Cette troisième semaine de janvier est réputée pour être la pire semaine de l’année. La fin des fêtes, le retour au travail, le mauvais temps, le soleil qui se couche tôt, l’échec des résolutions du Nouvel An… Alors bravo à nous, on a tenu le coup. Essayons de finir la semaine sur une note joyeuse, en plongeant une nouvelle fois au cœur du Metaverse ! Au programme cette semaine : Magic Leap pense que le Metaverse doit se concentrer sur le monde réel, et un nouveau Metaverse qui vous envoie apprendre dans un lycée d’anime japonais ! Alors, à vos masques, prêts ? Metaverse !

Les dirigeants de Magic Leap estiment que le Metaverse doit se concentrer sur le monde réel

Magic Leap est une entreprise de technologie basée en Floride, spécialisée dans la réalité augmentée (RA). Elle est connue pour son casque de réalité augmentée, le Magic Leap One, qui vise à superposer des images numériques sur le monde réel pour l’utilisateur.

La start-up de RA à récemment soulever près de 4 milliards de dollars pour son nouveau projet, un Metaverse plus connecté à notre réalité. La start-up argumente que les idées de « monde parallèle » déconnecter de notre monde, sont une utopie inutile :

« Les véritables capacités du Metaverse prendront vie lorsqu’il s’agira d’expériences numériques intégrées ou incorporées dans le monde physique. » Daniel Diaz, Directeur technologique chez Magic Leap.

Ross Rosenberg, le dirigeant Magic Leap, souligne-lui aussi la nécessité pour le Metaverse de s’aligner davantage sur les besoins réels du marché. Selon lui, la plupart des gens intéressés par le Metaverse cherchent des applications réelles, des utilisations concrètes :

« La plupart des clients à qui nous parlons essaient de résoudre un problème. Ils veulent réparer quelque chose, former quelqu’un, concevoir un produit… […] Ce sont les mots qu’ils utilisent. Ils ne commencent pas par dire : « Hé, parlez-moi de votre Metaverse ». »

L’entreprise souhaite donc faire de l’utilité la principale mission de leur Metaverse, plutôt que de faire miroiter des mondes virtuelss créer de toute pièce qui, et bien, ne servent à rien…

En 2022 l’institut Morning Consults, à interviewer plus de 4 500 Américains afin de comprendre comment l’américain moyen percevait le Metaverse. Le sondage a révélé que 36% des Américains s’intéressaient au Metaverse, et que 64% d’entre eux n’y connaissais rien, ou encore pire, n’y comprenais rien.

Et à dire vrai, et bien… c’est normal. À part une partie de la population (vous et nous grosso modo) la majorité des gens ne voient pas, ou ne comprennent pas l’utilité d’un Metaverse. Cette incompréhension est en partie du a la complexité et à la nouveauté du sujet. Pour beaucoup, le Metaverse est une idée abstraite, un concept nouveau, associée soit aux jeux vidéo soit aux expériences virtuelles.

Dans ce contexte, le discours que portent les dirigeants de Magic Leap prend tout son sens. Leur vision s’éloigne d’une expérience « fictive » pour laisser place au réel, en se rapprochant d’une intégration plus pragmatique et tangible dans la vie quotidienne.  Et cette approche pourrait être la clé du succès du metaverse.

Si le Metaverse commence à avoir des applications concrètes – réparation, formation, conceptualisation, comme le dit le PDG de Magic Leap – il deviendra de moins en moins un concept de science-fiction, et de plus en plus un outil de quotidien, une réalité. Cela montrerait comment le Metaverse peut enrichir notre réalité, et non la remplacer.

Lunettes RA Magic Leap 2.

Magic Leap nous propose un Metaverse qui a les pieds sur terre, moins science-fiction et plus outil pratique. Avec ces lunettes RA qui nous font penser à Splinter Cell, Magic Leap veut transformer le travail et la collaboration avec la RA, avec des solutions pour la formation, l’assistance à distance, la visualisation de modèles 3D en taille réelle…

Si vous êtes intéressé, ce youtubeur américain test toutes les applis du produit :

Si vous l’avez raté, la semaine dernière, on parlait du documentaire sur Mark Zuckerberg, et de Tripadvisor.

Lycée Virtuel Style Anime

Vous adorez les mangas « School » ? Ce Metaverse est fait pour vous. Ce projet, fruit d’un partenariat entre Aominext et le prestigieux lycée international de Yushi, au Japon, propose un cursus de trois ans en VR, reconnu par le ministère japonais de l’Éducation. Science, technologie, éducation, sport, culture… C’est un cursus complet qu’offre l’expérience, avec diplôme à la clé.

Source : PR Times Japan.

Bon, c’est vrai, c’est facile de se moquer. Un lycée rempli de personnages enfantins qui ressemble à des Vtubers, qui se rassemble autour d’une table pour travailler sur un exposé, ça ne vend clairement pas du rêve… Après être tombé sur un article qui parlait de ce projet, j’ai tout de suite été sceptique : je croyais clairement à un coup de com, après tout, quel lycée digne de ce nom ferait ça, et surtout qui voudrait apprendre dans cet environnement, tous les jours, pendant 3 ans ?

