montants. Il garde la clé de la boîte qui porte l’étiquette de sa paie. Miriam, de son côté, possède trois étiquettes, deux portant le signe « ≠ » et une « = ». Si elle a gagné 100 €, elle mettra l’étiquette « = » dans la boîte correspondante et « ≠ » dans les deux autres boîtes. Joshua arrive, ouvre la boîte dont il possède la clé et présente l’étiquette à Miriam. S’il s’agit de l’étiquette « ≠ », les deux sauront qu’ils n’ont pas reçu la même paie, sans pour autant connaître le montant exact que l’autre a touché. La confidentialité est donc assurée !

Cette technologie équipe notamment les cryptos en pointe sur l’anonymat et la protection des données, comme Zcash (ZEC). Le principe a été décliné en plusieurs types, par exemple :

ZK-SNARK ;

ZK-STARK ;

ZKSync ;

ZK EVM.

​Channels

Les channels (canaux) sont des protocoles pair-à-pair gérés par des contrats intelligents multisignatures (« multisig »). Concrètement, cela permet de réaliser plusieurs transactions en dehors de la blockchain principale. Il en résulte un gain en scalabilité sur la blockchain principale puisque seulement deux transactions y seront inscrites : la première qui a ouvert le « canal » et la dernière qui l’a fermé.

Sans entrer dans les détails, il existe deux types de channels layers 2 :

Paiement (payment) ;

Canal d’état (state channel).

Par contre, ces canaux doivent être surveillés de près par les utilisateurs impliqués dans les transactions pour éviter que les fonds soient volés par une personne malveillante. À l’heure actuelle, le channel layer 2 le plus connu est le Lightning Network qui fonctionne sur Bitcoin.

​Plasma

Le layer 2 de type Plasma a été présenté pour la première fois dans un livre blanc sorti en 2017. Chose intéressante, ce livre blanc est cosigné par :

Vitalik Buterin, co-fondateur d’Ethereum et supporter du rollup zk EVM ;

Joseph Poon, une des personnes à l’origine du Lightning Network, un layer 2 de Bitcoin.

La technologie Plasma est complexe. Pour faire simple, on peut dire qu’elle est similaire à celle des sidechains, à quelques différences près. Contrairement à une sidechain, Plasma enregistre la racine (hash) de chacun de ses blocs sur la blockchain principale. Cela permet aux utilisateurs d’avoir une « preuve » disponible sur le réseau principal que leur transaction a été réalisée sur la chaîne Plasma. 

De plus, le niveau de sécurité d’une chaîne Plasma est équivalent à celui de la blockchain principale. Sur une sidechain, en revanche, la sécurité est assurée par le protocole de consensus mis en place « localement ». Par contre, le transfert d’actifs d’une chaîne Plasma vers la blockchain principale est plus compliquée qu’avec une sidechain. En particulier, il se heurte à un risque bien connu des développeurs, appelé « mass exit ». Celui-ci se produit lorsque trop d’utilisateurs veulent retirer leur fonds sur la blockchain principale en même temps.

Les layers 2 jouent un rôle important en blockchain. Il n’est donc pas étonnant de les voir se multiplier en 2023. L’un des derniers layers 2 en date nous vient (encore) d’Ethereum avec Blast.

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Darknet et blanchiment d’argent : le PDG de Bitzlato plaide coupable

La crypto, c’était mieux avant ! C’est sûrement ce que doivent se dire les criminels de tous poils qui utilisaient tranquillement la cryptomonnaie pour blanchir leur argent sale au milieu des années 2010. Mais depuis quelque temps, la fête est finie et les polices du monde entier scrutent maintenant avec attention tout ce qu’il se passe sur les blockchains. Elles saisissent des portefeuilles et trainent devant les tribunaux tous ceux qui se pensaient à l’abri derrière l’anonymat de leurs écrans. C’est le cas du fondateur de l’exchange Bitzlato qui est actuellement en prison aux États-Unis après avoir été très léger, et c’est un euphémisme, sur les contrôles d’identité des personnes utilisant les services de sa plateforme. La justice parle du blanchiment de 700 millions de dollars issus du Darknet et de rançongiciels. Plongeons ensemble dans le pire de la crypto.

