Prédiction de prix pour Memeinator et Sushi : faut-il acheter MMTR ou SUSHI ?

Le prix de Sushis est proche du niveau de support clé de 0,50 $, tandis que Memeinator devrait passer à 0,0118 $.
Mais quelle est la prévision de prix pour SUSHI et MMTR ?
Qu’est-ce qui distingue Memeinator des autres pièces de mème ?

Sushi est l’un des principaux protocoles de DeFi, dont le jeton de gouvernance SUSHI a atteint un sommet de 23,38 $ en mai 2021. Memeinator, quant à lui, est une nouvelle crypto-monnaie de mème qui a récemment lancé sa prévente. L’approche du projet visant à perturber le monde des mèmes attire des passionnés, avec plus de 680 000 $ collectés quelques jours seulement après sa mise en ligne.

Mais quelles sont les perspectives pour ces deux projets ? Voyons cela en détail ensemble.

Qu’est-ce que Memeinator ?

Memeinator est le « Terminator » du monde des crypto-mèmes. Il s’accompagne d’une mission – issue de l’avenir de la memesphère, visant à apporter de l’ordre et de la clarté sur le marché en supprimant les jetons de mème faibles. Pour réaliser cette mission, le Memeinator a exploité l’intelligence artificielle pour créer un Memescanner qui identifiera et mettra en évidence les mèmes sans valeur pour les juger. Son objectif de capitalisation boursière d’un milliard de dollars signifie que beaucoup d’entre elles chuteront.

Cela devrait commencer après la phase finale de prévente, avec la feuille de route incluant le lancement du jeu Meme Warfare. Développer l’utilitaire de cette manière ajoute à la proposition de valeur unique de Memeinator qui a enthousiasmé la communauté crypto et cherche à tuer rapidement d’autres projets via la prévente.

Outre le jeu, d’autres aspects attrayants de Memeinator qui ajoutent à l’utilité de MMTR sont la prise en charge du jalonnement et des NFT. Il est aussi possible de gagner un voyage Virgin Galactic de 250 000 $ dans l’espace, et davantage de prix peuvent être glanés sur la page de prévente et via les canaux de médias sociaux du projet.

Qu’est-ce que Sushi ?

SushiSwap est un protocole de DeFi piloté par la communauté qui offre des opportunités telles que l’agriculture de rendement, le jalonnement et la fourniture de liquidités. Il s’agit d’un teneur de marché automatisé (AMM) alimenté par des contrats intelligents.

Le projet a été annoncé en septembre 2020, le jeton de gouvernance natif SUSHI donnant à ses détenteurs le droit de voter sur les initiatives écosystémiques. Les détenteurs gagnent également des revenus grâce aux frais perçus.

Prévision de prix concernant Sushi

SUSHI s’est négocié à un plus bas de 0,47 $ en 2020 avant de monter en flèche lors du dernier marché haussier pour dépasser les 23 $ en mai 2021. Cependant, il a légèrement baissé au cours de l’hiver crypto et a perdu 97 % de cette valeur compte tenu du prix actuel. Le sentiment négatif demeure, mais si les haussiers maintiennent la zone de support à long terme de 0,50 $, un rebond à 1 $ pourrait signaler un nouvel élan.

Avec plusieurs produits innovants, SushiSwap est devenue l’une des plateformes de DeFi clés du marché. Dans le cadre des derniers plans de développement, l’équipe de Sushi a organisé une AMA sur X. L’événement est prévu le 16 octobre à 22 h UTC et mettra en vedette Origin DeFi, Boba Network, PopcornDAO et d’autres dans une discussion centrée sur la poursuite de la construction, alors que le marché baissier se prolonge.

Prévision de prix pour Memeinator

Memeinator aura 29 étapes de prévente, période qui verra le prix du MMTR monter à 0,049 $. Actuellement, la vente symbolique affiche un prix de 0,0112 $, la prévente étant à sa troisième étape. Plus de 687 000 $ ont été collectés jusqu’à présent et, comme le prix devrait grimper à 0,0118 $ à l’étape suivante, les chasseurs de joyaux pourraient encore obtenir cela dans ce qui semble être une excellente affaire. Si le jeton est lancé comme prévu lors du prochain marché haussier, il pourrait viser 1 $ en 2024.

Pourquoi Memeinator ?

Bien que Sushi reste l’un des altcoins à surveiller sur le marché, le potentiel de gains bien plus importants, en se basant sur les résultats de sa prévente, suggère que Memeinator pourrait être un achat remarquable entre ces deux-là.