Mais non. Communiqué de presse et commentaires du directeur à l’appui, il semblerait que le cursus virtuel de la Yushi International School soit bien réel. Le communiqué de presse soulève même un point intéressant : depuis le début de la pandémie du Covid, un grand nombre de cours se fait en ligne, sur Zoom ou Slack, qui ne reproduisent pas la sensation d’être en classe, ce qui peut nuire à la concentration et donc, à l’apprentissage.

Mais au-delà de l’apprentissage, le lycée international veut tacler un autre problème : la solitude. Si vous êtes un adulte qui a d’autres choses à faire, Zoom et Slack ne sont pas si mal, mais ils ne sont certainement pas un bon remplacement pour un jeune esprit qui cherche désespérément à se faire des amis et à se socialiser. En plus de cours, le cursus propose des évènements culturels et des festivals, le tout en VR.

Et bizarrement, l’idée ne parait plus aussi folle. Évidemment, un lycée virtuel ne remplacera jamais le vrai. Mais cette innovation parait mieux qu’un appelle Zoom, ou votre collègue à oublier de couper son micro et que votre manager essaie de partager son écran depuis 20 min.

Avec ce projet le lycée cherche à amener l’éducation a ceux qui n’ont peut-être pas les moyens ou la chance d’y aller, en offrant même un set VR a tous les participants et le tout, pour un diplôme reconnu par l’état. Sous ces airs d’anime, ce projet est, en réalité, une application réelle de ce que peut apporter le Metaverse. Révolution de l’apprentissage ? Quand même pas, mais soyons honnêtes, on a vu bien pire comme projet…

Rangez vos masques, c’est tout pour notre plongée au cœur du Metaverse cette semaine. Ces deux projets Metaverse, bien que très diffèrents, proposent tous les deux des solutions plus concrètes, ancrées dans le réel. Magic Leap vise une réalité augmentée utilitaire, tandis que le lycée virtuel d’Aominext offre une approche innovante a l’apprentissage. Deux facettes d’un Metaverse qui se cherche encore, alliant technologie et quotidien. Sur ce, à la semaine prochaine pour une nouvelle plongée au cœur du Metaverse !

Sources : CoinDesk, Morning Consults, Magic Leap, PRTimes JP

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Alors que le marché des NFT est en berne, Donald Trump a annoncé le lancement prochain de jetons numériques à son effigie. Un pari risqué !

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La startup suisse lancera fin janvier 2024 une version grand public de son portefeuille d’identité numérique auto-hébergé. Une nouvelle façon de gérer ses informations personnelles en ligne et ses communautés web3. Rencontre avec Frédéric Martin, le CEO de myDid.

L’identité numérique, un enjeu pour les citoyens

Une carte d’identité numérique… à la carte. Il sera peut-être bientôt possible de choisir – et de comprendre – quelles informations de notre vie nous partageons sur Internet (et à qui). Les portails de connexion des Gafam – “se connecter avec…” Google, Facebook ou X – réclament un accès instantané et complet à nos données personnelles, sans que le néophyte sache réellement ce qu’il autorise, ni ce qu’ils en font.

Le SSI (Self-Sovereign Identity ou Identité numérique auto-souveraine) donne aux individus un contrôle total de leurs données personnelles, les autonomisant dans l’écosystème d’identité décentralisée. Thread #SSI #IdentitéDécentralisée

— myDid (@myDid_Fr) April 20, 2023

Demain, la logique pourrait s’inverser. Chaque utilisateur pourra détenir les données qui le définissent sur son ordinateur ou son smartphone, en local, et non plus sur des serveurs centralisés. Libre à lui ensuite de sélectionner quelles informations rendre publiques ou garder privées, lesquelles transmettre, pendant quelle durée, et à quelles fins. C’est le principe de l’identité numérique auto-souveraine, ou identité décentralisée, sur lequel travaille la société neuchâteloise myDid.

Qu’est-ce que le wallet auto-hébergé myDid ?

Après une levée de fonds de plusieurs millions d’euros en tokens (SYL) en 2021, la startup suisse développe une solution qui utilise les blockchains publiques et les standards du W3C, pour proposer un dispositif prometteur de wallet auto-hébergé. En plus d’y stocker ses cryptos, il devient possible de stocker ses informations personelles dans son wallet. Après trois ans de recherche et développement, le projet arrive dans une phase mature et sort, d’ici la fin du mois de janvier, une application à destination du grand public.

“L’objectif est de reprendre le pouvoir sur sa data”, affirme Frédéric Martin, l’ancien CTO et nouveau CEO de myDid, qui cumule une vingtaine d’années d’expériences en cybersécurité (composants sécurisés, cryptographie, wallets).

