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KuCoin Community Chain. L’exchange KuCoin fait partie des plus grandes bourses crypto de la planète. Presque 900 tokens proposés au négoce dans plus de 200 pays. Quasiment 30 millions de clients pour un volume quotidien qui avoisine les 343 millions de dollars. Et nous sommes en Bear Market … Aujourd’hui, le Journal du Coin est fier d’embarquer dans l’aventure blockchain de cette bourse crypto qui, bien que dans le top 5 des exchanges mondiaux, continue de se développer. Vous cherchez des opportunités ? Suivez le guide.

Le journal du coin vous propose cet article promotionnel en collaboration avec KuCoin. Il contient des liens d’affiliation vous permettant de soutenir le travail quotidien des équipes du Journal Du Coin.

Le staking pour sécuriser les réseaux, et gagner de l’argent

C’est presque devenu un gros mot, mais vos cryptomonnaies peuvent vous générer des revenus “passifs”, et même parfois rapporter gros. En effet, la blockchain est toute entière basée sur le principe du consensus. Différentes technologies permettent de l’atteindre, mais les méthodes “PoS” (Proof of Stake) et “DPOS” (Delegated POS) ont le vent en poupe. Afin de sécuriser le réseau décentralisé, les utilisateurs sont invités à bloquer leurs tokens sur des nœuds validateurs. Une démarche récompensée par un rendement, en quelque sorte pour service rendu.

Staker des KCS sur la node du JdC génère des revenus passifs, sécurise le réseau KCC, et soutien notre travail

La KCC, qui n’est autre que le réseau blockchain opéré par KuCoin, repose sur le principe du DPOS. Une technologie qui permet à la société de proposer un environnement technique fiable à de nombreux projets qui vont pouvoir construire leur projet, et se développer en profitant d’une expertise importante, et d’un écosystème foisonnant. Un petit tour du propriétaire suffira à vous en convaincre.

KuCoin veut devenir l’exchange du peuple

On ne peut présenter la KCC sans parler de KuCoin, la bourse crypto qui met en œuvre ce réseau. Nous ne reviendront pas sur les qualités que nous avons déjà longuement présentées dans nos lignes. En revanche, voici quelques informations qui lui apportent un certain attrait :

Le site KuCoin est très complet, et avant même d’y créer un compte, on peut collecter de très nombreuses informations sur la pléthore des produits qu’ils proposent directement sur la page d’accueil, et se faire une bonne idée de l’offre.

Outre les marchés spot, les tokens, les produits dérivés, on peut y découvrir par exemple le moyen d’investir en early stage sur certains projets qui se développent sur leur KuCoin Community Chain, et les bénéfices engrangés par ceux qui ont déjà su y dénicher leur pépite.

On y retrouve un blog extrêmement complet et mis a jour toutes les semaines consacré à l’écosystème KCC et à son actualité.

On y apprend que le réseau blockchain cherche à donner à terme une part importante de sa gouvernance à la communauté des utilisateurs par sa DAO, synonyme d’engagement et de transparence.

On y découvre aussi qu’une carte de paiement crypto est en préparation. Les détails ne sont pas encore connus, mais il y a fort à parier que le token de l’exchange, le KCS, sera en toute logique impliqué dans son modèle économique.

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La KCC mise sur le JdC comme axe de développement

Vous l’aurez compris, KuCoin mise massivement sur un écosystème en forte expansion. Et c’est dans ce contexte que le Journal du Coin rejoint les rangs de leurs validateurs. En proposant à nos lecteurs de staker leurs token KCS sur notre node qui est la 5e plus importante à l’heure de l’ecriture de ces lignes, nous voulons inciter la communauté JdC à découvrir ces protocoles, et soutenir tous ces projets.

Grâce au JdC, la KCC compte faire découvrir son écosystème au public francophone

Et des projets, il y en a ! Un petit tour sur la page consacrée aux Dapps finira de vous en convaincre. On y trouve tous les secteurs qui font la force de la blockchain : De la DeFi, des NFT, du swap, des wallets, de la sécurité, du jeu, de l’IA, et bien souvent dans le plus pur esprit “non”custodial” cher à nos valeurs de confidentialité et de décentralisation. Il ne tient qu’à vous de parcourir toutes ces applications pour découvrir leur pertinence et leur potentiel. Et pour les soutenir dans leur ensemble, c’est très simple !