La justice américaine veut taper fort sur cet exchange aux pratiques plus que douteuses

Dans le dossier de presse rendu public par le bureau du procureur du district est de New-York, la description des activités de Bitzlato est sans équivoque et la culpabilité des mis en cause ne fait pas vraiment de doute. La justice américaine a d’ailleurs déjà des certitudes avant même la tenue du procès et elle les étale au grand jour. Extrait :

« En raison des procédures déficientes de connaissance du client (KYC), Bitzlato est devenu un paradis pour l’argent du crime et pour les fonds destinés à être utilisés dans des activités criminelles. La plus grande contrepartie de Bitzlato dans les transactions de cryptomonnaie était Hydra Market, un marché en ligne de stupéfiants, d’informations financières volées, de documents d’identification frauduleux et de services de blanchiment d’argent. Hydra était historiquement le marché le plus important du Darknet. »

Bureau du procureur du district est de New-York – Source : communiqué de presse

La justice estime à environ 700 millions de dollars les sommes provenant d’activités illégales qui sont passées sur Bitzlato pour être blanchies, dont au moins 15 millions de dollars issus de ransomware (ou rançongiciels en bon français). Officiellement basé à Hong-Kong, l’exchange a lourdement péché en matière de vérification d’identité de ses utilisateurs, ouvrant ainsi la porte à l’argent des criminels du monde entier. Les dirigeants le savaient-ils ? En ont-ils finalement profité ? Ou sont-ils des victimes de leur manque de vigilance ? La justice américaine a clairement un avis sur la question.

Bitzlato aurait servi a blanchir environ 700 millions de dollars et son fondateur vient de plaider coupable

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Le dirigeant de Bitzlato plaide coupable de blanchiment d’argent

Tout d’abord, le principal mis en cause, Anatoly Legkodymov, un ressortissant russe, a décidé de plaider coupable, ce qui semble indiquer qu’il était bien au courant de ce qu’il se passait sur sa crypto bourse. Ensuite, devant le juge new-yorkais Eric N. Vitaliano, l’ex-PDG de Bitzlato avait déjà renoncé aux 23 millions de dollars saisis sur la plateforme il y a quelques mois, en même temps qu’il fermait définitivement son entreprise. Enfin, cette fois-ci, il accepte carrément de plaider coupable et voici la réponse du procureur :

« Le plaidoyer de culpabilité de Legkodymov aujourd’hui confirme qu’il était bien conscient que Bitzlato, son exchange de cryptomonnaies, était utilisé comme un tourniquet ouvert par des criminels désireux de profiter de ses contrôles laxistes sur les transactions monétaires illicites. L’accusé pensait peut-être qu’en opérant depuis l’étranger, le KYC serait optionnel, mais cette procédure et cette condamnation démontrent le contraire. »

Bureau du procureur du district est de New-York – Source : communiqué de presse

L’équipe de procureurs en a profité pour lancer un appel aux criminels qui seraient tentés d’utiliser la cryptomonnaie pour recycler leur argent sale : la justice américaine opère partout et utilisera tous les outils disponibles pour contrecarrer ce type de projet.

Cette opération a d’ailleurs été menée conjointement par la National Cryptocurrency Enforcement Team, par le Bureau des affaires internationales du ministère de la Justice américain et par l’attaché juridique du FBI en France. Le Département de la Justice américain souhaite également remercier la Division Cyber ​​du Parquet de Paris et le Commandement du Cyberespace de la Gendarmerie Nationale. Il s’agit d’un bel exemple de collaboration internationale pour mettre fin aux agissements des escrocs sans frontières.