“Ce wallet va permettre à tout un chacun de collecter et cumuler des badges, autrement appelés des attestations vérifiables. Ce sont, en réalité, des preuves de nos accomplissements personnels lors de nos interactions avec des communautés, ou des preuves de reconnaissance, par exemple lorsque que l’on participe à un projet web3 sur Discord.

L’identité regroupe des qualifications bien plus larges que celles liées à l’identité régalienne reçue à notre naissance, ou même nos justificatifs administratifs comme une adresse postale. L’objectif est de pouvoir organiser et choisir d’exposer toute ou partie de ces identités, dans des buts précis.”

L’objectif de ce produit est ainsi de “faciliter le partager et la démonstration d’informations qui nous concernent”, ajoute Frédéric Martin, dans le sens où il sera possible de se présenter sous plusieurs profils, selon les circonstances :

“Avec des techniques d’investigations en ligne type « OSINT », il est assez facile aujourd’hui de retrouver des informations concernant un individu, en faisant certains recoupements qui ne sont pas forcément souhaités.

Exemple : Si vous êtes un militant associatif, vous voulez peut-être pouvoir partager vos expériences précédentes dans ce domaine… mais si cette association a une couleur politique, vous ne voulez probablement pas que cette information soit associable à votre profil professionnel. Les wallets d’identité décentralisée permettent de prouver des appartenances à des groupes de manières distinctes et isolables, juste quand c’est utile.

Un autre problème qui peut être résolu, c’est la démonstration d’une qualification même quand l’émetteur initial a disparu.

Exemple : Même si vous êtes passé par une école, une entreprise ou un projet qui n’existe plus, vous pourrez continuer à prouver votre parcours.”

Autre cas d’usage encore, lorsque le membre d’une communauté web3 donne de son temps en tant que modérateur ou développeur, et que ce-dernier quitte l’aventure, il a “peu d’occasions d’accumuler de la reconnaissance pour le travail qu’il a fourni”.

Avec le wallet d’identité décentralisée, ses différentes expériences seront stockées de manière sécurisée. Et il pourra accumuler des traces liées à son poste et à son savoir-faire (hard skills), mais aussi éventuellement liées à l’appréciation de son comportement (soft skills).

Plusieurs options de sauvegarde proposées

Côté technique, le wallet myDid utilise le protocole Nostr en interne pour faciliter les échanges de badges entre les utilisateurs, et la blockchain Gnosis pour stocker les profils publics des communautés (pas ceux des utilisateurs), avec des frais de transactions très faibles. L’intégration d’autres protocoles ouverts et blockchains publiques est prévue.

Mais même avec un portefeuille simplifié, l’utilisateur est-il prêt à endosser la responsabilité de la détention (et de la perte potentielle) de ses données ?

“Le backup des identités du wallet peut se faire via la sauvegarde de 12 mots, comme un wallet crypto classique, et il est aussi possible de faire des backups par fichier en local. Mais nous proposons aussi une solution plus simple, avec la possibilité de faire une sauvegarde régulière automatique sur son “drive” personnel… sans que ce soit obligatoire, et avec un mot de passe”, répond le CEO.

Pour Frédéric Martin, l’enjeu de myDID est de défendre la “privacy”, au sens de la vie privée et de l’intégrité numérique :

“Sans s’en rendre compte, à chaque fois qu’on se connecte avec son compte Google ou Apple, on renforce l’importance de ces acteurs centralisés qui nous fichent et orientent nos parcours. En cherchant la simplicité, on perd en contrôle et en responsabilité.”

La nouvelle version dévoilée fin janvier

Dans la version qui sera dévoilée dans les prochains jours, myDid proposera une interface à double entrée, avec l’application côté utilisateur et le “Community Studio” côté manager de communautés. Le manager pourra ainsi créer sa carte de communauté et proposer trois types de badges qui seront disponibles pour animer son groupe : les badges “certifiés” attribués par le manager ou les responsables de la communauté, les badges “pair-à-pair” que l’on peut s’échanger entre utilisateurs et les badges de participation à un évènement, un peu à la manière d’un POAP, mais sans utiliser de NFT.

D’autres initiatives ont tenté de faire avancer cette question de l’identité numérique, comme l’ex-startup Sismo. Mais ce projet s’est finalement arrêté en décembre dernier et a annoncé le remboursement de ses investisseurs.

L’équipe de myDid travaille par ailleurs sur un projet au nom de code “Cortex”, une nouvelle façon de concevoir la publicité en ligne “de manière plus éthique”. Avec l’utilisateur au centre des décisions, il pourrait choisir son niveau d’exposition aux publicités et autres démarchages. “Il est techniquement possible de recevoir des publications et des recommandations ciblées, sans pour autant être fiché par Google : des instituts de sondages et des régies de publicité plus équitables et décentralisés pourront bientôt exister”, conclut Frédéric Martin.

La startup, qui emploie une dizaine de personnes, prévoit de recruter en 2024.

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L’exchange OKX a décidé de prolonger son partenariat avec l’écurie légendaire de F1, McLaren. Le directeur marketing de OKX a déclaré que les résultats de leur collaboration ont été « impressionnant » en 2023.