Il suffit de venir staker vos KCS sur notre node estampillée “Journal du Coin”. Une démarche qui possède de nombreux avantages. Le premier est bien sûr d’en tirer un revenu passif régulier. D’ailleurs, en matière de rendements, les taux sont régulièrement mis à jour pour suivre la dynamique des marchés. En déléguant, vous allez aussi vous impliquer dans la construction de cette économie décentralisée, et participer à la sécurité et à la stabilité de la KCC. Et accessoirement vous soutiendrez le JdC dans ses œuvres. Alors on compte sur vous !

Abordez l’univers de l’investissement numérique en diversifiant votre stratégie crypto grâce à la KCC et au JdC ! Idéale pour faire vos premiers pas, ou encore pour faire fructifier passivement vos crypto-actifs, la plateforme KuCoin n’attend plus que vous (lien affilié)

L’article La KCC de KuCoin adopte le JdC en tant que validateur réseau est apparu en premier sur Journal du Coin.

Le marché des NFT est quelque peu en berne ces derniers mois. La faute à une conjoncture crypto difficile et un bull run qui ne revient pas. Pour autant, on observe toujours certaines initiatives NFT. Par exemple, récemment on a appris que la plateforme Magic Eden va lancer des NFT… mais pas n’importe lesquels… il…

L’article Qu’est-ce qu’un cNFT sur Solana ? On fait le point est apparu en premier sur Cryptonaute.

Les collectionneurs d’art numérique se sont bousculés pour avoir des cartes à l’effigie de Pokémon sur Polygon.

L’article Les cartes NFT Pokémon s’arrachent comme des petits pains sur Polygon (MATIC) est apparu en premier sur Cointribune.

Les NFT dynamiques ou dNFT représentent la prochaine avancée majeure dans l’écosystème des actifs numériques non-fongibles (NFT), offrant des objets pouvant évoluer et interagir en fonction de divers facteurs. D’un point de vue technique, les solutions de cloud décentralisées permettent d’obtenir une meilleure fiabilité et une qualité de jeu optimale, finies les inquiétudes concernant les temps d’arrêt ou les faux objets. Vous souhaitez utiliser votre superbe épée dans un autre jeu compatible ? Pas de problème ! Les dNFT peuvent passer d’un jeu à l’autre, tout comme vous sautez d’une franchise à une autre.

L’article Comment les NFT Dynamiques (dNFT) transforment-ils l’industrie du jeu vidéo ? est apparu en premier sur Cointribune.

Les données montrent une baisse substantielle de l’engouement autour des NFTs. Pour autant, ces actifs numériques constituent encore des options pour nombre de grandes organisations comme le Paris Saint-Germain (PSG). Au-delà de son envergure dans le milieu du football, le club de la capitale française mise énormément sur son image commerciale.

L’article Crypto : Le Paris Saint-Germain initie des affiches NFT pour 7 matchs est apparu en premier sur Cointribune.

Bubblemaps est un outil innovant qui permet de visualiser les données de la blockchain de manière ludique et intuitive. Grâce à ses bulles colorées, Bubblemaps peut vous aider à analyser très facilement des données majeures concernant des tokens ou des NFT, à identifier les portefeuilles clés, à révéler les liens entre les acteurs du marché, etc… Dans cet article, nous vous présentons la plateforme en détails, afin qu’elle n’ait plus de secret pour vous et que vous puissiez faire vos propres recherches lorsque vous en aurez besoin.

Temps de lecture estimé : 8 minutes

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Présentation générale de Bubblemaps.io

Cocorico ! Bubblemaps fait partie des entreprises françaises à promouvoir les cryptomonnaies et œuvrer pour la finance décentralisée et le Web3 !

L’entreprise a vu le jour en 2022 sous l’impulsion d’une équipe de trentenaires passionnés de cryptomonnaies, dont Léo Pons, Arnaud Droz et Nicolas Vaiman. Enregistrée au registre des commerces à Paris, elle tourne actuellement avec une équipe de 6 employés et cherche à s’agrandir pour améliorer son produit. Si vous êtes motivé et compétent, n’hésitez pas à aller postuler !

L’objectif de la plateforme est simple : remplacer les explorateurs de blockchain traditionnels, peu compréhensibles et difficilement exploitables par le grand public.

En effet, même si de nombreuses blockchains sont en théorie complètement transparentes, il est compliqué d’arriver à comprendre les informations qui y sont stockées et à les relier entre elles sans être un expert.