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Le Comité de Bâle veut « traiter le risque » des cryptos et stablecoins

Toujours plus de restrictions. On le sait, les grands financiers et banquiers, en particulier ceux de la Banque des règlements internationaux (BRI) ne voient Bitcoin (BTC) et les cryptomonnaies que comme un « risque ». Aujourd’hui, c’est le Comité de Bâle (Basel Committee), qui veut placer les crypto-actifs – et en particulier les stablecoins – sous un (encore plus) lourd carcan de régulation.

Des normes restrictives contre les cryptos pas assez restrictives ?

Du 5 au 7 décembre 2023, les financiers et banquiers du Comité de Bâle se sont réunis lors de conférences en ligne. Parmi les discussions engagées figurait un sujet brûlant pour cet organisme supranational définissant des normes mondiales pour les banques : les cryptomonnaies.

Bien que ce comité sur le contrôle bancaire ait déjà émis des normes très restrictives fin 2022 sur la possession des crypto-actifs par les banques, il envisage désormais de les réviser (défavorablement), pour les stablecoins notamment.

En effet, cette dernière forme de cryptomonnaie, indexée sur des actifs sous-jacents (surtout sur le dollar US pour les principaux), avait échappé au « groupe 2 » des crypto-actifs défini par le Comité de Bâle. Celui-ci regroupe toutes les cryptomonnaies décentralisées (cryptocurrencies) comme Bitcoin, dont la possession est très limitée par les banques par ces normes (1 à 2 % grand maximum). Les stablecoins, eux, étaient classés jusqu’ici dans le « groupe 1b », un peu moins défavorable et restrictif (un peu, pas beaucoup).

Les stablecoins sont « un risque » que le Comité de Bâle ne veut pas prendre

Pour en revenir aux dernières discussions des membres du Basel Committee de ce début décembre, il s’avère que même les stablecoins ne trouvent plus (légère) grâce à leurs yeux. En effet, un peu plus d’un an après la définition de ces normes contraignantes « prudentielles » relatives à l’exposition des banques aux crypto-actifs, le comité considère qu’elles n’étaient finalement pas encore assez prudentes à leur goût.

Les stablecoins pourraient ainsi perdre leur statut (à peine) privilégié du groupe 1b, et se voir reléguer en groupe 2 avec les autres cryptomonnaies, que les banquiers de Bâle considèrent quasiment comme pestiférées, vu les restrictions de possession.

« Le Comité (…) a convenu d’ouvrir des consultations sur d’éventuelles révisions ciblées liées aux critères permettant aux stablecoins de bénéficier d’un traitement réglementaire préférentiel du groupe 1b. (…) Le Comité a conclu que les crypto-actifs qui utilisent des blockchains sans besoin de permissions (permissionless) créent des risques qui ne peuvent pas être suffisamment atténués à l’heure actuelle (…). »

Extrait du dernier compte rendu du Comité de Bâle

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Même la simple garde de crypto-actifs est « un risque »

Les membres non élus par les Peuples du Comité de Bâle, qui décident de l’avenir et des normes bancaires au nom du monde entier, n’aiment pas non plus l’idée que les banques puissent tout simplement garder des crypto-actifs (pour leurs clients, même pas pour elles).

Là aussi, les « risques » seraient trop importants. À croire que personne ne les a prévenus de la pléthore d’innovations/avantages/avancées que présente le secteur crypto :

« Le Comité a également examiné les risques découlant des banques qui fournissent des services de garde de crypto-actifs. Ces services de conservation soulèvent divers risques opérationnels pour les banques, ce qui renforce l’importance d’une mise en œuvre intégrale des principes (…) relatifs à la bonne gestion du risque opérationnel. Le Comité continuera de suivre l’évolution des activités de conservation de crypto-actifs des banques et, compte tenu de l’évolution du marché, examinera si des travaux (ndlr : comprendre « restrictions ») supplémentaires sont nécessaires. »

Extrait du dernier compte rendu du Comité de Bâle

Du coup, si des restrictions supplémentaires dues à des normes « prudentielles » révisées par le Comité de Bâle voyaient le jour, certaines banques en avance sur leur temps et déjà très crypto-friendly risquent de faire la grimace. Comment pourrait-on restreindre un grand groupe bancaire français comme la Société Générale depuis Bâle (Suisse), sachant que sa filiale SG-FORGE souhaite pouvoir gérer et/ou garder des crypto-actifs, puisque cette dernière développe et déploie un stablecoin basé sur Ethereum appelé EUR CoinVertible (EURCV) et émet des obligations vertes tokenisées sur Ethereum également ?

