La SEC retarde (encore) sa décision pour l’ETF Ethereum au comptant de Grayscale

Rendez-vous en 2024. Si l’approbation des ETF Bitcoin au comptant est une course, la Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis est une barrière de départ qui refuse obstinément de s’ouvrir pour libérer les participants. Une situation à l’origine de reports à répétition, au point d’envisager désormais le début de l’année prochaine comme deadline officielle. Et de toute évidence, ces tergiversations réglementaires n’épargnent pas non plus les ETF Ethereum au comptant. Car la version de Grayscale vient d’être repoussée au 25 janvier, sans aucune certitude d’approbation.

Grayscale : la SEC a besoin d’un délai (encore) plus long

Cette nouvelle arrive finalement sans grande surprise. La SEC des États-Unis vient de reporter sa décision dans le dossier de l’ETF Ethereum au comptant du gestionnaire crypto Grayscale. Et, cette stabilité du rejet semble devenir sa principale marque de fabrique dans le domaine.

« Le Conseil estime approprié de fixer un délai plus long pour prendre des mesures afin de disposer de suffisamment de temps pour examiner le changement de règle proposé et les questions qui y sont soulevées. En conséquence, la Commission désigne le 25 janvier 2024 comme date à laquelle la Commission devra soit approuver, soit désapprouver, soit engager des procédures pour déterminer si elle doit désapprouver, le projet proposé. »

SEC

Grayscale voit l’approbation de son ETF Ethereum au comptant repoussée au 25 janvier

Une course parallèle à celle des ETF Bitcoin au comptant, dans laquelle s’est récemment inscrit le géant BlackRock avec son véhicule financier spécialement taillé pour Ethereum. Mais de toute évidence, rien ne se passera avant le mois de janvier de l’année prochaine… au minimum.

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Janvier, le mois de toutes les approbations ?

Toutefois, ce nouveau report pourrait presque passer pour une bonne nouvelle. C’est en tout cas l’impression perçue du côté des principaux spectateurs de cette série à rebondissement, dont le scénario est écrit en temps (ir)réel par la SEC. Car le mois de janvier est une nouvelle fois pointé par le régulateur comme date possiblement fatidique.

« Mise à jour : comme prévu, le dépôt de la fiducie Ethereum de Grayscale vient d’être retardé. Il était attendu pour le 6/12/23, c’est donc tout à fait normal. »

James Seyffart

De toute évidence, les récents pourparlers de la société Grayscale avec la SEC ne permettent pas d’accélérer ce processus fastidieux. Il s’agit pourtant dans le cas présent d’une « simple » conversion d’un produit lancé en 2019 – et enregistré auprès de la SEC dès 2020 – comme dans le cas de son GBTC dédié au Bitcoin.

La Securities and Exchange Commission (SEC) des États-Unis semble donc persister dans sa volonté de reporter son approbation des ETF au comptant à l’année prochaine. Est-ce le signe d’une libération groupée à venir ? L’espoir affiché par les spécialistes du domaine pourrait permettre de le penser. Mais ce serait sans compter sur la capacité du très politique Gary Gensler à ne jamais faire ce que l’on attend de lui. Rendez-vous en 2024…

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Sam Bankman-Fried coupable de multiples fraudes : ses avocats envisagent de faire appel

SBF n’en a pas fini avec la justice. Le 3 novembre dernier, le jury a pris sa décision dans le procès-marathon d’un mois de Sam Bankman-Fried (SBF) : le fondateur de FTX a été unanimement reconnu coupable de tous les 7 chefs d’accusation de fraudes et de blanchiment d’argent dont il était accusé. Dans un récent document judiciaire, les avocats de SBF se réservent toutefois la possibilité de faire appel de ce jugement.

Le cabinet d’avocats de Sam Bankman-Fried sur le point de faire appel ?

Un peu plus d’un mois après la fin de son procès, Sam Bankman-Fried est toujours retenu derrière les barreaux du Metropolitan Detention Center (MDC) de Brooklyn. En effet, sur décision de justice, l’ex-CEO de FTX restera en détention provisoire jusqu’au 28 mars 2024, date à laquelle il connaitra sa peine pour ses actes. SBF encourt ainsi jusqu’à 115 ans de prison pour les charges reconnues contre lui.

Ce début décembre 2023, le cabinet d’avocats Cohen & Gresser a déposé un document judiciaire concernant leur client Sam Bankman-Fried devant le juge Lewis Kaplan, de la Cour du district Sud de New York.