Bubblemaps change complètement la donne avec son approche visuelle, et permet d’analyser simplement des modèles et des connexions qui peuvent être complexes. Grâce à leur outil, les blockchains deviennent réellement transparentes, et n’importe qui est en mesure de faire les recherches nécessaires pour éviter les nombreuses arnaques et manipulations de marché, qui sont malheureusement encore légion dans le secteur des cryptomonnaies.

À l’heure actuelle, BubbleMaps supporte 7 blockchains : Ethereum, BNB Chain, Fantom, Avalanche, Cronos, Arbitrum et Polygon.

Leur outil est aussi intégré nativement sur diverses plateformes DeFi telles que DEX Screener ou DEXTools.

La plateforme est utilisable gratuitement, mais toutes les fonctionnalités ne sont pas débloquées. Pour obtenir un accès complet (Premium), il faut détenir un minimum de 250 milliards de jetons MOONLIGHT (le jeton du projet) sur un ou plusieurs wallets Web3 interconnectés, soit l’équivalent d’environ 850 dollars US au cours actuel.

En plus de son application, l’équipe propose aussi, sur son compte X, des comptes rendus d’investigations menées par ses soins. Elle a ainsi permis de mettre avant plusieurs arnaques de projets plus ou moins célèbres.

Par ailleurs, elle vient de lever 3 millions de dollars US pour se développer davantage.

Utilisation de Bubblemaps.io

Commencez par vous rendre sur l’application et à vous connecter avec le bouton « Log in » à l’aide d’un portefeuille Web3 ou d’un compte X (vous pouvez aussi consulter de nombreuses données sans avoir besoin de vous identifier).

Sélectionner le jeton ou le NFT recherché

Choisissez ensuite la blockchain sur laquelle vous voulez mener vos recherches (1).

Vous verrez alors apparaitre la liste des jetons et des NFT (clairement identifiés en tant que tel avec la pastille « NFT » (2)) les plus consultés et les plus récemment ajoutés.

L’icône (3) renvoie sur le site officiel du projet, tandis que l’icône (4) ouvre l’explorateur natif de la blockchain concernée à l’adresse du jeton étudié.

Vous pouvez voir la liste de tous les projets suivis (plusieurs centaines) avec le bouton (5) ou recherche directement celui qui vous intéresse dans la barre de recherche (6) à l’aide de son nom, son adresse ou son symbole.

Analyser les données affichées

Une fois que vous avez trouvé un jeton qui vous intéresse, cliquez sur son nom pour voir apparaitre la carte qui y est associée.

Sur la carte, chaque bulle représente un portefeuille. Seuls les 150 plus gros wallets du marché y figurent pour ne pas surcharger le graphique.

La taille des bulles est proportionnelle au nombre de jetons du projet étudié qui y sont détenus.

Les flèches représentent les transferts du jeton étudié ayant eu lieu sur la blockchain entre différentes adresses.

Les bulles liées entre elles apparaissent de la même couleur, afin d’identifier leur connexion en un clin d’œil. Il est possible de les déplacer à votre guise à l’aide d’un clic glissé.

En cliquant sur une bulle (7), vous verrez apparaitre sa position dans la liste des portefeuilles affichée à droite (8) (ou inversement), ainsi que des informations complémentaires sur la gauche (9) avec notamment un lien vers l’adresse du portefeuille sur l’explorateur natif de la blockchain concernée.

Vous pouvez décider de cacher ou non certains wallet avec les icônes en forme d’œil (10), ainsi que ceux qui sont liés à des smart contrats (11) et/ou ceux qui appartiennent à des plateformes d’échanges (12).

Remonter dans le temps

La date à laquelle a été prise la « photo » de la blockchain est renseignée en haut à droite du graphique (13).

Pour visualiser l’évolution des connexions et des transferts au fils du temps, vous pouvez afficher les analyses effectuées à des dates antérieures en cliquant dessus.

La liste des dates disponibles remplacera alors celle des portefeuilles sur la droite de l’écran (14). Si vous n’êtes pas un utilisateur premium (qui détient 250 milliards de MOONLIGHT) vous ne pourrez pas actualiser les données (15) et devrez vous contenter de celles qui vous sont proposées, mais qui sont déjà nombreuses.

Les dates avec le logo (16) sont celles auxquelles des analyses plus poussées ont eu lieu, faisant apparaitre jusqu’à 500 des plus gros portefeuilles, au lieu des 150 habituels.

Exemple d’application

Depuis quelques mois, les bots Telegram font parler d’eux. Comme à chaque fois qu’une nouvelle hype arrive, les escrocs suivent le mouvement et tentent de s’enrichir en volant les autres utilisateurs.