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Les banques sont-elles allergiques à l’euro numérique ?

Allergie généralisée aux MNBC. Nous apprenions cette semaine que la Société Générale lançait son premier stablecoin à destination du grand public via sa filiale Forge. Une décision qu’il convient de recontextualiser un peu alors que les travaux de la BCE sur l’euro numérique se poursuivent et qu’une nouvelle vague de consultations des professionnels devrait avoir lieu au premier trimestre 2024.

Les banques et la crypto, une histoire compliquée

Historiquement, les banques commerciales nationales de nombreux pays dans le monde ont souvent tenu des propos durs à l’encontre des cryptomonnaies et de bitcoin en particulier.

Un actif qu’elles ne comprenaient pas et qui se limitait d’après elles encore à financer le terrorisme et à blanchir de l’argent. Propos encore tenus récemment par le président du Crédit Mutuel, Nicolas Thery. S’il serait naïf de penser que toutes des transactions en cryptos sont légales, l’ensemble des études faites sur le sujet laissent plutôt penser que le nombre de transactions « sales » serait en réalité plutôt bas.

Le retournement de veste est en cours

Depuis quelques années, les acteurs de la finance traditionnelle se sont mis à tenir un discours ambivalent sur les cryptos. Luttant toujours d’un côté pour dissuader leurs clients d’investir, fermant parfois leurs comptes suite à une transaction ou suite à la déclaration d’une activité liée aux cryptomonnaies. Pour de l’autre côté investir massivement dans cette technologie via la création de filiales ou le rachat de sociétés.

Ce développement a été marqué de plusieurs phases. Dans un premier temps, le recours à la blockchain par les sociétés de la TradFi était limité à une utilisation interne pour automatiser ou donner de la transparence à certains process.

Ce n’est plus seulement le cas aujourd’hui et le lancement du stablecoin de la filiale de Société Générale en atteste.
De plus en plus de sociétés du monde d’avant s’engouffrent maintenant rapidement dans le « web 3 ». Ainsi, Forge (toujours elle) est devenue le premier acteur agréé PSAN au niveau national. Il est certain que le fait que la Société Générale détienne une compagnie d’assurance est une aide indubitable à l’obtention d’un agrément dont l’un des prérequis est justement une police d’assurance spécifique. Il s’agit d’une responsabilité civile professionnelle qui a toujours été refusée aux sociétés cryptos historiques (le hasard décidément).

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Les raisons de ce revirement

À mon sens, l’intérêt plus ou moins soudain que manifestent les banques commerciales à l’égard des cryptomonnaies ne s’explique pas seulement par l’aspect spéculatif ou technologique, il est aussi règlementaire. En ce sens, il constitue une réaction épidermique de ces sociétés qui ont peur de perdre du terrain suite à l’accaparation par la Banque Centrale de la gestion de la monnaie.

L’euro numérique est en effet vendu par la Banque Centrale comme « le nouveau cash » et pourrait donc remplacer, à terme, une part significative de l’épargne d’un certain nombre de citoyens européens.

Or, les dépôts bancaires (l’épargne) sont le levier qui, à ce jour, permet aux banques de proposer du crédit. Pour grossir le trait, plus une banque dispose d’avoirs en ses livres, plus elle peut créer de la monnaie en prêtant de l’argent à d’autres clients.

