Telegram va permettre à ses utilisateurs de convertir leurs cadeaux en tokens non fongibles (NFT)

Grâce à sa nouvelle fonctionnalité, Telegram invite ses utilisateurs à acheter des « cadeaux virtuels » à leurs amis afin de célébrer un évènement. Dans les prochaines semaines, ces offrandes pourront même être converties en tokens non fongibles (NFT) basés sur la blockchain TON.

L’article Telegram va permettre à ses utilisateurs de convertir leurs cadeaux en tokens non fongibles (NFT) est apparu en premier sur Cryptoast.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Bitcoin : Le paradoxe de l’adoption grandissante du BTC

Adopte-moi si tu peux. Le Bitcoin évolue – et résiste – au rythme effréné des innovations du secteur des cryptomonnaies. Une course en avant qui lui a récemment valu de se voir transformé en copie d’Ethereum, avec l’arrivée des jetons ERC-20 et autres NFT Ordinals. Mais une autre étape d’envergure vient également d’être franchie en janvier dernier, avec l’approbation historique de ses ETF au comptant par la SEC des États-Unis.

Un simple changement de paradigme pour certains, mais un véritable paradoxe au regard de ses origines Cypherpunk et libertaires. Car comment justifier que le BTC soit passé d’un projet de monnaie autonome et décentralisée au dernier joujou à la mode de sociétés comme BlackRock ? Cela au point d’avoir possiblement réduit à néant les records volatils de la première des cryptomonnaies…

Bitcoin : de monnaie numérique à actif risqué

Le Bitcoin est en train de vivre un changement de cap décisif, fortement marqué par la récente approbation des ETF au comptant made in US. Car depuis cette période, les acteurs de la finance traditionnelle ont fait du BTC leur nouvel actif risqué de référence, avec un succès sans équivalent sur les 30 dernières années.

Une évolution étrangement soutenue par une importante majorité de maximalistes du Bitcoin. Il faut dire que les rendements promis peuvent paraître plus attractifs que le fait de défendre les idéaux historiques inscrits en toutes lettres dans son white paper par Satoshi Nakamoto. Surtout si l’on considère que la chaîne HBO doit prochainement révéler son identité au grand jour.

La révolution du Bitcoin serait-elle morte avec l’approbation des ETF au comptant ?

« Le commerce sur Internet en est venu à reposer presque exclusivement sur les institutions financières agissant comme tiers de confiance afin de traiter les paiements électroniques. Alors que le système fonctionne suffisamment bien pour la plupart des transactions, il souffre de faiblesses inhérentes au modèle de confiance ».

White paper du Bitcoin

En effet, il s’agit à la base d’un « système de paiement électronique pair-à-pair ». C’est-à-dire en capacité d’effectuer « des paiements en ligne directs d’une partie à l’autre sans passer par une institution financière ». Mais ça, c’était l’objectif en 2009.

Une vocation récemment remise en cause par le très (trop) enthousiaste Michael Saylor. Car sa société MicroStrategy est en train d’acquérir plus de 1 % de la supply du BTC pour gonfler une trésorerie moribonde. Cela tout en annonçant à qui veut bien l’entendre que le statut de monnaie du Bitcoin serait finalement un « malentendu fondamental ».

>> Vous cherchez une solution pour stocker vos crypto loin des exchanges ? <<




Lien commercial

D’alternative au dollar à solution pour la dette américaine

Un pari gagnant, en termes de performances. Mais un échec cuisant, si l’on considère que le Bitcoin avait pour vocation d’échapper aux instances qui sont en train d’en prendre le contrôle. Cela au point d’être envisagé par le candidat Donald Trump comme une solution pour régler le problème de la dette américaine. Qui aurait pu l’imaginer !

Et la frontière dressée par Satoshi Nakamoto entre finance traditionnelle et Bitcoin s’efface inexorablement, au détriment de ses valeurs initiales. Avec le risque évident de voir sa volatilité légendaire tenue en laisse par le patron de BlackRock. Ce dernier devenu le défenseur improbable de son statut de « monnaie alternative mondial émergente ». La boucle est bouclée…

L’arrivée de BlackRock sur le marché du Bitcoin est-elle réellement une bonne chose ?