Il est possible d’anticiper certaines arnaques en repérant les « clusters », c’est-à-dire les adresses interconnectées qui possèdent une grosse part de la supply totale d’un jeton.

Bubblemaps s’est penché sur UNIBOT, l’un de plus connu du moment.

Leur analyse a fait ressortir un énorme cluster, représentant plus de 40% de la supply totale !

Sans aller plus loin dans les recherches, il aurait été simple de croire que la distribution du jeton devait faire fuir les investisseurs, comme ça avait été le cas pour le projet BabyCare (premier scam mis en avant par Bubblemaps).

Cependant, en se penchant sur le projet, on peut voir qu’il est prévu que le bot distribue une partie de ses revenus aux détenteurs du jeton. Ceci serait fait à partir du wallet central, ce qui tend à prouver que le projet fonctionne comme prévu. Il s’agirait donc d’un cluster « sain » !

Bien sûr, cela ne suffit clairement pas à assurer que le projet n’est pas une arnaque et que le jeton prendra de la valeur, mais démontre simplement que les résultats apportés par Bubblemaps peuvent faire pencher la balance dans un sens comme dans l’autre.

Le mot de la fin

Bubblemaps est un outil à ranger dans vos favoris pour effectuer des recherches à partir de données on-chain.

Très simple à utiliser, les analyses qui en ressortent permettent de prendre des décisions avec plus de certitudes, mais ne constituent pas pour autant des réponses infaillibles.

Pour mener à bien vos recherches, n’hésitez pas à coupler les données qui ressortent de Bubblemaps avec celles offertes par les outils DeFi que nous avons présentés dans cette série, tels que Nansen, De.fi et Chainlist, Defillama, Dune, Arkham Intelligence, Glassnode, Token Terminal ou encore TradingView.

Et pour vous permettre d’aller encore plus loin dans vos connaissances de la DeFi, nous vous donnons bien sûr rendez-vous la semaine prochaine pour un nouvel article !

L’article Bubblemaps.io : la carte interactive des projets cryptos est apparu en premier sur Journal du Coin.

Suite à un accord conclu avec la Deutsche Bank, la FinTech suisse Taurus étend désormais ses services de garde et de tokenisation aux blockchains privées, s’ajoutant ainsi à son support existant pour les blockchains publiques, y compris Hyperledger Besu et Quorum.

L’expansion de la FinTech répond à une demande croissante de grandes banques américaines et européennes et fait suite à un partenariat récent avec la Deutsche Bank visant à proposer des services de garde d’actifs numériques et de tokenisation à ses clients.

Expansion de Taurus dans les Blockchains Privées

La FinTech suisse Taurus a élargi son spectre d’action en intégrant le support des blockchains privées à ses services de garde et de tokenisation d’actifs numériques, complétant ainsi son offre déjà solide pour les blockchains publiques.

Source : Taurushq

Cette démarche a pour but de répondre à une demande croissante émanant de grandes banques américaines et européennes. Il est prédit que la tokenisation d’actifs privés deviendra un marché de plusieurs trillions de dollars d’ici 2030.

Tokenisation : une opportunité d’affaires estimée à 16 trillions de dollars d’ici 2030. Source : web-assets.bcg

Taurus prend désormais en charge les blockchains permissionnées, y compris Hyperledger Besu et Quorum de ConsenSys, se pliant ainsi aux besoins des blockchains privées basées sur la Machine Virtuelle Ethereum (EVM) et non-EVM.

L’expansion de Taurus permet à ses clients internationaux de tokeniser divers types d’actifs sur des blockchains, qu’elles soient publiques ou privées, via une seule plateforme. Cette approche promeut l’interopérabilité et évite la formation de silos d’actifs, préservant ainsi la liquidité.

Adoption de blockchains privées dans le respect des régulations

Les institutions financières, devant se conformer à des régulations strictes, sont souvent amenées à opérer sur des blockchains privées ou permissionnées, leur permettant de contrôler intégralement le réseau. Ce constat est particulièrement vrai dans le contexte de grands consortiums et de projets de monnaies digitales de banque centrale (CBDC).

Pour illustration, le projet de CBDC de la Banque de Thaïlande et la monnaie digitale pilote de la Banque Centrale du Brésil sont des exemples pertinents. De même, de grandes institutions telles que Banco Santander, ING, Nasdaq, Nomura et UBS soutiennent et ont adopté la Plateforme de Paiements Globaux de Fnality International. Tous ces acteurs ont sélectionné Hyperledger BESU comme fondement de leurs initiatives.