Le projet Memeinator progresse rapidement dans sa phase de développement initiale, avec une communauté forte appelée à se développer avec le lancement du jeton MMTR sur le marché au cours de la deuxième phase du projet. Cela inclura également des partenariats, des jalonnements et le lancement de NFT, les jetons de mème les plus faibles étant annihilés alors que MMTR vise une capitalisation boursière d’un milliard de dollars. La feuille de route répertorie cela comme la troisième phase du projet.

Apprenez-en davantage ici.

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Interview de Karen Jouve, co-fondatrice et CEO de Doors Consulting Group

Yves Saint-Laurent Beauté, La Française des Jeux, L’Equipe, Renault, Alpine F1… En moins de deux ans, le cabinet de conseil de Karen Jouve, Doors3 devenu Doors Consulting Group, est devenu un acteur incontournable pour les marques et grands groupes qui veulent développer une stratégie dans le web3. Entretien.

Pouvez-vous nous présenter votre groupe ?

Il se divise en plusieurs structures : Doors3, qui est un cabinet de conseil indépendant dédié au web3 et au métavers, a eu un développement assez fort depuis un an et demi, ce qui nous a amené à créer plusieurs marques, puis un groupe, Doors Consulting Group. Doors3 travaille avec des leaders de leur secteur : La Française des Jeux, Yves Saint-Laurent Beauté, Renault, Axa

Nous avons aussi Doors Sport, qui est une agence web3 dédiée au sport et à l’e-sport. Nous travaillons avec Alpine F1, la Fédération française de football (FFF), le Rugby Club toulonnais, la Ligue de rugby, ou encore Team Vitality dans l’e-sport.

Nous avons également créé Doors Lab, qui est notre lab tech. On s’est vite rendu compte que c’était important d’aider nos clients à dessiner des infrastructures et des architectures blockchain avant pour eux de passer à l’échelle. Nous faisons de l’audit et de la due diligence pour nos clients afin de leur recommander les meilleurs acteurs du marché. Enfin, nous avons Dive, notre studio créatif et de métavers et gaming, qui nous permet de travailler avec des acteurs comme Metav.rs ou The Sandbox.

Comment avez-vous évolué depuis votre création ?

C’est une belle success-story, puisque nous nous sommes créés il y a un peu moins de deux ans. Nous sommes passés de 2 à 15 collaborateurs sans lever de fonds. Nous avons 40 clients qui sont des grands groupes leaders de leur secteur, et on se développe assez fortement à l’international. Nous serons présents à Dubai la semaine prochaine. Notre ambition c’est d’être le leader des accompagnements des grands groupes et des organisations pour leurs projets web3 et métavers.

Moi j’ai un profil atypique, car je ne viens pas du monde de la tech. En début de carrière j’ai intégré un grand cabinet de conseil, spécialisée dans la transformation digitale, puis je me suis lancée dans la blockchain en 2017-2018. On a fait le choix de s’installer à Marseille, à la fois parce que c’est d’où nous venons et que nous adorons la ville, et ensuite parce que quitte à travailler dans le web3 décentralisé, on s’est dit que ce serait bien de rompre avec les cabinets basés à Paris.

Qu’est qui explique cette forte croissance ?

A notre création, beaucoup nous ont pris pour des fous. Quand on a créé Doors3, nous avions déjà des sollicitations de clients, l’expertise du web3 et du conseil, cela donc été assez rapide de mettre le pied à l’étrier et de proposer des missions. Ensuite, nous avions compris le besoin d’apporter une vision, du contenu, à de grands dirigeants qui n’y comprennaient pas grand chose au web3.

Le web3 a un côté dégen avec ses acronymes. Nous avons fait le pari de leur expliquer les cas d’usages, quel est l’intérêt pour eux. En étant présent à beaucoup d’évènements, et en faisant beaucoup de formations et d’acculturation, nous avons réussi. Nous sommes aussi trois associés, trois passionnés, qui avons des convictions et qui aimons les véhiculer. Sans doute que nous avons réussi à convaincre les entreprises de prendre le risque d’innover. Le bouche-à-oreille nous a aussi apporté beaucoup de clients.

Même si le marché est bas, pour les corporate c’est le bon moment pour mener ce type de projets web3, qui sont sur du long terme. Ils sont plus à l’aise d’entrer maintenant plutôt qu’en bull market, où il fallait faire des coups one-shot.

Comment le monde corporate perçoit-il le web3 aujourd’hui ?