Car les instances de contrôle ont cette capacité à absorber ce qui les rejette pour en faire un nouvel élément de leur succès toujours plus important. Ce qui pourrait donner à terme un BTC totalement corrélé aux mouvements du marché des actions. Et des maximalistes du Bitcoin en train de surveiller les déclarations du président de la Banque centrale des États-Unis (Fed). Et personne ne semble saisir l’ironie en cours ?

De réseau décentralisé à sociétés cotées en bourse

Dans le même temps, les sociétés minières deviennent des géants cotés en bourse. Avec le risque de voir le réseau du Bitcoin perdre son indépendance vis-à-vis des exigences de censure imposées par ceux qui en détiennent les clés réglementaires… ou financières.

Car il suffira ensuite de faire trembler les dividendes des actionnaires pour que ces entreprises décident de suivre les recommandations des instances de contrôle, comme l’Office of Foreign Assets Control (OFAC) des États-Unis.

Le réseau du Bitcoin est-il résistant à la cupidité ?

Il suffit de se remémorer la politique du Bitcoin « propre » menée par le géant Marathon Digital en 2021. Ce qui consistait alors à exclure de la validation de ses blocs toutes les transactions « figurant sur la liste des ressortissants spécialement désignés et des personnes bloquées (SDN) du département américain du Trésor ». Une question déjà très polémique à l’époque…

« Bien que nous appréciions l’appétit de certains mineurs pour le traitement des transactions sans discernement, nous sommes convaincus qu’en tant que société cotée en bourse basée aux États-Unis et visant à permettre une adoption plus institutionnelle du Bitcoin, il est de notre responsabilité de suivre la réglementation américaine. Nous pensons qu’une telle exploitation minière conforme à la réglementation nous permettra de produire du Bitcoin propre ».

Merrick Okamoto, PDG de Marathon Digital

Quel avenir pour le Bitcoin ?

Des interrogations récemment soulevées par Jason Dehni, cofondateur de la plateforme DeFi Credbull, dans les colonnes du média crypto CoinTelegraph. Avec la perspective d’éviter au Bitcoin de devenir une cryptomonnaie à vocation dystopique, comme cela était déjà envisagé en 2020.

« Le destin dystopique n’est pas un résultat inévitable. La responsabilité d’agir, avec un but, incombe toujours aux natifs du secteur des cryptomonnaies, et plus précisément à ceux qui prétendent être maximalistes du Bitcoin ».

Jason Dehni

Car l’arrivée de la finance traditionnelle et de ses accointances boursières dans l’équation Bitcoin change définitivement la donne. Et elle pose notamment la question de savoir quelle vision l’on souhaite soutenir dans le cadre du développement à venir de cette cryptomonnaie emblématique.

Le Bitcoin se trouve actuellement à la croisée des chemins. Un constat effectué jusque dans le déroulé de son bull run actuel, possiblement inscrit comme la première édition d’une version « Supercycle » débarassée de son lien aux halvings. Deviendra-t-il un nouvel actif au service de la finance traditionnelle. Ou saura-t-il rester cette monnaie numérique hors de tout contrôle ? Le débat est loin d’être terminé…

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. En cliquant sur ce lien vous recevrez 10$ en BTC pour l’achat d’un modèle qui correspond à vos besoins et vous protègerez vos actifs numériques tout en soutenant le travail du JdC




Lien commercial

L’article Bitcoin : Le paradoxe de l’adoption grandissante du BTC est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Solana vs Ethereum : Le match de boxe des blockchains

Solana et Ethereum sur le ring. Dans notre écosystème, la compétition est parfois rude. Aussi féroce qu’un match de boxe. Et, dans le calme de l’actualité du moment, 2 blockchains semblent mener sur le ring un long combat. À gauche, le challenger au coup de poing rapide, Solana, qui fait un retour explosif avec ses memecoins — Bonk en tête — et des transactions en rafales. À droite, le champion établi, Ethereum, reconnu pour sa solidité et sa sécurité à toute épreuve, mais que certains commencent à trouver un peu lourd sur les pieds. Alors que Sygnum Bank se demande si Solana pourrait bientôt « sérieusement challenger » Ethereum, c’est peut-être l’heure de regarder ces deux poids lourds de la crypto se mesurer sur le ring. Alors, qui est le vrai champion ? Que le match commence !