Dans cette lettre, la batterie d’avocats du fondateur de FTX annonce qu’il n’y aura aucun dépôt de requête après la fin du procès. Mais la défense de SBF laisse en revanche la porte ouverte à une tentative de jugement en appel de leur client.

« Au nom de notre client, Samuel Bankman-Fried, nous soumettons respectueusement cette lettre pour informer la Cour de l’état des requêtes post-procès. Après mûre réflexion, nous avons décidé de ne pas déposer de requête après le procès. Nous nous réservons le droit de faire appel. »

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6 autres accusations, en plus des 7 premières, attendent SBF en 2024

Emprisonné depuis le 11 août 2023 au MDC de Brooklyn, suite à des menaces et des intimidations sur des témoins clés, Sam Bankman-Fried avait un total de 13 chefs d’accusation à son encontre. Mais, étant donné que 6 d’entre eux ont été émis après son extradition des Bahamas, ils n’avaient pas pu être pris en compte lors du procès qui s’est tenu ce mois d’octobre.

L’ex-patron de FTX pourrait notamment être jugé pour ses financements frauduleux de campagnes électorales (dont un don de 5 millions de dollars à Joe Biden en 2020) dans un second procès, qui se tiendrait en mars 2024. C’est-à-dire en même temps que la décision sur sa peine pour son premier procès.

En attendant, la suite de son parcours pénal, Sam Bankman-Fried semble se faire à sa vie carcérale. Il aurait ainsi repris le trading (en quelque sorte), en échangeant des conserves de maquereaux contre des services en prison. Il faudra désormais attendre les premiers mois de 2024 pour connaître la suite de cette saga judiciaire.

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Binance et son programme de formation blockchain en France : un échec ?

Un résultat loin des promesses ? En novembre 2021, alors que Bitcoin (BTC) atteignait son plus haut historique vers les 69 000 dollars, le gouvernement français déroulait le tapis rouge à Binance. Il faut dire que la plateforme d’échange de cryptomonnaies débarquait alors dans l’Hexagone avec une promesse de 100 millions d’euros d’investissement. Deux ans après, il semblerait qu’au moins le volet « formation » de ce programme ait eu un succès très mitigé.

En France aussi, Binance n’est pas au mieux de sa forme

Le groupe Binance, et particulièrement sont désormais ex-CEO Changpeng « CZ » Zhao, ont passé un très difficile mois de novembre 2023, avec les amendes records totalisant 4,3 milliards de dollars infligées par les autorités étasuniennes.

En France, c’est plutôt son programme de formation aux cryptomonnaies et technologies blockchains qui battent de l’aile. En effet, en septembre 2022, Binance avait lancé en grande pompe un programme d’éducation crypto en France, en partenariat avec le réseau d’écoles Simplon.

Le bilan qu’en dresse le Financial Times, bien qu’exagérément à charge (comme souvent avec les médias mainstream contre Binance), est cependant révélateur de belles promesses qui n’ont malheureusement pas été suivies de grand-chose d’extraordinaire.

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Les efforts de formation de l’exchange n’ont pas atteint son ambitieux objectif

Lors de la Binance Blockchain Week de septembre 2022, la crypto-bourse espérait pouvoir former 10 000 personnes aux métiers du Web3 et des blockchains, via son fonds de bienfaisance Binance Charity. Mais sur ces 10 000 personnes espérées, « moins d’une centaine » auraient reçu des cours de codage (notamment dans Solidity, le langage informatique d’Ethereum).

Pour le reste, il s’agirait surtout de simple « cours de sensibilisation » aux technologies et au secteur des cryptomonnaies. Des cours qui n’auraient duré qu’une demi-journée, toujours d’après les dires du journaliste du Financial Times.

Alors que les États-Unis organisent une véritable chasse à l’homme contre Changpeng Zhao et Binance, les espoirs trop optimistes issus de l’euphorie du précédent bull run de 2021 semblent désormais bien retomber. Il ne reste plus à espérer pour la crypto-bourse que son nouveau CEO, le spécialiste de la conformité réglementaire Richard Teng, réussisse à redresser la barre.

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Les mineurs de bitcoin se préparent-ils au bull run du BTC ? Riot Platforms fait le plein

Les mineurs se préparent. Alors que Bitcoin vient de repasser brièvement la barre des 42 000$, les mineurs de BTC semblent se préparer à un potentiel bull run. Ainsi, Riot Platforms, un géant de l’industrie, vient de passer une commande massive de machines de minage.