OKX et MacLaren, un partenariat fructifiant

Dans une interview pour CoinTelegraph Haider Rafique, le directeur marketing de OKX, se dit très impressionné par les résultats de leur collaboration. Selon lui, étendre le partenariat avec McLaren était la prochaine étape logique :

« Les résultats sont impressionnants. Notre partenariat avec l’équipe McLaren F1 a contribué à renforcer la notoriété et la reconnaissance de la marque OKX par le biais de la diffusion (plus de trois milliards de vues) à la télévision et en ligne, en plus de l’exposition sur le marché grâce à l’empreinte mondiale de la F1 ».

Le logo de OKX se trouvera sur les nacelles latérales – les côtés droit et gauche donc – de la McLaren « Stealth Mode », F1 ayant déjà participé aux Grands Prix de Singapour et du Japon en 2023.  Les nacelles latérales sont réputées pour être l’endroit le plus visible de la F1 lors d’une course, ce qui en fait un espace publicitaire très prisé.

Voiture MacLaren « Stealth Mode » avec le logo d’OKX sur les côtés.

Un partenariat qui va au-delà du circuit

Le partenariat des deux marques va au-delà des circuits. En effet, lors du grand prix de Singapour, OKX avait son propre stand, et McLaren avait autorisé leurs pilotes à parler sur leur scène, ce qui aurait ramené plus de 7 000 personnes au stand selon OKX. À la suite de cet événement, pas moins de 3 000 personnes auraient créé un wallet sur OKX. Une victoire pour l’exchange.

Une enquête réalisée après l’événement aurait montré que 80 % des participants souhaitaient en savoir plus sur l’échange. Pour Haider Rafique, cela montre clairement que la fan base de McLaren s’intéresse aux web 3 :

« Cela correspond parfaitement à notre mission de rendre le marché de la crypto accessible à tous et d’éduquer le public sur les avantages et les opportunités qu’offre cet espace. »

Un partenariat long terme ?

OKX est charmé. Pour eux, avoir accès à un public si large est une aubaine ; la F1 attire des spectateurs de tout âge et de tout milieu démographiques :

« Je veux que les enfants d’aujourd’hui associent OKX et le Web3, à la F1 et à McLaren, tout comme j’ai appris à aimer Ayrton Senna et McLaren dans ma jeunesse. »

Ayrton Senna, célèbre pilote de Formule 1, a connu de grand succès lors de sa période chez McLaren, remportant 3 titres mondiaux pour l’écurie, devenant au passage, une légende du sport automobile.

Le partenariat entre les deux marques, qui a commencé en 2022, semble être en place pour un bon moment. Le dirigeant d’OKX a confirmé l’engagement de l’exchange mais a refusé de communiquer les détails de l’offre, et leurs projets avec McLaren pour 2025 :

« Les crypto-monnaies étaient autrefois un mouvement populaire de niche, mais elles gagnent aujourd’hui en importance, ajoutant de nouvelles fonctionnalités et élargissant leur pertinence et leur attrait pour le grand public ».

Upgrades to our @McLarenF1 2024 branding

As the only crypto company to co-design F1 liveries with a team, we are excited to confirm our branding update this year taking the official sidepod position on this year’s car.

The side pod branding remains the most visible spot on… pic.twitter.com/MxIwEesg06

— Haider (@Haider) January 17, 2024

Le partenariat entre OKX et McLaren semble filer à pleine vitesse vers le succès. Avec des résultats impressionnants et une visibilité accrue sur les circuits de F1, cette collaboration promet encore de belles surprises.

Sources : CoinTelegraph, X

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Un « Great Wall » contre les MNBC ? Le 45e président des États-Unis, Donald Trump, fait parfois parler de lui jusque dans la cryptosphère. Ses différentes émissions de tokens non fongibles (NFT) lui ont même permis d’accumuler plusieurs millions de dollars en cryptomonnaies. Aujourd’hui, c’est son hostilité envers les monnaies numériques de banques centrales (ou MNBC) qui le rapproche une fois de plus de la communauté crypto.

L’ancien président ne veut pas entendre parler de MNBC

Entre deux émissions de ses NFT, l’ancien président des États-Unis a déjà fait des déclarations pessimistes sur l’avenir du dollar américain. Mais pour Donald Trump, le choix de numériser la monnaie fiduciaire US en MNBC serait tout sauf une bonne solution pour redresser la barre.

Le e-dollar est déjà loin de faire l’unanimité aux USA, et l’idée de donner autant de pouvoir aux banquiers de la Réserve fédérale (la Fed) hérisse désormais aussi le poil de l’ex-président et actuel candidat à la Maison Blanche. C’est lors d’un de ses récents meetings électoraux que “The Donald” a exposé sa franche hostilité aux MNBC.