À ma gauche : Solana, le poids léger rapide et agile

Solana, représentée par son token SOL, s’impose comme la blockchain aux performances impressionnantes. Sa vitesse de traitement des transactions et ses faibles coûts font de Solana une favorite parmi les nouveaux entrants sur le marché, surtout les entreprises cherchant une infrastructure évolutive et rentable.

La technologie de Solana d’abord est un des atouts de la blockchain. En effet, Solana se distingue par son mécanisme de consensus unique, le Proof of History (PoH). Contrairement à Ethereum qui utilise le Proof of Stake (PoS), le PoH de Solana permet de générer des timestamps vérifiables, créant une chronologie précise et accélérant le traitement des transactions. Grâce à ce système, Solana peut atteindre des vitesses impressionnantes, idéales pour les applications nécessitant une grande rapidité, comme les paiements en temps réel et les jeux décentralisés. En effet, PoH permet à Solana de traiter environ 65 000 transactions par seconde, rendant son infrastructure particulièrement adaptée aux environnements de haute performance

Côté adoption institutionnel, les performances de la blockchain sont présentes, mais encore timides et jeunes. Toutefois, ne prenons pas parti. Solana attire de plus en plus d’institutions, séduites par ses coûts réduits et sa scalabilité. Visa et Franklin Templeton ont récemment testé Solana pour les règlements de transactions et la tokenisation d’actifs, respectivement. De plus, Solana a prouvé sa capacité à traiter des stablecoins comme le USDC avec une efficacité notable. Si Ethereum reste le leader historique pour les applications de finance décentralisée et la tokenisation d’actifs réels, la flexibilité de Solana et sa capacité à réduire les frais attirent désormais des acteurs plus conservateurs qui pourraient privilégier ces caractéristiques pour leurs déploiements futurs

Du côté des critiques, elles sont nombreuses. Nous retiendrons pour ce match les reproches récents formulés par Edward Snowden. En effet, ce dernier a exprimé des inquiétudes sur la centralisation du réseau, qui pourrait le rendre vulnérable à une ingérence externe. La centralisation découle partiellement de la haute puissance de calcul requise pour le PoH, ce qui limite la participation des nœuds et pourrait concentrer le pouvoir entre les mains de quelques acteurs dominants. Ce risque pourrait compromettre la sécurité et l’indépendance de la blockchain

À ma droite : Ethereum, le poids lourd au palmarès bien rempli

Ethereum, quant à elle, se présente comme un vétéran expérimenté de la blockchain, avec un palmarès impressionnant et une capitalisation de marché bien supérieure à celle de Solana.

Depuis sa transition vers le Proof of Stake (PoS) en 2022 avec « The Merge », Ethereum a su réduire considérablement sa consommation énergétique, rendant le réseau plus écologique par rapport à son ancien mécanisme Proof of Work (PoW). Ce choix technologique permet de sécuriser le réseau tout en diminuant la barrière d’entrée pour les validateurs. Autant d’éléments qui font quel a blockchain est solide sur ses appuis.

Par ailleurs, concernant l’adoption institutionnelle, Ethereum est le leader incontesté pour la tokenisation des actifs réels et les stablecoins. Il détient 81 % du marché des actifs réels tokenisés et 49 % des stablecoins, ce qui témoigne de sa popularité dans le secteur de la finance décentralisée. Les institutions préfèrent Ethereum pour sa sécurité et sa capacité d’accueil de contrats intelligents complexes, faisant de cette blockchain une référence pour les projets à grande échelle. La compatibilité avec de multiples applications, telles que les NFT et la DeFi, consolide sa place de choix pour les innovations technologiques. Les titans de Wall Street en on meme fait un produit d’investissement via leurs ETF ETH validés, il n’y a pas si longtemps par la SEC aux USA.

Malgré ses nombreux avantages, Ethereum fait face à des problèmes de frais de transaction élevés, particulièrement en période de forte demande. Les coûts peuvent rapidement grimper, dissuadant les utilisateurs de petite envergure et rendant la blockchain moins accessible. Par ailleurs, la vitesse relative d’Ethereum, avec environ 15-20 transactions par seconde, est nettement inférieure à celle de Solana, créant un goulot d’étranglement qui pourrait poser problème si le réseau continue de croître sans solutions de scalabilité adéquates comme les rollups et la migration vers des shards .

Solana contre Ethereum : Et le Gagnant est…

Solana tape fort et vite avec des transactions éclairs, idéal pour des applications comme les micropaiements. Ethereum, quant à elle, joue la carte de la fiabilité avec une base d’utilisateurs solide et un écosystème mature. Sa droite ne pardonne pas.