Riot Platforms achète des milliers de machines

Riot Platforms est une entreprise spécialisée dans l’opération de ferme de minage Bitcoin. Celle-ci est notamment implantée aux États-Unis.

Entre août et septembre, l’entreprise a vu sa production augmenter de 9 % grâce à sa puissance de 12,5 EH/s.

Toutefois, elle ne compte pas s’arrêter en si bon chemin. Ainsi, le 4 décembre, l’entreprise a dévoilé un accord avec MicroBT, l’entreprise chargée de la production des Whatsminer.

Au total, l’entreprise a annoncé avoir trouvé un accord d’achat pour 66 560 Whatsminer. La commande se compose de 3 724 M56S++, 14 778 M66 et 48 058 M66S, dernier modèle en date. Cela permettra à l’entreprise d’augmenter sa puissance de 18 EH/s supplémentaires.

Liste des machines achetées par Riot Platforms.

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Une année 2024 riche en activité

Ainsi, Riot Platforms se prépare à mettre les bouchées doubles en 2024. Ainsi, au premier trimestre, une précédente commande de 33 280 machines sera installée et opérationnelle.

Par la suite, dans la deuxième partie de 2024, l’entreprise prévoit de recevoir et d’installer les 66 560 machines abordées précédemment.

Une fois cette installation réalisée, le mineur estime qu’il atteindra une puissance de minage de 38 EH/S.

Une option d’achat de 265 000 machines

Alors que nous pensions que cela était suffisant, Riot Platforms voit encore plus gros. Ainsi, l’entreprise a également annoncé avoir négocié une option d’achat de pas moins de 265 000 machines de minage à MicroBT.

Cela permettrait d’ajouter quelques 75 EH/S de puissance, amenant la puissance totale de Riot Platforms au-dessus des 100 EH/S.

« Parallèlement à l’engagement de Riot en faveur d’une croissance du taux de hachage, nous développons activement l’infrastructure de notre site de Corsicana, conformément à notre stratégie de longue date, éprouvée et intégrée verticalement. Riot est ravi de renforcer sa relation avec MicroBT et d’établir notre feuille de route pour atteindre et dépasser les 100 EH/s dans les années à venir. »

Néanmoins, ce n’est pas sans bâtons dans les roues. En effet, l’opération de Riot Platforms au Texas a récemment été la cible de Greenpeace.

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OVAL3, l’expérience rugby qui transforme l’essai Web3 – Les dernières avancées du projet

Dans ce nouveau crypto vision, nous sommes en compagnie de Tony Bouquier et Florian Gaye du projet français Oval3, dont vous pouvez découvrir le tutoriel complet ici.

L’équipe aborde des sujets clés tels que l’introduction des NFT de joueurs, la dynamique et les mécanismes du jeu, ainsi que les stratégies pour engager et développer une communauté mondiale autour du rugby numérique.

Bon visionnage !

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DeFi : Mantle dévoile son protocole de Liquid Staking

Un concurrent pour Lido ? Mantle est une solution de seconde couche d’Ethereum qui a vu le jour au milieu de cet été. En pratique, Mantle est un optimistic rollup modulaire. Ainsi, son infrastructure a été divisée en différentes couches. Hier, le protocole a annoncé une nouvelle corde à son arc avec le lancement de Mantle Liquid Staking.

Liquid Staking : qu’est-ce que c’est ?

En septembre 2022, le protocole Ethereum a définitivement abandonné le Proof of Work au profit du Proof of Stake. Ainsi, les mineurs ont été remplacés par des nœuds validateurs.

En parallèle, des protocoles d’un nouveau genre ont vu le jour : les protocoles de Liquid Staking. Ainsi, le Liquid Staking est une pratique où les utilisateurs stakent leurs Ethers via un protocole tiers pour soutenir le fonctionnement et la sécurité du réseau Ethereum. 

De plus, comme leur nom l’indique, ces protocoles visent à rendre le staking plus liquide. Pour cela, lors d’un dépôt, l’utilisateur va recevoir un jeton qui représente sa mise. Celui-ci pourra ensuite être utilisé dans d’autres protocoles de DeFi.

Enfin, ces protocoles permettent de baisser la barre d’accès des 32 ETH nécessaire pour opérer un validateur. En effet, les dépôts de plusieurs utilisateurs peuvent être utilisés pour opérer un nœud commun, le tout de manière décentralisée.