Ce mécanisme permet à la banque de prêter plus que ce qu’elle détient tout en évitant que le système ne s’emballe complètement en fixant un ratio au-delà duquel la banque ne peut plus accorder de crédits si elle ne dispose pas de dépôts suffisants.

Le lobbying des banques commerciales

Afin d’éviter, ou de limiter, la fuite de capitaux au profit de cette nouvelle monnaie, les banques font du lobbying pour défendre leurs intérêts. Elles militent donc pour un plafond de détention restreint à 500 euros numériques dans votre wallet. Là où la banque centrale propose une limite de détention supérieure, de 3 00 euros (oui, c’est incroyable).

Mais la défiance des banques n’est pas entièrement injustifiée non plus.
Déjà, en ce qu’une baisse des dépôts bancaires conduirait intrinsèquement à une baisse de nombre de crédits proposés par an et, donc, à un ralentissement de l’économie.

De plus, cet euro numérique devrait obligatoirement être accepté par l’ensemble des commerçants, ce qui pourrait induire une concurrence déloyale aux infrastructures privées déjà déployées. Il est même possible que l’euro numérique s’appuie sur ces mêmes infrastructures qui se verraient forcées de lui ouvrir leurs portes alors même qu’il s’agit d’un produit « concurrent » et, surtout, gratuit. L’utilisation de l’euro numérique ne rapportera donc rien aux banques et pourrait même représenter pour elles un surcoût non négligeable qui serait alors assurément refacturé aux commerçants et aux clients par la hausse des frais bancaires.

L’euro numérique n’est pas économiquement viable

Dans un monde normal (oui, nous l’avons quitté il y a longtemps déjà) pour que vous puissiez développer votre produit, il faut que la vente ou l’utilisation de celui-ci vous rapporte de l’argent.

Dans le cadre d’un paiement classique, il s’agit des frais que se partagent les banques qui fournissent le TPE et les entreprises de paiement qui émettent les cartes bancaires. Toutes les transactions sont prélevées d’un petit pourcentage qui permet de continuer à développer le réseau et, aux entreprises, de continuer à grossir.

Dans le cadre d’un paiement bitcoin, des frais de transactions sont payés à chaque opération pour assurer la viabilité de l’ensemble du réseau.

Or, dans le cadre de l’euro numérique, rien de tout cela n’est prévu.
Cette nouvelle monnaie pourrait donc être utilisée sans aucun frais, en se basant sur des infrastructures de paiement qui ont coûté des milliards d’euros à développer tout en leur faisant concurrence.

On comprend mieux pourquoi les banques font grise mine.

Objectif : tuer le bébé avant sa naissance

Vous me pardonnerez pour ce sous-titre imagé, mais il est fort possible que les banques commerciales soient désormais face à un choix impossible. D’un côté, accepter que l’euro numérique ne vienne cannibaliser une part de leur activité en faisant concurrence à leurs produits, leurs applications et en utilisant leur réseau. De l’autre, avaler quelques couleuvres et se lancer dans la course aux cryptomonnaies pour faire en sorte que leurs clients passent par leurs propres produits, et non par l’euro numérique.

Naturellement, aucun établissement de la place ne présentera officiellement les choses de cette manière. Mais entre voir ses clients utiliser le stablecoin que vous avez vous-même développé et vous faire imposer l’utilisation d’une monnaie que vous ne contrôlez pas et sur laquelle vous ne faites en plus aucun bénéfice. La question me semble devoir être « vite répondue ».

Nous ne manquerons pas de vous tenir au courant des développements liés à l’adoption de l’euro numérique où à ceux liés à la mise sur le marché par les acteurs traditionnels de nouvelles cryptomonnaies. En attendant, vous pouvez consulter cet article sur les récentes dérives européennes en matière de vie privée qui, couplées à la mise en place de l’euro numérique, dressent un tableau bien sombre des prochaines années en matière de libertés individuelles.