Technologie et scalabilité : La rapidité de Solana attire, mais Ethereum, avec son écosystème plus vaste, a un avantage stratégique pour les développeurs et investisseurs.

Sécurité et stabilité : Ethereum est toujours perçu comme plus sécurisé, un point non négligeable pour les institutionnels. Solana devra prouver qu’elle peut rivaliser sur ce terrain.

Adoption et partenariats : Avec Visa, PayPal et Franklin Templeton dans son coin, Solana prouve qu’elle séduit, même si Ethereum reste incontournable.

Au final, déterminer un vainqueur est difficile. Ethereum et Solana ont tous deux des forces et des faiblesses. Ethereum peut compter sur sa stabilité éprouvée et son réseau de développeurs, tandis que Solana attire par sa rapidité et son faible coût. Ce match n’aura probablement pas de gagnant unique, chaque blockchain ayant sa propre place dans l’écosystème.

L’article Solana vs Ethereum : Le match de boxe des blockchains est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

CryptoPunk vendu 56 millions: une pub pour un memecoin?

L’annonce, jeudi soir, de la vente d’un NFT CryptoPunk pour 56,3 millions de dollars (24 000 ETH) a pris l’écosystème Web3 par surprise. Mais l’analyse de cette vente a révélé certains détails qui amènent à questionner l’authenticité de cette transaction. Vraie vente, fausses intentions La nouvelle a fait l’effet d’une bombe au sein de l’écosystème…

L’article CryptoPunk vendu 56 millions: une pub pour un memecoin? est apparu en premier sur Cryptonaute.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

NFT : Un CryptoPunk vendu pour 56 millions de dollars… ou pas !

Un record de trop. La plupart des secteurs associés aux cryptomonnaies connaissent des moments d’euphorie spéculative saisonniers. Une réalité qui oblige à bien comprendre que tout ce qui n’est pas Bitcoin – ou certains projets réputés (très) solides – peut redescendre aussi rapidement qu’il est monté. C’est, par exemple, le cas du marché des NFT, très populaire lors du bull run de 2021/2022. En effet, quelques années plus tard 96 % des collections lancées sont considérées comme mortes et enterrées. Une réalité qui épargne, plus ou moins, les projets emblématiques comme les CryptoPunks. Mais que faut-il penser de la vente record de l’exemplaire #1563 pour 56 millions de dollars ?

NFT : un marché en lente agonie

Le marché des NFT fonctionne comme tous les autres secteurs associés aux cryptomonnaies. Avec des projets phares supposément plus résilients, et d’autres – pour ne pas dire la plupart – inscrits dès leur création dans une sorte d’obsolescence numérique programmée.

C’est la raison pour laquelle le bilan n’est pas très positif, quelques années après la forte euphorie de 2021/2022. Car la plupart de collections lancées sont retombées comme un soufflet. Et les quelques projets emblématiques, comme les CryptoPunks ou les Bored Ape Yacht Club (BAYC), semblent vivre une longue agonie sans fin.

500 NFT Index (YTD) – CryptoSlam

Un désintérêt évident dont la principale preuve est une activité au point mort. Avec comme seule véritable actualité récente une énième collection improbable lancée par le candidat Donald Trump. Tout un symbole…

>> Vous cherchez une solution pour stocker vos crypto loin des exchanges ? <<




Lien commercial

Un CryptoPunk vendu pour 56 millions de dollars 
?

Pourtant, quelques opérations continuent de se comptabiliser en millions de dollars. Mais cette fois sur le réseau Bitcoin, devenu malgré lui le support des fameux Ordinals… encore assez récents pour attiser les convoitises. Toutefois, une récente opération record vient soulever quelques interrogations au sujet d’un retour en force des CryptoPunks… ou pas !

L’opération a été signalée hier à la surprise générale. L’exemplaire #1563 de la célèbre collection des CryptoPunks aurait change de main pour la somme astronomique de 56 millions de dollars (24 000 ETH). Pour donner un ordre de grandeur, cette somme représente 3 fois le montant de précédent record fixé à 8000  ETH en février 2022.

Mais rapidement, des doutes sont apparus sur l’origine de cette vente et sa portée effective. Notamment car le marché des NFT est connu pour être passé maître dans le domaine de wash trading et de la manipulation des prix, à l’aide de plateformes comme Blur.