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Mantle Network se met au Liquid Staking

Lundi 4 décembre, les équipes de Mantle ont annoncé le lancement de leur produit phare : Mantle LSP, un protocole de Liquid Staking non custodial sur Ethereum.

Ainsi, les utilisateurs ont désormais la possibilité de déposer leurs ETH sur le protocole et recevoir en échange des mETH. Le mETH étant le jeton dérivé qui représente le dépôt de l’utilisateur.

Son lancement semble être un succès. En effet, le réseau compte déjà 1 353 validateurs pour un total de 43 307 ETH déposés en staking.

De son côté, le rendement proposé est actuellement de 3,84 %, un peu plus que son concurrent Lido qui dispose d’un rendement de 3,7 %.

Mais, alors, d’où viennent ces rendements ? En réalité, ils proviennent de plusieurs stratégies. D’une part, la majorité du rendement provient de la validation des blocs sur Ethereum. À quoi viennent s’ajouter des revenus liés à la MEV ainsi que le partage des revenus générés par la trésorerie.

En effet, Mantle souhaite faire travailler une partie de sa trésorerie via son protocole de Liquid Staking. Jusqu’à présent, Mantle avait déjà déposé 40 000 ETH de sa trésorerie sur Lido.

De son côté, le protocole Lido continue son expansion fulgurante. Ainsi, Lido a récemment annoncé le support du wstETH sur l’écosystème de Cosmos.

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Arbitrum : la DAO alloue 24 millions de $ supplémentaire à son programme de subvention

Forte de 2,2 milliards de dollars de TVL, Arbitrum est la première solution de seconde couche d’Ethereum. En mars dernier, le protocole a lancé son jeton le ARB. Celui-ci est notamment utilisé pour la gouvernance du protocole, ainsi que son financement. Ainsi, une nouvelle enveloppe de plusieurs millions de dollars a été allouée par la DAO pour financer le développement d’Arbitrum.

21,4 millions d’ARB pour le développement d’Arbitrum

À la fin du mois d’août, la DAO d’Arbitrum a validé un programme de subvention massif. Intitulé « Short-Term Incentive Program » ou STIP, ce programme vise à distribuer pas moins de 50 millions d’ARB aux protocoles majeurs d’Arbitrum.

Finalement, la DAO s’est accordée autour de la candidature de 30 protocoles éminents d’Arbitrum. Ainsi, dans la liste des bénéficiaires nous retrouvons des protocoles tels que GMX, Camelot ou encore Lido Finance.

Il y a quelques semaines, la DAO a proposé une extension de ce programme. Ainsi, celle-ci visait à distribuer 21,4 millions de jetons ARB supplémentaires, afin de soutenir un plus large éventail de projets.

Le 3 décembre, la proposition a été acceptée par la communauté avec 66% des voix en faveur.

Ainsi, un total de 23,34 millions de dollars sera distribué à 26 protocoles supplémentaires évoluant sur Arbitrum. Parmi ces protocoles nous retrouvons Gains Network, PancakeSwap, Stargate Finance ou encore Wormhole pour ne citer qu’eux. Les montants alloués à chaque projet varient de 38 000 à 4,5 millions de jetons ARB.

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Une proposition qui ne fait pas pour autant l’unanimité

Lors des discussions préliminaires concernant cette proposition, plusieurs acteurs de l’écosystème ont exprimé leurs craintes face à cette proposition.

D’une part, certains observateurs expriment leurs préoccupations vis-à-vis des instabilités de marchés que cela pourrait créer. En effet, la libération de 20 millions d’ARB supplémentaires pourrait engendrer une pression vendeuse sur le jeton.

D’autre part, d’autres observateurs pointent du doigt les montants réclamés par certains protocoles. Par exemple, Gain Network a obtenu un financement de 4,5 millions d’ARB après avoir demandé 7 millions d’ARB. À titre de comparaison, le projet WINR a reçu seulement 38 000 ARB. De ce fait, un avis suggère d’étendre le financement avec un plafond fixé à 300 à 500 000 ARB par projet, afin de soutenir davantage de petits projets et d’éviter de favoriser les projets déjà établis avec de gros financements.

En parallèle, Arbitrum envisage de mettre en place une sorte de staking du jeton ARB. Un budget de 100 millions de jetons pourrait être alloué pour récompenser les holders du jeton. Une proposition elle aussi décriée, car elle pourrait être à l’origine d’une pression vendeuse sur le jeton.