Les choses ont beaucoup changé depuis deux ans. Je distinguerais trois catégories de corporate aujourd’hui. La première, ce sont ceux qui considèrent que le web3 est l’avenir de leur modèle économique, et qui investissent du temps, de l’argent, des équipes, une vision claire, c’est environ 30%. Ensuite, il y a ceux qui s’y intéressent mais ne sont pas encore complètement convaincus du ROI final, des KPI que cela va leur apporter. C’est environ 40%

Et puis il y a encore 20% qui virevoltent avec les buzz, et qui considèrent que le web3 n’existent plus parce que maintenant c’est l’IA. Ils n’ont pas encore perçu la valeur ajoutée derrière. On est passé d’une phase d’euphorie et de coups marketing, à une recherche de sens et de valeur ajoutée, donc une phase d’éducation et de construction.

Vous diriez que ce sont les grandes entreprises qui sauvent le web3 actuellement ?

Je ne dis pas que c’est grâce aux corporate que le web3 existe, mais la majorité des projets qui sortent en ce moment viennent des corporate en effet. Ils n’ont pas un attachement au marché crypto en tant que tel. Si on regarde les cas d’usages les plus tendances aujourd’hui, autour des programmes d’engagement, du web3 for good ou de la tokénisation d’actifs, ils ne vont pas chercher le côté spéculatif. Que le marché soit bas ou haut, ils ont tout intérêt à y aller pour d’autres enjeux.

Quelles sont les industries qui n’ont pas encore fait le saut dans le grand bain du web3 ?

Le luxe, le retail, le sport, le divertissement, l’automobile sont à la pointe. Ceux en revanche pour lesquels il n’y a pas encore beaucoup de cas d’usage, c’est le secteur public, alors qu’il y a beaucoup d’opportunités. Mais aussi les transports (on commence à voir les compagnies aériennes), l’énergie, l’hospitalité (hôtellerie et restauration). Et la santé, domaine dans lequel il y a eu beaucoup d’espoir autour de la traçabilité ou le métavers. Mais on ne voit pas encore de cas d’usage qui ont changé la donne.

Si vous deviez citer quelques projets web3 réussis selon vous, quels seraient-ils ?

Dans les cas d’usages pertinents, même s’ils ne font pas partie de nos clients, on peut citer Dior qui a mêlé des NFT à des objets physiques, sur une logique de Digital Product Passport (DPP) autour de ses sneakers, avec l’idée de faire du web3 sans le dire. A aucun moment ils n’ont employé le mot NFT ou web3. C’est la tendance de plus en plus. Il y a aussi Lacoste, autre un best-case, qui a démarré sur une logique très communautaire, et qui continue sur une logique de fidélisation.

De notre côté, nous accompagnons une très grande marque de luxe fashion, dont le nom sera révélé début décembre sur un gros programme d’engagement, de fidélisation et de collaborations web3. Et puis je citerais le Rugby Club toulonnais que nous avons accompagné, et qui construit la notion de fan expérience de demain, avec des tickets collectors sous forme de NFT pour récompenser les supporters les plus fidèles au stade, ou en créant le premier métavers du sport français. Enfin, je citerais l’Université Paris Dauphine, que nous avons aidée à adosser un de leur diplôme à un certificat blockchain sous forme de NFT.

Vous avez accompagné le Ballon d’Or l’année dernière en créant un double numérique sous forme de NFT. Est-ce que cela sera reconduit cette année ?

C’est réussi mais pas renouvelé. L’Equipe ayant d’autres sujets plus long terme, ils ont décidé de ne pas refaire de drop NFT cette année pour la cérémonie du 30 octobre. En tout cas ils ont une communauté active et des projets plus longs termes sont envisagés.

Quelles sont vos projets phares pour les mois à venir ?

On va révéler un gros projet dans le domaine du web3 for good, un thème qui nous tient à coeur. Début 2024, on va sortir le premier jeu play-to-earn de la Française des Jeux, basé sur la blockchain et les NFT, qui s’appellera “Ultimate Numbers”, et que nous sommes en train de construire avec Cometh, le studio de jeux vidéos. On sort aussi un projet autour de l’engagement des collaborateurs, à l’occasion des Jeux olympiques, en partenariat avec Cohort, début 2024. Et puis en interne, on va sortir notre propre token pour montrer à nos clients ce qu’on est capable de faire en matière d’engagement de nos collaborateurs.

Vous allez poursuivre les recrutements ?