Depuis 2020, Taurus permet à ses clients d’émettre et de gérer tout type de valeurs mobilières tokenisées en totale conformité réglementaire. Au fil des années, les clients de l’entreprise ont réussi à tokeniser et à détenir en custodie une large gamme d’actifs incluant des actions, des dettes, des produits structurés, des NFTs, de la monnaie et de l’immobilier.

Partenariat stratégique entre Taurus et Deutsche Bank

L’expansion récente de Taurus est intervenue après son partenariat avec Deutsche Bank. Cela a permis à la principale banque allemande, qui gère plus de €1.3 trillion ($1.4 trillion) en actifs, de proposer des services de garde et de tokenisation à ses clients institutionnels.

Total des actifs des banques allemandes en 2022. Source : Statista

Paul Maley, responsable mondial des services de titres chez Deutsche Bank, a insisté sur la nécessité de s’adapter à ce domaine en pleine mutation. Il a affirmé que : “les dépositaires doivent s’adapter pour soutenir leurs clients.” C’est particulièrement vrai alors que le domaine des actifs numériques est en voie d’incorporer des trillions de dollars d’actifs. Il s’érige en priorité pour les investisseurs et les entreprises.

La collaboration entre Deutsche Bank et Taurus a été initiée par la participation de la banque au tour de financement de Série B de $65 millions de Taurus. Elle a également formulé une demande de licence d’actif numérique auprès de BaFin, le régulateur financier allemand, plus tôt cette année.

Conclusion

Le paysage réglementaire strict pousse de nombreuses institutions financières vers des blockchains privées ou permissionnées. Ceci permet de maintenir le contrôle sur le réseau. L’expansion de Taurus dans les blockchains privées souligne la montée en puissance de la blockchain dans la finance conventionnelle. Ce développement, en partenariat avec Deutsche Bank, démontre l’importance croissante de cette technologie. Cela ouvre la porte à de nouvelles initiatives et à des collaborations inédites entre secteurs.

Sources : Taurushq, The Block

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On a tous été témoins de la hype des NFT puis du déclin tout aussi rapide du marché. ”L’art digital est mort”. C’est ce qu’on entend un peu partout dans l’écosystème crypto lorsqu’on parle des NFT artistiques. Aujourd’hui, avec Jean-Michel Pailhon, fondateur de NFT Factory Paris et de Grail Capital, une société d’investissement dans l’art digital, on déconstruit cette forme d’investissement qui réserve bien plus de surprises que ce que laissent penser les préjugés.

L’article Interview Jean-Michel Pailhon : Les NFT sont-ils morts ? est apparu en premier sur Cointribune.

Les NFT (tokens non fongibles) n’ont rien à envier aux œuvres d’art physiques. Leurs créateurs redoublent d’inventivité pour mettre au point les œuvres numériques les plus sensationnelles du marché. Certains NFT se vendent pour plusieurs millions de dollars et les collectionneurs se les arrachent. Pour rendre hommage aux meilleures ventes à ce jour, nous vous…

L’article Top 5 des NFT les plus chers vendus à ce jour (2023) est apparu en premier sur Cryptonaute.

Le Toncoin ($TON) a bondi de 150% depuis les bas de juin 2023 et est maintenant un projet du Top 10, avec une valorisation plus élevée que Solana ($SOL) et Tron ($TRX), et s’avère rapidement être l’un des meilleurs investissements crypto. Si l’on regarde le classement des capitalisations boursières, le jeton suit de près Dogecoin ($DOGE), et Cardano ($ADA) est à portée de main. Le $TON est en hausse de plus de 30 % au cours de la dernière semaine de trading et il pourrait y avoir plus de hausses si les haussiers continuent à se débarrasser des pertes de 2023.  

Tandis que le Toncoin attire toute l’attention ces derniers temps, les investisseurs explorent également des projets émergents, en particulier eCash et Domini.art ($DOMI). eCash ($XEC) est une version rebaptisée de Bitcoin Cash ABC, un projet issu de Bitcoin Cash ($BCH), lui-même dérivé de Bitcoin, une crypto-monnaie de premier choix pour les débutants. Pendant ce temps, Domini.art est construit à partir de zéro et ses créateurs visent à démocratiser le monde de l’art, en offrant plus d’opportunités aux investisseurs et en donnant plus de pouvoir aux artistes tout en exploitant les capacités de la blockchain et des jetons non fongibles (NFTs).