 

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La CEO du méga-fonds Franklin Templeton possède Bitcoin, Ethereum et jetons DeFi

Quand les géants misent sur la crypto. Le groupe Franklin Templeton est une énorme société d’investissement mondial, avec plus de 1 400 milliards de dollars d’actifs sous gestion. Son actuelle CEO, Jenny Johnson, vient de nouveau de faire réagir (de plaisir) la cryptosphère en annonçant qu’elle possédait un peu de Bitcoin (BTC), d’Ethereum (ETH) et de tokens de la finance décentralisée (DeFi) dans son portefeuille d’investissement personnel.

La dirigeante de Franklin Templeton a investi dans des BTC, ETH et tokens DeFi

Fondé en 1947, le méga-fonds d’investissement Franklin Templeton est clairement devenu un des plus grands de la planète dans sa catégorie. Il figure même dans le Top 10, qui est toutefois toujours dominé par le géant BlackRock. On notera au passage que ces deux mastodontes de l’investissement ont chacun déposé leur demande d’ETF Bitcoin au comptant.

La patronne de Franklin Templeton, Jenny Johnson, a récemment été interrogée par le magazine Fortune, lors de l’évènement Fortune Global Forum qui s’est récemment tenu à Abu Dhabi (EAU). Ainsi, bien que la dirigeante explique en préambule que ces investissements sont « modestes par rapport à l’ensemble » de son portefeuille, elle possède bel et bien des cryptomonnaies.

Jenny Johnson détaille ensuite qu’elle possède du Bitcoin, des ethers et des tokens de la DeFi. Pour ces derniers, elle annonce détenir les jetons des DEX SushiSwap (SUSHI), Uniswap (UNI) et « deux ou trois choses différentes de ce style ».

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Jenny Johnson est confiante sur l’approbation d’un ETF Bitcoin au comptant

Comme mentionné plus haut, le grand fonds d’investissement a déposé son « Franklin Bitcoin ETF » devant la SEC (Securities and Exchange Commission), en septembre 2023. Et bien qu’elle ne se dise « pas certaine du timing des approbations », Jenny Johnson constate que les régulateurs travaillent sur le dossier et devraient approuver ces ETF spot de Bitcoin « en temps voulu ».

« J’ai tendance à investir dans des actifs qui, selon moi, sont susceptibles d’avoir des rendements financiers. (…) Il y a de toute évidence une demande [des investisseurs institutionnels] pour Bitcoin, et je pense qu’un ETF au comptant sera un meilleur moyen d’accéder à Bitcoin. »

Jenny Johnson, CEO de Franklin Templeton

Si les plus grands gestionnaires de fonds du monde tentent tous d’obtenir leur propre ETF au comptant du roi des cryptos, c’est effectivement bien qu’il doit y avoir une forte demande pour Bitcoin de leurs très fortunés clients institutionnels. En tout cas, en attendant un tel fonds négociés en bourse basés sur de vrais bitcoins, les institutionnels semblent se rabattre sur les ETF BTC futures, basés sur des contrats à terme de Bitcoin.

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Les NFT en danger ? La découverte d’une faille lance l’alerte

Une faille frappe les NFT. Après plusieurs mois d’accalmie, le marché des NFT semble reprendre des couleurs. Malheureusement, une vulnérabilité dans les systèmes de Thridweb pourrait bien gâcher la fête pour de nombreuses collections de NFT.

Thirdweb dévoile une vulnérabilité qui menace les NFT

Thirdweb est une boîte à outils à destination des développeurs du Web3. Parmi ses services, la plateforme propose des outils qui permettent de créer, déployer et interagir avec un smart contract.

Cependant, ce matin, Thirdweb a annoncé avoir détecté une vulnérabilité dans l’une de ses librairies open source.

« Cela a un impact sur une variété de contrats intelligents à travers l’écosystème web3, y compris certains des contrats intelligents préconstruits de thirdweb. »

A déclaré Thirdweb sur X.

En pratique, il semblerait que les smart contrats préconstruits de type DropERC20, ERC721, ERC1155 et AirdropERC20 sont impactés par la faille.

« Notre priorité immédiate est de protéger nos clients impactés par cette vulnérabilité. Si vous avez déployé l’un de ces contrats intelligents préconstruits en utilisant le tableau de bord ou les SDK de thirdweb avant le 22 novembre, vous devez effectuer certaines étapes pour atténuer l’exploitation potentielle de la vulnérabilité. »

Heureusement, il semblerait que jusqu’à présent cette faille n’ait pas été exploitée par un hacker.