Oui. Notre enjeu c’est de continuer d’asseoir notre positionnement de leader, et pas seulement qu’en France, mais à l’international. D’où nos projets de développement sur la zone du Moyen-Orient, aux Etats-Unis, mais aussi l’Asie. Nous avons l’ambition de doubler voire tripler notre chiffre d’affaires, sachant que nous sommes très fiers de nous être auto-financés et d’avoir généré toute cette croissance sans faire de levée de fonds. L’an prochain, nous serons au moins une vingtaine, et nous recherchons des profils expérimentés pour nous permettre d’atteindre nos objectifs.

C’est quelque chose que vous excluez totalement ?

Sur notre activité coeur de conseil, nous nous payons par nos missions. La seule partie sur laquelle nous pourrions éventuellement lever des fonds, c’est sur la partie tech, même si ce n’est pas dans notre roadmap à ce jour.

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Le G20 adopte le document du FMI et du CSF sur les cryptomonnaies : Voici ce que vous devez savoir

Les membres du G20 ont adopté à l’unanimité la feuille de route réglementaire en matière de crypto du Fonds monétaire international (FMI) et du Conseil de stabilité financière (CSF). En septembre, les deux organismes avaient publié un rapport conjoint intitulé  « Document de synthèse FMI-FSB : politiques relatives aux crypto-actifs » dans lequel était présenté cette feuille de route. En octobre, le FMI a publié un autre document de travail intitulé « Évaluation des risques macro-financiers liés aux actifs cryptos » qui décrit une matrice d’évaluation des risques.

Le G20 se prépare à réglementer l’industrie crypto au niveau international 

Le FMI et le FSB avaient élaboré ce document à la demande du gouvernement indien qui préside actuellement le G20. Les pays-membres ont accepté la feuille de route réglementaire proposée dans le document du FMI et du FSB. Dans le communiqué correspondant, on peut notamment lire : 

« Nous encourageons une mise en œuvre rapide et coordonnée de la feuille de route du G20, y compris la mise en œuvre de cadres politiques ; la sensibilisation au-delà des juridictions du G20 ; la coordination, la coopération et le partage d’informations à l’échelle mondiale (…) »

Dans le cadre de la mise en oeuvre de cette feuille de route, le FMI et le FSB engageront des travaux dans les domaines suivants : la coopération transfrontalière et le partage d’informations entre les régulateurs, la définition de cadres complets de gouvernance et de gestion des risques pour les sociétés cryptos et une garantie d’accès aux données pertinentes fournies par les entreprises aux autorités. Le G20 a par ailleurs demandé au FMI et au FSB de fournir des mises à jour régulières et structurées sur les progrès de l’application de la feuille de route.

The G20 has taken a major step towards regulating cryptocurrencies with the adoption of the IMF-FSB Synthesis Paper. This is a game-changer for the crypto world! #G20 #CryptoRegulation #NFTs #NFT #INDvsPAK pic.twitter.com/i6yHadjO6r

— Mr. Crypto Giants (@CryptoGiants_) October 13, 2023

Les recommandations générales du FMI et du FSB

Selon le FMI et le FSB, la plupart des avantages que devraient apporter les crypto-actifs ne se sont pas encore matérialisés. Il s’agit notamment des progrès en termes d’inclusion financière et de réduction des coûts pour les paiements transfrontaliers souvent avancés par les partisans de la crypto. Le FMI et le FSB ne préconisent pas une interdiction généralisée de l’industrie crypto mais des mécanismes de surveillance exhaustifs. Ils estiment qu’en raison des risques posés en matière de stabilité financière et de souveraineté monétaire, les crypto-actifs ne devraient pas avoir le statut de monnaie légale. 

Le document recommande également l’application des normes définies par le Groupe d’Action Financière (GAFI) pour mitiger les risques liés au financement du terrorisme et au blanchiment d’argent. Il faut noter que la feuille de route n’établit pas de nouvelles politiques ou recommandations pour les pays membres. Il décrit en revanche de quelle manière les cadres politiques et réglementaires développés par le FMI et le FSB s’articulent et interagissent les uns avec les autres. La décision des régulateurs de s’attaquer au secteur crypto de manière globale est en tout cas une reconnaissance de l’impact des crypto-actifs au moins à trois niveaux : leur caractère global, l’importance des flux de capitaux de cet écosystème (d’où une volonté de contrôle et de surveillance) et le fait qu’il sera difficile de faire disparaître les cryptomonnaies.

Sources : Financial Stability Board, G20

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Les délires mégalomanes de SBF mis au grand jour – Retour sur l’actu crypto

Nous voici réunis pour un nouveau JT du Coin. Cette semaine, focus sur les premiers jours de procès de Sam Bankman-Fried et le témoignage de Gary Wang, ancien bras droit de SBF.