« Le président Trump promet d’écarter tout projet de monnaie numérique de banque centrale lors d’un discours à Portsmouth, dans le New Hampshire[, donné ce 17 janvier 2024]. »

Compte X @RSBNetwork

Donald Trump veut éviter que le gouvernement ait « un contrôle absolu » sur l’argent

Beaucoup d’observateurs des monnaies numériques de banques centrales craignent que ces dernières permettent un « fascisme numérique », d’après les mots d’Edward Snowden, le lanceur d’alerte rendu célèbre pour avoir dénoncé les écoutes de masse de la NSA (qui étaient, bien sûr, totalement illégales).

Donald Trump va de son côté jusqu’à parler d’un risque de régime tyrannique là où les MNBC seront mises en place, car elles faciliteraient beaucoup trop le contrôle de la monnaie par les autorités.

« Je fais également une autre promesse pour protéger les Américains de la tyrannie gouvernementale. (…) En tant que président, je n’autoriserai jamais la création d’une monnaie numérique de banque centrale. Une telle monnaie donnerait au gouvernement fédéral, à notre gouvernement fédéral, un contrôle absolu sur votre argent. (…) Ils pourraient prendre votre argent sans même que vous sachiez qu’ils le font disparaître. »

Donald Trump, candidat aux élections présidentielles US de 2024

Si des banquiers centraux, comme en Europe avec la BCE (Banque centrale européenne), décident déjà unilatéralement de combien d’unités de MNBC les citoyens auront droit, les choses s’annoncent un peu plus ardues aux USA. Car en plus des Républicains, même du coté de la sensibilité Démocrate, un candidat à la présidence comme Robert F. Kennedy Jr. se méfie des monnaies numériques de banques centrales.

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Chainlink (LINK) a enregistré des gains prolongés dans une fourchette à long terme alors que Stellar (XLM) a connu un léger coup de pouce à la hausse. Pendant ce temps, Borroe Finance ($ROE) a également réalisé des performances remarquables, similaires à celles de ces meilleurs altcoins.

Comparons la croissance ($ROE) de Borroe Finance à celle de ces principales pièces cryptographiques.

Le prix du jeton Chainlink s’envole : voici à quoi s’attendre

Chainlink (LINK) a augmenté le 8 janvier tout en restant dans une fourchette horizontale de 120 jours. En regardant l’évolution des prix de Chainlink, LINK se négocie dans cette fourchette depuis le 8 novembre. Le 28 décembre, Chainlink (LINK) s’est écarté de cette région, atteignant 17,68 $, son sommet annuel.

Par la suite, le prix du jeton LINK est tombé à 12,53 $ le 8 janvier, le ramenant dans la fourchette. Néanmoins, les analystes ont une vision haussière concernant Chainlink (LINK) au milieu de son mouvement de prix en zigzag. Dans un tweet du 8 janvier, LINKPULLER, un partisan notable de Chainlink (LINK), a révélé que le Chainlink Grayscale Trust se négocie à un prix supérieur, ce qui indique une hausse potentielle des prix.

Le graphique montre que Chainlink (LINK) a grimpé de 15,50 % par rapport à 13,00 $. Nu à 15,19 $ entre le 8 et le 14 janvier. Compte tenu de la dynamique des prix du jeton LINK, les experts ont estimé que Chainlink (LINK) pourrait atteindre 20,00 $ dans les prochains jours. Cette décision se traduira par une augmentation de 31,6 % du prix du jeton LINK.

Stellar voit son prix augmenter dans un contexte d’augmentation du volume d’échanges

Les données du marché ont récemment révélé un développement passionnant de la blockchain Stellar (XLM). Le 9 janvier, un rapport a souligné une augmentation du volume d’échanges de Stellar (XLM), qui a gagné plus de 9 % au cours de la semaine. En conséquence, Stellar (XLM) affiche désormais un volume d’échanges de 60,7 millions $.

Bien que les performances de XLM aient été faibles par rapport aux autres altcoins, la pièce Stellar a montré qu’elle avait le potentiel d’afficher un futur rallye. Sur le plan technique, le Relative Strength Index, une mesure qui indique si une pièce est surachetée ou survendue, a présenté Stellar (XLM) dans la région de survente. Ces perspectives suggèrent généralement un rallye imminent.

Stellar (XLM) a augmenté de 5,61 %, passant de 146,10 $ à 154,30 $ entre le 8 et le 14 janvier. Les experts ont noté dans leur prévision de prix concernant Stellar que XLM pourrait atteindre 160 $ dans les prochains jours. Cette projection suggère une augmentation attendue de 3,6 % du prix du jeton Stellar (XLM).

Les investisseurs de BORROE envisagent une hausse de 5,2 %

Borroe Finance ($ROE) a fait preuve de courage et de résilience même face au marché baissier qui avait lieu au début de sa prévente. Cependant, il s’en est sorti indemne grâce au soutien sans réserve de la communauté. Comme le révèlent les données du marché, Borroe Finance ($ROE) est aujourd’hui l’un des nouveaux projets de DeFi à la croissance la plus rapide et à l’adoption la plus rapide. Voyons pourquoi !