Une vente pour promouvoir un memecoin ?

Car, en y regardant de plus près, cette opération a été réalisée à l’aide d’un prêt flash effectué sur la plateforme DeFi Balancer. Et les 24 000 ETH concernés sont immédiatement retournés à leur point de départ, pour une transaction « sans profit » finalement réglée à 54 $ !

« Il n’y a eu aucun bénéfice – rien n’a changé de mains, à part le gas (54 $ pour déployer les deux contrats et les exécuter). Cette fois, il semble s’agir d’une tentative de com pour un memecoin Kamala Harris Punks. Un jeton ERC20 récemment déployé, qui a une prévente ouverte pendant environ 1 semaine. » 

0xQuit

Cette vente record serait une simple opération de com destinée à faire la promotion d’un énième memecoin éclaté. Le tout dans la lignée directe des jetons politiques de ce type qui pullulent en parallèle des élections présidentielles US. Une affaire à ne pas suivre…

Ledger est le leader mondial du hardware wallet. En cliquant sur ce lien vous recevrez 10$ en BTC pour l’achat d’un modèle qui correspond à vos besoins et vous protègerez vos actifs numériques tout en soutenant le travail du JdC




Lien commercial

L’article NFT : Un CryptoPunk vendu pour 56 millions de dollars… ou pas ! est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Subjektiv.art et TravelVerse s’unissent pour redéfinir l’art et le voyage avec le Web3 lors d’une exposition exclusive à Paris

Subjektiv.art et TravelVerse s’apprêtent à révolutionner les mondes de l’art et du voyage grâce à leur utilisation novatrice des technologies Web3. Cette collaboration excitante sera dévoilée lors d’une exposition exclusive à Paris ce mois d’octobre, où les visiteurs pourront découvrir de première main comment les NFTs redéfinissent notre interaction avec l’art et notre exploration du monde.

L’article Subjektiv.art et TravelVerse s’unissent pour redéfinir l’art et le voyage avec le Web3 lors d’une exposition exclusive à Paris est apparu en premier sur Cointribune.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

Le Dogecoin peut-il encore performer lors de ce bull run ? Voici une alternative à ne pas ignorer

La crypto-meme originale, Dogecoin, a connu une période de hausse assez exceptionnelle au cours des derniers jours du mois de septembre.

Après des mois dans l’ombre, le memecoin, né pour la rigolade et propulsé par des tweets et des memes, a fait une remontée spectaculaire, bondissant de 10 % en seulement une semaine.

Néanmoins, la question que tout le monde se pose : est-ce que DOGE peut vraiment continuer à jouer dans la cour des grands pendant ce bull run ou est-ce que c’est juste un feu de paille ?

Analyse de l’historique et des performances récentes du Dogecoin

Le Dogecoin a récemment fait un retour fracassant en première ligne sur le marché global des crypto-monnaies.

Au-delà des tweets cryptiques du milliardaire Elon Musk, le DOGE a également été porté par des baleines qui se sont mises à acheter des tokens à tour de bras. En une semaine, le volume d’échange a explosé, culminant à plus de 1,2 milliard de dollars.

Ainsi, le DOGE s’est offert une envolée de 9,09 %, atteignant un sommet de 0,1311 $. Pourtant, ce bond reste fragile puisque sa valeur est rapidement redescendue à 0,1182 $ quelques jours plus tard.

La barre symbolique de 1 $ semble toujours hors de portée, même si les bulls continuent de rêver.

Pour l’instant, le Dogecoin semble coincé dans une danse étrange, avec un prix qui grimpe puis redescend, comme s’il hésitait entre aller sur la lune ou retomber brutalement sur terre.

Analyse technique de la progression du DOGE

Dans une série de tweets partagés sur la plateforme X, l’analyste crypto trader Tardigrade, plutôt confiant dans son approche, prédit une explosion future du DOGE avec une hausse de 1 200 %.

Pour lui, le Dogecoin est coincé dans une configuration classique de “falling wedge”, soit un petit modèle technique qui, dans les bons jours, prédit une hausse folle du prix d’un actif.