Nous n’en oublierons pas pour autant l’actu crypto de la semaine, rassurez-vous. De l’euro numérique de gros, à la consultation publique de l’ESMA concernant le règlement MiCA ou encore BitVM, la technologie qui permet de publier des preuves de calcul en dehors de la blockchain Bitcoin, la semaine passée n’aura plus de secrets pour vous.

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Mastercard teste avec succès, l’intégration des CBDC pour l’achat de NFT

Le géant des paiements numériques Mastercard est particulièrement investi dans l’utilisation des cryptos et des monnaies numériques des banques centrales (CBDC). Ces derniers mois, l’entreprise américaine a dévoilé plusieurs projets allant dans ce sens. L’un d’entre eux a franchi une nouvelle étape opérationnelle.

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Deloitte Luxembourg devient validateur sur la blockchain Tezos (XTZ)

Un nouveau Corporate Baker pour Tezos. Le secteur de la blockchain rencontre une adoption toujours plus importante, portée par des fonctionnalités innovantes. En effet, les cas d’usage que cette technologie numérique permet de développer commencent à sortir du simple cadre de l’écosystème des cryptomonnaies. Il suffit de voir l’engouement actuel déclenché par le principe de tokenisation jusque dans les hautes sphères de la finance traditionnelle. Une rencontre également opérée sur le plan des validateurs, comme dans le cas de la blockchain Tezos et de Deloitte Luxembourg.

Tezos intègre Deloitte Luxembourg à ses Bakers

Le projet Tezos (XTZ) s’inscrit dans une dynamique différente d’autres blockchains plus classiques. En effet, son modèle de fonctionnement permet d’opérer une évolution plus fluide sans avoir besoin de passer par des opérations douloureuses de type hard fork.

Le secret ? Un système Delegate Proof of Stake (DPoS) dont le principe de gouvernance est intégré au protocole et géré par les « Bakers ».

Les Bakers de Tezos doivent disposer de 6 000 jetons XTZ

Une position occupée par la plateforme Coinbase depuis 2019. Cette dernière à la tête de 15 % des parts de ce marché au dernier recensement opéré par Messari en août dernier. Mais, c’est aussi le cas pour Google Cloud depuis le début de l’année.

Et, depuis l’annonce rendue officielle hier, la filiale luxembourgeoise du géant de l’audit Deloitte intègre à son tour cette aventure numérique. Un « opportunité formidable » selon Louis Chevalier de la structure Nomadic Labs en charge du développement de Tezos :

« Nous sommes fiers de compter Deloitte Luxembourg parmi nos Corporate Bakers. C’est une opportunité formidable pour l’écosystème que de bénéficier de l’expertise d’un des leaders mondiaux dans son domaine qui a toujours intégré la technologie blockchain à son expérience et à son ADN. »

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Renforcer la gouvernance on-chain de Tezos

Cette incursion de la société Deloitte dans le secteur de la blockchain n’a toutefois rien d’une première. En effet, elle dispose depuis quelques années d’un centre de compétences interne dédié à la blockchain baptisé « Blockchain Institute ».

Et sa division blockchain créée en 2015 « soutient plus de 450 entreprises dans la création de solutions Web 3 sur-mesure et innovantes ». La rencontre avec Tezos était donc presque naturelle.

« En devenant Corporate Baker, Deloitte Luxembourg choisit de renforcer la gouvernance on-chain de Tezos et soutient l’évolution du protocole. À travers son droit de vote proportionnel aux jetons XTZ qui lui sont délégués, Deloitte Luxembourg garantira la sécurité et vérifiabilité du réseau Tezos. »

Le projet Tezos, qui fête cette année ses cinq ans, continue son développement en partenariat avec de grands noms de l’économie traditionnelle comme la filiale Exaion d’EDF. Et sa dernière mise à niveau Nairobi, opérée en juin, lui permet d’afficher un nombre de transactions par seconde (TPS) désormais au-delà du million.

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Mastercard réussit son test : Il est possible d’acheter des NFT avec des CBDC

Mastercard a annoncé jeudi soir avoir récemment testé avec succès un système qui permet d’acheter des jetons non fongibles (NFT) en utilisant les monnaies numériques des banques centrales (CBDC), illustrant une fois de plus la convergence croissante entre la finance traditionnelle et le monde naissant des actifs numériques. Le deuxième processeur de paiement au monde…

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Ce trader malheureux mise 100 000 $ sur un stablecoin et perd tout

Un fail d’anthologie – Que ce soit par inadvertance ou par précipitation, de nombreux utilisateurs commettent des erreurs irréversibles. Par exemple, un utilisateur a récemment dépensé 1,65 million de dollars pour un NFT d’une valeur de 1650 $. Une erreur de quelques zéros pour le moins douloureuse.