Ce projet basé sur la DeFi sert également les communautés de DeFi et de Web3 en tant que marché où les bénéfices futurs sont échangés contre des flux de trésorerie. Les utilisateurs de Web3 utilisent Borroe Finance ($ROE), un marché unique de financement de l’IA, comme plate-forme pour échanger des revenus futurs contre de l’argent. En tant que plateforme de financement, les entreprises et les entrepreneurs utilisent Borroe Finance pour lever des fonds en créant des bénéfices futurs sous forme de NFT et en les vendant sur son marché.

En ce qui concerne la trajectoire des prix, les investisseurs de Borroe Finance ($ ROE) ont bénéficié de rendements remarquables grâce à la croissance initiale de $ ROE, du prix de la pièce de l’étape bêta à la quatrième étape. Le prix du jeton ROE $ a augmenté de 90 %, passant de 0,010 $ à 0,019 $ au cours de cette période. Actuellement, les investisseurs en $ROE se concentrent sur un rallye imminent de 5,2 % alors que Borroe Finance entre dans la cinquième étape de sa prévente.

Les experts estiment que lorsque le jeton ROE $ atteindra la phase finale de sa prévente, avant sa cotation sur les DEX, à 0,040 $, les investisseurs de Borroe Finance auront réalisé un retour sur investissement supplémentaire de 110,5 % par rapport à son prix actuel.

Pour en savoir plus sur Borroe Finance ($ROE), visitez le site Web de la prévente de Borroe Finance, rejoignez le groupe Telegram ou suivez Borroe Finance sur Twitter.

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La Thaïlande lève les restrictions sur les jetons adossés à des biens immobiliers pour les ventes au détail :
Devriez-vous investir dans Everlodge ? Ce projet vise à bouleverser le secteur des propriétés de vacances.
La prévente de jetons $EGLD continue d’attirer l’attention des traders.

Dans les dernières nouvelles sur la crypto-monnaie, la Securities and Exchange Commission (SEC) de Thaïlande a mis à jour ses restrictions réglementaires sur la participation des particuliers aux jetons adossés à des biens immobiliers. Ce développement pourrait voir davantage d’investisseurs particuliers dans le pays rejoindre des fiducies de placement immobilier (REIT) et des projets immobiliers adossés à des jetons.

Alors que l’industrie digère ce développement, un nouveau projet qui cherche à démocratiser l’espace des investissements immobiliers se prépare à faire ses débuts sur le marché alors que sa prévente touche à sa fin.

Voici ce que signifie la décision réglementaire thaïlandaise et comment Everlodge ($EGLD) est positionné pour transformer le secteur immobilier via la tokenisation.

Les investisseurs particuliers peuvent rejoindre les ICO adossées à l’immobilier

Une mise à jour de la SEC thaïlandaise du 18 janvier 2024 indique que le régulateur a révisé ses critères d’investissement dans les jetons numériques dont l’actif ou les flux de revenus sous-jacents sont l’immobilier ou l’infrastructure.

Le régulateur a annoncé la levée de son exigence précédente selon laquelle les investissements de particuliers dans des jetons adossés à l’immobilier ou aux infrastructures ne pouvaient atteindre que jusqu’à 300 000 bahts (8 500 $).

Avec cette mise à jour, les investisseurs particuliers ont davantage d’opportunités de participer au marché immobilier. Cette nouvelle approche des jetons numériques est entrée en vigueur le 16 janvier, a noté le régulateur.

Everlodge ($EGLD) apporte la propriété immobilière fractionnée aux particuliers

Si vous avez toujours voulu investir dans des villas, des hôtels et des maisons de vacances de luxe mais que vous n’avez pas réussi à y parvenir, vous pouvez désormais le faire via l’investissement fractionné.

Everlodge ($EGLD) est une startup qui souhaite amener le marché immobilier à la blockchain. Statista estime que ce secteur d’investissement de base connaîtra une croissance annuelle composée (TCAC) de 3,41 % entre 2024 et 2028, projetant une taille de marché de plus de 729 000 milliards $ d’ici la fin de l’année 2028.

Alors que la tokenisation suscite davantage d’intérêt dans le contexte de l’adoption d’actifs du monde réel sur la blockchain, les investisseurs particuliers peuvent diversifier leurs investissements avec Everlodge, tentant ainsi de rivaliser pour des opportunités d’investissement sur le vaste marché immobilier.

À titre d’exemple, un investisseur particulier peut investir en tant que propriétaire d’une maison de luxe pour aussi peu que 100 $. Ensuite, à mesure que la valeur des propriétés de vacances explosera, le prix des fractions d’actions augmentera également, donnant aux détaillants une chance de faire partie de ce marché.

Everlodge vise à accélérer cela, avec son marché de trading fractionné, alimenté par le jeton natif $EGLD. Le jeton fonctionne comme la monnaie native de l’écosystème Everlodge et offrira des opportunités de jalonnement ainsi que des réductions sur les achats sur le marché.