Fibonacci 0.618 is a significant resistance in a downtrend. However, #Dogecoin has broken through it in the third attempt since 2024 high.
In the first attempt, $Doge was rejected before Fib 0.618 and then continued the downtrend. In the second attempt, $Doge reached but rejected… pic.twitter.com/Xr3tn6ng8x

— Trader Tardigrade (@TATrader_Alan) September 29, 2024

Avec un objectif à 1,6 $, certains voient déjà le meme coin Dogecoin s’envoler plus haut que jamais. Pourtant, tout cela reste encore au conditionnel.

Après tout, on parle de crypto ici, et surtout de Dogecoin, où l’ironie et l’absurdité ne sont jamais bien loin.

Pour l’instant, l’actif flotte juste sous la ligne de tendance, et personne ne sait vraiment si la rupture va se confirmer ou si tout cela va rester un rêve humide de traders trop optimistes.

Quels sont les facteurs de risque et incertitudes pour le Dogecoin

Malgré les prévisions optimistes, un autre scénario se profile : celui de la correction. Après cette vague d’achats frénétiques, les volumes d’échange commencent à retomber, laissant présager un retour à la normale et, potentiellement, un recul du prix.

Le Dogecoin n’est pas étranger aux montagnes russes, et avec la pression acheteuse qui diminue, les niveaux de support deviennent cruciaux.

Le seuil de 0,117 $, maintenu par la moyenne mobile à 50 jours, pourrait devenir la dernière planche de salut pour DOGE.

Si ce support se brisait, on pourrait assister à une descente en flèche, testant des niveaux encore plus bas.

Memebet

Au moment où le DOGE suscite l’espoir de ses investisseurs, le marché des memecoins accueillent avec surprise l’arrivée d’un nouveau challenger sérieux : Memebet.

Ce projet débarque dans l’univers des crypto avec un gros clin d’œil à l’absurde, mais avec une utilité bien réelle derrière le rideau.

Il ne s’agit pas juste d’un énième meme coin qui se repose sur les likes et les retweets. En effet, MEMEBET mise sur le GameFi, un savant cocktail de jeu et finance décentralisée pour s’imposer.

L’idée serait deb où il est possible de parier avec ses crypto-memes préférées – Dogecoin, Shiba Inu, Pepe.

Mais là où Memebet sort du lot, c’est qu’il ne se contente pas de l’humour : sa plateforme de pari fait vraiment vibrer la corde GambleFi, avec des NFT exclusifs, des loot boxes, et des bonus pour ceux qui jouent avec son jeton natif MEMEBET.

Sa prévente a déjà encaissé 345 000 $ en deux semaines et un jeton qui pourrait grimper jusqu’à 10x selon les experts. Pour le moment, le prix du token est actuellement à 0,0255 $, mais va grimper dans un futur très proche.

En attendant le lancement, ceux qui se lancent tôt peuvent tester la plateforme, récupérer des airdrops et profiter des premières récompenses Play-to-Earn.

Sources : CoinMarketCap / Memebet

Sur le même sujet :

Top 3 memecoins <300 millions de market cap qui vont x100 selon cet expert
Pourquoi octobre est-t-il haussier pour le Bitcoin ? Réponse de l’IA
Des baleines accumulent ce nouveau PEPE

Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.

The post Le Dogecoin peut-il encore performer lors de ce bull run ? Voici une alternative à ne pas ignorer appeared first on Cryptonews France.

Publié le
Catégorisé comme Non classé

NFT : Christie’s met aux enchères une œuvre enregistrée sur le protocole Ordinals de Bitcoin

Après guerre et art Contemporain. Voici le thème de la vente aux enchères qui se tiendra chez Christie’s à Londres le 10 octobre prochain et qui rassemblera des peintures, des sculptures et des photographies de nombreux artistes différents. Mais nous, c’est au lot 425 que nous allons plus particulièrement nous intéresser aujourd’hui car il s’agit d’une œuvre d’art numérique dynamique de Ryan Koopman et Alice Waxell qui sera vendue sous la forme d’un NFT.

Rien d’original pourriez-vous dire, car on l’a déjà vu et pas qu’une fois ! On se rappelle notamment l’œuvre incroyable de Beeple déjà vendue chez Christie’s à Londres en 2021 ou de plusieurs CryptoPunks également vendus chez ce spécialiste des ventes à succès en 2022, mais si on parle de ce NFT, c’est parce qu’il est inscrit sur le réseau Bitcoin. Il s’agit en effet du tout premier NFT inscrit sur le protocole Ordinal qui sera vendu aux enchères, et ça, ça valait bien quelques explications.