De 100 000 $ à 0 $ : le trader ultime

Pourquoi acheter bas pour revendre haut, lorsqu’on peut acheter haut pour revendre bas ? Il semblerait que ce soit la réflexion de cet utilisateur, qui mérite la palme du pire trader de 2023.

Remettons un peu de contexte. Mercredi 11 octobre, le stablecoin USDR fait face à une importante vague de rédemption. Celle-ci a pour effet de tarir les réserves en DAI permettant de collatéraliser le stablecoin. Par conséquent, celui-ci se retrouve backé par des actifs très peu liquides, entraînant une crise de liquidité sur le protocole.

Évidemment, cela a eu d’importantes conséquences sur le cours du stablecoin, qui a chuté de moitié jusqu’à atteindre les 0,5 $.

Suite à cette chute, de nombreux utilisateurs se sont rués sur les plateformes d’échange décentralisées, engendrant une importante fuite des liquidités. 

Cependant, tous n’ont pas eu la chance de réussir à convertir leurs jetons. Ainsi, comme révélé par l’internaute Rekt Fencer, un utilisateur a échangé 131 000 wUSDR contre… 0 USDC tout rond.

En effet, l’utilisateur semble avoir échangé ses USDR dans la panique, en utilisant la plateforme d’échange OpenOcean. Toutefois, il n’avait pas remarqué en amont l’absence de liquidité sur la plateforme. Effectivement, la pool USDR/USDC ne disposait d’aucun USDC.

Une perte colossale qu’il n’est probablement pas près d’oublier.

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Le malheur des uns fait le bonheur des autres

Alors que l’utilisateur devait se mordre les doigts d’avoir réalisé le pire trade de sa vie, un bot a quant à lui touché le jackpot.

En effet, Lookonchain a découvert qu’un bot de MEV avait détecté la transaction et avait réussi à effectuer un bel arbitrage, empochant pas moins de 107 000$ de profit dans l’affaire.

Pour cela, il a racheté les 131 000 wUSDR qui avaient rejoint les pools d’OpenOcean, pour la modique somme de 0,5 $.

Il a ensuite revendu les  USDR sur une plateforme d’échange disposant de liquidités. Il a alors pu récupérer 107 000 USDC.

Le tout, en payant la modique somme de 0,41  $ de frais, une affaire rondement menée.

Toutefois, apparemment, ce type d’erreur n’est pas réservé aux particuliers. En effet, le procès de Sam Bankman-Fried a révélé que 8 milliards de dollars avaient été transférés par inadvertance. Rien que cela.

Pas le temps pour ces histoires, vous préférez la coupe du monde de rugby ? Pour la 3ᵉ mi-temps, découvrez le rugby fantasy et les cartes NFT d’OVAL3. Composez votre équipe et mesurez-vous aux joueurs du monde entier pour des récompenses bien réelles. Prêts à chausser les crampons du Web3 ?

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Quand des stars de NBA et leur famille débarquent sur un jeu NFT

La fusion entre le monde du sport et celui de la technologie blockchain prend une tournure de plus en plus concrète. Récemment, deux étoiles montantes de la NBA, LaMelo et Lonzo Ball, ainsi que leur père, ont fait l’actualité en s’associant au jeu NFT “StrayShot”.

Ce shooter battle royale, basé sur la blockchain SKALE, s’apprête à offrir une expérience de jeu révolutionnaire tout en incorporant la technologie des Non-Fungible Tokens (NFT). Décryptons cette tendance dans laquelle les célébrités du sport embrassent l’univers des cryptomonnaies et des jeux vidéos.

Les frères Ball et le monde des NFT

StrayShot : un jeu NFT moderne aux multiples collaborations

Le jeu de tir battle royale à venir, StrayShot, suscite déjà beaucoup d’attention avant même son lancement officiel. iBloxx Studios, le développeur du jeu, a dernièrement annoncé un partenariat avec les célèbres joueurs de NBA, LaMelo et Lonzo Ball. Mais ce n’est pas tout : la marque de lifestyle de la famille, Big Baller Brand (BBB), sera également intégrée au jeu. En effet, les deux frères, ainsi que d’autres membres notables de leur famille, deviendront des personnages jouables sous forme de NFT.