Dans la prévente en cours, $DOMI s’écoule rapidement et devrait enregistrer des gains à deux chiffres lors de la prochaine phase de prévente. Cela explique la demande croissante, en particulier de la part des investisseurs en crypto-monnaies qui suivent déjà l’expansion sans précédent de $TON.

Pourquoi la Hausse de $TON Est-elle Si Forte ?

La hausse spectaculaire de $TON attire les investisseurs, comme en témoigne l’explosion du volume des transactions. Selon les indicateurs de marché, $TON a augmenté de 31 % au cours de la dernière semaine de transactions et a rapidement consolidé sa position dans le top 10. La domination de la pièce est également favorisée par la stagnation des prix de DOGE et d’ADA. Au cours des derniers mois, l’ADA s’est effondré et se trouve maintenant en dessous du seuil psychologique de 0,30 $ et rebondit sur les plus bas de 2023. D’un autre côté, le Dogecoin perd de la vitesse car l’attention se porte sur des projets émergents, notamment $PEPE.

Le $TON gagne rapidement du terrain, en partie grâce à l’amélioration du sentiment crypto. Le $BTC, par exemple, a rejeté les plus bas niveaux, s’inversant de 25k $ à des taux au comptant. Cela a stimulé $TON, car les investisseurs ont commencé à chercher des projets de qualité pour se diversifier. En outre, Telegram a intégré Tonchain, ce qui a stimulé $TON. Telegram est une plateforme de messagerie populaire qui compte plus de 700 millions d’utilisateurs actifs. Avec cet accord, Telegram prévoit de lancer un portefeuille TON dans les semaines à venir. Les utilisateurs de Telegram pourront ainsi facilement interagir avec l’écosystème Tonchain, et même stocker des TON.

Alors que $TON monte en flèche, les analystes pensent que $DOMI et $XEC sont les prochains. Est-ce vrai ?

Pourquoi Domini.art et eCash sont les prochains grands projets après Tonchain

À l’heure où nous écrivons ces lignes, $XEC est en hausse de 16 % par rapport à son plus bas niveau de septembre, mais reste sous pression. S’appuyant sur son objectif d’améliorer les paiements, sa croissance pourrait toutefois ne pas être aussi rapide que celle d’autres altcoins, y compris $DOMI, qui est facilement l’une des altcoins à surveiller en septembre.

Domini.art est ambitieux et ses créateurs ont établi une feuille de route claire pour révolutionner le monde de l’art, un secteur qui peut être utilisé pour stocker de la valeur en période de turbulences économiques. À titre d’illustration, les statistiques montrent que les œuvres d’art de valeur sûre ont constamment surpassé le S&P 500 de plus de 500 % depuis 2000. La vente du chef-d’œuvre de Jean Michel Basquiat pour 110,5 millions de dollars (acheté initialement pour 12 000 dollars) montre clairement que la numérisation de l’art et la participation de tous peuvent être lucratives.

Domini.art fusionne l’art de valeur sûre avec la blockchain, ouvrant ainsi les portes aux investisseurs du monde entier pour qu’ils puissent non seulement investir, mais aussi diversifier leurs portefeuilles de crypto-monnaies et même effectuer des transactions sur leur place de marché. Il n’y a aucun obstacle à la participation puisque la plateforme est ancrée sur le réseau Ethereum, accessible dans le monde entier.

En utilisant des jetons non fongibles (NFT), les œuvres d’art acquises sont fractionnées et vendues sur la place de marché pour tous les investisseurs volontaires. Le $DOMI joue un rôle clé à cet égard et est utilisé comme jeton utilitaire principal. Les détenteurs reçoivent de nombreux avantages, notamment l’accès à des récompenses et à des événements.

Le $DOMI est disponible pour 0,002625 $ en prévente et plus de 37 millions ont été vendus jusqu’à présent, quelques jours après le lancement.

Conclusion

Alors que $TON rugit, entrant dans le top 10, $XEC et surtout $DOMI – la meilleure crypto NFT – sont très susceptibles d’être les prochains grands projets à monter en flèche. Le $DOMI est au cœur de Domini.art et leur proposition de valeur signifie que les adoptants qui obtiennent une exposition aux taux spot peuvent bénéficier massivement une fois qu’il est lancé. Selon toutes les estimations, la plupart des analystes s’attendent à ce que $DOMI soit un projet du top 20 d’ici 2024.

Apprenez-en plus sur $DOMI ici :

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