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Alors que Bitcoin (BTC) se maintient au-dessus de 43 000 $, The Graph (GRT) et InQubeta (QUBE) se préparent à de grands changements

Dans le monde en constante évolution des crypto-monnaies, Bitcoin se distingue par sa stabilité. Restant largement à l’écart des récentes fluctuations du marché, la meilleure crypto-monnaie s’échange actuellement au-dessus de 43 000 $. Un certain nombre de facteurs ont été identifiés comme les principales raisons de cette stabilité. On citera notamment l’adoption institutionnelle, l’offre limitée et l’acceptation croissante.

Les investisseurs du monde entier continuent de s’intéresser aux meilleurs jetons, comme en témoigne la stabilité de Bitcoin (BTC). Mais les investisseurs avisés se tournent désormais vers The Graph (GRT) et InQubeta (QUBE), deux acteurs prometteurs du marché. Ces altcoins se préparent à de grands changements qui pourraient bouleverser le marché des crypto-monnaies.

La résilience de Bitcoin : une position ferme à 43 000 $



Bitcoin (BTC) s’est révélé incroyablement résilient, se maintenant au-dessus de 43 000 $. Ce, malgré les inquiétudes concernant d’éventuelles corrections de marché. Selon TradingView et CoinTelegraph Markets Pro, le prix de Bitcoin pourrait continuer à augmenter et atteindre de nouveaux sommets sur 18 mois.

Les prévisions économiques d’Ackman



En ce qui concerne l’ensemble de la scène financière, le PDG et fondateur de Pershing Square Capital Management, Bill Ackman, a exprimé son opinion sur la possibilité que la Réserve fédérale change de cap. Cela concerne notamment les taux d’intérêt dès le premier trimestre 2024. Selon Ackman, le fait de retarder les baisses de taux pourrait augmenter la probabilité d’un “atterrissage brutal” de l’économie américaine lorsque l’inflation diminuera.

We did it, InQubeta Community

Thrilled to announce we’ve just hit a spectacular $6 Million in our pre-sale!

A huge thank you to everyone who’s joined us on this incredible journey. Your belief and support are fueling the future of AI and crypto innovation.#ai #web3 pic.twitter.com/Maqu3ONuqC

— Inqubeta (@Inqubetahq) December 4, 2023

InQubeta : pionnier de l’investissement découvert dans l’IA



InQubeta se présente comme la première plateforme de crowdfunding crypto au monde. Elle a été spécifiquement conçue pour faciliter les investissements fractionnés dans les startups du secteur de l’intelligence artificielle (IA). Au cœur de cette plateforme se trouve le jeton QUBE, un jeton ERC20 déflationniste. Il constitue un élément vital de l’écosystème dynamique d’InQubeta.

Le jeton QUBE se distingue par une structure fiscale unique, conçue pour augmenter progressivement sa valeur. Une taxe de 2 % sur les transactions d’achat et de vente est versée dans un portefeuille d’échange. Cela réduisant systématiquement l’offre de jetons en circulation et favorisant ainsi leur rareté. De plus, une taxe de 5 % sur les ventes est allouée à un pool de récompenses exclusif. Cela devrait notamment encourager les détenteurs de jetons à les mettre en jeu et à participer activement à l’écosystème.

Une immersion dans les investissements en startups d’IA



Pour les investisseurs en herbe, notamment ceux novices en crypto-monnaies, la plateforme offre une immersion dans les investissements en startups d’IA via sa place de marché NFT innovante. Chaque opportunité d’investissement est représentée par un NFT puis fragmentée. Cela permet ainsi aux investisseurs de participer selon leurs moyens. Cette stratégie démocratise l’investissement, responsabilisant les investisseurs et les startups d’IA, et favorisant une relation mutuellement bénéfique qui stimule le progrès et la collaboration.

Dans un monde riche en options, le jeton QUBE d’InQubeta se démarque comme une crypto-monnaie de premier plan. Sa combinaison de technologie blockchain, d’innovation en IA et d’une approche prospective en matière d’investissement correspond aux aspirations des investisseurs avisés.