Si le jeu est actuellement en phase de bêta publique, les détails sur les personnages NFT jouables de LaMelo et Lonzo Ball seront dévoilés une fois le jeu lancé. Initialement appelé 0xBattleGround, StrayShot pourrait être pleinement disponible dès décembre de cette année, bien que février 2024 semble être une date de lancement plus probable, selon les mots de Domenik Maier, PDG d’iBloxx.

Les personnages NFT des frères Ball seront vêtus de tenues de style militaire et d’articles de la marque BBB. De plus, le studio envisage de lancer des NFT Ball sous licence en dehors du jeu. LaVar Ball, père des joueurs et fondateur de BBB, sera également un personnage du jeu, tout comme son épouse Tina Ball et leur plus jeune fils LiAngelo Ball, ce jour joueur de la NBA G League.

Gameplay et intégration blockchain

StrayShot offre une expérience de jeu immersive où les joueurs peuvent endosser le rôle de chasseurs de primes, prêts à se confronter dans des tournois au style éliminatoire. Mais ce qui distingue réellement StrayShot, c’est son gameplay palpitant, combinant action rapide, personnalisation approfondie et divers modes de jeu.

Les joueurs peuvent s’engager dans des modes variés tels que “Hostage Rescue” (Sauvetage d’otages), “Extraction Shooter” (Tir d’extraction) et “Team Deathmatch” (Match à mort en équipe), tout en bénéficiant de l’intégration de la technologie blockchain. Le jeu proposera de plus un token ERC-20 que les joueurs pourront remporter lors de tournois.

Mécaniques NFT et blockchain du jeu

Gagner : En remportant des combats, les joueurs peuvent gagner des récompenses, sous forme de NFT, qui attestent de leurs compétences.
Posséder : Les récompenses, telles que des objets en jeu ou des skins, sont des NFT uniques que les joueurs peuvent montrer comme preuves de leurs exploits.
Vendre : L’univers de StrayShot permet aux joueurs de vendre, d’échanger ou d’utiliser leurs NFT pour améliorer leur équipement, mettant en avant la flexibilité et la puissance de la blockchain dans le monde du jeu.

La famille Ball et la marque BBB

La marque BBB de la famille Ball n’est pas étrangère à la controverse. En 2018, elle a reçu une note “F” de la part de l’organisation à but non lucratif Better Business Bureau. Depuis, la marque a amélioré sa note pour atteindre un score de “C+”, bien que des motifs de plaintes soient toujours listés sur leur site. En 2020, la marque a été relancée et LaVar Ball a prétendu que Big Baller Brand valait “un milliard”.

Source : strayshot.game

Conclusion

StrayShot n’est pas seulement un autre jeu vidéo ; c’est une fusion entre le monde du jeu compétitif et l’univers en plein essor des cryptomonnaies et de la blockchain. Les joueurs ne sont pas uniquement récompensés par le plaisir du jeu, mais aussi par des actifs numériques tangibles qui ont une valeur dans le monde réel.

Sources : Strayshot, Decrypt

Voir aussi :

Le jeu de football NFT LaLiga s’associe à GameOn et débarque en Amérique du Nord
Le jeu Solana NFT débarque sur l’Epic Games Store
Les cartes à collectionner Top Shot NFT de la NBA bientôt régulées aux États-Unis ?

Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.

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Avalanche (AVAX), Kava (KAVA) et InQubeta (QUBE) gagnent la confiance des investisseurs

Ne cherchez pas plus loin qu’InQubeta ($QUBE), Avalanche ($AVAX) et Kava ($KAVA) si vous vous demandez quelle crypto-monnaie acheter aujourd’hui pour des rendements à long terme. InQubeta a émergé comme l’un des meilleurs projets DeFi du moment en démocratisant les investissements dans l’intelligence artificielle (IA). Le projet permet en effet aux investisseurs d’acquérir une part de propriété des startups de l’IA via sa blockchain.

Le prix de l’$AVAX a augmenté de 8 % depuis que l’application décentralisée de médias sociaux, Stars Arena, a stimulé le volume des échanges avec une hausse de plus de 3,2 millions de dollars la semaine dernière. La plateforme permet notamment aux utilisateurs de lier leurs portefeuilles $AVAX et d’acheter des actifs à d’autres utilisateurs au sein de l’écosystème. Cependant, l’élan s’est quelque peu ralenti au cours du week-end. En effet, des pirates informatiques ont volé la quasi-totalité des fonds de Stars Arena. Au total, ce sont près de 3 millions de dollars en actifs qui ont été dérobés. Après coup, il restait moins d’un dollar sur la plateforme.