Avec les titres de propriété et d’actes stockés sous forme de NFT, le trading ouvre une autre couche d’opportunités pour la communauté.

Le jeton $EGLD est actuellement disponible uniquement en prévente.

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Deux projets crypto intéressants sont depuis peu sous les feux de la rampe : Ethereum Classic et Galaxy Fox. Ethereum Classic ($ETC) a attiré l’attention de nombreux investisseurs et négociants avec sa hausse de 35 %. En attendant, Galaxy Fox ($GFOX) — l’une des meilleures crypto-monnaies à petit prix à acheter en ce moment – gagne du terrain avec sa prévente en cours. Elle est d’ailleurs en passe d’atteindre la barre des 3 millions de dollars.

Pourquoi Ethereum Classic ($ETC) affiche-t-il une telle progression ?

Ethereum Classic ($ETC) a bondi de 35 % en une semaine. Mais qu’est-ce qui alimente cette hausse inattendue ? Ethereum Classic, qui a été dérivé d’Ethereum ($ETH) en 2016, surpasse son grand frère plus connu. Se situant au-dessus de 29 dollars, Ethereum Classic ($ETC) a grimpé de 35 %. Ce bond a notamment été propulsé par le sentiment positif du marché suite à l’approbation du premier lot d’ETF Bitcoin aux États-Unis.

La hausse est due et en partie liée aux conditions macroéconomiques du marché. Mais il est également possible qu’Ethereum Classic soit inclus dans un futur ETF. En effet, il est très peu probable que la SEC considère Ethereum comme un produit et non Ethereum Classic. En effet, Ethereum Classic est bien plus décentralisé qu’Ethereum.

Selon Santiment, le volume d’échange d’Ethereum Classic ($ETC) est en hausse, atteignant des niveaux jamais vus depuis septembre 2022. Le rapport montre spécifiquement que la récente hausse est étroitement liée à l’annonce de l’ETF Bitcoin et marque une étape importante pour l’Ethereum Classic ($ETC).

Le récent mouvement haussier du jeton témoigne de l’intérêt accru des courtiers et des perspectives positives du marché.

Galactic Milestone! Our cosmic journey has proudly soared past the extraordinary threshold of $2.7 Million, marking a stellar achievement for Galaxy Fox. This triumph showcases the vibrant encouragement from the incredible Galaxy Fox community. pic.twitter.com/OSB5vvfFZD

— Galaxy Fox (@GalaxyFoxToken) January 16, 2024

La prévente du Galaxy Fox vise les 3 millions de dollars : Le prochain grand succès des mèmes coins ?

Galaxy Fox a atteint une étape importante avec 2,5 millions de dollars collectés lors de sa prévente. Cet élan impressionnant témoigne de la confiance des investisseurs dans ce mème coin qui ne se contente pas de surfer sur l’engouement pour les crypto-monnaies, mais qui s’apprête à redéfinir le paysage.

La prévente de Galaxy Fox ($GFOX) est actuellement à l’étape 7, avec des jetons disponibles à l’achat à 0,00198 USD. Elle a déjà placé plus de 2,3 milliards de jetons entre les mains des premiers investisseurs et a réussi à collecter près de 2,6 millions de dollars. Le projet se prépare à passer à l’étape suivante, qui prévoit une augmentation du prix des jetons à 0,002178 USD. Au rythme des ventes de jetons, la prévente devrait rapidement atteindre la barre des 3 millions de dollars.

Conçue comme une pièce ERC-20, Galaxy Fox ($GFOX) est un acteur clé dans l’espace web3. Son utilité s’étend au-delà de son écosystème. Cela en fait d’ailleurs un altcoin à part dans le monde de la crypto.

De quoi se compose l’écosystème de Galaxy Fox ?

L’écosystème de Galaxy Fox promet des opportunités passionnantes, notamment un jeu Play-to-earn (P2E) qui récompense les utilisateurs. Le programme de staking des jetons Galaxy Fox ($GFOX) sera lucratif. Il permettra aux utilisateurs de gagner des récompenses au sein de l’écosystème. On notera par ailleurs que les jetons $GFOX servent de moyen de paiement principal sur la marketplace NFT de Galaxy Fox, améliorant la jouabilité et augmentant les chances de gagner.

En outre, Galaxy Fox est sur le point de dominer le secteur Web3, ce qui en fait un joyau potentiel dans le monde des altcoins. Avec plusieurs actifs NFT les plus cool directement liés à son jeu Web3, les détenteurs de $GFOX peuvent monnayer et échanger ces actifs numériques contre de l’argent réel sur les plateformes NFT. Le succès de la prévente et la croissance attendue dans le secteur des mèmes coins positionnent Galaxy Fox comme une perspective de rentabilité élevée. Elle a d’ailleurs été annoncée comme étant la meilleure crypto-monnaie à petit prix à acheter en ce moment. En témoigne l’engouement des investisseurs à la recherche de rendements substantiels qui se ruent sur sa prévente.