Parmi les altcoins, le jeton QUBE d’InQubeta figure parmi les 10 meilleurs à surveiller. Avec sa structure fiscale innovante et ses opportunités d’investissement en IA, il se positionne comme un choix de premier ordre. Les caractéristiques uniques du jeton QUBE en font une option attrayante, particulièrement pour ceux qui sont attirés par le potentiel des startups axées sur l’IA.

Conclusion



Alors que Bitcoin maintient sa tendance haussière récente, il est peut-être temps d’élargir vos horizons et d’explorer davantage le monde de la crypto-monnaie. Gardez à l’esprit que, bien que la croissance de Bitcoin soit limitée, d’autres projets, encore dans leurs premiers cycles, peuvent offrir un potentiel de croissance significatif. Choisissez vos investissements judicieusement !

Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.

Source : InQubeta

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Annoncer « la Mort de Bitcoin » est devenu démodé en 2023

Le phénix Bitcoin les a découragés. Nous ne comptons plus les nombreuses fois où un banquier, un économiste, un politique, ou tout autre commentateur a promis la Mort à Bitcoin (BTC) et au secteur crypto. Mais heureusement, certains sites tiennent ce compteur morbide pour nous. Et important constat : il semblerait que même les plus haineux adversaires de Bitcoin et ses semblables aient commencé à comprendre que ces nouveaux actifs et monnaies sont là pour durer.

474 annonces de décès de Bitcoin : leurs auteurs morts de Honte ?

Déjà en décembre 2010, certains économistes rejetaient Bitcoin en expliquant, avec leur Grande Science (charlatanesque), pourquoi « Bitcoin ne pouvait pas être une monnaie ». Ceux qui ont lu cet article en 2010, et l’on crut, doivent tout de même « un peu » regretter de ne pas avoir investi dans des bitcoins à 23 centimes US à l’époque (oui, un BTC à 0,23 dollar).

Le site 99bitcoins tient le décompte des annonces de Mort prophétisées à la reine des cryptomonnaies. Plusieurs tendances se dessinent dans ces excès de pessimisme (image ci-dessous). Déjà, on constate que les années de bull run (marché très haussier) de Bitcoin ont constitué des points hauts dans les annonces de « mort par éclatement de la bulle ».

Si les excès euphoriques de prix de 2017 et 2021 sont évidents, les (finalement saines) corrections des prix qui ont suivi n’ont en aucun cas tué le roi des cryptos. Comme pour les 474 autres annonces nécrologiques recensées contre Bitcoin, aucune ne s’est avérée juste.

Bitcoin annoncé mort 474 fois depuis 2010 ! – Source : 99bitcoins.com/bitcoin-obituaries

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Annoncer la Mort des cryptos, c’est fini pour de bon ?

Et encore plus intéressant, il semblerait dans les chiffres visibles ci-dessus que même les plus farouches détracteurs du BTC des cryptomonnaies, qui rêvent de les voir stopper net, aient (enfin) réalisés que ce mouvement révolutionnaire pour la monnaie, la finance et l’économie en général, n’est justement pas prêt de s’arrêter.

Un « pic » semble avoir été atteint en 2017, et désormais, les commentateurs sont un peu plus prudents avant de risquer de se faire ridiculiser concernant la santé du roi des cryptos. Et pour cette année 2023, c’est même le désert. À quelques jours de la fin d’année, seulement 7 petites annonces de mort de Bitcoin ont été faites.

Et encore, pour la dernière annonce morbide en date (datant d’avril 2023), ce n’était même pas pour Bitcoin, et même pas pour une mort globale. Et ce n’était même pas non plus une critique des cryptos. C’était une critique de l’hostilité du gouvernement et des régulateurs étasuniens envers les actifs numériques. Le milliardaire Chamath Palihapitiya estimait en effet que les « cryptos étaient mortes aux États-Unis » à cause des virulentes attaques des autorités US contre le secteur.

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