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Un processus de migration complexe

Pour les collections de NFT affecté, la suite des évènements risque d’être particulièrement contraignante.

Ainsi, si le contrat présente la faille, les développeurs vont devoir effectuer plusieurs actions. Ils devront ainsi le verrouiller, prendre un snapshot, puis migrer vers un nouveau contrat qui ne présente pas la faille. Enfin, ils pourront redistribuer les NFT.

Pire encore, les utilisateurs ayant déposé leurs NFT dans des pools de liquidités doivent impérativement les retirer pour rester éligibles après la migration de contrat. Une situation délicate pour de nombreuses collections, qui vont devoir s’assurer qu’aucun NFT ne soit perdu en chemin.

Une faille à l’impact large

Rapidement, de nombreux noms de l’écosystème ont annoncé être affectés par la faille. Dans un premier temps, Base, le L2 de Coinbase : 

« L’équipe de Base a été informée à 21h PT vendredi (12/1) par @thirdweb d’une faille de sécurité dans une bibliothèque open-source commune, qui a un impact sur certains de leurs contrats pré-construits déployés sur Base. Base elle-même n’est pas affectée par ce problème – tous les fonds sur la Base sont en sécurité. »

A annoncé Base sur X.

Suivi d’OpenSea, qui a annoncé qu’elle assistait dans la migration les projets impactés.

Espérons que Thirdweb aura autant de chance qu’Aave, et que la faille ne sera pas exploitée. En effet, le protocole Aave a récemment découvert une faille. Celle-ci a pu être corrigée avant qu’elle ne soit exploitée par un hacker.

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Bitcoin, un pari gagnant de 2 milliards de dollars pour Michael Saylor

Bitcoinstrategy. Décidément, le récent passage du Bitcoin au-dessus des 42 000$ aura marqué les esprits – et les stratégies – en cette fin d’année. Une hausse à l’origine de nombreux rendements positifs, comme par exemple pour le Salvador heureux de pouvoir faire mentir ses nombreux détracteurs. Mais la palme du placement BTC rentable revient sans aucun doute à la société MicroStrategy et son portefeuille garnis de 174 530 BTC. En effet, elle affiche désormais un bénéfice supérieur à 2 milliards de dollars.

Bitcoin : Michael Saylor aurait-il vu juste ?

La société MicroStrategy est désormais connue pour la soif de Bitcoin de son ex-PDG fondateur Michael Saylor. Une crise de maximalisme aiguë à l’origine de l’accumulation d’un trésor de 174 530 BTC au recensement de décembre dernier. Le tout programmé et financé depuis l’initiation de cette course un peu folle en août 2020.

Bien évidemment, le marché baissier aura fait douter les nombreux observateurs de cette nouvelle stratégie de gestion de la trésorerie d’une entreprise cotée en bourse. Cela alors que dans le même temps, Michael Saylor regardait déjà du côte de la « fête » promise par le prochain halving du Bitcoin.

MicroStrategy détient désormais 174 430 BTC

Et les derniers mouvements du marché du Bitcoin semblent lui donner raison. Car le butin en BTC de MicroStrategy est désormais estimé à 7,3 milliards de dollars environ. Et les gains non réalisés que l’entreprise cumule se chiffrent en milliards de dollars.

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MicroStrategy affiche un gain supérieur à 2 milliards de dollars

Pour comprendre l’importance des gains réalisés par MicroStrategy, il faut se tourner vers son dernier bilan au sujet de ses avoirs en Bitcoin. Car à la fin du mois de novembre dernier, l’entreprise a acheté une dernière fournée de 16 130 BTC supplémentaires. Et à cette époque, le prix moyen de son portefeuille pointait à 30 252 $ par unité.

De ce fait, lorsque le Bitcoin a dépassé les 42 000 $ hier, chaque BTC valait presque 12 000 $ de plus que son prix d’achat moyen. Une différence qui, une fois multipliée par le nombre de BTC détenus, amène à un bénéfice supérieur à 2 milliards de dollars.

L’opération de trésorerie en BTC menée par Michael Saylor semble donc porter ses fruits en cette fin d’année haussière pour le Bitcoin. Une véritable « révolution de la finance d’entreprise », menée de front par ce maximaliste convaincu. Et pour le moment un succès impossible à ignorer…

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