La croissance prévue dans le secteur des mèmes et les caractéristiques uniques de Galaxy Fox font de cette prévente une opportunité attrayante. Au fur et à mesure que la communauté se développe, la valeur de Galaxy Fox ($GFOX) augmente. Cela constitue une proposition attrayante pour les investisseurs à la recherche de rendements substantiels.

Conclusion : Votre porte d’entrée vers des entreprises rentables dans le domaine des crypto-monnaies

À l’heure où les tendances crypto évoluent rapidement, la montée en puissance d’Ethereum Classic et la prévente de Galaxy Fox viennent témoigner son dynamisme.  $GFOX – la meilleure crypto pas chère à acheter en ce moment – le marché des crypto-monnaies promet des rendements prometteurs.

Envisagez d’explorer le site web de Galaxy Fox. N’oubliez pas non plus de rejoindre la communauté via Telegram pour des mises à jour en temps réel. Après tout, dans le domaine en constante évolution des crypto-monnaies, les meilleures opportunités se présentent souvent lorsque vous vous y attendez le moins.

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Cet article ne représente en aucun cas un conseil en investissement. Les informations fournies ici ne doivent pas être utilisées comme base pour prendre des décisions financières. Les investissements en crypto-monnaie comportent des risques et peuvent entraîner des pertes importantes. Il convient d’investir uniquement ce que vous pouvez vous permettre de perdre et d’effectuer vos propres recherches avant de prendre toute décision d’investissement.

Source : Galaxy Fox

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Un ETF Solana ? Le déblocage officiel des ETF Bitcoin au comptant à visiblement gommé la frontière encore existante entre finance traditionnelle et zone crypto. Car les principaux gestionnaires d’actifs mondiaux sont tombés dans le terrier du Bitcoin. Un changement de paradigme pour l’économie aux conséquences encore difficiles à estimer. Toutefois, l’une d’entre elles semble être cette excitation palpable chez tous les investisseurs venant d’avaler la pilule orange. Et dans le domaine, la société d’investissement Franklin Templeton se distingue par la frénésie de son nouvel appétit numérique. Une fièvre au centre de laquelle émerge le réseau Solana.

Solana : le retour en force

La blockchain Solana est autant le succès de ce début d’année, qu’elle a été l’une des plus importantes déceptions du dernier marché baissier. Avec comme principale faiblesse, une relation trop étroite entretenue avec la défunte plateforme FTX. Mais le temps crypto efface rapidement même les blessures les plus profondes.

Car depuis quelques mois, le projet Solana reprend du poil de la bête à l’aide de l’engouement autour du marché des memecoins. Mais également du fait de multiples opérations d’airdrops successives. Un bon moyen de redynamiser – artificiellement – des volumes en berne… et de se faire remarquer par les investisseurs.

Le SOL enregistre une hausse de plus de 300 % sur les 3 derniers mois – Source : TradingView

Car tout le monde semble unanime, la blockchain Solana est désormais à ranger dans la cours des grands aux côtés du Bitcoin et d’Ethereum. Un constat dont la première bénéficiaire est la cryptomonnaie SOL, à la tête d’une hausse record de plus de 300 % sur les 3 derniers mois. Mais la lumière du jour est toujours plus intense quand on sort d’un séjour prolongé au sous-SOL.

Franklin Templeton kif grave Solana

Une frénésie dans laquelle vient de s’inscrire la société d’investissement Franklin Templeton. Celle-là même qui joue actuellement des coudes sur le montant de ses frais dans la toute nouvelle guerre des ETF Bitcoin au comptant.

En effet, la journée d’hier aura été très intense sur son compte X officiel. Car une multitude de publications ont été réalisées au cours de cette période sur les sujets du Bitcoin, d’Ethereum, des Ordinals et autres layers 1 et 2. Le tout animé par une idée assez simpl(ist)e, posée au centre de cette excitation : « en crypto, la spéculation est une fonctionnalité, pas un bug ».

Mais ce qui semble principalement ressortir de tout cela est l’éloge publié à l’attention du réseau Solana. Une blockchain présentée comme un exemple « puissant » du principe de décentralisation… alors qu’elle est régulièrement mise à l’arrêt afin de gérer ses pannes récurrentes. Mais peut-être parle-t-on plus de spéculation que de bug.

« Sur Solana, nous voyons la vision d’Anatoly d’une machine à états atomique unique comme un cas d’utilisation puissant de blockchains décentralisées, réduisant l’asymétrie de l’information. Et nous sommes impressionnés par toute l’activité constatée sur Solana au quatrième trimestre 2023 : DePIN, DeFi, memecoins, innovation NFT, Firedanseur »

Franklin Templeton

Et comme un fait additionné à une hypothèse donne une spéculation, certains voient dans cet engouement de Franklin Templeton pour Solana, la promesse d’un ETF appliqué à la cryptomonnaie SOL. Une vision principalement défendue par la récente approbation des ETF Bitcoin au comptant, présentée comme initialement improbable. Une affaire à suivre…

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