Les artistes Ryan Koopman et Alice Waxell seront à jamais les premiers à utiliser cette technologie pour vendre un NFT

Un mot d’abord sur le projet artistique de Ryan Koopman et Alice Waxell qui sont à l’origine de cette série d’œuvres d’art numériques dynamiques rassemblées dans la collection intitulée The Wild Within, que l’on pourrait traduire par Le Sauvage Intérieur. L’idée est de redonner vie à des bâtiments en ruine en injectant dans l’image « un mélange surréaliste du passé et du futur, de la nature et de l’architecture » en combinant de la photographie avec des techniques 3D avancées. La particularité de ce travail est qu’il est dynamique, c’est-à-dire que l’image se transforme dans le temps en suivant un cycle prédéfini.

L’œuvre qui sera mise aux enchères représente « la beauté en décomposition » du Sanatorium Iveria à Tskaltubo, en Géorgie qui était autrefois un lieu renommé de l’époque soviétique dans les années 50 et 60. Tombé en ruine depuis, « il offre une toile de fond poignante pour l’exploration artistique de Koopmans et Wexell » comme l’explique le Commissaire priseur de la maison londonienne. La lumière de la pièce changera tout au long d’un cycle de trente minutes, ce qui donnera à l’heureux acquéreur l’impression vivante du temps qui passe.

Ascend de Ryan Koopman et Alice Waxell sera mis en vente le 10 octobre chez Christie’s à Londres – Source : Christies.com

Bitvavo offre 1000€ à un heureux gagnant chaque mois !




Lien commercial

L’œuvre s’appelle Ascend et elle fait partie du projet The Wild Within qui rassemble des œuvres d’art numériques dynamiques

Concrètement, ces NFT utilisent le protocole Ordinals que nous avons déjà présenté à de multiples reprises, mais les artistes ont réussi à aller plus loin grâce à la collaboration avec les équipes de chez Inscribing Atlantis qui ont développé un codage particulier. Appelée récursion, cette technique permet aux artistes de surmonter les limites de taille de fichiers à inscrire sur la blockchain Bitcoin et c’est elle qui permet à l’œuvre de changer en temps réel et de refléter ainsi le passage du temps dans l’image, comme l’explique l’artiste :

« Nous pouvons construire une œuvre complète en assemblant plusieurs pièces individuelles qui sont toutes inscrites sur la chaîne (…) Le codage dynamique améliore ce processus en introduisant des éléments interactifs ou évolutifs à l’œuvre d’art. En intégrant du code dans ces inscriptions, nous pouvons créer des pièces qui répondent aux interactions des utilisateurs ou changent au fil du temps en fonction de certaines conditions. »

Ryan Koopman interrogé par la presse spécialisée – Source : Decrypt

L’artiste est lui-même un grand fan de Bitcoin qu’il qualifie « d’exceptionnel » mais pour lui la technologie ne doit cependant pas passer par-dessus son travail :

« S’inscrire sur Bitcoin est un outil fantastique pour enregistrer la provenance et préserver la longévité des œuvres d’art on-chain. Néanmoins, la création visuelle et conceptuelle de l’œuvre elle-même reste d’une importance majeure et elle ne devrait pas être éclipsée par les aspects techniques. »

Ryan Koopman interrogé par la presse spécialisée – Source : Decrypt

Il s’agit donc d’une grande première pour un NFT Ordinals qui aura les honneurs de Christie’s, ce qui ressemble à une intronisation en grandes pompes pour un Bitcoin qui devient pour l’occasion « un réseau immuable et décentralisé permettant de préserver l’art numérique », et ce n’est pas rien ! Si vous êtes intéressé, mise en vente le 10 octobre prochain avec un prix estimé entre 35 000 et 60 000 euros.

Vous cherchez le leader européen pour investir sur les crypto ? Bitvavo, la plateforme régulée en Europe offre 1000€ tous les mois à un heureux gagnant qui a déposé 50€ sur son compte, ou bien trade pour 100€ de volume minimum




Lien commercial

L’article NFT : Christie’s met aux enchères une œuvre enregistrée sur le protocole Ordinals de Bitcoin est apparu en premier sur Journal du Coin.

Publié le
Catégorisé comme Non classé