Pendant ce temps, les investisseurs de $KAVA espèrent que le pire est passé après que les prix aient chuté de 12 % au cours du mois dernier et qu’un nouveau niveau de support semble avoir été trouvé à 0,58 $.

Le projet DeFi InQubeta ($QUBE) récolte plus de 3,5 millions de dollars

Le succès d’InQubeta n’est pas étonnant pour ceux qui ont suivi l’évolution du secteur de l’IA sur ces dernières années. En 2015, les investissements dans cette technologie étaient de 12 milliards de dollars. Ils sont évalués actuellement à plus de 120 milliards. De plus, on prévoit que ces investissements atteindront 1 500 milliards d’ici 2030, ce qui est une bonne nouvelle pour les pour les entreprises axées sur l’IA.

L’IA occupe aujourd’hui une place centrale dans nos vies : elle alimente les moteurs de recherche que nous utilisons et sécurise nos smartphones grâce à des fonctions de reconnaissance vocale. Cette technologie devrait avoir un rôle encore plus important dans les prochaines années, à mesure que les industries du monde entier seront transformées.

L’automatisation risque de supprimer des emplois. Néanmoins, elle offre des opportunités d’investissements potentiellement lucratives. D’ailleurs, un investissement dans l’IA se pose comme un bon moyen de se prémunir contre les bouleversements technologiques à venir.

Comment ça marche ?

Les startups de l’IA du secteur de l’IA peuvent générer les fonds dont elles ont besoins sur la plateforme InQubeta. Comment ? En créant des jetons non fongibles (NFT) ou des pièces ERC20. Ces jetons seront ensuite évalués par l’équipe d’InQubeta avant d’être listés sur la marketplace NFT.

Les investisseurs peuvent ensuite parcourir la liste des jetons ERC20 disponibles et procéder à leurs achats en utilisant des $QUBE. Notons que ces derniers peuvent être achetés avec des crypto-monnaies ou des monnaies fiduciaires.

Une fois les transactions finalisées, les NFT appartiennent aux investisseurs. Comme les actions, la valeur de ces jetons peut augmenter si les entreprises concernées gagnent en notoriété et en parts de marché. Notons que les détenteurs peuvent consulter la valeur de leurs jetons sur leur compte InQubeta. Ils peuvent ensuite les échanger à leur guise.

Stars Arena stimule le volume des transactions sur le réseau Avalanche ($AVAX)

Stars Arena a crée la polémique en provoquant un pic du volume des transactions sur le réseau Avalanche. Cependant, cette semaine exceptionnelle a été assombrie par une attaque de pirates informatiques qui ont dérobé l’ensemble des actifs verrouillés sous leur contrôle.

Sur le compte officiel de Stars Arena sur Twitter tôt samedi, on pouvait lire :

“Nous avons subi une faille de sécurité majeure dans notre contrat intelligent. Nous sommes actuellement en train d’analyser ce problème”

L’équipe ajoute:

“Nous vous prions de ne déposer aucun fonds et de rester à l’écoute pour des mises à jour.”

Heureusement, Stars Arena a réussi à mobiliser suffisamment de ressources pour compenser la perte de 3 millions de dollars. Ils envisagent par ailleurs de remettre en ligne leur contrat intelligent. Ce, une fois qu’un audit de sécurité approfondi aura été effectué.

Les ennuis de Kava ($KAVA) sont peut-être loin d’être finis

Certains analystes en crypto-monnaies estiment que $KAVA a trouvé un point de soutien à 0,58 $. Cependant, des indicateurs techniques tels que son indice de force relative se situant à 35 et sa moyenne mobile simple à 0,617 semblent indiquer le contraire. Le prix du $KAVA pourra potentiellement doubler lorsqu’elle essaiera de retrouver ses sommets antérieurs. Cependant, il est peu probable qu’elle égale InQubeta sur la même période. Ceci est dû au fait que sa phase de prévente offre aux investisseurs des rendements trois fois plus élevés.

Conclusion

$QUBE, $AVAX, et $KAVA figurent parmi les trois meilleures crypto-monnaies à surveiller pour réaliser des profits dans les mois à venir. Grâce à son approche innovante concernant les investissements dans l’IA, $QUBE se positionne devant $KAVA et $AVAX. Ils savent également que les investissements dans l’IA devraient dépasser les 1,5 milliard de dollars. Aussi, il n’y a plus lieu d’hésiter.

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Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.

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